Vaccination anti-hbv et sclérose en plaques

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1 Vaccination anti-hbv et sclérose en plaques

2 Morbidité-Mortalité en France 100 hépatites B aiguës en DO annuelle depuis 10 ans Infection chronique (Meffre et al. J Med Virol. 2010; 82: ) Prévalence de l AgHBs : 0,65% [0,45-0,93], soit porteurs de l AgHBs (dont 55% l ignorent) Mortalité (Marcellin et al, J Hepatol 2008; 48: 200-7) 1327 décès attribués au VHB/an [ ] soit un taux de décès de 2,2 pour [0,8-3,7]

3 La vaccination hépatite B en France Recommandée chez les professionnels de santé avec un schéma 4 doses et rappels/5 ans Obligatoire professionnels de santé et les étudiants en santé Dépistage HBs obligatoire au 6 ème mois de grossesse Remboursement du vaccin hexavalent Indications élargies à d'autres groupes à risque 1993 : reco OMS : Vaccination universelle ème schéma à 3 doses est mis en place Généralisation à tous les nourrissons+rattrapage Campagnes de vaccination en classe de 6 ème Schéma unique et suspension des rappels

4 Nombre de cas d hépatites B diagnostiquées par les médecins Sentinelles Promotion de la vaccination Nombre de cas Années Source: Réseau Sentinelles- INSERM U707

5 Nombre de cas d hépatites B aiguës diagnostiquées (chiffres de la DO)

6 Impact de la vaccination sur les hépatites B professionnelles à l Assistance Publique de Paris de 1984 à Nb d'hépatites B Années Source: Service central de médecine du travail AP-HP, Dr Benketira

7 Estimation de l impact de la vaccination des adolescents de ans vaccinés entre 1994 et 2007 En cumulatif, elle a évité depuis 1994 environ 8000 hépatites aiguës, dont 40 hépatites fulminantes infections, 1000 à 2000 infections chroniques

8 Maladresses dans la vaccination anti-hbv dans les années 1990 Dramatisation de l incidence Dramatisation de la gravité Dramatisation de la contagiosité (mise en avant excessive de la potentielle voie salivaire) Mise en avant de la vaccination des adolescents au détriment de celle des nourrissons

9 Vaccin anti-hépatite B et maladies démyélinisantes Premières notifications en 1995 Contemporaine de la classification de la SEP en ALD Centralisation par le comité régional de pharmacovigilance de Strasbourg Reculade rapide du gouvernement Abandon de la vaccination de l adolescent en 1998

10 Que montre la surveillance en pharmacovigilance? CRPV de Strasbourg Juin décembre 2010 : 1650 notifications Pour beaucoup rétrospectives Délai vaccin / SEP > 1 an dans 50% des cas, > 5 ans dans 20% Sur 37 millions de personnes vaccinées 3,8 cas pour personnes vaccinées 0,48 pour les enfants Épidémiologie française de la SEP : Prévalence 75 pour Incidence : 4,1 à 8,2 pour : 11 survenues notifiées 0 à 0,3 pour vaccinations

11 Que montrent les études? Depuis 1999 : plus de 10 études Vaccin et déclenchement de SEP Vaccin et rechute/poussée de SEP Toutes négatives (pas d association) sauf une De méthodologie critiquée

12 Que montrent les études? Étude sur registre d assurance-maladie aux USA Pas de sur-incidence de SEP chez vaccinés vs non-vaccinés sur l année suivant la vaccination Études cas-témoins Pas plus de vaccinés chez SEP que chez témoins Étude avant / après modification de politiques vaccinales Pas plus de SEP après introduction du vaccin Études chez des patients atteints de SEP : poussée de SEP en cas de vaccin anti-hbv? Pas d association détectée

13 Conclusion de la CNPV, 2011

14 Conclusions de l AFSSAPS

15 Des décisions de justice maladroites

16 En conclusion Pas de signal malgré de vastes populations étudiées SEP Autres maladies démyélinisantes Maladies dysimmunitaire Pas de contre-indication en cas De SEP dans la famille De SEP chez le patient

17 Recommandations actuelles : population générale Tous les nourrissons à partir de 2 mois 3 injections mois Rattrapages pour tous les enfants entre 11 et 15 ans si non vaccinés 2 injections Séparées de 6 mois

18 Recommandations actuelles : populations à risque enfants et adultes en institutions psychiatriques et en prison personnes ayant des relations sexuelles avec des partenaires multiples ; usagers de drogues par voie parentérale ; voyageurs / résidents dans les pays de moyenne ou de forte endemie personnes qui, dans le cadre d activités professionnelles ou bénévoles, sont susceptibles d être en contact direct avec des patients et/ou d être exposées au sang et autres produits biologiques (professionnels de santé libéraux, secouristes, gardiens de prison, éboueurs, égoutiers, policiers, thanatopracteurs, tatoueurs ) personnes susceptibles de recevoir des transfusionsmassives et/ou itératives ou des médicaments dérivés du sang (hémophiles, dialyses, insuffisants rénaux...) personnes candidates a une greffe d organe, de tissu ou de cellules ; personnes de l entourage d une personne infectée par le virus de l hépatite B ou d un porteur chronique de l antigène HBs(personnes vivant sous le même toit) ; partenaires sexuels d une personne infectéepar le virus de l hépatite B ou d un porteur chronique de l antigène HBs.

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