L Emploi sur le Littoral en 2009 et son Évolution
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- Nicolas Dussault
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1 ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES LITTORALES ET MARITIMES L Emploi sur le Littoral en 2009 et son Évolution Les fiches thématiques Analyse socio-économique générale A RETENIR En 2009 : Le taux de chômage est plus élevé sur le littoral que la moyenne nationale, 17,1 % contre 11,7 %. Il est particulièrement fort sur les littoraux ultramarins où il concerne près de 3 actifs sur 10 (29,8 %). Il varie de 1 à 3 du littoral breton (10,1 %) au littoral réunionnais où une personne active sur trois est au chômage (33,3 %). Il est assez bas sur la façade maritime atlantique (11,6 %) en opposition aux deux autres façades métropolitaines, Manche mer du Nord (15,6 %) et Méditerranée (14,4 %). Sur le littoral métropolitain, les plus forts taux concernent le Nord Pas-de-Calais (18,3 %), la Haute-Normandie (15,8 %) et le Languedoc-Roussillon (16,4 %). Les plus faibles sont sur la façade atlantique (Bretagne, Pays de la Loire et Aquitaine) ainsi qu en Corse. Entre 1999 et 2009 : Le taux de chômage a nettement baissé dans les communes littorales. Cette baisse est de 7 points en outre-mer et de 4 points en métropole entre 1999 et C est plus que la baisse moyenne au niveau national estimée à 2 points. Le taux de chômage a baissé sur toutes les façades littorales régionales. Les plus faibles baisses sont enregistrées en Manche mer du Nord (-3,0 points) et en Atlantique (-2,3 points), les plus fortes en Méditerranée (-5,3 points) et en outre-mer (-7,1 points). Tableau 1 : emploi et chômage dans les communes littorales en 1999 et 2009 Insee, RP 1999, Ratio de concentration d emploi : Nombre d emplois sur la commune / population active occupée et résidant dans la commune Observatoire National 1
2 Analyse globale En 2009, le taux de chômage est significativement plus élevé dans les communes littorales que la moyenne nationale, 17,1 % contre 11,7 % soit 45 % de plus. Au sein du sousensemble littoral, on note une très forte différence entre la métropole et l outre-mer. Sur les rivages métropolitains, le taux de chômage est de 13,7 %, soit 2,5 points de plus que la moyenne hexagonale. Il est extrêmement élevé dans les départements ultramarins et concerne près de 3 actifs sur 10 (29,8 %). C. Magnier Les fiches thématiques Figure 1 : taux de chômage en France En % Littoral ultramarin Analyse par façade Quelle que soit la façade littorale régionale étudiée, le taux de chômage est toujours plus bas en métropole qu en outre-mer. Il varie de 1 à 3 du littoral breton (10,1 %) au littoral réunionnais où une personne active sur trois est au chômage (33,3 %) Ensemble du littoral Littoral métropolitain France entière France métropolitaine Arrière-pays métropolitain Insee, RP 1990, 1999 et A l inverse, le taux de chômage est bas dans les communes de l arrière-pays métropolitain, 9,8 %. C est près de 4 points de moins que dans les communes littorales toutes proches. C est par également plus faible que la moyenne hexagonale. Le taux de chômage a nettement baissé de 1999 à La baisse a été plus forte en bord de mer que la moyenne nationale. Elle est de 7 points dans les communes littorales ultramarines, 4 points dans les communes littorales métropolitaines contre près de 2 points pour l ensemble du territoire national. Evolutions croisées du nombre de chômeurs et de la population active entre 1999 et 2009 D après la figure 3, on note une opposition entre les façades littorales régionales de la Manche mer du Nord et des Antilles et le reste du littoral, la Guyane étant à part. Pour les premières, le nombre de chômeurs diminue assez sensiblement de 1999 à 2009 alors que la population active croit peu voire diminue (Nord Pas-de-Calais, Haute- Normandie). Les autres façades littorales, Atlantique, Méditerranée et la Réunion, sont caractérisées par une forte augmentation du nombre d actifs alors que le chômage baisse sur la En métropole, il est assez bas sur la façade maritime atlantique (11,6 %) en opposition aux deux autres façades, Manche mer du Nord (15,6 %) et Méditerranée (14,4 %). Parmi les plus forts taux, on retrouve le Nord Pas-de-Calais (18,3 %), la Haute-Normandie (15,8 %) et le Languedoc-Roussillon (16,4 %). Les plus faibles taux sont sur la façade atlantique, Bretagne, Pays de la Loire et Aquitaine, ainsi qu en Corse. En outre-mer, le taux de chômage littoral est supérieur à 25 % dans les 4 régions. Il est un peu plus faible en Martinique et en Guyane qu en Guadeloupe et à la Réunion. Figure 2 : taux de chômage en 1999 et 2009 sur les différentes façades littorales Nord - Pas-de-Calais Picardie Haute-Normandie Basse-Normandie Manche - mer du Nord Bretagne Pays de la Loire Poitou-Charentes Aquitaine Atlantique Languedoc-Roussillon Paca Corse Méditerranée Littoral métropolitain Guadeloupe Martinique Guyane Réunion Littoral ultramarin Ensemble du littoral Insee, RP 1999 et Observatoire National 2
3 Les fiches thématiques dernière période intercensitaire. Ce sont les façades les plus dynamiques. Le littoral corse se démarque avec une très forte hausse de la population active (+ 27 %). Figure 3 : évolution du nombre de chômeurs et de la population active dans les communes littorales entre 1999 et 2009 Evolution du nombre de chômeurs, en % 10 Guyane Moyenne France entière Moyenne France entière Réunion -5 Aquitaine Bretagne -10 Languedoc-Roussillon Poitou-Charentes Atlantique Littoral ultramarin Picardie Nord - Pas-de-Calais Pays de la Loire Ensemble du littoral -15 Basse-Normandie Littoral métropolitain Manche - mer du Nord Guadeloupe Méditerranée Corse -20 Haute-Normandie Martinique Paca -25 Evolution de la population active, en % Insee, RP 1999 et Enfin, le littoral de Guyane est marqué par une augmentation sensible de la population active ainsi que du nombre de chômeurs entre 1999 et Concentration d emploi et relations littoral / arrière-pays en métropole Pour chaque commune littorale ou d arrière-pays, on définit le ratio de concentration d emploi R comme suit : Nombre d emplois sur la commune / population active occupée et résidant dans la commune Si R est élevé, de nombreux actifs travaillent dans la commune étudiée et habitent ailleurs (pôle d emploi). Si R est faible, de nombreux actifs résident dans la commune mais travaillent ailleurs (commune résidentielle). La figure 4 reprend cet indicateur pour les communes littorales, en abscisse, et leur arrière-pays, en ordonnée, par façade littorale départementale. La façade de l Eure, uniquement constituée de deux communes sur l estuaire de la Seine, a un comportement atypique concernant l indicateur R et n est pas traitée. Il est important de noté que ce ratio est toujours plus élevé sur le littoral que dans son arrière-pays. Le littoral peut donc être considéré comme un pôle d emploi et l arrière-pays comme un pôle de résidence. Dans le détail, trois types de façades peuvent être déterminés. Groupe 1 : littoral et arrière-pays moyennement attractifs pour l emploi Ce groupe est composé des façades littorales départementales de la Somme, de la Gironde, du Calvados, de l Hérault, des Pyrénées-Orientales et des Landes. Le ratio de concentration d emploi R y est inférieur à 1 sur le littoral comme dans l arrière-pays. Ces littoraux sont caractérisés par la présence de grands pôles d emploi dans les terres, non loin du littoral et où travaillent de nombreuses personnes résidant en bord de mer. On peut citer les agglomérations de Bordeaux, Abbeville, Caen, Perpignan, Béziers et Montpellier. Groupe 2 : littoral attractif pour l emploi en opposition à l arrière-pays Le ratio R est élevé en bord de mer et faible à très faible dans l arrière-pays. Les littoraux du Nord, de Loire-Atlantique, des Pyrénées-Atlantiques, de l Aude, des Bouches-du-Rhône, des Alpes-Maritimes et de Corse constituent ce groupe. Généralement touristiques et/ou urbanisées, ces façades littorales comprennent toutes des pôles d emploi importants sur le littoral comme Dunkerque-Calais, Saint-Nazaire, Marseille - Fos-sur-Mer, l agglomération niçoise, Ajaccio et Bastia. L arrière-pays littoral y a une vocation essentiellement résidentielle, les actifs y résidant travaillent sur le littoral ou dans des pôles d emploi situés dans les terres comme Nantes. Groupe 3 : littoral et arrière-pays plutôt attractifs Ce groupe est caractérisé par un ratio R élevé en bord de mer et moyen dans l arrière-pays. Ce groupe est surtout composé de littoraux des façades Manche mer du Nord et atlantique : Observatoire National 3
4 Les fiches thématiques Pas-de-Calais, Seine-Maritime, Manche, Bretagne, Vendée, Var... Pour ce département méditerranéen, cela pourrait indiquer un basculement progressif de nombreux emplois dans l arrière-pays ou les nouvelles entreprises s installent, le foncier du bord de mer devenant rare et cher (Insee Paca). Pour les autres littoraux, cela peut s expliquer par le maintien des tissus agricoles et industriels sur des territoires maritimes qui ne sont pas uniquement tournés vers l économie résidentielle. Figure 4 : ratio R (nombre d emploi / population active occupée) dans les communes littorales et leur arrière-pays en 2009 Dans les communes d'arrière-pays 0,9 0,8 0,7 0,6 Groupe Moyenne littorale Atlantique Haute-Normandie Bretagne Nord - Pas-de-Calais Manche - mer du Nord 14 Picardie Moyenne littorale Basse-Normandie Paca Méditerranée Aquitaine Pays de la Loire 66 Languedoc-Roussillon 56 Poitou-Charentes Groupe 3 Insee, RP ,5 06 Corse 2B 2A 0,4 0,75 1 1,25 1,5 Dans les communes littorales 64 Groupe Observatoire National 4
5 Les fiches thématiques Pour en savoir plus Carte 1 : taux de chômage dans les communes des départements littoraux en 2009 Insee, RP Observatoire National 5
6 Informations sur la réalisation de cette fiche Les fiches thématiques CONTEXTE Les communes littorales hébergent 7,8 millions de résidents en 2009, avec des densités de population bien supérieures à la moyenne nationale. En 2010, plus d un tiers des communes littorales appartiennent à un pôle urbain contre seulement 12 % au niveau national. Les communes littorales ont par ailleurs une très forte capacité d accueil touristique estimée à plus de 7 millions de lits. L économie résidentielle, liée à la présence de personnes, y tient donc une place très importante alors que les principaux secteurs traditionnels de l économie maritime peinent à se maintenir. Dans un contexte démographique et économique aussi spécifique, il est important de connaître l emploi et le chômage et leurs évolutions respectives sur le littoral et son arrièrepays. DÉFINITION Plusieurs paramètres sont pris en compte dans cette fiche afin de caractériser l emploi littoral : La population active : au sens du recensement de la population, elle comprend les personnes qui déclarent : exercer une profession, salariée ou non, même à temps partiel ; aider un membre de la famille dans son travail même sans rémunération ; être apprenti, stagiaire rémunéré... ; être militaire du contingent tant que cette situation existait ; être chômeur à la recherche d un emploi. Le taux de chômage dans une commune est égal au nombre de chômeurs divisé par la population active. Les actifs occupés regroupent tous les actifs à l exception des chômeurs. L emploi sur une commune [EC] comptabilise l ensemble des emplois localisés dans la commune en question. En prenant par ailleurs en compte les actifs occupés résidant dans la commune [AO], on obtient le ratio de concentration d emploi R : [EC] / [AO]. Pour ces indicateurs, est uniquement prise en compte la population âgée de 15 à 64 ans dans toute la fiche. Le chômage est il spécifique sur le littoral? Existe-t-il des différences notoires entre les façades et quelles en sont les causes? Quels sont les liens entre la bande côtière et son arrière-pays concernant l emploi? Voici quelques unes des questions auxquelles répond cette fiche. Fiche à relier aux fiches suivantes Emploi sur le littoral en 2006 et son évolution depuis 1999 ; Typologie de l emploi des actifs vivant sur le littoral en 2009 ; Part de l économie présentielle dans l économie littorale en Champ géographique Communes littorales et arrière-pays sur l ensemble du littoral métropolitain. Communes littorales des quatre départements d outre-mer (Mayotte n est pas prise en compte). Communes littorales : communes maritimes prises en compte par la loi «Littoral» (885 communes en métropole et 89 dans les Dom). Arrière-pays : ensemble des communes non littorales des cantons littoraux métropolitains (1 178 communes). Source : Recensements de la population de l Insee à l échelle communale. Période : 1999, 2009, dernières données accessibles lors de la rédaction de la fiche Rédacteur : Service de l Observation et des Statistiques Date de rédaction : janvier 2013 Type d indicateur : indicateur d état Objectifs Les évolutions croisées de l emploi dans une commune, du taux de chômage et de la population active occupée sont complexes à analyser. Ils dépendent des soldes migratoires (départ ou arrivée de migrants), de l âge des habitants, des navettes journalières domicile-travail et du dynamisme du marché. La maille communale semble peu adaptée à l étude de l emploi qui doit être analysé sur des entités géographiques plus vastes. Dans cette fiche, l arrière-pays littoral tient donc une place importante. Observatoire National 6
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