Comment motiver le personnel à la formation
|
|
- Robert Jolicoeur
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La 2 ère Université Maghrébine d hygiène et Sécurité des Soins Comment motiver le personnel à la formation Dr HADDAD Med Salah Service d Hygiène Hospitalière CHU F. Bourguiba de Monastir INSTITUT SUPERIEUR PROFESSIONNEL DE TOURISME EL KANTAOUI SOUSSE DU 02 AU 05 Septembre 2012
2 Formation continue: Définition Activités de formation ayant lieu après la fin de la formation initiale: favorise l enrichissement et la mise à jour des connaissances et développement des compétences. Ministère de la Santé et des Services sociaux définit la formation continue comme suit : «est le processus permanent par lequel les personnes ou les organisations acquièrent tout au long de leur existence les compétences nécessaires à une meilleure maîtrise de leurs activités propres, en fonction de besoins personnels, organisationnels ou de la société.
3 Analyses de besoins de formation Les analyses de besoins de formation assurent la pertinence des activités de formation pour les populations ciblées par la nécessité d accroître la qualité et l efficience du travail.
4 QUELS SONT LES DIFFÉRENTS TYPES DE BESOINS DE FORMATION Le besoin se définit comme l écart entre la situation existante et la situation désirée. Ce qui est indispensable à l organisation ou aux individus pour atteindre un objectif valorisé et justifiable. Plusieurs types de besoins de formation : les besoins normatifs, institutionnels, comparatifs, démontrés et ressentis.
5 Besoins normatifs Nécessité de mettre à jour les compétences selon les avancées réalisées dans le domaine de la recherche: tels que de nouvelles normes et de nouvelles méthodes. Exemple : un avis émis par le MS préconise l observation de nouveaux règlements quant à l isolation de patients présentant certains symptômes spécifiques.
6 Besoins institutionnels sont intrinsèquement liés à la vocation de de l établissement. compétences que l organisation juge essentielles de retrouver chez ses professionnels en vue de remplir la mission qu elle s est donnée Exemple : Un hôpital prend sa responsabilité environnementale à cœur et décide d intégrer cet engagement dans sa mission., tous les professionnels de ont un besoin institutionnel de formation quant aux pratiques écologiques.
7 Besoins comparatifs Besoins comparatifs représentent les écarts observés entre un groupe ou des individus que l on compare entre eux.
8 Besoins démontrés Emanent de l écart mesuré entre les compétences d un professionnel et celles qui sont recommandées par les spécialistes: révélés par la compilation des réponses à des questionnaires d autoévaluation. Exemple : intégré les nouvelles approches en matière de prévention des IAS dans leur pratique. Les besoins démontrés résident dans l écart entre les compétences du personnel et les compétences recommandées.
9 Besoins ressentis Ecart entre les compétences qu un professionnel se reconnaît et celles qu il souhaite détenir. suite d une démarche d autocritique, l individu détermine lui-même ses besoins selon son expérience de l exercice de son travail.. Exemple : un hygiéniste chargé de surveillance des IAS réalise qu il effectuerait mieux son travail s il possédait la connaissance de notions de base en épidémiologie.
10 Absence ou le manque de motivation Formation bien ciblée pourrait, en cultivant les compétences, rehausser rapidement le niveau de confiance en soi: très bonne façon de motiver le personnel et de lui permettre de mieux faire son travail élément parfois intrinsèque à la motivation. Formation peut être avantageuse pour un personnel démotivé si elle lui permet de tirer des gains rapidement et d accroître son niveau de confiance.
11 Quelles sont les sources de motivation des collaborateurs? Pour quelles raisons souhaiteraient-ils se former? Responsables formation identifient les sources principales de motivation comme étant les suivantes : Pour avoir une promotion Pour augmenter leurs revenus Pour s épanouir interroge les salariés : Pour s épanouir sur le plan personnel et professionnel Pour mieux faire leur travail Constat est clair : incompréhension de la part des responsables formation en ce qui concerne les réelles sources de motivation des collaborateurs.
12 Absence de motivation pour la formation: Quelles réflexions sur notre situation Difficultés de mettre en application les compétences acquises au cours des sessions de formation par l existence de contraintes locales: absence des moyens dysfonctionnement sur le plan organisationnel surcharge au travail par manque de personnels Absence d esprit d équipes Contraintes architecturaux
13 Absence de motivation pour la formation: Quelles réflexions sur notre situation Absence d une analyse de besoins de formation pour assurer la pertinence des activités de formation. Personnel de soins n est pas impliqué dans le choix des thèmes, la durée de la formation, les horaires. Non pertinence des thèmes choisie. Enseignant ou le formateur n est pas adaptée. Absence des supports pédagogiques.
14 Absence de motivation pour la formation: Quelles réflexions sur notre situation les gens ne reçoivent pas le soutien et l encouragement nécessaires pour mettre en pratique ce qu ils ont appris, ce qui est extrêmement décourageant. L employé a alors l impression que sa formation a été une perte de temps. Absence d un feedback sur les acquisitions. Absence de lien étroit entre la formation subi et les avancement dans le grade dans le cursus professionnel.
15 Les leviers de la motivation : comment créer une formation engageante?
16 But de la formation Aller au-delà de l information : elle vise à produire une réflexion et un changement de comportement chez le participant. Elle implique pour cela un degré d attention et un investissement personnel conséquent. la motivation apparaît clairement comme un facteur déterminant de la réussite d une formation.
17 Comment parvenir à créer ce carburant du changement? les composants de la motivation : la direction, l'intensité et la persistance (Green, 1995). La compréhension de ces trois caractéristiques permet la mise en place de scénarios réellement engageants, et évite ainsi de produire de l information plutôt que de la formation.
18 Comme un muscle, la motivation se fatigue! Jamais perdre de vue le fait que l engagement est un effort. Les aménagements et mécanismes mis en place incitent le participant à réaliser cet effort, mais l élément premier est l énergie du participant. Il est important de gérer cette pression.. Pour cette raison: important d éviter au maximum l obligation : elle risque avant tout de pousser le participant à trouver des moyens de la remplir en y consacrant le moins d effort possible.
19 De quoi est composée la motivation?
20 LA DIRECTION : motivé, mais à quoi? Vous souhaitez par exemple former vos participants à l utilisation d un nouvel matériel de stérilisation. 1ére étape: leur indiquer ce qu ils devront faire et savoir faire avec ce nouvel outil. Is ne seront que plus intéressés à apprendre, s ils ont l impression que cela leur apportera quelque chose (un gain de temps, de qualité, une plus grande autonomie,...). impératif de communiquer des objectifs. Pour diriger la motivation: Donnez des objectifs clairs et orientés vers la pratique Pensez en terme de compétences à développer plutôt que d informations à transmettre Evitez de faire de la culture générale, ciblez les besoins des participants
21 L'INTENSITÉ : motivé, mais à quel point? L intensité est l effort que le participant investira dans le changement. C'est ce qui distingue une vague d un réel engagement les objectifs sont intéressants, mais à quel point suis-je prêt à y consacrer de l énergie, de la concentration? L intensité.
22 L'INTENSITÉ : motivé, mais à quel point? Fortement influencée par le sentiment de pouvoir atteindre les objectifs: lever les obstacles à l engagement. Un cadre défavorable: le participant aura le sentiment de ne pas pouvoir en profiter et sera moins susceptible d y consacrer de l attention et des efforts. Herzberg, à travers sa théorie de la motivation bi-factorielle, souligne cette nécessité de lever les freins pour laisser s exprimer la bonne volonté.
23 L'INTENSITÉ : motivé, mais à quel point? Pour renforcer la motivation: Assurez-vous que la formation se fait dans un contexte organisationnel favorable et levez les obstacles (manque de temps, sentiment d être évalué plutôt que formé, peu de soutien du management). N évaluez que ce qui est nécessaire : formation doit être un outil et non un examen Utilisez un diagnostique en début de formation: guider le participant et renforcer le sentiment d'efficience de la formation. Précisez le temps qui devra y être consacré et la façon dont le participant pourra s organiser pour la suivre. Insérez des feedbacks le plus fréquemment possible.
24 LA PERSISTANCE : motivé, mais pour combien de temps? la motivation est un carburant: se consomme au fil de l effort. Donner envie au début de la formation ne suffit pas à garantir que les participants s engageront avec la même énergie jusqu à la fin. une fois motivation générée, des moyens doivent être prévus pour la maintenir.
25 LA PERSISTANCE : motivé, mais pour combien de temps? Pour maintenir la motivation: rendez visible la progression. Communiquez sur celle-ci en terme d acquis plutôt qu en terme de pourcentage de la formation parcouru. Mettez en place des solutions exploitant la gamification pour maintenir et renouveler l intérêt. Utiliser des leviers sociaux (statistiques, indication du nombre de personnes ayant terminé la formation, comparaisons et challenge...)
26 En résumé, une formation engageante... Une intervention réussie sur la motivation doit prendre en compte à la fois la direction, l intensité et la persistance. Sans direction, nous ne parviendrons pas à créer le bon comportement. Sans intensité, l effet s arrêtera à l envie d atteindre l objectif. Enfin, sans persistance, l effort sera vite abandonné et la motivation s éteindra.
27 En résumé, Gouvernance participative Pousse la Direction et les professionnels à faire des initiatives. Permet à l ES de mettre des indicateurs de qualité ( LM, incidences ISO, consommation ATB..) Supprime l agence théorie: Relation verticale, Les professionnels sont en dehors du système absence de dynamique de travail 27
Comment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailIll. Commentaire des articles p. S IV. Fiche financiere p.s v. Fiche d' impact p. 6
LE GOUVERNEMENT DU GRAND- DUCHE DE LUXEMBOURG Ministere de I'Economie Projet de reglement grand-ducal fixant le programme et Ia dun~e de Ia formation professionnelle speciale portant sur Ia recherche et
Plus en détailGuide d auto-évaluation
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation
Plus en détailExpertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.
Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailMETIERS DE L INFORMATIQUE
METIERS DE L INFORMATIQUE ISO 27001 LEAD AUDITOR REF : GOMO019 DUREE : 5 JOURS TARIF : 3 500 HT Public Toute personne amenée à conduire des audits dans le domaine de la sécurité des systèmes d'information.
Plus en détailTIERS PAYANT. des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD!
TIERS PAYANT des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD! La généralisation du tiers payant à l ensemble des soins de ville avant 2017 fait partie des mesures
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailREGLEMENTATION FEDERALE DU B.F. UFA septembre 2012
F.F.A.A.A. 11, rue Jules Vallès 75011 PARIS 01.43.48.22.22 01.43.48.87.91 REGLEMENTATION FEDERALE DU B.F. UFA septembre 2012 Livret de formation BF UFA 2012-2013 1 Qu est ce que le Brevet Fédéral UFA?
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailLifecyclecosting à la clinique romande de réadaptation - Un retour d expérience d une installation de chauffage par CCF et PAC
Lifecyclecosting à la clinique romande de réadaptation - Un retour d expérience d une installation de chauffage par CCF et PAC Journées de formation IHF à Toulouse le 13.06.2014 Présentation de Tomas Bucher
Plus en détailQu est-ce que l effet de levier?
EMPRUNTER POUR INVESTIR : CE N EST PAS POUR TOUT LE MONDE Qu est-ce que l effet de levier? L effet de levier consiste à investir en empruntant une partie ou la totalité des sommes. De cette façon, vous
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailTURBOS WARRANTS CERTIFICATS. Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital.
TURBOS WARRANTS CERTIFICATS Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital. 2 LES TURBOS 1. Introduction Que sont les Turbos? Les Turbos sont des produits
Plus en détailTypes de REA produites dans le cadre de la séquence pédagogique
Scénario pédagogique APPRENDRE À ENSEIGNER AUTREMENT Description générale du scénario Titre Les bases de données relationnelles Résumé Dans le cadre d'un cours à distance, la visioconférence est une REA
Plus en détailSchéma National de Formation des Sapeurs-Pompiers
Schéma National de Formation des Sapeurs-Pompiers Direction de la Défense et de la Sécurité Civiles - Sous-Direction des Services de Secours et des Sapeurs-Pompiers - DDSC 9 - JANVIER 1999 Date de mise
Plus en détailOuverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.
Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailFoire aux questions Régime médicaments du Nouveau-Brunswick Le 10 décembre 2013
Foire aux questions Régime médicaments du Nouveau-Brunswick Le 10 décembre 2013 1. Qu'est-ce que le Régime médicaments du Nouveau-Brunswick? Le Régime médicaments du Nouveau-Brunswick est une assurance
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailLES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)
FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailLa loi sur la mobilité des fonctionnaires
MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT La loi sur la mobilité des fonctionnaires De nouveaux outils au service d une vraie carrière collection Ressources
Plus en détailCertificats TURBO. Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital.
Certificats TURBO Bénéficiez d un effet de levier en investissant sur l indice CAC 40! Produits non garantis en capital. www.produitsdebourse.bnpparibas.com Les Certificats Turbo Le Certificat Turbo est
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailConform. Le Manager Coach Le Coach Professionnel
Conform Le Manager Coach Le Coach Professionnel 1 : Le Leadership Identifier les clés essentielles du leadership Exercer son leadership au quotidien Stimuler et mettre en mouvement ses équipes grâce à
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires
Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailPrésentation de la «Preuve d impôt» - IAS12 Quel est le format publié par les sociétés du CAC 40 dans leurs comptes consolidés en 2012?
2012 Présentation de la «Preuve d impôt» - IAS12 Quel est le format publié par les sociétés du CAC 40 dans leurs comptes consolidés en 2012? INCLUT LA RECOMMANDATION AMF sur les comptes 2013 Pour tout
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détaildu tiers payant GÉNÉRALISATION UN DISPOSITIF SIMPLE ET SÉCURISÉ POUR FACILITER L ACCÈS AUX SOINS
GÉNÉRALISATION du tiers payant Juin 2015 UN DISPOSITIF SIMPLE ET SÉCURISÉ POUR FACILITER L ACCÈS AUX SOINS La généralisation du tiers payant en 2017 à l ensemble des soins de ville pour tous les assurés
Plus en détailSYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois
SYSTEMES D INFORMATION EN SANTE Journée régionale du 12 janvier 2012 - Blois La télémédecine au service des soins de 1 er recours et de l aménagement du territoire dominique.depinoy@acsantis.com Pourquoi
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailMédecine étatique vs autonomie tarifaire. Exposé Dr Werner Kübler
Médecine étatique vs autonomie tarifaire Exposé Dr Werner Kübler FMH Tarifs et conventions pour la médecine ambulatoire en Suisse Journée des délégués tarifaires Ernst Gähler 20 mars 2013 Dr Werner Kübler,
Plus en détailBURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE. Et Hygiène? Dr JC Perréand-Centre Hospitalier Valence
BURN OUT DES PROFESSIONNELS DE SANTE Et Hygiène? De quoi parle-t-on? Burn.Out. ou syndrome d épuisement professionnel : «maladie caractérisée par un ensemble de signes, de symptômes et de modifications
Plus en détailProjet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss
Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit
Plus en détailComparaison des états financiers d une entreprise et d une banque
CHAPITRE 1 Comparaison des états financiers d une entreprise et d une banque Ce e comparaison met en évidence des différences, liées aux par cularités des ac vités bancaires. 1.1 DESCRIPTION SUCCINCTE
Plus en détailERGOMÉTRIE ERGOMÉTRIE
Ergo = travail; métrie = mesure Une quantification précise du travail est essentielle si l on désire reproduire une charge identique pour fins de comparaisons ou d entrainement Calibration des ergomètres
Plus en détailConcilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise
Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes
Plus en détailCONTRAT DE PERMANENCE TELEPHONIQUE EXTERNALISATION DE STANDARD
www.centratel.fr CONTRAT DE PERMANENCE TELEPHONIQUE EXTERNALISATION DE STANDARD CONTRAT A EDITER EN DOUBLE EXEMPLAIRE Date de réception du contrat par Centratel : (à remplir par Centratel) SOCIETE : SIRET
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailTABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE
PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL
Plus en détailConnaître les Menaces d Insécurité du Système d Information
Connaître les Menaces d Insécurité du Système d Information 1. LES MENACES EXTERIEURES VIA L INTERNET ET INFORMATIQUE LES PROGRAMMES MALVEILLANTS : VIRUS / MALWARES LES SPYWARES (LOGICIELS-ESPIONS) : LOGICIEL
Plus en détailPROGRAMME (Susceptible de modifications)
Page 1 sur 8 PROGRAMME (Susceptible de modifications) Partie 1 : Méthodes des revues systématiques Mercredi 29 mai 2013 Introduction, présentation du cours et des participants Rappel des principes et des
Plus en détailInvestir à long terme
BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements
Plus en détailBonus Cappés et Reverse Bonus Cappés
Bonus Cappés et Reverse Bonus Cappés Le prospectus d émission des certificats Bonus a été approuvé par la Bafin, régulateur Allemand, en date du 9 octobre 2009. Ce document à caractère promotionnel est
Plus en détailSection des Formations et des diplômes
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Statistique et informatique décisionnelle de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012
Plus en détailCadrer la stratégie boursière
Chapitre 1 Cadrer la stratégie boursière Chercher la valeur dans tout investissement Qu est-ce que la stratégie boursière? Elle consiste à «chercher la valeur», nom technique utilisé par les analystes
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailGUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE
GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE FRVI Mars 2009 Guide sur les indicateurs de performance dans les unités de vérification interne 2 Table des matières Introduction..04
Plus en détailCADRE DE RÉFÉRENCE SUR L ANALYSE DE BESOINS DE FORMATION VOLET FORMATION CONTINUE RECHERCHE, FORMATION ET DÉVELOPPEMENT
CADRE DE RÉFÉRENCE SUR L ANALYSE DE BESOINS DE FORMATION VOLET FORMATION CONTINUE RECHERCHE, FORMATION ET DÉVELOPPEMENT J UIN 2008 AUTEURE Maud Emmanuelle Labesse, agente de recherche Direction recherche,
Plus en détailCONDITIONS GENERALES DE LOCATION
CONDITIONS GENERALES DE LOCATION UTILISATION DU SCOOTER Sous peine d'être déchu de l'assurance, le locataire s'engage à ne pas laisser conduire le scooter par d'autres personnes que lui même ou celles
Plus en détailINDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE
INDICATEUR 1 INDICE DE FRÉQUENCE DES ACCIDENTS DE SERVICE Mesurer la fréquence des accidents de service survenus dans l année. Renseigner sur la sinistralité dans le domaine des accidents de service entrainant
Plus en détailRevue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches
Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailRAPPORT SEMESTRIEL. ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013. Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009
RAPPORT SEMESTRIEL ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013 Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009 8 rue Danielle Casanova 75002 Paris Tel: +33(0)1.44.55.02.10 / Fax: +33(0)1.44.55.02.20 acerfinance@acerfinance.com
Plus en détailDANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?
DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours
Plus en détail2012 LE NOUVEAU LABEL PNEUMATIQUE EUROPÉEN
2012 LE NOUVEAU LABEL PNEUMATIQUE EUROPÉEN Etiquetage et Classification De plus en plus de produits sont pourvus d une étiquette (label) informant de leurs performances spécifiques Généralement il s agit
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER MANAGEMENT ET COMMERCE INTERNATIONAL (MCI) MANAGEMENT ET MARKETING A L INTERNATIONAL (MMI) www.univ-littoral.
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER MANAGEMENT ET COMMERCE INTERNATIONAL (MCI) MANAGEMENT ET MARKETING A L INTERNATIONAL (MMI) www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Former des cadres supérieurs compétents
Plus en détailConsultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail
Consultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail Rapport du comité de travail sur la surindemnisation à la CSST Janvier 2008 1010, rue Sherbrooke,
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailLondon Stock Exchange. Bourse de Casablanca le 12 mars 2011
Le développement du marché d ETFs sur London Stock Exchange Bourse de Casablanca le 12 mars 2011 Programme Présentation du marché Croissance des produits ETFs & ETPs Renseignements opérationnels Admission
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailLE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE LE MARCHÉ DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE Introduction Les surfaces disponibles Les prix La tendance Les axes de développement INTRO CONSEIL EN IMMOBILIER D ENTREPRISE Surface
Plus en détailArrêtent : Article 2 : La sélection des candidats s effectue selon les critères ci-après :
Arrêtent : Article 1 er : En application des dispositions des articles 17, 23 et 29 du décret exécutif n 10-77 du 4 Rabie El Aouel 1431 correspondant au 18 février 2010, susvisé, le présent arrêté a pour
Plus en détailTURBOS Votre effet de levier sur mesure
TURBOS Votre effet de levier sur mesure Société Générale attire l attention du public sur le fait que ces produits, de par leur nature optionnelle, sont susceptibles de connaître de fortes fluctuations,
Plus en détailLE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES
LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : janvier 1995 Réédité
Plus en détailCERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004
CERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emétteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI INVESTIR
Plus en détailCOMPRESSEURS DENTAIRES
FRANCE COMPRESSEURS DENTAIRES TECHNOLOGIE SILENCIEUSE MGF NOS SERVICES, NOS ENGAGEMENTS - Les pièces détachées sont disponibles sur stock dans notre site localisé en Saône-et-Loire. Envoi express en h
Plus en détailLundi 17 octobre 2011
Lundi 17 octobre 2011 LES 4 ENJEUX DE LA SANTÉ Enjeux démographiques Vieillissement de la population Maladies chroniques Démographie médicale Enjeux économiques Hausse des coûts de santé Transfert de charges
Plus en détail! " # $ % & '! % & & # # # # % & (
! " # $ % & '! % & & # # # # % & ( ' # $ " # # ) * ( + %, ' " # # # $ " '. / # #! 0 " $ ' # " # # " 1 $ " 1 " 1 # " / " 2 3 # $ " 2 3 1 4 # Information des instances Communication auprès du personnel
Plus en détailArgumentaire Pour 11.062. Dokumentation Documentation Documentazione. Oui à la médecine de famille. Initative popuplaire / contre-projet direct
Parlamentsdienste Services du Parlement Servizi 11.062 del Parlamento Servetschs dal parlament Argumentaire Pour Oui à la médecine de famille. Initative popuplaire / contre-projet direct Votation populaire
Plus en détailQuelles exigences pour la qualité de la formation à distance?
Conférence Pédagogique INNOVATION PEDAGOGIQUE ET ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Quelles exigences pour la qualité de la formation à distance? Bernard Dumont http://bdumont.consultant.free.fr Ouagadougou, 16 mai
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailCertification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus
Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détailProgramme de certification sans gluten. Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque
Bienvenue Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque Le droit à la sécurité alimentaire et le Programme de certification sans gluten QMI-SAI Global Symposium sur la sécurité
Plus en détailrégime d assurance collective
régime d assurance collective L heure d adhérer Ma ligne de vie Ma ligne de santé Ma ligne de protection de revenu 2 Bonjour, je suis Fiche Adhésion, la toute dernière de la série des fiches. Ma mission
Plus en détailPhysique: 1 er Bachelier en Medecine. 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h. Partie 1: /56. Partie 2 : /20. Nom: N ō carte d étudiant:
Nom: Prénom: A N ō carte d étudiant: Physique: 1 er Bachelier en Medecine 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h Avant de commencer a repondre aux questions, identiez-vous en haut de cette 1ere page, et
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailLes Troubles Musculo-Squelettiques et Lombalgies chez le Personnel Soignant en Milieu Hospitalier
Les Troubles Musculo-Squelettiques et Lombalgies chez le Personnel Soignant en Milieu Hospitalier Résultats d une enquête menée à l hôpital Pasteur de Colmar au Centre pour Personnes Agées en Novembre
Plus en détailPROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement
PROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement olympiques et paralympiques Développé par Rowing Canada
Plus en détailGestion d un secteur d activité au moment où les tarifs s effondrent. Dr Stéphane de Buren, MD
Gestion d un secteur d activité au moment où les tarifs s effondrent Dr Stéphane de Buren, MD CV accéléré Stéphane de Buren, médecin Etudes à Genève et Paris Médecine interne Sanofi-Aventis, formation
Plus en détailMETTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE :
METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : UNE RÉELLE OPPORTUNITÉ POUR VOTRE ENTREPRISE! Salon des Entrepreneurs Mercredi 4 février 2015 Intervenants Frédéric CURIER o Président de Bio Crèche Emilie DAMLOUP o
Plus en détailCONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow
LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec
Plus en détailRèglement des 24h vélo Folkloriques de Gouy-lez-Piéton. Les 11 et 12 avril 2015
Règlement des 24h vélo Folkloriques de Gouy-lez-Piéton Les 11 et 12 avril 2015 Cette 26 ème édition se déroulera, par équipes, durant le week-end des samedi 11 et dimanche 12 avril 2015. Le but de cette
Plus en détailL accessibilité des hôtels, restaurants et commerces de 5 ème catégorie
L accessibilité des hôtels, restaurants et commerces de 5 ème catégorie Guide pratique Règlementation, recommandations et préconisations Préambule 2 Définition d un ERP: Sont considérés comme des Établissements
Plus en détailAméliorez la sécurité en matière de soins de santé et de soins aux patients grâce à la VDI avancée d Imprivata
Livre blanc Améliorez la sécurité en matière de soins de santé et de soins aux patients grâce à la VDI avancée d Imprivata Erik Willey 12.12.2014 SUMMARY: ImprivataMD OneSignMD propose une solution facile
Plus en détailFORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA
1 FORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA Afin de donner un bon aperçu de mes possibilités et mes limitations à la DG Personnes handicapés, je coche ce que je peux faire ou ne plus faire. Ci-dessous
Plus en détail