Expertise biologique du lagon d Uvea (Wallis et Futuna)
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- Carole Lafond
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1 UNIVERSITE DE LA NOUVELLE-CALEDONIE Laboratoire d Etude des Ressources Vivantes et de l Environnement Marin Expertise biologique du lagon d Uvea (Wallis et Futuna) Rapport final 2. Le benthos des fonds meubles lagonaires et le plancton Service de l Environnement de Wallis et Futuna Avril 2001 UNIVERSITE DE LA NOUVELLE-CALEDONIE Laboratoire d Etude des Ressources Vivantes et de l Environnement Marin
2 Expertise biologique du lagon d Uvea (Wallis et Futuna) Rapport final 2. Le benthos des fonds meubles lagonaires et le plancton Ce rapport a été réalisé par Laurent Wantiez, Maître de Conférences Les analyses de laboratoire ont été réalisées par Emmanuel Coutures, Technicien Service de l Environnement de Wallis et Futuna Avril 2001 SOMMAIRE SOMMAIRE...2 RESUME...4 INTRODUCTION...7 2
3 1. MATERIEL ET METHODES SITE D ETUDE STRATEGIE D ECHANTILLONNAGE TECHNIQUES D ECHANTILLONNAGE FONDS MEUBLES LAGONAIRES PLANCTON TRAITEMENT DES ECHANTILLONS BENTHOS ET MATIERE ORGANIQUE SEDIMENTAIRE Mégabenthos Macrobenthos Meiobenthos Matière organique sédimentaire PLANCTON RESULTATS FONDS MEUBLES LAGONAIRES MÉGABENTHOS MACROBENTHOS MEIOBENTHOS MATIERE ORGANIQUE SEDIMENTAIRE PLANCTON SYNTHESE ET DISCUSSION FONDS MEUBLES BENTHOS MATIERE ORGANIQUE SEDIMENTAIRE PLANCTON RECOMMANDATIONS ET PERSPECTIVES REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES LISTE DES FIGURES LISTE DES TABLEAUX...37 ANNEXES...38 CARACTERISTIQUES DU MEGABENTHOS EPIBENTHIQUES DES FONDS MEUBLES DU LAGON D UVEA. 38 CARACTERISTIQUES DES COMMUNAUTES MACROBENTHIQUES DES FONDS MEUBLES DU LAGON D UVEA 43 2
4 CARACTERISTIQUES DES COMMUNAUTES MEIOBENTHIQUES DES FONDS MEUBLES DU LAGON D UVEA. 51 CARACTERISTIQUES DES COMMUNAUTES PLANCTONIQUES DU LAGON D UVEA. 52 3
5 RESUME Ce rapport présente le deuxième volet d une expertise biologique du lagon d Uvéa (Wallis et Futuna), réalisée en septembre 1999, à la demande du Service de l Environnement du Territoire, afin de définir un programme d étude et de suivi des écosystèmes récifolagonaires. Il concerne le benthos des fonds meubles lagonaires et le plancton. Le lagon a été divisé en 4 secteurs. Le benthos a été étudié dans chaque secteur, sur 4 stations de la zone intertidale jusqu à la zone interne du récif barrière. Le mégabenthos (>2 cm) a été échantillonné en plongée sur 100 m², le macrobenthos (de 2.5 mm à 2 cm) a été échantillonné à l aide d une benne (3 réplicats de m²) et le meiobenthos par 3 carottes de 4.91 cm² de section sur 5 cm de profondeur. Le plancton a été échantillonné au niveau du lagon intermédiaire dans chaque secteur ainsi que dans les passes de Honikulu et Fugauvea. Un trait oblique de 20 minutes a été réalisé à l aide d un filet de 200 microns de maille et de m² d ouverture. Les organismes ont été triés, identifiés, et dénombrés au plus bas niveau taxonomique possible pour le mégabenthos et au niveau de 15 groupes zoologiques pour le macrobenthos. Le meiobenthos a été extrait par centrifugation. Les biomasses en poids frais (f), poids sec (s) et poids sec sans cendres (ssc) ont été calculées pour le méga, le macro et le meiobenthos ainsi que pour le plancton. La matière organique sédimentaire a également été déterminée. Trente sept taxons mégabenthiques ont été recensés sur les 1600 m² échantillonnés. Cette valeur n est pas représentative de la diversité mégabenthique totale du lagon d Uvéa mais permet d analyser la variabilité spatiale de ces peuplements. Le mégabenthos se caractérise par taxon/station, individus/100 m², 2.79 gf/m², 1.29 gs/m² et gssc/m². Les caractéristiques moyennes des communautés macrobenthiques sont de 7.56 taxon/station, individu/m², gf/m², gs/m² et gssc/m². Ces indices présentent une forte variabilité d une station à l autre. Les communautés mégabenthiques sont dominées par les mollusques, les crustacés ou les échinodermes selon les indices considérés. Les mollusques, les macrophytes et les échinodermes dominent dans le macrobenthos. Les biomasses moyennes de meiobenthos sont de gf/cm², gs/cm² et gssc/cm². Elles ne présentent pas de variations spatiales significatives. La matière organique représente en moyenne 4.06% du sédiment. Ce pourcentage est relativement stable si la station 21 (Liku) n est pas prise en compte. Ces caractéristiques générales sont globalement conforment à ce qui est observé dans la région Pacifique tropicale. Toutefois, le nombre de points de comparaisons est limité, voire inexistant, pour certaines communautés ou indices. Pour le mégabenthos, la dominance des mollusques et l importance des échinodermes sont habituelles. Les taxons recensés sont fréquents dans la région (Pacifique tropical). La biomasse macrobenthique semble relativement faible par rapport à celle du lagon Sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. Elle est proche de celle de l atoll d Ouvéa (Nouvelle-Calédonie) ou des Fidji (lagon de l Astolabe). De même, la part du macrophytobenthos est relativement faible à Uvéa (27.7%) par rapport au lagon Sud-ouest de Nouvelle-Calédonie (39% à 53%). En revanche, la dominance des mollusques devant les échinodermes et les vers se retrouve globalement en Nouvelle- Calédonie, l importance des différents groupes zoologiques étant relativement constante sur 4
6 les fonds meubles lagonaires dans le Pacifique. Aucun point de comparaison n a été trouvé pour la biomasse meiobenthique. Le pourcentage de matière organique sédimentaire est relativement faible dans les zones ne subissant pas d influence anthropique importante. Cette tendance se vérifie au niveau des zones littorales et côtières. En revanche, les zones d arrière récif barrière présentent des taux de matières organiques sédimentaires comparable à Ténia (lagon Sud-ouest de Nouvelle-Calédonie) et Ouvéa (Nouvelle- Calédonie). Des variations de la structure des peuplements ont été mises en évidences au niveau de la composition taxonomique du mégabenthos et de la répartition de la biomasse du macrobenthos. Le complexe lagonaire «sud» (compris entre le platier ouest et le seuil nord) abrite des communautés mégabenthiques différentes de celles de l ensemble nord-ouest, plus riche. Ces deux communautés correspondent à deux ensembles hydrologiques différents, séparés par 2 seuils de faible profondeur. L analyse de la répartition de la biomasse macrobenthique isole également l ensemble lagonaire nord-ouest et identifie une communauté intertidale et une communauté des fonds meubles proches du récif barrière interne. L organisation spatiale des communautés benthiques est connue en Nouvelle- Calédonie, où le complexe récifo-lagonaire est plus étendu qu à Uvéa. Elle s organise le long d un gradient côte-large et du degré de confinement. Ces facteurs (influences terrigène, océanique et confinement) s appliquent également l échelle du lagon d Uvéa où ils influent sur la structuration des communautés. La biomasse planctonique moyenne a été de 8.69 gf/100 m 3, gs/100 m 3, et gssc/100 m 3. Les variations spatiales ne sont pas significatives pour les deux premiers indices. En revanche, le secteur lagonaire le plus confiné (secteur 4) présente une biomasse en poids sec sans cendre statistiquement supérieure à celles de la passe sud. L homogénéité de la composition physico-chimique des eaux lagonaires ne se vérifie pas au niveau du plancton. Les indications de traits de filet réalisés en 1980 et durant cette étude semblent indiquer que les quantités de plancton diminuent des zones côtières les plus confinées vers les fonds blancs d arrière récif et les passes. Au stade actuel des connaissances, une étude approfondie du benthos, incluant un volet hydrologique et sédimentologique, permettrait d avoir des indications plus précises sur la biodiversité, de préciser les indices quantitatifs, de vérifier et préciser la structure des communautés et d aborder leur fonctionnement trophique. Elle serait également utile à la compréhension de la structure et du fonctionnement des communautés ichtyologiques et permettrait à terme de proposer un schéma global de fonctionnement de l écosystème récifolagonaire d Uvéa. Concernant le plancton, au stade actuel des connaissances il semble qu il soit présent dans le lagon d Uvéa dans des quantités non négligeables. Toutefois, le taux de vidange du lagon à chaque marée reste inconnu ce qui ne permet pas de statuer sur la part planctonique réellement utilisable par les organismes lagonaires. L étude hydrologique couplée avec une étude spécifique des communautés planctoniques devrait permettre de préciser les hypothèses avancées pour expliquer le faible nombre de planctophages dans le lagon. Deux remarques pratiques peuvent être tirées de la présente étude. La première concerne l impact anthropique observé dans la zone intertidale face à Liku. Cet impact se matérialise par un fort pourcentage de matière organique sédimentaire (17.12%) par rapport au reste du lagon et par un sédiment anoxique dès les premiers centimètres. Un échantillonnage 5
7 complémentaire du sédiment du littoral devrait permettre de préciser l importance de cet impact anthropique. L autre conclusion est la présence d une holothurie (Holothuria nobilis) commerciale à de fortes densités. Ce résultat doit être replacé dans son contexte avant de prendre toute décision concernant l opportunité de développer une pêcherie d holothurie. En effet, une telle décision devra être prise sans oublier que ces fortes densités ne signifie pas forcément stock important en raison de la petite taille du lagon d Uvéa. Seule une étude du stock de cette espèce permettraient de déterminer si la part du stock exploitable permet d envisager une exploitation sans risques pour la ressource et pour l exploitation. 6
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