Le diagnostic énergie. Gaz à effet de Serre. Nom de l exploitation

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1 Le diagnostic énergie Gaz à effet de Serre Nom de l exploitation

2 Objectif général Introduction Le diagnostic Energie et Gaz a Effet de Serre (GES) de votre exploitation doit permettre de connaître les consommations d énergie et les émissions de gaz à effet de serre de votre exploitation. on ne peut réduire que ce que l on connaît. La comparaison à des références va ensuite permettre de situer la performance énergétique et d évaluer les émissions de GES de votre exploitation. ces indicateurs permettent d identifier les marges de progrès Enfin la réalisation d un bilan et la mise en lumière des marges de progrès va permettre la mise en place d un plan d amélioration des performances sur votre exploitation concernant les économies d énergie et le potentiel de développement de production d énergie renouvelable. mise en place d un projet d amélioration à moyen et long terme ATTENTION : Ces préconisations n ont pas vocation à se substituer dans le cas de projets d investissements conséquents à une étude de faisabilité ou d ingénierie qui seule pourrait permettre de tirer des conclusions définitives sur la pertinence d un projet d économie d énergie ou de production d énergies renouvelables. Le diagnostic énergie permet de : Connaître ses consommations d énergie et émissions de GES Identifier les marges de progrès de l exploitation Elaborer un projet d amélioration de la performance énergétique Energie directe (fioul, gaz, électricité ) / Energie indirecte (Alimentation, fertilisation., ) Le diagnostic couvre l ensemble des énergies directes (électricité, gaz, produits pétroliers ) ainsi que les énergies indirectes. Celles ci sont mobilisées pour la fabrication des intrants (fertilisation, aliments du bétail, semences, phytosanitaires ) et pour la fabrication du matériel et des bâtiments, y compris leur transport depuis les lieux de production jusqu à l exploitation. Emissions de Gaz à Effet de Serre (GES) Les émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) comprennent les émissions annuelles de dioxyde de carbone (C02), de méthane (CH4) et de protoxyde d azote (N20) dues à la consommation d'énergies, aux animaux et à la gestion des sols (travail du sol, fertilisation ) 1/11

3 Présentation de l exploitation COORDONNEES Nom de l exploitation Adresse tel Date réalisation du diagnostic : 29/09/2011 Campagne : 2009 / 2010 Diagnostiqueur n : Diagnostic n : FICHE D IDENTITE SAU 55 ha 3,25 UTH 54 UGB Ateliers principaux : Bovin lait Caprins lait Atelier de transformation fromagère CONTEXTE Conditions pédoclimatiques : Zone montagne, 600m Parcellaire : groupé autour de plusieurs sites Evolutions : Fonctionnement du système Cheptel Bovins lait 50 UGB Caprins 3 UGB Porcs 1 UGB Total 54 UGB Productions Lait de vache lait de vache transformé Lait de chèvre tansformé Viande bovine Viande caprine Viande porcine Céréales, oléoprotéagineux Dont autoconsommées Prairies Maïs ensilage Productions animales Assolement SFP 15 ha 15 ha 28 ha 12 ha 40 ha % maïs dans la SFP 30% litres litres litres 3000 kg viande vive 500 kg viande vive 1000 kg carcasse 2/11

4 1 Bilan Energie Energie directe / indirecte / totale Consommations d'énergie GJ % total Prix / an % total Energies directes 610,34 45% % Fioul (direct + par tiers) 201,15 15% % Gazole / Essence 107,4 8% % Gaz (Propane, Butane, Gaz nat.) 0% Electricité 292,78 22% % Irrigation / séchage / AEP 9,01 1% Energies indirectes 741,93 55% % Alimentation 247,38 18% % Fertilisation 192,9 14% % Matériel et equipement 115,86 9% % Autres (semences, phytos, achat d'animaux) 185,79 14% % TOTAL 1352, VOS CONSO. THERMO METRES 3/11

5 Présentation des résultats de l exploitation, en les comparant aux consommations, de la moyenne «exploitation bovins lait» française, Puis aux consommations de deux autres systèmes de références pour les produits pétroliers. 4/11

6 1 Bilan Energie 5/11

7 2 Bilan Gaz à effet de serre Zoom Stockage et Emissions de Gaz à Effet de Serres Emissions GES t.éq. CO2 Emissions GES brutes 258,6 Emissions GES nettes 248,3 Dont Consommation d'énergie directe 21,0 Fabrication des intrants et matériel 64,7 Fermentation entérique Gestion des déjections animales 32,6 Sols agricoles (hors variation stockage dans les sols) Variation des stocks de carbone dans les sols, dans les haies, dans les bois 28,3 10,3 Commentaire : Les émissions de gaz à effet de serre nettes correspondent à la différence entre les émissions de gaz à effet de serre brutes et la variation des stocks de carbone dans les sols et les plantations. L agriculture représente en France 19 % des émissions de Gaz à effet de serre. Ces émissions sont composées par des émissions d origine énergétiques (fioul, électricité, gaz ), sur lesquelles on pourra agir; et des émissions d origine non énergétique (fermentation des ruminants, dégagement de protoxyde d azote des sols ) qu il est beaucoup plus difficile de contrôler. Pour agir sur ces résultats, le levier d action le plus simple à mettre en place concerne les émissions de CO2. L adoption d une conduite économe, le réglage des traceurs après passage au banc d essai sont des actions simples à mettre en place qui permettent de diminuer les émissions de Gaz à Effet de Serre de l exploitation. A RETENIR l implantation de nouvelles haies, le recours aux techniques sans labour ou la conversion vers plus de surfaces en herbe favorise le stockage de carbone sur l exploitation la création d 1 tonne de bois consomme 1,5 tonne de gaz carbonique et en même temps rejette 2 tonnes d oxygène dans l atmosphère. Un ha de forêt peut fixer 3T de CO2 /an 6/11

8 3 Programme d action L exploitation a déjà adopté des pratiques intéressantes qui contribuent à limiter les consommations énergétiques : introduction de légumineuses dans une partie des prairies temporaires pour les enrichir les parcelles en azote sans fertilisation minérale et apporter de l azote dans la ration, présence importante de prairies permanentes et de prairies temporaires qui favorisent le stockage du carbone (Cf. fiche jointe), la majorité de l eau utilisée par l exploitation est de l eau de source, autoconsommation de céréales de l exploitation, les vaches passent une bonne partie de l année dehors ce qui limite les besoins de récolte de fourrage et la gestion des effluents (paillage, manipulation et épandage), une part importante du matériel est en Cuma, copropriété ou ETA, une partie du matériel est ancienne et considéré comme amortie, réalisation d un plan de fumure et d analyses de sols, le bois de l exploitation est valorisé à la fois en bûches, utilisée par les membres de l exploitation et leurs familles, réalisation d un plan d alimentation pour adapter au mieux l alimentation aux besoins des animaux, IA permettant d améliorer la production des animaux, présence d un pré-refroidisseur sur le tank à lait, production d huile végétale pure de colza et utilisation de cette huile dans un tracteur modifié, et des tourteaux en remplacement de tourteaux industriels. Il faut donc continuer dans cette voie, en maintenant ces pratiques et il serait intéressant d en adopter quelques-autres. 7/11

9 3 Programme d action PROPOSI TIONS PROPOSI TIONS 1 Gestes simples, changement de pratiques Fioul Priorité Economie réglage des outils, passage des tracteurs au banc moteur +++ à adoption d une conduite économique grâce notamment à une bonne connaissance des régimes moteurs, ++ modifications concernant les itinéraires techniques (profondeur du labour, nombre de passages, préparation +++ des sols...) Electricité : nettoyage du condenseur des groupes froids, + bonne isolation des bâtiments ++ entretien et réglage des appareils de chauffage et de ventilation. + Isolation du chauffe-eau, du bac de lavage, installation d un vase d expansion et isolation des conduits d eau + chaude Installation d ampoules basse-consommation + Engrais minéraux pilotage de la fertilisation minérale et organique, +++ introduction de légumineuses dans la rotation, + à Pilotage fertilisation par bandes double densité et pésée entrée-sortie d hiver + à Achats d aliments optimisation de l emploi des concentrés, augmentation la part d'autoconsommation (légumineuses), ALLER PLUS LOIN GAGNEZ EN MOYENNE 6 % DE VOS CONSOMMATION UNIQUEMENT PAR DU CHANGEMENT DE PRATIQUE SUITE A UN DIAGNOSTIC ENERGETIQUE CHEZ VOUS UNE TELLE ECONOMIE REPRESENTERAIT UN GAIN DE GJ, SOIT 8/11

10 3 Programme d action 2 Réaliser un investissement économe en énergie rentable - Installation d un chauffe-eau solaire pour diminuer la consommation électrique liée à la consommation d eau chaude, - Raccordement de la chaudière de l habitation à l exploitation pour diminuer les consommations électriques liées à la production d eau chaude et au chauffage de l atelier de transformation. 9/11

11 3 Programme d action 3 Obtenir un revenu complémentaire par la production d énergie ou de biomasse POTENTI EL Le Photovoltaïque : La mise en place d une centrale photovoltaïque de 14 à 24 kwc (100 à 180 m²), permettrait de produire l équivalent de l électricité consommée sur l exploitation, Les tarifs de revente du courant à EDF sont en évolution permanente, mais les coûts d installation sont également en forte baisse, et dans l optique de la construction d un nouveau bâtiment, l installation d une centrale en toiture en remplaçant la couverture qui est à faire, permettrait de gagner en rentabilité. Cette réflexion de diminution des consommations électriques, s intégrerait ainsi dans la démarche négawatt : sobriété efficacité renouvelable Cette réflexion est basée sur une notion de coût-efficacité. La diminution des besoins (sobriété) étant ce qui coûte le moins cher, c est par là qu une démarche efficace doit commencer, puis l efficacité (moins de besoin d énergie pour le même service) est moins coûteux que les énergies renouvelables. 1. Sobriété : a. Adapter l éclairage aux besoins et ne pas allumer des pièces non utilisées b. Adapter les volumes et la température de l eau chauffée aux besoins réels 2. efficacité : a. installation d un pré-refroidisseur, b. isolation des chauffe-eau, des réseaux d eau chaude, du bac de lavage et installation d un vase sanitaire, c. installation d un bac extérieur pour refroidir en hiver l eau du préréfroidisseur, d. nettoyer régulièrement les groupes froids e. bien ventiler la laiterie en été f. installer des ampoules/néons basse consommation 3. renouvelable : a. installation d un chauffe-eau solaire b. raccordement à la chaudière bois de l habitation lors du renouvellement c. installation d une centrale photovoltaïque 10/11

12 3 Programme d action 4 Diminuer ses émissions de Gaz à Effet de Serre Les pratiques actuelles permettent déjà un stockage annuel de 10,28 TeqCO 2, diminuant ainsi l impact de l exploitation sur les GES. D autres pratiques permettrait soit de diminuer les émissions de GES, soit d améliorer le stockage du carbone : - L ensemble des actions préalablement citées, en favorisant une diminution des consommations énergétiques, contribue à diminuer les émissions de GES, - Développement des plantations d arbres : haies, arbres isolés, bosquets, - Développement des cultures intermédiaires, pour supprimer les sols nus en hiver, - Pour la fertilisation, réaliser les apports au plus près des besoins ; et limiter les retournements des prairies renfermant des légumineuses pour limiter la volatilisation de l azote sous forme protoxyde d azote, - Cf. fiche action jointe pour la diminution de la production de méthane ALLER PLUS LOIN Agriculture et stockage du carbone, Chambre d agriculture du Rhône, Département du Rhône. Agriculture et protoxyde d azote, Chambre d agriculture du Rhône, Département du Rhône. Fiche Action Dia Terre : Fermentation dans le rumen : origine du méthane entérique et moyens de le réduire 11/11

13 Relations entre les différents postes sur l énergie: Les postes ne sont pas indépendants et les actions conduites sur l un peuvent entraîner des modifications sur un autre. Agir sur les consommations de fioul en réglant et entretenant le tracteur ou agir sur les consommations électriques avec la pose d un récupérateur de chaleur n entraîne pas de conséquences sur le reste de l exploitation. En revanche, le passage à du désherbage mécanique pour diminuer les consommations de produits phytosanitaires entraîne une augmentation des consommations de fioul et donc une augmentation du bilan énergétique de l exploitation. Les postes ne doivent donc pas être pris comme des éléments indépendants sur lesquels on pourrait travailler séparément. Ils constituent un tout interdépendant et il faut donc pouvoir aborder les différents postes de consommation dans leurs relations avec les autres, afin d éviter tout transfert d impacts d un poste à l autre. L Energie, un enjeu parmi les autres : L énergie et les GES ne sont d autre part pas les seuls enjeux auxquels l agriculture doit faire face. Et face à ces autres enjeux : rentabilité, travail, alimentaire, phytosanitaire, eau, biodiversité l énergie et les GES sont une entrée d analyse du système d exploitation qui ne se veut pas exclusive. Des actions à effets contradictoires entre différents enjeux : Certaines actions ont des effets différents selon les enjeux : - désherbage mécanique : action positive pour l enjeu phytosanitaire mais action négative pour l enjeu énergie, - l équipement de l exploitation en matériel de grande taille est négatif sur l enjeu énergie mais positif sur l enjeu travail. Ces actions supposent donc des compromis entre les différents enjeux Des actions positives pour plusieurs enjeux : Les actions positives sur l énergie ont de manière générales des effets positifs sur les enjeux climatiques, et certaines actions permettent d avoir un effet positif sur plusieurs enjeux : - la plantation de haies à un effet positif sur l enjeux climatique à travers la fixation de carbone, sur l enjeux biodiversité (plus ou moins important selon le type de haies), sur l enjeux eau et sur l enjeu érosion, voir sur l enjeu énergie dans le cadre de la valorisation énergétique du bois produit. - La limitation et la gestion optimisée de la fertilisation pour l adapter au plus près des besoins des cultures, doit permettre d avoir un effet positif sur l enjeu énergie, sur l enjeu climatique et sur l enjeu qualité de l eau, - La restructuration du foncier, avec des rapprochements parcellaires permet d avoir des effets positifs sur les enjeux énergie (et climatiques) et charge de travail. 12/11

14 Aller plus loin, En + Banc d essai tracteur, FN Cuma, Cemagref, Chambres d agriculture Quelles pistes pour économiser le carburant, Cuma Région Centre et Chambre d agriculture Région Centre Les résultats des bancs d essai, Aile Proposition de stage Vivea «Tirer le meilleur parti de son tracteur» Les économies d énergie à la ferme, Réseau Agriculture Durable (RAD) Bien fertiliser ses prairies, PEP Bovins lait Rhône Alpes, Solaire Thermique, Ademe Rhône-Alpes Récupérateur de chaleur sur un tank à lait, Ademe Rhône-Alpes Les consommations d énergie dans les exploitations laitières, Chambre d agriculture du Rhône, Département du Rhône. L Energie dans les ateliers de transformation fromagère, Chambre d agriculture du Rhône, Département du Rhône. Agriculture et stockage du carbone, Chambre d agriculture du Rhône, Département du Rhône. Agriculture et protoxyde d azote, Chambre d agriculture du Rhône, Département du Rhône. Notice d information sur le PPE, DDT du Rhône VOTRE CONTACT Thomas GONTIER Conseiller Environnement Chambre d agriculture du Rhône 18, Av des Monts d Or La Tour de Salvagny tel : / fax : /11

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