Qualité de l air au voisinage des grands axes routiers essonniens
|
|
- Lucien Vincent
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Qualité de l air au voisinage des grands axes routiers essonniens Dans le cadre de sa politique de prévention des pollutions, le Conseil Général de l Essonne a souhaité approfondir sa connaissance de l impact local sur la qualité de l air du trafic routier généré le long des grands axes traversant son territoire. L étude commandée à AIRPARIF visait ainsi à : - quantifier les émissions de polluants dues au trafic routier, - définir l influence sur la qualité de l air ambiant essonnien de la pollution générée par les grands axes routiers traversant le département (zone d impact de ces axes en général et selon le degré d urbanisation alentour, mais aussi en fonction des directions de vent), - évaluer les niveaux de pollution en Essonne ainsi que le risque de dépassement des objectifs de qualité définis par la réglementation, en 25 comme en 21. Pour Airparif, ce travail qui s inscrit dans la ligne initiée par l étude de l impact sur la qualité de l air de l échangeur de Bagnolet permet de progresser sur le sujet stratégique de la qualité de l air à proximité des autoroutes urbaines. Ce document présente les principaux enseignements de cette étude. Une démarche unique L étude menée par Airparif repose sur une démarche innovante faisant appel aux meilleures techniques de surveillance actuellement disponibles et reposant sur la combinaison : - de mesures sur le terrain : Du 23 novembre au 21 décembre 25 une campagne de mesure importante a été déployée le long de la Francilienne (N14) et de l autoroute A1 avec 4 sites de mesure instrumentés d échantillonneurs passifs (fournissant des concentrations moyennes sur quinze jours pour le benzène et le dioxyde d azote) et deux laboratoires mobiles (apportant une information sur l évolution horaire des niveaux d oxydes d azote, de particules et de monoxyde de carbone et permettant l analyse de ces niveaux en fonction des conditions météorologiques). Au cours de cette campagne, des mesures ont été effectuées perpendiculairement de part et d autre de ces deux axes routiers (soit trois transects par axe) pour évaluer la décroissance de la pollution en fonction du degré d urbanisation aux alentours de ces routes. Ces éléments ont été complétés par les résultats du réseau de stations fixes d Airparif dans le département (4 stations). - avec des outils de modélisation : Ces outils permettent d évaluer les émissions générées par le trafic et les niveaux de pollution tout au long des principaux axes essonniens. Ces outils sont également utilisés pour faire des cartes de concentration et évaluer le risque de dépassement des normes françaises et européennes de qualité de l air en 25 et, couplés à des hypothèses prospectives, en 21. Quantités de polluants atmosphériques émises par l Essonne et contribution du trafic routier à ces émissions L Essonne se caractérise par des différences de densité de population et d activités économiques bien marquées entre le Nord et le Sud. Cette hétérogénéité se retrouve lorsque l on s intéresse à la répartition géographique des émissions départementales de polluants atmosphériques. Emissions en tonnes/km 2 Les émissions sont plus importantes en densité dans le nord du département, secteur qui fait partie de l agglomération parisienne. Elles décroissent ensuite au fur et à mesure que l on s en éloigne. Les principaux axes routiers traversant le territoire essonnien (A1, A6, N14, N2 et N118) et quelques sources industrielles très localisées ressortent également clairement comme l illustre la carte ci-contre des émissions d oxydes d azote qui sont des traceurs de la pollution émise par les transports. Carte des émissions d oxydes d azote en tonnes/km2 sur l Essonne (source: cadastre des émissions AIRPARIF/DRIRE, année de référence 2) 1
2 De façon un peu plus marquée que pour l Ile-de-France dans son ensemble, les émissions 1 de polluants atmosphériques de l Essonne sont majoritairement dominées par le transport routier qui est responsable de : 61% des émissions d oxydes d azote du département (contre 52% en moyenne sur l Ile-de-France), 79% des émissions de monoxyde de carbone (contre 77% en Ile-de-France), et 42% des émissions de particules (contre 36% au niveau régional). Si l on s intéresse plus en détails aux émissions de polluants provenant des quatre principales voies de circulation de l Essonne en 25, on constate qu à elles seules l A6, l A1, la N14 et la N2 contribuent à la moitié des émissions engendrées par le trafic routier du département pour les particules et les oxydes d azote et un tiers des émissions de benzène et de monoxyde de carbone. Cette différence entre les particules et les oxydes d azote d un côté, et le monoxyde de carbone et le benzène de l autre, peut s expliquer par les vitesses et les conditions de circulations. Les émissions d oxydes d azote et de particules sont d autant plus importantes que la vitesse des véhicules augmente, en particulier au-delà de 7 km/h. A l inverse, les émissions en monoxyde de carbone et de benzène sont très dépendantes de la fluidité du trafic. Ces polluants seront produits en plus forte quantité en situation de congestion et lorsqu il y a une proportion élevée de véhicules dont les moteurs sont froids. Des axes de circulation rapide présentent donc des émissions d oxydes d azote et de particules plus importantes que celles de monoxyde de carbone et de benzène. Chacun de ces quatre axes se caractérise par un trafic et un kilométrage qui lui est propre. Pour prendre en compte cette différence et pouvoir ainsi comparer chacune de ces voies de circulation, les émissions calculées pour chacune d entre elles doivent être exprimées pour un véhicule «standard 2» empruntant l axe considéré sur un kilomètre (voir figure ci-dessous) Emission en NOx d'un véhicule " moyen" présent sur les dif férents axes ét udiés Emission en particules (PM 1) d'un véhicule " moyen" présent sur les différents axes étudiés Pour les oxydes d azote et les particules (PM1), l autoroute A6 présente les émissions au kilomètre parcouru les plus élevées, tout en restant très proches de celles de la N14 et de l A1. Sur la nationale 2, ces émissions sont par contre plus faibles (d environ 2% pour les émissions d oxydes d azote et 4% pour les émissions de particules). Emissions au kilomètre (en mg/km) d un véhicule «moyen» parcourant l A6, l A1, la N14 et la N2 en 25 1 Source : inventaire et cadastre régional des émissions réalisé par AIRPARIF, avec le soutien de la DRIRE, dans le cadre du Plan de Protection de l Atmosphère Ile-de-France et portant sur l année 2. 2 Véhicule «standard» ou «moyen» : véhicule représentatif des caractéristiques moyennes de l ensemble des véhicules empruntant l axe considéré, telles que le type de véhicule (véhicules utilitaires légers, véhicules particuliers, poids lourds, deux roues ) et la motorisation associée (essence, diesel, catalysé ou non). 2
3 Concernant le monoxyde de carbone et le benzène, les émissions unitaires de l A6, la N14 et l A1 sont toujours similaires mais la N2 se distingue cette fois par les émissions unitaires les plus élevées : +29% pour les CO et +8% pour le benzène par rapport aux 3 autres axes. Emission en CO d'un véhicule " moyen" présent sur les diff érent s axes étudiés Emission en benzène d'un véhicule " moyen" présent sur les dif férents axes ét udiés Les conditions de trafic expliquent à nouveau ces différences entre chacune des quatre voies : les autoroutes A6 et A1 et la Francilienne (N14) se caractérisent par des vitesses de circulation plus élevées et un pourcentage plus fort de poids lourds entraînant des émissions unitaires d oxydes d azote et de particules en quantité plus importante. A l inverse, la nationale 2 présente une vitesse de circulation plus faible et des conditions de circulation moins fluides (feux tricolores, passage en ville ), ainsi qu une proportion de véhicules dont le moteur est froid plus importante, qui expliquent que la quantité de monoxyde de carbone et de benzène produite sur cet axe soit plus élevée. Toutefois, il n existe pas de correspondance simple et directe entre la quantité de polluants émis dans l atmosphère (estimée par un inventaire des émissions) et leur concentration dans l air ambiant dont dépend la qualité de l air respiré (mesuré par des stations et évalué par des outils de modélisation). Si la qualité de l air dépend en grande partie de la quantité de polluants émis, les réactions chimiques dans l atmosphère et les conditions météorologiques (qui peuvent jouer un rôle aggravant, lors des épisodes de pollution notamment, ou au contraire de dilution par le vent et la pluie) interviennent également de façon importante. NO2 µg/m3 Qualité de l air en Essonne et impact du trafic Les cartes de pollution annuelle de l Essonne montrent que les niveaux les plus élevés sont relevés d une manière générale sur le Nord du département, en particulier le long des grands axes routiers du département (A6, A1 et Francilienne), et donc dans les zones où l urbanisation et le trafic génèrent les densités d émission les plus importantes comme montré précédemment. Dans le Sud du département, l influence de l agglomération parisienne n est en revanche plus perceptible et les grands axes routiers deviennent moins visibles. Niveaux de pollution dans l Essonne Objectif de qualité Lorsque l on considère les niveaux de pollution le long des axes routiers et la pollution ambiante, le dioxyde d azote apparaît comme le polluant le plus problématique en Essonne. C est d ailleurs également le cas pour l agglomération parisienne en général. Toutefois, la superficie concernée par un dépassement de l objectif de qualité défini par la réglementation pour ce polluant (4 µg/m 3 en moyenne annuelle) ne concernait que 13,5 km 2, soit moins de 1% du territoire départemental. Le nombre d habitants concernés par ce dépassement est évalué à 3% de la population essonnienne (environ 33 habitants). Cartes du niveau moyen annuel de dioxyde d azote évalué pour l année 25 sur l Essonne (en µg/m 3 ). 3
4 D une manière générale, les normes en matière de qualité de l air pour les polluants traceurs du trafic routier sont respectées sur une très large part du territoire essonnien en 25 (ce n est par contre pas le cas à Paris et en proche banlieue). Seules quelques zones très proches des axes les plus chargés, et donc impactés par ces axes, sont problématiques : aux abords de l extrémité Nord de l autoroute A1, de la partie Nord de l A6 et du tronçon de la N14 compris entre Evry et Saint- Germain-lès-Corbeil. Niveaux de pollution spécifiquement le long des axes routiers Pour appréhender au mieux l impact sur la qualité de l air des principaux axes routiers essonniens, une évaluation des concentrations a été réalisée le long de ces axes pour les polluants représentatifs de la pollution engendrée par le trafic routier. Cette évaluation est basée sur la complémentarité des résultats issus des outils de modélisation et de ceux obtenus par des mesures (campagne de mesure et résultats du réseau de stations fixes d Airparif). Pour l ensemble des polluants, les valeurs présentées par les cartes ci-dessous sont obtenues par modélisation et correspondent à la somme de la pollution engendrée directement par les émissions du trafic routier de l axe considéré et de la pollution ambiante de la zone correspondante. Concentrations annuelles le long des principaux axes de circulation de l Essonne en 25, Les axes figurant en orange et en rouge indiquent que les objectifs de qualité réglementaires sont dépassés. Dioxyde d azote Benzène Particules PM1 Lorsque l on ne prend en compte que la pollution le long des principaux axes routiers essonniens, les niveaux de pollution sont supérieurs aux objectifs de qualité réglementaires : sur 9% (147km) du réseau routier modélisé pour le dioxyde d azote (par comparaison, 23 km dépassent cet objectif à Paris et en petite couronne, soit les deux tiers de leur réseau routier), 2% (3km) pour le benzène, et 1% (14km) pour les particules. Pour l ensemble des polluants, les concentrations les plus importantes concernent les routes au Nord du département et qui font donc partie de l agglomération parisienne. Pour le dioxyde d azote et les particules, les niveaux les plus élevés sont généralement évalués sur les parties d autoroute dont le nombre journalier de véhicules est le plus important. Quant au benzène et au monoxyde de carbone, les teneurs les plus fortes sont localisées sur des axes caractérisés par une circulation non négligeable, mais surtout congestionnés et dont la configuration est défavorable à la dispersion des polluants (route encaissée par exemple). Zoom sur la francilienne et l A1 : définition de leur zone d impact Des mesures ponctuelles ont été menées aux abords de l A1 et de la Francilienne. Elles avaient pour objectif de déterminer l étendue de leur zone d impact pour des environnements assez représentatifs de l urbanisation le long de ces deux voies de circulation en Essonne. Ces mesures indiquent que 4
5 l influence directe des axes apparaît limitée à moins de 2 mètres pour le dioxyde d azote et moins de 1 mètres pour le benzène. Pour le monoxyde de carbone et les particules, la zone d impact est encore plus réduite puisque les mesures n ont pas mis en évidence d impact significatif de ces deux grandes routes au-delà d une distance comprise entre 5 et 1 m. La mise en place de mesures dans un environnement particulier aux abords de l A1, caractérisé par la présence d un mur anti-bruit et d une haie végétale, a montré un effet bénéfique de ces équipements. Dans la configuration étudiée, ils réduisaient la zone d impact identifiable de l A1 à quelques dizaines de mètres. En règle générale, l étendue de la zone d impact d un axe routier varie en fonction du degré d urbanisation avoisinant. Plus l environnement urbain à proximité de l axe est dense et plus la décroissance des niveaux de pollution au fur et à mesure que l on s éloigne de cet axe sera lente et la zone d impact importante. Ces observations confirment et complètent les conclusions d études précédentes menées par AIRPARIF (porte de Bagnolet ou Charenton par exemple). Quelles perspectives pour 21? Dans le cadre de l étude demandée par le conseil général de l Essonne, Airparif a évalué l évolution de niveaux de pollution ambiante dus au dioxyde d azote de 2 à 21. Pour l échéance 21, les principales mesures réglementaires de réduction de la pollution d ores et déjà engagées au niveau français et européen ont été prises en compte ainsi que les mesures envisagées dans le cadre du plan de protection de l atmosphère francilien soumis à enquête publique en 25. Deux cas ont été distingués pour réaliser cette prévision, en fonction de deux types de conditions météorologiques : - une année 21 avec des conditions météorologiques plutôt favorables à la dispersion de la pollution (du type de l année 2 ou de l année 22, plutôt venteuses et pluvieuses), - une année 21 dont les conditions météorologiques seraient plutôt défavorables (du type de l année 23 avec des vents et une pluviométrie faibles et des températures plus élevées). En l absence d hypothèses suffisamment robustes sur l évolution du trafic dans le département, cette évaluation n a pu être faite que pour les niveaux de pollution ambiants. Evolution attendue des niveaux de pollution annuelle ambiante en dioxyde d azote (µg/m 3 ) entre 2 et 21 En 2 En 25 Les cartes ci-dessous illustrent l évolution des niveaux ambiants de dioxyde d azote entre 2 et 25 et les perspectives 21 en fonctions des conditions météorologiques. Les concentrations de dioxyde d azote diminuent entre 2 et 25. Cette tendance se vérifie d ailleurs à l échelle de toute l Ile-de-France et provient essentiellement de l amélioration technique des véhicules. Estimations pour 21 Une même tendance à la baisse est prévue pour 21, notamment en cas de conditions météorologiques favorables. En cas d année météorologique défavorable, 21 devrait être semblable à 25 avec une légère hausse des niveaux de pollution à l extrémité Nord du département. avec une météorologie favorable. avec une météorologie défavorable Objectif de qualité 5
Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailEtude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg
Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailCARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012
CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux
Plus en détailLIAISON A50 A57 TRAVERSEE
LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailExposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles
Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé
Plus en détailÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN
ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère
Plus en détailVéhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès
Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailBILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011
18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détailL autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?
L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée
Plus en détail1. Cadrages de l étude et précisions méthodologiques 1.1 Le modèle de déplacements de la DRIEA
DRIEA Septembre 2010 ÉTUDES POUR LE DÉBAT PUBLIC SUR LE GRAND PARIS SYNTHESE DES ÉTUDES DE TRAFIC Cette note dresse un bilan synthétique des études de trafic réalisées par la DRIEA pour évaluer l efficacité
Plus en détailIncitations financières véhicules 2014
Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules
Plus en détailTOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée
TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection
Plus en détailDossier de presse. Création de l observatoire sanef 1 ère étude scientifique des comportements au volant sur autoroute JUILLET 2012
Dossier de presse SOMMAIRE Présentation...3 Une étude scientifique pour dresser un état des lieux des comportements sur autoroute...4 L occupation des voies : des résultats venant confirmer l importance
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailDOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES
DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions
Plus en détailDid you know... that trucks give you the freedom to live wherever you want? «Le saviez-vous?» Faits et chiffres sur le camionnage en Europe
Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever you want? «Le saviez-vous?» Faits et chiffres sur le camionnage en Europe 1 Did you know... that trucks give you the freedom to live wherever
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailP.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE
Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
Département de la Sarthe Cartes de bruit stratégiques Grandes infrastructures de transports Réseau autoroutier COFIROUTE Résumé non technique Article R 572-5 du code de l environnement Vu pour être annexé
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détail1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km
CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire
Plus en détailDépartement de l ARIEGE
LES RAPPORTS BUREAU VERITAS Bureau Veritas 12 rue Michel Labrousse Bât 15 BP 64797 31047 TOULOUSE CEDEX 1 Dardilly, le 12 juillet 2012 Département de l ARIEGE Elaboration des cartes de bruit stratégiques
Plus en détailRecensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes
Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Estimation du potentiel de développement SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 2014 avec le soutien de Enquête 2014 Pour la seconde fois
Plus en détailEXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH
EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! POUR DE MEILLEURS PNEUS SUR LES ROUTES SUISSES S exprimer lors du choix des pneus? Donner son
Plus en détailCartes de bruit stratégiques
RAPPORTS CETE Normandie Centre LRB Laboratoire Régional de Blois Affaire 131550 Cartes de bruit stratégiques Réseau routier national de l'eure Résumé non technique Article 3 du décret du 24 mars 2006 Novembre
Plus en détailEt si on utilisait le vélo?
Et si on utilisait le vélo? Marc Eloy Ivan Derré Juillet 2014 Paris peut elle devenir comme Copenhague une capitale symbole du déplacement en vélo? Le développement du Vélib, la mise en place de voies
Plus en détailStratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Christophe RIPERT, Directeur immobilier, SOGARIS Cette présentation porte sur des exemples concrets d
Plus en détailCahier des Clauses techniquesparticulières
ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE
Plus en détailPage 2 Routes départementales - département de LA CREUSE - Elaboration des cartes de bruit stratégiques
Rapport Sommaire 1. TEXTES DE REFERENCES... 3 2. OBJET DE L ETUDE... 3 3. CONTENU DES CARTES DE BRUIT STRATEGIQUES... 4 1.1. Documents graphiques... 4 4. METHODE DE CALCUL ET PARAMETRES RETENUS... 4 1.2.
Plus en détailPROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES
PROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES 1 LE BUS DU FUTUR EST SUISSE Grande première suisse et même mondiale, TOSA est un bus articulé à batterie rechargeable pour la desserte des villes. L'énergie de propulsion
Plus en détailProjet CoDrive : utilisation des données de véhicules communicants, intégration avec un système de gestion de trafic (119)
Projet CoDrive : utilisation des données de véhicules communicants, intégration avec un système de gestion de trafic (119) Résumé : La diffusion large des smartphones et des suivis dédiés de flottes de
Plus en détailEnquête globale transport
Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les
Plus en détailLa sécurité routière en France Bilan de l année 2007
La sécurité routière en France Bilan de l année 2007 Hôtel de Roquelaure 18 juin 2008 Jean CHAPELON Secrétaire général de l Observatoire national interministériel de sécurité routière (ONISR) La sécurité
Plus en détailTechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr
Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes
Plus en détailRésumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB
Comparaison des émissions de CO 2 par mode de transport en Région de Bruxelles-Capitale Résumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB 100% Papier recyclé Janvier 2008 Résumé Déplacer
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailCerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique
Cerea Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Laboratoire commun École des Ponts ParisTech / EDF R&D Université Paris-Est Le Cerea : une cinquantaine de chercheurs sur trois
Plus en détailLe réseau de transport public du
Un nouveau réseau de transport structurant pour la Région Capitale Le projet soumis au débat : 155 kilomètres de métro automatique en double boucle, pour relier rapidement Paris et les pôles stratégiques
Plus en détailArt. 8, al. 3 OCR Routes à plusieurs voies, circulation à la file 3
Règles et situations exceptionnelles Dépasser par la droite? Ravaldo Guerrini (Texte et graphiques) Dépasser par la droite, c est quoi finalement? Quand peut-on ou non devancer ou dépasser par la droite?
Plus en détailConsultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19
Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT
Plus en détailÉtude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux
Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailLes Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail
ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailEtat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe
Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe La conjoncture immobilière en Guadeloupe est au vert depuis les 6 dernières années. Ce boom immobilier concerne aussi l immobilier d entreprises
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détail5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE
LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril
Plus en détailPrédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8
Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailEvolution de la fiscalité des carburants
Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),
Plus en détailAppuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports
Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Jérôme CICILE Transports, Mobilité, Qualité de l Air ADEME Direction Régionale PACA ORT- Avril 2015 De l évaluation des filières énergétique
Plus en détailEvaluation des infrastructures de recharge nécessaires.
Déploiement de véhicules électriques à l horizon 2020 Evaluation des infrastructures de recharge nécessaires. Le remplacement d ici à 2020 de 15 % des voitures suisses par des véhicules électriques permettrait
Plus en détailINSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET
DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailImplantation économique, foncier et immobilier d entreprise
Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailInventaire des émissions de gaz à effet de serre 2002-2003 Collectivité montréalaise
Inventaire des émissions de gaz à effet de serre 2002-2003 Collectivité montréalaise Peut être reproduit en tout ou en partie à condition d en citer la source : Logé, H. (2006), Inventaire des émissions
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Evolution des commerces à Paris. Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014
DOSSIER DE PRESSE Evolution des commerces à Paris Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014 Contacts presse : Ville de Paris : Marie Francolin : presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 CCI Paris :
Plus en détailLes principales méthodes d évaluation
Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation
Plus en détailDISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)
DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailConstruisons ensemble une innovation territoriale à Charly
Construisons ensemble une innovation territoriale à Charly 20 mars 2012 10h-13h Avec le soutien de Déroulement de la réunion 10h-10h15 : Tour de table et Introduction 10h15-10h35 : La genèse du projet
Plus en détailDONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ
PARTIE 6 # DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ / LES ACCIDENTS ET LES USAGERS Les accidents et les usagers Selon les modes de déplacement 161 DONNÉES GÉNÉRALES D
Plus en détail2004 2014 : un risque a chassé l autre
2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailBILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS
DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS C-4052 DOSSIER STATISTIQUE BILAN 2001 DES TAXIS, DES AUTOBUS ET DES CAMIONS ET TRACTEURS ROUTIERS Service des
Plus en détailJ.9. Annexe DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE
LIGNE 16 : NOISY CHAMPS < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 17 : LE BOURGET RER < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 14 : MAIRIE DE SAINT-OUEN < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE BLEUE) DOSSIER
Plus en détailSurveiller la qualité de l air avec les élèves
Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailLa traction électrique Une réponse. Vers de nouvelles formes de mobilité. Mobilité : vue d ensemble. Mobilité durable : les ingrédients
La traction électrique Une réponse aux nouvelles formes de mobilité? d après un document de Pierre Lavallée 1 Plan Mobilité : vue d ensemble Mobilité durable : les ingrédients Les transports avancés :
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailMesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations
Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie
Plus en détailjáëé=éå=çéìîêé=çé=ä~=çáêéåíáîé OMMOLQVL`b
jáëé=éå=çéìîêé=çé=ä~=çáêéåíáîé OMMOLQVL`b `~êíéë=çé=äêìáí=ëíê~í ÖáèìÉë= dê~åçë=~ñéë=êçìíáéêë=çì=ç é~êíéãéåí= ÇÉ=ä~=`çêê òé o ëé~ì=êçìíáéê=å~íáçå~ä =o~ééçêí=çé=ëóåíü ëé ~ÑÑ~áêÉ=kø=SP=MT=NVQQV=a=PQU pééíéãäêé=ommu
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailEvaluation de modèles pour la simulation de la pollution à proximité des axes routiers
Modélisation et traitements numériques Evaluation de modèles pour la simulation de la pollution à proximité des axes routiers Novembre 2007 Programme 2007 A. Wroblewski (EMD), V. Riffault (EMD), J-Y. Chatelier
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE
ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailAccidents à un seul véhicule sans piéton
Accidents à un seul véhicule sans piéton Synthèse Les données utilisées pour cette fiche sont plus particulièrement issues de l Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière (ONISR) dont
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.378 Liège, le 13 mars 2006 Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT Avis du CWEDD portant
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailQuestionnaire eevm. échange école ville montagne. www.parc-du-vercors.fr/eevm/
Questionnaire eevm échange école ville montagne www.parc-du-vercors.fr/eevm/ Répondre aux questions. Il y a 3 types de réponses en fonction des types de questions. - Questions fermées à réponse unique
Plus en détailZone pavée destinée aux usagers des autobus et pouvant comprendre un banc ou un abri.
Lexique: Sondage des Actifs Arrêts de transport en commun Nombre d'arrêts munis des commodités mentionnées : Les catégories suivantes reflètent le nombre d'arrêts munis des commodités mentionnées, et non
Plus en détail