Vaches «écologiques»: réduire notre empreinte sur l environnement
|
|
- Emma Doré
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vaches «écologiques»: réduire notre empreinte sur l environnement Paul Boettcher 1 Benjamin Henderson 1 Mark Powell 2 1 Division de production et de santé animales, Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture 2 Centre de recherche sur les fourrages laitiers, Département de l Agriculture des États Unis Service de recherche agricole L importance du bétail Le bétail et les produits qu il nous fournit rendent de grands services à l humanité Sécurité alimentaire Création et maintien de l aisance économique Développement rural Signification culturelle Services à l environnement 1
2 Le bétail et l environnement On prévoit un accroissement de l élevagedu lélevage bétail Population mondiale 33 % d ici 2050 principalement dans les pays en développement Consommation du lait 62 % et de la viande 76 % Le bétail peut avoir une incidence négative sur l environnement Parmi les 2 à 3 premières causes de dégradation environnementale Incidence de la production du bétail Un tiers des terres arables sert à produire des aliments du bétail Un quart de la superficie terrestre non recouverte de glace sert au pâturage Le bétail représente le cinquième de la biomasse animale de la Terre Le bétail produit jusqu à 18 % des GES La production laitière contribue de façon importante à ces impacts 2
3 Incidence de la production laitière Des impacts dans cinq grands secteurs Le paysage et le sol L eau La biodiversité Les ressources non renouvelables Les gaz à effet de serre (GES) Le type et l ampleur de l incidence dépendent du système de production Le paysage et le sol Les cultures alimentaires pour le bétail ont diverses conséquences négatives, directes et indirectes Compactage, érosion et inondation du sol Excès d éléments fertilisants Déforestation Le pâturage s accompagne parfois de piétinement et d une dégradation L intensification de la production peut diminuer l esthétique du paysage rural 3
4 L eau La majeure partie de l eau sert aux cultures alimentaires pour le bétail Lessivage des nutriments et des produits agrochimiques Àla ferme laitière, l eau sert de maintes façons, du nettoyage sanitaire au rafraîchissement des bovins Les vaches en lactation en boivent de 40 à 70 litres/jour Les nutriments des fumiers mal gérés peuvent filtrer jusqu à l eau souterraine et de surface La biodiversité La sélection pour l amélioration génétique tend à diminuer la diversité au sein des races laitières et de l une à l autre Les plantes alimentaires pour le bétail se cultivent souvent en monoculture Cela réduit la biodiversité de la faune, de la flore et desmicroorganismes indigènes Le pâturage mal géré peut appauvrir la diversité des espèces vivant dans les prairies et leur fonction dans l écosystème 4
5 Les ressources non renouvelables Les cultures alimentaires pour le bétail consomment des combustibles fossiles Pour le travail du sol et la récolte Fertilisants Le logement des animaux, la traite et la réfrigération du lait consomment de l électricité De 800 à kwh/vache/an (données des É. U.) Les gaz à effet de serre Les bovins émettent du méthane comme sousproduit de la rumination Le fumier peut libérer de l oxyde d azote et du méthane Les cultures alimentaires pour animaux dégagent du gaz carbonique Le secteur laitier mondial produit 4 % des émissions mondiales de GES anthropiques 2,4 kg de CO 2 par kg de lait (calcul corrigé pour le gras et les protéines) 5
6 Réduire l empreinte écologique à même les onglons de la vache Deux approches générales pour atténuer l incidence environnementale de la production laitière Améliorer le système et le milieu de production Élever une vache Holstein «plus verte» Implique un usage plus raisonné des ressources Énergie Eau Nutriments Biodiversité Gaz à effet de serre (GES) Le système de production des cultures En production laitière, la culture d aliments du bétail a plusieurs incidences sur l environnement Les«pratiques optimales» réduisent cette incidence La fertilisation judicieuse des sols en fonction de leur analyse Sol, eau, énergie L application appropriée des herbicides et autres pesticides Eau et biodiversité Le contrôle de l irrigation Eau et sol Bonne rotation de l usage des terres Gaz à effet de serre, paysage et biodiversité 6
7 Le système de production du lait Élaborer (et mettre à exécution) un plan de gestion de la fertilisation Se réserver les terres suffisantes pour y recevoir les engrais de ferme Entreposer et épandre correctement le fumier Pour réduire l incidence sur le sol, l eau, la biodiversité et les gaz à effet de serre Réduire l utilisation de l énergie électrique Installer un système efficace de refroidissement du lait Entretenir adéquatement le matériel électrique Contrôle automatique de l éclairage et de la ventilation Recycler et réutiliser l eau Le système d élevage des vaches Augmenter la production par vache Moins de ressources utilisées et de méthane produit pour l entretien des vaches Équilibrer les rations On donne généralement trop d azote Il faut l équilibrer avec d autres nutriments Améliorer la reproduction et la santé Des vaches improductives émettent plus de GES par unité de production Les génisses de remplacement émettent des GES pendant deux ans avant de produire du lait 7
8 Développer une Holstein plus «verte» La sélection et la génétique sont des outils puissants ayant un effet durable Option possible pour réduire l incidence environnementale de chacune des vaches et de l ensemble de la race Holstein Est ce une option réaliste? Possibilités de la sélection génétique Possibilités limitées de la sélection : C est davantage l ensemble du troupeau plutôt que chaque animal qui affecte directement le paysage et les ressources non renouvelables La consommation d eau a une composante génétique, mais on l a peu étudiée elle est corrélée avec le rendement en lait la consommation par les bovins est relativement peu importante Il reste la biodiversité au sein des espèces, l assimilation des nutriments et l émission des GES comme cibles possibles dans les programmes d amélioration génétique 8
9 Diversité au sein de la race Les Holstein ont bénéficié d associations de races, de pedigrees, de registres de performance et d un système d insémination artificielle des plus efficaces Diversité au sein de la race Ces outils ont permis la sélection d une vache très productive... 9
10 Diversité au sein de la race... et très uniforme Diversité au sein de la race Mais il faut garder une certaine diversité pour poursuivre la sélection et pour optimiser la reproduction et la santé 10
11 Biodiversité au sein de la race Intervention possible dans la sélection et l utilisation i des taureaux pour diversifier ifi la génétique au sein de la race usage plus équilibré des taureaux en visant une moins grande parenté génétique entre eux Cela exigera la coopération entre les pays py et les entreprises de sélection génétique contraire aux objectifs économiques à court terme Biodiversité au sein de l espèce La grande capacité de production des Holstein en a fait la race la plus élevée dans le monde contribution de grande valeur à notre sécurité alimentaire la biodiversité a diminué au sein de la race Leur génétique supérieure n est pas optimisée Souvent pas adaptées à leur environnement Le métissage est fait au hasard Besoin d optimiser les programmes de sélection Besoin d optimiser les programmes de sélection associations d éleveurs et systèmes d enregistrement et d évaluation protection et utilisation durable des races locales la génomique pour identifier les meilleurs hybrides 11
12 Biodiversité au sein de l espèce Pays où l on rapporte la présence de bovins Holstein Holstein (noir et blanc) Présence Non rapporté Source : FAO, 2007 Biodiversité au sein de l espèce La grande capacité de production des Holstein en a fait la race la plus élevée dans le monde contribution de grande valeur à notre sécurité alimentaire la biodiversité a diminué au sein de la race Leur génétique supérieure n est pas optimisée Souvent pas adaptées à leur environnement Le métissage est fait au hasard Besoin d optimiser les programmes de sélection Besoin d optimiser les programmes de sélection associations d éleveurs et systèmes d enregistrement et d évaluation protection et utilisation durable des races locales la génomique pour identifier les meilleurs hybrides 12
13 Sélection : nutriments / azote L assimilation de l azote est presque un caractère génétique «idéal» Mesurable l azote uréique du lait est déjà enregistré couramment Variable de grandes différences existent entre les bovins Contrôlé génétiquement modérément héritable (h 2 = 0,20 à 0,40) pas de corrélation génétique antagoniste Affecte significativement la rentabilité l apport de protéines coûte cher l azote uréique est considéré comme de l azote gaspillé On peut aussi réduire l émission d oxyde d azote Sélection : l émission du méthane La sélection directe serait possible situation moins favorable que pour l azote lazote uréique pas enregistré de façon régulière et économique Il y a plusieurs circonstances favorables résultats préliminaires révèlent une variation génétique diverses technologies permettent de la mesurer d un grand intérêt politique soutien à la recherche la génomique pourrait rendre la sélection plus précise 13
14 Obstacles à la sélection directe Manque d incitatifs économiques pas de pénalité ni de primes pour l émission des GES la suralimentation en protéines est souvent économique Un indice de sélection diminuerait la réponse génétique pour les autres caractères Évaluer les différences dans la génétique de l émission de GESpeut être difficile d une ferme à l autre objectifs de sélection au sein de toute la race mesures incitatives à utiliser des taureaux supérieurs Autres approches La sélection indirecte est peut être la meilleure solution de rechange Au fil de l histoire de la vache Holstein, on a réduit de beaucoup son empreinte environnementale grâceà la sélection en faveur de la production 14
15 Relation entre production de lait, conversion alimentaire et émission de CH 4 Efficac ments) cité alimentaire (lb lait/lb d alim Méthane (lb/lb de lait) Production de lait (lb/vache/jour) Efficacité alim. Méthane/lait Knapp et al., 2010 Production améliorée : incidence Ressources / déchets par milliard de kg de lait (données US) Vaches, nombre Méthane, kg Oxyde d azote, kg Terres, ha Eau, L ,76 3,79 (Capper et al., 2009) 15
16 Sélection visant l efficacité totale Mais l augmentation de la production n est pas une solution miracle L aptitude à la reproduction a chuté avec le temps La longévité a diminué Ces deux facteurs sont associés à une hausse des GESà l échelle du troupeau Heureusement, les indices de sélection actuels tiennent compte de ces facteurs Conclusions et recommandations Agir maintenant pour atténuer l impact actuel et futur de la production laitière sur l environnement Intervenir au niveau de la gestion des troupeaux et du système de production laitière Les objectifs de sélection actuels ont des chances de continuer à réduire l émission de GES par vache les objectifs peuvent changer avec les nouvelles politiques environnementales besoin de recherche pour faciliter la sélection et déterminer les valeurs de rentabilité 16
17 Conclusions et recommandations La génétique Holstein a le potentiel d améliorer la sécurité alimentaire des pays en développement tout en réduisant les effets négatifs sur l environnement TOUTEFOIS la génétique doit s adapter à l environnement des Holstein pur sang dans les fermes bien gérées et en production intensive un métissagebien planifié dans les environnements moins favorables favoriser la gestion, l enregistrement, la sélection et les associations de races protéger les ressources génétiques locales au besoin 17
Pour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailCadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale
Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailPOURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR
POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailTreize mesures pour une agriculture écologique. Document de position des Verts suisses
Treize mesures pour une agriculture écologique Document de position des Verts suisses Adopté par l assemblée des délégué-e-s du 19 septembre 2009 Selon l article 104 de la Constitution fédérale, l agriculture
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailPLAN D ACTION MONDIAL POUR LES RESSOURCES ZOOGÉNÉTIQUES et la DÉCLARATION D INTERLAKEN
PLAN D ACTION MONDIAL POUR LES RESSOURCES ZOOGÉNÉTIQUES et la DÉCLARATION D INTERLAKEN COMMISSION DES RESSOURCES GÉNÉTIQUES POUR L ALIMENTATION ET L AGRICULTURE PLAN D ACTION MONDIAL POUR LES RESSOURCES
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailIndice de sélection pour les fermes laitières biologiques en Ontario. Paola Rozzi, Ph. D.
Indice de sélection pour les fermes laitières biologiques en Ontario Paola Rozzi, Ph. D. 1. Production laitière dans les fermes biologiques ontariennes...2 1.1 Moyennes en régie biologique et à l échelle
Plus en détailMonitoring de la durabilité de la production laitière
Monitoring de la durabilité de la production laitière 1 Contenu Inhoud 1. Une filière laitière durable: une demande ET une opportunité!...3 2 Une approche commune unique...4 3. Une approche sur mesure
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailQu est-ce qu un service rendu?
Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailQuelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international...
Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international... Véronique LUCAS Angers Entretiens de l'aei 29/10/2010 Mon regard particulier
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailDéveloppement durable : QU est-ce que c est?
Dossier pédagogique 5 Langues, géographie, sciences naturelles Développement durable : QU est-ce que c est? developpement durable, consommation, population, mondialisation, impacts environnementaux, empreinte
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailUne planète. Six engagements.
Une planète. Six engagements. Nous ne pouvons plus continuer ainsi L humanité est confrontée à son plus grand défi Chaque jour, notre planète se réveille avec 200 000 nouvelles bouches à nourrir. 1 Chaque
Plus en détailMONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE
MEDRIA 2014 DOSSIER DE PRESSE Alimentation-Reproduction-Santé MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE 1/18 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDRIA lance au SPACE 2014 sa dernière innovation, le FeedPhone
Plus en détailCTA Note politique. N 9 : Decembre 2012. Lors d un récent Briefing de Bruxelles sur le développement 1, des experts ont mis en lumière
9 N 9 : Decembre 2012 Pour une agriculture intelligente face au changement climatique CTA Note politique Orientations politiques Encourager les agriculteurs à adopter des pratiques intelligentes Identifier
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie
CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailCollecte et gestion de l information zootechnique
Collecte et gestion de l information zootechnique Erik Rehben (Responsable Systèmes d Information & Traçabilité Animale - Institut de l Elevage) Points abordés Seulement les ruminants, ni les porcins ni
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailÉlevage Le bénéfice des Systèmes d information et des technologies numériques
10:07 Page 29 Élevage Le bénéfice des Systèmes d information et des technologies numériques Les Systèmes d information (SI) d élevage répondent aux besoins de l «entreprise élevage» au sens large. Cette
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailLa Desertification. Résumé du rapport de l Evaluation des Ecosystèmes pour le Millénaire
La Desertification Résumé du rapport de l Evaluation des Ecosystèmes pour le Millénaire LA DÉSERTIFICATION est la dégradation persistante d écosystèmes des zones sèches. Elle menace les moyens d existence
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailAVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?
AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français
Plus en détailBLEU-BLANC-CŒUR ET VALOREX FONT DU CO 2 UNE MONNAIE
Dossier de presse & BLEU-BLANC-CŒUR ET VALOREX FONT DU CO 2 UNE MONNAIE Et l agriculture sera le premier secteur à l utiliser.. CETTE MONNAIE CO 2 REPOSE SUR UNE VALIDATION DES NATIONS UNIES ELLE ENCOURAGERA
Plus en détailNOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE
CONSTATS ET ENJEUX CHAPITRE 1 - NOTES TECHNIQUES ET ORDRES DE GRANDEURS - CDDRA DE LA DRÔME DES COLLINES - - Juin 2011 POINT INFORMATION ENERGIE 44 RUE FAVENTINES, BP 1022, 26010 VALENCE CEDEX tél. 04
Plus en détailInsurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014
Insurance of agricultural Risks Jeudi 30 Janvier 2014 1 Sommaire 1. Brève introduction d Al Amana Microfinance et de son historique dans le rural 2. Mécanisme d Assurance interne et comportement 3. Analyse
Plus en détailDTM Suite. PRECISION feeding. DTM Suite LE PRODUIT FONCTIONALITÉS ET AVANTAGES
LE PRODUIT DTM est un logiciel de gestion de l alimentation développé en collaboration avec des exploitants afin de répondre aux besoins de leurs fermes. DTM est l évolution d un logiciel qui offre aux
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailBesoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016
Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour
Plus en détailLa gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!
La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!
ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailAfin d intégrer aux mieux les enjeux auxquels le territoire est confronté, les contributions suivantes peuvent également être apportées :
D A MIXTE D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DU PAYS DE BRAY Contribution à l élaboration de la stratégie régionale du futur programme opérationnel et du futur programme de développement rural de la Haute-Normandie.
Plus en détailINTERACTIONS DU GENRE, DE LA BIODIVERSITÉ AGRICOLE ET DES SAVOIRS LOCAUX AU SERVICE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE
INTERACTIONS DU GENRE, DE LA BIODIVERSITÉ AGRICOLE ET DES SAVOIRS LOCAUX AU SERVICE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MANUEL DE FORMATION INTERACTIONS DU GENRE, DE LA BIODIVERSITÉ AGRICOLE ET DES SAVOIRS LOCAUX
Plus en détailBonus Bon Client 10 % Pack Modulis Agriculture Des garanties exclusives pour vous, vos activités et votre famille!
Bonus Bon Client 10 % Pack Modulis Agriculture Des garanties exclusives pour vous, vos activités et votre famille! Modulis, pour une vision globale et une gestion simplifiée de vos assurances! L agriculture
Plus en détailObjet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu
Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous
Plus en détailallianceautopropane.com
allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente
Plus en détailAutodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements
PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailAVIS D APPEL A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DES MEMBRES DU COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA)
REPUBLIQUE DU BENIN FRATERNITE JUSTICE TRAVAIL MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE SECRETARIAT GENERAL DU MINISTERE AGENCE BENINOISE DE SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS (ABSSA) 01 BP
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailREDD-plus. Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques.
REDD-plus Champ d application et des options pour le rôle des forêts dans les stratégies d atténuation des changements climatiques novembre 2009 Programme de Conservation des Forêts Le mécanisme REDD-plus
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailProduire des veaux bio de qualité
LOIRE ATLANTIQUE GAB 44 02-40-79-46-57 gab-44@wanadoo.fr MAINE ET LOIRE GABBAnjou 02-41-37-19-39 gabbanjou@wanadoo.fr MAYENNE CIVAM Bio 53 02-43-53-93-93 La filière veaux bio est à la recherche d une certaine
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailService de l agriculture
Yves Brunelli (Y.B.) Service de l agriculture Département de l économie, de l énergie et du territoire Service de l agriculture Departement für Volkswirtschaft, Energie und Raumentwicklung Dienststelle
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailDes territoires laitiers contrastés
Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailExigences en matière de bien-être animal Renée Bergeron, Ph.D., agr. Symposium sur les perspectives de l industrie laitière 2013
Exigences en matière de bien-être animal Renée Bergeron, Ph.D., agr. Symposium sur les perspectives de l industrie laitière 2013 Introduction Essor important du mouvement pour le bienêtre depuis le début
Plus en détail