LA QUALITÉ DE L AIR EN 2002

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1 Côté insolation, l année 22 est globalement peu ensoleillée (déficit entre 6 et 8 %). Si le premier semestre apparaît bien ensoleillé, la seconde moitié de l année se révèle bien déficitaire, notamment les mois d été de à septembre. TEMPERATURES A CHALLES-LES-EAUX EN 22 TEMPERATURES A PRALOGNAN EN 22 Températures en C 3 ré de ) Ma Mini e ) Températures en C 3 ré de ) Ma Mini e ) Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept Oct Nov Déc -1 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept Oct Nov Déc Source : Météo-France Source : Météo-France LA QUALITÉ DE L AIR EN 22 La qualité de l air est examinée au regard de la réglementation en vigueur : en France, elle résulte de la loi sur l air promulguée le 3 décembre 1996, et a été rendue compatible avec les directives européennes par la promulgation du décret du Ainsi, la réglementation en cours détermine trois types de valeurs (variables selon les polluants) : des objectifs de qualité et des valeurs limites qui s appuient sur un bilan annuel rétrospectif de la qualité de l air, s également des seuils préfectoraux (seuil de recommandation et d information, seuil d alerte) applicables «en temps réel» lors d épisodes aigus de pollution de l air. Les objectifs de qualité correspondent aux concentrations pour lesquelles les effets sur la santé sont réputés négligeables et vers lesquelles il faudrait tendre en tout point du territoire dès lors que les valeurs sont au-dessus. Les valeurs limites sont les concentrations que l on ne peut dépasser que pendant une durée limitée : des mesures permanentes pour réduire durablement les émissions doivent alors être prises par les Etats membres de l Union Européenne afin de respecter systématiquement ces valeurs. Quand le seuil de recommandation et d information est atteint, les effets sur la santé des personnes sensibles (jeunes enfants, asthmatiques, insuffisants respiratoires et cardiaques, personnes âgées, ) sont probables. Dès lors, un arrêté préfectoral définit la liste des organismes à informer et le message de recommandation sanitaire à diffuser auprès des médias. Quant au seuil d alerte, il se rapporte à des valeurs au-delà desquelles il y a un risque immédiat pour l ensemble de la population. Un arrêté préfectoral détermine les mesures immédiates à prendre pour réduire les émissions de polluants (ralentissement ou arrêt de l activité industrielle, limitation de la vitesse ou arrêt de la circulation, ) et les messages à diffuser auprès des médias pour avertir les usagers. Observatoire savoyard de l environnement n 1 déc.23 47

2 Résultats des mesures de la qualité de l air Valeurs maximales (nombre de dépassements) Norme Paramètre Valeur à Tolérance Chambéry- Chambéry- Chambéry- Saint-Jeanrespecter (µg/m 3 ) Pasteur le-haut Barby de-maurienne Objectif de qualité Moyenne annuelle Valeur limite Moyenne journalière 12 3 jours ( 1j) SO2 Valeur limite Moyenne horaire 44-3** 24 heures Protection de la végétation Moyenne annuelle Seuil d information Moyenne horaire Seuil d alerte Moyenne horaire sur 3h Objectif de qualité Moyenne annuelle Valeur limite Moyenne annuelle 6-4* NO2 Valeur limite Moyenne horaire 2 17 heures Valeur limite Moyenne horaire 28-2* 18 heures Seuil d information Moyenne horaire Seuil d alerte Moyenne horaire Objectif de qualité Moyenne glissante 8h (26j) 18 (37j) 11 (34j) 19 (29j) 142 (2j) Protection de la végétation Moyenne horaire O3 Protection de la végétation Moyenne journalière (82j) 126 (19j) 11 (9j) 18 (62j) 128 (96j) Seuil d information Moyenne horaire 18-1 jour Seuil d alerte Moyenne horaire 36 - Objectif de qualité Moyenne annuelle PM1 Valeur limite Moyenne journalière 6 - ** 3 jours 6 67 (1j) - 7 (3j) 11 (4j) Valeur limite Moyenne annuelle 44-4** *Valeurs dégressives de 22 à 21 **Valeurs dégressives de 22 à 2 Source : L Air de l Ain et des Pays de Savoie Le dioxyde de soufre (SO2) à surveiller en Maurienne Le dioxyde de soufre Ce gaz se forme principalement lors de la combustion du fioul, du charbon et d autres combustibles fossiles, par combinaison du soufre contenu dans ces combustibles et de l oxygène de l air. Les principales sources sont les industries, les centrales thermiques, les chauffages domestiques. La part du trafic automobile, uniquement attribuable aux véhicules diesels, est de plus en plus faible en raison de l amélioration du carburant (désulfuration du gasoil). Si, comme chaque année, le dioxyde de soufre montre des valeurs très basses et nettement en-dessous des valeurs limites à Chambéry, il s est montré «capricieux» dans la vallée de Maurienne, avec des soubresauts hivernaux. Ainsi, des pointes particulièrement significatives ont été enregistrées à Saint- Jean-de-Maurienne en décembre : le seuil de la valeur limite a même été dépassé durant une journée (la valeur limite est néanmoins respectée tant que l événement ne se répète pas plus de 3 fois dans l année). DIOXYDE DE SOUFRE : Moyennes quotidiennes SO2 en µg/m Observatoire savoyard de l environnement n 1 déc.23 48

3 Même si la Maurienne est partiellement raccordée au réseau de gaz naturel, le fioul demeure une source énergétique importante à la fois pour les ménages, s aussi pour les industriels. L explication de cette hausse significative s heureusement momentanée des concentrations en dioxyde de soufre réside donc probablement dans la conjonction d un phénomène météorologique propre aux vallées (forte inversion thermique) et de fortes émissions. Les particules en suspension (PM1) préoccupantes Les particules en suspension Dans l atmosphère, seules les poussières les plus fines (inférieures à 1 micromètres) restent en suspension dans l air. Parmi elles, celles dont le diamètre aérodynamique est inférieur à 1 micromètres (µm) parviennent alors à pénétrer l appareil respiratoire. Symbolisées par le sigle «PM1» (terme anglophone signifiant «Particulate Matter 1 µm»), elles servent d indicateur global pour cette pollution qui correspond à la mesure des poussières. Les poussières peuvent être d origine naturelle (érosion, volcanisme ) ou anthropique. Dans ce cas, les particules en suspension dans l air proviennent à la fois de l industrie (procédés industriels et chaufferies), du chauffage et du trafic automobile (suies, usure des pièces mécaniques et des pneumatiques). Les véhicules diesel sont les principaux émetteurs routiers et génèrent de très fines particules (leur diamètre est inférieur à, µm). Habituellement cantonnée au périmètre de la vallée de la Maurienne, la problématique des particules en suspension de diamètre aérodynamique moyen inférieur à 1 µm (PM1) s est élargie aux deux autres agglomérations surveillées. Certes, toutes les moyennes annuelles respectent la valeur limite et même l objectif de qualité, s des pointes épisodiques ont jalonné l année 22 provocant le dépassement du seuil de la valeur limite journalière. Notons toutefois que, conformément à la réglementation, la valeur limite elle-même est dépassée lorsque le nombre de dépassements est supérieur à 3 jours : ce n est fort heureusement pas le cas ici. Dans ce constat peu glorieux, reste le site le plus sensible, avec PARTICULES EN SUSPENSION : Moyennes quotidiennes le record du maximum journalier (11 µg/m 3 en moyenne sur la journée du 8 ) Les particules en suspension vont probablement poser des problèmes vis-à-vis du respect des valeurs réglementaires dans les années à venir, puisqu il convient de rappeler que leur seuil sera PM1 en µg/m graduellement abaissé jusqu en 2 à µg/m 3, pour la moyenne journalière et à 4 µg/m 3 pour la moyenne annuelle. Dans les conditions actuelles, les résultats enregistrées durant cette année 22 ne permettent pas d envisager cette échéance sous les meilleurs auspices. PM1 en µg/m sept. oct. nov. déc. Observatoire savoyard de l environnement n 1 déc.23 49

4 Un mois de fatal pour l ozone (O3) Même si l été a été particulièrement pluvieux, il a malgré tout permis à l ozone d atteindre des niveaux très élevés : il a suffi pour cela que la deuxième quinzaine de nous apporte des températures caniculaires durant quelques journées. Un anticyclone puissamment installé dans une masse d air surchauffée a activé les réactions chimiques nécessaires à la formation de l ozone, ce polluant secondaire si particulier. Si cette configuration météorologique régnait sur toute la région, seule a été significativement affectée, au point d avoir connu un déclenchement du niveau d informations et de recommandations, premier échelon de la procédure d urgence. Ce cas extrême ne doit cependant pas occulter le fait OZONE : Maxima journaliers O3 en µg/m O3 en µg/m que tous les capteurs, même s ils n ont pas atteint les mêmes niveaux, ont dépassé la norme journalière de protection de la végétation, ainsi que de protection de la santé hune sept. oct. Chambéry-Barby nov. déc. L ozone L ozone, comme d autres oxydants, est issu d une réaction photochimique (initiée par les rayonnements solaires UV) entre différents composés prires appelés «précurseurs», présents dans l atmosphère. C est un polluant dit «secondaire» puisqu il n est pas directement émis par une source (a contrario des polluants dits «prires»). Les précurseurs sont en particulier les oxydes d azote (NOx) et les Composés Organiques Volatils (COV), polluants essentiellement automobiles. Une particularité notable de la pollution photo-oxydante est sa répartition géographique, conditionnée en grande partie par son mode de formation. En effet, les plus fortes concentrations sont observées en périphérie des villes alors qu au centre de l agglomération, les valeurs sont moins importantes. L ozone péri-urbain suit des cycles de formation annuels et journaliers typiques : les teneurs sont quasiment nulles en hiver, les plus fortes concentrations étant mesurées entre et. Les plus forts niveaux d ozone sont atteints dans l après-midi, aux heures d ensoleillement intense, et les plus faibles la nuit (consommation chimique de l ozone). Les caprices du dioxyde d azote (NO2) Les oxydes d azote Ils résultent de la combinaison à hautes températures de l oxygène et de l azote présents dans l air ou dans les combustibles. Ils sont émis par les véhicules à moteur ainsi que par les installations de combustion industrielles et domestiques. Les oxydes d azote, symbolisés par la formule chimique NOx, rassemblent notamment le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO2), s seul ce dernier est considéré comme un polluant au regard de ses effets sur la santé hune. Les variations du dioxyde d azote sont fortes d une année sur l autre. Les valeurs enregistrées en 21 avaient montré une baisse généralisée des concentrations par rapport à 2 ; s en 22, la tendance espérée ne s est pas totalement confirmée. On assiste globalement à une hausse des valeurs maximales même si toutes les valeurs réglementaires, qu ils s agissent des valeurs limites ou des objectifs de qualité, sont respectées. Observatoire savoyard de l environnement n 1 déc.23

5 Il faut donc retenir que sur l ensemble de l année, le problème réside davantage dans des pointes épisodiques, limitées dans le temps, liées à la conjonction d un trafic routier dense et de conditions météorologiques favorisant l accumulation des polluants, qu à une vraie pollution permanente et généralisée. Il convient par conséquent de demeurer optimiste quant au respect des valeurs moyennes annuelles prévues pour 21, s vigilant par rapport aux maxima horaires qui ne témoignent pas encore d une réelle maîtrise des rejets de dioxyde d azote dans le département. DIOXYDE D'AZOTE : Maxima journaliers NO2 en µg/m NO2 en µg/m Bilan de l indice ATMO L air que l on respire n est jas pur : il contient des milliers de composés très différents, à la fois par leurs origines et leurs effets. Comme il est inconcevable de tous les mesurer, certains d entre eux, mieux identifiés, sont considérés comme des indicateurs d un type de pollution atmosphérique : ils font donc l objet d une surveillance régulière permettant le calcul de l indice ATMO, vecteur indispensable de l information quotidienne des habitants. Il Chambéry constitue en effet la manière la plus synthétique et la plus 1 abordable pour informer sur la qualité de l air d une agglomération. Chaque jour, les concentrations mesurées pour 8 les quatre polluants surveillés déterminent quatre sous-indices : l indice ATMO prend la valeur du sous-indice le plus élevé. En cette année 22, la qualité de l air semble s être améliorée par rapport à l année 21 : les indices «très bon» ont progressé dans les trois unités urbaines savoyardes en même temps que le nombre de jours avec un indice ATMO «médiocre» était en recul. Toutefois, les habitants d et de Saint-Jean-de- Maurienne ont encore subi 2 et 3 journées avec une qualité de l air «mauvaise» : l ozone est toujours responsable dans la combe de Savoie, alors que les poussières en suspension le sont dans la vallée de l Arc. C est la météorologie qui, dans tous les cas, explique cette amélioration en 22 : l été, particulièrement frais et pluvieux, si l on exclut le mois de, a largement contribué à amoindrir la formation de l ozone, polluant habituellement incriminé dans les indices élevés. Indice Observatoire savoyard de l environnement n 1 déc Qualificatif Très mauvais Mauvais Médiocre Moyen Bon Très bon LES INDICES ATMO EN SAVOIE très mauvais mauvais médiocre moyen bon très bon

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