Projet d extension de la station d épuration Emeraude Dossier de demande d autorisation d exploiter le système d assainissement NOTE COMPLEMENTAIRE
|
|
- Yolande Goudreau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 13NRH033-v0 Mars 2015 Projet d extension de la station d épuration Emeraude Dossier de demande d autorisation d exploiter le système d assainissement NOTE COMPLEMENTAIRE Direction PARC DE L'ILE - 15/27 RUE DU PORT NANTERRE CEDEX Agence de Rouen Immeuble Le Trident - 18 rue Henri Rivière Rouen SAFEGE, CONCEPTEUR DE SOLUTIONS D'AMENAGEMENT DURABLE
2 Vérification des documents IMP411 Numéro du projet : 14NRH033 Intitulé du projet : DLE step Emeraude Intitulé du document : Projet d extension de la station d épuration Emeraude - Dossier de demande d autorisation d exploiter NOE COMPLEMENTAIRE Version Rédacteur NOM / Prénom Vérificateur NOM / Prénom Date d envoi JJ/MM/AA COMMENTAIRES Documents de référence / Description des modifications essentielles 0 Gilles LABROUCHE Version initiale 1 Gilles LABROUCHE Version complétée des conventions
3 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Sommaire 1 Introduction Compléments et précisions apportés au dossier Dossier de demande d autorisation d exploiter le système d assainissement PIECE Echéancier prévisionnel des travaux Contexte réglementaire Dispositions prises concernant les risques de mélange de produits incompatibles sur la filière air Substances suivies dans le cadre du RSDE Conventions liant la Métropole Rouen Normandie avec les communes hors Métropole Synthèse des remarques faites au SDA sur les réseaux Option d aménagement futur retenue par rapport à la phase Dossier d enquête préalable à la déclaration d utilité publique Contexte réglementaire Enquête parcellaire Etude d impact PIECE Atteinte des objectifs de bon état ou de bon potentiel des cours d eau Impacts du rejet de la STEP sur la base des rendements Origine des données sur la qualité de la Seine Justification des différences de données figurant au dossier Compensation de la bande boisée détruite dans le cadre du projet d extension de la STEP 13 Agence de Rouen
4 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire 1 INTRODUCTION La METROPOLE ROUEN NORMANDIE projette d étendre la capacité de la station d épuration Emeraude. Le projet a fait l objet d un dossier réglementaire incluant une étude d impact et dont le périmètre porte sur l ensemble du système d assainissement associé. Le dossier a été déposé en octobre Par courrier en date du 13 janvier 2015, la Direction Départementale des Territoires et de la Mer de Seine Maritime a demandé à ce que des précisions et compléments soient apportés au dossier. La présente note répond à cette attente. 2 COMPLÉMENTS ET PRÉCISIONS APPORTÉS AU DOSSIER 2.1 DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER LE SYSTÈME D ASSAINISSEMENT PIECE ECHÉANCIER PRÉVISIONNEL DES TRAVAUX La DDTM demande : «Fournir un échéancier prévisionnel détaillé de mise en conformité de la station de traitement des eaux usées. Préciser notamment s il est prévu un mode dégradé de la station actuelle lors de la phase travaux». Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : L échéancier prévisionnel des travaux est présenté ci-après pour un ordre de service Travaux au 07/09/15. Agence de Rouen page 1
5 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Figure 1 : Echéancier prévisionnel des travaux Agence de Rouen page 2
6 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Par ailleurs, les travaux d extension n impactent pas la filière actuelle et n entraineront donc pas de fonctionnement dégradé de cette dernière. A la fin des travaux d extension, un basculement des eaux décantées aura lieu, impliquant une répartition des eaux entre la file biologique existante et la nouvelle file biologique construite. Lors de ces phases de mise en route, montée en régime et période d observation, la recherche des réglages optimaux pourrait toutefois entraîner quelques dysfonctionnements ponctuels sur la nouvelle filière avec un fonctionnement dégradé de la station d épuration CONTEXTE RÉGLEMENTAIRE La DDTM indique que «Des erreurs et des manques sont à noter vis-à-vis du contexte réglementaire» (page 22). Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : La liste actualisée des arrêtés préfectoraux concernant l installation est la suivante : arrêté préfectoral d autorisation initiale du 26/05/1994 modifié par l arrêté préfectoral du 15/04/1999 ; arrêté préfectoral du 12/01/2001 de prorogation de l autorisation d exploiter ; arrêté préfectoral du 25/10/2001 relatif aux objectifs de réduction des flux de substances polluantes ; arrêté préfectoral du 04/08/2006 de mise en demeure de mise en conformité pour le traitement du phosphore ; arrêté préfectoral du 25/01/2011 relatif à la mise en œuvre de la surveillance de la présence de micropolluants dans les eaux rejetées vers les milieux aquatiques ; arrêté préfectoral du 11/04/2013 de mise en demeure de mise en conformité relatif au sous-dimensionnement hydraulique et aux déversements au milieu naturel ; arrêté préfectoral complémentaire du 08/04/2014 relatif au risque de mélange de produits incompatibles. Agence de Rouen page 3
7 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire DISPOSITIONS PRISES CONCERNANT LES RISQUES DE MÉLANGE DE PRODUITS INCOMPATIBLES SUR LA FILIÈRE AIR La DDTM indique que «vis-à-vis de la filière air, les dispositions prévues de mettre en place concernant le risque de mélange de produits incompatible» doivent être précisées» (page 28). Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : Les travaux d extension de la station Emeraude n impactent pas la filière Air. Néanmoins, des dispositions ont été prises sur la filière existante concernant les procédures de dépotage ainsi que sur les installations (détection ph et chlore avec fermeture automatique des vannes de dépotage). De plus, les stockages de réactifs supplémentaires prévus pour les travaux d extension se situent en extérieur et comprennent les mêmes dispositifs de sécurité que les stockages actuels SUBSTANCES SUIVIES DANS LE CADRE DU RSDE La DDTM indique qu il convient de «Préciser les substances suivies de manière régulière depuis 2012 et les substances proposées suite à la nouvelle série de mesures réalisée en 2014» (page 41). Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : Le tableau suivant récapitule les analyses effectuées sur les rejets de la STEP Emeraude dans le cadre du programme RSDE. Tableau 1: Bilan des campagnes RSDE Familles substances Nb d analyses Nb d analyses Tous les 104 substances / x1 paramètres Autosurveillance DCO x10 x9 Autosurveillance DBO5 x10 x9 Autosurveillance MES x10 x9 Autosurveillance Ammonium (NH4) x10 x9 Autosurveillance Nitrates (NO3) x10 x9 Autosurveillance Nitrites (NO2) x10 x9 Autosurveillance Phosphore Total (Pt) x10 x9 Agence de Rouen page 4
8 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Familles substances Nb d analyses Nb d analyses COHV Tétrachloroéthylène x10 x9 COHV Trichlorométhane x10 x9 [chloroforme] Organétains Monobutylétain x10 x9 cation Métaux Fer (métal total) x10 x9 Métaux Manganèse (métal x10 x9 total) Métaux Aluminium (métal total) x10 x9 Autres Di (2-éthylexyl) phtalate x10 x9 (DEHP) Autres AOX x10 x9 Autres COT x10 x9 Autres Sulfates x10 x9 Autres Chlorures x10 x9 Autres Fluorures totaux x10 x9 BTEX Xylèmes x10 / Le prélèvement complet a été effectué du 30 au 31/07/2014. Les substances pour lesquelles la concentration mesurée est supérieure aux limites de quantification sont reprises dans le tableau ci-dessous : Tableau 2: Bilan de la campagne complète 2014 Familles substances Concentrations NQE (µg/l) (µg/l) Pesticides 2,4 D 0,657 1,5 Métaux Aluminium (métal total) 269 pas de NQE Métaux Cuivre (métal total) 9 1,4 Métaux Fer (métal total) 60 pas de NQE Métaux Manganèse (métal total) 36 pas de NQE Métaux Zinc (métal total) 65 7,8 Autres AOX 90 pas de NQE Autres Chlorures pas de NQE Autres Sulfates pas de NQE Autosurveillance DCO pas de NQE Autosurveillance DBO5 < pas de NQE Autosurveillance MES pas de NQE Autosurveillance Ammonium (NH 4 ) 248 pas de NQE Autosurveillance Nitrates (NO 3 ) pas de NQE Autosurveillance Nitrites (NO 2 ) 200 pas de NQE Agence de Rouen page 5
9 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Familles substances Concentrations NQE Autosurveillance Phosphore total 580 pas de NQE Les calculs de flux ont été effectués sur la base des débits journaliers du jour du prélèvement et du débit moyen annuel, afin de vérifier si les flux rejetés étaient inférieurs aux flux théoriques admissibles par le milieu récepteur fixés à l arrêté préfectoral du 25 janvier 2011 (10% x QMNA5 x NQE). Pour tous les composés, les flux rejetés au milieu récepteur étaient inférieurs à la valeur maximale admissible. Aussi, sur la base du prélèvement de contrôle effectué en 2014, il n y aurait plus de surveillance pérenne à effectuer sur le rejet de la station Emeraude. En conséquence, pour maintenir une surveillance des substances dangereuses rejetées en Seine, le pétitionnaire propose de poursuivre les prélèvements en 2015 : sur l ensemble des paramètres définis par l arrêté du 25/01/2011 pour l installation ; de limiter le nombre de prélèvement à 2 sur l année CONVENTIONS LIANT LA MÉTROPOLE ROUEN NORMANDIE AVEC LES COMMUNES HORS MÉTROPOLE La DDTM indique qu il convient de «fournir les conventions liant la Métropole Rouen Normandie avec les communes hors Métropole Rouen Normandie connectées au réseau de collecte, à savoir la Vaupalière, Montigny, Pissy- Poville, Préaux, Quincampoix, Saint-Jean-du-Cardonnay. Les informations relatives au réseau de collecte de ces communes sont également à transmettre, à savoir : - présence de points de déversement : nom, emplacement, coordonnées géographiques du point de rejet (Lambert 93), milieu récepteur impacté ; - état du réseau : branchements non conformes, étanchéité études en cours ou à venir, schéma directeur ; - travaux programmés : type de travaux, échéances fixées pour leur réalisation» (page 42). Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : La Métropole Rouen Normandie mène actuellement la démarche vis-à-vis de ces différentes Agence de Rouen page 6
10 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire communes hors Métropole afin de collecter ces éléments techniques : ils seront transmis à la DDTM dès que possible. Les conventions liant la Métropole Rouen Normandie aux communes sont fournies en annexe SYNTHÈSE DES REMARQUES FAITES AU SDA SUR LES RÉSEAUX La DDTM indique qu il convient de «fournir un schéma lisible de la page 73». Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : La figure représentant la synthèse des remarques générales et structurelles faites au Schéma Directeur d Assainissement est fournie en annexe de la présente note OPTION D AMÉNAGEMENT FUTUR RETENUE PAR RAPPORT À LA PHASE 4 La DDTM indique qu il convient de préciser «quelle sera l option d aménagement future retenue par la Métropole Rouen Normandie par rapport à la phase 4, et si la troisième file de traitement sera totalement indépendante ou bien utilisera le poste de relèvement prévu dans la phase 3» (page 109). Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : La phase 4 consistera en la création d une nouvelle file biologique totalement indépendante et éloignée des nouvelles constructions compte tenu des contraintes spatiales propres au site. Le poste de relèvement n est donc pas prévu pour alimenter une troisième file de traitement. 2.2 DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE CONTEXTE RÉGLEMENTAIRE La DDTM indique qu il convient de «rajouter les arrêtés préfectoraux comme signalé en page 22 de la Pièce 2» (page 6). Les précisions apportées par le pétitionnaire sont apportées au chapitre précédent. Agence de Rouen page 7
11 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire ENQUÊTE PARCELLAIRE La DDTM demande si «la Métropole Rouen Normandie a l intention de mener l enquête parcellaire conjointement à l enquête publique pour autorisation et DUP» et dans l affirmative de «fournir le dossier de demande d enquête parcellaire» (page 6). Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : La Métropole n a pas l intention de mener l enquête parcellaire conjointement avec l enquête publique pour la Déclaration d Utilité Publique. Celle-ci sera menée si les négociations foncières n aboutissent pas favorablement. 2.3 ETUDE D IMPACT PIECE ATTEINTE DES OBJECTIFS DE BON ÉTAT OU DE BON POTENTIEL DES COURS D EAU La DDTM demande qu il soit précisé que «le projet conduit également à l atteinte des objectifs de bon état ou de bon potentiel des cours d eau visà-vis de la Directive Cadre sur l Eau». Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : Le chapitre 6.5 de l étude d impact étudie la compatibilité du projet d assainissement avec les dispositions du SDAGE de la Seine et des cours d eau côtiers normands et avec le SAGE Aubette-Robec-Cailly. L analyse de la compatibilité avec le SDAGE conclut : «La nature même du projet d extension de la station d épuration et du programme de travaux associés sur les réseaux le rend pleinement compatible avec les objectifs de bon état assignés aux masses d eaux. Le bon état de la Seine [dont l échéance est reportée à 2027] n est pas remis en cause par le rejet de la station d épuration Emeraude. Sur les milieux récepteurs sensibles, aucun rejet de temps sec ne se produira en fonctionnement normal du système d assainissement. En ce sens l exploitation du système d assainissement est compatible avec les objectifs de bon état des milieux aquatiques sensibles concernés que sont le Cailly, le Robec et l Aubette. Les fréquences de déversement des réseaux seront réduites à 6 mois.» L analyse de la compatibilité avec le SAGE conclut : «Le projet prévoit outre la l extension de la station d épuration Emeraude, un vaste programme de travaux portant sur les réseaux de collecte. Ces derniers visent en premier lieu à réduire de manière très importante les déversements de temps de pluie s opérant en particulier au droit de différents déversoirs d orages. Ces déversements concernent notamment le Cailly, l Aubette et le Robec. La fréquence de ces déversements ne Agence de Rouen page 8
12 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire sera plus que semestrielle à l échéance du programme en Pour tenir compte de la sensibilité de ces milieux aquatiques, le programme porte prioritairement sur les plus contributifs, et l échéance de 2038 sera ainsi devancée pour ces cours d eau. Le programme s inscrit pleinement dans la disposition 17 du SAGE et sa compatibilité est donc assurée.» IMPACTS DU REJET DE LA STEP SUR LA BASE DES RENDEMENTS La DDTM demande qu il soit présenté «l impact du rejet sur la Seine en ne considérant que les niveaux de rejet en rendements par temps sec et par temps de pluie». Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : Les tableaux suivants présentent les concentrations en sortie de STEP établies sur la base des rendements, et les calculs de dilution à partir des données 2013 de qualité de la Seine. Tableau 3: Impacts du rejet de la STEP en rendements STEP Charges nominales Q nom m 3 /j, soit 1,74 m 3 /s DCO kgo 2/j DBO kgo 2/j MES kg/j NTK 6600 kgn/j Pt 920 kgp/j Niveaux de rejet en tenant compte des rendements DCO 120,5 mg/l = g/m 3 75% de rendement DBO 5 40 mg/l = g/m 3 80% de rendement MES 24,5 mg/l = g/m 3 90% de rendement NTK 13,2 mg/l = g/m 3 70% de rendement Pt 1,2 mg/l = g/m 3 80% de rendement Agence de Rouen page 9
13 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Impact du rejet du débit moyen à capacité nominale par temps sec : MN Amont Rejet MN Aval c finale Classement Déclassement? Impact Concentration limite pour ne pas déclasser g/s g/s g/s mg/l = g/m 3 mg/l mg/l = g/m 3 DCO 2360, , ,201 12,735 Très bon état non 0, DBO5 340,000 69, ,444 2,030 Très bon état non 0,330 3 MES 9400,000 42, ,593 46,807 Bon état non -0, NTK 208,000 22, ,917 1,145 Bon état non 0,105 2 Pt 37,000 2,130 39,130 0,194 Bon état non 0,009 0,2 Impact du rejet du débit de pointe à capacité nominale par temps sec : MN Amont Rejet MN Aval c finale Classement Déclassement? Impact Concentration limite pour ne pas déclasser g/s g/s g/s mg/l = g/m 3 mg/l mg/l = g/m 3 DCO 2360, , ,245 13,348 Très bon état non 1, DBO 5 340, , ,600 2,246 Très bon état non 0,546 3 MES 9400,000 70, ,901 46,680 Bon état non -0, NTK 208,000 38, ,148 1,213 Bon état non 0,173 2 Pt 37,000 3,545 40,545 0,200 Bon état non 0,015 0,2 Impact du rejet du débit moyen à capacité nominale par temps de pluie : MN Amont Rejet MN Aval c finale Classement Déclassement? Impact Concentration limite pour ne pas déclasser g/s g/s g/s mg/l = g/m 3 mg/l mg/l = g/m 3 DCO 2360, , ,201 12,735 Très bon état non 0, DBO 5 340,000 69, ,444 2,030 Très bon état non 0,330 3 MES 9400,000 42, ,593 46,807 Bon état non -0, NTK 208,000 22, ,917 1,145 Bon état non 0,105 2 P 37,000 2,130 39,130 0,194 Bon état non 0,009 0,2 Au vu des tableaux ci-dessus, il apparaît clairement que le rejet de la station d épuration respecte les critères de bon état de la Seine pour tous les paramètres, tant pour le temps de pluie que pour le temps sec avec le projet d extension en phase 3. Il est à noter que la qualité du rejet de la station d épuration définie en concentrations ou en rendements permet de respecter les critères de bon état de la masse d eau ORIGINE DES DONNÉES SUR LA QUALITÉ DE LA SEINE La DDTM demande qu il soit précisé «la qualification et la source des données de qualité des eaux superficielles de la Seine». Agence de Rouen page 10
14 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : Le suivi de la qualité des eaux de la Seine étant assuré par l'aesn depuis 2011, les données ont été obtenues auprès de l AESN (Barbara LEROY AESN par mail du 18/09/14) sous forme d un fichier Exel de lignes regroupant les analyses des différents paramètres validées par l AESN et réalisées sur toutes les stations de la Seine en 2012 et Les analyses des 2 stations suivantes en ont été extraites pour qualifier l état des lieux et pour évaluer les impacts du rejet sur la qualité des eaux de la Seine : Tableau 4: Stations de référence de suivi de la qualité des eaux de la Seine Code station Nom station LA SEINE A ROUEN LA SEINE A CANTELEU 1 La fréquence du suivi est mensuelle à bimestrielle selon les paramètres JUSTIFICATION DES DIFFÉRENCES DE DONNÉES FIGURANT AU DOSSIER La DDTM demande qu il soit justifié «les différences existantes vis-à-vis de la qualité des eaux du milieu récepteur car les données ne sont pas identiques dans la pièce 3 (étude d impact) : tableau 6 page 52 et tableau 42 page 158». Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : Le tableau 6 indique des moyennes et non des percentiles 90. Il comportait également une erreur de report des valeurs de DBO 5. Les valeurs corrigées apparaissent en italique dans le tableau ci-après. Tableau 5: Qualité physico-chimique des milieux récepteurs Paramètre Seuil du critère de bon état* Moyenne La Seine Rouen (Station amont) 2013 Moyenne Canteleu (Station aval) Moyenne Moyenne DBO 5 (mg/l) 6 0,85 0, DCO (mg/l) 30 12,02 10,60 10,42 12,53 Agence de Rouen page 11
15 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Paramètre NKJ = NTK (mg/l) Seuil du critère de bon état* Moyenne La Seine Rouen (Station amont) 2013 Moyenne Canteleu (Station aval) Moyenne Moyenne 2 1,29 1,04 0,78 1,01 NO 2 (mg/l) 0,3 0,19 0,12 0,19 0,13 NO 3 (mg/l) 50 22,60 22,07 22,40 21,67 NH 4 (mg/l) 0,5 0,11 0,09 0,14 0,14 NGL (mg/l) 13,4** 6,31 6,31 6,32 6,32 MES (mg/l) - 28,32 30,03 56,90 25,50 O dissous (mg/l) Saturation O 2 (%) 8 9,20 9,03 9,47 9, ,67 90,00 89,67 89,80 Ptot (mg/l) 0,2 0,19 0,14 0,19 0,13 PO 4 (mg/l) 0,5 0,37 0,32 0,39 0,34 *Code couleur : vert = inférieur au seuil de bon état ; orange = supérieur au seuil de bon état (critères de l arrêté ministériel du 25 janvier 2010 modifié ou à défaut SEQ-Eau : Critères de bon état soutenant la biologie d après l arrêté ministériel du 25/10/2010 Percentile 90 = valeur non dépassée 90% du temps.) ** valeur seuil «estimée» : somme des seuils des différents paramètres de l azote (NTK+NO3+NO2). Le tableau suivant est le tableau 42 de la page 158. Il y avait une erreur sur les valeurs indiquées pour la DCO en 2012 sur les deux stations, et elles ont été en conséquence corrigées. Le tableau présente les percentiles 90 qui ont été utilisés pour les calculs de dilution, dans l optique de comparer les résultats aux critères de bon état des masses d eau. Tableau 6: Qualité physico-chimique des milieux récepteurs Paramètre Seuil du critère de bon état* La Seine Rouen (Station amont) 2012 Percentile Percentile 90 Canteleu (Station aval) 2012 Percentile Percentile 90 DBO5 (mg/l) 6 1,15 1,7 1,2 1,7 DCO (mg/l) 30 15,6 11, ,25 NKJ = NTK (mg/l) 2 2,22 1,33 0,882 1,33 Agence de Rouen page 12
16 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Paramètre Seuil du critère de bon état* La Seine Rouen (Station amont) 2012 Percentile Percentile 90 Canteleu (Station aval) 2012 Percentile Percentile 90 NO2 (mg/l) 0,3 0,27 0,196 0,27 0,1895 NO3 (mg/l) 50 24,7 27,9 24,85 27,25 NH4 (mg/l) 0,5 0,155 0,17 0,2 0,255 NGL (mg/l) 13,4** 7,88 7,69 6,58 7,55 MES (mg/l) - 45, ,6 41,2 O2 dissous (mg/l) Saturation O2 (%) 8 11,06 10,4 11,3 10, ,5 98,2 Ptot (mg/l) 0,2 0,3 0,185 0,3 0,18 PO4 (mg/l) 0,5 0,51 0,455 0,535 0,495 *Code couleur : vert = inférieur au seuil de bon état ; orange = supérieur au seuil de bon état (critères de l arrêté ministériel du 25 janvier 2010 modifié ou à défaut SEQ-Eau : Critères de bon état soutenant la biologie d après l arrêté ministériel du 25/10/2010 Percentile 90 = valeur non dépassée 90% du temps.) ** valeur seuil «estimée» : somme des seuils des différents paramètres de l azote (NTK+NO3+NO2). Les différences de valeurs entre les deux tableaux sont donc cohérentes COMPENSATION DE LA BANDE BOISÉE DÉTRUITE DANS LE CADRE DU PROJET D EXTENSION DE LA STEP La DDTM précise et demande : «l extension de la station se fera sur un terrain limitrophe à l actuelle installation. La limite séparatrice boisée sera détruite. Le schéma régional de cohérence écologique et la trame verte et bleue ne font pas mention de ce secteur, ces documents étant à grande échelle. Or, cette limite boisée peut constituer une trame et un corridor écologique à l échelle communale avec d autres espaces à proximité dans cette zone industrielle et portuaire. Proposer une mesure de compensation et de reconstitution de cet arc boisé».. Les précisions apportées par le pétitionnaire sont les suivantes : L'implantation des bâtiments et bassins de la STEP Émeraude va créer une discontinuité dans le Agence de Rouen page 13
17 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire corridor végétal présent entre la rue des pâtis et le chemin du Gord. Toutefois, des plantations arborées sont prévues pour limiter cette discontinuité. Ces mesures de réduction permettent de diminuer le linéaire de boisement détruit. Ces plantations sont prévues au Sud des clarificateurs n 2 et n 3 et en limite de site, au niveau du pont bascule et des décanteurs lamellaires. De plus, le bâtiment technique situé entre ces deux masses boisées servira de relais pour les axes de déplacement des oiseaux et des chiroptères qui utilisent actuellement le corridor. Notons que ces espèces, anthropophiles et ubiquistes, s adapteront facilement à ce nouvel environnement, sans qu'un effet négatif fort sur leur état de conservation ne puisse être mis en évidence. En conséquence, la compensation ne s impose pas. Agence de Rouen page 14
18 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire ANNEXES Agence de Rouen page 15
19 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Conventions passées entre la Métropole Rouen Normandie et les communes hors périmètre Agence de Rouen
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
47 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Carte de synthèse du diagnostic sur les remarques structurelles (extrait SDA) Agence de Rouen
48 EXTENSION DE LA STEP EMERAUDE Dossier d autorisation d exploiter le système d assainissement Note complémentaire Synthèse des remarques générales et structurelles faites au SDA (Source : Rapport de phase 7 du SDA Mai 2012) Agence de Rouen
1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailCONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,
Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR
Plus en détailPROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS
PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailAvis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet
Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailRAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR
1 Tome 1 REPUBLIQUE FRANÇAISE PREFECTURE DE LA CHARENTE-MARITIME COMMUNE DE SAINTE-SOULLE ENQUETE PUBLIQUE relative au projet d aménagement d une retenue d eau du bassin versant de SAINTE-SOULLE, sur la
Plus en détailOpérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans :
Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans : Quels intérêts? Stéphanie BOULAY Direction des Rivières Ile-de-France Service Investissements Industries Ile-de-France SIARH - 3 décembre
Plus en détailPlan Local d Urbanisme - AEU
Plan Local d Urbanisme - AEU Maître d ouvrage Ville de Dieppe Parc Jehan Ango - BP 226 76203 DIEPPE Cedex 7.1 - Les annexes sanitaires Arrêté le : 23 mai 2013 Approuvé le : Elaboration du PLU de la ville
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailINDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT
INDUSTRIELS EN DEMARCHE ISO 14001 MANUEL D ACCOMPAGNEMENT DIRECTION DES ACTIONS INDUSTRIELLES Directeur de publication : Jean-Marc Picard - Directeur des Actions Industrielles Agence de l Eau Seine-Normandie.
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailCONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP)
Rapp. Comm. int. prot. eaux Léman contre pollut., Campagne 2010, 2011, 181-189. CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Campagne 2010 PAR Audrey
Plus en détailLa consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions
Plus en détailPROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE
Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailPRIX ET QUALITE DES SERVICES D EAU POTABLE ET D ASSAINISSEMENT
RAPPORT ANNUEL PRIX ET QUALITE DES SERVICES D EAU POTABLE ET D ASSAINISSEMENT 2012 Rapport relatif au prix et à la qualité du Service Public d Eau Potable et d assainissement collectif présentés conformément
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détail10 ème PROGRAMME (2013 2018)
10 ème PROGRAMME (2013 2018) Version adoptée par le comité de bassin du 18 octobre 2012 (délibération n CB 12-15) et par le conseil d administration des 18 octobre 2012 (délibération n CA 12-12) 14 novembre
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie, École des Mines de Paris & École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts
Université Pierre et Marie Curie, École des Mines de Paris & École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts Master 2 Sciences de l Univers, Environnement, Ecologie Parcours Hydrologie-Hydrogéologie
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailJournée «Eau et Assainissement
Journée «Eau et Assainissement Enjeux et qualité de l eau sur le territoire du SAGE ATG Véronique GONZALEZ 23/01/2014 2 Agence Régionale de Santé Bretagne Origine des ARS : créées par l article 118 de
Plus en détailwww.formationpoissonnier.fr Association de Formation des Poissonniers de France SIRET : 507 700 664 00026 - APE : 8559A N déclaration d activité :
www.formationpoissonnier.fr Association de Formation des Poissonniers de France SIRET : 507 700 664 00026 - APE : 8559A N déclaration d activité : 53220837422 Tél : 02.96.50.50.85 Fax : 02.96.50.50.86
Plus en détailData loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées
Data loggers SOFREL LT/LT-US Solutions réseaux d eaux usées Les data loggers SOFREL LT et LT-US ont été conçus pour la surveillance des réseaux d eaux usées et pluviales (collecteurs, déversoirs d orage,
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailDISTRIBUTION D EAU POTABLE
Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE
Plus en détailL eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires
L eau à l intérieur des bâtiments: aspects règlementaires 01 La règlementation concernant la qualité des eaux destinées à la consommation humaine s applique sans restriction aux installations d eau à l
Plus en détailConstruction d un projet commercial à proximité d une zone humide: de la contrainte réglementaire à l efficacité opérationnelle
Construction d un projet commercial à proximité d une zone humide: de la contrainte réglementaire à l efficacité opérationnelle Guy Julien-Laferrière Casino Immobilier et Développement Journée d information
Plus en détailVILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES
VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES
Plus en détailProtection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009
Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailNote sur les enjeux dans le domaine de l eau
Soutenabilité du Grand Paris juin 2012 Note sur les enjeux dans le domaine de l eau - 3 - Introduction Le projet Grand Paris vise à faire du cœur de l Île de France une métropole de taille mondiale durablement
Plus en détailUtilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
département Aménagement et Développement Durables Réseau Scientifique et Technique Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détail- - - - - - - - - - - - - - - o o o o - - - - - - - - - P (mm) 140 120 100 80 60 40 20 0 Janvier Février Diagramme ombrothermique sur la vallée de la Bresle Mars Avril Mai Juin Hauteur moyenne des
Plus en détailMontée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH
février 2010 Montée en débit : la mise en œuvre de l accès à la sous-boucle et son articulation avec le développement des réseaux FttH Orientations de l ARCEP - 1 - Introduction Bénéficier d une montée
Plus en détailLes Services d'assainissement Collectif (AC)
Les Services d'assainissement Collectif () 41 La Compétence La compétence assainissement collectif est une compétence communale. La loi sur l eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006 a introduit
Plus en détailCHARGES SOCIALES DES TRAVAILLEURS INDÉPENDANTS
CHARGES SOCIALES DES TRAVAILLEURS INDÉPENDANTS Paiement des cotisations : précisions sur les nouvelles modalités de calcul et d appel de cotisations des indépendants Circulaire RSI n 2007-91 du 20 juillet
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailL assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE
L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés LIVRET PÉDAGOGIQUE Préambule L assainissement se définit comme l ensemble des techniques de collecte, de transport et
Plus en détailUne solution parfaitement adaptée
INFORMATIONS ANALYSE EN CONTINU DES NITRATES NISE SC / NITRATAX SC NOUVEAU! ME SU RE DES N I T R AT ES EN LIGNE Une solution parfaitement adaptée Sondes de nitrate utilisant les technologies UV et électrodes
Plus en détailLes systèmes d alimentation en eau potable
Eau et Santé Guide technique HO Les systèmes d alimentation en eau potable Évaluer leur vulnérabilité Les systèmes d alimentation en eau potable Évaluer leur vulnérabilité Mars 007 Préface Le maintien
Plus en détailAvis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»
Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant
Plus en détailQuelle stratégie foncière dans les trames verte et bleue?
Quelle stratégie foncière dans les trames verte et bleue? Pascale POUPINOT JDD du 28 mars 2013 Stratégie foncière dans la trame verte et bleue Une politique en 3 temps 1. IDENTIFIER ET HIERARCHISER 2.
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailAutorisation et Convention
Autorisation et Convention Déversement d eaux usées non domestiques dans les réseaux publics de collecte Entreprises et Collectivités : procédures pour être en conformité avec la loi Crédit photo CA Évry
Plus en détailLA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel
Certu Centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT Principes, méthodes et outils pour une meilleure intégration dans le cycle
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailFiche méthodologique pour l élaboration des PLU. Protection des captages d'alimentation en eau destinée à la consommation humaine
Fiche méthodologique pour l élaboration des PLU Dans le cadre de l évolution de l action de l État en Isère, une démarche a été entreprise en vue d élaborer des positions partagées en matière d urbanisme.
Plus en détailAugmentation de l efficience
SENEGALAISE DES EAUX Augmentation de l efficience Affermage de l eau au Sénégal Par Mamadou DIA Dakar 7 Juin 2012 L ENTREPRISE SDE Filiale de FINAGESTION (57%), créée en 1995, 33% privés sénégalais, 5%
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailRetours d expérience du SATESE 37
Les filières d épuration pour les petites collectivités Retours d expérience du SATESE 37 Syndicat d Assistance Technique pour l Epuration et le Suivi des Eaux d Indre et Loire Domaine d activité papillon
Plus en détailLA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailPIÈCE B - DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION DE DISTRIBUTION ET DE TRAITEMENT DES EAUX ETABLI AU TITRE DU CODE DE LA SANTE PUBLIQUE
DEPARTEMENT DU LOT-ET-GARONNE MAITRE D OUVRAGE SYNDICAT DES EAUX DE LA LEMANCE LIEU DE LA MISE EN CONFORMITE «LENCLIO» - COMMUNE DE MAUROUX - 46 MISE EN CONFORMITE DE LA SOURCE DE LENCLIO PIÈCE B - DOSSIER
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailCarte TOTAL Business Guide d utilisation
Carte TOTAL Business Guide d utilisation ANTILLES-GUYANE Optimisez la gestion de votre flotte de véhicule Maîtrisez votre budget carburant Simplifiez et sécurisez le règlement de vos frais en station L
Plus en détailVMT Mod : Ventilation modulée pour le tertiaire
Notice de Montage VMT Mod : Ventilation modulée pour le tertiaire VC 100876 - D920_a - RCS 956 506 828 - Imprimé en France/Printed in France VMT Mod est un système de ventilation intelligent à destination
Plus en détailBureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014
Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailÀ LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE
Eau France Le 17 mars 2015 À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE SUEZ environnement s engage pour gérer durablement la ressource Préserver la ressource en eau représente pour SUEZ environnement plus qu
Plus en détailDocument SODEXO Réservé à un usage pédagogique LE CONTEXTE. Limiter les impacts des opérations de nettoyage et de désinfection.
Equipements durables Limiter les impacts des opérations de nettoyage et de désinfection LE CONTEXTE Règlementaire Selon la loi du 13 juillet 1992, tout producteur ou détenteur d'un déchet est tenu d'en
Plus en détailRECRUTEMENT EXTERNE SANS CONCOURS. Plombier Génie Climatique 2 ème Classe BAP G
RECRUTEMENT EXTERNE SANS CONCOURS Plombier Génie Climatique 2 ème Classe BAP G Dossier de candidature session 2011 1 Recrutement sans concours Plombier Génie Climatique 2 ème classe Concernant votre état
Plus en détailCOMMUNE DE CALVISSON
3. CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) ET ANNEXES COMMUNE DE CALVISSON SCHEMA DIRECTEUR ET ZONAGE D ASSAINISSEMENT INFRAMED INGENIEURS CONSEILS L orée des mas Bâtiment les Lauriers Avenue
Plus en détailCf Audio vous propose : LA SURVEILLANCE ACOUSTIQUE DES CHANTIERS
Cf Audio vous propose : LA SURVEILLANCE ACOUSTIQUE DES CHANTIERS Ce document présente la solution pour répondre à la fourniture d un système automatique de surveillance acoustique de chantier. Pour vous
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailPARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER
ANNEXE COMPETENCES A LA CARTE DE LA BRANCHE EAU PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER 2010 Page 1 /14 26/02/2010 OPTION MAINTENANCE
Plus en détailDélégation du Service Public de l Eau Potable
DEPARTEMENT DU RHONE Délégation du Service Public de l Eau Potable Dossier de Consultation des Entreprises Pièce n 2 Mémoire Explicatif 1 PRESENTATION DU SERVICE 1.1 Les ressources 1.1.1 Origine de l eau
Plus en détailPrédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8
Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailmesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires
mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailSchéma général d assainissement du Grand Lyon
Schéma général d assainissement du Grand Lyon 2015-2027 ORIENTATIONS ET ENJEUX Introduction générale Le Code général des collectivités territoriales oblige les collectivités de plus de 2 000 habitants
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailDémarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée
Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailLA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS
LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS 1 Les objectifs opérationnels de la Trame Verte et Bleue Connaître Observer Evaluer Restaurer, préserver et gérer les cœurs de nature La Trame Verte et Bleue,
Plus en détailRETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif
RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif DOCUMENT DE TRAVAIL EVOLUTIF mai 2011 - VERSION1 Res'eau ASNC "Réseau Rhône Alpes des acteurs de l'anc" GRAIE Version 1 - février 2011
Plus en détailPrélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote
Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage
Plus en détail