A 2. Milieux aquatiques et assainissement PRESERVER LA BIODIVERSITE ET LES RESSOURCES NATURELLES
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- Pascal St-Hilaire
- il y a 8 ans
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1 A 2 PRESERVER LA BIODIVERSITE ET LES RESSOURCES NATURELLES Milieux aquatiques et assainissement Si le plateau de Vélizy-Villacoublay ne présente aucun cours d eau, ni aucune réserve d eau naturelle, ses coteaux boisés abritent toutefois des zones humides sensibles qui présentent des enjeux de conservation. Le transport des eaux usées domestiques et pluviales du plateau vers la plaine se doit donc de préserver ces espaces naturels, source de biodiversité et d usages récréatifs. A ce titre, la Ville doit veiller au bon fonctionnement de son réseau d assainissement, comme tenter de limiter, à la source, la quantité de ses rejets liquides vers les milieux naturels. 1. L eau sur le territoire : une présence localisée, des écoulements largement artificialisés Ouvert sur la vallée de la Bièvre et de la Seine, le plateau de Vélizy est dépourvu de drainage naturel. Sur le territoire, ce sont trois étangs situés en forêt domaniale de Meudon qui assurent l essentiel de la collecte des eaux naturelles. Une absence de cours d eau sur le plateau Situé à une altitude moyenne de 175 m, Vélizy-Villacoublay est adossée à un vaste plateau délimité par des coteaux boisés relativement pentus qui descendent au Nord vers Chaville-Viroflay et au Sud vers la vallée de la Bièvres. Majoritairement aménagé à partir des années 1960, cet espace qui avait autrefois une vocation de culture betteravière et céréalière, ne possède pas de réseau de drainage naturel, et est aujourd hui largement imperméabilisé pour ce qui est de sa partie «Vélizy». Des ressources souterraines peu sensibles Sur le territoire, les masses d eau souterraines sont relativement profondes environ 20 m et non exploitées pour la consommation humaine. L imperméabilisation du plateau et la présence d argiles, peu perméables, dans les sols, limitent le risque d infiltration des polluants de surface. Néanmoins, la 21
2 rétention d eau dans la tranche superficielle des sols peut poser localement des problèmes de ruissellement ou générer des accumulations d eau stagnante. Des bassins versants qui débouchent sur des espaces sensibles En l absence de cours d eau, ce sont donc les collecteurs artificiels du réseau d assainissement qui «drainent» les eaux du plateau au travers des 2 bassins versants naturels. La ligne de «partage» des eaux divise le territoire sur un axe Est-Ouest, qui passe par la rue de Bretagne, l avenue de Picardie, l avenue Breguet et se qui poursuit le long de l A86. Au Sud de cette ligne, les eaux sont dirigées vers la partie amont de la Bièvre, un secteur où le cours d eau est naturel et où d importants efforts de restauration et de préservation de la qualité des eaux ont été menés ces dernières années, avec succès. Au Nord, les eaux s écoulent vers le ru de Marivel à Viroflay, en passant par la forêt domaniale de Meudon. Ce ru est aujourd hui entièrement couvert et transformé en égout. LE RESEAU DES ZONES HUMIDES DE LA FORET DE MEUDON SUR VELIZY Source : geoportail.fr Les zones humides de la forêt de Meudon : des réserves d eau et de biodiversité La forêt domaniale de Meudon accueille sur le territoire de Vélizy- Villacoublay trois étangs ou assimilés : celui des Ecrevisses, du Trou aux Gants et de l Ursine. Bien que sous forte influence anthropique, ces zones humides, situées à l intérieur ou à l interface du massif forestier, constituent des réservoirs de biodiversité importants. La présence d habitats variés offre notamment de multiples niches écologiques à la faune, notamment pour les batraciens. L étang d Ursine, un enjeu écologique important Avec ses 1,66 ha, l étang d Ursine est une zone humide périurbaine très appréciée pour ses usages récréatifs. Ce réservoir a présenté un enjeu piscicole que révélait la présence d une association agréée de la pêche et de la protection du milieu aquatique. La disparition, en 2008, de cette association semble avoir conduit à interdire la pèche dans les étangs depuis le 1 er janvier Des espaces paysagers à préserver Autrefois classés en espaces boisés (EBC) à protéger (une protection stricte qui interdit tout défrichement) les 3 étangs sont depuis le PLU de 2007 classés en tant qu espace paysager à préserver. Si la constructibilité de ces espaces demeure impossible, cette protection est toutefois plus souple que l EBC, permettant par exemple, le passage de chemins de promenade. Bordés sur 3 côtés de zones pavillonnaires et à l Est par une parcelle forestière dont il est séparé par la rue Morte Bouteille, cet étang est longé à l Ouest par la rue Paul Doumer, au Nord, par la rue de la Fontaine. Son écologie est donc soumise à des pressions environnementales fortes : effets de coupure, ruissellement de polluant, etc. 22
3 Au printemps 2001, un inventaire scientifique a été réalisé par le Muséum d Histoire Naturelle, l association de protection de l environnement vélizienne, Ursine Nature et l ONF de Versailles. Cette étude a identifié le patrimoine naturel du site, notamment près de crapauds communs et grenouilles rousses, une densité de population très rare. Deux espèces pour lesquelles le risque de disparition en France est faible d après la Liste rouge des reptiles et amphibiens de métropole publiée en Mars 2008 par l UICN, mais qui représentent un bon bio-indicateur de la qualité des eaux. Les observations de terrain d Ursine Nature, qui réalise des comptages à l occasion des migrations vers la forêt, remarquaient ces dernières années des difficultés de reproduction pour ces espèces. Ceci est à apprécier au regard des analyses de la qualité des eaux menées en octobre 2008, qui ont révélées des niveaux non conformes pour ce qui est des matières organiques, azotées et phosphorées. Le stockage de matières organiques, dont la décomposition asphyxie les eaux, rend la qualité générale de l étang d Ursine médiocre, ce qui laisse présager certains dysfonctionnements des systèmes d assainissement. L étang de l Ursine, un enjeu de conservation pour les batraciens Les batraciens gagnent les étangs durant la période de reproduction, le reste de l'année, ils se réfugient dans les bois. Pour permettre cette migration entre l étang de l Ursine et la forêt de Meudon, la circulation automobile est interrompue sur la rue morte bouteille lors de la migration nocturne des batraciens vers l étang en Mars, quelques jours pleins en Juin afin de ne pas perturber le mouvement inverse. D après la prospection batrachologique réalisée en 2007, la situation semble préoccupante avec une forte diminution d espèces présentes sur l ensemble des sites de reproduction. REHABILITATION DES BERGES DE L URSINE La réhabilitation des berges menée par l ONF en 2008, qui consistait à revégétaliser les linéaires dégradés, environ 250 m à l Ouest, devrait participer à renforcer l habitat des amphibiens et la capacité d autoépuration de l eau, en faisant écran à certaines pollutions, tout en diminuant le piétinement et l érosion des berges. L Etang du Trou aux Gants, un déversoir d orage à «renaturer» Considéré comme un étang par l ONF, ce réservoir de 1,8 ha est localisé au Sud du bois de Meudon, en limite d urbanisation de Vélizy Village et de la RD 53, ce qui le rend particulièrement sensible aux rejets d hydrocarbures, de produits phytosanitaires utilisés par les services de la voirie ou les particuliers, etc. Longé à l est par le chemin de grande randonnée patrimonial (GRP Ceinture verte de l Ile de France), cette retenue est utilisée en tant que déversoir d orages par une convention signée entre la Ville et l ONF. En conséquence, cet étang ne présente pas d intérêt piscicole et la vie biologique y est globalement très limitée (aucun amphibien en 2001). Si les berges sont dégradées et présentent localement des indices de pollution, elles abritent toutefois des formations de saules favorables à l avifaune, et qu il convient de préserver. 23 L ETANG DU TROU AU GANT, RIVE OUEST
4 L étang des Ecrevisses Au milieu du XX e siècle, cet étang a été remis en état par l Administration des Eaux et Forêt et «réempoissonné». Si la pêche y est aujourd hui interdite, sa localisation en lisière de forêt en fait une zone récréative à fort potentiel. La végétation des berges est mince et discontinue, ce qui ne favorise pas la protection des eaux vis-à-vis des déchets de la voirie. Contrairement à 2005, la prospection batrachologique de 2007 n a trouvé la trace d aucune espèce. 2. Un assainissement à accorder aux objectifs du SDAGE Les objectifs du Schéma Directeur d Aménagement et Gestion des Eaux (SDAGE) du bassin Seine Normandie, qui s imposent à la Ville, commandent de préserver les zones humides. Si le réseau d assainissement mis en place sur le versant «Bièvre» s inscrit dans cette démarche, les dysfonctionnements observés sur le versant du ru de Marivel ne permettent pas toujours de traiter correctement les eaux avant rejet dans le milieu naturel. Un règlement d assainissement strict sur les eaux industrielles, permissif sur la qualité des eaux pluviales Le règlement d assainissement de Vélizy, adossé au PLU au niveau des annexes sanitaires, définit les conditions et modalités auxquelles est soumis le déversement des différentes eaux (voir encadré) dans le réseau d assainissement de la Ville. Pour ce qui est des rejets d eaux industrielles, le règlement d urbanisme de la Ville impose aux entreprises souhaitant se raccorder au réseau public de passer une convention de déversement afin de fixer des seuils de pollution admissibles et les installations de prétraitement requises. Le suivi de ces conventions dans le temps est une dimension de l assainissement dans laquelle la Ville semble encore posséder une marge de progression. Concernant les eaux pluviales, le règlement précise que celles-ci peuvent être rejetées dans le milieu naturel sans épuration préalable, sous réserve qu il n en résulte aucun préjudice pour celui-ci. Si la commune peut imposer la construction de dispositifs de prétraitement tels que des dessableurs ou déshuileurs, leur non obligation de principe est susceptible de générer localement des transferts d eaux, mal ou peu traitées, dans les milieux naturels. L ETANG DES ECREVISSE LA GESTION DE L EAU EN FRANCE La France est découpée en six grands bassins hydrographiques correspondant au réseau de collecte des grands fleuves et de leurs affluents. Chacun d entre eux dispose d un document stratégique qui fournit les orientations fondamentales d'une gestion équilibrée de l eau et fixe les objectifs à atteindre : le SDAGE. Quelles eaux? Les eaux usées domestiques comprennent les eaux ménagères (lessive, cuisine, douches) et les eaux vannes (urine et matières fécales). Les eaux industrielles, regroupent tous les rejets correspondants à une utilisation de l eau autre que domestique. Les eaux pluviales sont celles qui proviennent des précipitations atmosphériques, ainsi que de l arrosage, du lavage des voies publiques et privées, des jardins et des cours d immeubles, ainsi que les eaux issues des pompes à chaleur. Lorsque toutes ces eaux se retrouvent mélangées dans une même conduite, on parle de réseau d assainissement unitaire. Lorsque la collecte des eaux pluviales est séparée des deux premières, on parle de réseau séparatif. 24
5 Une collecte des eaux usées domestiques qui diffère selon les versants Les eaux usées domestiques des quartiers Mozart, Provinces, de la pointe Ouest et de l aéroport militaire sont collectées par le réseau séparatif du Syndicat Intercommunal d'assainissement de la Vallée de la Bièvre (SIAVB), avant d être acheminées à la station d épuration de Valenton. Pour ce qui est des eaux des quartiers pavillonnaires, de l essentiel de l habitat collectif et de la zone d emploi, celles-ci sont acheminées vers le réseau unitaire du Syndicat de Intercommunal d'assainissement de la Vallée du Ru de Marivel (SIAVRM) avant d être traitées au niveau de la station d épuration d Achères. Une collecte des eaux pluviales à améliorer Au final, seules les eaux pluviales des quartiers Mozart, Provinces, pointe Ouest et de l aéroport militaire sont traitées séparément avant d être reversées après traitement dans la Bièvre. Du séparatif repris dans de l unitaire A l exception des quartiers pavillonnaires où le réseau est tout unitaire, les eaux pluviales collectées au Nord-ouest de l A86 sont collectées intra-muros par un réseau séparatif, mais celui-ci débouche en dehors de la ville sur le réseau de transport unitaire du SIAVRM. Cette situation, paradoxale, entraîne parfois la saturation de ce réseau et conduit en cas de très fortes précipitations au débordement des ouvrages de rétention, voire l éclatement de conduites de transport, notamment le long de la RD 53. Les polluants peuvent alors directement s épandre dans le milieu naturel. Un PLU qui vise au tout séparatif A ce jour, le règlement d urbanisme de l ensemble des zones urbaines prévoit que toute nouvelle construction recueille et achemine les eaux pluviale séparément jusqu au réseau public, même si celui-ci est unitaire. Il s agit pour la Ville d anticiper la mise en place, à terme, d un réseau séparatif aval sur le territoire du SIAVRM, comme de pouvoir diminuer la charge hydraulique de certaines des conduites unitaires situées à proximité de la RD53. RESEAU DE COLLECTE DES EAUX PLUVIALES Source : ETIK-PRESSE, d après plan du réseau d assainissement de Vélizy- Villacoublay, Veolia LES APPORTS D EAU VERS L URSINE C est pourquoi la Ville a entrepris la construction d un bassin de retenue enterré au niveau du carrefour du Jumelage. Ce nouveau dispositif d une capacité tampon de m 3 est dimensionné de façon à s adapter à un niveau de pluie dont la fréquence de retour est estimée à 20 ans. Mieux traiter les eaux pluviales qui se déversent dans le milieu naturel Bien que le réseau d assainissement soit séparatif en amont de l Ursine, des arrivées d eaux polluées dans l étang ont été répertoriées ces dernières années ; du fait notamment du branchement de certains exutoires de caves, parking, etc., situés rue Paul Doumer et dont les eaux de ruissellement débouchent 25
6 dans le collecteur pluvial chargées d hydrocarbures, de produits phytosanitaires, etc. Equipés de dispositifs de traitement adaptés, les exutoires du réseau pluvial qui se déversent dans l Ursine et le Trou au Gants permettraient d éviter que les pollutions, chroniques ou accidentelles, ne puissent être rejetées sans traitement dans ces étangs. Le problème du ruissellement des eaux d orage Le trop plein des eaux de ruissellement de la partie Nord-Est de la ville, qui comprend la zone d activités et les quartiers d habitat collectif, est dirigé vers l Etang du Trou au Gants, qui sert donc de déversoir d orage. Compte tenu de l importance des surfaces lessivées par ces eaux, les polluants collectés sont importants et leur traitement insuffisant (voir encadré). Si la dégradation de la qualité des eaux du Trou au Gants est sévère, elle s avère d autant plus préjudiciable que le trop plein de cet étang s évacue vers l étang d Ursine, via un ru d alimentation qui traverse la forêt et une zone de ruissellement urbaine. TRAITER LES CAUSES PLUS QUE LES EFFETS En 2003 la ville a entrepris une opération de curage du Trou au Gants. A cette occasion, plusieurs millier de m3 de boues toxiques ont été retirés de l étang, et prétraitées sur place. Cette opération très couteuse n a pas réduit pour autant les causes de pollutions, la retenue étant alimentée par trois collecteurs sous-dimensionnés et seulement équipés de dessableurs. Maîtriser les ruissellements pour préserver des zones humides, un objectif du SDAGE à satisfaire Parmi les orientations du SDAGE Seine Normandie qui s imposent à la Ville, les plus significatives concernent la réduction, la maîtrise et le traitement du ruissellement en zone urbaine, afin de limiter les transferts de pollutions par temps de pluie, et ainsi assurer le maintien du patrimoine biologique des zones humides. Le réseau des zones humides situées en cœur de forêt constitue une maille écologique importante, source de nombreux habitats et de ressources alimentaires. Il importe donc de préserver, voire de «renaturer» ces zones, afin qu elles puissent servir de refuge en cas de pollutions accidentelles (notamment en protégeant leurs berges et les eaux des sources contre les pollutions que peuvent entrainer les activités forestières et les différents écoulements). L usage de l étang du Trou aux Gants comme déversoir des eaux des orages, notamment de la zone d emploi, est une solution, qui, en l état, apparaît donc comme contraire aux objectifs du SDAGE. Améliorer les rejets en milieu naturel et protéger les zones humides de la forêt de Meudon implique donc : soit de pouvoir reprendre les eaux d orages de la zone économique vers des réseaux d eaux pluviales équipés en conséquence ; soit de traiter véritablement les eaux de ruissellement dans des conditions adaptées à un reversement dans le milieu naturel. 26 LES APPORTS D EAU VERS LE TROU AUX GANTS
7 Sur ce dernier point, il est possible d imaginer réaliser un ouvrage de dépollution des eaux à l arrivée du ru d alimentation dans l étang d Ursine, comme de réhabiliter les ouvrages de prétraitement situés en amont du Trou au Gants. Un nouveau règlement d urbanisme qui favorise les solutions à la source L augmentation de la population envisagée par la Ville dans son nouveau programme de logements, habitants à l horizon d une quinzaine d années, implique une densification de l espace urbain et donc probablement une hausse des surfaces imperméabilisées et donc des sources de ruissellements. Afin de ne pas saturer les réseaux pluviaux et ainsi augmenter les transferts de pollution, la problématique des eaux de ruissellement se doit d être envisagée en amont, au niveau du règlement du document d urbanisme de la ville, en favorisant une politique globale de rétention à la parcelle. Le règlement d urbanisme approuvé en 2007 va précisément dans ce sens, en indiquant que les constructions peuvent favoriser l utilisation sur la parcelle des eaux de pluie, notamment en facilitant l infiltration naturelle (voir encadré), ou le stockage avant leur utilisation non polluante sur la parcelle, ou leur acheminement au réseau public. Favoriser l infiltration naturelle en jouant sur les espaces verts La dernière modification du PLU a précisé dans son article 13 les obligations en termes d espace vert. Dans les zones d habitat collectif les espaces verts de pleine terre doivent ainsi représenter au moins 20 % de la surface de la parcelle. Ce chiffre est porté à 30% dans les espaces pavillonnaires, ce qui favorise l infiltration naturelle des eaux de pluie. Partage. Les membres du Forum 21, réunis en ateliers, ont souligné les enjeux suivants : Un nécessaire approfondissement des connaissances des réseaux d assainissement! Une connaissance des réseaux d assainissement limitée notamment sur la nature et l origine des eaux parasites ; Une rénovation des réseaux usagés! Une dégradation du collecteur d eaux pluviales T130 qui traverse l A86 à hauteur de l échangeur Ouest de Vélizy-Villacoublay ;! Des bassins de collecte des eaux pluviales qui ne permettent pas de traiter l eau ; Un besoin de perfectionnement des systèmes de récupération des eaux pluviales! Une opportunité : réaménager les zones humides de la forêt afin de collecter les eaux pluviales ;! Un atout : l exemplarité des nouveaux bâtiments municipaux chargés de récupérer et de faire usage des eaux pluviales. 27
8 Forces Faiblesses - Un réseau de zones humides situé au cœur d un vaste espace boisé, source de biodiversité - Un traitement tout séparatif des eaux usées côté bassin versant de la Bièvre - Un règlement du PLU qui vise à favoriser la rétention des eaux pluviales à la parcelle Opportunités - La convention passée entre la Ville et l ONF, qui prévoit à l horizon , la réhabilitation des ouvrages de traitement des eaux d orage situés en amont du Trou au Gants. - Améliorer l étanchéité et le traitement à l exutoire du réseau pluvial qui s écoule vers l Etang de l Ursine. Enjeux - Un traitement unitaire des eaux usées côté bassin versant du ru de Marivel - Un règlement d assainissement permissif sur l assainissement pluvial, qui favorise des rejets peu traités en milieu naturel - des ruissellements d origine urbaine qui dégradent la qualité des eaux de la forêt domaniale de Meudon et entrainent un mauvais état de conservation des boisements et des zones humides Menaces - La mise en place progressive d un réseau séparatif en aval de Vélizy. - Une augmentation des ruissellements proportionnelle à la densification de la ville. 28
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