Université PANTHEON ASSAS (PARIS II) Droit Economie Sciences sociales

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1 Assas Université PANTHEON ASSAS (PARIS II) Droit Economie Sciences sociales Session : Janvier 2014 Année d étude : Deuxième année de Licence économie-gestion mention sciences économiques Discipline : Comptabilité nationale (Unité d Enseignements Complémentaires 1) Titulaire du cours : Mme Geneviève Grangeas REMARQUES A lire avant de commencer L exercice fourni consiste à lire les propositions suivantes, à retenir celles qui sont justes et à cocher la case correspondant à leur numéro dans la grille de réponses (cf. exemple, case 0). Seule la feuille comportant la grille de réponses sera examinée par le correcteur et utilisée pour le calcul de la note. De plus, les réponses difficilement compréhensibles du fait de ratures ne seront pas prises en compte. L étudiant remarquera que l énoncé des questions n obéit à aucun ordre particulier. Il lui est conseillé de répondre le plus rapidement possible à celles qui lui paraissent simples. On notera que les propositions faites dans le cadre d une question donnée peuvent comporter plusieurs réponses justes. On signale par ailleurs que le barème peut comporter des points négatifs. Organisation du sujet * Pour exemple : ceci est une question, posée sous la forme d un début de phrase 0. et ceci est une réponse, dont on doit déterminer si elle est juste ou fausse (cf. grille de réponses) QUESTIONS * L'analyse keynésienne et la comptabilité nationale sont intimement liées 1. car la comptabilité nationale est un outil utile pour les politiques économiques 2. car l'application du multiplicateur exige de disposer de chiffres 3. comme l'indique le titre de l'ouvrage de Keynes puisque la CN fournit des évaluations pour les trois items qu'il cite 4. à cause des travaux de Keynes sur la reconstitution de l'économie américaine en 1919, 29 et du fait du rôle clef de Keynes à l'onu dans la mise en place du SCN après la seconde guerre mondiale * On doit l'expression "Arithmétique politique" à 6. William Petty 7. Gregory King 8. Charles Davenant 9. Sébastien Le Prestre de Vauban 10. Pierre Le Pesant de Boisguillebert 11. François Quesnay 12. John Maynard Keynes 13. Richard Stone 14. James Meade 15. Jan Tinbergen 16. François Perroux * On doit la publication du Tableau économique de 1758 à 17. William Petty 23. John Maynard Keynes 18. Gregory King 24. Richard Stone 19. Charles Davenant 25. James Meade 20. Sébastien Le Prestre de Vauban 26. Jan Tinbergen 21. Pierre Le Pesant de Boisguillebert 27. François Perroux 22. François Quesnay 1 / 7

2 * Dans une nomenclature de CN, tous les agents économiques ayant une autonomie de décision doivent pouvoir être classés, de même que toutes les activités économiques, c'est à dire ayant un caractère pécuniaire, c'est le principe dit 28. d'exclusion 29. de couverture générale 30. de codage 31. de révision périodique 32. d'invariance * Dans une nomenclature, il faut qu'un agent ou une opération puisse être rattaché à un élément de la nomenclature sans ambiguïté, c'est le principe dit 33. d'exclusion 36. de révision périodique 34. de couverture générale 37. d'invariance 35. de codage * Le revenu arbitrable des ménages, notion récemment définie par l'insee, est égal 38. au revenu disponible net 39. au revenu disponible moins les dépenses pré-engagées 40. au revenu disponible moins les dépenses pré-réalisées dans le cadre d'un contrat difficilement renégociables à court terme 41. au revenu disponible plus le revenu optionnel 42. au revenu permanent friedmanien * Dans le TES, les intraconsommations se lisent dans la partie 43. Tableau des emplois finals 46. Compte de production par branche 44. Tableau des entrées intermédiaires 47. Compte d'exploitation par branche 45. Tableau des ressources en produits * Dans le TES, la production des produits se lit dans la partie 48. Tableau des emplois finals 51. Compte de production par branche 49. Tableau des entrées intermédiaires 52. Compte d'exploitation par branche 50. Tableau des ressources en produits * Les données statistiques dont on dispose cette année pour 2012 sont qualifiées de 53. définitives 56. provisoires 54. statistiquement peu fiables 57. surdéterminées 55. semi-définitives 58. conjoncturelles * Les données statistiques dont on dispose cette année pour 2011 sont qualifiées de 59. définitives 62. surdéterminées 60. semi-définitives 63. conjoncturelles 61. provisoires * On appelle consommation de capital fixe 64. l'achat par les ménages de machines au titre de la consommation de biens durables 65. la dépréciation subie par le capital variable au cours de la période considérée par suite d'usure normale et d'obsolescence 66. la dépréciation subie par le capital fixe au cours de la période considérée par suite d'usure normale et d'obsolescence 67. la dépréciation subie par le capital fixe, qu'on évoque aussi parfois sous le terme d'amortissement dans les modèles macro-économiques 68. la dépréciation subie par le capital fixe, dont l'existence rend nécessaire un investissement non nul si on souhaite maintenir la capacité productive 69. l'élément permettant de faire passer les agrégats du "brut" au "net" 70. l'élément permettant de faire passer passer les agrégats d' "intérieur" à "national" 71. l'élément permettant de faire passer passer les agrégats de "global" à "par tête" 2 / 7

3 * La consommation finale effective des ménages est égale à 72. la somme de la dépense de consommation finale des ménages, celle des APU et celle des ISBLSM 73. la somme de la dépense de consommation finale des ménages, celle des ISBLSM, à laquelle on ajoute la dépense de consommation finale individualisable des APU 74. la somme de la dépense de consommation finale des ménages et celle des administrations publiques * En 2010, d'après le TEE joint, la consommation intermédiaire des sociétés non financières est égale à , , , , , , , , ,1 * En 2010, d'après le TEE joint, la valeur ajoutée brute des ménages est égale à , , , , , , , , ,1 * En 2010, d'après le TEE joint, la valeur ajoutée brute des ISBLSM est égale à , , , , , , , , ,1 * En 2010, d'après le TEE joint, le PIB est égal à , , , , , ,8 * En 2010, d'après le TEE joint, le PNB est égal à , , , , , , , , , , , ,1 * En 2010, d'après le TEE joint, la rémunération du total des salariés de l'économie nationale est égale à , , , , , , , , ,1 * En 2010, d'après le TEE joint, les rémunérations salariales versées par le Reste du monde s'élèvent à , , , , , , , , , , , ,1 * En 2010, d'après le TEE joint, la capacité/le besoin de financement des APU s'élève à , , , , , ,1 * En 2010, d'après le TEE joint, l'épargne brute des sociétés, financières et non financières, est de , , , , , , , , ,1 3 / 7

4 * En 2010, d'après le TEE joint, l'économie française 183. présente une capacité de financement de 35,4 milliards d'euros 184. présente une capacité de financement de 36,1 milliards d'euros 185. présente un besoin de financement de 35,4 milliards d'euros 186. finance le reste du monde à hauteur de 35,4 milliards d'euros 187. finance le reste du monde à hauteur de 36,1 milliards d'euros * En 2010, d'après le TEE joint, le taux de marge des sociétés non financières s'élève à % % % % % * En 2010, d'après le TEE joint, la propension moyenne à consommer s'élève à % % % % % * En 2010, d'après le TEE joint, le taux d'investissement des sociétés non financières est de % % % % % * En 2010, d'après le TEE joint, le taux d'autofinancement des sociétés non financières s'élève à % % % % % * Le calcul du taux de marge pour les entreprises non financières donne pour l'année 2010 la valeur de 37% 208. soit un taux plus faible que celui que l'on calcule pour les sociétés non financières 209. soit un taux plus élevé que celui que l'on calcule pour les sociétés non financières 210. soit un taux identique à celui que l'on calcule pour les sociétés non financières 211. s'expliquant par le fait que le revenu mixte brut intègre à la fois rémunération du travail et du capital 212. pouvant être considérée comme standard au vu des données européennes 213. restant faible dans le contexte européen du fonctionnement des sociétés * D'après l'annexe 1, le taux de croissance du PIB en volume a été en 2010, de ,5% ,1% ,0% ,1% ,3% ,4% ,6% ,7% ,1% ,4% * D'après l'annexe 1, la contribution de la dépense de consommation finale à la croissance du PIB en volume a été en 2010, en points de croissance, de ,5% ,1% ,0% ,1% ,3% ,4% ,6% ,7% ,1% ,4% * D'après l'annexe 1, le taux de croissance de la dépense de consommation finale a été en 2010 de ,5% ,1% ,0% ,1% ,3% ,4% ,6% ,7% ,1% ,4% * D'après l'annexe 1, la contribution de l'investissement à la croissance du PIB en volume a été en 2010, en points de croissance, de ,5% ,1% ,0% ,1% ,3% ,4% ,6% ,7% ,1% ,4% * D'après l'annexe 1, la contribution du solde de la balance des transactions courantes à la croissance du PIB en volume a été en 2010, en points de croissance, de ,5% ,1% ,0% ,1% ,3% ,4% ,6% ,7% ,1% ,4 * D'après l'annexe 1, la contribution des acquisitions d'objets de valeur (nettes de cession) à la croissance du PIB en volume a été en 2010, en points de croissance, de ,5% ,1% ,0% ,1% ,3% ,4% ,6% ,7% ,1% ,4% * En 2010, la valeur nette du patrimoine national était de ,7 milliards d'euros, la valeur nette de du patrimoine des sociétés financières, 1 759,7 milliards d'euros, celle-ci s'élevant à 5 889,4 si on ajoute les fonds propres, ce qui permet de donner pour le coefficient de capital une valeur de , , , , ,4 - : - : - : - : - 4 / 7

5 ANNEXE 1 Le produit intérieur brut et ses composantes en volume aux prix de l'année précédente chaînés Produit intérieur brut 1 742, ,6 Dépenses de consommation finale 1 464, ,4 Formation brute de capital fixe 329,5 334,0 Acquisitions nettes de cessions d'objets de valeur 0,5 0,5 Variation de stocks -9,1-6,7 Exportations - importations -41,6-42,9 Milliards d'euros 2005 Source : Comptes nationaux - Base 2005, Insee 5 / 7

6 ANNEXE 2 Tableau Economique d'ensemble : comptes courants et compte de capital de l'année 2010 en base 2005 (données manquantes) En milliards d'euros Emplois Ressources S1 S11 S12 S13 S14 S15 I-SsP S2 B&S Total Total B&S S2 I-SsP S15 S14 S13 S12 S11 S1 Compte de prod. et compte ext. de biens et services 494,5 494,5 P6 Exportations de biens et services 494,5 494,5 538,3 538,3 P7 Importations de biens et services 538,3 538, , ,7 P1 Production 3 501,7 44,4 415,9 431,4 194, , , , ,0 106,0 112,0 87,9 14, ,7 P2 Consommation intermédiaire 1 760, ,7 195,8 195,8 D21N Impôts moins subventions sur les produits 195,8 195,8 195, ,7 975,8 88,2 319,4 328,0 29,6 195, ,7 B1/PIB Valeur ajoutée brute/pib 1 936,7 195,8 29,6 328,0 319,4 88,2 975, ,7 43,8 43,8 B11 Solde extérieur de biens et services 43,8 43,8 Compte d'exploitation 1 032,7 652,0 51,8 259,4 43,6 25,9 10, ,0 D1 Rémunération des salariés 1 043,0 1, , ,0 292,8 49,3 6,0 9,3 16,3 1,0 210,9 292,8 D2 Impôts sur la production et les importations 292,8 4,4 288,4 288,4-41,3-18,6-0,3-3,5-3,1-0,7-15,1-41,3 D3 Subventions -41,3-8,9-32,3-32,3 534,1 293,1 30,7 54,2 152,8 3,3 534,1 B2 Excédent brut d'exploitation 534,1 3,3 152,8 54,2 30,7 293,1 534,1 118,4 118,4 118,4 B3 Revenu mixte brut 118,4 118,4 118,4 Compte d'affectation des revenus primaires 601,5 287,8 244,4 47,9 21,1 0,3 148,5 750,0 D4 Revenus de la propriété 750,0 123,0 1,1 144,5 15,8 263,6 202,1 627, ,1 207,4 49,8 278, ,6 4, ,1 B5/RNB Solde des revenus primaires bruts/rnb 1 976,1 4, ,6 278,2 49,8 207, ,1 Compte de distribution secondaire du revenu 201,0 26,5 10,2 0,1 164,3 3,7 204,7 D5 Impôts courants sur le revenu et le patrimoine 204,7 204,7 204,7 407,2 407,2 0,4 407,6 D61 Cotisations sociales 407,6 3,7 0,0 361,0 31,7 11,2 403,9 420,7 10,9 31,7 377,7 0,0 0,4 0,9 421,7 D62 Prest. soc. autres que transf. sociaux en nature 421,7 6,0 415,6 415,6 612,2 35,2 36,8 490,0 48,8 1,4 10,7 622,9 D7 Autres transferts courants 622,9 37,6 39,2 58,9 439,9 35,2 12,0 585, ,4 157,8 38,1 416, ,9 41, ,4 B6 Revenu disponible brut 1 944,4 41, ,9 416,0 38,1 157, ,4 Compte d'utilisation du revenu 1 606,9 481, ,3 39, ,9 P3 Dépense de consommation finale 1 606, , ,8 312, ,3 39, ,8 P31 Dépense de consommation finale individuelle 1 437, ,8 169,1 169,1 169,1 P32 Dépense de consommation finale collective 169,1 169,1 Ou : redistribution du revenu en nature 182,3 182,3 182,3 D631 Prestations sociales en nature 182,3 182,3 182,3 170,2 130,4 39,8 170,2 D632 Transf. de biens et serv. non march. individuels 170,2 170,2 170, ,4 157,8 38,1 103, ,5 1, ,4 B7 Revenu disponible ajusté brut 1 944,4 1, ,5 103,3 38,1 157, , ,9 169, , ,9 P4 Consommation finale effective 1 606, ,9 337,5 157,8 38,1-65,8 205,6 1,8 337,5 B8 Epargne brute 36,1 36,1 B12 Solde extérieur courant Variation d'actifs / Actifs Variation de passifs / Passifs S1 S11 S12 S13 S14 S15 Non ventilé S2 B&S Total Total B&S S2 Non ventilé S15 S14 S13 S12 S11 S1 Compte de capital B8 Epargne brute 337,5 1,8 205,6-65,8 38,1 157,8 337,5 36,1 36,1 B12 Solde extérieur courant 36,1 36,1 D9 Transferts en capital à recevoir et à payer -0,7 2,1-4,4-9,1-0,3 12,4 0,7 377,2 188,3 12,3 60,4 112,3 3,9 377,2 P51 Formation brute de capital fixe 377,2 377,2-4,2-4,2 0,3-0,2-4,2 P52 Variations des stocks -4,2-4,2 0,7 0,7 0,7 P53 Acquisitions nettes d'objets de valeur 0,7 0,7 0,0-0,4 0,2 1,7-1,6 0,0 0,0 K2 Acquisitions nettes d'actifs non produits -35,4-13,4 25,3-137,3 90,1 0,0-35,4 B9A Capacité (+) ou besoin (-) de financement -35,4-35,4 Source : Comptes nationaux - Base 2005, Insee S1 = Economie nationale S13 = Administrations publiques S2 = Reste du monde S11 = Sociétés non financières S14 = Ménages B&S = Biens et services S12 = Sociétés financières S15 = Institutions sans but lucratif au service des ménages I-SsP = Impôts - subventions sur produits 6 / 7

7 Université PANTHEON ASSAS (PARIS II) Droit Economie Sciences sociales Assas Session : Janvier 2014 Année d étude : Deuxième année de Licence économie-gestion mention sciences économiques Discipline : Comptabilité nationale (Unité d Enseignements Complémentaires 1) Titulaire du cours : Mme Geneviève Grangeas Pour mémoire, numéro de code-barres de l étudiant : Grille de réponses unités dizaines Exemple / 7

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