11 ème session du Conseil d'administration. 07 avril 2015 SYNTHESE DE L ACTIVITE
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1 11 ème session du Conseil d'administration 07 avril 2015 SYNTHESE DE L ACTIVITE Année 2014
2 1. Conjoncture 1.1. Conjoncture internationale L activité économique mondiale a connu une stabilisation au cours de l année 2014 en raison des séquelles de la crise économique et de la faiblesse de la croissance qui continuent de peser sur l économie mondiale. Selon le FMI*, la croissance mondiale a atteint 3,3 % en 2014, comme en 2013, et passera à 3,5 % en La croissance s est accélérée chez les pays avancés est restée plus lente dans la zone euro (+0,8%) et au Japon (+0,1%). Dans les principaux pays émergents, la croissance s est maintenue à des niveaux élevés dans les pays d Asie (+6,5%), avec une stabilisation en Chine (7,4%) et une accélération en Inde (5,8%), mais s est affaiblie au Brésil (+0,1%) et en Russie (+0,6%). Enfin, le FMI prévoit un léger rebond de la croissance dans les pays avancés et une stabilisation pour les pays émergents en Dans ce contexte, les marchés pétroliers ont été marqués par la chute du cours du baril. Le Brent par exemple a chuté de près de la moitié de sa valeur depuis la mi-juin pour s établir aux alentours de 57 $ à fin Décembre. Cette baisse est principalement attribuée à la hausse de la production d'huiles non-conventionnelles en Amérique du Nord, au maintien de la production OPEP à des niveaux élevés ainsi qu au renforcement du dollar américain. Enfin, le cours du Brent est passé en moyenne annuelle de 108,6 $ en 2013 à 98,5 $ en 2014, soit un recul de 9,3 %. (*) : FMI-janvier 2015 Cours du Brent en $US/bl Les investissements en exploration production en hydrocarbures ont connu en 2014 une hausse modérée, estimée à 5%, la plus faible depuis Cette situation s explique par la réduction des investissements des majors, alors que les indépendants et les sociétés nationales ont maintenu une dynamique de croissance forte. Les investissements ont affiché néanmoins un nouveau record de 733 G$, soit 36 G$ de plus qu en Le Moyen Orient a été la région la plus dynamique avec une croissance d environ 10%, suivi par l Amérique du Nord (+8,5%) et la CEI (+7,5%). Viennent ensuite l Asie Pacifique (3,3%) puis l Europe et l Afrique avec une hausse de 2,8% chacune et l Amérique Latine avec la croissance la plus faible (+1%). Page 2 sur 9
3 En 2015, la croissance devrait rester modérée avec une hausse estimée à 4%. La plupart des majors ont annoncé une stabilisation, voire une baisse de leurs investissements. En Australie, les investissements devraient atteindre un pic en , après plusieurs années de forte hausse liée au développement des projets de GNL. En Mer du Nord, les investissements sont attendus en forte baisse à partir de Cependant les NOC et les indépendants, moteurs de la croissance en 2014, devraient continuer à investir et l Amérique du Nord devrait rester dynamique, surtout aux Etats Unis, grâce à la poursuite du développement du gaz et du pétrole de schiste. Investissements mondiaux en E&P en Source : IFP Energies nouvelles Novembre 2014 En ce qui concerne l exploration minière, les investissements mondiaux se sont établis à 11,36 milliards de $ durant l année 2014, en baisse de 25% par rapport à Les budgets d exploration des juniors et des majors ont reculé respectivement de 25% et 29% en glissement annuel. L'effet des investissements dans de grands projets pluriannuels limite toujours la capacité des sociétés minières à changer rapidement de vision. Les sociétés continuent donc de se focaliser sur des projets matures au détriment de ceux en phases initiales. Page 3 sur 9
4 Budget mondial total d exploration (métaux non ferreux) Source: SNL - Metals Economics Group Octobre 2014 Par ailleurs, les métaux de base ont été pénalisés par la chute des prix du pétrole et la faiblesse de la croissance économique mondiale en Plomb ($/t) (-2,2%) Etain ($/t) (-1,9%) Cuivre ($/t) (-6,3%) Zinc ($/t) (+13,4%) Or ($/Oz) (-10,2%) Argent ($/Oz) 31,1 23,8 19,1 (-19,8%) Platine ($/Oz) (-6,8%) Palladium ($/Oz) (+10,8%) Cours des métaux ( ) 1.2. Conjoncture nationale L économie nationale a affiché une croissance globale de 2,6% en Cette évolution est attribuable à une amélioration de 3,4% des activités non-agricoles, tirée particulièrement par le bon comportement des secteurs tertiaires. Les activités agricoles sont, par contre, restées peu dynamiques par rapport à l année précédente, marquant ainsi une baisse de 1,8%, en variation annuelle, au lieu de 19% une année auparavant. Avec une hausse de 3,8% des activités hors agriculture et compte tenu d une amélioration de 5,1% de la valeur ajoutée agricole, la croissance économique nationale serait, au premier trimestre 2015, de 4,1%. L activité minière poursuit son orientation favorable comme indiqué par la forte accélération de l indice de production du secteur minier durant le troisième trimestre 2014 (+23,1%), après la performance de +6,4% et de +4,2% durant les deuxième et premier trimestres 2014 respectivement, résultant de la progression de l indice de production des produits divers des industries extractives de 24,3% et de celui des minerais métalliques de 0,3%. Par ailleurs, cette activité a été marquée à fin septembre 2014, par une amélioration moyenne de 11,2%, après un recul de 1,6% un an auparavant. La facture énergétique s est repliée pour la deuxième année consécutive, enregistrant un recul par rapport à l année 2013 de 10,1% pour s établir à 91,9 milliards de dirhams. Cette évolution est en lien, surtout, avec la baisse des importations d huile brute de pétrole et de «gas-oils et fuel-oils» respectivement de 22,9% et 10,1% pour atteindre 28,1 et 32 milliards de dirhams à fin La facture énergétique nette s est établie à 84,9 milliards de dirhams* contre 93,2 milliards de dirhams enregistrée en Page 4 sur 9
5 Quant à la facture pétrolière, elle a atteint 79 milliards de dirhams en régression de 15% par rapport à Recherche des Hydrocarbures Au 31 décembre 2014, la recherche des hydrocarbures a couvert une superficie totale de ,98 km² et comptait, 40 permis en onshore, 90 permis en offshore, 2 autorisations de reconnaissance en onshore, 3 en offshore et 11 concessions d'exploitation (dont 2 ONHYM) et 4 MOU sur les schistes bitumineux. Sur le plan du partenariat, cette année a été marquée par la signature de 2 nouveaux accords pétroliers, de 3 nouveaux contrats de reconnaissance et de plusieurs avenants relatifs aux passages aux périodes complémentaires. À fin décembre 2014, le montant des investissements des partenaires a atteint 6,56 Milliards de dirhams et celui de l ONHYM est évalué à 96 Millions de Dirhams. Dans le cadre de l activité propre de l ONHYM, les travaux ont porté sur cinq (5) projets d évaluation du potentiel en hydrocarbures à savoir : le Contrôle des play concepts des zones côtières de Boujdour, le Développement des champs de Meskala/Toukimt, le Contrôle des play concepts des segments offshore Rabat-Tarfaya, l Etude de synthèse sur le Mésorif et le Contrôle des Play Concepts des zones Zelten et Hanchane. Les travaux portent également sur le suivi de trente-sept (37) projets de suivi des travaux des partenaires, huit (8) projets spéciaux et un (1) projet d extension du plateau continental marocain. Pour ce qui est des activités des partenaires, l année 2014 a été marquée par l acquisition de Km² de sismique 3D et Km de sismique 2D et la réalisation de 13 puits d exploration dont 8 en onshore et 5 en offshore. En onshore, 5 puits sur 6, forés dans le Gharb par Circle Oil et Gulfsands ont donné des résultats positifs. Les 5 puits offshore ont quant à eux mis en évidence la présence d huile lourde et de condensât. Page 5 sur 9
6 Travaux d exploration ONHYM pour 2014 Objectifs : Jurassique, Crétacé & Tertiaire Offshore Rabat Tarfaya: Interprétation de Km de sismique 2D et 2000 Km² de 3D couvrant les blocs libres ; Identification de nouvelles structures 5 3 Objectifs : Extension du Plateau Continental Atlantique Réalisation d un rapport d information préliminaire indicative sur les limites externes du plateau continental atlantique du Royaume du Maroc; Démarrage de l étude de l extension du plateau continental par le prestataire Maritime Zone Solutions. 4 2 Objectifs : Valorisation du potentiel en hydrocarbures conventionnels et non conventionnels du Mésorif: Chargement et interprétation de 3487 Km de lignes sismiques 2D ;Réalisation de deux missions de terrain et collecte des données. 1 Objectifs : Réservoirs Triasique et Jurassique Zelten-Hanchane: Interprétation sismique de 6870 Km et étude détaillée de prospects Objectifs : Crétacé et Jurassique, Boujdour Onshore: Interprétation de 1000 Km sismique 2D; Etablissement de cartes régionales en isobathes; Interprétation diagraphique Travaux des Partenaires pour 2014 Page 6 sur 9
7 3- Recherche Minière Pour la recherche minière, les travaux en 2014 ont porté sur 43 objectifs situés dans les zones les plus prometteuses du pays. Les travaux propres de l ONHYM ont concerné 27 objectifs dont 10 pour les métaux précieux, 10 pour les métaux de base et l uranium, 04 pour les roches et minéraux industriels, 02 pour la reconnaissance minière et 01 projet spécial pour la géothermie. Les travaux en partenariat ont, quant à eux, intéressé 16 objectifs dont 08 pour les métaux de base, 06 pour les métaux précieux et 02 pour les roches et minéraux industriels. L activité de la recherche minière s est caractérisée courant 2014, par la réévaluation des ressources de Twihinate et Lamlaga ( REE, Nb, U, Mo, Au), la reconnaissance par sondages des projets Lahjeyra ( Nb, REE, Fe, Au), Aghracha (U, REE) et Imlily ( U) dans les provinces du Sud, Iraouène Mouzaref ( Cu, Ni, Fe) dans le massif de Maider, Mfis ( Cu, Co, Pb, Zn) dans la plaine de Tafilalet et Ras Tarf ( diatomite) dans la région de Driouech. L année 2014 a connu également le démarrage de la production à Zgounder (Ag) et à Oumjerane (Cu).En ce qui concerne l exploration stratégique, il a été procédé au contrôle géologique des anomalies magnétiques, radiométriques et géochimiques, la mise en évidence de plusieurs anomalies géochimiques de type BLEG à Au, AG et Cu dans l Anti-Atlas, ainsi que le projet intégré du Maroc oriental dont l objectif est d évaluer les potentialités minières de la région. En 2014, l investissement dans le domaine minier a atteint 87MDH. Les laboratoires mines ont réussi avec succès l audit de renouvellement de la certification réalisé par le cabinet Moody Certification Maroc selon la norme ISO 9001 version La certification des laboratoires est renouvelée pour une période de trois années jusqu à février L activité forages miniers qui supporte la recherche minière, a concerné sept chantiers avec la réalisation de 65 sondages en total couvrant ainsi l ensemble de la demande interne. A fin décembre 2014, 3583,40 m de forages sont réalisés, dont 58% dans les chantiers des provinces du Sud. A noter que le portefeuille des permis miniers ( 1088 permis) représente 16% du patrimoine national et réparti à hauteur de 53% propre et 47% en partenariat ou amodiation. Page 7 sur 9
8 Travaux de l exploration minière durant l année Forages et Production d Hydrocarbures La production des hydrocarbures s est élevée à 44,34 Millions NM 3 pour le gaz naturel et T pour le condensât. Le chiffre d affaires généré par la vente d hydrocarbures courant 2014 est estimé à 190,53 Millions de DH, en hausse d environ 3% par rapport à l année Dans le cadre de la gestion de la redevance perçue pour le compte de l Etat pour le gaz transitant par notre pays, les équipes de l Office ont continué à assurer le suivi régulier de gaz ainsi que la planification des consommations de l ONEE. Ainsi le volume ayant transité par le GME est de 9,74 Milliards NM 3 pour l année 2014 contre 9,89 Milliards NM 3 en 2013, soit une baisse de 1,52%. 5- Coopération L année 2014 a été marquée par la signature de plusieurs accords de coopération avec différents pays africains notamment la Guinée Conakry, le Mali, le Gabon et la Tunisie. Ces accords portent sur la coopération scientifique et technique dans les domaines des hydrocarbures et des Mines et le développement de projets. A cet effet, plusieurs formations ont été réalisées au profit de cadres et d ingénieurs de ces pays aussi bien dans le domaine Mine que Pétrole. 6-Fonctions supports Page 8 sur 9
9 En 2014, les travaux ont concerné la poursuite de la consolidation de la sécurité du système d information et du patrimoine informationnel par la mise en production du nouveau Data center, la mise en place de nouvelle solution pare feu et l établissement du site de réplication et de la population des nouveaux locaux d archivage. En ce qui concerne la gestion des ressources humaines, l ONHYM poursuit un programme soutenu de formation couvrant tous les volets techniques et managériaux. L effectif au 31 décembre 2014 est de 618 agents dont 174 ingénieurs et cadres, 280 agents de maîtrise, 6 employés et 158 ouvriers avec un taux d encadrement de 28%. L Office a également initié la mise en place d une vision stratégique RSE à travers des projets collaboratifs menés avec ses partenaires notamment le programme d investissement social avec Chevron M-CAP et les programmes communautaires avec Kosmos Energy. Page 9 sur 9
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