ECONOMIE INDUSTRIELLE
|
|
- Cyril Lefrançois
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UFR DE SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION Licence 3, Semestre 1 Année ECONOMIE INDUSTRIELLE LE MONOPOLE Enseignant responsable : Clémence PORET Clemence.poret@univ-mlv.fr
2 1. DÉFINITION Une entreprise est en monopole lorsqu elle est la seule à offrir un certain type de bien sur un marché, sans substituts proches. Le monopole doit donc satisfaire la totalité de la demande exprimée sur le marché correspondant. Hypothèses de la CPP abandonnées avec le monopole : Hypothèse d atomicité : le monopole n est plus price taker et devient price maker. Hypothèse de libre entrée / libre sortie Les autres hypothèses de la CPP ne sont pas en contradiction avec l idée de monopole. 2
3 2. LES ORIGINES DU MONOPOLE (1) Monopole naturel Le monopole d innovation de Schumpeter Monopole lié au contrôle d une ressource rare ou d un brevet de fabrication Monopole institutionnel Le monopole lié aux comportements prédateurs 3
4 2. LES ORIGINES DU MONOPOLE (2) a) Monopole naturel Définition du monopole naturel : pour tout niveau de production, le coût des facteurs utilisés est minimal sur le marché lorsque la production est réalisée par une seule firme. Remarque : La structure de monopole naturel est souvent associée à la présence de rendements d échelle croissants. b) Le monopole d innovation de Schumpeter L innovation, à l origine d une situation de monopole temporaire 4
5 2. LES ORIGINES DU MONOPOLE (3) c) Monopole lié au contrôle d une ressource rare ou d un brevet de fabrication Lorsqu une entreprise contrôle totalement l offre d une ressource indispensable à la production du bien, elle bloque par la même occasion l arrivée de nouveaux concurrents sur le marché. Ressources : - Matérielles - Immatérielles d) Monopole institutionnel Monopole accordée par la puissance publique 5
6 3. L ÉQUILIBRE DU MONOPOLE (1) a) Le monopole «price maker» Contrairement à la CPP : Demande adressée au marché = demande adressée à la firme Conséquences : Le prix n est pas fixé par le marché mais par la firme Le monopole est price maker. 6
7 3. L ÉQUILIBRE DU MONOPOLE (2) b) Relation entre la recette totale, la recette marginale et la recette moyenne (1) Différence par rapport à la CPP : La recette marginale n est plus égale à la recette moyenne (c est à dire le prix). Recette totale : RT(q) = p(q) q Recette moyenne : RM(q) = RT(q) / q C est le prix de vente unitaire Elle est représentée par la courbe de demande. La recette moyenne est décroissante avec le prix Si la recette moyenne est décroissante, la recette marginale l est également, et elle est inférieure à la recette moyenne. 7
8 3. L ÉQUILIBRE DU MONOPOLE (3) b) Relation entre la recette totale, la recette marginale et la recette moyenne (2) P Rm RM (q) = p(q) Rm (q) Production 8
9 3. L ÉQUILIBRE DU MONOPOLE (4) c) Maximisation du profit et équilibre Programme de maximisation du profit : Max π (q) = RT(q) CT(q) Condition d équilibre : Rm(q) = Cm(q) 9
10 3. L ÉQUILIBRE DU MONOPOLE (5) c) Maximisation du profit et équilibre P Cm CM Cm (q) p M p* E* CM (q) E M RM (q) Rm (q) 10 q M q* Production
11 3. L ÉQUILIBRE DU MONOPOLE (6) e) Equilibre de monopole et pouvoir de marché Le pouvoir de marché peut s exprimer par l indice de Lerner I : Où Ԑ est l élasticité de la demande en valeur absolue. Conclusion : L indice de Lerner confirme bien deux intuitions : Le pouvoir de marché du monopole est d autant plus fort que le prix st éloigné du Cm (situation de CPP). Le pouvoir de marché du monopole est d autant plus fort que la demande des consommateurs est inélastique au prix. 11
12 3. L ÉQUILIBRE DU MONOPOLE (7) f) Conclusion sur le prix et l optimalité de l allocation par rapport à l équilibre de CPP Prix de monopole > Coût marginal : Prix de monopole > Prix de CPP Le monopole s éloigne d une allocation optimale au sens de Pareto. 12
13 4. MONOPOLE ET OPTIMUM SOCIAL (1) a) La charge morte, ou perte sèche du monopole Dans le passage d un régime de CPP à un régime monopolistique : - Le surplus des consommateurs diminue - Le surplus des producteurs augmente - Le surplus collectif diminue : il y a apparition d une charge morte, ou perte sèche Perte sèche = Différence entre le surplus collectif de CPP et le surplus collectif en monopole 13
14 4. MONOPOLE ET OPTIMUM SOCIAL (2) 14
15 4. MONOPOLE ET OPTIMUM SOCIAL (3) b) Coût social et recherche de rente Charge morte : une mesure incomplète du coût social associé à une situation monopolistique. Tulock et Posner (1975) : existence de coûts de recherche d une rente de monopole gaspillages qui peuvent mener à une disparition du profit pour le monopole 15
16 4. MONOPOLE ET OPTIMUM SOCIAL (4) c) L inefficience X Monopole => absence de concurrence Ne contraint pas la firme à rechercher une organisation optimale Inefficacité proche de l inefficience X de Leibenstein (1966). Inefficacité = rentabilité en CPP rentabilité en monopole 16
17 4. LE MONOPOLE NATUREL Définition : Lorsque les coûts de production totaux sont plus faibles en présence d une seule entreprise sur le marché. Pourquoi? Existence de coûts fixes. Cas général où les coûts variables moyens sont croissants : Lorsque les coûts fixes sont importants par rapport au coût variable, le coût moyen reste très longtemps décroissant. Il faut ainsi atteindre un volume de production très important avant que l élévation du coût variable moyen ne soit compensée par la diminution du coût fixe moyen. 17
18 4. LE MONOPOLE NATUREL 18
19 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (1) Monopole p > Cm situation d inefficacité Contrôle de certains monopoles par la puissance publique : Les monopoles publics. L Etat peut alors imposer des règles aux monopoles en matière de prix de façon à maximiser le surplus collectif. Deux types de tarification imposées : La tarification au coût marginal La tarification au coût moyen 19
20 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (2) a) La tarification au coût marginal Le monopole public sera alors conduit à : - produire q* - pour un prix p* = Cm (q*). La situation résultant de la tarification au coût marginal est un optimum de premier rang (E*). 20
21 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (3) b) La tarification au coût marginal et rendements d échelle croissants (1) Très souvent, les monopoles publics sont des monopoles naturels présentant des rendements d échelle croissants : Le coût moyen de long terme est décroissant L activité présente des économies d échelle Le coût marginal est toujours inférieur (sur le long terme) au coût moyen. Ainsi, en cas de rendements d échelle croissants, la tarification optimale qui égalise le prix au coût marginal tend inéluctablement à un déficit du monopole. 21
22 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (4) b) La tarification au coût marginal et rendements d échelle croissants (2) Modèle : Fonction de coût du monopole : CT(q) = CF + cq Le coût marginal c, est constant et toujours inférieur au coût moyen c + CF/q. Si p(q) désigne la fonction de demande inverse : La tarification au coût marginal conduit à produire q* avec : p (q*) = c Cette solution implique un déficit pour le monopole égal aux coûts fixes. En effet : Π(q*) = RT (q*) CT(q*) = cq* - CF cq* = - CF 22
23 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (5) b) La tarification au coût marginal et rendements d échelle croissants (3) Une solution au déficit du monopole : la subvention Cette solution est peu plausible : - Subventions aux monopoles publics mal perçues par les contribuables - La fiscalité a des effets dommageables en termes d équité. D où la recherche d une solution de second rang avec la tarification au coût moyen. 23
24 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (6) c) La tarification au coût moyen : une tarification de moindre mal (1) Contrainte du monopole public : Equilibre budgétaire Il faut alors déterminer une tarification qui permette au monopole de maximiser le surplus collectif sous contrainte d équilibre budgétaire. C est la solution de moindre mal, appelé également optimum de second rang (Ē). 24
25 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (7) c) La tarification au coût moyen : une tarification de moindre mal (2) p 0 25
26 5. LE CONTRÔLE DES MONOPOLES PUBLICS (8) c) La tarification au coût moyen : une tarification de moindre mal (3) Règle de Ramsey Boiteux : Le monopole public soucieux de l intérêt général (c'est-à-dire maximisant le surplus collectif) mais astreint à une contrainte d équilibre budgétaire : doit fixer des écarts entre prix et coûts marginaux qui sont d autant plus grands que la demande est peu élastique. 26
27 6. LE MONOPOLE DISCRIMINANT (1) Définition : Discrimination par les prix : lorsqu un même produit est vendu à des prix différents selon l acheteur concerné ou la quantité acheté par l acheteur. 3 types de discrimination : La discrimination au troisième degré, ou discrimination entre les clients La discrimination au second degré, ou discrimination entre les unités consommées La discrimination au premier degré, ou discrimination parfaite 27
28 6. LE MONOPOLE DISCRIMINANT (2) a) La discrimination au troisième degré = discrimination entre les clients Segmentation du marché selon le type de clientèle : Les prix pratiqués pour chaque catégorie d acheteurs dépendent de l élasticité de leur demande au prix. Conditions de faisabilité : - Il est nécessaire de pouvoir identifier des catégories d acheteurs avec une élasticité de la demande différente. - Il faut pouvoir interdire les transactions secondaires entre clients. Exemple des réductions accordées aux étudiants dans les cinémas. 28
29 6. LE MONOPOLE DISCRIMINANT (3) b) La discrimination au second degré = discrimination entre les unités consommées Les différentes unités sont vendues à des prix différents, chaque acheteur payant la même somme pour la même quantité. Constat : la courbe de demande est décroissante. Le monopole qui est price maker est alors incité à prélever une partie de surplus des consommateurs en faisant payer les premières unités plus cher que les suivantes. Exemples : le système de remises quantitatives, le tarif binôme ou «non linéaire», comprenant une partie fixe (abonnement, droit d entrée) et une partie variable, proportionnelle à la consommation. 29
30 6. LE MONOPOLE DISCRIMINANT (4) c) La discrimination au premier degré (1) = discrimination parfaite Chaque unité est vendue à un prix différent. Les prix sont différents à la fois selon les unités et selon les consommateurs. Rm = p = RM les acheteurs paient exactement ce qu ils sont disposés à sacrifier pour l obtenir : le surplus du consommateur s annule et est totalement accaparé par le producteur. 30
31 6. LE MONOPOLE DISCRIMINANT (5) c) La discrimination au premier degré (2) = discrimination parfaite Au final, on a : P = RM = Rm Et donc : P = Cm Conclusion : la discrimination parfaite permet : D accroitre les profits du monopole Mais aussi, une allocation des ressources aussi efficace qu en CPP. 31
Concurrence imparfaite
Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,
Plus en détailJoueur B Pierre Feuille Ciseaux Pierre (0,0) (-1,1) (1,-1) Feuille (1,-1) (0,0) (-1,1) Ciseaux (-1,1) (1,-1) (0.0)
CORRECTION D EXAMEN CONTROLE CONTINU n 1 Question de cours Question 1 : Les équilibres de Cournot et de Stackelberg sont des équilibres de situation de duopole sur un marché non coopératif d un bien homogène.
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailOrganisation Industrielle
Organisation Industrielle Chapitre 1 : Introduction Master 1 Université Lyon 2 Laurent Granier - Année 2011/2012 - Définition de l économie industrielle «Etude de la structure des entreprises et des marchés,
Plus en détailEconomie Industrielle 06
Economie Industrielle 06 Structure de marché et pouvoir de marché Marc Bourreau Marianne Verdier Telecom ParisTech & Université Paris Ouest MB-MV (TPT-Univ. ParisOuest) Cours 06 : Structure de marché et
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailMarchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène
Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi
Plus en détailN d anonymat : Remarques générales :
N d anonymat : Introduction à la Microéconomique Examen final Licence 1 Economie-Gestion 2010/2011 Enseignants (cours et travaux dirigés) : N. Andries, S.Billon et E. Darmon Eléments de correction Remarques
Plus en détailIIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND
IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003 François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND *CREDEN-LASER, Université Montpellier 1 GREEN, Université Laval, Québec Introduction Partout
Plus en détailL Elasticité Concept et Applications Chapitre 4
L Elasticité Concept et Applications Chapitre 4 L Elasticité...... est une mesure de la réaction des acheteurs et vendeurs aux changements dans les conditions du marché...... nous permet d analyser les
Plus en détailHausse des tarifs d'électricité au Québec : éléments de problématique
Hausse des tarifs d'électricité au Québec : éléments de problématique Charles A. Carrier 1 ASDEQ, Comité des politiques publiques Document CPP 2004-01 La société Hydro-Québec a récemment proposé à la Régie
Plus en détailLa demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal
La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailCHAPITRE IV Les externalités
CHAPITRE IV Les externalités 6 avril 2011 Une externalité désigne une situation où un agent économique influe indirectement sur la situation d autres agents, sans qu ils n aient été consultés et touchent
Plus en détailLes coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7
Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle
Plus en détailLivret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire
Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative
Plus en détailVers le 7 ème ciel du Revenue Management
LETTRE CONVERGENCE Vers le 7 ème ciel du Revenue Management Les stratégies tarifaires dans les services N 25 To get there. Together. A PROPOS DE BEARINGPOINT BearingPoint est un cabinet de conseil indépendant
Plus en détailL oligopole ESCP 2012 2103
Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailBUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015
BUDGET DE LA MUTUALITE DES EMPLOYEURS POUR 2015 1 Résultat Budget Prévisionnel Budget Budget Article Compte 2013 2014 2014 2015 2016 Nombre - indice 761,00 780,01 775,17 789,70 804,47 DEPENSES BUDGET DES
Plus en détailIntroduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux
Nom : Prénom : Num Etudiant : Groupe de TD : Introduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux PRECISEZ ICI SI VOUS AVEZ
Plus en détailP A P 1 D 1 -S 1 S 1 D 1
Les instruments de la politique commerciale - tarifs: source de revenu et protection des industries nationales -pécifiques : montant fixe par unité de bien importé (exemple: 100 par voiture) -Ad-valorem:
Plus en détail3. La concurrence pure et parfaite, quel intérêt?
- Enfin, la question de la modification «temporelle» de l équilibre peut être posée. A l origine, la rencontre de l offre et de la demande sur le marché aboutit à la fixation d un prix de marché, qui,
Plus en détailTSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES
TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES Coût de revient du produit + Marge du fabricant = Prix de vente HT au distributeur Prix d'achat HT du distributeur + Marge du distributeur =
Plus en détailLibéralisation des industries électriques et analyse économique
Concurrence Energie Econométrie Libéralisation des industries électriques et analyse économique Vincent Rious (Microeconomix) et Thomas Veyrenc (RTE) Organisation du cours Séance 1 Les raisons de la libéralisation
Plus en détailFORMULES DE CALCUL. Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA
FORMULES DE CALCUL Le prix : Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA Ex : PV TTC = 250 x 1,196 = 299. TVA = 250 x 19,6 % = 49. PV HT = 299 = 250.
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailChapitre 3 Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 23 février 2015 à 16:02 Chapitre 3 Dans quelles circonstances les entreprises peuvent-elles exercer un pouvoir de marché? 1 Quelles sont les différentes structures
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailWARRANTS TURBOS CERTIFICATS. Les Warrants. Découvrir et apprendre à maîtriser l effet de levier
WARRANTS TURBOS CERTIFICATS Les Warrants Découvrir et apprendre à maîtriser l effet de levier 2 WARRANTS Qu est-ce qu un Warrant? Un warrant est une option cotée en Bourse. Emis par des établissements
Plus en détailCours Marché du travail et politiques d emploi
Cours Marché du travail et politiques d emploi L offre de travail Pierre Cahuc/Sébastien Roux ENSAE-Cours MTPE Pierre Cahuc/Sébastien Roux (ENSAE) L offre de travail 1 / 48 Introduction Introduction Examen
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DES CONCEPTS ET THÉORIES ÉCONOMIQUES
GUIDE PRATIQUE DES CONCEPTS ET THÉORIES ÉCONOMIQUES 1 TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS MICROÉCONOMIE Le consommateur... 11 Coût d opportunité; Analyse marginale; Loi de l utilité marginale décroissante;
Plus en détail3 décembre 2007. Négociations DECFO-SYSREM Séance n 5. Service du personnel. Rue Caroline 4 1014 Lausanne
Service du personnel Rue Caroline 4 1014 Lausanne 3 décembre 2007 Négociations DECFO-SYSREM Séance n 5 Département des finances et des relations extérieures Présentation 1. Rappel du périmètre de négociations
Plus en détailExercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)
Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...
Plus en détailConseil d administration. Du 1 Avril 2011
Conseil d administration Du 1 Avril 2011 Vérification du quorum Nombre de membres : 24 Nombre de présents : 13 Quorum atteint au 13 ème membre présent Quorum atteint : Oui Début du conseil d administration
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z Service de l Eau Potable Année 2013 Elaboré
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détail7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES
CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION
Plus en détailglossaire Appellation commerciale Voir nom de marque.
glossaire Accessibilité financière Le coût d un traitement par rapport au revenu de la population. dans cette enquête, le salaire journalier minimum d un employé non-qualifié du secteur public est comparé
Plus en détailConsultation publique
Consultation publique Paris, le 15 juillet 2010 Consultation publique de la Commission de régulation de l énergie sur la structure des tarifs d utilisation des réseaux publics d électricité 1. Contexte
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de
Plus en détailLE BUDGET DES VENTES
LE BUDGET DES VENTES Objectif(s) : o Pré requis : o Modalités : o o o Elaboration du budget des ventes. Connaissances du processus "ventes". Principes, Synthèse, Application. TABLE DES MATIERES Chapitre
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailPratique des options Grecs et stratégies de trading. F. Wellers
Pratique des options Grecs et stratégies de trading F. Wellers Plan de la conférence 0 Philosophie et structure du cours 1 Définitions des grecs 2 Propriétés des grecs 3 Qu est ce que la volatilité? 4
Plus en détailChapitre 5. Équilibre concurrentiel et bien-être
Chapitre 5 Équilibre concurrentiel et bien-être Microéconomie III 5 1 5.1 Qu est-ce qu un équilibre souhaitable socialement? E cacité versus équité Que nous permet de dire la science économique sur l e
Plus en détailVariations du modèle de base
1 Variations du modèle de base Dans ce chapitre nous allons utiliser le modèle de base du chapitre précédent pour illustrer certaines questions économiques simples. Ainsi, le modèle précédent nous permettra
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailLivret d epargne SaLariaLe
Livret d Epargne Salariale Chère collaboratrice, Cher collaborateur, En tant que salarié(e) de PAGE PERSONNEL, vous bénéficiez de l accord de participation en vigueur dans l entreprise. En complément de
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailLe financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple
Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailSOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE
SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE 1 Factures de doit p. 9 Processus 1 2 Réductions sur factures de doit p. 11 Processus 1 3 Frais accessoires sur factures p. 13 Processus 1 4 Comptabilisation
Plus en détailGuide utilisateur Application Gestion de club. Accès à l application GESTION DE CLUB. Les étapes :
Accès à l application GESTION DE CLUB Les étapes : 1/ Ouverture d un accès club : En la sollicitant auprès du Comité. Qui fera envoyer par mail les paramètres de connexion au super administrateur. 2/A
Plus en détailGROUPE. Comptes consolidés. Au 31décembre 2013
GROUPE Comptes consolidés Au 31décembre 2013 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 BILAN CONSOLIDE... 3 COMPTE DE RESULTAT... 4 TABLEAU DES FLUX DE TRESORERIE... 5 PRINCIPES ET METHODES... 6 PRINCIPES ET METHODES DE
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détailBilan Protection Sociale & Rémunération. Etude réalisée pour Monsieur DUPONT. Le 25/04/2008
Bilan Protection Sociale & Rémunération Etude réalisée pour Monsieur DUPONT Le 25/04/2008 Contact : Madame MARTIN Casagande & Associés, Membre de PRAGMA 1 LES OBJECTIFS DE L ETUDE Votre système de rémunération
Plus en détailACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI
ACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI PREAMBULE Pour répondre à la continuité du service que l entreprise doit assurer à ses clients, certaines activités pour certains rôles ou fonctions, recourent à
Plus en détailExercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA
75. Un plombier connaît la disposition de trois tuyaux sous des dalles ( voir figure ci dessous ) et il lui suffit de découvrir une partie de chacun d eux pour pouvoir y poser les robinets. Il cherche
Plus en détailSSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :
Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite
Plus en détailQ.C.M. (2 POINTS) N d anonymat : NOTES IMPORTANTES :
N d anonymat : Introduction à la Microéconomique Examen final Licence 1 Economie-Gestion 2010/2011 Enseignants (cours et travaux dirigés) : N. Andries, S.Billon et E. Darmon NOTES IMPORTANTES : 1. Durée
Plus en détailDossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.
Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailLA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING)
LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) Finalité de la démarche Optimiser les performances futures de profit du produit sur l ensemble de son cycle de vie. Prérequis Connaissance élémentaire de la problématique
Plus en détailL'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT...
L'ELASTICITE-PRIX La consommation dépend, entre autre, du prix des biens et des services que l'on désire acheter. L'objectif de ce TD est de vous montrer les liens existants entre le niveau et l'évolution
Plus en détailLa gestion du risque chez AXA
Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La
Plus en détailPierre Marchand Consultant
Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de
Plus en détailL impact économique du développement des marques de distributeurs
L impact économique du développement des marques de distributeurs Fabian Bergès-Sennou, Philippe Bontems et Vincent Réquillart Université de Toulouse (GREMAQ-UMR INRA 1291, IDEI) Avril 2007 Adresse postale
Plus en détailAssurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques
Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Carine Franc CREGAS INSERM - U 537 Une définition de «l opting out» «to opt out» : choisir de ne pas participer ; [hopital, school] choisir
Plus en détailPOURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT»
POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT» Bernard Vallageas Faculté Jean Monnet Université Paris-Sud 54 boul.
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détail45. CONTRIBUTION MUTUALISEE DES CLUBS AU DEVELOPPEMENT REGIONAL (C.M.C.D.)
44. LES INSTANCES DIRIGEANTES 44. LES CLUBS 45. CONTRIBUTION MUTUALISEE DES CLUBS AU DEVELOPPEMENT REGIONAL (C.M.C.D.) 44 Principes généraux 45 Présentation du dispositif 50 Contrôle du dispositif régional
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailLa Déréglementation des marchés de l électricité et du gaz. Les grands enjeux économiques
François Mirabel, La Déréglementation des marchés de l électricité et du gaz Les grands enjeux économiques, Paris, Presses des Mines, Collection Développement durable, 2012. ISBN : 978-2-911256-85-1 Presses
Plus en détailCHAPITRE 3. Application à la Mutualisation des Risques & à la Demande d Assurance
CHAPITRE 3 Application à la Mutualisation des Risques & à la Demande d Assurance Ce chapitre présente une première application des concepts développés dans la première partie de ce cours Il s agit de modéliser
Plus en détailExposé 1: Les aspects théoriques des relations monétaires internationales
Guide à l attention de l enseignant Jour 5: Les relations monétaires internationales H. Michelsen Université d'hohenheim Cette journée d étude a pour but de raviver les connaissances de base sur les relations
Plus en détailCHAP 1 LE MARCHÉ PEUT-IL COORDONNER TOUTES LES ACTIVITÉS HUMAINES?
CHAP 1 LE MARCHÉ PEUT-IL COORDONNER TOUTES LES ACTIVITÉS HUMAINES? Introduction: La diversité et l'interdépendance des marchés Depuis la chute du mur de Berlin en 1989, la quasi totalité des économies
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailEpargne, Retraite, Prévoyance et Santé
L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription
Plus en détail4.1.2. Les instruments protectionnistes
4.1.2. Les instruments protectionnistes On classe les instruments protectionnistes en deux grandes catégories : les droits de douane et les nouveaux instruments protectionnistes (ou instruments non-tarifaires).
Plus en détailCOMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS
1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailAutoconsommation d énergie photovoltaïque
Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires
Plus en détailLES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012
LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 FICHE N 1 UN COLLECTIF BUDGÉTAIRE POUR REDRESSER NOS FINANCES PUBLIQUES L e projet de loi de Finances
Plus en détailENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013
ENQUÊTE Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011 Série Économique Réalisé avec le soutien technique et financier de RCE 15 Février 2013 AMORCE/ADEME SOMMAIRE Prix de vente
Plus en détailLe risque de négociation dans la gouvernance des régimes de retraite
dans la des Professeur au département des relations industrielles Université Laval frederic.hanin@rlt.ulaval.ca 30 mars 2015 - InterContinental Montréal, 14h10 Introduction Cette communication porte sur
Plus en détailBUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT
BUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT Le service de l assainissement est un service public à caractère industriel et commercial, soumis à la comptabilité M4 différente de la comptabilité M14 applicable au
Plus en détail