1. ÉTATS ET CHANGEMENTS D ÉTAT DE L EAU

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1. ÉTATS ET CHANGEMENTS D ÉTAT DE L EAU"

Transcription

1 LE PROGRAMME LA MATIÈRE 1. ÉTATS ET CHANGEMENTS D ÉTAT DE L EAU Introduction La connaissance de la matière qui compose toute chose en ce monde est naturellement un point de départ indispensable. Après avoir étudié la constitution de la matière et ses divers états, nous aborderons les notions de mélange et de solution, et plus particulièrement le mélange gazeux qu est l air Constitution de la matière La matière est constituée d atomes (@GL.). Un atome a une dimension de l ordre de m, soit un dixième de milliardième de mètre. Il est constitué d un noyau comportant deux sortes de particules (protons et neutrons) autour duquel gravitent des électrons. Le diamètre du noyau est de l ordre de m, c est-à-dire fois moins que celui de l atome. Cela met en évidence le fait que la matière est essentiellement constituée de vide, on dit qu elle a une structure lacunaire. Souvent, les atomes sont associés dans des molécules (@GL.). Par exemple, la molécule d eau, notée (H 2 O), est constituée d un atome d oxygène central (O) relié à deux atomes d hydrogène (H). Certains corps contiennent des ions. Un ion est un atome (ou un groupe d atomes) qui a gagné ou perdu un ou plusieurs électrons. Par exemple, le sel de cuisine est essentiellement fait d ions sodium Na + et d ions chlorure Cl -. (@AI. Structure de la matière)

2 ÉTATS ET CHANGEMENTS D ÉTAT DE L EAU 1.2. Les trois états de la matière Les différents changements d état sont résumés sur le schéma ci-dessous : Un corps peut exister sous trois états : solide, liquide ou gazeux. L état solide est un état compact et ordonné. Dans un solide, les molécules occupent des positions fixes et sont ordonnées de façon stable. Cela permet de comprendre pourquoi les solides ont une forme propre (exemples : la glace, un morceau de fer...). Si l on chauffe un solide, les molécules vibreront plus fortement autour de leur position d équilibre mais cela n affectera pas leur agencement. 38 L état liquide est un état compact et désordonné. Dans un liquide, les molécules n occupent pas de position fixe et se déplacent de façon désordonnée mais l espace occupé a toujours un volume déterminé. Contrairement au solide, un liquide n a pas de forme propre ; il prend la forme du récipient dans lequel il se trouve. Au repos, sa surface libre est horizontale. Le fait de chauffer un liquide augmente l agitation de ses molécules. L état gazeux est un état désordonné et dispersé. Les molécules sont éloignées les unes par rapport aux autres et se déplacent de façon désordonnée. Un gaz occupe tout le volume qui lui est offert ; on dit qu il est expansif. On peut aisément comprimer un gaz, c est-à-dire diminuer l espace qui lui est offert, ce qui n est pas le cas pour les liquides par exemple Changements d état Notion de corps pur 1 : fusion - 2 : solidification - 3 : sublimation - 4 : condensation solide - 5 : vaporisation - 6 : liquéfaction (ou «condensation») Si l on considère que la pression ne varie pas, la fusion, la vaporisation et la sublimation nécessitent une élévation de température, donc un apport d énergie. Par exemple, la fusion de la glace nécessite bien un chauffage. Existence d un palier Réalisons maintenant l expérience suivante : dans un récipient laissé à température ambiante, sous une pression normale, on place de la glace pilée. On introduit un thermomètre et on relève la température toutes les minutes. On obtient le graphique suivant, caractéristique de la fusion de la glace : 39 Un corps pur (@GL.) ne contient qu un seul type d atomes, d ions ou de molécules. Par exemple, l eau pure ne contient que des molécules d eau H 2 O. À l opposé, un mélange hétérogène (@GL.) contient plusieurs espèces chimiques différentes. Par exemple, l air contient des molécules de diazote N 2, de dioxygène O 2, et d autres molécules en proportion plus faible Changements d état d un corps pur Définitions Si l on modifie la température ou la pression, un corps pur peut changer d état. Par exemple, si l on refroidit de l eau liquide, celle-ci peut passer à l état solide, c est-à-dire sous forme de glace : on dit qu on a réalisé la solidification de l eau liquide. À l inverse, si l on chauffe de la glace, celle-ci peut repasser sous forme d eau liquide : on dit alors qu on a réalisé la fusion de la glace. Ces exemples mettent aussi en évidence le fait que les changements d état sont toujours réversibles : quand un corps change d état, le changement d état inverse est toujours possible. On remarque un palier à 0 C : la température reste constante tout au long de la transformation de la glace en eau liquide. Ce palier est caractéristique des corps purs. Toutefois, la température à laquelle il sera observé dépend du corps : 0 C pour la fusion de l eau et 100 C lors de son ébullition, pour le fer, c est respectivement 1535 C et 3000 C. Tout au long du palier, l énergie apportée ne sert pas à échauffer le corps mais à réaliser son changement d état.

3 ÉTATS ET CHANGEMENTS D ÉTAT DE L EAU Pour la solidification de l eau liquide, on observe la même propriété : - l ébullition se produit dans l intégralité du liquide. Pour l eau pure, on l obtient à la température précise de 100 C (dans la pratique, avec de l eau du robinet, on obtient une valeur légèrement inférieure), de grosses bulles de vapeur se forment alors à l intérieur de l eau. Attention, les petites bulles que l on observe au début du chauffage, à des températures inférieures à 100 C, sont des bulles d air initialement dissous qui sont expulsées de l eau quand sa température augmente. En effet, la solubilité des gaz dans l eau diminue quand la température augmente. Variations de masse et de volume 40 Là encore, nous observons un palier à 0 C. Température et pression Les températures de changement d état dépendent de la pression. Pour l eau, la température de fusion est de 0 C et la température d ébullition 100 C sous la pression atmosphérique normale, à savoir 1013 hectopascals (1 hpa = 100 Pa). Si la pression augmente ou diminue, ces températures sont modifiées. Dans un autocuiseur, la pression étant plus importante que la pression atmosphérique, l eau atteint l ébullition à une température supérieure à 100 C. Ainsi, les aliments cuisent plus vite que dans une casserole, où la température de l eau est «plafonnée» à 100 C. Quand l altitude augmente, la pression atmosphérique diminue. La température d ébullition de l eau est donc de plus en plus faible au fur et à mesure que l altitude augmente. Par exemple, au sommet de l Everest, elle est de 72 C : difficile dans ces conditions d arriver à faire cuire un pot-au-feu! Ne pas confondre La vaporisation désigne le passage de l état liquide à l état gazeux. Mais ce passage peut se faire de deux façons différentes : - l évaporation est observée à des températures ordinaires, elle se produit à la surface entre le liquide et l air. Elle dépend de la nature du liquide, de la surface de contact air/liquide, de la température, de la ventilation, du taux d humidité de l air, etc. Quand une flaque a disparu ou que du linge a séché, de l eau s est évaporée. Nous avons tous remarqué que le linge sèche plus vite quand il fait chaud ou que le vent souffle, ce qui confirme les propriétés précédentes ; Lors d un changement d état, la masse se conserve, elle ne varie pas. Rappelons que l unité officielle de masse est le kilogramme. En revanche, le volume varie. Pour l eau, par exemple, celui-ci augmente au cours de la solidification (il faut toujours être prudent lorsqu on place une bouteille fermée dans un congélateur car elle risque d exploser à cause de l augmentation de volume de son contenu). Toutefois, il s agit d une exception : pour la grande majorité des corps, le volume diminue à la solidification. L unité officielle de volume est le mètre cube (m 3 ) mais on emploie fréquemment des unités plus pratiques, comme le litre (1 L = 1 dm 3 = 10-3 m 3 ) et ses sous-multiples comme le millilitre (1 ml = 1 cm 3 =10-6 m 3 ). Dans les conditions usuelles, la masse de 1 L d eau est voisine de 1 kg. On dit aussi que sa masse volumique est de 1 kg/l, soit 10 3 kg/m 3. Illustrations des trois états physiques de l eau Sous forme gazeuse, l eau porte le nom de vapeur (@GL.). La vapeur d eau est invisible. Dans l air, il y a toujours une certaine quantité de vapeur d eau, variable selon les conditions atmosphériques, que nous ne pouvons observer directement. Ainsi, nous comprenons que les nuages ne peuvent pas être constitués de vapeur d eau ; ils sont en fait formés de gouttelettes d eau liquide ou de cristaux de glace (si leur concentration est très importante, la lumière ne peut plus traverser le nuage qui sera alors vu noir depuis le sol). Un nuage se forme lorsque de l air humide subit un refroidissement. En effet, l air ne peut contenir qu une certaine quantité de vapeur d eau et cette quantité «plafond» diminue lorsque la température baisse. Par conséquent, si de l air humide se refroidit, il pourra contenir de moins en moins de vapeur d eau et lorsque le seuil sera atteint, une partie de la vapeur d eau qu il contient devra se liquéfier, d où la formation des gouttelettes d eau liquide constituant le nuage. Le brouillard et la brume sont en fait des nuages qui ont touché le sol. Dans un autocuiseur, le jet que l on peut voir quand on enlève la soupape est un jet de brouillard, contrairement à une idée communément répandue qui le qualifie de «vapeur». 41

4 LA MATIÈRE Quand on sort une bouteille du réfrigérateur, celle-ci se couvre de buée. La buée est constituée de fines gouttelettes d eau liquide qui proviennent de la liquéfaction d une partie de la vapeur d eau contenue dans l air ambiant. Imaginons que celui-ci se trouve à une température de 20 C, quand il entre en contact avec la bouteille sortant du réfrigérateur, sa température diminue localement. La quantité maximale de vapeur qu il peut contenir va donc également diminuer, une partie de cette vapeur va ainsi devoir se liquéfier : c est la buée que l on observe sur les parois de la bouteille. On observe le même phénomène quand on souffle sur une vitre froide. La rosée obéit à une même logique : il s agit d eau liquide formée suite à un refroidissement d air humide. 2. MÉLANGES ET SOLUTIONS Dans le cas du givre, la vapeur d eau ne se dépose pas sous forme de gouttelettes mais directement sous forme de glace à condition que la température soit négative. Attention à l utilisation du mot fumée : au sens strict du terme, il s agit de petites particules solides en suspension dans l air, comme dans le cas de la fumée de cigarette par exemple. Quand on porte de l eau à ébullition dans une casserole, ce n est pas de la fumée qu on observe au-dessus mais un brouillard L eau 42 (@AI. Changement d état des corps purs et des mélanges) Changements d état des mélanges Quand un mélange change d état, on n observe plus de palier. Considérons par exemple la courbe de solidification de l eau salée : la température diminue au cours du temps mais il n y a plus de palier à une température précise, contrairement aux corps purs. L eau est omniprésente dans notre environnement, par exemple dans les boissons ou les organismes vivants. Pour détecter la présence d eau dans un corps, on peut utiliser le test au sulfate de cuivre anhydre (CuSO 4 ) : celui-ci, initialement blanc, devient bleu au contact de l eau. Si l on coupe une pomme en deux et que l on dépose un peu de sulfate de cuivre anhydre à l intérieur, celui-ci bleuit, on en conclut donc que la pomme contient de l eau. Attention, la pomme n est ensuite plus consommable! 2.2. Mélanges homogènes ou hétérogènes 43 Un mélange est constitué de plusieurs espèces chimiques différentes, par opposition au corps pur. On distingue deux types de mélanges : les mélanges homogènes et les mélanges hétérogènes Les mélanges hétérogènes Définition La température de début de solidification d un mélange eau/sel dépend de la teneur en sel. Pour un mélange contenant 10 grammes de sel pour 100 grammes d eau, elle est de -3 C. Pour 25 grammes, elle est de -20 C. Ces propriétés trouvent leur application dans le salage des routes en hiver. Ce sont des mélanges dont on peut distinguer facilement les divers constituants. Par exemple, un mélange d eau et d huile est hétérogène, de même qu un mélange d eau et de sable ou d eau et de terre. Une fumée peut être considérée comme un mélange hétérogène, puisque nous avons vu qu il s agissait de particules solides en suspension dans l air.

5 MÉLANGES ET SOLUTIONS Séparation Pour séparer les constituants d un mélange hétérogène, on peut procéder à une décantation (@GL.) : on laisse reposer le mélange un certain temps, de telle sorte que les substances les plus denses se déposent au fond du récipient. Par exemple, pour un mélange eau/terre, la terre se déposera au fond et de l eau limpide surnagera. Dans le cas d un mélange eau/huile, l huile étant moins dense que l eau, elle surnagera. Il en est de même pour un mélange eau/pétrole, ce qui explique la formation de grandes «nappes» à la surface de l eau lors des catastrophes pétrolières. nommé filtrat. Par exemple, si on filtre un jus d orange, la pulpe sera retenue dans le filtre alors que le jus débarrassé de sa pulpe s écoulera sous l entonnoir. 44 L ampoule à décanter permet de séparer les constituants d un mélange hétérogène liquide/liquide. On place le mélange dans l ampoule, puis on laisse décanter. Le liquide le moins dense surnage et on peut séparer les deux constituants grâce au robinet situé en bas de l ampoule. Étudions le cas particulier des eaux gazeuses. Celles-ci contiennent du dioxyde de carbone gazeux (CO 2 ) dissous. On peut mettre ceci en évidence en recueillant ce gaz et en le faisant passer dans de l eau de chaux qui se trouble, signe caractéristique de la présence de dioxyde de carbone. Pour séparer le dioxyde de carbone de l eau, on peut procéder au dégazage de l eau pétillante : la masse du liquide diminue alors car le dioxyde de carbone extrait possède une masse (environ 1,9 gramme par litre de gaz) Les mélanges homogènes 45 Définitions Un mélange est homogène si on ne distingue pas ses différents constituants. Par exemple, le café est un mélange homogène, au même titre qu un sirop de menthe. Rappelons que la densité d un solide ou d un liquide est une grandeur sans unité, égale au rapport entre la masse d un litre de ce corps et la masse d un litre d eau. Ainsi, l eau a une densité égale à 1. Un corps moins dense que l eau a une densité inférieure à 1 (il «flotte» dans l eau), un corps plus dense une densité supérieure à 1 (il «coule»). Une autre technique de séparation est la centrifugation (@GL.) : on fait tourner le mélange à grande vitesse, afin d en séparer les constituants. Dans l industrie alimentaire, elle est utilisée pour séparer la crème du lait, ou pour enlever certaines particules du vin. (@DOC. La centrifugation) Dans le cas d un mélange hétérogène solide/liquide, la séparation peut être effectuée par filtration (@GL.) : on place le mélange dans un papier filtre disposé dans un entonnoir ; dans le papier, on récupère le résidu et sous l entonnoir s écoule un liquide L eau est un très bon solvant, elle peut faire des mélanges homogènes avec un grand nombre de corps très variés : des solides comme le sel ou le sucre, des liquides comme l alcool ou le sirop (on dit dans ce cas que l eau et l alcool ou le sirop sont miscibles) ou encore des gaz comme le dioxyde de carbone. Toutefois, on ne peut pas dissoudre des quantités illimitées de ces corps dans l eau, il existe toujours une limite appelée solubilité (@GL.). Par exemple, à 25 C, on ne peut pas dissoudre plus de 365 grammes de sel dans un litre d eau (en général, la solubilité augmente avec la température). Au-delà, la solution sera dite saturée, tout le sel rajouté ne se dissoudra plus et se déposera au fond du récipient sous forme solide. Dans le cas d un mélange homogène où l un des constituants joue un rôle particulier, très différent des autres, on parle de solution (@GL.). Dans une solution, on distingue le solvant qui est l espèce très majoritaire (il s agit souvent de l eau), et le soluté qui est l espèce que l on a dissoute dans le solvant. Par exemple, si l on dissout 5 grammes de sel (chlorure de sodium) dans 1 litre d eau, on obtiendra une solution de chlorure de sodium ; l eau sera le solvant et le sel, le soluté. Cette solution aura une concentration massique de 5 grammes par litre.

6 LA MATIÈRE Au cours d une dissolution, la masse totale se conserve : la masse du solvant plus celle du soluté avant dissolution est égale à la masse de la solution. Par exemple, si l on dissout 5 grammes de sucre dans 100 grammes d eau, la solution aura une masse de 105 grammes. Attention, un abus de langage fréquent confond dissolution et fusion : le sucre ne fond pas dans le café, il s y dissout! 3. PROPRIÉTÉS PHYSIQUES DES GAZ Séparation Pour séparer les constituants d un mélange homogène, on peut procéder par distillation (@GL.). Cette méthode est basée sur les différences de températures d ébullition des constituants du mélange. Le montage utilisé est le suivant : 46 par exemple, si l on place du vin (qui est un mélange d eau, d éthanol (alcool) et de diverses substances) dans le ballon et que l on chauffe à une température de 80 C : l éthanol va se vaporiser car sa température d ébullition est de 78 C ; les vapeurs d éthanol vont passer dans le tube réfrigérant et se liquéfier car celui-ci est maintenu froid à l aide d une circulation d eau. Au bout du tube réfrigérant, on récupérera l éthanol contenu dans le vin. L eau, en revanche, restera sous forme liquide dans le ballon car 80 C est une température inférieure à sa température d ébullition, 100 C. Ainsi, nous aurons séparé l eau de l alcool dans le vin. Dans la pratique, cette séparation n est jamais «parfaite» et il faut procéder à plusieurs distillations consécutives pour obtenir de l alcool de plus en plus pur. Les techniques traditionnelles de fabrication de l eau de vie sont basées sur ce principe L air que nous respirons L air que nous respirons est un mélange de gaz, dont la composition est la suivante : Gaz Proportion (en volume) Diazote 78 % Dioxygène 21 % Autres (argon, dioxyde de carbone, dihydrogène, ozone), etc. Quand il y a dans l air une quantité trop importante de certains de ses constituants (oxydes de soufre, oxydes d azote, ozone, fines particules...), on dit que l air est «pollué». La pollution peut entraîner des problèmes de santé, par exemple au niveau respiratoire. 1 % 47 Si l on pratique la distillation d une eau minérale, on obtiendra une eau quasiment pure, débarrassée de la plupart de ses minéraux. L expérience fonctionne également avec de l eau salée. La couche de gaz qui entoure la Terre s appelle l atmosphère. Celle-ci est divisée en plusieurs parties, en fonction de l altitude. Sa composition dépend de l altitude, tout comme la température et la pression. (@DOC. Coupe atmosphérique) Autre technique de séparation : l évaporation. Prenons une eau fortement minéralisée et laissons-la s évaporer. Après un certain temps, il ne restera dans le récipient qu un résidu solide, correspondant aux minéraux initialement dissous dans l eau. (@AI. Distillation Mélange homogène ou hétérogène) L atmosphère est responsable d un phénomène bien connu : l effet de serre. En effet, elle agit comme un «bouclier» pour certains des rayonnements provenant de la Terre, ce qui permet de maintenir la température moyenne de notre planète à une valeur de 15 C alors que s il n existait pas, elle serait de -18 C. Toutefois, une accumulation trop importante de gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone, dans l atmosphère terrestre, engendre un réchauffement aux conséquences parfois néfastes.

7 PROPRIÉTÉS PHYSIQUES DES GAZ L air qui nous entoure exerce sur tous les corps avec lesquels il est en contact, une pression appelée pression atmosphérique (@GL.) dont la valeur moyenne est de 1013 hpa (ou 760 mm de mercure). Si la valeur de la pression atmosphérique est inférieure à 1013 hpa, on parle de système dépressionnaire (qui accompagne généralement du mauvais temps), si elle est supérieure à 1013 hpa, il s agit d un anticyclone (temps sec). La pression atmosphérique se mesure avec un baromètre (@GL.). Nous avons vu que sa valeur dépendait des conditions météorologiques, elle dépend également de l altitude : la pression atmosphérique diminue quand l altitude augmente L air a-t-il un volume propre? Une masse? Pistes pour une démarche d investigation - Pourquoi la flaque qui était dans la cour hier n est-elle plus là? - L air a-t-il une masse? - Peut-on dissoudre autant de sucre que l on veut dans un verre d eau? - Une eau limpide est-elle forcément pure? - L eau est-elle toujours liquide? N oubliez pas de consulter (@BIB. sur «La matière». 48 Un litre d air, sous une pression normale, à une température de 0 C, possède une masse de 1,29 gramme environ. À 20 C, cette valeur est légèrement inférieure, de l ordre de 1,2 gramme. (@DOC. L air a-t-il une masse?) L air est donc de la matière et il en est de même pour tous les gaz. Toutefois, la masse d un litre de gaz dépend de la nature du gaz, par exemple celle du dioxyde de carbone, à 20 C, est de 1,9 gramme. Considérons maintenant l expérience suivante : on prend une seringue contenant une certaine quantité d air et on la relie à un manomètre (appareil servant à mesurer la pression de l air à l intérieur de la seringue). Si l on appuie sur le piston, on diminue le volume offert à cet air, on dit qu on le comprime. Cette compression s accompagne d une augmentation de la pression ; au niveau microscopique, les molécules constituant l air se rapprochent. Si l on tire maintenant sur le piston, on augmente le volume offert à l air, ce qui s accompagne d une diminution de sa pression. Ainsi, on en déduit que les gaz sont compressibles et expansibles. Ils occupent tout le volume qui leur est offert. 49 (@AI. Expansibilité des gaz)

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

Sommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2

Sommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 Sommaire La pression des gaz Séance 1 Comprimer de l air Séance 2 Mesurer la pression d un gaz Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 24 Cned, Physique - Chimie

Plus en détail

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution : SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Notions physiques Niveau 2

Notions physiques Niveau 2 14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?

Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture? Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Comment bien s hydrater pendant l été?

Comment bien s hydrater pendant l été? Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température

Plus en détail

GANACHE AU CHOCOLAT BLANC. Lait Selection 33,5% Lait Caramel 34,5% Crème fraîche à 35% 250 250 250 250 250 250 250 250

GANACHE AU CHOCOLAT BLANC. Lait Selection 33,5% Lait Caramel 34,5% Crème fraîche à 35% 250 250 250 250 250 250 250 250 Ganac h e pour enrobage Préparation : Chauffer la crème et le sucre inverti à 80 C. Verser ensuite la crème chauffée directement sur le chocolat (+ beurre de cacao si nécessaire), et bien mélanger. Ajouter

Plus en détail

3 Charges électriques

3 Charges électriques 3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier

Plus en détail

L eau liquide a des propriétés

L eau liquide a des propriétés Eau à l état gazeux ELLE EXISTE SOUS DIFFERENTES FORMES OU ETATS Eau à l état solide ELLE PEUT PASSER D UN ETAT À L AUTRE CYCLE DE L EAU Eau à l état liquide Elle dissout Faire des mélanges NOUS UTILISONS

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ

Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé

Plus en détail

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0

IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 La fusion gourmande... ou comment fondre de plaisir! Quitterions-nous le domaine des sciences pour une nouvelle rubrique culinaire? Ce serait, pour le moins,

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Variantes du cycle à compression de vapeur

Variantes du cycle à compression de vapeur Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

Gâteau à la mousse au chocolat. Recette par Adriano Zumbo

Gâteau à la mousse au chocolat. Recette par Adriano Zumbo 1. Pâte du sablé à la cannelle 285 g de beurre froid en cubes 185 g de sucre en poudre 375 g de farine blanche 1 œuf 2 g de cannelle moulue ¼ de gousse de vanille râpée 1. Préchauffer le four à 160 ºC.

Plus en détail

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent

Plus en détail

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,

Plus en détail

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE

CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

Savoir écouter, assimiler : s approprier

Savoir écouter, assimiler : s approprier PCSI TP-DI Chimie organique INITIATION A LA CHIMIE ORGANIQUE Travail élève : savoirs et actions Compétences attendues Au début du TP, quelques explications orales sur le déroulement de la séance, sur le

Plus en détail

Synthèse et propriétés des savons.

Synthèse et propriétés des savons. Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

STAGE CUISINE MARDI 6 OCTOBRE 2009 CUISINE DU MARCHE

STAGE CUISINE MARDI 6 OCTOBRE 2009 CUISINE DU MARCHE STAGE CUISINE MARDI 6 OCTOBRE 2009 CUISINE DU MARCHE RECETTE N 1 Escalope de foie gras rôti, pommes de terre confite, oignon rouge et jus au vin rouge. 100 g d échalotes 4 g poivre mignonnette 2 g de coriandre

Plus en détail

EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU

EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU DOCUMENT D AIDE A LA PREPARATION DE LA CLASSE Plan de Rénovation de l Enseignement des Sciences et de la Technologie A l école au cycle 3. EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU Groupe sciences Isère

Plus en détail

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Le dioxyde de carbone Le dioxyde de carbone est un gaz incolore, quasiment inodore et insipide. Il est donc pratiquement indétectable par les

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel?

Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Quel Sont les 7 couleurs de l arc en ciel? Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet Pourquoi a on défini 7 couleurs pour l arc an ciel A cause de l'analogie entre la lumière et le son, la gamme

Plus en détail

Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme

Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Programme National de Lutte Contre le Paludisme Planches pour le Diagnostic microscopique du paludisme Ces planches visent à améliorer le diagnostic

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée

Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles. L unité de mesure la plus appropriée Activités de mesures sur la masse à l aide d unités de mesure conventionnelles L unité de mesure la plus appropriée Dans cette activité, l élève choisit l unité de mesure la plus appropriée pour déterminer

Plus en détail

Le séchage des ateliers :

Le séchage des ateliers : Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.

Plus en détail

Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat LES CARAMELS MOUS

Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat LES CARAMELS MOUS LA CONFISERIE Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat Préambule LES CARAMELS MOUS Du latin «cannamella» qui signifie «canne à sucre» Proprement dit, le caramel est

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.

Plus en détail

Travaux pratiques de pâtisserie CFA Avignon http://cfa84patis.free.fr

Travaux pratiques de pâtisserie CFA Avignon http://cfa84patis.free.fr Brioche Farine de force type 45 500g Sel 10g Sucre 50g Levure 25g Œufs 7 Eau pour délayer la levure beurre 300g Pétrir doucement en hydratant la pâte petit à petit Eviter de chauffer la pâte en pétrissant

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE

TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE La synthèse organique suit en général le schéma suivant : Synthèse Séparation des produits Caractérisation du produit Pur? Oui Fin. Evaluation du rendement Non Purification

Plus en détail

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

Informations produit

Informations produit Informations produit Ce document légal doit être conservé en magasin et mis à la disposition des clients ou représentants chargés de faire respecter la loi sur demande. Version 8 mars 2015 60616 Gâteau

Plus en détail

TARIF DES DOUANES - ANNEXE IV - 1

TARIF DES DOUANES - ANNEXE IV - 1 TARIF DES DOUANES - ANNEXE IV - 1 Section IV PRODUITS DES INDUSTRIES ALIMENTAIRES; BOISSONS, LIQUIDES ALCOOLIQUES ET VINAIGRES; TABACS ET SUCCÉDANÉS DE TABAC FABRIQUÉS Note. 1. Dans la présente Section,

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

LAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.

LAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates. SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas

Plus en détail

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES ~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices

Plus en détail

Livre de Recettes *** Tracy Allesina

Livre de Recettes *** Tracy Allesina Livre de Recettes Tracy Allesina Entremets Sablé Noisettes, crémeux à la passion Pâte sablée à la noisettes - 250 g de farine - 100 g de sucre - 50 g de poudre de noisettes - 125 g de beurre - 1 oeuf -

Plus en détail

Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur

Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.

Plus en détail

La Vinification en Alsace

La Vinification en Alsace La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

Guide du bon contrôle de fuite

Guide du bon contrôle de fuite Projet ZERO émissions et fuite de fluide frigorigène Guide du bon contrôle de fuite Traduit et adapté à la France par l www.afce.asso.fr Page 0 Guide du bon contrôle de fuite L Institut de Réfrigération

Plus en détail

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des

Plus en détail

Chapitre 10 : Mécanique des fluides

Chapitre 10 : Mécanique des fluides Chapitre 10 : Mécanique des fluides 1. Pression hydrostatique Les fluides regroupent gaz et liquides. En général, on considère des fluides incompressibles. Ce n est plus le cas en thermodynamique. Un objet

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

Exercices sur le thème II : Les savons

Exercices sur le thème II : Les savons Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

St-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504. Oxygène Liquide INFORMATION SUR LE PRODUIT

St-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504. Oxygène Liquide INFORMATION SUR LE PRODUIT 1-800-561-9465 Tel: 514-956-7503 Fax: 514-956-7504 Internet: www.megs.ca Email : support@megs.ca PRICIPAUX BUREAUX DE VENTES Montréal (Siège Social) St-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504 Ottawa

Plus en détail