Le contrat de soins :
|
|
- Jeanne Drapeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le contrat de soins : Expérience de mise en place d un outil d interdisciplinarité. Éléments de réflexion tirés d un mémoire de fin d étude d ergothérapie sur l intérêt et les limites du contrat de soins dans la prise en charge du patient.
2 I - EXPERIENCE DE MISE EN PLACE D UN OUTIL D INTERDISCIPLINARITE
3 Le Contrat de soins au CMPR les Baumes : une adaptation du P3I mise en place en mai 2006 auprès de patients AVC. (population nombreuse et régulière + prise en charge pluridisciplinaire)
4 Le P3I a été mis au point par l Institut de Réadaptation de Montréal (équipe Pr BOULANGER) Le P3I est un modèle de planification et de coordination des interventions de différents membres de l équipe pluridisciplinaire. Le P3I comprend : L identification des besoins, à partir de recueils de données réalisés par chaque corps professionnel susceptible d intervenir auprès du patient. Mise en commun lors d une synthèse en présence du patient et de la famille. Formalisation d objectifs généraux contractualisés avec le patient et sa famille. Identification du type d interventions requises et des personnes responsables de leur réalisation. La durée des interventions ainsi que les résultats attendus. Le P3I est une approche conceptuellement normalisée sur un modèle international de l OMS (classification internationale des déficiences, incapacités et handicap) synthétisant l évaluation par les différents intervenants des problèmes organiques, psychologiques, fonctionnels et environnement spécifique à un patient.
5 Objectifs de ce programme : Réaliser des évaluations fiables (évaluations pour chaque professionnel concerné) Cibler des objectifs quantifiables en identifiant les moyens employés et les intervenants concernés. Formaliser un contrat écrit. Intervention active du patient et de la famille dans ce projet de soins (connaissance du projet, accord, souhaits, implication, etc)
6 Travail de préparation a été réalisé en amont en 3 groupes : Un groupe constitué par les responsables de service, chargé de définir et d organiser les étapes du processus de réalisation du contrat de soins. Un groupe constitué par les représentants de toutes les catégories de professionnels, chargé de définir les outils nécessaires à la mise en œuvre du processus Un groupe médical, rassemblant les 4 médecins, chargé d ajuster les outils, le processus et de les valider.
7 P R O C E S S U S C O N T R A T D E S O IN S - L A D A P T C M P R «L E S B A U M E S» - V A L E N C E m a r d i 2 2 a o û t E n t r é e d u p a tie n t M é d e c in B ila n c o m p le t d e l é ta t d u p a tie n t & e n to u r a g e m é d ic a l in fo r m a tio n s u r la m is e e n p la c e d u c o n tr a t d e s o in s & e x p lic a tio n s F ic h e m é d ic a le d e n t r é e T o u s le s p r o fe s s io n n e ls R e c u e il d e d o n n é e s, d e s b e s o in s e t d e s a tte n te s d u p a tie n t F e u ille d é v a lu a t io n P r o fe s s io n n e ls P r e m iè r e R é u n io n : 1 h P r é s e n ta tio n d e s r é s u lta ts d e s é v a lu a tio n s e t p r o p o s itio n d e s o b je c tifs P r o fe s s io n n e ls / p a tie n t & fa m ille S e c r é ta ir e m é d ic a le C o n c e r ta tio n e t d é fin itio n d e s o b je c tifs g é n é r a u x e t s p é c ifiq u e s e t le s a c tio n s à m e n e r a in s i q u e le s d é la is P r io r is e r le s in te r v e n tio n s e t d é fin ir la fr é q u e n c e d e p r is e e n c h a r g e d e s p r o fe s s io n n e ls R é d ig e r le c o n tr a t d e s o in s d é fin ir la d a te d e la p r o c h a in e r é u n io n T a b le a u d o b je c t if s P la n p a r d is c ip lin e à jo u r e t C o n t r a t d e s o in s r e d é f in i C h a q u e p r o fe s s io n n e l A p p lic a tio n d u c o n tr a t s u r 6 s e m a in e s P r o fe s s io n n e ls R é u n io n d e s u iv i : 1 h R é é v a lu a tio n d u p a tie n t e t é ta t d e s lie u x d e s o b je c tifs É v a lu a tio n d e l a tte in te d e s o b je c tifs P r o fe s s io n n e ls / p a tie n t & fa m ille P o u r s u ite d e s o b je c tifs n o n a tte in ts E t/o u R e n o u v e lle m e n t d u c o n tr a t R e d é fin itio n d e n o u v e a u x o b je c tifs P la n p a r d is c ip lin e à jo u r e t C o n t r a t d e s o in s r e d é f in i C h a q u e p r o fe s s io n n e l A p p lic a tio n d u c o n tr a t s u r 6 s e m a in e s P r o fe s s io n n e ls R é u n io n d e s u iv i n : 1 h R é é v a lu a tio n d u p a tie n t e t é ta t d e s lie u x d e s o b je c tifs N O N P a tie n t s o r ta n t? P r o fe s s io n n e ls / p a tie n t & fa m ille O U I P r é p a r a tio n d e la s o r tie In fo r m a tio n p a tie n t e t e n to u r a g e C o n t r a t d e s o in s c lô t u r é P a g e 1 S o r t ie d u p a t ie n t
8 Objectifs spécifiques Résultats attendus Actions à entreprendre Interventions Date Intitulé Intitulé Echéancier Intitulé No Début Fin Notes personnelles:
9 Intérêts et limites Intérêts - rencontre plus précoce avec la famille - patient acteur de la prise en charge - mise en commun des connaissances et compétences de l équipe pluridisciplinaire - support écrit auquel l équipe peut s appuyer sur la prise en charge - implication de toute l équipe autour du patient et famille Limites Aspect chronophage du processus Changement de pratiques (évaluations régulières avec notions de délai) nécessitant une réelle volonté de tous. Difficulté du dialogue professionnel (notion d écoute) Nécessité d un dialogue commun Implication de tous les professionnels.
10 LE CONTRAT DE SOINS: Interdisciplinarité ou multidisciplinarité? Une vigilance nécessaire pour faire «vivre» le contrat de soins: Un tel changement de pratique nécessite la vigilance de chaque professionnel pour que le document «contrat de soins» soit réellement utilisé comme un outil pratique de la prise en charge auquel chaque professionnel se réfère avec l intervention active du patient et de la famille. La réussite de ce modèle tient dans la capacité de chacun à prendre en compte constamment les objectifs fixés par le contrat.
11 LE CONTRAT DE SOINS: Interdisciplinarité ou multidisciplinarité? L interdisciplinarité: «Une méthodologie commune aux différentes disciplines pour décrire une même réalité. Chaque membre est jugé comme compétent et pertinent pour la planification et prestation des services. Il existe une coordination d équipe acceptée par tous» Dans la réalité, cette définition s avère difficile à mettre en place (déséquilibre d intervention de professionnels, problème de reconnaissance, habitudes de travail fortement ancrées, etc ) Un modèle bénéfique pour le patient et l équipe mais qui nécessite des actions d amélioration au long cours afin que ce modèle conceptuel devienne un réel modèle de pratique.
12 II - Éléments de réflexion tirés d un mémoire de fin d étude d ergothérapie sur les bénéfices du contrat de soins dans la prise en charge du patient.
13 Problématique abordée : En quoi l application du Plan d Intervention Interdisciplinaire Individualisé, dans un centre de rééducation et de réadaptation, permet-il de favoriser le processus de retour à domicile? Hypothèses : - Hypothèse 1 : les échanges et donc les interactions ergothérapeute/patient/famille peuvent se mettre plus facilement en place grâce au PIII - Hypothèse 2 : le PIII permet un meilleur accompagnement des réactions familiales par la mise en place d une relation d aide - Hypothèse 3 : la confrontation à la réalité par ces réunions PIII active le processus de deuil - Hypothèse 4 : le PIII facilite le processus de retour à domicile.
14 3 types de questionnaires adressés à : des ergothérapeutes qui travaillent dans des structures utilisant le P3I (dont les ergothérapeutes du CMPR Ladapt Les baumes) 3 patients et leur famille qui ont bénéficié du contrat de soins 3 patients et leur famille qui n ont pas bénéficié du contrat de soins Nous traiterons uniquement les questionnaires des professionnels (thème de l interdisciplinarité) Réponses de 17 ergothérapeutes
15 Cadre d utilisation du PIII Les patients et leurs proches sont accueillis lors de réunions PIII. Utilisation d un vocabulaire commun ou vocabulaire commun et médical expliqué. Quelle réelle compréhension pour le patient et sa famille? Les soignants ne sont pas forcément les mêmes d une réunion sur l autre. Et dans ce cas, 41,18% des ergothérapeutes interrogés disent se faire remplacer. Comment les patients et les familles vivent-ils cela? Comprennent-ils le rôle de chaque professionnel?
16 Hypothèse 1 : les échanges et donc les interactions ergothérapeute/patient/famille peuvent se mettre plus facilement en place grâce au Contrat de soins. Question 1 Question 2 Question 3 Oui tout à fait Oui plutôt ST Oui Non pas vraiment Non pas du tout ST Non 5,56% 33,33% 11,11% 72,22% 55,56% 61,11% 77,78% 88,89% 72,22% 16,67% 5,56% 22,22% 5,56% 5,56% 5,56% 22,22% 11,11% 27,78% Question 1 : Observez-vous une participation plus importante de la famille? Question 2 : A votre avis, le PIII facilite t-il les échanges entre famille/patient/professionnel? Question 3 : Est-ce que vous pensez que les échanges ergothérapeute/ patient/ famille sont facilités?
17 Suite hypothèse 1: Réponses concernant la prem ière hypothèse 24,44% Total oui Total non 75,56% Remarques : -Les échanges paraissent être facilités, car il y a une convergence des objectifs en toute transparence. -Quelle participation le patient peut-il avoir lorsqu il présente des troubles du langage? -Le vécu des patients et des familles n est pas toujours positif face à ce fonctionnement.
18 Hypothèse 2 : le contrat de soins permet un meilleur accompagnement des réactions familiales par la mise en place d une relation d aide Question 4 Question 5 Question 6 Question 7 Question 8 Oui tout à fait 27,78% 22,22% 16,67% 33,33% 9,09% Oui plutôt 33,33% 55,56% 38,89% 55,56% 90,91% ST Oui 61,11% 77,78% 55,56% 88,89% 100,00% Non pas vraiment 33,33% 22,22% 38,89% 5,56% 0,00% Non pas du tout 5,56% 0,00% 5,56% 5,56% 0,00% ST Non 38,89% 22,22% 44,44% 11,11% 0,00% Question 4 : Depuis que vous utilisez le PIII, pensez-vous qu il a favorisé la collaboration entre les différents personnels de santé? Question 5 : Pensez-vous que grâce à l interdisciplinarité, vous arrivez à mieux comprendre chaque famille, dans son vécu et ses difficultés? Question 6 : Trouvez-vous que depuis l instauration du PIII dans votre centre, il y a plus de temps prévu pour échanger avec les familles? Question 7 : Pensez-vous que l implication du patient et de sa famille dans le projet de rééducation et de réadaptation améliore la relation de confiance mise en place avec les professionnels? Question 8 : Pensez-vous que les rencontres lors de réunions PIII avec les familles, facilitent la mise en place d une relation d aide dans le processus de retour à domicile?
19 Quelques remarques : Interprofessionnalité paraît favorisée car il y a : -Plus de partages -Plus de reconnaissance du travail des autres -Mais certains ergothérapeutes mettent en avant que la collaboration avec les infirmiers et aides soignants est parfois difficile. -Certains expliquent également que la collaboration et le travail en équipe ne dépend pas de cet outil, mais simplement du travail d équipe qui existait avant.
20 Conclusion Face aux réponses des professionnels cet outil paraît bénéfique pour le travail d équipe, sous la condition que tous se sentent impliqués et investissent ce nouveau fonctionnement. Du côté des patients et leur famille, le fonctionnement paraît plutôt adapté.mais comment perçoivent-ils ces réunions? Et si le fonctionnement ne leur convient pas, quelles propositions peuvent être alors faites?
curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE
Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailComment régler un litige avec son vendeur de produits financiers?
Comment régler un litige avec son vendeur de produits financiers? Elsa Aubert Direction des relations avec les épargnants Le 16 novembre 2011 2 Plan de la présentation I Auprès de qui réclamer? 1. L interlocuteur
Plus en détailPACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation
PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur
Plus en détailLa formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain.
La formation au Leadership Clinique a-t-elle transformé l infirmière en chef de mon unité de soins? Ressenti d un infirmier de terrain. Olivier Guissard,, infirmier en unité de pneumologie, en charge de
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailN u m é rit a b - A d m in is tra tio n d u n p a rc d e ta b le tte s P ré s e n ta tio n p a r P a tric k D e m ic h e l L e 6 m a i 2 0 1 4
N u m é rit a b - A d m in is tra tio n d u n p a rc d e ta b le tte s P ré s e n ta tio n p a r P a tric k D e m ic h e l L e 6 m a i 2 0 1 4 Canopé : Création Accompagnement Nouvelle Offre Pédagogique
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailLot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010
Lot 4: Validation industrielle Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Partenaires Lot 1 Modèle du processus métier L4.1 Modèles PSM Lot 2 Guide d implantation L4.2 Développement & Recette prototype Lot
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailUn besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent
Plus en détailBERNADETTE YVENAT, SURVEILLANTE-CHEF FACILITEUR MONIQUE RAPPY, SURVEILLANTE-CHEF, : SYLVIE BONNIN, I.D,.E. C.H.R.U. LIMOGES
R ECHERCH,E-ACTON MONQUE RAPPY, SURVELLANTE-CHEF, : SYLVE BONNN,.D,.E. C.H.R.U. LMOGES BERNADETTE YVENAT, SURVELLANTE-CHEF FACLTEUR EXPÉRENCE MENÉE AU CENTRE HOSPTALER DE LMOGES SERVCE DE RÉÉDUCATON ET
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailChapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION
Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o
Plus en détailOpenLDAP : retour d expérience sur l industrialisation d annuaires critiques
Intervention du 29 Avril 2004 9 h 15 10 h 45 M. Sébastien Bahloul Chef de projet Expert Annuaire LDAP bahloul@linagora.com OpenLDAP : retour d expérience sur l industrialisation d annuaires critiques Plan
Plus en détailAssociation pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées. www.ladapt.net
www.ladapt.net Association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées L ADAPT - association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées - œuvre au quotidien
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLe décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT
Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT «Le registre des modifications» UWE «90 minutes pour l environnement» DGO3 - DPA Mons Wavre - Jeudi 10 mai 2012. B. Bequet 1 Plan de l exposé
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailVILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010. -ooo-
VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010 -ooo- La s é a n c e e s t o u v e r t e s o u s l a p r é s i d e n c e d e M o n s i e u r J e a n - P a u l BR E T, M a i r e d e V i l l e u r
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES _ SANTÉ Professions de santé Arrêté du 23 septembre 2014 relatif à la création d une annexe «Supplément au diplôme» pour les formations
Plus en détailFrançoise TRUFFY, Présidente de la CDAPH 94. Bonjour,
Françoise TRUFFY, Présidente de la CDAPH 94 Bonjour, Je me présente : J ai une formation de base d ergothérapeute et d infirmièreassistante sociale spécialisée en psychiatrie et comme pour faire, j ai
Plus en détailPASS v2.0 : solution d authentification unique basée sur les composants Shibboleth Service Provider v2.5.1 et Identity Provider v2.3.
PREM IE R M IN IS T R E Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale Agence nationale de la sécurité des systèmes d information PASS v2.0 : solution d authentification unique basée sur
Plus en détailMÉMOIRE PORTANT SUR LE PROJET DE LOI N O 50 :
Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines Mémoire présenté à la Commission des institutions Mars 2008 La
Plus en détailM.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex
M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex ÉDITO «La loi rappelle que le pouvoir de décision en matière
Plus en détailTableau de bord économique du tourisme en Maurienne Hiver 2005/2006
Tableau de bord économique du tourisme en Maurienne Hiver 2005/2006 Modane, 15 décembre 2006 François VICTOR 1 Les points à traiter Quel bilan pour l activité touristique en Maurienne pour l hiver 2005/2006?
Plus en détailLe rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative
Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailAccueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!
Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry
Plus en détailREFERENTIEL DE CERTIFICATION
REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) d'assistance en Informatique Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailPrévention des TMS-MS dans les entreprises de moins de 50 salariés. Dr Olivier PALMIERI
Prévention des TMS-MS dans les entreprises de moins de 50 salariés Dr Olivier PALMIERI Introduction La prévention des troubles musculo-squelettiques des membres supérieurs est l un des deux axes retenus
Plus en détaildans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR
DES PROFESSIONNELS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE proches de chez vous Roanne 31-33 rue Alexandre Raffin 42300 Roanne Autonomie 53 rue de la République 42600 Montbrison 23 rue d'arcole 42000 Montbrison
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailUn exemple d étude de cas
Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui
Plus en détailASSURANCE-INVALIDITE Notions de bases
L Assurance-Invalidité (LAI) ASSURANCE-INVALIDITE Notions de bases 1. Quelques principes importants de l AI 2. La 5 ème révision de l AI (01.01.2008) service social 1 service social 2 L Assurance-Invalidité
Plus en détailL ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE
N 220 - ROUFIDOU Irini L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE Pendant notre recherche du D.E.A., nous avons étudié l acquisition du langage chez le tout petit en
Plus en détailSa mise en œuvre relève d une décision unilatérale de l entreprise, ce n est pas une obligation légale. Quand et comment le mettre en place?
Finalité C est un outil de management et de gestion des ressources humaines. Bien mené, il permet d échanger, de motiver, d évaluer les résultats, de fixer des objectifs et les moyens pour les atteindre.
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailSur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé
«Pour l amélioration de la qualité, la gestion des risques et l évaluation en Loire Atlantique et Vendée» Sur le Chemin des Attentes des Usagers : le Projet Personnalisé L organisation et la planification
Plus en détailRésultats d enquête. L épuisement professionnel (Burn Out Syndrom) Qu en pensez-vous? Vous sentez-vous concerné? En partenariat avec
Résultats d enquête Dr Régis MOURIES, Président En partenariat avec L épuisement professionnel (Burn Out Syndrom) Qu en pensez-vous? Vous sentez-vous concerné? Conférence de Presse du 25/11/14 Philippe
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailCONSULTANTE CADRE ERGOTHERAPEUTE FORMATRICE
ANNE MOREAU 2, rue Blainville 75005 PARIS Tél. 06 28 34 58 05 annmor@hotmail.fr Nationalité française, née le 23/08/59, mariée, 1 enfant CONSULTANTE CADRE ERGOTHERAPEUTE FORMATRICE CADRE ERGOTHERAPEUTE
Plus en détailPERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones
PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation
Plus en détailL EXPÉRIENCE CLIENT QUI SONT VOS CLIENTS?
ASSOCIATION DES GESTIONNAIRES DE PARCS IMMOBILIERS CRÉER UNE EXPÉRIENCE DE SERVICE EXCEPTIONNELLE CONFÉRENCE PRÉSENTÉE PAR LOUIS FABIEN, PROFESSEUR HEC MONTREAL LE 29 SEPTEMBRE 2010 PLAN DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailQUI PEUT DEMANDER UNE VIGNETTE DE STATIONNEMENT?
Avant de faire votre demande de vignette, n oubliez pas que le Code de la sécurité routière autorise un conducteur à arrêter son véhicule dans un endroit normalement interdit pour permettre à une personne
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»
CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailDESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI
DESCRIPTION DES STRESSEURS LIÉS AUX SOINS DE FIN DE VIE CHEZ LES INFIRMIÈRES OEUVRANT EN USI Céline Gélinas, inf., Ph.D., Marie-Anik Robitaille, M.A., Lise Fillion, inf., Ph.D. & Manon Truchon, Ph.D. Dans
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailPLANIFICATION ET BUDGÉTISATION
PLANIFICATION ET BUDGÉTISATION Alberto Escudero Pascual Ce que cette unité vous dit... Un budget n'est pas une requête pour du financement... Un bon plan nécessite un bon budget... Un bon budget montre
Plus en détailService des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques
Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques En 2013, le Conseil des arts du Canada a publié le Document d'information : Révision des programmes de subventions de fonctionnement
Plus en détailDifférencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.
Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailRéflexions autour d un RESUME DE SORTIE pour les soins infirmiers
Annexe 4 Réflexions autour d un RESUME DE SORTIE pour les soins infirmiers («résumé de soins infirmiers») Juin 2006 Table des matières Table des matières... 2 Avant-propos... 3 1. Le processus de sortie
Plus en détailLES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé
SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert
Plus en détailREFERENTIEL DE CERTIFICATION
REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) Médiation Services Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL DU
Plus en détailRapport de certification ANSSI-CSPN-2011/14. Fonctionnalités de pare-feu de StoneGate Firewall/VPN 5.2.4 build 8069
PREM IE R M IN IS T R E Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale Agence nationale de la sécurité des systèmes d information Rapport de certification ANSSI-CSPN-2011/14 Fonctionnalités
Plus en détailInstitut de Formation en Ergothérapie de Rennes
1 Introduction, le cadre du projet pédagogique 2. Le projet pédagogique prépare ce que seront les professionnels de demain 2.1. Le premier axe d analyse 2.2 Le deuxième axe 2.3 Le troisième axe 2.4 Conclusion
Plus en détailGuide de rédaction des notes d'évolution à l'intention des intervenants psychosociaux
Guide de rédaction des notes d'évolution à l'intention des intervenants psychosociaux Le bien-fondé du dossier de l usager Le dossier de l usager a plusieurs raisons d être : Il répond à une exigence de
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailPROJET DE TÉLÉMEDECINE
PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90
Plus en détailAPPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES
APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un
Plus en détailCONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES
CONDITIONS POUR LE PRÊT D ÉQUIPEMENT AU SERVICE DES AIDES TECHNIQUES Publication initiale mise en vigueur : 9 septembre 2014 Destinataires : Clientèle, intervenants du Service des aides techniques, intervenants
Plus en détailProjet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et
Plus en détail«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailCAHIER DE PROGRAMME SOINS INFIRMIERS (180.A0)
CAHIER DE PROGRAMME SOINS INFIRMIERS (180.A0) DIPLÔME D ÉTUDES COLLÉGIALES (DEC) Pour obtenir un diplôme d études collégiales, vous devez avoir satisfait aux trois conditions suivantes : 1. Avoir réussi
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailLa notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION
La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détail2. L origine et les menaces pesant sur le changement
Gestion de changements et de crise Dilemmes et solutions Habil. Dr. NOSZKAY Erzsébet Maître de conférence responsable de filière Université Szent István Faculté des Sciences Economiques et Sociales, Gödöllő
Plus en détail«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»
IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailLA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN
LA DEMARCHE DE SOINS INFIRMIERE N.LANNEE CADRE FORMATEUR IFSI CHU ROUEN définition Démarche de soins = processus de soins Processus intellectuel, Mode de pensée logique et rigoureux, Résolution de problème
Plus en détailRéseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM
Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailINF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES. Guide d étude
INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES Guide d étude Sous la direction de Olga Mariño Télé-université Montréal (Québec) 2011 INF 1250 Introduction aux bases de données 2 INTRODUCTION Le Guide d étude
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailCe document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la
Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 2010 Ce fichier nu m é r i q u e ne peut être repr o d u i t, représe
Plus en détailAuditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM
Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Sommaire Introduction... 3 Les éléments internes essentiels à auditer... 4 Le dimensionnement de l infrastructure... 4 Les factures...
Plus en détailLe retour au travail après une absence prolongée en
Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailprofessionnelle Fiche pratique Préparateur en pharmacie hospitalière Avril 2010 Fiche pratique professionnelle du Synprefh INTRODUCTION
Fiche pratique professionnelle du Synprefh Préparateur en pharmacie hospitalière Fiche pratique professionnelle INTRODUCTION En milieu hospitalier comme à l officine, les préparateurs en pharmacie sont
Plus en détailConseiller implantation de logiciel Milieu de la santé Supérieur immédiat : Vice-président opérations
Poste En bref : En tant que Conseiller implantation de logiciel chez Gestion Portail Santé, vous pourrez contribuer à la croissance d une entreprise reconnue pour moderniser les résidences de personnes
Plus en détail