Embryologie et développement du tissu osseux

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Embryologie et développement du tissu osseux"

Transcription

1 I. Introduction Plan I. Introduction Embryologie et développement du tissu osseux II. Embryologie III. Les cartilages IV.Ossification Dr. Gaël ROCHEFORT, PhD INSERM U658 IPROS EA CARQO Hôpital Porte Madeleine VI.Le remodelage osseux VII.Les techniques d investigation VIII.Les atteintes osseuses I. Introduction Introduction générale - Tissu conjonctif complexe : rigide et résistant, mais aussi en constant remaniement - Chez l homme : 206 Os - Forme le squelette des mammifère - Rôle protecteur (des organes vitaux), mécanique (support de l action musculaire). - Les os abritent la moelle osseuse (hématopoïèse) et sert de réservoir de calcium, de phosphore et autres ions II. Embryologie Embryologie : origine des tissus (1) - Fécondation (A) - Blastomères (C-D) - Morula (E) - Blastocyste (F) - Embryon triploblastique (I-J) - Tissus conjonctif et de soutien (M-N) II. Embryologie Embryologie : origine des tissus (2) Le mésoderme (3) donne : - Cellules souches (4) - CML (5) et cellule endothéliale (20) - Fibroblaste (6) et fibrocyte (7) - Ostéoblaste (8), ostéocyte (9), odontoblaste (10) et ostéoclaste (14), II. Embryologie Classification des tissus Les variétés de tissus conjonctifs et de soutien : - Groupes tissulaires (rectangles) - Subdivisions (cercles) - Cartilage (11-13) - Mastocyte (15), cellule réticulé (18) et histiocyte (19) - Cellule adipeuse (16-17) 1

2 III. Les cartilages Histogenèse du cartilage hyalin - Cœur (A1), poumon (A2) - Amas mésenchymateux (flèches) : ébauche de cartilage hyalin - Sécrétion d une matrice EC par les cellules mésenchymateuses du scléroblastème (B1) : microfibrilles collagènes III. Les cartilages Chondrocyte du cartilage hyalin (1) - Cellule sphérique à noyau central, membrane à bordure dentelée faite de microvillosités - Matrice cartilagineuse (7) faite de collagène (8), d élastine (9) et de chondrocalcine (10) - Organites développés pour la synthèse de MEC III. Les cartilages Chondrocyte du cartilage hyalin (2) - Matrice extracellulaire composée de fibres de collagène (type II, VI, IX) - Substance amorphe composée d hydrates de carbone, protéoglycanes et minéraux Ossification Chondrale (Os plats) Les types d ossification Mésenchymateuse (Os plats) Endochondrale Périchondrale Os de membrane (ossification directe) Os endochondral (ossification indirecte) Ossification secondaire Os fibrillaire Remaniement osseux Os Lamellaire Ossification directe / mésenchymateuse (1) - Ossification directe : les cellules du mésenchyme se transforment en cellules osseuses - Os plats : clavicules, voûte du crâne, de la face A : Ostéoïde B : Ostéoïde calcifié C : Organisation en travées Ossification directe / mésenchymateuse (2) B : coupe de la calotte crânienne (A) - Cuire chevelu, tissu adipeux, vaisseaux sanguins - Os de membrane entre périoste (6) et dure-mère (9) - Organisation en travées (B7) : ostéoblastes (C1-2), ostéocyte (C3) et ostéoclaste (C4) 2

3 Ossification directe / mésenchymateuse (3) Ossification directe / mésenchymateuse (4) Vue tridimensionnelle (cadre de la planche précédente) Ultra-structure de la cellule ostéoformatrice : l ostéoblaste - Ostéoblaste (1), travée (2) ostéoïde (3), ostéoblaste (5) englobé dans la matrice osseuse (4), ostéocyte (7), cellule mésenchymateuse (8), ostéoclaste (9), capillaire (10) - Cellule aplatie avec noyau volumineux, riche appareil sécrétoire Ossification directe / mésenchymateuse (5) - Synthèse de microfibrilles collagènes et de substance fondamentale (calcification et agglomération d apatite) chondrale (1) 1. Ossification directe : manchon osseux périchondral 2. Ossification indirecte : - squelette cartilagineux servant de maquette - ossification à partir du périoste (périchondre) chondrale (2) 1. Progression vers les épiphyses du manchon périostal (A1) 2. Hypertrophie des cellules cartilagineuse pour former un centre d ossification diaphysaire : calcification de la matrice cartilagineuse, dépôt de cristaux d hydroxyapatite chondrale (3) - Perforation du manchon périostal : bourgeons conjonctivovasculaires - Ostéoclastes (2) - Cellules souches dans la diaphyse (mésenchymateuse et hématopoïétique) - 8ème semaine de vie (chez l homme) 3

4 chondrale (4) - Formation d une cavité diaphysaire - Chondrocytes (B3) en colonnes - Cellules souches mésenchymateuses (B8) en cours de différentiation ostéoblastique chondrale (5) - 4ème 5ème mois de vie (chez l homme) - Points d ossification épiphysaires (A2) I : cartilage hyalin de réserve II : cartilage sérié (croissance) III : cartilage hypertrophié et calcifié IV : zone d érosion : chondroclaste V : ostéogenèse enchondrale chondrale (6) chondrale (7) - Les chondroclastes (3-4) détruisent les chondrocytes hypertrophiés (1-5). Entre les zones d ossification diaphysaire et épiphysaire se situe un disque de cartilage hyalin non calcifié : le cartilage de conjugaison (croissance interstitielle jusqu à la puberté). - Les ostéoblastes (7) sécrètent des ostéoïdes (8) à partir des débris cartilagineux minéralisés (6) chondrale (8) chondrale (9) - Détail de l ossification primaire : action des ostéoblastes (4, 6) et ostéocytes (3) à partir de vestiges de cartilage hyalin calcifié (2). - La jonction entre os trabéculaire diaphysaire et cartilage ossifié présente des bourgeon vasculaire : action chondroclastique et ostéoclastique. - Erosion de la travée primitive (1) par les ostéoclastes (7) 4

5 chondrale (10) - La fin de la croissance de l os est caractérisée par le réunion de la cavité épiphysaire avec la cavité diaphysaire - La partie supérieure du cartilage hyalin forme le cartilage articulaire noncalcifié (B6) chondrale (12) chondrale (11) Détail de la planche précédente : - Accroissement du diamètre de l os par apposition de nouvelles lamelles osseuses (ostéoblastes et ostéocytes) - Résorption en face interne (ostéoclastes) Ossification secondaire : remaniement L os fibrillaire obtenu (1) va être remplacer par de l os lamellaire orienté et résistant aux contraintes Les ostéons, centrés leurs canaux de Havers, sont donc formés puis résorbés tout au long de la vie. Tissu osseux : structure (1) Tissu osseux : structure (2) L os compact est constitué d ostéons, centrés autour d un canal de Havers, et communiquant entre eux par des canal de Volkmann - Os spongieux : caractérisé par une armature de trabécules entrecroisés, de forme et d épaisseur variables. - Ramification des trabécules - Présence de moelle osseuse dans les espaces communicants 5

6 Tissu osseux : ostéons (1) Tissu osseux : ostéons (2) - Unité morphologique et fonctionnelle de l os compact à 500 µm de diamètre - 0,5 à 2 cm de longueur - 3 à 15 lamelles osseuses concentriques Tissu osseux : os lamellaire (1) Tissu osseux : os lamellaire (2) - Vue tridimensionnelle de l os compact, du périoste (2) vers les travées (11) d os spongieux (12) - Dans les épiphyses des os longs, les travées sont orientées en fonction des contraintes statiques et dynamiques Tissu osseux : os lamellaire (3) - L ostéon (ou système de Havers) est l unité structurale et fonctionnelle - Cylindre ceux centré par un canal de Havers et parcouru par des capillaires - Lamelles ostéocytaires concentriques Tissu osseux : système de Havers Canal de Havers Ostéocyte Ostéon Canal de Volkmann 6

7 Tissu osseux : la matrice osseuse - Partie organique : fibres de collagène, ostéonectine, ostéocalcine, sialoprotéine osseuse et protéoglycanes - Partie inorganique : phosphate de calcium (sous forme de cristaux d hydroxyapatite) - Ostéoïde : matrice non minéralisée Tissu osseux : partie centrale d un ostéon Ici : - 2 lamelles concentriques - Ostéoblastes (6) et ostéocytes (3) - Ostéoclaste (7) - Canal de Havers parcouru par un capillaire sanguin Ostéoblastogenèse : control hormonal (PTH) Ostéoblaste et ostéocyte Tissu osseux : ostéocyte Ultrastructure d un ostéocyte : - cellule étoilée sécrétant une matrice de collagènes se calcifiant - Communication entre les ostéocytes par de minces expansions du cytoplasme dans d étroits canalicules Ostéocyte et ostéoclaste - Vue tridimensionnelle de l os compact : canaux de Havers et de Volkmann - Ostéoblaste : cellule cubique formant une monocouche - Ostéoclaste : cellule poly-nucléée assurant la résorption osseuse 7

8 Tissu osseux : ostéoclaste (1) Tissu osseux : ostéoclaste (2) - Cellule géante multinucléée provenant de cellules souches hématopoïétiques (progéniteurs monocytaires) - Fonction : résorption osseuse et création de lacunes de Howship Ostéoclastogenèse Interaction ostéoblaste / ostéoclaste Action ostéoclastique Activation de la résorption ostéoclastique 8

9 Control hormonal de la résorption osseuse Contrôle de la résorption osseuse - Facteurs de croissance : TGFβ, FGF, PDGF - Cytokines : IL1, IL6, IL11, CSF, TNFα Cytokines et facteurs de croissance Rôle des ostéoclastes (1) M-CFU Précurseurs ostéoclastiques Macrophage IL6 M-CSF GM-CSF PGE2 IL1 TNFa TGFß activé IGF FGFb BMP Cellules stromales précurseurs de l ostéoblaste Ostéoblastes - Chez l adulte : renouvellement de 8% du tissu osseux par an - Cycle de formation : phase de résorption, phase d inversion, phase de formation, phase de quiescence Ostéoclaste TGFß latent, IGF, FGFb, BMP Rôle des ostéoclastes (2) Cycle de remodelage osseux (1) - Dépôt ostéoblastique d une matrice osseuse non-minéralisée (10 µm d épaisseur) Pré-osteoclaste Monocyte Pré-osteoblaste - Minéralisation après jours Ostéocyte Ostéoclaste Macrophage Ostéoblaste Cellules bordantes Ostéoide Os nouvellement formé Os vieux 9

10 Cycle de remodelage osseux (2) Cycle de remodelage osseux (3) Monocyte Pré-osteoclaste Pré-osteoblaste Pre-osteoblasts Ostéoclaste Osteoclasts Monocytes Osteoblasts Osteocytes Ostéocyte Macrophage Ostéoblaste Cellules bordantes Résorption Ostéoide Inversion Formation Os nouvellement formé Os vieux Quiescence Cycle de remodelage osseux (4) Lacune de résorption Pré-osteoblastes Ostéoclastes Monocytes Ostéoblastes Ostéocytes VII. Les techniques d investigation Les techniques d imagerie Différentes techniques : - Radiologie (rayons X) - Echographie (ultrasons) - Tomographie (rayons X) VII. Les techniques d investigation Tomodensitométrie - Coupe tomographique de l atténuation des rayons X - Détection électronique du signal et reconstruction en niveaux de gris - RMN (champ magnétique) 10

11 VII. Les techniques d investigation RMN VII. Les techniques d investigation Echographie - Résonance des atomes (protons) sous l action de radiofréquences - Ultrasons et variations d impédance des tissus VII. Les techniques d investigation Ostéodensitométrie - Absorption mono- ou bi-photonique, absorption X à double faisceaux - Mesure de l atténuation ou de l absorption par l os des rayonnements ionisants Fractures : les différents types - Fermées / ouvertes (intégrité du tégument) - Complètes / incomplètes (intégrité du périoste) - Forme : transversale, spiroïde (torsion), comminutive (plusieurs fragments), segmentaire (avec un fragment séparé des autres) Fractures : consolidation 5 étapes : - Phase de latence - Organisation - Formation d un cal - Remodelage - Solidification Ostéoporose : introduction Maladie systémique caractérisée par la diminution de la masse osseuse, avec détérioration de la microarchitecture, diminution de la résistance, risque accru de fracture, défaut de minéralisation et de synthèse de matrice collagène 11

12 Ostéoporose : physiopathologie Tissu osseux ostéoporotique - Relation inverse entre la densité minérale osseuse et la concentration en œstrogènes - Diminution de la formation osseuse au détriment de l augmentation de la résorption Ostéoporose : diagnostique - Variation de l architecture trabéculaire en fonction du stade de développement de l ostéoporose Ostéoporose : fracture - Augmentation de 15% du risque de fracture osseuse due à l ostéoporose dès 50 ans chez la femme Rachitisme et ostéomalacie - Rachitisme (chez les enfants), ostéomalacie (chez l adulte) : carence en vitamine D - Altération du processus normal de calcification Maladie de Paget - Épaississement de l os avec modification de la micro-architecture. -Difformité et fracture (colonne vertébrale) - Travées osseuses à disposition irrégulière 12

13 Tumeurs osseuses -Tumeurs primitives rares - Tumeurs secondaires : métastases (tumeurs du sein, poumon, prostate, rein, thyroïde) - Tumeurs bénignes : ostéochondrome, ostéome ostéoïde, tumeurs vasculaires, hémangiome, lymphangiome 13

sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière

sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station

Plus en détail

Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES

Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION

Plus en détail

Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte

Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte Processus de réparation osseuse : conséquences sur le délai de mise en contrainte Yann Macé 1 La consolidation osseuse est un processus qui aboutit à la réparation du tissu osseux après une fracture, une

Plus en détail

Sommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18

Sommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18 Sommaire Introduction 5 I. Des rappels anatomiques et physiologiques 6 A. Les cellules du tissu osseux 7 1. Les ostéoblastes 8 2. Les ostéocytes 8 3. Les cellules bordantes 9 4. Les ostéoclastes 9 B. La

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

Consolidation Osseuse principes généraux g applications en MPR

Consolidation Osseuse principes généraux g applications en MPR Consolidation Osseuse principes généraux g et applications en MPR François Genêt, Médecine Physique et de Réadaptation, R Praticien hospitalier dans le service du Pr Azouvi, CHU Raymond Poincaré,, 104

Plus en détail

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières

Plus en détail

L exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal

L exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système

Plus en détail

Sommaire. Caractéristiques du TCH. Implantation animale. Recul clinique. Généralités sur les céramiques phosphocalciques poreuses

Sommaire. Caractéristiques du TCH. Implantation animale. Recul clinique. Généralités sur les céramiques phosphocalciques poreuses Sommaire Caractéristiques du TCH composition chimique résistance en compression sécurité biologique biocompatibilité contamination Références bibliographiques Implantation animale Protocole Résultats ostéoconduction

Plus en détail

... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6. Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7

... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6. Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7 BIOLOGIE --1 LE SYSTÈME SQUELETTIQUE ET MUSCULAIRE CHEZ L HUMAIN BIO 5066-1 Novembre 2004 Table des matières Page INTRODUCTION... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6 Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les

Plus en détail

Généralités sur fractures, luxation et entorses

Généralités sur fractures, luxation et entorses Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques

Plus en détail

Activité physique et santé osseuse

Activité physique et santé osseuse L os est en remodelage perpétuel selon les contraintes auxquelles il est soumis. Activité physique et santé osseuse Avis du Comité scientifique de Kino-Québec Activité physique et santé osseuse Avis du

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara

Traumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées

L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées Mohamed Ahmed Samir Kassem Chef de clinique assistant Hôpitaux Universitaires d Alexandrie, Egypte INTRODUCTION La

Plus en détail

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer

Plus en détail

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?

La polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue? Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400

Plus en détail

Quel athlète ce squelette!

Quel athlète ce squelette! Quel athlète ce squelette! Situation d apprentissage sur le squelette humain Durée : 4 à 8 périodes Deuxième cycle du primaire 68 - Deuxième cycle du primaire Quel athlète ce squelette! Liens avec le Programme

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule

Plus en détail

Dossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches

Dossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches Dossier thématique de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE I Qu est ce que la thérapie cellulaire A - Approche de définition B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches

Plus en détail

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Les fractures chez les enfants un véritable casse-tête

Les fractures chez les enfants un véritable casse-tête L E S T R A U M A T I S M E S D U M E M B R E I N F É R I E U R Les fractures chez les enfants un véritable casse-tête 5 par Marie-Andrée Cantin Maxime, 11 ans, s est fait bousculer en jouant au soccer

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Articulations du coude et de l avant-bras

Articulations du coude et de l avant-bras Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

La fonction respiratoire

La fonction respiratoire La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux. 40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation

Plus en détail

Bases physiques de l imagerie en

Bases physiques de l imagerie en Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika

Plus en détail

Consolidation des fractures ostéoporotiques. oporotiques

Consolidation des fractures ostéoporotiques. oporotiques Consolidation des fractures ostéoporotiques oporotiques Jean-Marc Féron Service de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique Hôpital Saint Antoine Hôpitaux Universitaire Est Parisien UPMC-Sorbonne Universités,

Plus en détail

Cavité buccale et système dentaire

Cavité buccale et système dentaire Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression

Plus en détail

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021 Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

www.dondemoelleosseuse.fr

www.dondemoelleosseuse.fr Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)

Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Traitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS

Traitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS Actualisation 2006 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France F-93285 Sai nt-denis Cedex t él. +33 (0)1 55 87 30 00 www.afssaps.sante.fr

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Pathologies osseuses

Pathologies osseuses Rhumatologie version: 1.0 Pathologies osseuses A. Métabolisme osseux I. Remodelage osseux a. Constitution du T osseux Eau (10%) Protéines (20%) (Collagène de type I surtout) Minéral (70%) (hydroxyapatite)

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration

Plus en détail

La dysplasie fibreuse des os

La dysplasie fibreuse des os La dysplasie fibreuse des os La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous

Plus en détail

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

Extraits et adaptations

Extraits et adaptations Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

THÈSE. Antoine BOYER SYNTHESE, CARACTERISATION ET EVALUATION BIOLOGIQUE D'APATITES PHOSPHOCALCIQUES CARBO-SILICATEES.

THÈSE. Antoine BOYER SYNTHESE, CARACTERISATION ET EVALUATION BIOLOGIQUE D'APATITES PHOSPHOCALCIQUES CARBO-SILICATEES. NNT : 2014 EMSE 0739 THÈSE présentée par Antoine BOYER pour obtenir le grade de Docteur de l École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne Spécialité : Génie des procédés SYNTHESE, CARACTERISATION

Plus en détail

Plan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES

Plan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES Plan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES PRINCIPE DE BASE POUR LE COU On travaille sur environ 6 pouces qui retient la boîte crânienne et son contenu De

Plus en détail

Tendinopathie de la coiffe des rotateurs...164 L épaule gelée ou la capsulite rétractile...172 L'Arthroscopie...174 L'omarthrose primitive...

Tendinopathie de la coiffe des rotateurs...164 L épaule gelée ou la capsulite rétractile...172 L'Arthroscopie...174 L'omarthrose primitive... 1 Table des matières Table des matières...1 Introduction et généralités...4 Structures de l appareil locomoteur...5 La consultation et l examen clinique...12 Moyens thérapeutiques...14 Les matériaux en

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la

Plus en détail

Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org

Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans www.iofbonehealth.org QU EST-CE QUE L OSTÉOPOROSE? L ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, conduisant à une augmentation

Plus en détail

Accidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre

Accidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique

Plus en détail

Problèmes locomoteurs

Problèmes locomoteurs VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus

Plus en détail

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

w w w. m e d i c u s. c a

w w w. m e d i c u s. c a www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle

Plus en détail

Athénée Royal d Evere

Athénée Royal d Evere Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement

Plus en détail

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,

Plus en détail

Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical

Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal

Plus en détail

OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE

OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE www.grio.org L'ostéoporose est une maladie qui a été longtemps méconnue et dont les conséquences ont été sous estimées. On sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie

Plus en détail

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale.

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003

Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures

Plus en détail

TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013

TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 réalisée par les tuteurs, non contrôlée par les professeurs de l'ue NON OFFICIELLE QCM n 1 : A, B, D, E L homéocode odontogénique regroupe 4 principaux

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab

La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête

Plus en détail

Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies.

Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. LUDIVINE TASSERY 1ere S 5 Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. Lors de la seconde visite, Monsieur PAREIGE, nous a parlé des nanotechnologies et

Plus en détail

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu

Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Ergonomie au bureau. Votre santé avant tout

Ergonomie au bureau. Votre santé avant tout Ergonomie au bureau Votre santé avant tout L individu est unique, sa morphologie aussi. L aménagement ergonomique de la place de travail doit tenir compte des spécificités de chacun. Il permet d éviter

Plus en détail

Le cliché thoracique

Le cliché thoracique Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2

Plus en détail

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs

Plus en détail

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture 148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une

Plus en détail

Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos

Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos Appareil Thérapeutique pour le Soin du Dos des instruments ayant une très faible efficacité. Le Nubax Trio est maintenant soutenu par de nombreux brevets et distributeurs à travers le monde. Cet appareil

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION

PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du

Plus en détail

MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS

MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population

Plus en détail

LE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer

LE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent

Plus en détail

Questionnaire Médical

Questionnaire Médical Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

L isomorphisme entre les tours de Lubin-Tate et de Drinfeld et applications cohomologiques par Laurent Fargues

L isomorphisme entre les tours de Lubin-Tate et de Drinfeld et applications cohomologiques par Laurent Fargues Préambule.................................... xv Bibliographie... xxi I L isomorphisme entre les tours de Lubin-Tate et de Drinfeld et applications cohomologiques par Laurent Fargues Introduction...................................

Plus en détail

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est

Plus en détail

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE

ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

N09 Viaduc de Chillon

N09 Viaduc de Chillon Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail