Surveillance des COV dans l environnement du site PSA Peugeot Citroën à Sochaux

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1 SURVEILLANCE SYNTHESE D ETUDE DE LA QUALITE DE LA DE L AIR EN FRANCHE COMTE Surveillance des COV dans l environnement du site PSA Peugeot Citroën à Sochaux Campagne de mesures du 26 janvier au 23 février 2015 COV Les ateliers de peinture sont à la base d émissions de COV (Composés Organiques Volatils), qui peuvent se retrouver dans l atmosphère. Chaque année depuis 2005, ATMO Franche Comté réalise une analyse de l air ambiant autour du site PSA de Sochaux. Découvrez les résultats de la campagne effectuée durant l hiver 2015 au fil de ce document RAPPORT D ETUDE Edité en juillet 2015

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3 SOMMAIRE PREAMBULE... 2 I. METHODOLOGIE DE LA CAMPAGNE Moyens de mesure Stratégie d échantillonnage... 3 a. Plan d échantillonnage... 3 b. Stratégie temporelle... 6 c. Composés surveillés... 6 II DONNEES METEOROLOGIQUES... 9 III DONNEES DE PRODUCTION IV RESULTATS DES CAMPAGNES DE MESURES Composés complémentaires peu ou pas identifiés Répartition spatiale des COV IV HISTORIQUE DES CAMPAGNES DE MESURES a. Evolution des moyennes depuis b. Comparaison des concentrations maximales CONCLUSION GENERALE ANNEXES

4 PREAMBULE En raison de ses activités, le site PSA Peugeot Citroën, situé à Sochaux, est classé en Installations Classées pour la Protection de l Environnement et soumis à autorisation. A ce titre, et puisque le site rejette plus de 150 kg/h de Composés Organiques Volatils, PSA se doit d assurer une surveillance de la qualité de l air, conformément à l article 63 de l arrêté du 2 février Atmo Franche Comté, Association Agréée par le ministère du développement durable pour la surveillance de la Qualité de l Air en Franche Comté, assure ce suivi depuis Par ailleurs, PSA Peugeot Citroën met en œuvre une politique de réduction des émissions de COV en modifiant ses process de peinture. Aussi, en plus des 4 COV habituellement suivis, 13 composés supplémentaires ont été analysés cette année au niveau des 10 sites de prélèvements répartis dans un rayon de 4 km autour de l usine. Rédigé par Karine LEFEVRE Vérifié par Anaïs Detournay 2

5 I. METHODOLOGIE DE LA CAMPAGNE 1. MOYENS DE MESURE La méthode de mesure utilisée est l échantillonnage passif. Le dispositif de prélèvement est réalisé à partir d un corps diffusif contenant une cartouche adsorbante radiale à désorption thermique, sur laquelle viennent se piéger naturellement les composés. L ensemble cartouche et corps diffusif est vissé sur un support, puis placé sous une boite de protection fixée sur un poteau pendant plusieurs jours. Figure 1 : Principe de mesure par échantillonnage passif Le corps diffusif et la cartouche adsorbante sont spécifiques à chaque famille de composés. Pour piéger les COV, un corps diffusif jaune (code 120 2) et une cartouche adsorbante constituée d un tube en fils d acier inoxydables contenant du charbon graphité (Radiello code 145) sont utilisés. Après deux semaines d exposition, les tubes sont envoyés pour analyse à la Fondation Salvatore Maugeri. L analyse est effectuée par désorption thermique et chromatographie en phase gazeuse. 2. STRATEGIE D ECHANTILLONNAGE a. Plan d échantillonnage Le plan d échantillonnage a été élaboré à partir d une étude initiale de grande ampleur réalisée en 2005, en collaboration avec PSA, afin d évaluer les niveaux de répartition des COV (Composés Organiques Volatils) autour du site et plus particulièrement en zone urbanisée sur les communes de Sochaux et Montbéliard. Les différents sites de mesures ont été choisis à partir de leur position par rapport aux ateliers de peinture (principales sources d émission de COV de l usine) et de la rose des vents. 3

6 Les sites où l impact des ateliers de peinture de PSA a été déterminé comme maximal lors de la campagne de mesure de 2005 ont été inclus au plan d échantillonnage. Finalement, 8 sites de prélèvement localisés dans 2 zones opposées découpées par la direction des vents dominants ont été définis : une zone au Sud Ouest du site PSA, soumise aux rejets des ateliers de peinture en période de vents de Nord Est et comptant 4 points répartis sur un transect et éloignés d environ m ; une zone au Nord Est du site PSA, soumise aux rejets des ateliers en période de vents du Sud Ouest et comptant, de la même manière, 4 points répartis sur un transect et éloignés d environ m. Deux sites de référence ont de plus été mis en place lors de l élaboration de la stratégie d échantillonnage, au niveau de : la station périurbaine de Montbéliard Coteau Jouvent (plateau de la Petite Hollande) ; la station urbaine de Montbéliard Centre, afin d apprécier les niveaux de fond des COV provenant de l ensemble des activités présentes sur le secteur (trafic, urbanisation, COV naturels ). Les localisations de ces différents sites de mesure figurent sur la carte présentée ci après. Pour l année 2015, un site de référence supplémentaire a été installé au niveau du village de Brussey en Haute Saône afin d apprécier les niveaux des COV dans une zone rurale à priori non exposée aux activités anthropiques. 4

7 Figure 2 : Plan d échantillonnage de la campagne de surveillance Hiver

8 b. Stratégie temporelle Les mesures ont lieu en période hivernale. En effet, l absence de vents et de précipitations lors des passages anticycloniques hivernaux (caractérisés par des températures basses) font de cette saison la plus propice à l accumulation des polluants. Pour 2015, 2 séries de prélèvements, d une durée d exposition de 2 semaines chacune, ont été menées : Série 1 : du 26 janvier au 9 février 2015, Série 2 : du 9 février au 23 février c. Composés surveillés Les résultats obtenus lors de la campagne menée en 2005 ont permis, à partir de 16 COV, d identifier 4 composés qui, de par leur répartition spatiale et leurs teneurs respectives, constituaient des traceurs de l activité peinture du site PSA Sochaux. Composés mesurés N CAS Acétate de butyle Xylènes (m, p et o) Ethylbenzène N butanol Tableau 1 : Liste des composés traceurs mesurés durant chaque campagne Les modifications de process mises en œuvre depuis 2012 au niveau des lignes de peinture ont fait évoluer ces émissions de COV. Un prélèvement par canister a donc été réalisé en 2012 au niveau de chaque type de cabine de peinture (cabine solvantée et cabine PPC), afin d estimer les COV émis. Figure 3 : somme des COV totaux selon le type de cabine Les émissions de COV sont plus élevées au niveau des cabines solvantées ( µg/m 3 ) qu au niveau des cabines PPC (8881 µg/m 3 ). 6

9 Figure4 : Profil des composés ayant saturé les tubes de prélèvement Les composés notés par un astérisque (*) correspondent aux composés dont l analyse est arrivée à saturation en raison de niveaux trop élevés. Pour la représentation graphique, la valeur de la saturation a été prise en compte, les concentrations réelles sont supérieures. Figure 5 : Profil des composés majoritaires identifiés dans les deux types de cabine 7

10 Aussi dans le cadre de cette campagne, 13 composés ont été étudiés, en plus des COV historiques. Il s agit des 11 espèces dont les concentrations se sont révélées les plus élevées lors du screening par canister, ainsi que l isobutanol et le 2 butoxyethanol, présents dans les nouvelles peintures. Le détail des résultats est présenté en annexe 1. Composés mesurés N CAS 1,2,4 trimethylbenzène* ,3,5 triméthylbenzène ou mésitylène* ,2,3 trimethylbenzène* ,1,1 trichloroéthane ou méthylchloroforme Tétrachloroéthylène* Chlorobenzène* ,4 dichlorobenzène* ,1,2 trichloroéthane Octane* Styrène* Toluène ou methylbenzène* Isobutanol butoxyethanol Tableau 2 : Liste des composés supplémentaires mesurés durant la campagne 2015 Les composés notés avec un astérisque (*) bénéficient d une valeur limite d exposition professionnelle dans l air des locaux de travail. Les valeurs réglementaires fixées pour chacun d entre eux sont présentées en annexe 2. En revanche, aucun de ces composés n est réglementé en air ambiant. 8

11 II - DONNEES METEOROLOGIQUES Les données météorologiques utilisées pour l exploitation des résultats sont issues de la station Météo France Montbéliard «Pied des Gouttes». SERIE 1 : Du 26/01/15 au 09/02/2015 Commentaires Rose des vents La direction des vents a été majoritairement de secteur Sud Ouest et Nord Est durant la première série de prélèvement. L intensité de ces vents a été plus marquée pour le secteur Sud Ouest. Durant cette période, les vents ont été relativement modérés et de faible intensité. En effet, les vents forts (>6 m/s) ont représenté seulement 2,8% des représentations venteuses et les vents nuls (>1 m/s), 12% des vents. Températures La température lors de la première série de prélèvement a été relativement froide avec une moyenne de 0,1 C. La période de mesure a présenté de fortes amplitudes thermiques avec une température journalière minimale de 5,9 C et une température journalière maximale de 6,3 C. Pluviométrie La première série de mesure a observé 7 jours de pluie répartie uniquement la première semaine de prélèvement. 32 mm de pluie ont été enregistrés, dont 10 mm le 29 janvier. Des chutes de neige ont également été observées. La pluviométrie pour le mois de janvier a été supérieure aux normales de saison. 9

12 SERIE 2 : Du 09/02/15 au 09/02/2015 Commentaires Rose des vents La direction des vents a été différente et majoritairement de secteur Nord Est durant la seconde série de prélèvement. Durant cette période, les vents ont été de faible intensité. En effet, 24 % de vents nuls (>1 m/s) ont été observés, contre seulement 0,3% de vents forts (>6 m/s). Températures Les températures lors de cette deuxième série de prélèvement ont été moins froides, avec une moyenne de 2 C. Elles sont toutefois demeurées inférieures aux normales de saison. La période a présenté de fortes amplitudes thermiques, avec plusieurs jours de gel. La température journalière minimale a été de 5,1 C et la température journalière maximale de 14,9 C. Pluviométrie La seconde série de mesures a observé 5 jours de pluie de faible intensité. Seul le dernier jour de prélèvement a enregistré une pluviométrie élevée, avec 7 mm jusqu au retrait des tubes. 15 mm de pluie ont ainsi été enregistrés au total. La pluviométrie pour le mois de févier a été inférieure aux normales de saison (53% de la normale). 10

13 Synthèse des données météorologiques Au cours des deux séries de mesures des composés organiques volatils autour du site de Peugeot Citroën, le secteur de Montbéliard a été marqué par des vents relativement modérés en particulier lors de la seconde série de mesures où les vents forts (> 6 m/s) n ont pas excédés 0,3% des vents observés. Les directions privilégiées des vents ont été : Sud Ouest et Nord Est pour la première série de mesures ; Nord Est pour la seconde série de mesures. Les températures moyennes observées lors des deux séries de mesures ont été relativement froides et inférieures aux normales de saisons. La seconde série a enregistré de fortes amplitudes thermiques. En revanche, la pluviométrie a été faible lors des deux séries de mesures en particulier lors de la seconde série où le cumul des précipitations pendant la période de prélèvement n a pas excédé 15 mm. En conséquence, les conditions climatiques lors des 2 séries de prélèvements ont été plutôt favorables à l accumulation des polluants. 11

14 III - DONNEES DE PRODUCTION Figure 6 : Production de PSA pendant la période d échantillonnage La production a été importante lors de cette campagne de mesures, avec véhicules produits, soit plus de véhicules de plus que lors des deux années précédentes. La production de véhicules cette année a été la plus importante depuis la mise en place du suivi. 12

15 Date Jour de la semaine Série 1 Série 2 26/01/2015 Lundi /01/2015 Mardi /01/2015 Mercredi /01/2015 Jeudi /01/2015 Vendredi /01/2015 Samedi /02/2015 Dimanche 02/02/2015 Lundi /02/2015 Mardi /02/2015 Mercredi /02/2015 Jeudi /02/2015 Vendredi /02/2015 Samedi /02/2015 Dimanche 09/02/2015 Lundi /02/2015 Mardi /02/2015 Mercredi /02/2015 Jeudi /02/2015 Vendredi /02/2015 Samedi /02/2015 Dimanche /02/2015 Lundi /02/2015 Mardi /02/2015 Mercredi /02/2015 Jeudi /02/2015 Vendredi /02/2015 Samedi /02/2015 Dimanche 23/02/2015 Lundi 1595 TOTAL / série TOTAL GENERAL Tableau 7: Production de PSA pendant la période d échantillonnage Nota : Les données de production ont été réparties de manière équivalente entre les deux séries de mesures pour la journée du 9 février. La production a été sensiblement plus importante lors de la seconde série de mesures avec véhicules produits pour véhicules lors de la première série. Les productions journalières sont relativement constantes du lundi au vendredi, avec près de véhicules produits par jour. Cette année des voitures ont également été montées le samedi, voir le dimanche dans la nuit, mais en quantité moindre par rapport au reste de la semaine. 13

16 IV - RESULTATS DES CAMPAGNES DE MESURES Lors de la première série de mesures, la cartouche exposée au niveau du site 6 (rue des chênes à Sochaux) est arrivée abimée au laboratoire d analyse. Les concentrations mesurées n ont pas pu être validées, elles ne figurent donc ni dans les graphes ci après, ni dans le calcul des moyennes. L ensemble des résultats analytiques figure en annexe COMPOSES COMPLEMENTAIRES PEU OU PAS IDENTIFIES site 1,1,1 trichloro éthane 1,1,2 trichloro éthane Octane Tétra Chloro éthylène Chloro benzène Styrène 2 butoxy ethanol 1,4 dichloro benzène 1 <0,1 <0,1 0,2 0,1 <0,1 0,1 < 0.1 <0,1 2 <0,1 <0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 <0.1 <0,1 3 <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 4 <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 5 <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 6 7 <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 8 <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 9 <0,1 <0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 <0.1 <0,1 10 <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 Brussey <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 < : Concentration inférieure au seuil de détection de l appareil de mesures Tableau 8 : Concentrations en COV complémentaires en µg/m 3 relevées lors de la série 1 : du 26 janvier au 9 février 2015 site 1,1,1 trichloro éthane 1,1,2 trichloro éthane Octane Tétra Chloro éthylène Chloro benzène Styrène 2 butoxy ethanol 1,4 dichloro benzène 1 <0,1 <0,1 0,3 0,2 <0,1 0,1 0.1 <0,1 2 <0,1 <0,1 0,2 0,2 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 3 <0,1 <0,1 0,2 0,2 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 4 <0,1 <0,1 0,2 0,1 0,1 0,2 <0.1 <0,1 5 <0,1 <0,1 0,3 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 6 <0,1 <0,1 0,3 0,1 0,1 0,2 <0.1 <0,1 7 <0,1 <0,1 0,2 0,1 0,1 0,1 <0.1 <0,1 8 <0,1 <0,1 0,1 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 9 <0,1 <0,1 0,2 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 10 <0,1 <0,1 0,2 0,1 <0,1 0,1 <0.1 <0,1 Brussey <0,1 <0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 <0.1 <0,1 < : Concentration inférieure au seuil de détection de l appareil de mesures Tableau 9 : Concentrations des COV complémentaires en µg/m 3, relevées à l issue de la seconde série de mesure, du 9 au 23 février

17 Sur les 13 composés analysés en plus cette année, 8 composés ont présenté des concentrations très faibles, voir inférieures au seuil de détection des appareils de mesures lors des deux séries de mesures. Ce sont des composés chlorés (1,1,1 trichloroéthane, 1,1,2 trichloroethane, tétrachloroéthylène, chlorobenzène, 1,4dichlorobenzène) ainsi que l octane, le styrène et l isobutanol. Pour ces composés, les niveaux observés autour du site de l usine correspondent au niveau de fond aussi bien urbain que rural. L activité de l usine PSA n influence donc pas les niveaux de ces composés dans l air ambiant. Les autres COV ont été analysés de façon similaire aux composés historiques. 2. REPARTITION SPATIALE DES COV La cartographie des concentrations observées, par site de prélèvement et par série, pour chacun des polluants est présentée dans un dossier annexe. Les niveaux de fond présenté dans les graphiques ci après correspondent pour : niveau de fond urbain : concentration mesurée au niveau du site «Montbéliard Centre». Les concentrations observées proviennent des activités présentes sur le secteur (trafic, urbanisation, COV naturels ) ; niveau du fond péri urbain : concentration mesurée au niveau du site «Montbéliard Coteau Jouvent» ; niveau du fond rural à la concentration mesurée au niveau du village de Brussey en Haute Saône éloigné des sources de pollution et représentant le niveau de pollution général. Les niveaux n ont pas été représentés lorsque les concentrations étaient inférieures au seuil de détection de l appareil de mesures. Lorsque les niveaux de fond présentaient des concentrations identiques, ceux ci ont été inclus dans la même courbe. 15

18 Analyse des résultats de la série 1 des composés historiques Tube endommagé Tube endommagé Tube endommagé 16

19 Tube endommagé Figures 7 à 10 : Répartition des COV lors de la série 1 La répartition des concentrations de part et d autre du site de production lors de cette première campagne de mesure est typique des observations habituellement enregistrées lors des campagnes précédentes : les niveaux sont plus élevés au niveau des sites les plus proches de l émetteur ; ils décroissent de manière significative quel que soit le composé dès qu on s éloigne du site. Les profils des concentrations des différents polluants sont relativement bien corrélés aux directions des vents à dominance Sud Ouest et Nord Est enregistrés au cours de cette série d échantillonnage. Pour cette campagne de mesure, les valeurs les plus élevées sont enregistrées pour chacun des polluants au niveau des sites 1 et 5, situés à moins de 1 km de part et d autre de l usine. Si l on considère le transect Sud Ouest, on constate que les teneurs en COV observés au niveau du site 1, le plus proche de l usine, sont supérieurs aux teneurs relevées au niveau du site 2, et ce quel que soit le composé étudié. Ceci montre nettement l influence de la proximité de l usine sur la répartition spatiale des COV. En l absence de donnée pour le site 6, il est difficile de vérifier ces observations pour le transect Nord Est. Toutefois on constate une forte baisse des niveaux entre le site 5, proche de l usine et le site 7 distant de plus de 1,5 km. L acétate de Butyle et le n butanol présentent les concentrations les plus élevées par rapport aux différents niveaux de fond dans la zone de Montbéliard. 17

20 Analyse des résultats de la série 1 des composés supplémentaires Tube endommagé Tube endommagé Tube endommagé 18

21 Tube endommagé Tube endommagé Figures 11 à 15 : Répartition des COV complémentaires lors de la série 1 Pour les nouveaux composés analysés, la répartition des niveaux est sensiblement identique à celle des composés historique avec une concentration maximale pour les sites les plus proches de l usine et une baisse des niveaux au fur et à mesure de l éloignement vis à vis du site de production. Le toluène et l isobutanol présentent les écarts les plus faibles entre les différents sites de prélèvement et les différents niveaux de fond. Pour ces composés, l impact de l activité industrielle n est pas significatif sur la qualité de l air ambiant. Le 1,2,4 triméthylbenzène présente la concentration la plus élevée sur les différents sites de prélèvement par rapport au niveau de fond. 19

22 Analyse des résultats de la série 2 des composés historiques 20

23 Figures 16 à 19 : Répartition des COV historiques lors de la série 2 L analyse des profils établis à partir des résultats obtenus lors de la seconde série de mesures met en évidence une répartition différente des niveaux liée à la rose des vents. Pour cette seconde campagne, les vents dominants proviennent majoritairement du Nord Est. Les concentrations les plus élevées sont donc observées au Sud Ouest de l usine Peugeot en concordance avec la rose des vents. Comme pour la première campagne de mesures, la concentration maximale est observée au niveau du site 1, situé à moins de 1 km de l usine ; puis au niveau des sites 2, à plus de 1 km, et 3, à plus de 1,5 km. Pour cette série de mesures, les concentrations sont plus faibles à l ouest de l usine, sur le secteur de Sochaux et du vieux Charmont Bien que les niveaux baissent au fur et à mesure que l on s éloigne de l usine, la baisse des niveaux, des sites sous les vents dominants, est moins significative que lors de la première série. Par ailleurs on constate une hausse des niveaux de chaque COV par rapport à la première série, qui peut s expliquer par des conditions météorologiques favorables à une plus grande accumulation des polluants, à savoir faible pluviométrie et faible vitesse des vents, lors de la deuxième série de mesure. 21

24 Analyse des résultats de la série 2 des composés supplémentaires 22

25 Figures 20 à 24 : Répartition des COV complémentaires lors de la série 2 Pour les nouveaux composés analysés, la répartition est sensiblement identique à celles des composés historiques : les sites implantés au Sud Ouest de l usine, sous les vents dominants de l usine, présentent des niveaux plus élevés que ceux situés à l Est de l usine. Une hausse sensible des niveaux de COV relevés lors de cette deuxième série de mesure peut être observée par rapport à la série 1. Elle demeure toutefois moins importante pour ces nouveaux composés, à l exception du toluène pour lequel les niveaux de fond augmentent également de manière significative. En ce qui concerne l isobutanol, comme pour la première série de mesures, les niveaux restent relativement bas et très proches des différents niveaux de fond. 23

26 Synthèse de la campagne 2015 La dernière campagne de mesures en COV autour du site de PSA met en évidence plusieurs éléments d intérêt. Tout d abord, sur les 13 composés analysés en plus, 8 présentent des teneurs très faibles, voir inférieures aux seuils de détection des appareils de mesures. Un comportement caractéristique peut être observé pour l ensemble des autres composés, qu il s agisse des espèces historiques, ou de celles dont la mesure a été préconisée suite à l utilisation des nouvelles cabines de peinture. A savoir : Des concentrations plus importantes au niveau des sites placés sous les vents de l usine ; Des niveaux qui décroissent à mesure que l on s éloigne du site de production. Ces observations permettent de mettre en évidence un lien de causalité directe entre les activités de PSA et les teneurs mesurées, et ce pour l ensemble des COV étudiés. 24

27 IV - HISTORIQUE DES CAMPAGNES DE MESURES ATMO Franche Comté réalise un suivi des composés organiques volatils autour de PSA depuis L analyse des mesures effectuées depuis cette date permet de comparer, d une année à l autre, les concentrations mesurées sur les différents sites de mesures. Il convient cependant de rester prudent dans l interprétation de ces comparaisons car un nombre important de facteurs peut faire varier les concentrations mesurées, notamment les conditions météorologiques, mais aussi la production de véhicules, Les valeurs présentées dans les graphes ci dessous sont obtenues à partir de la moyenne des 2 séries de mesures réalisées chaque année pour les deux sites situés dans les mêmes échelles kilométriques, excepté pour l année 2006 où une seule série de mesures a été effectuée. a. Evolution des moyennes depuis

28 Figures 25 à 28 : Evolution des niveaux moyens en COV depuis 2005 Depuis la mise en place du suivi, quel que soit le composé considéré, les niveaux moyens les plus élevés sont toujours observés au niveau des sites les plus proches de l usine. Par ailleurs, ces niveaux moyens enregistrent une baisse notable depuis plusieurs années, en particulier depuis l hiver L année 2015 enregistre, pour la majorité des composés, les niveaux les plus bas pour tous les sites. Seul le n butanol présente des concentrations identiques à celles de l hiver précédent ou sensiblement plus élevées (+ 0,1 µg/m 3 pour les sites compris entre 2 et 3 km et + 0,2 µg/m 3 pour ceux situés à proximité des ateliers de peinture). 26

29 b. Comparaison des concentrations maximales Les valeurs présentées dans le graphe ci dessous correspondent aux valeurs maximales relevées tout site confondu pour chaque série lors de la campagne Elles sont comparées aux concentrations maximales mesurées lors des deux séries hivernales enregistrées depuis la mise en place du suivi, soit Figures 28 à 29 : Comparaison des concentrations maximales de la campagne 2015 avec l historique, tous sites confondus Les concentrations maximales observées lors de cette campagne 2015 présentent les niveaux les plus faibles enregistrés depuis la mise en place du suivi en Seul le n butanol présente pour les deux séries enregistrées cet hiver un niveau légèrement supérieur à la concentration maximale historique la plus faible. Pour les 3 autres composés, la série 1 comme la série 2 ont enregistré des concentrations maximales inférieures à la plus faible des concentrations maximales enregistrées lors des campagnes précédentes. Pour l acétate de butyle, les xylènes (m, p, o) et l ethylbenzène, la série 2 a observé des valeurs maximales légèrement plus importantes que celle de la série 1. Seul le n butanol a présenté une valeur maximale légèrement plus importante lors de la série 1. Les valeurs maximales observées depuis 2005 pour chacun des composés suivis figurent en annexe 4. 27

30 Synthèse de l analyse historique L analyse historique des données a permis de constater que les concentrations moyennes observées pour chacun des 4 composés organiques volatils en 2015 présentent les valeurs les plus faibles enregistrées depuis la mise en place du suivi. Seul le n butanol présente des niveaux sensiblement identiques à celui de l hiver précédent, avec également des niveaux très bas. En termes de maximas, les données 2015 présentent également les valeurs les plus basses, pour chaque série de mesures. Seul le n butanol présente pour chaque série un niveau maximal légèrement supérieur à la concentration la plus basse enregistrée jusque là et observée en

31 CONCLUSION GENERALE Les deux campagnes de mesures menées durant l hiver 2015 sur les 11 sites de prélèvements implantés autour de l usine Peugeot PSA de Sochaux permettent de confirmer la nette diminution des niveaux observée depuis 2012 pour chacun des composés organiques volatils surveillés depuis 2005 : acétate de butyle, xylène, éthylbenzène et n butanol. Cette tendance à la baisse est observable aussi bien pour les teneurs moyennes que pour les maximas. A noter que cette année les conditions météorologiques observées en 2015 ont cependant été particulièrement favorables à l accumulation des polluants (peu de précipitations et vents faibles), et que la production de véhicules durant les mesures a été la plus importante depuis la mise en place du suivi. Cette baisse des niveaux de COV est à mettre en lien avec la modification de process des lignes de peinture. En effet, depuis 2012, PSA s est engagé dans la suppression progressive de l emploi d apprêts solvantés et à la place l utilisation de bases hydrosolubles (PPC). En raison de ce changement, 13 composés complémentaires, identifiés en quantité plus importantes aux niveaux des 2 types de cabine de peinture, ont été analysés cette année. Ils ne sont toutefois pas présents en fortes quantités dans l air ambiant. Huit d entre eux ont présenté des concentrations très faibles, voir inférieures au seuil de détection des appareils de mesures. Il s agit des composés chlorés (1,1,1 trichloroéthane, 1,1,2 trichloroéthane, tétrachloroéthylène, clorobenzène, 1,4 dichlorobenzène) ainsi que de l octane, le styrène et le 2 butoxyethanol. Pour les 5 autres composés identifiés : l isobutanol présente des niveaux bas proche des niveaux de fond, le toluène et les trimethylbenzène (1,3,5 1,2,4 1,2,3) présentent des concentrations du même ordre de grandeur que les COV habituellement suivis. Dans la continuité des campagnes précédentes, les prélèvements 2015 ont permis de mettre une nouvelle fois en évidence que : les concentrations observées et la répartition spatiale des composés est fonction des vents dominants observés lors des campagnes de mesures ; les teneurs en chaque polluant suivent un gradient qui évolue en fonction de la distance à l émetteur. Les sites les plus éloignés tendent la plupart du temps à rejoindre le niveau de fond urbain, voir rural selon les composés. 29

32 Il est important de rappeler que la législation française et européenne ne fixe pas de valeurs limites dans l air ambiant pour les composés mesurés dans cette étude. Seul le suivi des émissions est obligatoire. Ainsi, les comparaisons ne sont possibles qu à partir des valeurs limites d exposition professionnelle (sur 8 heures et en exposition aiguë). Dans ces conditions, les niveaux mesurés dans l air ambiant autour du site PSA de Sochaux restent largement inférieurs à ces valeurs toxicologiques de référence. Un lien de causalité directe entre les niveaux de composés et les activités de l usine a pu être mis en évidence. Nous recommandons la poursuite du suivi, pour les composés usuels, ainsi que pour les 5 COV additionnels dont les concentrations sont significatives. 30

33 ANNEXE ANNEXES ANNEXE 1 : RESULTATS DES PRELEVEMENTS PAR CANISTER DANS 2 TYPES DE CABINES Concentration en µg/m 3 COV Cabine PPC Cabine solvantée m+p-xylène* octane* 316, o-xylène* éthylbenzène* ,2,4-triméthylbenzène* ,3,5-triméthylbenzène* ,2,3-triméthylbenzène* styrène 67,82 255,25 toluène 76,23 247,17 chlorobenzène 242,73 240,65 tétrachloroéthylène 151,42 156,12 1,4-Dichlorobenzène 280,56 151,89 1,1,2-trichloroéthane* ,83 propane 11,76 14,91 éthane 15,96 12,38 heptane 7,69 8,05 Tétrachlorométhane 16,83 6,43 éthène 21,7 4,21 iso-octane 12,34 3,61 hexane 1,41 2,62 n-butane 2,26 2,13 propène 8,33 1,74 1,2-dichloroéthane 1,54 1,5 iso-butane 1,59 1,45 1-pentène 0,42 1,24 acétylène 2,12 0,96 iso-pentane 1,17 0,93 1-butène 4,02 0,7 n-pentane 0,75 0,5 1,1,1-trichloroéthane 0,39 0,39 1,3-butadiène 1,13 0,35 trichloroéthylène 0,33 0,33 isoprène 0,36 0,26 1,1-dichloroéthane 0,25 0,25 1,2-dichloroéthylène 0,24 0,24 trans-2-butène 0,26 0,23 cis-2-butène 0,21 0,2 trans-2-pentène 0,6 0,18 1-hexène 0,17 0,1 cis-2-pentène 0,12 0,06 benzène Interférent Interférent * : Analyse à saturation en raison d'une concentration trop élevée du composé 31

34 ANNEXE ANNEXE 2 : VALEURS DE REFERENCE TOXICOLOGIQUE POUR LES COMPOSES ETUDIES Valeurs de référence françaises issues des cahiers techniques de l Ineris: Composés N CAS VME 8h (mg/m 3 ) VLE 15 min (mg/m 3 ) Acétate de butyle Xylènes (o, m et p) Ethylbenzène ,4 442 n Butanol Toluène ,8 384 Chlorobenzène Octane Tétrachloroéthylène Styrène ,2 Dichlorobenzène ,2,3 Trimethylbenzène ,2,4 Trimethylbenzène ,3,5 Trimethylbenzène Isobutanol Valeur Limite d Exposition (VLE) : Valeurs dont le respect permet d'éviter le risque d'effets toxiques immédiats ou à court terme. C'est une valeur plafond mesurée sur une durée maximale de 15 minutes, en fonction de la nature du risque, des conditions de travail et des possibilités techniques de mesurage. Elle est régie par la législation du travail. Valeur Moyenne d Exposition (VME) : Valeurs destinées à protéger les travailleurs des effets à terme, mesurées ou estimées sur la durée d'un poste de travail de 8 heures. Une VME peut être dépassée sur de courtes périodes, sous réserve de ne pas dépasser la VLE, lorsqu'elle existe. Elle est régie par la législation du travail. 32

35 ANNEXE ANNEXE 3 : RESULTATS DES ANALYSES 33

36 34 ANNEXE

37 ANNEXE 35

38 36 ANNEXE

39 ANNEXE ANNEXE 4 : CONCENTRATIONS MAXIMALES PAR POLLUANT ET PAR SERIE OBTENUES DEPUIS 2005 (TOUS SITES CONFONDUS) Campagne Acétate de butyle Xylènes (o,m,p) n butanol Ethylbenzène Série 1 33,7 34 2,2 7,3 Série 2 16,7 16,5 0,9 3, Série 1 20,6 24,7 2,8 6, Série 1 22,6 22,9 1,4 6 Série 2 22,9 21,8 2,3 5,3 Série 1 15,8 19,8 1,8 4,2 Série 2 11,5 11,7 1,3 2,5 Série 1 35,1 34,3 4,7 7,7 Série ,4 6,1 Série 1 15,6 18,5 4,1 4,5 Série 2 13,6 17,4 2,4 4,2 Série 1 20,7 22,2 2,5 5,7 Série 2 25,9 26,5 6,2 6,5 Série 1 12,3 14,3 1,9 3,2 Série 2 7,1 8,1 1,2 1,8 Série 1 4,7 6,4 0,8 1,6 Série 2 6,1 7,4 0,8 1,5 série 1 3,6 4,2 1,3 0,9 série 2 5,3 5,7 1,1 1,3 37

40 38 ANNEXE

41 RESEAU DE SURVEILLANCE DE LA EN FRANCHE COMTE 15 rue Mégevand BESANCON Tél. : Fax : Web : franche comte.org Courriel: contact@atmofc.org ATMO Franche-Comté est membre de la Fédération ATMO Toute copie (même partielle) de ce document doit être faite en citant expressément la source

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