Le marché du travail au Québec : bilan, perspectives et situation du. secteur manufacturier
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- Jean-Marie Bessette
- il y a 6 ans
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1 Le marché du travail au Québec : bilan, perspectives et situation du secteur manufacturier Grand rendez-vous RH manufacturier novembre 2016
2 PLAN DE L EXPOSÉ Partie I Retour sur quelques faits saillants de l état actuel et prévisible du marché du travail au Québec Partie II Évolution de l emploi du secteur manufacturier Partie III Les déséquilibres du marché du travail et les moyens d y faire face 2
3 PARTIE I RETOUR SUR QUELQUES FAITS SAILLANTS DE L ÉTAT ACTUEL ET PRÉVISIBLE DU MARCHÉ DU TRAVAIL AU QUÉBEC 3
4 TAUX D EMPLOI ET TAUX DE CHÔMAGE (15-64 ANS) : UNE TENDANCE NETTE À L AMÉLIORATION DEPUIS PLUS DE 2 DÉCENNIES Sommet historique 72,8 % sommet en 2013 à 72,2 % ,6 % Échelle de droite Taux d'emploi Taux de chômage 4 Source : Enquête sur la population active, Statistique Canada.
5 ÉVOLUTION DU TAUX D EMPLOI PAR RÉGION (15 À 64 ANS) : UNE AMÉLIORATION QUI S OBSERVE PARTOUT ,6 72, , Source : Enquête sur la population active, Statistique Canada
6 TABLEAU COMPARATIF DU TAUX D EMPLOI (15-64 ANS) DANS DIVERS PAYS DE L OCDE Taux d emploi des ans en 2015 Source : OCDE (2016), Taux d'emploi (indicateur). doi: /f58ea354-fr (consulté le 15 avril 2016) 6
7 L ÉVOLUTION DES EMPLOIS SELON 3 NIVEAUX DE QUALIFICATIONS Les niveaux de compétence qui caractérisent les emplois, selon la Classification nationale des professions (CNP), ont été utilisés pour répartir l emploi total selon 3 niveaux de qualification, soit : Emplois «hautement qualifiés» : exigent habituellement des diplômes d études universitaires ou collégiales (DEC, Bac, etc.). Emplois «qualifiés» : exigent habituellement des diplômes d études professionnelles (DEP) ou des diplômes d écoles de métier. Emplois «moins qualifiés» : exigent habituellement des diplômes d études secondaires (DES) ou moins. 7
8 LES EMPLOIS «MOINS QUALIFIÉS» REPRÉSENTENT ENCORE PRÈS DE 4 EMPLOIS SUR 10 AU QUÉBEC Répartition de l emploi selon les 3 groupes de qualification ,4% 31,7% 38,3 % 43,6 % 24,9% 18,1 % Emplois hautement qualifiés Emplois qualifiés Emplois moins qualifiés Emplois hautement qualifiés Emplois qualifiés Emplois moins qualifiés Source : Enquête sur la population active, Statistique Canada 8
9 en pourcentage CETTE PROGRESSION S EST ACCOMPAGNÉE D UNE ÉVOLUTION SEMBLABLE À LA DIPLOMATION AU SEIN DE LA POPULATION (LES UNIVERSITAIRES ONT DOUBLÉ LEUR PART) 45 Répartition de la population québécoise des ans selon le plus haut niveau de scolarité ,7 % % ,2 % 12,8 % Aucun diplôme Diplôme d'études secondaires Certificat ou diplôme d'une école de métier Certificat ou diplôme d'un collège ou cégep Certificat, diplôme ou grade universitaire 9 Source : Enquête sur la Population active, Statistique Canada
10 ÉVOLUTION PRÉVUE DE LA DEMANDE DES ENTREPRISES SELON LES BESOINS DU MARCHÉ DU TRAVAIL PAR NIVEAU DE «QUALIFICATION» (ESTIMÉE PAR LE DIPLÔME REQUIS) Demande associée à la création nette d emplois plus celle pour le remplacement (retraite) Hautement qualifié (Diplôme collégial et plus) (52 % du total) (52 % du total) Qualifié (Diplôme professionnel) (16 % du total) (16 % du total) Peu Qualifié (Diplôme d enseignement secondaire et sans diplôme) (32 % du total) Total (100 %) (32 % du total) (100 %) 10 Source : projection d Emploi-Québec et RRQ
11 % % L ABSENCE DE DIPLÔME = CHÔMAGE IMPORTANT Taux d'emploi des ans selon le plus haut diplôme, ,3 79,2 81,7 82, Sans grade, certificat ou diplôme Études secondaires complétées Certificat ou diplôme d'une école de métier Certificat ou diplôme d'un collêge ou d'un CEGEP Grade universitaire ,3 Taux de chômage des ans selon le plus haut diplôme, ,4 7,3 6 4, Sans grade, certificat ou diplôme Études secondaires complétées Certificat ou diplôme d'une école de métier Certificat ou diplôme d'un collêge ou d'un CEGEP Grade universitaire 11 Source : Enquête sur la population active, Statistique Canada.
12 UN NOUVEAU CONTEXTE DÉMOGRAPHIQUE S EST CONCRÉTISÉ DÈS 2014 : LA POPULATION DES 15 À 64 ANS A COMMENCÉ À BAISSER Variation de la population des ans et des 65 ans et plus (en 000) à 64 ans 65 ans et plus 12 Source : Statistique Canada
13 LA BAISSE DU NOMBRE DES ANS CONTINUERA, TANDIS QUE CELUI DES 65 ANS ET PLUS AUGMENTERA Projection de population des ans et des 65 ans et plus (variation en 000) à 64 ans 65 ans et plus 13 Source : Projection démographique de l Institut de la Statistique du Québec
14 LA BAISSE DE LA POPULATION EN ÂGE DE TRAVAILLER SE PRODUIRA ALORS QU IL Y AURA DE NOMBREUX EMPLOIS À POURVOIR Des besoins de main-d œuvre importants à combler : Près de 1,4 million d emplois à pourvoir de 2015 à 2024 Des emplois à pourvoir pour : Remplacer plus de 1,1 million de départs à la retraite; Combler autour de nouveaux emplois créés. Les nouveaux emplois créés seront majoritairement hautement qualifiés ( ), c est-à-dire qu ils demanderont au minimum un diplôme d études collégiales. Pour les départs à la retraite, c est environ la moitié des 1,1 million de postes qui sont de niveau hautement qualifié ( ). 14
15 LE CONTEXTE DÉMOGRAPHIQUE EXIGERA UN RENFORCEMENT DE LA PRODUCTIVITÉ ET DE L ADÉQUATION ENTRE L OFFRE ET LA DEMANDE DE COMPÉTENCES La création nette d emplois sera moins importante (il y aura moins de personnes), mais le taux de chômage baissera régulièrement tandis que le taux d emploi augmentera pour se rapprocher des taux les plus élevés parmi les pays industrialisés. Les groupes moins intégrés au marché du travail verront leurs opportunités d insertion en emploi augmenter, et il est important de poursuivre les efforts pour les intégrer, car le marché du travail en a besoin. Les difficultés de recrutement de la part des entreprises vont s accroître en raison de la rareté de l offre de main-d œuvre. L ampleur variera sans doute selon les professions et les régions. Il faudra accroître la productivité pour compenser la rareté de la maind'œuvre. Cela requerra notamment un meilleur ajustement des compétences des salariés aux exigences de l emploi. 15
16 CE CONTEXTE DÉMOGRAPHIQUE NÉCESSITERA DONC UNE PLEINE VALORISATION DU CAPITAL HUMAIN EXISTANT Pour accroître la quantité de travail, il faudra surtout améliorer le taux d emploi des groupes sous-représentés sur le marché du travail (dont les personnes immigrées récemment). Pour améliorer la qualité des processus productifs, il faudra : Des investissements plus élevés en machines et matériel (incluant les TIC) Une efficience et une efficacité accrue des processus de travail dans les organisations (privées et publiques) Une amélioration régulière de l organisation du travail Cela requiert que les personnes aient les compétences requises par les emplois, ce qui nécessite un renforcement de l adéquation formation-compétences-emploi (formation en établissement et en entreprise). 16
17 PARTIE II ÉVOLUTION DE L EMPLOI DU SECTEUR MANUFACTURIER AU QUÉBEC 17
18 DEPUIS 1976, LA CRÉATION D EMPLOIS EST ATTRIBUABLE AU SECTEUR DES SERVICES En 1976, 35 % des emplois étaient dans la production de biens, dont 23,2 % dans la fabrication (manufacturier) En 2015, la part des emplois dans la production de biens n était plus que de 20 % (11,9 % dans la fabrication) Depuis 1976, plus de d emplois ont été créés dans les services pendant que la production de biens en perdait ( dans la fabrication) 18 Source : Statistique Canada, Enquête sur la population active; compilation Emploi-Québec.
19 DANS LA PRODUCTION DES BIENS, SEULS DEUX SOUS- SECTEURS ONT PROGRESSÉ, DONT LA CONSTRUCTION Source : Statistique Canada, Enquête sur la population active; compilation Emploi-Québec 19
20 ÉVOLUTION DE L EMPLOI TOTAL ET DE L EMPLOI DU SECTEUR DE LA FABRICATION (MANUFACTURIER) Tendance à la baisse de l emploi dans la fabrication mais croissance de l emploi total (1976=100) , , Total, toutes les industries Fabrication 20 Source : Statistique Canada, Enquête sur la population active; compilation Emploi-Québec.
21 LE DÉCLIN DE L IMPORTANCE DE L EMPLOI DU SECTEUR DE LA FABRICATION EST AUSSI OBSERVÉ AILLEURS 21 Sources : Statistique Canada; U.S. Bureau of Labor Statistics, Division of International Labor Comparisons.
22 LE SALAIRE HORAIRE MOYEN A AUGMENTÉ PLUS VITE QUE L INFLATION Source : Statistique Canada, Enquête sur la population active; compilation Emploi-Québec. 22
23 LE SALAIRE HORAIRE MOYEN EST UN PEU PLUS ÉLEVÉ DANS LE SECTEUR DE LA PRODUCTION DES BIENS Salaire horaire moyen au Québec Variation Emploi total 15,31 $ 23,56 $ + 54 % Production de biens 15,52 $ 24,87 $ + 60 % Fabrication 15,04 $ 23,79 $ + 58 % Services 15,23 $ 23,21 $ + 52 % Indice des prix à la consommation (2002 = 100) 90,8 124, % Sources : Statistique Canada, Enquête sur la population active; compilation Emploi-Québec. Institut de la Statistique du Québec, Indice des prix à la consommation du Québec. 23
24 PART DE LA VALEUR DE LA PRODUCTION DE LA FABRICATION A MOINS DIMINUÉ QUE SA PART DE L EMPLOI Part du secteur de la fabrication dans l emploi total et dans la production économique totale 18,4% 19,0 % 14,6% 11,9% Part de l emploi Part du PIB Sources : PIB réel par industrie (dollars enchaînés de 2007) et Enquête sur la population active, Statistique Canada 24
25 PARTIE 3 LES DÉSÉQUILIBRES DU MARCHÉ DU TRAVAIL ET LES MOYENS D Y FAIRE FACE 25
26 LES MOUVEMENTS SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL NE SONT PAS SYNONYMES DE DÉSÉQUILIBRE DURABLE Les mouvements du marché du travail (embauches et départs) ne sont pas des déséquilibres. Ils peuvent en créer temporairement ou les atténuer. Chaque année, on estime que 15 % des emplois disparaissent et sont remplacés par de nouveaux emplois dans les économies industrialisées. Au Québec, avec plus de 4 millions d emplois, cela correspond à personnes qui changent de fonction à la suite de la réallocation (disparition et création) d emplois. 26
27 LES MOUVEMENTS SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL NE SONT PAS SYNONYMES DE DÉSÉQUILIBRE DURABLE (SUITE) Mais les mouvements (la réallocation) de main-d'œuvre sont beaucoup plus nombreux que cela, car un travailleur peut quitter son emploi de façon volontaire pour aller vers un poste plus productif qui lui procure un meilleur salaire et avantages sociaux. Cette mobilité favorise l amélioration concrète de la productivité puisqu elle permet aux entreprises d embaucher les compétences dont elles ont besoin et qu elles sont disposées à mieux rémunérer. On estime la réallocation de la main-d'œuvre comme étant 2 à 3 fois supérieure à la réallocation d emploi. Pour le Québec, cela équivaut à une réallocation de main-d'œuvre impliquant entre 1,2 et 1,8 million d individus chaque année. 27
28 LA DÉFINITION DE DÉSÉQUILIBRE SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL La résorption d un déséquilibre, quantitatif ou qualitatif, requiert du temps pour que : les entreprises et les salariés adaptent leurs comportements à cette réalité; les acteurs sociaux concernés prennent conscience de l existence d un déséquilibre réel et entreprennent de se concerter; des mesures et des programmes (grandes institutions publiques et privées, les partenaires sociaux, etc.) soient adoptés; les effets des changements mentionnés se concrétisent. 28
29 LES DÉFIS DU MARCHÉ DU TRAVAIL En 2014, la productivité du travail au Québec, telle que mesurée par le PIB par heure travaillée, s élevait à 56,20 $, la moyenne canadienne est de 63,96 $ alors que la moyenne observée parmi 20 pays de l OCDE était de 69,89 $. Pour être plus productives, les entreprises et les travailleurs/euses devront non pas travailler plus, mais travailler mieux. Si les investissements en machines et matériel sont nécessaires à l amélioration de la productivité, les compétences de la main-d œuvre et sa capacité de produire le sont tout autant. Cela est d autant plus le cas dans le contexte où le Québec connaît depuis 2014 une diminution du nombre de personnes les plus susceptibles de participer au marché du travail (15-64 ans). Les entreprises devront en conséquence développer de nouvelles stratégies en matière de gestion des ressources humaines pour faire face à la rareté de main-d œuvre, qui sera persistante et ira en s accroissant. 29
30 L IMPORTANCE D UNE GESTION INNOVANTE DES RESSOURCES HUMAINES AU SEIN DES ENTREPRISES Pour faire face aux difficultés accrues de recrutement et de rétention de la main-d œuvre, les entreprises devront : s ajuster pour fonctionner avec moins de main-d œuvre; innover dans la gestion de leurs ressources humaines, qui leur permet d améliorer leurs processus organisationnels et d être plus compétitives, par exemple en : révisant leurs conditions de travail, de façon à attirer et à fidéliser leur maind œuvre; investissant davantage dans la formation et le développement continu des compétences de leur main-d'œuvre; s ouvrant à l embauche d une main-d œuvre plus diversifiée et plus éloignée du marché du travail (ex. : personnes immigrantes, personnes âgées de 55 ans et plus, personnes handicapées, jeunes de moins de 25 ans, prestataires du 30 programme d aide sociale).
31 DEUX MISES EN GARDE SUR LES INDICATEURS DE DÉSÉQUILIBRE ET LES SOLUTIONS Il n y a pas de solution privilégiée pour résoudre ou pour atténuer un déséquilibre sur le marché du travail. Elle dépend de la cause du déséquilibre. Exemples : Améliorer la circulation de l information Faire une campagne de recrutement Former du personnel à l interne Modifier à la hausse les salaires et avantages sociaux Accroître l offre de cours (professionnelle, technique ou universitaire) Faire appel à l immigration (temporaire ou permanente) Offrir des conditions de travail qui peuvent motiver des personnes à la retraite (temps partiel) Autres 31
32 LE MARCHÉ DU TRAVAIL : UN MARCHÉ DYNAMIQUE QUI S AJUSTE Les acteurs se mettent en mouvement Quand un déséquilibre est observé et persiste (exemple : manque de main-d œuvre dans certaines 32 professions dans certains secteurs ou certains territoires), les acteurs se mettent en mouvement pour apporter des correctifs. Quels sont ces acteurs? Les entreprises, les travailleurs, les institutions d enseignement, l État, les organismes en développement de l employabilité, les associations patronales et syndicales Les signes de déséquilibres sur le marché du travail Hausse du nombre de postes vacants de longue durée, hausse salariale plus élevée que la moyenne, baisse du taux de chômage en deçà de la moyenne, réduction de la durée moyenne du chômage, déficit d inscriptions dans les établissements scolaires, etc. Pourquoi les acteurs se mettent-ils en mouvement? Pour répondre à leur objectif premier qui est : pour les travailleurs : trouver un emploi aux conditions souhaitées et améliorer ces conditions; pour les entreprises : produire les biens et les services en demande tout en étant compétitives; pour les établissements de formation : faire en sorte qu il y ait des participants aux formations qu ils offrent et s assurer que ces personnes trouvent un emploi à la fin de leur formation.
33 LE MARCHÉ DU TRAVAIL : UN MARCHÉ DYNAMIQUE QUI S AJUSTE (SUITE) Exemples de mécanismes de correction des déséquilibres mis en œuvre par les entreprises : substituer le travail par du capital physique (équipements et machines plus performants), modifier l organisation du travail, le tout afin d accroître la productivité par personne en emploi; intégrer une main-d œuvre insuffisamment formée et la former à l interne; accroître leurs conditions de travail pour attirer les compétences qu elles recherchent. Exemples de mécanismes de correction des déséquilibres mis en œuvre par les travailleurs : changer d emploi, d entreprise ou de région selon les signaux du marché du travail (ex. : salaires offerts); suivre une formation pour aller dans les secteurs et les entreprises offrant de meilleures conditions de travail. Exemples de mécanismes de correction des déséquilibres mis en œuvre par les établissements d enseignement : faire des partenariats avec les entreprises pour que leurs programmes répondent mieux à leurs besoins, et même faire en sorte qu une partie accrue de la formation se fasse en entreprise. 33
34 LA GESTION INNOVANTE DES RESSOURCES HUMAINES ET LES PME Peu de PME ont la possibilité d embaucher des spécialistes en gestion des ressources humaines et d élaborer des stratégies de grande envergure. En d autres termes, pour les PME, la gestion des ressources humaines consiste le plus souvent à réaliser des actions ponctuelles plutôt que stratégiques, se limitant souvent à des activités de formation de la main-d œuvre qui ne maximisent pas les impacts organisationnels et financiers. L accompagnement des entreprises dans une gestion efficace de leurs ressources humaines est un moyen pour favoriser l innovation et l amélioration de leur productivité, tout comme l investissement en équipement et en ressources humaines. Lorsqu une entreprise se préoccupe et investit dans la gestion de ses ressources humaines, elle performe davantage et elle fait en sorte que la main-d oeuvre à son emploi soit mieux outillée pour faire face aux exigences de l industrie. 34
35 LES SERVICES AUX ENTREPRISES D EMPLOI-QUÉBEC Emploi-Québec intervient auprès des entreprises afin de les soutenir dans la gestion de leurs ressources humaines. En plus de l information sur le marché du travail et du service de placement en ligne accessibles à l ensemble des entreprises, Emploi-Québec offre des services en soutien de gestion de ressources humaines et en formation. Près de 80 % des interventions réalisées par Emploi-Québec en gestion de ressources humaines l ont été auprès d entreprises de moins de 50 employés. Les résultats de l enquête post-intervention réalisée auprès des entreprises ayant reçu une aide d Emploi-Québec démontrent que 93 % d entre elles considèrent que l objectif organisationnel visé a été atteint à la suite d une intervention. Au-delà des retombées sur le principal objectif, les diverses interventions semblent contribuer de façon significative à l amélioration de la satisfaction au travail, de l organisation du travail, de la productivité, de l adaptation au changement, de l innovation, du processus de recrutement, etc. 35
36 36 Merci de votre attention!
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