Le Mouvement : Analyse et Pathologie. Le Mouvement : Analyse et Pathologie. Le Mouvement : Analyse et Pathologie. Le Mouvement : Analyse et Pathologie
|
|
- Maxime Moreau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lésions variées, Addition de plusieurs mécanismes Différents «aspects cliniques» / analyse stricte : Contrôle moteur volontaire force, sélection, précision, coordination Tonus des membres Spasticité, dystonies Contrôle postural et axial équilibre Troubles de la marche «Physiopathologie complexe, mais logique» Traitement complexe non univoque Objectifs du mouvement Déplacement Saisie Cible Mouvements : pourquoi? Mouvements : pourquoi? James Owens B Beamon Pyrrhos Dimas Mouvements : pourquoi? Marg Gummel Volley USA Mouvements : pour quels objectifs?? N Pessoa Tornado Olga Korbut 1
2 Contrôle moteur volontaire force, sélection, précision, coordination Tonus des membres Spasticité, dystonies Contrôle postural et axial équilibre Troubles de la marche Contrôle moteur volontaire force, sélection, précision, coordination troubles Tonus des membres Spasticité, dystonies Contrôle postural et axial équilibre Troubles du tonus après lésion Cérébrale Troubles de la marche Le contrôle du moteur repose sur 3 types de mécanismes Des mécanismes Réflexes Réaction stéréotypée à une stimulation sensorielle Circuits nerveux robustes Des mécanismes Automatiques Séquences motrices complexes Réseaux nerveux innés, pré programmés, édifiés /apprentissages Des mécanismes Volontaires Nécessitant une intention et une commande centrale Balistique - rapide - Lent (poursuite) 2
3 Troubles du tonus après lésion Cérébrale Le contrôle du moteur repose sur 3 types de mécanismes Mouvements : pour quels objectifs?? Ainsi dans une opération de saisie fine par la main : Tonus, posture et activité cinétique du bras et de l avant bras sont sous tendues par des mécanismes réflexes ou de programmation automatique Seule la manipulation digitale et sa précision sont sous la dépendance directe de l intention st de la volonté Contrôles Segmentaires Le muscle et son recrutement : Unités motrices Motoneurones spinaux - Sprouting Motoneurones spinaux Organisation: Proximo - distale Flexion -Extension 3
4 L organisation Spinale : des circuits segmentaires Contrôle d un muscle d un petit groupe de muscles 2) Générateur spinal de marche 4) Système proprio spinal C3-C4 1)Afférences au réflexe de Flexion 3) Synergie Quadriceps - Soléaire «schème extension» 5)Supra spinal -Motor Programs Postural Tone - Axial Tone 4
5 Projections Supra spinales Projections Supra spinales Contrôles Supra Spinaux L organisation Supra Spinale : est composée de nombreuses structures de la tige cérébrale et des aires corticales motrices et prémotrices Tractus cortico spinal Tractus cortico réticulaire Tractus réticulospinal dorsal -> système inhibiteur Tractus rubro spinal Tractus réticulo spinal medial -> système facilitateur Tractus vestibulo spinal lateral -> système facilitateur Tractus vestibulo spinal medial -> système facilitateur Tractus coerulospinal Neuro transmetteurs des projections supra spinales TRACTUS NEUROMÉDIATEUR RETICULO SPINAL NORADRENALINE, ADRÉNALINE, DOPAMINE, SÉROTONINE, Acides Aminés Excitateurs RUBRO SPINAL Acides Aminés Excitateurs VESTIBULO SPINAL CORTICO SPINAL GLUTAMATE,Acides Aminés Excitateurs Projections Supra spinales, activation séquentielle des motoneurones spinaux Le contrôle du moteur repose sur 3 types de mécanismes «Conception hiérarchisée de Huglings Jackson» Cervelet Moelle Spinale Tronc Cérébral Noyaux gris de la base Thalamus Cortex sensori-moteur Muscles et récepteurs 5
6 L organisation Supra Spinale : est composée de nombreuses structures de la tige cérébrale et des aires corticales motrices et prémotrices Tractus cortico spinal Tractus cortico réticulaire Tractus réticulospinal dorsal Tractus rubro spinal Tractus réticulo spinal ventral Tractus vestibulo spinal lateral Tractus vestibulo spinal medial Tractus coerulospinal 6 Animal décortirqué 5 Animal thalamique 4 Animal mésencéphalique 3 Animal décérébré transrubrique 2 Animal mediopontique trigéminal 1 Animal spinal Th: thalalmus, CS: colliculus supérieur,ci: colliculus inférieur, R: noyau rouge, CE: cervelet, V: racine du trijumeau Répertoire atteint? Importance de l atteinte? Quelles potentialités? 1) Contrôle volontaire 2) Contrôles automatiques 3) Contrôles réflexes 4) Somatognosie, négligence 5) Fonctions cognitives 6) Tonus axial, équilibre 7) Marche 1) Contrôle volontaire Déficience du mouvement Distal / Proximal Contrôle du mouvement Dissociation Précision Rapidité Parasitage du mouvement Schèmes, spasticité Syncinésies 2) Contrôles automatiques Schèmes moteurs Spontanés, attitudes Activés / mouvement volontaire mouvement de la tête stimulation périphérique Incidence 3) Contrôles réflexes Spasticité localisation quantification incidence Réflexes de flexion Réflexes d extension 4) Somatognosie, négligence 5) Fonctions cognitives 6
7 Troubles de la coordination 6) Tonus axial, équilibre réactions d équilibration, parachute, NEM 7) Marche Principes de rééducation Eviter la survenue d incidents néfastes Déterminer un objectif fonctionnel et sa qualité quelle circuiterie entraîner? Reprogrammation neuro motrice quelles sorties avec quelles entrées? Notions de facilitation / inhibition Principes de rééducation Utiliser les réflexes ou schèmes primaires procubitus. Verticalisation réflexes à point de départ cervical Récupération proximo distale Schèmes et postures d inhibition Cibles distales et utilisation des informations tactiles Création d engrammes par répétitions multiples Supported treadmill ambulation training (Visitin - Barbeau, Hesse) Constraint induced movement therapy (Taub) Pharmacology? 7
Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailExamen neurologique de l enfant
Examen neurologique de l enfant 2 SYSTÈMES ANATOMIQUEMENT DISTINCTS différents dans la chronologie de leur maturation Système SOUS CORTICOSPINAL Issu du Tronc cérébral Archaïque Maintient de la posture
Plus en détailDéfinition. Spasticité. physiopathologie. Le réflexe d étirement. Spastikos : étirer
Définition Spasticité Physiopathologie et aspects cliniques Docteur Jacques Luauté Service de Rééducation Neurologique Professeur Dominique Boisson Hôpital Henry Gabrielle Spastikos : étirer «la spasticité
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailReprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives
Reprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives Professeur Bernard BUSSEL Service de Rééducation Neurologique, Hôpital Raymond Poincaré 92380 GARCHES Tel. 01 47 10 70
Plus en détailLa musculation en période hivernaleeeee
Centre de formation CR4C Roanne Flash performance n 2 (entraînement, biomécanique, nutrition, récupération ) Réalisé par Raphaël LECA & Jean-Charles ROMAGNY www.culturestaps.com La musculation en période
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailLES MARCHES HEMIPLEGIQUES
LES MARCHES HEMIPLEGIQUES Camille PETIT 1 1 : Camille PETIT, CH ANNECY (74) LES MARCHES HEMIPLEGIQUES I. INTRODUCTION La capacité à marcher est l'aboutissement de l'interaction entre une personne, l'environnement
Plus en détailChapitre 9 TONUS ET MOTRICITE
1 ère partie : Neuroanatomie fonctionnelle Chapitre 9 TONUS ET MOTRICITE La physiologie du mouvement comprend la motricité, les réflexes et le tonus musculaire. Les mécanismes qui contrôlent le mouvement
Plus en détailAllégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2
Allégez la charge! Dossier d enseignement: Soulever et porter des charges Exercices de consolidation niveau 2 Objectif Les apprenants soulèvent et portent des charges correctement. Public-cible - Des apprenants
Plus en détailEtirements des chaînes musculaires postérieure et antérieure.
Interprétation des tests sécuritaires Document réalisé par Jean Marc Blanc responsable de la préparation physique sur le pôle France d Antibes Mars 2002 Ratio abdominaux / psoas : Trois cas se présentent
Plus en détailApport de l AQM, en pratique clinique, dans les indications d appareillage chez l enfant Paralysé Cérébral (PC)
Apport de l AQM, en pratique clinique, dans les indications d appareillage chez l enfant Paralysé Cérébral (PC) Principes de l AQM Paramètres Spatio-Temporaux Left Right Cadence 116 ± 4.63 steps/min 116
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailDémystifier l évaluation de la fonction neurologique dans la pratique infirmière
Démystifier l évaluation de la fonction neurologique dans la pratique infirmière Par Mélanie Bérubé Conseillère en soins spécialisés Orthopédie - trauma Objectifs: Approfondir ses connaissances en lien
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailRééducation après accident vasculaire cérébral
17-046-U-10 Rééducation après accident vasculaire cérébral A.-P. Yelnik, I.-V. Bonan, O. Simon, M.-C. Gellez-Leman La rééducation après accident vasculaire cérébral (AVC) est efficace. Elle a pour objectif
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détail9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014. ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos
9e Colloque SST Sherbrooke, 14 mai 2014 ASFETM Ergonomie - TMS - Prévention des maux de dos par Charbel Mawad, M.Sc. Hygiéniste industriel / Ergonome ASFETM Association sectorielle - Fabrication d équipement
Plus en détailLa préparation physique en basket- ball Gilles COMETTI (2002)
La préparation physique en basket- ball Gilles COMETTI (2002) 1 Les conditions : 1) Respecter la santé de l athlète. 2) Mettre la condition physique à sa place. 1) LES PRINCIPES DE LA PREPARATION PHYSIQUE
Plus en détailDÉFINITIONS. Motricité. Robert Rigal ÉDUCATION MOTRICE DE L ENFANT DE 4 À 11 ANS
ÉDUCATION MOTRICE DE L ENFANT DE 4 À 11 ANS Robert Rigal DÉFINITIONS Motricité Ensemble des fonctions qui assurent les mouvements autogénérés d un organisme; Étude des mouvements humains et de leurs caractéristiques
Plus en détailLa mécanique sous le capot
La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques
Plus en détailAmputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy
Amputations partielles traumatiques de la main Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles de la main Introduction Amputation et répercussions psychologiques Principes de rééducation
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailGuide Utilisateur. Sommaire
F Guide Utilisateur 1 2 3 4 5 7 8 9 10 11 12 Sommaire Les touches et les voyants Les codes d accès Les signaux sonores Mise sous surveillance totale Arrêt Mise sous surveillance partielle SOS et Feu Carillon
Plus en détailA.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES
Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPsychomotricité : Développement psychomoteur de l enfant
Université Pierre et Marie Curie Psychomotricité : Développement psychomoteur de l enfant Première année 2003-2004 Nelly Thomas Mise à jour : 12 décembre 2002 2/37 Psychomotricité : Développement psychomoteur
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailINSTITUT DE FORMATION EN MASSO KINESITHERAPIE CHU DE BORDEAUX. Jérémy Bodinier
INSTITUT DE FORMATION EN MASSO KINESITHERAPIE CHU DE BORDEAUX Jérémy Bodinier Etude de faisabilité sur l utilisation d une table de verticalisation pour évaluer la verticale subjective chez des patients
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailREEDUCATION DU POST-PARTUM
Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailApport des retours sonores à la rééducation du membre supérieur chez l'hémiplégique
Université Paris Sud Université Paris Descartes Master Sciences du Sport et de la Motricité Spécialité «Vieillissement Handicap Mouvement et Adaptation» M1 Année 2011-2012 Apport des retours sonores à
Plus en détailRééducation dans la sclérose en plaques. Guide pratique à l usage des kinésithérapeutes
Rééducation dans la sclérose en plaques Guide pratique à l usage des kinésithérapeutes SOMMAIRE Introduction P.3 La sclérose en plaques : P.4 Modes évolutifs et principaux signes cliniques Principes de
Plus en détailC EST QUOI LE STRESS?
C EST QUOI LE STRESS? Une réaction d adaptation «Le stress est la réponse non spécifique de l organisme à toute demande d adaptation qui lui est faite». Hans Selye Une réaction d adaptation Par exemple,
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailAnnée de campagne : 2015 N appel à candidatures : 1520 Publication : Publication prévue le : 21/04/2015
Appel à candidatures : Année de campagne : 2015 N appel à candidatures : 1520 Publication : Publication prévue le : 21/04/2015 Etablissement : UNIVERSITE DE PAU Lieu d'exercice des fonctions : Tarbes Section1
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailExtraits et adaptations
Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailMal de dos et plongée sous-marine
Juillet 2004 Mémoire d instructeur national Page 1/76 SOMMAIRE 1 REMERCIEMENTS...4 2 INTRODUCTION...5 3 ANATOMIE ET BIOMECANIQUE...6 3.1 INTRODUCTION...6 3.2 NOTIONS ELEMENTAIRES D ANATOMIE...7 3.2.1 AXE
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailClaude Karger Anne Sophie Kesseler
Claude Karger Anne Sophie Kesseler Docteur, j ai mal au dos!! Faites de la natation, ça va passer Mythe ou réalité? Les poissons souffrent-ils du dos? A priori, non. Pourquoi? Ne sont pas soumis à la pesanteur!!
Plus en détailMINI-SÉANCE D EXERCICES POUR LE DOS ET LA POSTURE
MINI-SÉANCE D EXERCICES POUR LE DOS ET LA POSTURE Avertissement : Ce document n a pas la prétention de tout dire sur les maux de dos car il faudrait pour cela qu il ait la taille d un livre. Les exercices
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailPLAN RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION. Contrôle de la phase pendulaire. Par Jos DECKERS
PLAN de RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION Contrôle de la phase pendulaire Par Jos DECKERS 02 Sommaire LA RÉÉDUCATION Objectifs : Pour que le patient puisse utiliser correctement l articulation,
Plus en détailExemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville
DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On
Plus en détailLe mal de dos est décrit par de nombreux auteurs
Carrière et mal de dos, la nécessaire prévention Les professionnels des métiers de la petite enfance sont particulièrement confrontés au fléau social qu est le mal de dos. Touchant près de 80 % de la population
Plus en détailEtude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)
Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une
Plus en détailL ELECTRICITE : SON IMPLICATION DANS LE FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET DANS LES SOINS
LES RENDEZ-VOUS PRESSE DU NEURODON L ELECTRICITE : SON IMPLICATION DANS LE FONCTIONNEMENT DU CERVEAU ET DANS LES SOINS Dossier réalisé avec l aide des : Professeur Yehezkel BEN ARI Directeur de l INMED
Plus en détailLes troubles musculosquelettiques du membre supérieur
LE POINT DES CONNAISSANCES SUR LE POINT DES CONNAISSANCES SUR Que ce soit dans l industrie ou dans le tertiaire, le risque de TMS des membres supérieurs est omniprésent. Raphaël Dautigny Gaël Kerbaol ED
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détaildos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n
dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous
Plus en détailSWISSTRANSPLANT. Fondation nationale suisse pour le don et la transplantation d organes. Fondée en 1985. Informations : Tel.
SWISSTRANSPLANT Fondation nationale suisse pour le don et la transplantation d organes Fondée en 1985 Informations : Tel. 0800 570 234 2 2 Historique de la transplantation rénale Evénements marquants Dates
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailE D I T I O N 2 0 0 8. Comprendre Agir DT 49
E D I T I O N 2 0 0 8 Comprendre Agir DT 49 PREVENTION DES TMS ( TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES) COMPRENDRE - AGIR Objectifs du document Ce document est un outil pour faciliter le repérage du risque TMS
Plus en détailLe patient ouvre les yeux et regarde dans. Les yeux ouverts, mais l esprit absent. Médecine
NEUROBIOLOGIE «Il faut parler à une personne dans le coma» entend-on souvent dans les films.tout dépend de ce qu on appelle coma. Entre l état végétatif, où le patient peut encore remuer, sourire ou sursauter
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailProjet de recherche. Patrick Gendron, B. Sc. Pht Clinique de médecine du sport CHUM et Université de Montréal patrick.gendron.1@icloud.
Projet de recherche Retour au jeu chez des athlètes ayant subi une lésion des ischio-jambiers : valeur prédictive des mesures de l intégrité musculaire obtenue par échographie et des mesures cliniques
Plus en détailL OUTIL NUMERIQUE CARACTERISTIQUES ET FONCTIONNALITES
L OUTIL NUMERIQUE CARACTERISTIQUES ET FONCTIONNALITES Aujourd hui, le numérique est partout. Il se retrouve principalement dans les nouvelles technologies, mais également dans l art, les livres, notre
Plus en détailKinésithérapie et réadaptation pour les patients PSH Retour d'expérience 2006-2012. Alaitz AMEZQUETA kinésithérapeute + Équipe de rééducation
Kinésithérapie et réadaptation pour les patients PSH Retour d'expérience 2006-2012 Alaitz AMEZQUETA kinésithérapeute + Équipe de rééducation Anniversaire ASL Paris 26 mai 2012 Présentation de l'équipe
Plus en détailUn être en développement, un sujet en devenir : réflexions autour de la pertinence d un regard psychomoteur sur l accompagnement d enfants Infirmes
Un être en développement, un sujet en devenir : réflexions autour de la pertinence d un regard psychomoteur sur l accompagnement d enfants Infirmes Moteurs Cérébraux Paul Sandrez To cite this version:
Plus en détailLa prévention c est pour la vie! LES MAUX DE DOS. La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé
D O S S I E R S P É C I A L LES MAUX DE DOS La colonne vertébrale : un assemblage bien pensé La source du mal Éviter les maux de dos Écouter son corps Quand la douleur demeure : les maux de dos chroniques
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP
MIEUX COMPRENDRE LE HANDICAP CONTEXTE Selon la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées «Art. L. 114. - Constitue un
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailProtocole pour l évaluation des patients inclus dans l'étude
LA SCOLIOSE DANS LE SYNDROME D ANGELMAN DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET SUIVI GUIDE PRATIQUE Ecrit par: Dr Anita Nogarol (Médecine de rééducation fonctionnelle); Michela Santin (Kinésithérapeute); Dr Giovanna
Plus en détailGuide utilisateur. Sommaire
Guide utilisateur Sommaire Glossaire 3 Les touches et les voyants 4 Les codes d accès 5 Les signaux sonores 6 Mise sous surveillance totale 7 Arrêt 7 Mise sous surveillance partielle 8 SOS et Feu 8 Carillon
Plus en détailOnde P50 dans la schizophrénie
37-285-A-14 Onde P50 dans la schizophrénie E. Houy, F. Thibaut Certains troubles cognitifs présentés par les patients schizophrènes sont interprétables en termes de dysfonctionnement du traitement de l
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailLes circuits neuronaux responsables du Sommeil paradoxal
Les circuits neuronaux responsables du Sommeil paradoxal Pierre-Hervé Luppi DIU Physiologie et Pathologie du Sommeil, Lyon, Jeudi 18 Décembre 2014 Le sommeil paradoxal est présent chez le chat pontique
Plus en détailSuva Sécurité durant les loisirs Case postale, 6002 Lucerne. Renseignements Tél. 041 419 51 11
«Top 10» de l hiver Suva Sécurité durant les loisirs Case postale, 6002 Lucerne Renseignements Tél. 041 419 51 11 Commandes www.suva.ch/waswo-f Fax 041 419 59 17 Tél. 041 419 58 51 Auteurs Dr Hans Spring,
Plus en détailDéveloppement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage
Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailDéficit moteur et/ou sensitif des membres
1 Item 301 Déficit moteur et/ou sensitif des membres I. UN TROUBLE DE LA MOTILITÉ PEUT AVOIR DE NOMBREUSES CAUSES NON NEUROLOGIQUES II. L ORIENTATION DIAGNOSTIQUE, FACE À UN DÉFICIT MOTEUR OU SENSITIF
Plus en détailLE RESSENTI SUBJECTIF DU PATIENT «VESTIBULAIRE» VS L ETUDE DE LA REFLECTIVITE VESTIBULAIRE
D.I.U. REEDUCATION FONCTIONNELLE DE L EQUILIBRE UFR 067 MEDECINE P. M. CURIE LE RESSENTI SUBJECTIF DU PATIENT «VESTIBULAIRE» VS L ETUDE DE LA REFLECTIVITE VESTIBULAIRE Guilhem VIGUIER Masseur- Kinésithérapeute
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailLe système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE -
1 Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - Par Isabelle Simonetto, Dr en Neurosciences Introduction Le yoga considère depuis toujours le ventre, et plus particulièrement l estomac
Plus en détailLe tremblement orthostatique primaire TOP
Le tremblement orthostatique primaire TOP La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailExemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant atteinte de déficience mentale et d épilepsie
UNIVERSITE PAUL SABATIER FACULTE DE MEDECINE TOULOUSE RANGUEIL Institut de formation de psychomotricité Exemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détail