Applications et fonctions
|
|
- Raymonde Beaudin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 15 Cours - Applications et fonctions.nb 1/9 Applications et fonctions I) Généralités 1) Application, fonction, domaine de définition 2) Notation standard 3) Ensemble des applications de E dans F 4) Image, antécédent 5) Représentation graphique 6) Composition des applications 7) Application identité 8) Restriction d une application à une partie 9) Fonction indicatrice d une partie d un ensemble II) Image directe ou réciproque d une partie par une fonction 1) Définitions 2) Schémas 3) Propriétés 4) Exemples III) Application injective, surjective 1) Définitions 2) Démontrer qu une application est ou non injective ou surjective 3) Exemples 4) Propriétés 5) Etude de réciproques 6) Exercice IV) Application bijective 1) Application bijective, bijection réciproque 2) Exemples 3) Rapport entre injection, surjection et bijection 4) Composée de deux bijections 5) Exercice 6) Propriétés de la bijection réciproque 7) Fonction inversible Dans ce chapitre, on reprend et on approfondit le chapitre 4, intitulé Fonction réciproque
2 15 Cours - Applications et fonctions.nb 2/9 I) Généralités 1) Application, fonction, domaine de définition On précise la nuance qu il y a entre les termes application et fonction. Il y a souvent confusion entre ces deux termes, dans ce cours comme ailleurs. Le plus souvent en algèbre, on utilise le terme application et en analyse on emploie le terme fonction. Comme ce cours est un cours d algèbre, c est le plus souvent le terme application qui sera utilisé. Une application est une correspondance entre deux ensembles, un ensemble de départ et un ensemble d arrivée, qui à tout élément de l ensemble de départ associe un unique élément de l ensemble d arrivée. Une fonction est une correspondance entre deux ensembles, un ensemble de départ et un ensemble d arrivée, qui à tout élément de l ensemble de départ associe au plus un élément de l ensemble d arrivée. Le domaine de définition D f d une fonction f définie sur un ensemble E et à valeurs dans un ensemble F est l ensemble des éléments x œ E pour lesquels f HxL existe. L ensemble de définition d une fonction est inclus dans l ensemble de départ. Il est égal à l ensemble de départ lorsque la fonction est une application. Une application est donc toujours une fonction, mais la réciproque n est vraie que lorsque l ensemble de définition de la fonction est égal à l ensemble de départ. Par contre, la restriction d une fonction à son ensemble de définition est toujours une application. Par exemple, en définissant f : ö, on définit une fonction mais pas une application car f H0L n existe pas. Comme D f = x ö 1êx *, alors g : * ö est une application. x ö 1êx Une fonction f : E öf définie sur l ensemble E est une application. Dans la suite du cours, tout ce qui est énoncé pour des fonctions est (c est normal) vrai pour des applications, et tout ce qui est énoncé pour des applications est souvent vrai pour des fonctions, en considérant leur restriction à leur ensemble de définition. 2) Notation standard f : E ö F xöf HxL avec f = nom de la fonction E = ensemble de départ F = ensemble d ' arrivée x un élément de E f HxL l' élément de F associé à x ou f : E ö F plus simplement. 3) Ensemble des applications de E dans F On note F HE, FL ou encore F E l ensemble des applications de E dans F.
3 15 Cours - Applications et fonctions.nb 3/9 4) Image, antécédent Soit f : EöF une fonction, soient x œ E et y œ F. Alors: (1) y est l'image de x par f ñ y = f HxL (Notez l'article défini l' : il y a unicité) (2) x est un antécédent de y par f ñ y = f HxL ( Notez l'article indéfini un : pas d'unicité à priori) ATTENTION : tous les éléments x de l ensemble de départ E ont au plus une image dans l ensemble d arrivée F (par définition d'une fonction), MAIS tous les éléments de F n'ont pas forcémént un antécédent dans E (ils peuvent avoir aucun ou plusieurs antécédents) ATTENTION: Si f : E öf est une fonction, l'ensemble d'arrivée F est en général différent (il est plus gros) de l'ensemble, xöf HxL noté f HEL, des images des éléments de E par f. Par exemple, pour les fonctions f, g de dans qui à x associe f HxL = x 2 et g HxL = sin HxL, déterminer f H ) et g H L. 5) Représentation graphique a) Graphe Le graphe G f d une fonction f : E ö F est G f = 9Hx, f HxLL ê x œ D f =. C est une partie de l ensemble E äf. Dans le cas des fonctions numériques (fonction définies sur une partie de et à valeurs dans ), on peut le représenter facilement dans le plan, mais dans le cas général, on ne peut pas le voir... ATTENTION: même pour les fonctions numériques, une fonction n est pas son graphe, et un graphe n est pas une fonction... b) Cas des ensembles finis Les patates peuvent rendre service. Par exemple: 6) Composition des applications (que l on adapte sans peine à des fonctions) a) Définition Soient f : E öf et g : G ö H xöf HxL xöghxl deux applications. Lorsque F Õ G, on peut définir l application h = g ë f ( se lit g rond f ) par : g ë f : E öh. xøg Hf HxLL L application h = gë f est l application composée des applications g et f. On a : " x œ E, gëf HxL = g Hf HxLL.
4 15 Cours - Applications et fonctions.nb 4/9 Schéma de composition : b) Propriétés Soient f, g, h trois applications. Lorsque les composées sont définies: (1) En général, f ëg gëf. La loi de composition ë n est pas commutative. (2) f ëhgëhl = Hf ëglëh. La loi de composition ë est associative. (3) on a Hf + glëh = f ëh + gëh, MAIS PAS f ëhg + hl = f ëg + f ëh 7) Application identité a) Définition Soit E un ensemble. L application identité de E, notée Id E, est définie par: Id E : EöE xöx. Chaque élément de E est son image par Id E. b) Théorème Pour toute application f : E öf, on a f ëid E = f = Id F ëf. 8) Restriction d une application à une partie (que l on adapte sans peine à des fonctions) Soit f : EöF une application et soit A une partie de E. La restriction de f à A, notée f A, est l application f A : AöF. xøf HxL xøf HxL On garde l ensemble d arrivée et la correspondance, mais l ensemble de départ est plus petit. 9) Fonction indicatrice d une partie d un ensemble a) Définition Soit A une partie d une ensemble E. La fonction indicatrice de A, notée 1 A, est la fonction 1 A : E ö x Ø 1 si x œ A. 0 si x A b) Exercice Soient A et B deux parties d un ensemble E. Simplifier 1 A + 1 B - 1 A B.
5 15 Cours - Applications et fonctions.nb 5/9 II) Image directe ou réciproque d une partie par une fonction 1) Définitions Soit f : E öf une fonction. Soient A une partie de E et B une partie de F. Alors: (Version Symbolique): (1) L'image directe de A par f est f HAL = 8y œ F ê $ x œ A ê y = f HxL < = 8f HxL ê x œ A< en "bref" (2) L'image réciproque de B par f est f -1 HBL = 8 x œ E ê f HxL œ B < (Version Française): (1) f HAL, l image directe de A par f, est l ensemble des images des éléments de A par f. H2L f -1 (B), l image réciproque de B par f, est l ensemble des antécédents des éléments de B par f. ATTENTION: Ne pas confondre le f -1 de l'image réciproque d'une partie par une fonction avec le f -1 de la bijection réciproque de f. 2) Schémas (patates ou graphes) 3) Propriétés Soit f : E öf une fonction. Soient A Õ E et B Õ F. Alors: (1) f HAL Õ F et f -1 HBL Õ E. (2) " y œ F, y œ f HAL ñ $ x œ A ê f HxL = y (3) " x œ E, x œ f -1 HBL ñ f HxL œ B. 4) Exemples a) Avec f : ö telle que f HxL = x 2, calculer A = f H@-3, 2DL ; B = f H - L ; C = f -1 H84<L ; D = f -1 H@-3, 2DL ; E = f -1 H - L b) Avec g : ö telle que g HxL = sin HxL, calculer A = g H@0, pdl ; B = gi + M ; C = g -1 H80<L ; D = g -1 H@-2, 2DL ; E = g -1 H@0, 1DL
6 15 Cours - Applications et fonctions.nb 6/9 III) Application injective, surjective 1) Définitions (Version Symbolique): (1) L application f : E öf est injective ñ " x, y œ E, f HxL = f HyL fl x = y. (2) L application f : E öf est surjective ñ " y œ F, $ x œ E ê f HxL = y. (Version Française): (1) L application f : E öf est injective ñ Tout élément de F a au plus un antécédent par f dans E. (2) L application f : E öf est surjective ñ Tout élément de F a au moins un antécédent par f dans E. Une application injective est une injection, une application surjective est une surjection. 2) Démontrer qu une application est ou non injective ou surjective Ecrire les quatre plans de démonstration pour une application f : E ö F. 3) Exemples Les applications f, g de dans qui à x associe f HxL = x 2 et ghxl = sin HxL sont-elles injectives? surjectives? Si non, comment (par exemple) modifier les ensembles de départ ou (et) d arrivée pour qu elles le deviennent? 4) Propriétés (1) La application f : EöF est surjective ñ f HEL = F. (2) La composée de deux applications injectives est une application injective. (3) La composée de deux applications surjectives est une application surjective.
7 15 Cours - Applications et fonctions.nb 7/9 5) Etude de réciproques: vrai pou faux? Lorsque les composées sont définies: A: gëf injective fl f injective. B: gëf injective fl g injective. C: gë f surjective fl f surjective. D: gëf surjective fl g surjective. 6) Exercice Soit f : E öf une application. a) Prouver que: " A, B œ P HEL, f HA BL Õ f HAL f HBL. b) Prouver que la réciproque est fausse en "général", mais vraie lorsque f est injective. IV) Application bijective 1) Application bijective, bijection réciproque (Version Symbolique): f : E öf est une bijection ñ " y œ F, $! x œ E ê y = f HxL (Version Française): La fonction f : E öf est une bijection si et seulement si tout élément de l ensemble d arrivée F a un unique antécédent par l application f dans l ensemble de départ E
8 15 Cours - Applications et fonctions.nb 8/9 Soit f : E ö F une bijection. La bijection réciproque de f, notée f -1, est l application : f -1 : F ö E yöl' unique x de E tel que y=f HxL 2) Exemples a) L application f : ö définie par f HnL = n + 1 si n est pair et f HnL = n - 1 si n est impair est une bijection. Calculer f -1. b) L application f : ö définie par f HnL = n - 1 n est pas une bijection: pourquoi? c) L application f : ö définie par f HnL = n + 1 n'est pas une bijection: pourquoi? d) Avec f HxL = x 2, quels ensembles de départ et d arrivée peut-on choisir pour que f soit bijective? Calculer alors f -1. e) f : * ö définie par f HxL = 1 x alors f -1. n est pas une bijection. Pourquoi? Que peut-on modifier pour que f soit bijective? Calculer 3) Rapport entre injection, surjection et bijection Une application est bijective si et seulement si elle est injective et surjective. 4) Composée de deux bijections La composée de deux applications bijectives est une application bijective. 5) Exercice Soient f et g deux applications de dans telles que gëf = Id. a) Prouver que g est surjective et f injective. b) Montrer que l affirmation: (g est injective) ou (f surjective) peut être fausse.
9 15 Cours - Applications et fonctions.nb 9/9 6) Propriétés de la bijection réciproque Soit f : EöF une bijection. Alors: (1) f -1 est une bijection et If -1 M -1 = f (2) " x œ E, f -1 Hf HxLL = x, c est à dire f -1 ë f = Id E. (3) " y œ F, f If -1 HyLM = y, c est à dire f ë f -1 = Id F. (4) Si f et g sont bijectives et si gëf existe, alors gëf est bijective et Hgëf L -1 = f -1 ëg -1 (Attention à l ordre) 7) Fonction inversible a) Rappel La fonction f : E öf est inversible si et seulement si l application g : E ö f HEL est une bijection. xöf HxL x ö f HxL Dans ce cas la fonction réciproque f -1 : f HELöE est la bijection réciproque de g. On utilise le terme fonction inversible que pour des fonctions définies sur leur ensemble de départ, c est à dire des fonctions qui sont des applications... b) Théorème La fonction f : E öf xöf HxL est inversible si et seulement si elle est injective. c) Cas des fonctions numériques Soit I un intervalle de. La fonction continue f : I ö est inversible si et seulement si elle est strictement monotone, c est à dire si et seulement si f est strictement croissante ou f est strictement décroissante sur I. On peut remarquer que: Une fonction strictement monotone est inversible, même si elle n est pas continue ou pas définie sur un intervalle d) Exercice a ) Trouver une fonction f 2D ö inversible et pas strictement monotone b ) Trouver une fonction f : * ö continue, inversible et pas strictement monotone
Limites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailFONCTION EXPONENTIELLE ( ) 2 = 0.
FONCTION EXPONENTIELLE I. Définition Théorème : Il eiste une unique fonction f dérivable sur R telle que f ' = f et f (0) =. Démonstration de l'unicité (eigible BAC) : L'eistence est admise - Démontrons
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailGroupe symétrique. Chapitre II. 1 Définitions et généralités
Chapitre II Groupe symétrique 1 Définitions et généralités Définition. Soient n et X l ensemble 1,..., n. On appelle permutation de X toute application bijective f : X X. On note S n l ensemble des permutations
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détaila et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b
I Définition d une fonction affine Faire l activité 1 «une nouvelle fonction» 1. définition générale a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailEnoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.
Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailDéveloppement décimal d un réel
4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailItems étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire
CHAPITRE N5 FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION Code item D0 D2 N30[S] Items étudiés dans le CHAPITRE N5 Déterminer l'image
Plus en détailCHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.
CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,
Plus en détailSeconde Généralités sur les fonctions Exercices. Notion de fonction.
Seconde Généralités sur les fonctions Exercices Notion de fonction. Exercice. Une fonction définie par une formule. On considère la fonction f définie sur R par = x + x. a) Calculer les images de, 0 et
Plus en détailNOTATIONS PRÉLIMINAIRES
Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel
Plus en détail6. Les différents types de démonstrations
LES DIFFÉRENTS TYPES DE DÉMONSTRATIONS 33 6. Les différents types de démonstrations 6.1. Un peu de logique En mathématiques, une démonstration est un raisonnement qui permet, à partir de certains axiomes,
Plus en détailProblèmes de Mathématiques Filtres et ultrafiltres
Énoncé Soit E un ensemble non vide. On dit qu un sous-ensemble F de P(E) est un filtre sur E si (P 0 ) F. (P 1 ) (X, Y ) F 2, X Y F. (P 2 ) X F, Y P(E) : X Y Y F. (P 3 ) / F. Première Partie 1. Que dire
Plus en détailAnalyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe
Analyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe des n n groupes quantiques compacts qui ont la théorie
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailChapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailLa médiatrice d un segment
EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailCompression Compression par dictionnaires
Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une
Plus en détailCours3. Applications continues et homéomorphismes. 1 Rappel sur les images réciproques
Université de Provence Topologie 2 Cours3. Applications continues et homéomorphismes 1 Rappel sur les images réciproques Soit une application f d un ensemble X vers un ensemble Y et soit une partie P de
Plus en détail315 et 495 sont dans la table de 5. 5 est un diviseur commun. Leur PGCD n est pas 1. Il ne sont pas premiers entre eux
Exercice 1 : (3 points) Un sac contient 10 boules rouges, 6 boules noires et 4 boules jaunes. Chacune des boules a la même probabilité d'être tirée. On tire une boule au hasard. 1. Calculer la probabilité
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailLes droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites
I Droites perpendiculaires Lorsque deux droites se coupent, on dit qu elles sont sécantes Les droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites Lorsque deux
Plus en détailGlossaire des nombres
Glossaire des nombres Numérisation et sens du nombre (4-6) Imprimeur de la Reine pour l'ontario, 008 Nombre : Objet mathématique qui représente une valeur numérique. Le chiffre est le symbole utilisé pour
Plus en détailrf( 1 f(x)x dx = O. ) U concours externe de recrutement de professeurs agreg6s composition d analyse
page 8 AGREGATIN de MATHEMATIQUES: 1991 1/5 externeanalyse concours externe de recrutement de professeurs agreg6s composition d analyse NTATINS ET DGFINITINS Dans tout le problème, R+ désigne l intervalle
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailPARTIE NUMERIQUE (18 points)
4 ème DEVOIR COMMUN N 1 DE MATHÉMATIQUES 14/12/09 L'échange de matériel entre élèves et l'usage de la calculatrice sont interdits. Il sera tenu compte du soin et de la présentation ( 4 points ). Le barème
Plus en détail>> TECHNIQUES DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION 410.B0
Pondération : le 1 er chiffre représente le nombre d heures de théorie, le 2 e chiffre représente le nombre d heures de laboratoire et le 3 e chiffre représente le nombre d heures de travail personnel.
Plus en détailF1C1/ Analyse. El Hadji Malick DIA
F1C1/ Analyse Présenté par : El Hadji Malick DIA dia.elmalick1@gmail.com Description sommaire du cours Porte sur l analyse réelle propose des outils de travail sur des éléments de topologie élémentaire
Plus en détailAlgèbre binaire et Circuits logiques (2007-2008)
Université Mohammed V Faculté des Sciences Département de Mathématiques et Informatique Filière : SMI Algèbre binaire et Circuits logiques (27-28) Prof. Abdelhakim El Imrani Plan. Algèbre de Boole 2. Circuits
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailQuelques tests de primalité
Quelques tests de primalité J.-M. Couveignes (merci à T. Ezome et R. Lercier) Institut de Mathématiques de Bordeaux & INRIA Bordeaux Sud-Ouest Jean-Marc.Couveignes@u-bordeaux.fr École de printemps C2 Mars
Plus en détailChapitre VI Fonctions de plusieurs variables
Chapitre VI Fonctions de plusieurs variables 6. 1 Fonctions différentiables de R 2 dans R. 6. 1. 1 Définition de la différentiabilité Nous introduisons la différentiabilité sous l angle des développements
Plus en détailPlus petit, plus grand, ranger et comparer
Unité 11 Plus petit, plus grand, ranger et comparer Combien y a-t-il de boules sur la tige A? Sur la tige B? A B Le nombre de boules sur la tige A est plus grand que sur la tige B. On écrit : > 2 On lit
Plus en détailMIS 102 Initiation à l Informatique
MIS 102 Initiation à l Informatique Responsables et cours : Cyril Gavoille Catherine Pannier Matthias Robine Marc Zeitoun Planning : 6 séances de cours 5 séances de TD (2h40) 4 séances de TP (2h40) + environ
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détail6. Hachage. Accès aux données d'une table avec un temps constant Utilisation d'une fonction pour le calcul d'adresses
6. Hachage Accès aux données d'une table avec un temps constant Utilisation d'une fonction pour le calcul d'adresses PLAN Définition Fonctions de Hachage Méthodes de résolution de collisions Estimation
Plus en détailCorrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.
TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailCHAPITRE I : PRESENTATION DES INSTRUMENTS DE LA SAISIE
1.1 Questionnaire ménage CHAPITRE I : PRESENTATION DES INSTRUMENTS DE LA SAISIE Le questionnaire est le document de référence sur lequel figure les données collectées sur le terrain et codifiées au BCR
Plus en détailPROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.
PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de
Plus en détailChp. 4. Minimisation d une fonction d une variable
Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie
Plus en détailCONJUGUÉ D'UN POINT PAR RAPPORT À UN TRIANGLE
CONJUGUÉ D'UN POINT PAR RAPPORT À UN TRIANGLE Jean Luc Bovet, Auvernier L'article de Monsieur Jean Piquerez (Bulletin de la SSPMP No 86), consacré aux symédianes me paraît appeler une généralisation. En
Plus en détailCondition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½
Condition inf-sup pour l Elément Fini de Taylor-Hood È ¾ -iso-è ½ Patrick Ciarlet et Vivette Girault ciarlet@ensta.fr & girault@ann.jussieu.fr ENSTA & Laboratoire Jacques-Louis Lions, Paris 6 Condition
Plus en détailstatique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017
Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique J. Bertrand To cite this version: J. Bertrand. Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique. J. Phys. Theor. Appl., 1874,
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailCompter à Babylone. L écriture des nombres
Compter à Babylone d après l article de Christine Proust «Le calcul sexagésimal en Mésopotamie : enseignement dans les écoles de scribes» disponible sur http://www.dma.ens.fr/culturemath/ Les mathématiciens
Plus en détailManuel d utilisation 26 juin 2011. 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2
éducalgo Manuel d utilisation 26 juin 2011 Table des matières 1 Tâche à effectuer : écrire un algorithme 2 2 Comment écrire un algorithme? 3 2.1 Avec quoi écrit-on? Avec les boutons d écriture........
Plus en détailCHAPITRE I INTRODUCTION
CHAPITRE I INTRODUCTION A. Histoire D un certain point de vue le début de l histoire de la théorie des nœuds date du temps d Alexandre de Macédoine, plus précisément de sa résolution du problème du fameux
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailCH.6 Propriétés des langages non contextuels
CH.6 Propriétés des langages non contetuels 6.1 Le lemme de pompage 6.2 Les propriétés de fermeture 6.3 Les problèmes de décidabilité 6.4 Les langages non contetuels déterministes utomates ch6 1 6.1 Le
Plus en détailPremiers exercices d Algèbre. Anne-Marie Simon
Premiers exercices d Algèbre Anne-Marie Simon première version: 17 août 2005 version corrigée et complétée le 12 octobre 2010 ii Table des matières 1 Quelques structures ensemblistes 1 1.0 Ensembles, relations,
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailProbabilités. I - Expérience aléatoire. II - Evénements
Probabilités Voici le premier cours de probabilités de votre vie. N avez-vous jamais eut envie de comprendre les règles des grands joueurs de poker et de les battre en calculant les probabilités d avoir
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailCarl-Louis-Ferdinand von Lindemann (1852-1939)
Par Boris Gourévitch "L'univers de Pi" http://go.to/pi314 sai1042@ensai.fr Alors ça, c'est fort... Tranches de vie Autour de Carl-Louis-Ferdinand von Lindemann (1852-1939) est transcendant!!! Carl Louis
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailDérivées et différentielles des fonctions de plusieurs variables
UE4 : Evaluation des méthodes d analyses appliquées aux sciences de la vie et de la santé Analyse Chapitre 6 : Dérivées et différentielles des fonctions de plusieurs variables Christelle MELODELIMA Année
Plus en détailObjectifs du cours d aujourd hui. Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet. Complexité d un problème (2)
Objectifs du cours d aujourd hui Informatique II : Cours d introduction à l informatique et à la programmation objet Complexité des problèmes Introduire la notion de complexité d un problème Présenter
Plus en détailHiDA Fiche 1. Je crois que ça va pas être possible ZEBDA. Leçon EC1 - Les valeurs, principes et symboles de la république
HiDA Fiche 1 Education Civique Partie 1 La République et la citoyenneté Leçon EC1 - Les valeurs, principes et symboles de la république Je crois que ça va pas être possible ZEBDA Je crois que ça va pas
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailM2 IAD UE MODE Notes de cours (3)
M2 IAD UE MODE Notes de cours (3) Jean-Yves Jaffray Patrice Perny 16 mars 2006 ATTITUDE PAR RAPPORT AU RISQUE 1 Attitude par rapport au risque Nousn avons pas encore fait d hypothèse sur la structure de
Plus en détailObjets Combinatoires élementaires
Objets Combinatoires élementaires 0-0 Permutations Arrangements Permutations pour un multi-ensemble mots sous-ensemble à k éléments (Problème du choix) Compositions LE2I 04 1 Permutations Supposons que
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détail