BILAN SOCIAL 2015 de la Formation Professionnelle

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "BILAN SOCIAL 2015 de la Formation Professionnelle"

Transcription

1 Diffusion et reproduction interdites BILAN SOCIAL 2015 de la Formation Professionnelle Données 2014 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb Paris Tél.: 33 (0) Toute reproduction totale ou partielle du présent document, sans accord préalable des responsables de la Commission Paritaire Nationale de Prévoyance est formellement interdite Novembre /79

2 Sommaire Diffusion et reproduction interdites Univers étudié et rappels méthodologiques 4 CHAPITRE I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES ET DES ACTIFS EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 9 I. Dénombrement des entreprises 10 II. Chiffre d affaires de la profession 18 III. Actifs en équivalent temps plein 20 IV. Non salariés en équivalent temps plein 23 V. Salariés en équivalent temps plein 26 CHAPITRE II : STRUCTURE DES EFFECTIFS SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE 30 I. Salariés présents au 31 décembre 31 II. Salariés présents au 31 décembre selon leur fonction 34 III. Salariés présents au 31 décembre selon leur sexe 36 IV. Salariés présents au 31 décembre selon leur âge 38 V. Salariés présents au 31 décembre selon leur ancienneté 39 VI. Salariés présents au 31 décembre selon leur type de contrat 40 VII. Salariés présents au 31 décembre (hors CDII et formateurs occasionnels) selon la durée du travail 42 VIII. Salariés présents au 31 décembre selon leur principale catégorie professionnelle 45 IX. Salariés présents au 31 décembre selon les catégories professionnelles définies par la convention collective nationale 48 2/79

3 Sommaire Diffusion et reproduction interdites CHAPITRE III : REMUNERATION 51 I. Masse salariale brute 52 II. Salaires 53 III. Salariés au minimum de la convention collective 61 IV. Heures supplémentaires et heures complémentaires 62 V. Autres formes derémunération 64 CHAPITRE IV : FORMATION PROFESSIONNELLE ET CONDITIONS DE TRAVAIL 65 I. Formation professionnelle 66 II. Déplacements 70 III. Garanties santé 71 IV. Emploi des travailleurs handicapés 73 CHAPITRE V : SENIORS 74 I. Présents au 31 décembre selon leur type de contrat 75 II. Mouvement de personnel 76 III. Conditions de travail 77 IV. Formation professionnelle 78 SYNTHESE /79

4 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES Cette treizième édition du bilan social des entreprises de formation professionnelle propose un état des lieux à l issue de l année 2014, structurée en cinq grandes parties : Les caractéristiques des effectifs employés en équivalent temps plein La structure de l emploi salarié au Les rémunérations (masses salariales et salaires) La formation professionnelle et les conditions de travail Les seniors Le champ de l étude couvre l ensemble des entreprises de formation professionnelle privées employant au moins deux salariés en équivalent temps plein 4/79

5 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES 1. Constitution des fichiers Fichier MALAFOFF MEDERIC entreprises Adhérents F.F.P. Adhérents F.F.P. 470 entreprises 390 entreprises Fichier O.P.Q.F.* 550 entreprises entreprises avant dédoublonnage Fichier G.N.P entreprises * Office Professionnel de Qualification des organismes de Formation 5/79

6 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES 2. Dénombrement Univers étudié entreprises Fichier F.F.P. 470 entreprises Fichier O.P.Q.F.* 310 entreprises Fichier G.N.P. et MALAKOFF MEDERIC ** entreprises Sondage (sur entreprises) Fichier F.F.P. 395 entreprises Fichier O.P.Q.F.* 235 entreprises Fichier G.N.P. et MALAKOFF MEDERIC ** entreprises Potentiel entreprises après dédoublonnage entreprises de moins de 2 salariés 400 cessations d activité 70 organismes publics 60 autres conventions collectives * Dédoublonné du fichier F.F.P. ** Dédoublonné des fichiers F.F.P. et O.P.Q.F. 6/79

7 Diffusion et reproduction interdites 3 1 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES 3. Réalisation des enquêtes Le questionnaire corrigé et complété par le comité de pilotage a ensuite été adressé par voie postale et par mail à entreprises, à raison de la totalité des adhérents F.F.P. et O.P.Q.F. et de sociétés issues du fichier G.N.P. et MALAKOFF MEDERIC et identifiées au cours de la phase précédente comme concernées par le bilan. A l issue de cette phase de collecte des informations, le bilan suivant peut être établi : 2 Les enquêteurs de l Institut ont ensuite procédé aux relances téléphoniques nécessaires pour récupérer les questionnaires, les compléter ou les remplir directement (généralement en deux étapes avec couplage fax-téléphone). 439 questionnaires exploitables à raison de : 89 issus du fichier F.F.P. 66 issus du fichier O.P.Q.F. 284 issus du fichier G.N.P. et MALAKOFF MEDERIC Soit un taux de participation de 17,5 pour des taux de représentativité sur l ensemble des sociétés de la profession de : 10,5 en nombre d entreprises 23 en nombre de salariés 7/79

8 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES 4. Traitements et analyse Après saisie informatique, les questionnaires ont fait l objet des traitements statistiques nécessaires à l aide des logiciels développés par l Institut dans le cadre d études analogues. Les estimations sont systématiquement représentatives de la profession définie par les entreprises de formation professionnelle privées employant au moins deux salariés en équivalent temps plein. Les variables estimées ont en effet été repondérées selon le poids réel de chacune des trois strates d emploi salarié retenues (2 à 9 salariés, 10 à 49 salariés, 50 salariés et plus), voire lorsque cela s est avéré nécessaire, par les neuf sous-strates résultant du croisement entre emploi salarié et fichier d origine (F.F.P., O.P.Q.F., G.N.P., MALAKOFF MEDERIC). 8/79

9 Diffusion et reproduction interdites Chapitre I Dénombrement des entreprises et des actifs en équivalent temps plein Exercice /79

10 I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES 1. Ensemble des entreprises Evolution du nombre d entreprises Evolution Nbre d'entreprises ,5 +2, , ,5-0, ,5-2, Pour la première fois depuis 2008, les entreprises de la profession formation professionnelle voient leur nombre se renforcer à un an d intervalle. Après une baisse de près de 7 depuis 2008 menant le nombre d entreprises à son plus bas niveau depuis 2003, un léger rebond de 1 est enregistré en 2014 par rapport à /79

11 Répartition des entreprises* selon les régions I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES 1. Ensemble des entreprises Proportion d entreprises ayant participé et bénéficié d actions de formation initiées par leur Région sous-échantillon : 68 des entreprises de l échantillon Bretagne 4 Basse Normandie 5 1,5 Pays de la Loire 2 Poitou- Charentes 2 Centre 3 Nord Pas de Calais Ile de France Limousin 0,5 Picardie 1, ,5 Auvergne 1,5 Alsace Champagne- Ardenne Bourgogne 1,5 Lorraine 2,5 Franche- Comté 1 Rhône-Alpes 11,5 2,5 Bretagne 55 Basse Normandie Pays de la Loire 3 Poitou- Charentes Haute Normandie 5 Centre 7 Limousin ND Nord Pas de Calais Picardie 6 4 Ile de France 23 ND Auvergne 4 Alsace Champagne- Ardenne Bourgogne ND Lorraine 6 Franche- Comté ND Rhône-Alpes 3 Haute Normandie 2 4 Plus de 5 3 à 5 0 à < 3 Aquitaine Midi-Pyrénées 5 Languedoc- Roussillon 6 Provence- Alpes- Côte d Azur 11 * parmi celles employant au moins deux salariés Corse 0,5 6 Aquitaine Midi-Pyrénées 45 à 50 < 50 ND : non disponible Languedoc- Roussillon 45 Provence- Alpes- Côte d Azur 29 Corse ND 11/79

12 I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES 1. Ensemble des entreprises Comparaison de la répartition des entreprises* de la profession à celle de la population française Répartition des entreprises de la profession Répartition de la population française Alsace 2,5 3 Aquitaine 4 5 Auvergne 1,5 2 Basse Normandie 1,5 2,5 Bourgogne 1,5 2,5 Bretagne 4 5 Centre 3 4 Champagne-Ardenne 1,5 2 Corse 0,5 0,5 Franche-Comté 1 2 Haute Normandie 2 3 Ile de France Languedoc Roussillon 6 4 Limousin 0,5 1 Lorraine 2,5 4 Midi Pyrénées 5 4,5 Nord-Pas-de-Calais 4 6,5 PACA 11 8 Pays de la Loire 5 5,5 Picardie 1,5 3 Poitou-Charentes 2 3 Rhône-Alpes 11,5 10 Ensemble * parmi celles employant au moins deux salariés (source INSEE) 12/79

13 I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES 1. Ensemble des entreprises Répartition des entreprises selon leur taille Evolution ,5 : 50 salariés et plus : 150 ent ,5 3,5 3,5 = 10 à 49 salariés : ent , = ,570,5 = 70, à 9 salariés : ent. 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Dans la profession, les plus petites entreprises de 2 à 9 salariés sont toujours nettement majoritaires, soit sept entreprises sur dix au 31 décembre Les entreprises les plus importantes (50 salariés et plus) représentent toujours 3,5 des entreprises de la branche. 13/79

14 I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES 1. Ensemble des entreprises Entreprises liées à l économie sociale et solidaire (ESS) d'entreprises ,5 13, ,5 des entreprises de la branche sont liées à l économie sociale et solidaire, soit un point de plus à un an d intervalle. 14/79

15 I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES 1. Ensemble des entreprises Répartition des entreprises selon l origine du financement Evolution Fonds mixtes (3) : 800 ent Fonds publics (1) : ent = = Fonds privés (2) : ent = Fonds publics (1) Fonds privés (2) Fonds mixtes (3) Au 31 décembre 2014, les entreprises ayant pour origine de financement principal des fonds privés représentent plus de la moitié des entreprises de la branche (53 ). Les entreprises ayant pour origine de financement des fonds publics ne représentent plus que 28 des entreprises alors qu elles regroupaient 40 des structures de la branche en (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises publiques (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises privées (3) Leur chiffre d affaires est financé conjointement par des entreprises publiques et privées 15/79

16 Nbre d'entreprises Evolution du nombre d entreprises employant des non salariés Evolution I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES ,5-1,5 2. Employant des non salariés Après une période fluctuante, le nombre d entreprises employant des non salariés tente de se stabiliser depuis 2011 entre 3400 et 3500 entreprises. A un an d intervalle, ce chiffre est en légère baisse (-1,5 ). Proportionnellement, les plus petites entreprises de la branche emploient plus fréquemment des non salariés. Répartition des entreprises employant des non salariés selon leur taille 10 à 49 salariés : 725 ent. 21,5 3,5 : 50 salariés et plus : 125 ent. 10 Evolution ,5 3 3, ,5 20,5 21, , à 9 salariés : ent à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus 16/79

17 I : DENOMBREMENT DES ENTREPRISES 2. Employant des non salariés Répartition des entreprises employant des non salariés Fonds mixtes (3) : 680 ent. selon l origine du financement 2 23 Fonds publics (1) : 780 ent Evolution = Fonds privés (2) : ent. Fonds publics (1) Fonds privés (2) Fonds mixtes (3) En 2014, la part des entreprises employant des non salariés et étant financées majoritairement par des fonds privés se renforce à un an d intervalle et représente plus de la moitié des entreprises de la branche (57 ). A l inverse, le nombre d entreprises principalement financées par des fonds mixtes est en baisse et ne représente plus que 20 des entreprises de la branche. (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises publiques (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises privées (3) Leur chiffre d affaires est financé conjointement par des entreprises publiques et privées 17/79

18 II : CHIFFRE D AFFAIRES DE LA PROFESSION 1. Chiffre d affaires global 8 Globale + 4 Evolution du chiffre d affaires H.T. 2014/2013 Evolution (globale) du chiffre d affaires H.T. +7,5 Périmètre constant + 3, ,5 +0,5 +4 Détail de l évolution (globale) 2014/2013 selon la taille des entreprises d'évolution ,5 +0,5 +0,5 2003/ /03 05/04 06/05 07/06 08/07 09/08 10/09 11/10 12/11 13/ / ,5 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ens : + 4 Après trois années blanches, le chiffre d affaires H.T rebondit à un an d intervalle (+ 3,5 à périmètre constant et + 4 effet de structure compris). En détail, ce sont les petites et moyennes structures qui enregistrent le rebond le plus important (+ 5 entre 2013 et 2014) /79

19 II : CHIFFRE D AFFAIRES DE LA PROFESSION 2. Selon la spécialité des entreprises 6 d'évolution Détail de l évolution (globale) 2014/2013 selon la spécialité des entreprises Ens : ,5 2 +1,5 1 Formation interentreprise(1) Formation intraentreprise(2) Formation linguistique(3) Autres(4) Ce sont les spécialités formation intra-entreprise et «autres» qui affichent les meilleures performances à un an d intervalle (+ 5 ). (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires concerne la formation inter entreprise (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires concerne la formation intra entreprise (3) Plus de 66 de leur chiffre d affaires concerne la formation linguistique (4) Plus de 66 de leur chiffre d affaires concerne une spécialité «autres» 19/79

20 III : ACTIFS EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 1. Structure globale Evolution du nombre d actifs (salariés + non salariés) en équivalent temps plein Evolution Nbre équivalent temps plein ,5 +0, ,5 <+0,5 +2, , , A l image du chiffre d affaires de la profession, le nombre d actifs (salariés + non salariés) en équivalent temps plein progresse à un an d intervalle (+ 2,5 ). 20/79

21 III : ACTIFS EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 2. Selon la taille des entreprises Répartition des actifs en équivalent temps plein selon la taille des entreprises Evolution salariés et plus : etp à 9 salariés : etp , , à 49 salariés : etp , , à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus En 2014, les entreprises de 50 salariés et plus concentrent 35 des actifs, alors qu elles ne représentent que 3,5 des entreprises de la profession. A l inverse, les entreprises de 2 à 9 salariés concentrent seulement 27 des salariés, alors qu elles représentent 70,5 des entreprises de la branche. 21/79

22 Répartition des actifs en équivalent temps plein selon l origine du financement des entreprises Fonds mixtes (3) : etp 15,5 33 Fonds publics (1) : etp III : ACTIFS EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 3. Selon l origine du financement des entreprises Evolution , ,5 51,5 Fonds privés (2) : etp 51,5 Répartition des actifs en équivalent temps plein selon le statut du personnel Non salariés : etp 12,5 87, , Fonds publics (1) Fonds privés (2) Fonds mixtes (3) Evolution ,512, ,5 87, Salariés : etp Salariés Non salariés (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises publiques (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises privées (3) Leur chiffre d affaires est financé conjointement par des entreprises publiques et privées 22/79

23 Nbre de non salariés Evolution du nombre de non salariés en équivalent temps plein Evolution , Répartition des non salariés selon leur statut IV : NON SALARIES EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN , , Evolution Structure globale En 2014, le nombre de non salariés progresse de nouveau (+ 3,5 ) pour atteindre équivalents temps plein. La profession totalise travailleurs indépendants en équivalent temps plein, ce qui correspond à 67,5 des non salariés présents au 31 décembre Dirigeants non salariés : etp Bénévoles non salariés : 300 etp 29, , ,5 = 67,5 Travailleurs indépendants : etp Travailleurs indépendants Dirigeants non salariés Bénévoles non salariés 23/79

24 Répartition des non salariés en équivalent temps plein selon la taille des entreprises 50 salariés et plus : etp 10 à 49 salariés : etp 25,5 2 54,5 2 à 9 salariés : etp IV : NON SALARIES EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN Selon la taille des entreprises Evolution ,525, ,5 54, Détail du statut des non salariés en équivalent temps plein selon la taille des entreprises de non salariés , ,5 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Travailleurs indépendants Dirigeants non salariés Bénévoles non salariés 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus En 2014, les structures de 2 à 9 salariés sont celles où se trouvent le plus de non salariés. En effet, elles concentrent plus de la moitié (54,5 ) des non salariés. La proportion de travailleurs indépendants dans les entreprises est corrélée à la taille des entreprises. Ainsi, les non salariés des entreprises de 50 salariés et plus se composent principalement de travailleurs indépendants (96 ). 24/79

25 IV : NON SALARIES EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 3. Selon l origine du financement des entreprises Répartition des non salariés en équivalent temps plein selon l origine du financement des entreprises Fonds mixtes (3) : etp 16 22,5 Fonds publics (1) : etp Evolution ,5 = ,5 Fonds privés (2) : etp 61, Fonds publics (1) Fonds privés (2) Fonds mixtes (3) (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises publiques (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises privée (3) Leur chiffre d affaires est financé conjointement par des entreprises publiques et privées 25/79

26 Nbre de salariés Evolution du nombre de salariés en équivalent temps plein Evolution < +0,5 +3, , , ,5-0, V : SALARIES EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN +2, Structure globale En parallèle du chiffres d affaires de la profession, les effectifs salariés en équivalent temps plein sont en hausse à un d intervalle (+ 2,5 ). Une importante majorité parmi les salariés est en CDI (78,5 des salariés en CDI et 3,5 en CDII). Répartition des salariés selon la nature des contrats Formateurs occasionnels : etp 10 Evolution , , ,5 13,5 13 CDD : etp 5 3, CDII : etp 3, , ,578,5 2 78,5 CDI : etp CDI CDII CDD Formateurs occasionnels 26/79

27 Répartition des salariés en équivalent temps plein selon la taille des entreprises V : SALARIES EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 2. Selon la taille des entreprises Evolution salariés et plus : etp à 9 salariés : etp ,5 37, ,5 39, à 49 salariés : 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus etp Détail de la nature des contrats des salariés en équivalent temps plein selon la taille des entreprises de salariés ,5 6 = ,5 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble CDI CDII CDD Formateurs occasionnels 27/79

28 V : SALARIES EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 3. Selon la spécialité des entreprises Détail de la nature des contrats des salariés en équivalent temps plein selon la spécialité des entreprises , ,5 2 Linguistique Autres Ensemble CDI CDII CDD Formateurs occasionnels Les entreprises de spécialité linguistique se distinguent notamment par une forte proportion de CDII (24 ). 28/79

29 V : SALARIES EN EQUIVALENT TEMPS PLEIN 4. Selon l origine du financement des entreprises Répartition des salariés en équivalent temps plein selon l origine du financement des entreprises Evolution Fonds mixtes (3) : etp Fonds publics (1) : etp , , ,5 4 50, , ,5 Fonds privés (2) : etp Fonds publics (1) Fonds privés (2) Fonds mixtes (3) (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises publiques (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises privées (3) Leur chiffre d affaires est financé conjointement par des entreprises publiques et privées Plus de la moitié des salariés en équivalent temps plein (50,5 ) travaillent dans une structure financée majoritairement par des fonds privées. 29/79

30 Diffusion et reproduction interdites Chapitre II Structure des effectifs salariés présents au 31 décembre Exercice /79

31 I : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE 1. Structure globale Evolution des effectifs salariés présents au 31 décembre Evolution Nbre de salariés , , < -0, , Alors que le nombre de salariés en équivalent temps plein est hausse, le nombre de salariés présents au 31 décembre 2014 est stable à un an d intervalle (- 0,5 ). 31/79

32 I : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE 2. Selon la taille des entreprises Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon la taille des entreprises Evolution salariés et plus : sal 37 24,5 2 à 9 salariés : sal ,5 36,5 36, , ,5 38, , ,5 24, à 49 salariés : sal 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus La répartition des salariés selon la taille des entreprises est très proche de celle des équivalents temps plein. 32/79

33 I : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE 3. Selon l origine du financement des entreprises Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon l origine du financement des entreprises Evolution Fonds mixtes (3) : sal. Fonds publics (1) : sal = Fonds privés (2) : sal Fonds publics (1) Fonds privés (2) Fonds mixtes (3) Au 31 décembre 2014, la part des salariés de la branche dans les entreprises majoritairement financées par des fonds privés croît de nouveau et regroupe plus de la moitié des salariés (52 ). (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises publiques (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises privées (3) Leur chiffre d affaires est financé conjointement par des entreprises publiques et privées 33/79

34 II : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR FONCTION 1. Structure globale Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon leur fonction Evolution Non formateurs : sal , , Formateurs : sal Formateurs Non formateurs Au 31 décembre 2014, la proportion de formateurs se stabilise dans la profession de la formation professionnelle. La profession compte ainsi six formateurs pour quatre non formateurs. 34/79

35 II : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR FONCTION 2. Selon la taille et le financement des entreprises 10 Selon la taille des entreprises à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble 35 Formateurs Non formateurs Selon l origine du financement des entreprises Proportionnellement, on retrouve davantage de formateurs dans les entreprises de taille intermédiaire : 65 des salariés de ces entreprises. De même, les entreprises financées principalement par des fonds publics ont proportionnellement plus de formateurs parmi leurs salariés Fonds publics Fonds privés Fonds mixtes Ensemble Formateurs Non formateurs (1) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises publiques (2) Plus de 66 de leur chiffre d affaires est financé par des entreprises privées (3) Leur chiffre d affaires est financé conjointement par des entreprises publiques et privées 35/79

36 III : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR SEXE 1. Structure globale Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon leur sexe 10 8 Evolution ,5 34, salariés salariés ,5 65, Femmes Hommes La proportion d hommes se renforce légèrement à un an d intervalle (35 ). Ainsi, la profession compte un peu plus de trois hommes pour un peu moins de sept femmes. 36/79

37 III : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR SEXE 2. Selon les caractéristiques des entreprises et la fonction des salariés Selon la taille des entreprises , , à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Femmes Hommes Selon la taille des entreprises, la répartition selon le sexe fluctue peu. Les entreprises les plus importantes se distinguent tout de même par un taux de féminisation plus important que dans les entreprises de plus petite taille. Les entreprises de la profession principalement financées par des fonds publics et les non formateurs ont davantage de femmes au sein de leurs salariés que dans le reste de la branche. Selon l origine du financement des entreprises Selon la fonction des salariés , ,5 65 Fonds publics Fonds privés Fonds mixtes Ensemble Formateurs Non formateurs Ensemble Femmes Hommes Femmes Hommes 37/79

38 IV : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR AGE Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon leur âge Age moyen des salariés Evolution ans et plus 55 à 59 ans 50 à 54 ans 45 à 49 ans 35 à 44 ans 5 (5.500 sal.) 9 (9.900 sal.) 13,5 18 ( sal.) ( sal.) 3 ( sal.) Ans 41,5 ans 41,5 ans 40,5 ans 40,5 ans 40 ans 42 ans 41,5 ans 41 ans 40,5 ans 40 ans 43 ans 43 ans 25 à 34 ans 20,5 ( sal.) Moins de 25 ans 4 (4.400 sal.) Age moyen des salariés en 2014 Selon la taille des entreprises Selon leur fonction 2 à 9 salariés 43 ans 10 à 49 salariés 44 ans 50 salariés et plus 42 ans Formateurs 44,5 ans Non formateurs 41 ans Au 31 décembre 2014, l âge moyen des salariés est stable à un an d intervalle (43 ans). Les formateurs (44,5 ans) sont en moyenne plus âgés que les non formateurs (41 ans). 38/79

39 V : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR ANCIENNETE Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon leur ancienneté* Ancienneté* moyenne Evolution ( sal.) Plus de 15 ans 10 à 15 ans 8 à 10 ans 5 à 7 ans 3 à 4 ans 11,5 10,5 ( sal.) ( sal.) ( sal.) ( sal.) 8 6 Ans 6 ans 6 ans 5,5 ans 5,5 ans 5,5 ans 5,5 ans 6,5 ans 6,5 ans 1 à 2 ans Moins d'un an ( sal.) ( sal.) Ancienneté* moyenne des salariés en Selon la taille des entreprises 2 à 9 salariés 6,5 ans 10 à 49 salariés 7 ans 50 salariés et plus 6 ans Selon leur fonction Formateurs 6,5 ans Non formateurs 7 ans A l image de l âge des salariés, l ancienneté moyenne des salariés de la profession est stable à un an d intervalle. Les non formateurs ont, en moyenne, une ancienneté plus élevée (7 ans) que les formateurs (6,5 ans). * Ancienneté dans la même entreprise et non dans la profession 39/79

40 VI : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR TYPE DE CONTRAT 1. Structure globale Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon leur type de contrat Formateurs occasionnels : salariés CDD : salariés CDII : salariés CDI : salariés Evolution ,5 12, ,519, , , CDI CDII CDD Formateurs occasionnels Au 31 décembre 2014, la proportion de salariés en CDI (65 ) et de CDII (5 ) progresse à un an d intervalle. A l inverse, le nombre de CDD (18 ) et de formateurs occasionnels (12 ) est en baisse. 40/79

41 VI : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR TYPE DE CONTRAT 2. Selon les caractéristiques des entreprises et la fonction des salariés Selon la taille des entreprises Selon l origine du financement des entreprises , , à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Fonds publics Fonds privés Fonds mixtes Ensemble CDI CDII CDD Formateurs occasionnels Selon la fonction des salariés CDI CDII CDD Formateurs occasionnels Selon le sexe des salariés Formateurs Non formateurs Ensemble Hommes Femmes Ensemble CDI CDII CDD Formateurs occasionnels CDI CDII CDD Formateurs occasionnels 41/79

42 VII : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE* SELON LA DUREE DU TRAVAIL 1. Structure globale Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 (hors CDII et formateurs occasionnels) selon la durée du travail Temps partiel : sal. 36, Evolution ,5 63, ,5 Temps plein : sal Temps plein Temps partiel Au 31 décembre 2014, la proportion des temps pleins dans la branche progresse de nouveau à un an d intervalle (63,5 ). * (hors CDII et formateurs occasionnels) 42/79

43 VII : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE* SELON LA DUREE DU TRAVAIL 2. Selon les caractéristiques des entreprises et la fonction des salariés Selon la taille des entreprises , ,5 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés Temps plein 50 salariés et plus Temps partiel Ensemble Selon l origine du financement des entreprises Fonds publics Fonds privés Temps plein 42 36,5 Fonds mixtes Temps partiel 63,5 Ensemble Selon la fonction des salariés Selon le sexe des salariés , , ,5 Formateurs Non formateurs Ensemble ,5 Hommes Femmes Ensemble Temps plein Temps partiel Temps plein Temps partiel * (hors CDII et formateurs occasionnels) 43/79

44 VII : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE* SELON LA DUREE DU TRAVAIL Durée moyenne des temps partiels (hors CDII et formateurs occasionnels) 23h00 3. Selon la durée des temps partiels Détail de la durée moyenne des temps partiels selon la taille des entreprises Rappel Nbre d'heures Ensemble : 23h30 23h00 23h00 21h00 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus 2 à 9 salariés 20h30 10 à 49 salariés 23h00 50 salariés et plus 23h00 Ensemble 22h30 5 Part des salariés âgés de plus de 45 ans travaillant à temps partiel * (hors CDII et formateurs occasionnels) 44/79

45 VIII : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR PRINCIPALE CATEGORIE PROFESSIONNELLE Répartition des salariés présents au 31 décembre 2014 selon leur catégorie professionnelle 1. Structure globale Employés (A, B) : salariés (10 )* Cadres (F, G, H,I) : salariés (18 )* Techniciens (C, D, E) : salariés (72 )* Au 31 décembre 2014, les techniciens représentent 70 des salariés de la branche formation professionnelle soit deux points de moins qu en A l inverse, les employés (11 ) et les cadres (19 ) gagnent un point à un an d intervalle. * Figurent entre parenthèses les données /79

46 VIII : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR PRINCIPALE CATEGORIE PROFESSIONNELLE 2. Selon la taille et le financement des entreprises Selon la taille des entreprises Selon l origine du financement des entreprises à 9 salariés 10 à 49 salariés salariés et plus Ensemble Fonds publics Fonds privés Fonds mixtes Ensemble Employés Techniciens Cadres Employés Techniciens Cadres Proportionnellement, les employés sont plus nombreux dans les petites structures (17 ) et ayant un financement mixte (14 ). Les cadres, eux, sont plus nombreux dans les structures les plus importantes de la branche (2) et ayant principalement un financement privé (23 ). 46/79

47 VIII : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR PRINCIPALE CATEGORIE PROFESSIONNELLE 3. Selon les caractéristiques des salariés Selon la fonction des salariés Selon le sexe des salariés Formateurs Non formateurs Ensemble Hommes Femmes Ensemble Employés Techniciens Cadres Employés Techniciens Cadres 10 8 Selon l âge des salariés Moins de 50 ans 50 à 54 ans 55 ans et plus Ensemble Employés Techniciens Cadres 47/79

48 IX : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LES CATEGORIES PROFESSIONNELLES DEFINIES PAR LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE Répartition des salariés présents au 31 décembre Structure globale Catégories Nombre de salariés Répartition en A (employés spécialisés) B (employés qualifiés) C (techniciens qualifiés 1 er degré) ,5 D1 (techniciens qualifiés 2 nd degré) D2 (techniciens qualifiés 2 nd degré) ,5 E1 (techniciens hautement qualifiés) E2 (techniciens hautement qualifiés) F (cadres) G (cadres) H (cadres) I (cadres) Ensemble /79

49 5 Non cadres IX : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LES CATEGORIES PROFESSIONNELLES DEFINIES PAR LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE 45,5 2. Selon le statut des salariés Evolution ,5 A B C D E Cadres F G H I /79

50 Catégories IX : SALARIES PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LES CATEGORIES PROFESSIONNELLES DEFINIES PAR LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE 3. Selon la fonction des salariés Détail selon la fonction des salariés Répartition des formateurs (en ) Répartition des non formateurs (en ) Ensemble (en ) A (employés spécialisés) B (employés qualifiés) C (techniciens qualifiés 1 er degré) ,5 D1 (techniciens qualifiés 2 nd degré) D2 (techniciens qualifiés 2 nd degré) ,5 E1 (techniciens hautement qualifiés) E2 (techniciens hautement qualifiés) F (cadres) G (cadres) 3,5 5,5 4 H (cadres) I (cadres) 1,5 1,5 1 Ensemble Nombre global de salariés /79

51 Diffusion et reproduction interdites Chapitre III Rémunération Exercice /79

52 I : MASSE SALARIALE BRUTE Evolution de la masse salariale brute Evolution Milliards d' 1,9 1,8 1,7 +3 1,6 +3,5 1,50 1,5 1,45 +2,5 1,55 +4,5 1,58 +5,5 1,65 1, , , ,79 +0,5 1,81 1, ,87 1,4 1, La masse salariale brute progresse de +3 entre 2013 et 2014 pour atteindre 1,87 Mds d. 52/79

53 ! Mise en garde : l échantillon des répondants n étant pas identique entre 2013 et 2014, la comparaison avec les données 2013 n est pas permise. Les données 2013 sont affichées à titre indicatif. Salaires moyens à l embauche des grandes catégories professionnelles (éléments variables et primes comprises) II : SALAIRES 1. Salaires moyens Formateurs qualifiés 2ème degré (D1) Techniciens qualifiés 2ème degré (D1) Formateurs hautement qualifiés (E1) Techniciens hautement qualifiés (E1) Formateurs cadres (F) Employés administratifs (B1) Secrétaires (C1) Rappel 2013 : /79

54 II : SALAIRES 2. Formateurs qualifiés (2 nd degré) : niveau D1 Formateurs qualifiés (2 nd degré), niveau D1 Salaire moyen : Soit 11,5 au dessus du minimum établi par la convention collective Ecart entre le 1 er et 9 ème décile : 43 Salaires à l embauche des formateurs qualifiés (2 nd degré), niveau D1, (éléments variables et primes comprises) Minimum de la convention collective : Détail par décile 1 er décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile Moyenne 1er décile Médiane 9ème décile (1) (2) (3) (1) 1 er décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire inférieur ou égal à cette valeur (2) Médiane : La moitié des salariés bénéficient d'un salaire inférieur à cette valeur (3) 9 ème décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire supérieur ou égal à cette valeur Ecart type σ : /79

55 II : SALAIRES 3. Techniciens qualifiés (2 nd degré) : niveau D1 Techniciens qualifiés (2 nd degré), niveau D1 Salaire moyen : Soit 10 au dessus du minimum établi par la convention collective Ecart entre le 1 er et 9 ème décile : 32 Salaires à l embauche des techniciens qualifiés (2 nd degré), niveau D1, (éléments variables et primes comprises) Minimum de la convention collective : Détail par décile 1 er décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile Moyenne 1er décile Médiane 9ème décile (1) (2) (3) (1) 1 er décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire inférieur ou égal à cette valeur (2) Médiane : La moitié des salariés bénéficient d'un salaire inférieur à cette valeur (3) 9 ème décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire supérieur ou égal à cette valeur Ecart type σ : /79

56 II : SALAIRES 4. Formateurs hautement qualifiés : niveau E1 Formateurs hautement qualifiés, niveau E1 Salaire moyen : Soit 10 au dessus du minimum établi par la convention collective Ecart entre le 1 er et 9 ème décile : 23,5 Salaires à l embauche des formateurs hautement qualifiés, niveau E1, (éléments variables et primes comprises) Moyenne er décile Médiane 9ème décile (1) (2) (3) Minimum de la convention collective : (1) 1 er décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire inférieur ou égal à cette valeur (2) Médiane : La moitié des salariés bénéficient d'un salaire inférieur à cette valeur (3) 9 ème décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire supérieur ou égal à cette valeur Détail par décile 1 er décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile Ecart type σ : /79

57 II : SALAIRES 5. Techniciens hautement qualifiés : niveau E1 Techniciens hautement qualifiés, niveau E1 Salaire moyen : Soit 6,5 au dessus du minimum établi par la convention collective Ecart entre le 1 er et 9 ème décile : 20 Salaires à l embauche des techniciens hautement qualifiés, niveau E1, (éléments variables et primes comprises) Moyenne er décile Médiane 9ème décile (1) (2) (3) Minimum de la convention collective : (1) 1 er décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire inférieur ou égal à cette valeur (2) Médiane : La moitié des salariés bénéficient d'un salaire inférieur à cette valeur (3) 9 ème décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire supérieur ou égal à cette valeur Détail par décile 1 er décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile Ecart type σ : /79

58 Formateurs cadres, niveau F Salaire moyen : Soit 9 au dessus du minimum établi par la convention collective Ecart entre le 1 er et 9 ème décile : 44,5 II : SALAIRES 6. Formateurs cadres : niveau F Détail par décile 1 er décile ème décile Salaires à l embauche des formateurs cadres, niveau F, (éléments variables et primes comprises) Moyenne er décile Médiane 9ème décile (1) (2) (3) Minimum de la convention collective : (1) 1 er décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire inférieur ou égal à cette valeur (2) Médiane : La moitié des salariés bénéficient d'un salaire inférieur à cette valeur (3) 9 ème décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire supérieur ou égal à cette valeur 3 ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile Ecart type σ : /79

59 Employés administratifs, niveau B1 Salaire moyen : Soit 7 au dessus du minimum établi par la convention collective Ecart entre le 1 er et 9 ème décile : 30,5 II : SALAIRES 7. Employés administratifs : niveau B1 Détail par décile 1 er décile ème décile Salaires à l embauche des employés administratifs, niveau B1, (éléments variables et primes comprises) Minimum de la convention collective : ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile Moyenne 1er décile Médiane 9ème décile (1) (2) (3) (1) 1 er décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire inférieur ou égal à cette valeur (2) Médiane : La moitié des salariés bénéficient d'un salaire inférieur à cette valeur (3) 9 ème décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire supérieur ou égal à cette valeur Ecart type σ : /79

60 Secrétaires, niveau C1 Salaire moyen : Soit 9,5 au dessus du minimum établi par la convention collective Ecart entre le 1 er et 9 ème décile : 21 II : SALAIRES 8. Secrétaires : niveau C1 Détail par décile 1 er décile ème décile Salaires à l embauche des secrétaires, niveau C1, (éléments variables et primes comprises) Minimum de la convention collective : ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile ème décile Moyenne 1er décile Médiane 9ème décile (1) (2) (3) (1) 1 er décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire inférieur ou égal à cette valeur (2) Médiane : La moitié des salariés bénéficient d'un salaire inférieur à cette valeur (3) 9 ème décile : 10 des salariés bénéficient d'un salaire supérieur ou égal à cette valeur Ecart type σ : /79

61 III : SALAIRIES AU MINIMUM DE LA CONVENTION COLLECTIVE Proportion de salariés au minimum de la convention collective En de formateurs En de non formateurs En de l ensemble Répartition des salariés au minimum de la convention collective selon leur catégorie sal. au minimum Formateurs Non formateurs Ensemble sal. au 31/12/14 sal. au minimum sal. au 31/12/14 sal. au minimum sal. au 31/12/14 A (employés spécialisés) (12 ) 11,5 (5 ) B (employés qualifiés) (14 ) 5,5 (6 ) C (techniciens qualifiés 1 er degré) (13 ) 5,5 (5,5 ) D1 (techniciens qualifiés 2 nd degré) 36 (34 ) 10 (17 ) 25,5 (28 ) D2 (techniciens qualifiés 2 nd degré) 33 (23 ) 6 (10 ) 22 (17,5 ) E1 (techniciens hautement qualifiés) 15,5 (13 ) 7 (8 ) 12 (11 ) E2 (techniciens hautement qualifiés) 10 (10 ) 6 (5 ) 8,5 (8 ) F (cadres) 3 (13 ) 8 (11 ) 5 (12 ) G (cadres) 1,5 (3,5 ) 4 (5,5 ) 2,5 (4 ) H (cadres) 1 (2 ) 1 (3 ) 1 (2 ) I (cadres) NS (1,5 ) 2 (1,5 ) 1 (1 ) Ensemble 100 (100 ) 100 (100 ) 100 (100 ) 61/79

62 IV : HEURES SUPPLEMENTAIRES ET HEURES COMPLEMENTAIRES * TP : Temps pleins Nombre d heures supplémentaires effectuées en moyenne par semaine par salarié concerné Nombre d'heures H45 2H30 Nombre de salariés (6 des TP*) Nombre de salariés à temps plein ayant effectué des heures supplémentaires et/ou des heures choisies (8 des TP*) (9 des TP*) (11 des TP*) (12 des TP*) (10,5 des TP*) (1 des TP*) (9,5 des TP*) H00 2H30 2H30 2H30 2H30 3H Détail du pourcentage de salariés à temps plein concernés par les heures supplémentaires et/ou des heures choisies 2 à 9 salariés à 49 salariés 9 50 salariés et plus 8 Ensemble 9,5 62/79

63 IV : HEURES SUPPLEMENTAIRES ET HEURES COMPLEMENTAIRES Nombre de salariés à temps partiel ayant effectué des heures complémentaires Nombre de salariés (8 des temps partiels*) (1 des temps partiels*) (1 des temps partiels*) (9 des temps partiels*) (9 des temps partiels*) (8 des temps partiels*) (8,5 des temps partiels*) (6,5 des temps partiels*) * hors CDII et formateurs occasionnels Nombre d heures complémentaires effectuées en moyenne par semaine par salarié concerné Nombre d'heures 2H45 2H30 2H30 1H30 1H30 2H00 1H30 3H Détail du pourcentage de salariés à temps partiel (hors CDII et formateurs occasionnels) concernés par les heures complémentaires 2 à 9 salariés 3 10 à 49 salariés 8,5 50 salariés et plus 6 Ensemble 6,5 63/79

64 Entreprises proposant un dispositif d épargne salariale à l ensemble de leurs salariés (21) (16) 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés * Figure entre parenthèses le rappel 2013 V : AUTRES FORMES DE REMUNERATION 71 (73) 50 salariés et plus Ensemble : 20,5 * (21,5 ) * Correspondant à 38 (39 ) des salariés présents au Epargne salariale Dispositifs proposés (en d entreprises concernées) 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Rappel 2013 Plan Epargne Entreprise (PEE) (67 Intéressement (32 ) Participation (32 ) Plan Epargne Retraite Collectif (PERCO) (16 ) Autres* NS 1 NS 0,5 (NS) Ensemble ,5 (147 ) Autres* : PEL, Article 83, 64/79

65 Diffusion et reproduction interdites Chapitre IV Formation professionnelle et conditions de travail Exercice /79

66 Millions d' Evolution des dépenses réelles de formation +2 +3,5 +1, ,5 41,3 42, ,1 41,6 38,3 (2,3*) +7,5 (2,4*) (2,3*) (2,2*) (2,3*) +8 (2,3*) (2,2*) 33 33,5-2, ,5 30,5 (2,1*) (2,2*) (2,*) (1,9*) (1,9*) * Figure entre parenthèses la part de la masse salariale I : FORMATION PROFESSIONNELLE 1. Budget consacré Pourcentage de la masse salariale en dépenses de formation selon la taille des entreprises 2 à 9 salariés 1,3 10 à 49 salariés 2,2 50 salariés et plus 3,1 Ensemble 2,3 En 2014, le budget consacré à la formation progresse de 3,5 par rapport à 2013, soit 2,3 de la masse salariale. La part de la masse salariale en dépenses de formation est corrélée à la taille des entreprises. 66/79

67 I : FORMATION PROFESSIONNELLE 2. Les salariés bénéficiaires de formations Nombre de salariés Evolution des effectifs salariés bénéficiaires de formations +1,5 +2, , ,5 +0, Détail selon la taille des entreprises Effectifs formés Proportion des effectifs formés (salariés en équivalent temps plein) 2 à 9 salariés ,5 10 à 49 salariés salariés et plus Ensemble Le nombre de salariés bénéficiaires de formations est quasiment stable à un an d intervalle (+ 0,5 ). Ainsi, au cours de l année 2014, salariés ont bénéficié de formations. 67/79

68 Non formateurs : salariés Répartition des salariés formés selon leur fonction 10 8 I : FORMATION PROFESSIONNELLE 2. Les salariés bénéficiaires de formations Evolution Formateurs : salariés Répartition des salariés formés selon leur catégorie professionnelle Employés : salariés Formateurs Non formateurs Evolution , Cadres : salariés 23 6 Techniciens : salariés , Employés Techniciens Cadres 68/79

69 I : FORMATION PROFESSIONNELLE 3. Durée moyenne des formations Durée moyenne des formations selon la taille des entreprises (en nombre d heures par salarié ayant suivi une formation) Nombre d'heures 30h00 29h00 (27H00) 28h h00 (21H00) (24H00) (25H00) à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Durée moyenne des formations selon les catégories professionnelles (en nombre d heures par salarié ayant suivi une formation) Nombre d'heures 30H H00 28H00 26H Employés Techniciens Cadres Ensemble * Figure entre parenthèses le rappel 2013 La durée moyenne des formations croît et atteint 28h00 en 2014 contre 24h00 en En 2014, les entreprises de 2 à 9 salariés ont la durée moyenne de formation la plus élevée (30h00). En 2014, les techniciens ont la durée moyenne de formation la plus élevée (30h00). 69/79

70 II : DEPLACEMENTS Répartition des entreprises selon la prise en compte des déplacements des salariés formateurs amenés à intervenir sur un lieu de travail autre que leur lieu habituel 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Rappel 2013 Le salarié bénéficie d une indemnisation individuelle au titre de ce déplacement ,5 (42,5 ) Le salarié bénéficie d une indemnisation basée sur un accord collectif ,5 (14 ) Le trajet inhabituel est pris en compte dans le temps de travail ,5 (26 ) Aucune disposition particulière n est prévue par l entreprise ,5 (23 ) 70/79

71 Organismes assurant la prévoyance obligatoire des salariés des entreprises de formation privée En de l échantillon GNP 23 Centres de gestion GNP dont : 45 APICIL 33 GROUPE HUMANIS 9 VIAMEDIS 1 VICTOR HUGO 1 IPSEC PREVOYANCE 1 Institutions paritaires dont : 25 MALAKOFF MEDERIC 13 AG2R 3 KLESIA 2 Autres (REUNICA, INTER PREVOYANCE ) 7 Assurances 5 dont : GAN PREVOYANCE 1 AXA 1 Autres (ALLIANZ, GMF, LA MONDIALE, QUATREM, GROUPAMA, GENERALI, MAIF ) Divers : Mutuelle, retraite, courtier, (B2V, NOVALIX TAITBOUT, CHORUM ) Ensemble ! III : GARANTIES SANTE 1. Prévoyance obligatoire Compte tenu de la sur-représentation des adhérents à la F.F.P. et à l O.P.Q.F. dans l échantillon, les réponses à cette question ne peuvent pas être généralisées à l ensemble de la profession et la comparaison aux années précédentes n est pas possible. 71/79

72 Entreprises disposant d une couverture supplémentaire frais de santé pour l ensemble de leurs salariés III : GARANTIES SANTE 2. Mutuelles et frais de santé à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Répartition entre employeur et salariés pour la prise en charge de la cotisation complémentaire santé Cadres Non cadres! Part employeurs Part salariés Ensemble Compte tenu d un trop faible taux de réponses et d une forte disparité des réponses quand elles ont été fournies, le taux de cotisations des couvertures supplémentaires frais de santé n a pas pu être exploité. Note : Les résultats ci-dessus sont à interpréter avec précaution compte tenu du faible taux de réponses à cette question 72/79

73 IV : EMPLOI DES TRAVAILLEURS HANDICAPES 10 Entreprises employant des travailleurs handicapés Répartition des salariés handicapés selon leur fonction Formateurs à 9 salariés 10 à 49 salariés 50 salariés et plus Ensemble Non formateurs Nombre de salariés handicapés employés salariés (2*) (2,3*) (3*) (3,5*) (3,5*) (3*) * Figure entre parenthèses la proportion de salariés handicapés parmi les salariés présents au 31 décembre En 2014, la proportion d entreprises employant des travailleurs handicapés diminue légèrement, passant de 21 en 2013 à 20 en Parallèlement, le nombre de salariés handicapés présents au 31 décembre 2013 est en baisse (3500 salariés handicapés). 73/79

74 Diffusion et reproduction interdites Chapitre V Seniors Exercice /79

75 I : PRESENTS AU 31 DECEMBRE SELON LEUR TYPE DE CONTRAT S E N I O R S 60 ans et plus 55 à 59 ans 50 à 54 ans 45 à 49 ans 35 à 44 ans 25 à 34 ans Pyramide des âges 5 (5.500 sal.) 9 (9.900 sal.) 13,5 ( sal.) 20,5 3 Répartition des salariés âgés de 45 ans et plus présents au 31 décembre selon leur contrat de travail 18 ( sal.) ,5 76,5 78 ( sal.) ( sal.) ,5 23, Moins de 25 ans 4 (4.400 sal.) CDI CDD Détail selon les tranches d âges à 49 ans 50 à 54 ans 55 à 59 ans 60 ans et plus Ensemble seniors A un an d intervalle, la part des séniors dans l emploi salarié de la branche progresse de nouveau, passant ainsi de 43,5 fin 2013 à 45,5 au 31 décembre Au 31 décembre 2014, la proportion de seniors en CDI se renforce à un an d intervalle (78 ). CDI CDD 75/79

76 II : MOUVEMENT DE PERSONNEL Taux d embauche en EMBAUCHES salariés DEPARTS salariés Taux de départ en SOLDE EMBAUCHES/DEPARTS salariés 76/79

77 Salariés âgés de 45 ans et plus ayant bénéficié d un entretien de seconde partie de carrière III : CONDITIONS DE TRAVAIL salariés (14*) (7*) (6*) (6*) (4,5*) (5*) * Figure entre parenthèses la proportion de salariés de 45 ans et plus présents au 31 décembre Entreprises ayant rédigé un document unique incluant des dispositions spécifiques aux seniors en 2014 Entreprises ayant consacré une réunion CHSCT à l amélioration de l emploi seniors en (15**) 2 à 9 salariés 25 (26**) 10 à 49 salariés 45 (5**) 50 salariés et plus Ensemble : entreprises (19**) (2**) (5**) 2 à 9 salariés 10 à 49 salariés 46 (48**) 50 salariés et plus Ensemble : entreprises (4,5**) ** Figure entre parenthèses le rappel /79

78 Salariés âgés de 50 ans et plus ayant bénéficié d une formation salariés (25*) (22**) *proportion de salariés formés de 50 ans et plus ** proportion de salariés formés de 50 ans et plus dans l ensemble des salariés formés Répartition des salariés âgés de 50 ans et plus formés selon leur nombre d heures annuelles de formation 14 heures annuelles ou plus : seniors (37*) (29**) 65 (41*) (38*) (3**) 35 (32*) (24**) (37*) (28**) Moins de 14 heures annuelles : seniors (4*) (31,5**) (59*) (2,2*) (2,2*) 0 salariés IV : FORMATION PROFESSIONNELLE En 2014, le nombre de salariés âgés de 50 ans et plus ayant bénéficié d une formation progresse, passant de salariés en 2013 à en 2014 (+ 13,5 ). Ainsi, les salariés âgés de 50 ans et plus ayant bénéficié d une formation représentent désormais 31,5 des salariés formés dans la profession en En 2014, le nombre de salariés âgés de 45 ans et plus ayant assuré une fonction de parrainage et/ou de tutorat accuse une nouvelle baisse (1 800 salariés). Salariés âgés de 45 ans et plus ayant assuré une fonction de parrainage et/ou de tutorat *proportion de salariés de 45 ans et plus (5,5*) (4,5*) (4*) (3,5*) /79

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 - La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

Les enjeux du quotidien

Les enjeux du quotidien Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014 Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.

Plus en détail

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

Informatisation des données transfusionnelles

Informatisation des données transfusionnelles Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser

Plus en détail

rapport de l observatoire des TArifs bancaires

rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif

Plus en détail

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35

Plus en détail

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP

OTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en

Plus en détail

Portrait statistique des entreprises et des salariés

Portrait statistique des entreprises et des salariés Portrait statistique des entreprises et des salariés Commerce de détail de l Habillement et des articles textiles Comité Paritaire de Pilotage de l Observatoire Portrait statistique des entreprises et

Plus en détail

Emploi et Formation Secteur Publicité

Emploi et Formation Secteur Publicité Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES

Plus en détail

RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE

RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de

Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Mesures Physiques Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance) Novembre

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires

Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Etudes. Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction

Etudes. Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction Etudes Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction Deux études Étude n 1!: Pérennité des entreprises Insertion

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

Résultats du sondage

Résultats du sondage Résultats du sondage L agence française du programme européen «Jeunesse en action» (PEJA), dans le cadre de ses petits déjeuners «Prêt à l emploi!», a diffusé un questionnaire exclusif, réalisé en ligne

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org

56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org 56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org I II L emploi intérimaire s est contracté de 2,7% en 2003 L évolution de l emploi intérimaire est soumise aux fluctuations

Plus en détail

REGION HAUTE-NORMANDIE

REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie

Plus en détail

Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013

Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre

Plus en détail

GESTION, ADMINISTRATION

GESTION, ADMINISTRATION GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique

Plus en détail

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF)

DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) >DPC Unique DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) A RETOURNER A L ADRESSE DE VOTRE CENTRE DE

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L

Plus en détail

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000

F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes

Plus en détail

Cartographie des métiers de le mutualité

Cartographie des métiers de le mutualité Cartographie des métiers de le mutualité Etude basée sur l enquête «bilan social 2014 données 2013» M. Ejnès Rodolphe 113 rue Saint-Maur, 75011 Paris - Téléphone : 01 49 29 42 40 - www.geste.com SIRET

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne 1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004

ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 Préambule La Fédération des scènes de jazz et de musiques improvisées (FSJ) regroupe depuis 1996, des lieux

Plus en détail

Etude Sociodémographique de la Branche. Réalisée en 2008. Synthèse. Avril 2009

Etude Sociodémographique de la Branche. Réalisée en 2008. Synthèse. Avril 2009 Etude Sociodémographique de la Branche. Réalisée en 2008. Synthèse Sommaire Cadre de l intervention Principales caractéristiques de la Branche Principaux éléments d analyse Annexes Sommaire détaillé Cadre

Plus en détail

ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3

ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3 ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme

Plus en détail

L emploi des jeunes dans l Economie Sociale et Solidaire

L emploi des jeunes dans l Economie Sociale et Solidaire L emploi des jeunes dans l Economie Sociale et Solidaire Rapport d étude Observatoire National de l ESS CNCRES Elisa Braley, responsable de l Observatoire Arnaud Matarin, chargé d études observatoire@cncres.org

Plus en détail

30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris sportifs en ligne.

30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris sportifs en ligne. Un nouveau circuit de saut d obstacles Au format très télévisuel Support de paris sportifs en ligne 30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

Étude de rémunération auprès des Tour Opérateurs

Étude de rémunération auprès des Tour Opérateurs Étude de rémunération auprès des Tour Opérateurs Forum SETO 2013 11 décembre 2013 Synthèse des résultats Plan Les enjeux de l étude L activité Benchmark Rémunération d Aon Hewitt Caractéristiques de l

Plus en détail

La VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis

La VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil

Plus en détail

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,

Plus en détail

Portrait statistique

Portrait statistique ÉTUDE SECTEUR Cadre de vie-technique ENTREPRISES D ARCHITECTURE Portrait statistique 02 ÉTUDE - mai 2013 Entreprises d'architecture : portrait statistique Sommaire 03 Étude initiée par la cpnefp des entreprises

Plus en détail

Rapport final version définitive. 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR

Rapport final version définitive. 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR DGCS EVALUATION DU DISPOSITIF LITS HALTES SOINS SANTE (LHSS) Rapport final version définitive 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR DGCS-1788-EVALUATION

Plus en détail

Etude statistique des données fournies par la CCIJP

Etude statistique des données fournies par la CCIJP Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales.

Le Service Central du Traitement de la Dépense. Intervenant l mentions légales. Le Service Central du Traitement de la Dépense Intervenant l mentions légales. Sommaire L e S e r v i c e C e n t r a l d e Tr a i t e m e n t d e l a D é p e n s e : c o n t e x t e e t o b j e c t i

Plus en détail

Vous voilà aujourd hui personnel du CNRS. Une nouvelle vie commence, vous devez vous loger, vous voulez aménager votre intérieur?

Vous voilà aujourd hui personnel du CNRS. Une nouvelle vie commence, vous devez vous loger, vous voulez aménager votre intérieur? CNRS_290708 19/08/08 9:34 Page 1 E, U N E V N E I B R I D N A R G S N O S I A F E L B M E S EN! S T E J O R P S VO Vous voilà aujourd hui personnel du CNRS. Une nouvelle vie commence, vous devez vous loger,

Plus en détail

METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 2004

METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 2004 UNIVERSITE RENNES HAUTE BRETAGNE METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 004 ETUDE DE L''INSERTION PROFESSIONNELLE DIPLOMES 004 Observatoire des Parcours Etudiants et de l'insertion

Plus en détail

INSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J

INSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J INSTRUCTION N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J VERSEMENT AU PROFIT DE L'ÉTAT DES SOMMES DÉPOSÉES SUR DES PRODUITS D'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE ATTEINTES PAR LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE ANALYSE

Plus en détail

Mutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13

Mutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre

Plus en détail

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998 Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,

Plus en détail

AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES

AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES Association reconnue d utilité publique Siège social : 10/14 rue Tolain 75020 PARIS

Plus en détail

La mobilité. Au service des Outre-mer

La mobilité. Au service des Outre-mer La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première

Plus en détail

LE DEVENIR DES DIPLOMÉS

LE DEVENIR DES DIPLOMÉS LE DEVENIR DES DIPLOMÉS Master Ressources humaines et communication Finalité : Professionnelle Situation professionnelle deux ans après l obtention d un master 2 Les enquêtes sur le devenir des diplômés

Plus en détail

Un dispositif d appui aux très petites entreprises

Un dispositif d appui aux très petites entreprises Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement

Plus en détail

l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire

l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire Les études de L emploi cadre n 2015-32 mars 2015 Cadres du privé et zones d emploi : une forte concentration. Les places fortes de l emploi

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale»

Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Règlement du concours de dessin «Mon éolienne est la plus originale» Article 1 : Organisateur du concours L association France Energie Eolienne, située au 12 rue Vivienne, 75002 Paris, SIRET n 432 446

Plus en détail