La Charte de bientraitance
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- Matthieu Charpentier
- il y a 6 ans
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1 «Etre bientraitant», c est préserver l individualité, considérer la personne comme une personne à part entière et la respecter en tant que telle. La Charte de bientraitance Prendre en considération la liberté de choix et de décision du patient/résident afin de maintenir son autonomie Respecter l espace personnel du patient/résident et son intimité Préserver la dignité du patient/résident et son estime de soi Identifier les inquiétudes et les douleurs du patient/résident et chercher ensemble des réponses. Prendre en compte les goûts, les habitudes alimentaires du patient/résident et faire du repas un moment de plaisir. Favoriser les déplacements du patient/résident en respectant son confort, son rythme, et en tenant compte de ses désirs d aller et venir ainsi que de sa pathologie. Favoriser les liens et les échanges avec les proches et l entourage du patient/résident. Accompagner le patient/résident dans sa fin de vie. Etablir une démarche éthique comprenant l évaluation des pratiques professionnelles 299
2 LOGO ets PROPOSITION DE CHARTE DE PROMOTION DE LA BIENTRAITANCE XXX_000 Indice page La promotion de la bientraitance doit avoir pour objectif principal de construire et d adapter le parcours de soins du patient/résident. Le parcours de soins sera conjointement décidé et validé par le patient/résident et les professionnels de santé qui en ont la charge, tout en restant à l écoute de son entourage. La mise en place et le suivi du parcours de soins devront être évalués avec le patient/résident, en fonction des impératifs afférents à l organisation du Service et de l évolution de la situation du patient/résident. En vue d assurer la promotion de la bientraitance commune à tout type de prise en charge, l établissement et ses professionnels de santé adopteront les principes suivants : Prendre en considération la liberté de choix et de décision du patient/résident afin de maintenir son autonomie en permettant au patient/résident de désigner la personne de confiance en respectant la volonté du patient/résident (accord ou refus de soins) et en faisant preuve de tolérance (respecter la légitimité de la parole du patient/résident) en encourageant les professionnels à délivrer une information adaptée à la compréhension du patient/résident en identifiant les attentes du patient/résident y compris les besoins sociaux et psychologiques en recherchant de manière pluridisciplinaire et systématique les facultés de discernement du patient /résident ; cette recherche devra être reconduite de façon périodique et en systématique en informant le patient /résident des contraintes imposées par le règlement intérieur de l établissement et/ou du service ainsi que l organisation du service en ayant connaissance de la capacité juridique du patient /résident (mineur, majeur protégé) Respecter l espace personnel du patient/résident et son intimité. en respectant l intimité du patient/résident en respectant l espace «personnel» du patient/résident et ses croyances religieuses en respectant la fermeture des portes en respectant la confidentialité des échanges Préserver la dignité du patient/résident et son estime de soi en appliquant le vouvoiement en optimisant notre faculté d écoute pour répondre aux demandes des patients/résidents en favorisant le repos, le confort et la tranquillité du patient/résident en ne faisant aucune discrimination afin de garantir à tous le même accès aux soins en formalisant des bonnes pratiques professionnelles en offrant une prise en charge adaptée aux handicaps du patient/résident et/ou de son entourage en déterminant un projet personnalisé du patient/résident en hospitalisation de moyenne ou longue durée (respect du rythme et des habitudes de vie) Identifier les inquiétudes et les douleurs du patient/résident et chercher ensemble des réponses. en prévenant les cas de détresse psychologique 300
3 en assurant l information du patient /résident sur les bénéfices et les risques des soins proposés en animant le Comite de LUtte contre la Douleur ou en assurant une discussion pluridisciplinaire autour de la prise en charge de la douleur du patient/résident en améliorant la prise en charge de la douleur selon les recommandations de bonnes pratiques en évaluant périodiquement la douleur du patient/résident en formant les équipes de façon continue aux nouvelles techniques d analgésie Prendre en compte les goûts, les habitudes alimentaires du patient/résident et faire du repas un moment de plaisir. en animant le Comite de Liaison Alimentation et Nutrition ou toute autre institution en améliorant la prise en charge des repas (fabrication, distribution, aide à la prise au repas) en évaluant périodiquement l état nutritionnel du patient/résident afin de fournir des choix alimentaires adaptés Favoriser les déplacements du patient/résident en respectant son confort, son rythme, et en tenant compte de ses désirs d aller et venir ainsi que de sa pathologie. en organisant les déplacements du patient/résident et en tenant notamment compte de son confort en respectant sa pathologie et son traitement en appliquant les recommandations en matière de contention Favoriser les liens et les échanges avec les proches et l entourage du patient/résident. en respectant les conditions d accès au dossier médical en garantissant la confidentialité des informations relatives aux patients/résidents en informant le patient/résident de la survenue d un évènement indésirable lors de son séjour en prenant en compte l expression de l entourage (mise en place d enquêtes) afin d améliorer la prise en charge du patient/résident Accompagner le patient/résident dans sa fin de vie. en respectant les directives anticipées du patient/résident en consultant la personne de confiance et la famille du patient/résident en organisant selon les cas, une réflexion collégiale entre professionnels de santé en développant les soins palliatifs (notamment en créant un environnement sonore, olfactif et visuel agréable, ainsi qu en accompagnant la famille du patient/résident) Etablir une démarche éthique comprenant l évaluation des pratiques professionnelles en assurant une évaluation régulière des compétences professionnelles (individuelle et collective) en associant les usagers et le personnel à l amélioration de la qualité (CRUQCP) 301
4 Les principes de bientraitance : déclinaison d une charte Réseau Bas-Normand / REQUA Octobre 2012
5 Place de la charte dans le déploiement de la bientraitance La charte de bientraitance constitue un support pour un établissement qui s engage dans un projet institutionnel sur la bientraitance. Elle traduit les valeurs professionnelles fortes autour de la bientraitance auxquelles sont attachés les professionnels. Le déploiement de la charte de bientraitance au sein d un établissement est une étape dans la diffusion de la culture bientraitance et ouvre la voie aux développements d autres outils sur la bientraitance. But de la charte de bientraitance L objectif de la charte régionale de bientraitance est de mettre à disposition des établissements un outil partagé leur permettant de développer les bonnes pratiques de bientraitance. Ce support sert de réflexion et de partage des valeurs professionnelles autour de la bientraitance. Cibles de la charte de bientraitance Les cibles de la charte sont les établissements de santé et les établissements médico-sociaux de type établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Principe de la charte La charte s appuie sur la définition de la bientraitance adoptée par le groupe FORAP-HAS et qui a été libellée comme suit : La charte doit être intégrée dans la réflexion éthique des établissements. La charte décline 10 engagements permettant d identifier les actions de bientraitance dans les différentes étapes du parcours d un usager. Elle est accompagnée d un guide d utilisation. Méthode de mise en œuvre de la charte Chaque établissement définit les stratégies d utilisation de la charte en concertation avec les différentes instances de l établissement. Plusieurs approches ont été identifiées. Elles ont toutefois en commun : un groupe de travail bientraitance au sein de l établissement peut être constitué. Il est important que ce groupe de travail soit pluriprofessionnel ; le modèle de charte régionale a vocation à aider l établissement dans la réflexion sur les pratiques de bientraitance au sein de son établissement et à entretenir sur le long terme la réflexion ; un temps d appropriation de l outil est indispensable ; il est attendu que les 10 engagements de la charte soient déclinés avec des situations propres à chaque établissement. La charte doit être utilisée en apposant le logo de l établissement pour une meilleure personnalisation et une meilleure appropriation. La charte peut être utilisée telle quelle avec ses 10 points voire complétée. L établissement doit illustrer les 10 points avec ses propres exemples, des mots, des photographies, des poèmes, etc. Il ne s agit pas de placarder une affiche de plus. La charte est en effet diffusée avec son module d accompagnement, document indispensable, qui a pour but de faciliter l appropriation de l outil par les professionnels et les usagers, patients, familles qui peuvent être invités à apporter leur contribution. Ce support d accompagnement invite chaque professionnel ou personne à identifier des exemples tirés de sa pratique quotidienne ou du vécu de l institution pour illustrer chaque grand principe décliné dans la charte. Ainsi deux services mitoyens auront la même charte mais des supports d accompagnement propres, donc différents puisque personnalisés. 3
6 Les items de la charte Les illustrations propres à l équipe Adopter en toute circonstance une attitude professionnelle d écoute et de discernement à chaque étape du parcours de l usager. Donner à l usager et à ses proches une information accessible, individuelle et loyale. Garantir à l usager d être coauteur de son projet en prenant en compte sa liberté de choix et de décision. Mettre tout en œuvre pour respecter l intégrité physique et psychique, la dignité et l intimité de l usager. S imposer le respect de la confidentialité des informations relatives à l usager. Agir contre la douleur aiguë et/ou chronique physique et/ou morale. Accompagner la personne et ses proches dans la fin de vie. Les items de la charte sont affichés dans des lieux fréquentés et dans un format permettant une utilisation facile. Module d accompagnement Les illustrations sont implémentées au fils du temps lors de l identification d exemples par une équipe ou par une personne avec accord de l équipe : texte, images, poèmes, photographies, etc. Installation d un lieu de tion dans les services des «Acacias communica-». 1. Évaluation de la traçabilité de la douleur par examen des dossiers lors de chaque réunion de synthèse indicateur mensuel affiché en salle de soins. 2. Appel de la psychologue systématique lors de toute modification comportementale. 1. Mise en place d une échelle d EDMONTON implémentée autant que nécessaire pour toute personne en fin de vie. 2. Évaluation des «manques» dans l accompagnement des familles de toute personne accompagnée et décédée. 3. Évaluation des difficultés d accompagnement des membres de l équipe après tout décès. Rechercher constamment l amélioration des prestations d accueil, d hôtellerie, d hygiène, de transports, etc. Garantir une prise en charge médicale et soignante conforme aux bonnes pratiques et recommandations. Évaluer et prendre en compte la satisfaction des usagers et de leur entourage dans la dynamique d amélioration continue des services proposés. 4
7 La charte doit être intégrée dans la réflexion éthique des établissements de santé, médicosociaux et sociaux. En pratique différentes approches d implémentation de la charte sont possibles : 1. «La pause des pauses» : lors de la pause de chaque équipe, les professionnels ont instauré une minute d interrogation collective : qu est-ce qui vous a marqué ce matin lors de l accompagnement, des soins parmi les usagers de votre secteur? Oh cela ne figure pas sur notre charte illustrée et d aller inscrire cette action validée de tous (es). 2. «Le quart d heure bientraitance» : lors de réunions de service, de travail ou autre, (dont la périodicité est définie) les professionnels de santé sont amenés à réfléchir successivement sur chaque item de la charte (un item par réunion identifié d une réunion à l autre) et à proposer des illustrations tirées de leur activité quotidienne. La recherche d exemples peut être faite par «brainstorming». Au fur et à mesure des réflexions, le document d accompagnement est complété et la charte ainsi affichée prend un sens propre et s enrichit d une valeur partagée. Le module d accompagnement se présente alors sous forme d affiche qui se complète au cours de chaque réunion. Le module d accompagnement peut être illustré de photographies, dessins, poèmes en relation toujours avec l item de la charte qu il illustre. Annuellement lors de la fête de l établissement les chartes et leurs modules support sont présentés et affichés. Au total, la règle d implémentation peut varier, elle est laissée à l appréciation de chaque unité diffusant la charte : un exemple par jour proposé par un agent validé par une équipe, ou un exemple à chaque réunion d échange entre les membres de l équipe, ou lors de réunions «promotion de la bientraitance» ou en liaison avec d autres instances (éthique) Le module d'accompagnement peut être validé par les instances (CRU, CME, CS) pour une valeur ajoutée ou par les CVS. Dans tous les cas, il est important de partager. Ce temps de partage permet à chacun d identifier des actions réalisées dans les unités, services voisins ; ainsi se créent une émulation et un partage autour de valeurs plutôt qu une mise en commun de «mal faire» lors d une réunion qui rapporterait des actions susceptibles de conduire à la maltraitance voire maltraitantes. Il apparaît important d accompagner les professionnels sur le chemin de la promotion de la bientraitance. Temps de mise en œuvre de la charte Le temps de mise en œuvre de la charte au sein d un établissement est évalué à environ 1 an. 3. «La réflexion institutionnelle» : lors des réunions de la CRUQPC ou du CVS une réflexion institutionnelle est menée par les usagers et familles avec les professionnels. Ils ont identifié des modifications dans l accompagnement de leurs proches Ils l indiquent dans le module d accompagnement en y inscrivant les exemples des usagers. 4. Et après «les comités bientraitance» : un établissement organise à périodicité définie des réunions «comité bientraitance». Lors de chacune d elle, le module d accompagnement est implémenté en format A2 et il est affiché jusqu à la réunion suivante. Les réunions sont animées à tour de rôle par deux représentants de familles ou par deux professionnels de fonction différente. 5
8 CHARTE DE BIENTRAITANCE 1. Adopter en toute circonstance une attitude professionnelle d écoute et de discernement à chaque étape du parcours de l usager. 2. Donner à l usager et à ses proches une information accessible, individuelle et loyale. 3. Garantir à l usager d être coauteur de son projet en prenant en compte sa liberté de choix et de décision. 4. Mettre tout en œuvre pour respecter l intégrité physique et psychique, la dignité et l intimité de l usager. 5. S imposer le respect de la confidentialité des informations relatives à l usager. 6. Agir contre la douleur aiguë et/ou chronique physique et/ou morale. 7. Accompagner la personne et ses proches dans la fin de vie. 8. Rechercher constamment l amélioration des prestations d accueil, d hôtellerie, d hygiène, de transports, etc. 9. Garantir une prise en charge médicale et soignante conforme aux bonnes pratiques et recommandations. 10. Évaluer et prendre en compte la satisfaction des usagers et de leur entourage dans la dynamique d amélioration continue des services proposés. 6
9 Haute Autorité de Santé Octobre 2012
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