DOSSIER DE DEMANDE DE DEROGATION TEMPORAIRE POUR LA REALISATION D EPANDAGES PAR VOIE AERIENNE SUR RIZ

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DOSSIER DE DEMANDE DE DEROGATION TEMPORAIRE POUR LA REALISATION D EPANDAGES PAR VOIE AERIENNE SUR RIZ"

Transcription

1 DOSSIER DE DEMANDE DE DEROGATION TEMPORAIRE POUR LA REALISATION D EPANDAGES PAR VOIE AERIENNE SUR RIZ pour le département des Bouches-du-Rhône Eléments nécessaires à l instruction de la demande conformément à l article 15 de l arrêté du 15 septembre 2014 Février 2015 Tél. : Fax : SIRET :

2 Tél. : Fax : SIRET :

3 PORTEE DE LA DEMANDE La demande de dérogation concerne : les usages riz identifiés en annexe 1b) de l arrêté du 15 septembre 2014 comme pouvant faire l objet d une dérogation temporaire en métropole, soit : le désherbage la lutte contre la pyrale (Chilo suppressalis) certaines spécialités autorisées pour l un ou l autre de ces usages, à savoir : - les spécialités ayant fait l objet, par l ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire), d une évaluation spécifique des risques, conformément aux termes de l article 6 de l arrêté du 15 septembre 2014, ainsi que les spécialités similaires à ces spécialités de référence (source : RIZ * DESHERBAGE Spécialité de référence (société) Spécialités similaires (sociétés) Substance active BOA (Dow AgroSciences) ASPIC (Sociadore) ANACONDA (Cave Vignerons de Tutiac) COBRA (Silo de Tourtoulen) CAZOBOA (Cazorla) NOXAM (Saga S.A.S) KANABOA (Agrinatur Sarl) Penoxsulame (20g/l) CLINCHER (Dow AgroSciences) CLINCHER NEO (Dow AgroSciences) CHLOA (AgriNatur) Cyhalofop-butyl (200g/l) RIZ * PYRALE Spécialité de référence (société) Spécialités similaires (sociétés) Substance active MIMIC LV (Nisso Chemical Europe) - Tebufénozide (240g/l) - Les spécialités ayant fait l objet d une demande d évaluation spécifique auprès de l ANSES, sous réserve d un résultat favorable de cette évaluation au moment de leur utilisation Tél. : Fax : SIRET :

4 ELEMENTS NECESSAIRES A L INSTRUCTION DE LA DEMANDE conformément à l article 15 de l arrêté du 15 septembre 2014 a. Culture visée Le riz, culture visée par cette demande, sera produit sur une surface qui devrait connaitre une nouvelle diminution par rapport aux campagnes précédentes ( hectares en 2013, hectares en 2014), répartie entre les départements des Bouches-du-Rhône (environ 2/3 des surfaces) et du Gard (environ 1/3 des surfaces). b. Organismes nuisibles visés Les adventices de la culture Les rizières constituent un milieu très favorable au développement de nombreuses plantes pouvant entrer en concurrence avec la culture du riz. Plus d une soixantaine d espèces différentes y ont ainsi été répertoriées lors du dernier inventaire floristique réalisé en 2010 par le Centre Français du Riz, avec l appui méthodologique du CIRAD. La gestion de l enherbement représente par conséquent pour les riziculteurs un enjeu majeur. Même si l adoption de pratiques culturales adaptées (rotations, travail du sol, choix variétaux) a un effet sur l enherbement, l emploi d herbicides est une nécessité pour lutter contre des adventices qui, en l absence de contrôle efficace, peuvent totalement compromettre la Parmi la soixantaine d espèces d adventices présentes dans les rizières de Camargue, celles exerçant la compétition la plus forte vis à vis de la culture sont généralement : o Les riz adventices (ou riz crodo) : Formes adventices, appartenant à la même espèce que le riz cultivé, ils ont pour principale caractéristique une forte aptitude à l égrenage ne leur permettant pas d être récoltés, et leur conférant une capacité d infestation rapide des parcelles. Tél. : Fax : SIRET :

5 o o Les Echinochloa (ou panisses) : Sous ce terme sont regroupées un ensemble d espèces pouvant présenter une variabilité morphologique importante, sur lesquelles l efficacité de certains herbicides diffère. Les Cypéracées (ou triangles) : Espèces caractéristiques des milieux inondés. Depuis quelques années, on observe également une évolution marquée de la situation dans les rizières, avec l expansion de nombreuses espèces jusqu alors considérées comme mineures, voire l arrivée d espèces nouvelles (Leptochloa). - La pyrale du riz (Chilo suppressalis) La pyrale est le des principaux insectes ravageurs du riz en Camargue. Ce lépidoptère compte deux générations annuelles complètes, suivies d'une troisième plus ou moins partielle. Il pond ses œufs sur la face inférieure des feuilles ; après éclosion, les chenilles migrent vers les nœuds de la tige par lesquels elles rentrent en traversant la barrière à sclérenchyme. Elles se nourrissent des tissus du nœud, pour ensuite coloniser l entre-noeud. Les dommages, surtout sensibles à partir de la floraison, peuvent être soit directs (panicules blanches, stérilité, poids de grain diminué), soit indirects (verse et difficulté de récolte) et toucher les rendements paddy et industriel. Compte tenu des dégâts importants qu elle peut occasionner sur les variétés sensibles, le recours à une application insecticide, calée sur les pics de vols, peut-être nécessaire dans certaines situations culturales. Tél. : Fax : SIRET :

6 degrés-jours (base 13 C) c. Bilan de la situation de la culture pour l année 2014, description de la situation prévisionnelle pour la campagne 2015 et dispositif de raisonnement des traitements mis en place o Bilan de la situation de la culture pour l année 2014 : o Déroulement de la campagne : Les deux premiers mois de l année 2014 ont été marqués par la répétition d épisodes pluvieux (13 jours de pluie et 116 mm en janvier, 17 jours de pluie et 83 mm en février), ayant provoqué de gros retards dans les préparations de sols. A partir de début mars, les conditions ont heureusement été plus favorables, permettant un rattrapage du retard et la réalisation des premières mises en eau dès le début du mois d avril, pour les parcelles dans lesquelles des faux-semis étaient nécessaires. La période de semis, ayant débuté comme à l habitude vers le 20 avril, a connu des températures relativement proches des normales, permettant une installation correcte dans la plupart des parcelles. Durant la phase d installation, les cultures ont néanmoins subi quelques périodes fortement ventées ; cela a en particulier été le cas avec un mistral très marqué entre le 14 et le 16 mai, auquel a succédé un fort vent du sud entre le 20 et le 22 mai. Durant ces 8 jours, les cultures ont vu leur développement très limité, et des pertes de plantules ont été observées à Sommes de températures durant la phase d installation 21 avril-31 mai 2014 (degrés-jour en base 13 C) Tél. : Fax : SIRET :

7 En juin après une période de fortes chaleurs (maximales à 35 C entre le 10 et le 13 juin), les températures se sont ensuite maintenues à un niveau globalement supérieur aux normales. A l inverse, les températures de juillet et août ont été au mieux au niveau des normales, nettement plus froides à certaines périodes clés pour une partie des cultures : - durant la première décade de juillet (initiation paniculaire), - durant la deuxième décade d août (floraison). Ces conditions estivales expliquent des cycles semis-épiaisons rallongés de quelques jours par rapport à la normale, voire très nettement augmentés pour certaines situations culturales (variétés tardives) ; ainsi, certaines parcelles n ont atteint le stade floraison que dans les premiers jours de septembre. o Désherbage : Compte tenu de conditions d installation des cultures nettement plus favorables, le contrôle des adventices est apparu moins problématique en 2014 qu au cours de la précédente campagne culturale. On a néanmoins encore observé des contrôles insuffisants et des relevées/redémarrages d Echinochloa (panisses) et des différentes Cypéracées (triangles maritimes, triangles de semis). Parmi les dicotylédones, les renouées ont confirmé une présence accrue depuis quelques années. Enfin, la progression de la présence du Leptochloa, déjà signalée en 2013, est apparue encore importante. o Lutte contre la pyrale : Le suivi des vols de pyrales a été effectué par le Centre Français du Riz à partir de la fin du mois de mai. Il était basé sur le relevé, une à deux fois par semaine selon les périodes, d un réseau de pièges à phéromones (16 pièges répartis sur 8 sites) permettant l établissement des courbes de vols. Le pic de vol de la première génération a été observé lors du relevé du 6 juin 2014, ce qui correspondait à une année normale. Après une période au cours de laquelle les captures de papillons ont été nulles, le relevé réalisé le 22 juillet a mis en évidence un début de redémarrage des vols (voir graphique joint). Tél. : Fax : SIRET :

8 Evolution des captures dans le réseau de piégeage 2014 du CFR o Situation prévisionnelle pour la campagne 2015 : Pour le désherbage, la demande de dérogation concerne des interventions de post-levée du riz. Elles sont, quelles que soient les conditions de l année (qualité de la levée, développement de la culture), indispensables pour assurer une réussite des cultures. Pour la lutte contre la pyrale, il n est pas possible à ce jour de préjuger de l impact de la pyrale sur la dernière partie du cycle cultural. o Dispositif de raisonnement des traitements o Désherbage Le désherbage est très généralement basé sur deux interventions systématiques, une troisième pouvant être nécessaire en rattrapage dans certains cas. Les programmes de traitements les plus adaptés seront raisonnés en fonction des observations réalisées dans les parcelles concernées durant la campagne 2015 (traitements de post-levée). Les situations d échecs de désherbage rencontrées au cours de la ou des campagnes précédentes devront constituer, dans la mesure du possible, un élément de raisonnement des choix d herbicides. Tél. : Fax : SIRET :

9 o Pyrale du riz L opportunité d une intervention phytosanitaire sera évaluée en fonction de divers critères (localisation des parcelles, niveau de sensibilité/tolérance des variétés). Dans les cas ou un traitement s avèrera nécessaire, sa réalisation sera calée en fonction de l avertissement diffusé par le Centre Français du Riz qui met en place chaque année un réseau de piégeage permettant de connaitre les dates de vols des papillons de pyrale. d. Programme prévisionnel d'application des traitements par voie aérienne Pour le désherbage, les bilans des surfaces traitées par voie aériennes sur les 6 dernières campagnes mettent en évidence : - une très forte baisse des surfaces traitées après 2011, suite à l entrée en vigueur d une réglementation plus contraignante, ayant eu pour conséquence une évolution vers d autres pratiques là où elles se sont avérées techniquement possibles, - depuis 2012, une stabilité de ces surfaces, qui illustre la nécessité de pouvoir recourir à ce type d intervention sur une partie de la sole rizicole (et en particulier sur les terres sur lesquelles l hydromorphie et/ou la salinité rendent impossible la pratique de rotations culturales). Désherbage du riz : Evolution des surfaces traitées par voie aérienne dans les Bouches-du-Rhône depuis 2009, exprimées en hectares développés (source : Service Régional de l Alimentation-DRAAF PACA) Tél. : Fax : SIRET :

10 Pour la pyrale, l évolution des surfaces apparait très fortmement corrélée au panel variétal mis en culture. Lutte contre la pyrale : Evolution des surfaces traitées par voie aérienne dans les Bouches-du- Rhône depuis 2009, exprimées en hectares développés (source : Service Régional de l Alimentation-DRAAF PACA) Globalement, les surfaces traitées en 2015 par voie aérienne devraient être équivalentes à celles de o Désherbage du riz Les applications concernées sont celles réalisées : en post-levée précoce, (stade 1 feuille du riz, à partir du 25 avril) : CLINCHER NEO, CLINCHER (substance active : cyhalofop-butyl, 200 g/l) et spécialités similaires plus tardivement, stade 2 feuilles du riz, à partir du 5 mai) : BOA (substance active : penoxsulame, 20 g/l) et spécialités similaires o Pyrale du riz La lutte contre ce ravageur concerne au maximum 20 à 25 % des rizières, soit à hectares. Elle est basée sur la réalisation d une application unique, réalisée entre le 20 juillet et le 20 août avec : MIMIC LV (substance active : tebufenozide, 240 g/l) Tél. : Fax : SIRET :

11 e. Localisation, topographie et éléments de description pédologique des zones où sont envisagés les traitements par voie aérienne Les surfaces dédiées à la riziculture en Camargue ( hectares en moyenne sur les dernières campagnes, environ hectares estimés en 2014) se répartissent sur les hectares du territoire de Camargue tel que représenté sur la carte jointe. De manière plus précise, les «îlots» (groupes de parcelles gérées de manière homogène) sur lesquels des traitements aériens peuvent être réalisés ont fait l objet d un enregistrement préalable auprès des Services Régionaux de l Alimentation. A ce jour, 457 îlots sont ainsi enregistrés, représentant une superficie totale de hectares, soit une superficie moyenne de 58 hectares par îlot (données cumulées pour les départements des Bouches-du-Rhône et du Gard) Dans chacun de ces îlots, une bordure non traitable par voie aérienne de 50 mètres est identifiée, laissant ainsi une superficie totale traitable de hectares. D un point de vue topographique, l ensemble de la zone rizicole se trouve sur un territoire au relief très peu marqué (altitude maximale de l ordre de 5 mètres, pente moyenne du Nord vers le Sud inférieure à 0,02 %). Les rizières font en outre régulièrement l objet d un nivellement permettant une gestion optimale de l irrigation Enfin, d un point de vue pédologique, les parties les plus élevées (bourrelets du fleuve, dunes) correspondent à des textures grossières limono-sablonneuses ; dans les parties basses (dépressions), se trouvent des textures fines limono-argileuses à argileuses. Tél. : Fax : SIRET :

12 f. Description des contraintes justifiant le recours à l épandage aérien Compte tenu du mode de conduite spécifique que représente l irrigation par submersion, le premier enjeu des traitements par voie aérienne sur le riz est de rendre possible des traitements, indispensables mais impossibles par voie terrestre en raison de la structure des sols inondés ou saturés d eau (portance en particulier). En Camargue, une partie des travaux est réalisée avec des tracteurs équipés de roues métalliques crantées (voire plus récemment de pneumatiques adaptés), mais leur passage est délicat dans de nombreuses parcelles et demande un investissement matériel élevé. Le second avantage majeur des traitements par voie aérienne en comparaison des traitements par voie terrestre est la rapidité d intervention, ce qui représente un enjeu très important pour diverses raisons : - le cycle du riz en Camargue est calé sur un calendrier cultural serré (zone limite d un point de vue climatique) offrant peu de latitude aux producteurs, - les conditions climatiques particulières (forte occurrence du vent) limitent les fenêtres de traitements potentielles, - la salinité des sols ne permet pas de maintenir de manière prolongée, sans impact sur la culture, des parcelles sans eau en surface à certains stades auxquels des traitements doivent être réalisés, - la culture bénéficie d un panel très limité de solutions phytosanitaires autorisées, rendant très difficile l adaptation des programmes d interventions. g. Demande de réduction du délai d'envoi de la déclaration préalable prévu à l'article 17 La possibilité de bénéficier d une réduction du délai de déclaration préalable, comme le prévoit l arrêté constituerait un élément très positif pour la filière rizicole. En effet, la prévision d une date de traitement 5 jours auparavant peut souvent s avérer délicate, les interventions devant être faites à des stades précis de la culture et dans des conditions de niveaux d eau définies pour chacune des spécialités phytosanitaires (niveaux d eau en particulier). Enfin, l occurrence fréquente du Mistral constitue également un facteur supplémentaire à gérer. Tél. : Fax : SIRET :

13 h. Plan d action et bilan des actions engagées visant à substituer à l épandage aérien des techniques alternatives de lutte En réponse à la demande du Ministère de l Agriculture, un plan d action concernant les traitements aériens avait été élaboré et remis à la DGAL à l issue de la campagne rizicole Outre un rappel du contexte de production et des spécificités de la riziculture rendant difficiles, voire impossibles, les interventions par voie terrestre dans certaines situations, ce document identifiait un certain nombre de priorités pour permettre d évoluer vers une moindre dépendance de la filière vis-à-vis des applications phytosanitaires aériennes : Obtention de nouvelles AMM par reconnaissances mutuelles En riziculture, la faible disponibilité en solutions autorisées sur la culture contribue à rendre difficile la protection phytosanitaire. C est particulièrement le cas pour le désherbage qui, sur une culture au calendrier déjà contraint par la climatologie (températures de début et fin de cycle, forte occurrence du Mistral), est mis en œuvre avec très peu de latitudes possibles ; par conséquent, les plages de traitements optimales sont extrêmement réduites. L obtention d AMM complémentaires (en plus du maintien de celles existantes), en rendant possible la mise en œuvre d une plus grande variété de programmes, avait été identifiée comme devant permettre de limiter le recours aux interventions aériennes, du fait : - d une gestion de l enherbement plus performante permettant une diminution des interventions (moins d interventions de rattrapage nécessaire, moins de ré-infestations sur les cultures suivantes), - d une plus grande latitude dans la réalisation des programmes (calendriers de traitements moins serrés). A ce jour, malgré l évolution de la réglementation entrée en vigueur en juin 2011 (homologations zonales, reconnaissances mutuelles), force est de constater qu il n y a eu aucune évolution favorable, le panel de solutions herbicides autorisées s étant même encore réduit sur les dernières campagnes rizicoles. Tél. : Fax : SIRET :

14 Evolution du nombre de matières actives (ou associations) bénéficiant d une Autorisation de Mise sur le Marché pour le désherbage du riz Remobilisation de l IRSTEA (ex-cemagref) En 2011, le CEMAGREF avait initié des contacts avec la filière riz, dans le cadre d un projet nommé OPTIRIZ, dont l objectif comportait deux axes principaux : améliorer les traitements aériens identifier des alternatives terrestres moins contraignantes que celles existantes. Plusieurs réunions et visites terrains avaient été organisées dans le but d appréhender au mieux la problématique, mais sans permettre d aboutir à des propositions concrètes en matière de solutions alternatives. La filière souhaitait vivement qu une relance du travail engagé en 2011 puisse être envisagée en partenariat et qu elle puisse conduire à court terme à l identification de solutions alternatives aux applications aériennes. Néanmoins, malgré de nouveaux contacts en 2013, ce travail n a pas été remis en œuvre. Tél. : Fax : SIRET :

15 Appui à la mise en place d équipements adaptés ou de techniques alternatives La filière a engagé, avec l appui du CIRAD (Monsieur Gilbert LANNES) depuis maintenant plusieurs années, un travail visant à évaluer les possibilités d adaptation de pneumatiques basse-pression pour la réalisation des interventions dans les rizières en remplacement des «roues-fer» généralement utilisées. Ce changement de pratique nécessite en effet un accompagnement individuel, compte tenu de la spécificité de chaque situation (types de sols, matériel disponible, surface globale de l exploitation). Certaines initiatives individuelles ont ainsi conduit à des investissements pas toujours adaptés aux attentes et espérances initiales. L ensemble de ce travail a bénéficié d un soutien financier renouvelé de FranceAgriMer jusqu en Une réunion de synthèse des travaux réalisés a été organisée en décembre A l issue de la campagne rizicole 2013, on estimait à environ 15 % les surfaces rizicoles conduites avec ce type d équipements, proportion ayant encore légèrement augmenté en Appui à la mise en place de techniques alternatives Sur la thématique de l enherbement, des travaux sont menés par le Centre Français du Riz sur des itinéraires culturaux devant permettre une réduction du recours aux interventions phytosanitaires. Sur la pyrale du riz, pour laquelle les interventions sont réalisées quasi-exclusivement par voie aérienne, l adoption progressive de variétés plus tolérantes à ce ravageur à permis de diviser par 3 en une dizaine d année les surfaces traitées. Des travaux sont en outre menés sur des méthodes de lutte alternative (piégeage massif, confusion sexuelle). Tél. : Fax : SIRET :

16 Tél. : Fax : SIRET :

Désherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole

Désherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Maïs grain irrigué. Synthèse variétale 2014

Maïs grain irrigué. Synthèse variétale 2014 Maïs grain irrigué Synthèse variétale 2014 Les récoltes 2013 comme celles de 2012 se sont faites sur des sols trempés et tardivement. L hiver très doux, très humide, en absence totale de gel n a pas permis

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015

Grandes cultures n 15 du 10 mars 2015 1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)

LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f) LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Trichogrammes. Les. dans le maïs sucré. Lutte contre la pyrale du maïs

Trichogrammes. Les. dans le maïs sucré. Lutte contre la pyrale du maïs Les Trichogrammes dans le maïs sucré Lutte contre la pyrale du maïs hristine Jean iologiste-entomologiste hargée de projet Para-io Saint-ugustin-de-Desmaures (Québec) Remerciements Para-io et l auteure

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013

Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de

Plus en détail

http://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures

http://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés

Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés Annexe 2: Région des Savanes Caractéristiques et bas fonds identifiés La mise en valeur des bas fonds en saison des pluies est intense et est l œuvre des femmes qui y pratiquent essentiellement la culture

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06.

FICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06. FICHE TECHNIQUE Méligèthe du colza Introduction L huile de colza bio est recherchée, mais la culture de colza bio est très exigeante. En particulier, le méligèthe du colza peut provoquer de fortes pertes

Plus en détail

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation

Plus en détail

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du

Plus en détail

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption

Plus en détail

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté

BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille

Plus en détail

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires

CHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine

Plus en détail

Le Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles

Le Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles P r o g r a m m e L i f e E n v i r o n n e m e n t 2 0 0 4-2 0 0 7 Le Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles 02 l e s a g r i c o q u e s L e T a i l l i s d e s

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

ANNEXE 6 LES SYSTEMES DE RIZICULTURE DE BAS FONDS

ANNEXE 6 LES SYSTEMES DE RIZICULTURE DE BAS FONDS ANNEXE 6 LES SYSTEMES DE RIZICULTURE DE BAS FONDS 1. L ITINERAIRE TECHNIQUE Le choix de la parcelle de bas-fonds Les bas-fonds sont des milieux moins étendus que les versants et une famille a en général

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!

Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion

Plus en détail

Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?

Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? 11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

Pesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation

Pesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation Pesticides agricoles Moins et Mieux Cahier spécifique Cahier d auto- évaluation Maïs sucré 1 re ÉDITION (2004) : Coordination et réalisation : Marie-Hélène April Raymond-Marie Duchesne Stratégie phytosanitaire

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, les premières larves sont visibles dans les tiges, l Héliothis est toujours présent. Betteraves sucrières

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL

BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL MIDI-PYRENEES Grandes Cultures - n 36 09 juillet 2015 Sésamie : Pic de vol de deuxième génération prévu du 18 au 25 juillet des secteurs les plus chauds aux plus froids de

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur

Plus en détail

ExPost. Aménagements de bas-fonds. septembre 2007. Division Évaluation et capitalisation Série Note de Synthèse

ExPost. Aménagements de bas-fonds. septembre 2007. Division Évaluation et capitalisation Série Note de Synthèse Division Évaluation et capitalisation Série Note de Synthèse n 02 septembre 2007 expost ExPost Aménagements de bas-fonds en Guinée forestière ExPost est une note de synthèse qui présente sur un thème ou

Plus en détail

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006 AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis

Plus en détail

4. Notice d utilisation

4. Notice d utilisation Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action

Plus en détail

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

Formulaire d'adhésion PEFC

Formulaire d'adhésion PEFC Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT

IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT D ODIENNE (CECO) PRESENTATION DE MONSIEUR TOURE GAOUSSOU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CAISSE D EPARGNE

Plus en détail

Ce qu'il faut retenir

Ce qu'il faut retenir N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr

Plus en détail

Note expresse www.iedom.fr

Note expresse www.iedom.fr La filière rizicole de Guyane : évolution et perspectives NUMERO 42 SEPTEMBRE 27 La Guyane est le seul département d outre-mer à cultiver le riz. En 26, la production guyanaise de riz représentait 16 %

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014

AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

Fiche Technique. Septembre 2008. Production, à retenir...

Fiche Technique. Septembre 2008. Production, à retenir... Fiche Technique Filière ou production nouvelle en Languedoc-Roussillon Septembre 2008 Taillis à Courte et Très Courte Rotation Filière Bioénergies Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture

Plus en détail

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013

Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, mais les premières larves sont visibles dans les tiges, peu d Héliothis cette semaine. Betteraves sucrières

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

L A T O U R D E P E I L Z Municipalité

L A T O U R D E P E I L Z Municipalité V I L L E D E L A T O U R D E P E I L Z Municipalité PRÉAVIS MUNICIPAL No 25/2012 le 12 décembre 2012 Concerne : Demande d'un crédit de construction de 270'000.-- pour le remplacement des couches horticoles

Plus en détail

APPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE. Programme Opérationnel FEDER 2014 2020

APPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE. Programme Opérationnel FEDER 2014 2020 APPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE Programme Opérationnel FEDER 2014 2020 Axe 3 «conduire la transition énergétique en Région Nord Pas de Calais» Investissement Prioritaire 4e «en

Plus en détail

Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy»

Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Sécurité alimentaire et Changement climatique : l Indianocéanie

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES

NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES NOTICE D INFORMATION À L ATTENTION DES BÉNÉFICIAIRES POTENTIELS DE LA PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES Cette notice présente les principaux points de la réglementation. Lisez-la avant de remplir la demande.

Plus en détail

Rapport d activités 2012

Rapport d activités 2012 République de Guinée-Bissau MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE Projet d Appui à la Sécurité Alimentaire (PASA) Composant II : Aménagements hydroagricoles (CAHA) Rapport d activités 2012 Élaboré

Plus en détail

2. Les auxiliaires de culture

2. Les auxiliaires de culture III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

Bilan Carbone des interventions viticoles

Bilan Carbone des interventions viticoles Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr

Plus en détail

Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest

Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE

FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE Maïs FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013 La plante Le maïs est cultivé pour : - le grain, qui est intéressant notamment pour son apport énergétique dans la ration biologique des animaux mono

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

Info.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE

Info.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE Info.pl@ine N 453 20 février 203 5 pages CEREALES BLE Priorité au désherbage STRATEGIE AGRONOMIQUE Les conditions météo idéales sont une forte hygrométrie, des températures dces et un sol suffisamment

Plus en détail

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages

Plus en détail

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

Une gamme d outils qui s étoffe

Une gamme d outils qui s étoffe Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

L assurance récoltes en France

L assurance récoltes en France P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil

Plus en détail

Synthèse Mon projet d emploi

Synthèse Mon projet d emploi Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences

Plus en détail

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o

Plus en détail

Vers de la grappe Eudémis (Lobesia botrana) Vers de la grappe Cochylis (Eupoecilia ambiguella)

Vers de la grappe Eudémis (Lobesia botrana) Vers de la grappe Cochylis (Eupoecilia ambiguella) LE GUIDE VITI D Principaux ravageurs: INSECTES Vers de la grappe Eudémis (Lobesia botrana) Symptômes Les chenilles pénètrent dans les boutons floraux, puis confectionnent un glomérule ou nid (plusieurs

Plus en détail

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013

CONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin

Plus en détail

LA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES?

LA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES? LA PRODUCTION DE MES VIGNES EST-ELLE COUVERTE EN CAS D INTEMPERIES? Il existe plusieurs dispositifs publics et privés pour indemniser voire réduire l impact financier d un aléa climatique qui détruit en

Plus en détail