Concept de laboratoire mobile pour l investigation et la surveillance épidémiologique, la formation et la recherche en Afrique Sahélienne
|
|
- Jean-Baptiste St-Jean
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Concept de laboratoire mobile pour l investigation et la surveillance épidémiologique, la formation et la recherche en Afrique Sahélienne A. Da Silva
2 Contexte Épidémies de méningites cérébrospinales Émergence d épidémies à Nm W135 (Burkina Faso 2001 et 2002) Décision rapide d une riposte vaccinale appropriée avec un vaccin PS trivalent ACW135 disponible en quantité limitée Impératif d un diagnostic microbiologique précis et diligent Surveillance et alerte microbiologique Laboratoires nationaux de référence (LNR) : identification des agents étiologiques de méningites bactériennes aiguës (MBA) LNR couvrent 30 à 40% des cas notifiés Districts ruraux ou éloignés du LNR peu ou mal couverts bactériennes aiguës (MBA) Laboratoires de districts peu ou pas dotés (équipements, RH) 2
3 Hypothèse de travail Laboratoire mobile permettrait de : Fournir à temps aux autorités sanitaires des données bactériologiques des cas suspects de MBA dans les districts en alerte ou en épidémie Décider de la riposte vaccinale appropriée de la surveillance et alerte microbiologique Fournir sur le terrain les résultats de laboratoire pour améliorer la prise en charge thérapeutique des cas Former et/ou recycler dans de bonnes conditions les techniciens de laboratoire au niveau district Contribuer au renforcement de la surveillance épidémiologique Vérification du concept sur le terrain Conception, développement et essais d un prototype n 1 Recommandations opérationnelles : prototype n 2 3
4 Méthodes (1) Phase I ( ) laboratoire mobile prototype n 1 Conception, aménagement sur base d un véhicule utilitaire Renault Kangoo 4x4 Test de qualification de terrain : performance des équipements et réalisation d examens de laboratoire Partenariat : AMP, Institut Pasteur, Université de Munster (Allemagne), IMTSSA Marseille (France), Ministère de la Santé du Burkina Faso Phase II (2004) évaluation utilisation du prototype n 1 Districts du Burkina Faso ayant dépassé le seuil d alerte épidémique Confirmer le germe en situation réelle d investigation biologique de cas de méningite Recycler les techniciens de laboratoire en cours d intervention 4
5 Méthodes (2) Phase III(2005) évaluation prototype n 1 en supervision formative Programme de supervision des techniciens de laboratoire de district Renforcement des capacités des laboratoires régionaux et de districts Partenariat : Ministère de la Santé du Burkina Faso et AMP Phase IV (2006) développement/évaluation prototype n 2 Basé sur les recommandations de l évaluation du prototype n 1 Conception, aménagement sur base d un véhicule utilitaire Toyota Hi- Lux 4x4 et d une cellule amovible Partenariat : AMP, l Université de Munster (Allemagne), IMTSSA Marseille (France), Laboratoire Biomérieux, Ministère de la Santé du Burkina Faso Évaluation de l utilisation en situation de recherche-action 5
6 Résultats - Phase I (1) Conception/réalisation prototype n 1 Laboratoire installé dans un véhicule utilitaire Renault Kangoo 4x4, diesel climatisé derrière les sièges du conducteur et passager panneau solaire sur le toit 6
7 Résultats - Phase I (2) Équipement du prototype n 1 une hotte ventilée : culture et examens complémentaires du Liquide Céphalo-Rachidien (LCR) en toute sécurité une étuve à 37 C avec des boîtes GenBox et coffrets de GenBag : obtention d une atmosphère humide et d une concentration appropriée en CO2 (5 à 10% environ) pour la culture des bactéries un réfrigérateur : conservation des milieux de culture, des réactifs et de 1ml de LCR pour la PCR une centrifugeuse : étude des culots de centrifugation et la recherche des Antigènes solubles un évier-cuve inox : coloration et le rinçage des frottis sur lame un microscope Olympus CX31 : examen des LCR à l état frais, numération des éléments cellulaires, parasitologie, puis après coloration formule leucocytaire et mise en évidence des bactéries 7
8 Résultats - Phase I (3) Test de qualifiquation-terrain réalisé en collaboration avec l IMTSSA Pharo 8
9 Résultats - Phase I (4) Température du frigo Control de la température Air conditionné d origine du Renault Kangoo pas adapté aux conditions tropicales C Utilisation du prototype 1 en plein soleil (panneau solaire) diminue les performances du réfrigérateur embarqué h Température de l'étuve h Température de l incubateur au dessus de 37 C l après-midi C h00 16h00 9
10 Résultats - Phase I (5) 13 Alimentation électrique laboratoire - Volts Monitoring électrique Instabilité électrique Fonctionnement irrégulier des panneaux solaires 12, , , matin midi soir Température régulateur solaire ( C) matin midi soir 10
11 Résultats - Phase I (6) Diagnostics biologiques dans 2 districts Sites Ag detection Culture Negatif Positif Negatif Positif Benguedo 13 2 Nm A 1 Sp 14 2 Nm A Pouytenga 4 2 Nm A 5 1 Nm A Total Les 2 NmA testés étaient sensibles à oxacilline, chloramphenicol et ceftriaxone 11
12 Résultats - Phase II (7) Interventions dans 3 districts reculés et en épidémie en 2004 (semaines 12, 14 et 16) Nm Sp Négatif Total A W135 Nanoro 0 8 (8) 5 (4) 7 19 Zabré 3 (1) 0 1 (1) Toma Total Les 10 Nm et 3 Sp testés, étaient tous sensibles à oxacilline, chloramphénicol et ceftriaxone 12
13 Antibiothérapie Results 2004 (5) Résultats - Phase II (8) Méningite à pneumocoque ou à méningocoque sévère : ampicilline IV Suivant les recommandations du MSP, Méningite à méningocoque non sévère : 1 dose de chloramphénicol huileux IM Riposte Vaccinale Nanoro (population 2-29 ans) : vaccination de masse avec un vaccin PS antiméningocccique trivalent trivalent (A/C/W135) (112,421 doses pendant la semaine 15, 3-8 Avril 2004) Zabré : pas de riposte vaccinale une campagne (une campagne avec un vaccin A/C a été conduite l année dernière) Toma: résultats obtenus après la décroissance des cas dans les 2 districts 13
14 Results 2004 (5) Résultats - Phase III (9) Formation recyclage des techniciens de laboratoire En cours d intervention ( ) :12 techniciens En tournée de supervision formative (2005) : 10 (5 districts) Rôle du labo Mobile dans la supervision formative Dispositif embarqué (étuve, microscope, réfrigérateur, matériel, réactifs et consommables de laboratoire) permet l identification des germes responsables de méningite bactérienne aiguë dans de bonnes conditions de travail Grille de supervision Frottis positifs de LCR colorés au Gram (Diplocoques à Gram négatif, Bacille à Gram Négatif) Frottis négatifs de LCR colorés au Gram CD: film portant sur les techniques d utilisation 14
15 Résultats - Phase III (9) Éléments de la supervision formative Conditions de conservation et de transport des échantillons de LCR des CSPS et/ou des CMA/CM, vers les laboratoires pour examen cytobactériologique Conditions d utilisation des milieux de TransIsolate (TI) respect les directives mises en place par OMS et CDC Qualité de remplissage des registres de LCR Compétences des techniciens de laboratoire sur l examen direct et indirect des LCR Qualité des frottis de lames colorées et conservées Gestion et le circuit de transmission des données de laboratoire Nombre de LCR reçu et traité de semaine1 à la semaine 18 Difficultés/problèmes liés au bon fonctionnement des laboratoires Forces et faiblesses liées au diagnostic des MBA Plans de résolution des difficultés/problèmes rencontrés par les techniciens des laboratoires supervisés 15
16 Recommandations - post-test (1) Recommandations relatives au véhicule prototype n 1 Solidité du véhicule: Le prototypes n 1 a souffert de multiples crevaisons, de problèmes électriques (panneau solaires) et de vibrations entraînant l instabilité plusieurs pièces du véhicule Véritable véhicule tout-terrain est hautement recommandé Revue complète du système électrique Ergonomie et espace à bord : manque d ergonomie et d espace impliquent des conditions d utilisation sous-optimales pour le technicien Nouvelle conception de l intégration et de l aménagement du laboratoire 16
17 Recommandations - post-test (2) Recommandations relatives au véhicule prototype n 1 Contrôle de la température : Utilisation de panneaux solaires détachables pour permettre de garer le véhicule-laboratoire à l ombre. Sécurité et ergonomie : Séparation entre la cabine du chauffeur et le compartiment laboratoire Mobilité et liaison : Conception d un compartiment laboratoire détachable permettant de stationner le laboratoire pendant que le véhicule circule dans le district ou vers un laboratoire de référence 17
18 Recommandations - post-test (3) Challenge : améliorer aussi la rapidité du processus de décision au niveau du système 25 Weekly incidence per 100, Mobile lab intervention Vaccination Campaign Epidemic Alert Week Nanoro Toma Zabré 18
19 Évaluation - Phase IV (1) Conception/réalisation prototype n 2 Laboratoire installé dans une cellule amovible fixée sur véhicule utilitaire Toyota Hi-Lux 4x4, diesel climatisé Groupe électrogène 19
20 Évaluation - Phase IV (2) Utilisation en situation de recherche-action Étude transversale de portage et séroprévalence pendant un épidémie due à NmA dans le district Secteur 15 à de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) 12 jours de recrutement 52 sérums centrifugé et aliquotés / jour 104 cultures effectuées / jour 20
21 Conclusion (1) Utilité démontré du Laboratoire mobile de biologie médicale pour Surveillance et l alerte microbiologique des MBA Aide à la décision pour la riposte vaccinale et la prise en charge des cas dans les zones peu équipées et difficiles d accès Supervision formative des agents et techniciens de laboratoire Recherche - action de terrain Outil efficace Contexte d infrastructures et ressources rares ou inexistantes Si le processus de décision au niveau des Autorités sanitaires des pays utilisateurs est lui aussi accéléré Extension du concept et de l outil Laboratoire mobile Autres pathologies infectieuses à potentiel épidémique (maladies diarrhéiques, paludisme, tuberculose, VIH/SIDA, fièvres hémorragiques virales 21
22 Perspectives Conclusion (2) Poursuite de l évaluation du prototype n 2 dans les diverses situations d utilisation Réalisation d études médico-économiques et financières rétrospectives (prototype n 1) et prospectives (prototype n 2) Coût d acquisition prototype n 1 Renault Kangoo : 36 K Coût d acquisition prototype n 2 Toyota Hi-Lux : 75 K Réalisation en partenariat d un projet de démonstration à l échelle d un pays Modus operandi de l introduction de laboratoire mobile dans le système actuel Coûts et conditions d exploitation des laboratoires mobile Facteurs et critères de viabilité 22
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailAU BURKINA FASO GUIDE TECHNIQUE POUR LA SURVEILLANCE INTEGREE DE LA MALADIE ET LA RIPOSTE (SECTION 1 A 8 : ETAPES DE LA SURVEILLANCE)
MINISTERE DE LA SANTE BURKINA FASO ------------- Unité Progrès Justice SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE ------------- DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE LA MALADIE
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailLes Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur
Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailProgramme international de formation
Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailGénérateur Photovoltaïque K-Sol
Générateur Photovoltaïque K-Sol 2013 Le K-Sol est un générateur électrique solaire. Vous n avez pas besoin de monter les panneaux sur votre toit, juste à les installer sur un support livré avec le groupe.
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailINSTITUTS PASTEUR ET GRANDS PASTORIENS À TRAVERS LA PHILATÉLIE (*)
153 Bull. Soc. Pharm. Bordeaux, 2006, 145, 153-172 INSTITUTS PASTEUR ET GRANDS PASTORIENS À TRAVERS LA PHILATÉLIE (*) Étienne JOUZIER (1) Les Instituts Pasteur Introduction Peu après la vaccination de
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailPrésentation du projet
Présentation du projet «L énergie solaire, un moteur pour le centre de santé de Dioumanzana» au Mali Pays Lieu d intervention Début du projet Durée du projet Objectif : Nombre de bénéficiaires Budget :
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailPROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES
WHO/CDS/CSR/ISR/2001.2 Distribution: Générale Original: Anglais PROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES DIRECTIVES POUR LES ÉQUIPES
Plus en détailOutillage d atelier. Consommables
Outillage d atelier Consommables Equiper son atelier pour la climatisation Détection de fuite par rayon UV Coffret Lampe ultraviolet sans fil Ref : 420A58 Kit de détection de fuites air conditionné véhicule.
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailMISSION DE L ENTREPRISE. Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur le marché mondial
Bureau/presentation corpo/presentation goldcorp/powerpoint minautor AOUT 2013 MISSION DE L ENTREPRISE Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailVaccinations. Actualités et perspectives
Vaccinations Actualités et perspectives Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l Inserm dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées
Plus en détailPanorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé
Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques
Plus en détailL électricité hors-réseau
L électricité hors-réseau L énergie est là 02 03 Une énergie accessible en zone isolée Notre motivation Environ 1,6 milliard de personnes dans le monde n ont pas accès à l électricité. La majorité vit
Plus en détailGL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.
PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailMECANICIEN POLYVALENT AUTOMOBILE (En CPU) Électromécanique
AU 2 e ETUDES SUPERIEURES EN RELATION DIRECTE MECANICIEN POLYVALENT AUTOMOBILE (En CPU) 3 e degré Technique de Qualification Électromécanique 7TQ Mécanicien(ne) des moteurs diesels et engins hydraulique
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détailDéveloppement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire
Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de
Plus en détailRôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions
Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLa métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart
La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général
Plus en détailAPPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600
Microgenics Corporation Entreprise de Thermo Fisher Scientific APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600 Réf. 0373910 Destiné
Plus en détailWorking Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR
Suivi de l emergence des résistances aux ARV et facteurs associés au Sénégal Working Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR HIV Drug Resistance Programme de TARV Résistance Transmise
Plus en détailC a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e
C a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e Etude préalable à la mise en place du carnet de vaccination électronique au Burkina Faso Présenté par MME DELPHINE RUIZ Directeur Pr JEAN-LOUIS KOECK
Plus en détailECHO ACD UNICEF TCHAD
N 004 - Mars 2015 Points saillants : Évaluation de la Gestion Efficace des Vaccins au Tchad - Mai 2015 Tenue de la deuxième téléconférence de suivi de la mise en œuvre des activités PEV/ACD Renforcement
Plus en détailBIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR
BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR Ph. Biol. Jean Darimont Pharmalouvain mars 2011 BIOLOGIE CLINIQUE 1. Technique 2. Organisation 3. Economique La Biologie Clinique est impliquée dans
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détail50A pour. la cellule Social Media
50A pour la cellule Social Media Le Social Media chez 50A La cellule Social Media chez 50A est une cellule transversale. Elle inter(a)git avec la cellule créative et le Lab 50. La cellule socialmedia nourrit
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailPlan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire
ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailCAMIONS ÉVÉNEMENTIELS WWW.MONCAMIONRESTO.COM
FOODTRUCK EVE 1 FOODTRUCK EVE 1 Totalement équipé pour préparer et vendre pizzas, snack et pâtes, ce Foodtruck est idéal pour vous accompagner sur vos festivals, road shows, tournages Motorisation : Renault
Plus en détailDDPAsa CLIM AUTONOME ET RAFRAICHISSEURS A HAUT RENDEMENT MINICOOL : L ÉCONOMIE VERTE. Économie de combustible. 100% Écologique. www.ddpa-confort.
CLIM AUTONOME ET RAFRAICHISSEURS A HAUT RENDEMENT MINICOOL : L ÉCONOMIE VERTE La gamme de produits Minicool a été conçue suite a la demande du marché d un système de clim avec compresseurs pour utilisation
Plus en détailObjectif 3 : Confinement et certification
Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailEvaluation de la gestion des vaccins et des consommables vaccinaux du PEV dans le district sanitaire de Bambey au cours de l année 2007
République de Côte d Ivoire Union Discipline - Travail Année Académique 2007 2008 République Française Liberté - Egalité Fraternité DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE (DIU) 3 ème Cycle «Organisation et Management
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailREPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana
REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana CONTEXTE 2 INTRODUCTION... 2 I. QUELQUES DEFINITIONS ET CONCEPTS... 2 I.1. Qu est ce que les archives?... 2 I.2. Pourquoi archiver?... 2 I.3.
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailPanneaux solaires. cette page ne traite pas la partie mécanique (portique, orientation,...) mais uniquement la partie électrique
Panneaux solaires cette page ne traite pas la partie mécanique (portique, orientation,...) mais uniquement la partie électrique Les panneaux solaires n ont pas de pièces mobiles, sont durables, et à bien
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle. Préparation de l évaluation des compétences par le candidat
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Préparation de l évaluation des compétences par le candidat Vous souhaitez obtenir le Certificat de Qualification Professionnelle Inter-branches
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailMASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE
MASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité : METIERS DE LA SANTE ASSOCIES
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détail