P2 Méthodologie. P3 Vue d ensemble. P4 Résultats globaux. P7 Résultats par indicateur. P13 Tableau synthétique de l évolution des indices
|
|
- Ségolène Martineau
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 P2 Méthodologie P3 Vue d ensemble P4 Résultats globaux P7 Résultats par indicateur P13 Tableau synthétique de l évolution des indices
2 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Le Baromètre de conjoncture Alsace, mis en place par la CCI de Région Alsace en 211, a pour objectif de collecter, deux fois par an, l opinion des chefs d entreprises alsaciens sur la conjoncture économique. Cette enquête, dont les résultats sont repris dans le présent document, a été réalisée par téléphone du 3 au 11 juillet 217. Elle recense l opinion de 1 16 chefs d entreprises alsaciens. Ces derniers assurent une très bonne représentativité selon le secteur d activité, la taille de l établissement et la circonscription. La base de référence est l Annuaire des Entreprises d Alsace, c est-à-dire l ensemble des établissements inscrits au Registre du Commerce et des Sociétés, ressortissants des CCI, au mois de juin 217, soit établissements. Répartition par secteur d'activité Répondants enquête Total Alsace Répartition par tranche d'effectif Répondants enquête Total Alsace 38% 38% 44% 44% 91% 91% 8% 8% % % 7% 7% 2% 2% Industrie Construction Commerce Services Moins de salariés à 49 salariés 5 salariés et plus Les analyses issues de cette enquête sont donc à considérer, par extrapolation, pour l ensemble des établissements alsaciens répondant aux critères mentionnés précédemment. Ces renseignements ne prétendent pas se substituer aux indicateurs macro-économiques mais permettent de savoir si, d après le plus grand nombre de chefs d entreprises interrogés, il y a eu amélioration, stabilité ou dégradation de la situation au cours de la période étudiée. Les indices sont exprimés sous forme de soldes représentant la différence entre le pourcentage de réponses indiquant une amélioration et celui indiquant une détérioration. Répartition par circonscription des CCI 62% 62% Strasbourg / Bas-Rhin Répondants enquête Total Alsace 16% 16% Colmar / Centre-Alsace 22% 22% Mulhouse / Sud Alsace N 12 Août
3 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Au 1 er semestre 217, la situation des entreprises alsaciennes semble s améliorer. Nombreux sont les dirigeants qui ont déclaré une stabilité de leur situation ce semestre, aussi bien en termes de chiffre d affaires (56 %), d investissements (69 %) ou même d effectifs (78 %). Néanmoins, tous les indices (soldes des avis à la hausse - avis à la baisse) évoluent favorablement sur les six derniers mois : si cette remontée est relativement timide en ce qui concerne le chiffre d affaires, la rentabilité et les effectifs (respectivement + 2 points), elle est davantage marquée au niveau du carnet de commandes (+ 5 points), de la trésorerie (+ 6 points) et des investissements (+ 8 points). Quant au taux de satisfaction, il s est stabilisé en ce début d année (38 %), et désormais les chefs d entreprises sont plus nombreux à estimer que leur situation est moyenne (43 %, soit + 5 points). Par ailleurs, notons que les améliorations enregistrées ce semestre sont conformes aux prévisions annoncées en janvier dernier en termes d activité et d emploi, voire légèrement en deçà des attentes pour les finances. Pour les six prochains mois, les dirigeants sont particulièrement confiants : près de la moitié d entre eux déclare que leur environnement professionnel évoluera favorablement (45 %). Quant aux indices prévisionnels, tous les voyants sont au vert. Une amélioration globale de la situation des entreprises alsaciennes est annoncée, illustrée par des indices unanimement positifs. Baromètre des tendances actuelles et prévisionnelles à 6 mois des entreprises alsaciennes (Solde des avis à la hausse - avis à la baisse) 3 2 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs N 12 Août
4 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Début 217, un tiers des chefs d entreprises alsaciens est satisfait de la situation de son entreprise (38 %). Cette proportion s est stabilisée ce semestre. En revanche, la part des dirigeants trouvant leur situation «fragile» a diminué (19 %, soit - 6 points), au profit d une situation davantage jugée «moyenne» (43 %, soit + 5 points). Ainsi, on observe une baisse de l insatisfaction des chefs d entreprises pour tous les indicateurs. Les investissements, la trésorerie et le carnet de commandes sont plus souvent perçus comme «normaux» (respectivement + 2 points, + 5 points et + 4 points). Situation des entreprises alsaciennes au 1 er semestre 217 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité 23% 43% 39% 39% 47% Satisfaisant / bon Moyen / normal Faible / fragile 5% 4% 43% 44% 37% 27% 16% 17% 17% 17% Parallèlement, le chiffre d affaires et la rentabilité ont gagné quelques points de satisfaction auprès des dirigeants alsaciens (respectivement + 2 points et + 3 points). Les améliorations prévues se sont-elles réalisées? (avis à la hausse) Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie 23% 22% 22% 21% 16% 11% 16% 14% Globalement, les prévisions énoncées au semestre dernier se sont concrétisées en termes d activité et d emploi. En matière de rentabilité et de trésorerie, la réalité est à peine en deçà des anticipations des chefs d entreprises. En revanche, les prévisions se sont avérées un peu trop optimistes en ce qui concerne les investissements : les dirigeants sont, en proportion, moins nombreux à déclarer un accroissement qu ils ne l avaient prévu en janvier dernier (respectivement 11 % contre 16 %). Rentabilité 16% 14% Effectifs 11% % Constat Constat au 1 er semestre 217 Hausse Baisse 22% 21% 21% 2% 21% 2% Hormis le chiffre d affaires et le carnet de commandes, les proportions d avis à la hausse sont une nouvelle fois inférieures à celles d avis à la baisse pour tous les indicateurs. 11% 18% 14% 14% 12% % Par conséquent, les soldes d opinions relatifs aux finances et à l emploi sont négatifs au 1 er semestre 217, tandis que ceux concernant l activité sont positifs. Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs N 12 Août
5 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Si la majorité des dirigeants alsaciens déclare une stabilité de leurs indicateurs (56 % pour le chiffre d affaires, 59 % pour le carnet de commandes), une légère amélioration de l activité est toutefois observable. En termes de chiffre d affaires, 22 % des chefs d entreprises annoncent un accroissement (- 3 points ce semestre), tandis qu ils sont 21 % à observer un repli (- 6 points). Par conséquent, l indice d évolution devient positif (+ 1), affichant ainsi une timide reprise (+ 2 points), comme en témoigne la courbe d évolution. Cela encourage les dirigeants qui annoncent une nette croissance dès le semestre prochain (+ 21). Evolution du niveau d'activité Chiffre d'affaires Carnet de commandes Sur la même lancée, le carnet de commandes inverse la tendance du semestre dernier, l indice d évolution devenant cette fois positif (+ 1, soit + 5 points). La courbe devrait prolonger son ascension sur les six mois à venir (+ 8 en prévisionnel) Au cours des six derniers mois, un quart des répondants a réalisé des investissements (26 %). Si cette proportion est inférieure à celle du semestre précédent (- 6 points), elle est presque conforme aux prévisions annoncées (24 %). Près de sept dirigeants sur dix affirment que le niveau de leurs investissements est stable au 1 er semestre 217 (69 %, soit + 19 points). Ils sont 11 % à observer une hausse de l indicateur, et 21 % une baisse. L indice reste donc négatif mais progresse et retrouve un niveau atteint il y a tout juste un an (-, soit + 8 points). Pour le 2 ème semestre 217, un chef d entreprise sur cinq prévoit d investir (2 %). L indice prévisionnel, quant à lui, devrait nettement remonter, devenant même positif (+ 3). Evolution de la situation financière 3 2 Investissements Trésorerie Rentabilité Ce semestre, deux tiers des chefs d entreprises estiment que leurs finances se sont stabilisées (respectivement 66 % pour la rentabilité, 69 % pour la trésorerie). Toutefois, 2 % des dirigeants annoncent une baisse de leur rentabilité, tandis que 14 % observent un accroissement. Négatif, l indice remonte légèrement (- 6, soit + 2 points) Evaluée dans les mêmes proportions (18 % de baisse, 14 % de hausse), la trésorerie connaît, elle, une amélioration certaine : toujours négatif, l indice connait un repli moins fort qu au semestre dernier (- 4, soit + 6 points). D après les prévisions, les six prochains mois tablent sur une nette amélioration de ces deux indicateurs, à savoir + 17 pour la trésorerie et + 16 pour la rentabilité. N 12 Août
6 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Au 1 er semestre 217, les effectifs salariés restent stables pour 78 % des entreprises alsaciennes. Cette proportion est en hausse de 7 points par rapport à la fin d année 216. Par conséquent, les dirigeants sont moins nombreux ce semestre à déclarer un mouvement de leurs effectifs. Toutefois, il s agit plus souvent d une baisse (12 %) que d une augmentation (11 %), ce qui explique un indice négatif mais en légère amélioration (- 1, soit + 2 points). Evolution des effectifs Effectifs Pour les six prochains mois, les chefs d entreprises prévoient une remontée de l indice, qui redeviendrait positif (+ 8). -3 Comme souvent, les prévisions des chefs d entreprises révèlent une amélioration générale des indices pour le prochain semestre : ils redeviendraient tous positifs, sans exception, le chiffre d affaires en tête (+ 22). Ces résultats s expliquent notamment par des pourcentages «d avis à la baisse» nettement moins importants que ceux constatés ce semestre. pour le 2 ème semestre % 15% 15% 12% 25% Hausse 24% Baisse 14% 9% 6% 8% 8% 6% Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs Evolution de l'environnement de l'entreprise au 2 ème semestre 217 Ni défavorable ni favorable 47% Défavorable 8% Favorable 45% Pour le 2 ème semestre 217, 45 % des chefs d entreprises alsaciens estiment que leur environnement professionnel évoluera favorablement. Cette opinion est nettement plus répandue qu au semestre précédent (+ 16 points). Si la majorité des dirigeants continuent de tabler sur une stabilité de leur cadre de travail (47 %, soit - 7 points), ils sont moins nombreux à craindre une évolution défavorable de l environnement de leur entreprise (8 %, - 9 points). N 12 Août
7 Constat 1 er semestre ème semestre 217 D après les chefs d entreprises de la région, l état du chiffre d affaires s améliore légèrement, comme en témoigne la timide hausse du solde d opinions qui devient cette fois positif au 1 er semestre 217 (+ 1, soit + 2 points). Au 1 er semestre 217, la satisfaction des chefs d entreprises quant à leur chiffre d affaires est en progression dans tous les secteurs d activité, et plus particulièrement encore dans la construction et les services où un dirigeant sur deux en est satisfait (respectivement 5 %, soit + 4 points, et 52 %, soit + 2 points). Les améliorations en termes de chiffres d affaires sont en deçà des prévisions dans les services (- 4 points), conformes aux anticipations dans le commerce (+ 1 point), mais dépassent les espérances des chefs d entreprises dans l industrie et la construction (respectivement + 3 points et + 4 points). Evolution du chiffre d'affaires par secteur d'activité 3 2 Industrie Construction Commerce Services Ce semestre, les indices d évolution se sont stabilisés dans le commerce et les services, tandis que le niveau du chiffre d affaires remonte légèrement dans l industrie tout en conservant un indice négatif (+ 2 points). Seule la construction affiche un accroissement de l indice qui devient positif au 1 er semestre 217 (+ 9 points) Pour la fin d année 217, les dirigeants alsaciens s accordent sur une forte croissance du chiffre d affaires, quel que soit le secteur d activité. Tous les indices devraient ainsi redevenir positifs. Les dirigeants alsaciens sont majoritairement satisfaits de leur chiffre d affaires au 1 er semestre 217, qu il s agisse des petites (45 %), moyennes (59 %) ou grandes entreprises (78 %). Quelle que soit la taille de la structure, les améliorations prévues il y a six mois se sont concrétisées, A l image de la moyenne alsacienne, la situation se stabilise pour les petites entreprises, affichant toutefois un indice encore négatif (- 1). Parallèlement, on observe un recul du niveau du chiffre d affaires dans les moyennes et grandes entreprises (respectivement - 4 points et - 9 points), Pour le 2 ème semestre 217, les chefs d entreprises envisagent une hausse de l indice, qui devrait être généralisée à toutes les structures. Evolution du chiffre d'affaires par taille d'entreprise Moins de salariés De à 49 salariés 5 salariés et plus N 12 Août
8 Constat 1 er semestre ème semestre 217 En termes de carnet de commandes, le moral des dirigeants se porte bien, et la situation progresse visiblement ce semestre : l indice augmente au 1 er semestre 217 (+ 1, soit + 5 points). Dans l industrie et les services, les chefs d entreprises sont davantage satisfaits de leur carnet de commandes que la moyenne alsacienne (respectivement 5 %, soit + 9 points, et 47 %, soit - 1 point). Si le taux de satisfaction se stabilise dans le commerce et la construction, les dirigeants sont plus nombreux à estimer leur carnet de commandes «normal» ce semestre (43 % et 44 %, soit respectivement + 5 points). Les prévisions à la hausse énoncées en janvier dernier se sont concrétisées dans la construction et l industrie (+ 4 points et + 13 points). En revanche, elles ont été légèrement surestimées dans le commerce et les services. A l image de la tendance alsacienne, l indice relatif au carnet de commandes a progressé au 1 er semestre 217 dans tous les secteurs d activité : on observe une petite augmentation dans la construction et les services (+ 2 points), et un fort accroissement dans le commerce et l industrie (respectivement + 9 points et + 11 points). Notons que les indices sont tous positifs, hormis celui du commerce où davantage de dirigeants déclarent une baisse de l indicateur plutôt qu une hausse. Très optimistes pour les six prochains mois, les chefs d entreprises tablent sur une nouvelle vague de croissance touchant tous les secteurs d activité, l industrie largement en tête (+ 23 points). Evolution du carnet de commandes par secteur d'activité Industrie Construction Commerce Services 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Prév. La satisfaction des dirigeants s est stabilisée au 1 er semestre 217 dans les petites entités (4 %), mais reste un peu en deçà de la moyenne alsacienne. Au contraire, les chefs d entreprises des plus grandes structures sont davantage satisfaits de leur carnet de commandes ce semestre, à l image d un dirigeant sur deux d établissements de à 49 salariés (56 %, soit + 3 points). C est d ailleurs dans ces structures que les prévisions à la hausse ont été dépassées ce semestre (+ 6 points), et davantage encore dans les grandes entreprises (+ 23 points). En revanche, pour les petites entreprises, les résultats sont légèrement inférieurs aux attentes des dirigeants énoncées en janvier dernier (- 2 points). Evolution du carnet de commandes par taille d'entreprise Sur les six derniers mois, l indice 4 d évolution recule pour les entreprises de taille moyenne (- 6 points). En revanche, 3 davantage de chefs d entreprises observent 2 un accroissement du carnet plutôt qu une baisse dans les petites et grandes structures Moins de salariés De à 49 salariés 5 salariés et plus 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Prév. Les prévisions pour le 2 ème semestre 217 se traduisent par une augmentation de l indice pour les petites et moyennes entreprises (respectivement + 7 points et + 13 points), et une baisse importante pour les grandes structures (- 13 points). N 12 Août
9 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Bien que l indice reste négatif, la tendance s est inversée au 1 er semestre 217 : le niveau global des investissements s est nettement amélioré sur les six derniers mois (-, soit + 8 points). Les taux de satisfaction et d insatisfaction relatifs aux investissements régressent au 1 er semestre 217 au profit d investissements plus souvent jugés «normaux», notamment dans le commerce et la construction où les proportions sont désormais supérieures aux moyennes alsaciennes (respectivement 52 %, soit + 27 points, et 59 %, soit + 24 points). Seule l industrie maintient un taux d insatisfaction particulièrement élevé (4 %). Les chefs d entreprises alsaciens sont unanimes : les améliorations constatées en termes d investissements n ont pas été à la hauteur de leurs attentes ce semestre, quel que soit le secteur d activité. Evolution des investissements par secteur d'activité Industrie Construction Commerce Services S ils restent négatifs, les indices se sont toutefois améliorés dans les services et la construction (respectivement + 2 points et + 8 points), et beaucoup plus nettement dans le commerce (+ 17 points). En revanche, le niveau des investissements a véritablement chuté dans l industrie (- points) : les dirigeants sont plus nombreux ce semestre à observer une baisse qu une augmentation de leurs investissements Les chefs d entreprises s accordent sur une tendance prévisionnelle à la hausse pour tous les secteurs d activité au 2 ème semestre 217. Au 1 er semestre 217, le taux d insatisfaction a diminué pour toutes les tailles de structures. En conséquence, les dirigeants des grandes entreprises sont davantage satisfaits (+ 3 points), tandis que ceux des petites et moyennes entreprises sont plus nombreux à estimer leurs investissements «normaux» (respectivement + 22 points et + 13 points). Ce semestre, les améliorations prévues pour les entreprises de à 49 salariés ont été réalisées. En revanche, les dirigeants des petites structures ont surestimé leurs résultats, tandis que ceux des plus grandes les ont sous-estimés (respectivement - 7 points et + 6 points). Globalement, les entreprises alsaciennes enregistrent une évolution favorable de l indice ce semestre. Les petites et moyennes structures s inscrivent dans la tendance régionale (respectivement + 8 points et + 5 points), tandis que l indice relatif aux grandes structures recule (- 6 points). Pour le 2 ème semestre 217, les chefs d entreprises envisagent une hausse de l indice généralisée à toutes les structures. L ensemble des indices redeviendrait positif. Evolution des investissements par taille d'entreprise Moins de salariés De à 49 salariés 5 salariés et plus N 12 Août
10 Constat 1 er semestre ème semestre 217 L état de la trésorerie est en progression au 1 er semestre 217, comme en témoigne l augmentation du solde d opinions sur les six derniers mois (- 4, soit + 6 points). Dans tous les secteurs d activité, la proportion de dirigeants alsaciens estimant leur trésorerie «faible» diminue au profit d une trésorerie plus souvent jugée bonne (+ 5 points dans la construction, et + 6 points dans les services et le commerce), voire même satisfaisante (+ 5 points dans la construction et + 2 points dans le commerce). En revanche, le taux d insatisfaction se renforce dans l industrie ce semestre (+ 6 points). En janvier dernier, les chefs d entreprises ont bien anticipé les améliorations constatées ce semestre dans l industrie. Par contre, les prévisions ont été dépassées dans la construction (+ 3 points), mais surestimées dans le commerce et les services (respectivement + 4 points et + 3 points). Globalement, le niveau de la trésorerie a augmenté ce semestre (+6 points), bien que les indices restent négatifs (sauf dans la construction). Hormis l industrie où l indice recule (- 5 points), tous les secteurs d activité sont concernés : le commerce (+ 6 points), les services (+ 7 points), et surtout la construction (+ 8 points). Evolution de la trésorerie par secteur d'activité 3 2 Industrie Construction Commerce Services Les prévisions pour les six prochains mois confirment la tendance : l indice évoluerait très favorablement dans tous les secteurs, devenant positif. Même l industrie serait concernée Si la majorité des chefs d entreprises d établissements de salariés et plus sont satisfaits de leur trésorerie ce semestre, les dirigeants des petites entreprises sont plus nombreux à qualifier leur trésorerie de «moyenne» (44 %, soit + 5 points). Quant aux améliorations constatées, elles sont inférieures aux prévisions énoncées six mois plus tôt pour les petites et moyennes entreprises (respectivement - 3 points et - 4 points), et bien meilleures pour les grandes structures (+ 23 points). Evolution de la trésorerie par taille d'entreprise Moins de salariés De à 49 salariés 5 salariés et plus Sur les six derniers mois, l indice d évolution recule pour les entreprises de taille moyenne et redevient même négatif (- 6 points). En revanche, il augmente dans les petites entreprises (+ 7 points), tout en restant négatif, et croît davantage encore dans les grandes structures (+ 18 points) Les prévisions pour le 2 ème semestre 217 sont unanimement positives et traduisent une forte augmentation pour toutes les structures, à l image de la moyenne alsacienne. N 12 Août 217
11 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Au 1 er semestre 217, la rentabilité remonte timidement dans les établissements alsaciens : négatif, l indice augmente légèrement (- 6, soit + 2 points). Au 1 er semestre 217, la majorité des dirigeants alsaciens juge leur rentabilité «moyenne» (44 %). Néanmoins, le taux de satisfaction progresse dans la plupart des secteurs d activité (+ 13 points dans la construction, + 4 points dans le commerce, + 2 points dans les services). Une nouvelle fois l industrie fait exception : le taux d insatisfaction relatif à la rentabilité progresse nettement ce semestre (+ 11 points). Les améliorations constatées dans l industrie et la construction ont été à la hauteur des attentes des chefs d entreprises. Dans les services et le commerce, en revanche, la réalité est légèrement en deçà des prévisions (respectivement - 2 points et - 3 points). Evolution de la rentabilité par secteur d'activité 3 2 Industrie Construction Commerce Services A l image de la moyenne alsacienne, le niveau de la rentabilité augmente légèrement dans les services (+ 2 points). Il se stabilise même dans le commerce. Parallèlement, l industrie et la construction affichent des évolutions très différentes ce semestre : le premier indice chute (- 11 points), tandis que le second remonte en flèche (+ 17 points) Les prévisions des chefs d entreprises sont toutes orientées favorablement pour le 2 ème semestre 217 : la rentabilité devrait poursuivre sa progression et l indice devrait même devenir positif pour tous les secteurs d activité. Au 1 er semestre 217, la majorité des chefs d entreprises d établissements de moins de salariés estiment que leur rentabilité est «normale» (45 %). Pour les autres structures, plus l établissement compte de salariés, plus le dirigeant est satisfait de sa rentabilité ce semestre. Les améliorations constatées début 217 sont légèrement inférieures aux attentes des chefs des petites et moyennes entreprises, et meilleures pour les structures de 5 salariés et plus. Globalement, les entreprises enregistrent une évolution favorable de l indice ce semestre. Les petites structures s inscrivent dans la tendance régionale (+ 3 points), tandis que le niveau de la rentabilité a reculé pour les moyennes et grandes entreprises (respectivement - 7 points et - points). Toutefois, pour ces dernières, l indice demeure positif : les dirigeants restent plus nombreux à observer une hausse qu une baisse de leur rentabilité. Evolution de la rentabilité par taille d'entreprise Moins de salariés De à 49 salariés 5 salariés et plus Unanimement, les dirigeants alsaciens restent optimistes et envisagent une inversion de tendance au semestre prochain, avec une nouvelle amélioration de leur rentabilité pour le 2 ème semestre N 12 Août
12 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Les chefs d entreprises observent une légère reprise des effectifs globaux début 217 (- 1, soit + 2 points), qui devrait se confirmer au semestre prochain (+ 8, soit + 9 points). Début 217, près de huit dirigeants sur dix en moyenne déclarent des effectifs stables (78 %). Pour les autres, des mouvements de personnel sont constatés. Dans l industrie et la construction, les chefs d entreprises sont plus nombreux à observer une augmentation de leurs effectifs plutôt qu une baisse : l indice remonte et devient positif (respectivement + 3 points, et + 14 points). Dans le commerce et les services, en revanche, l indice s est quasiment stabilisé (respectivement + 1 point). Toutes les améliorations prévues en termes d effectifs ont été à la hauteur des attentes des dirigeants alsaciens ce semestre, les surpassant même dans l industrie (+ 4 points). Le commerce fait exception affichant des résultats légèrement inférieurs aux prévisions (- 3 points). Pour les six mois à venir, la stabilité des effectifs est toujours d actualité selon les chefs d entreprises alsaciens : 74 % d entre eux, tous secteurs d activité confondus, tablent sur un maintien des effectifs. Les indices prévisionnels évoluent toutefois très favorablement : les dirigeants sont plus nombreux à envisager une hausse plutôt qu une baisse des effectifs, notamment dans l industrie ou encore la construction (respectivement + 13 points et + points). Evolution des effectifs par secteur d'activité Industrie Construction Commerce Services Les améliorations prévues en termes d effectifs au semestre dernier ont été nettement sous-estimées pour les grandes entreprises (+ 17 points). Conformes aux attentes pour les petites structures, les prévisions se sont révélées légèrement optimistes pour les entreprises de taille moyenne (- 3 points). Les structures de plus de 5 salariés et plus affichent un indice positif en progression sur les six derniers mois : il y a eu davantage de créations de postes que de suppressions dans ces entreprises. Négatif, l indice relatif aux petites structures a toutefois légèrement augmenté (+ 2 points). En revanche, la proportion de dirigeants d entreprises de à 49 salariés déclarant une hausse d effectifs a diminué ce semestre (- 5 points). L indice recule et devient négatif pour ces entreprises (- 1). Evolution des effectifs par taille d'entreprise Moins de salariés De à 49 salariés 5 salariés et plus Pour le 2 ème semestre 217, les chefs d entreprises alsaciens accordent leurs prévisions et suivent la tendance alsacienne. Toutes les entreprises devraient voir leur indice d évolution augmenter, et devenir positif, qu il s agisse des petites (+ 8 points), moyennes (+ 24 points) ou grandes structures (+ 11 points). N 12 Août
13 Constat 1 er semestre ème semestre 217 Industrie Constats 2s11 1s12 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs Par secteur d'activité Construction Constats 2s11 1s12 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs Commerce Constats 2s11 1s12 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs Services Constats 2s11 1s12 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs Moins de salariés Constats 2s11 1s12 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs Par tranche d'effectifs De à 49 salariés Constats 2s11 1s12 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs salariés et plus Constats 2s11 1s12 2s12 1s13 2s13 1s14 2s14 1s15 2s15 1s16 2s16 1s17 Chiffre d'affaires Carnet de commandes Investissements Trésorerie Rentabilité Effectifs Note de lecture : l indice ou solde d opinions est la différence entre les répondants ayant exprimé une réponse «en hausse» et ceux ayant exprimé une réponse «en baisse». Lorsque le solde est supérieur à, la hausse l emporte et la situation est positive. A l inverse, un indice inférieur à traduit une situation négative. Les réponses «stable» ne sont donc pas prises en compte dans le calcul de l indice. N 12 Août
14 Chambre de Commerce et d Industrie Alsace Eurométropole Direction Economie Numérique, Information, Marketing Hélène PATFOORT / Tél / Courriel: h.patfoort@alsace.cci.fr
LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%
n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailBaromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont N 4
N 4 Chiffres clés de l arrondissement de Source INSEE RGP 1999 Estimation CCI de Troyes et de l Aube Bar sur Aube Population 2007 : 29 427 hab. 9,8 % de la population auboise Superficie : 1 193 km2 Densité
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailUN REGAIN D OPTIMISME
2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailDonnées au 1 er janvier 2015
2015 Données au 1 er janvier 2015 Sommaire Chapitres ELEMENTS DE CADRAGE ALSACE - TOUS SECTEURS Etablissements et effectifs en 2015 pp. 3 à 7 pp. 5 à 6 Etablissements par tranche d effectifs salariés en
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailLes salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris
Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com
Plus en détailUN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE
2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement
Plus en détailPréoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises
Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon
Plus en détailLes Français et le pouvoir d achat
Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire
Plus en détailBaromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2
Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Juin 2014 Contact - BVA Opinion Erwan LESTROHAN, directeur d études erwan.lestrohan@bva.fr - 01 71 16 90 9 Victor CHAPUIS, chargé d études Victor.chapuis@bva.fr
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailLE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015
LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailObservatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges
Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative
Plus en détailpanorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012
panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives
Plus en détailToujours pas de reprise
2 ème TRIMESTRE JUILLET 2015 CHIFFRE D AFFAIRES 2 ème TRIM 2015 Toujours pas de reprise La conjoncture est encore une fois perçue par près de 80 % de nos dirigeants comme défavorable voire très défavorable.
Plus en détailOSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE
OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX
Plus en détailFM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise
FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints
Plus en détail«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»
«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des
Plus en détailMoniteur des branches Industrie MEM
Moniteur des branches Industrie MEM Octobre 2014 Editeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Traduction Anne Fritsch, Verbanet GmbH, www.verbanet.ch Le texte allemand fait foi Adresse BAK Basel Economics
Plus en détailLe Baromètre de l économie. BVA - BFM - La Tribune - The Phone House
Mai 2008 Le Baromètre de l économie BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Les indices de confiance BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Impact de la crise financière internationale sur l attitude
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailBaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014
BaroJOB Une priorité : Donner Envie aux Jeunes Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / MarsAvril 2014 Filière IT : Confirmations et paradoxes 2 Filière IT : Confirmations
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailL externalisation des activités bancaires en France et en Europe
ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailConcilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise
Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes
Plus en détailBAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES
1 er et 2 ème trimestres 2012 Note semestrielle N 5 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES Une activité dynamique qui pourrait s essouffler L activité d hébergement d entreprises au premier
Plus en détailOBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE
OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?
Plus en détail3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives
4 ème édition Paris, le 27 janvier 2012 3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives Les points clés Le régime de l auto-entrepreneur, un potentiel énorme de croissance
Plus en détailCe qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé
Département Évaluation des Politiques Sociales Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Anne Loones Février 2009 2 Sommaire CONTEXTE ET MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE...
Plus en détailLe marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.
Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien
Plus en détailANALY ANAL S Y E S PR
ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 16 Septembre 2014
Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 214 L élevage Galop : des saillies en baisse à mi-année 214 Trot : hausse marquée de la production à mi-année 214 Selle : nouvelle baisse du nombre de juments
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailPlan stratégique 2012-2016 Vision du marché
2013 Plan stratégique 2012-2016 Vision du marché Table des matières 1 Actualisation de la vision du marché w p. 3 2 Impact de l ANI du 11 janvier 2013 pour le marché de la complémentaire p. 14 santé 2
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailEtude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA)
Note détaillée L image des ambulanciers Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 septembre 2013. Echantillon de 985 personnes
Plus en détailLe Baromètre e-commerce des petites entreprises
Le Baromètre e-commerce des petites entreprises 4 ème vague Mai 2013 OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris. Thomas Stokic, Emmanuel Kahn Introduction 1005 Entreprises moins d e 50 sal Représentativité
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES
22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009
Plus en détailServices Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques
Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques - Juillet 2010 Méthodologie Méthodologie : Cette étude a été menée dans le cadre de l'omcapi, l'enquête périodique multi-clients de l'ifop, réalisée
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailÉtude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles
Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp
Plus en détail8 èmes Rencontres de l Épargne Salariale
Palais du Luxembourg 8 èmes Rencontres de l Épargne Salariale 18 octobre 2010 8 èmes Rencontres de l Épargne Salariale Palais du Luxembourg 18 octobre 2010 1 Palais du Luxembourg 8 èmes Rencontres de l
Plus en détailObservatoire de la performance des PME-ETI
Observatoire de la performance des PME-ETI 46 ème édition Avril 2015 OpinionWay 15 place de la République 75003 Paris. Charles-Henri d Auvigny, Matthieu Cassan, Emmanuel Kahn & pour Méthodologie Méthodologie
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailComité national d évaluation du rsa Annexes
Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailSites internet des partis politiques, Facebook et Twitter : Les grands perdants de l élection présidentielle 2012
Sites internet des partis politiques, Facebook et Twitter : Les grands perdants de l élection présidentielle 2012 La dernière étude de Lightspeed Research décrypte comment les Français suivent et participent
Plus en détailÉtude sur la compétitivité des administrations cantonales
Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude
Plus en détail«Les rendez-vous du Tourisme» Proposé par la CCI de Meurthe-et-Moselle Véronique CHARPENET-BOUCHARD Conseil en Marketing & Communication Tous droits réservés OBJECTIFS Cette rencontre a pour objectifs
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailLE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.
Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014
Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 214 L élevage : premières tendances 214 Course : baisse des juments saillies en galop, contrairement au trot Selle et poneys : la baisse des juments et ponettes saillies
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailArtiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)
Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision
Plus en détailTendances récentes dans les industries automobiles canadiennes
N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailTechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012. Novembre 2012
TechnologyFast50 Baromètre des candidats et lauréats 2006-2012 Novembre 2012 Sommaire 3 7 9 12 14 19 25 27 31 Présentation du baromètre Profil des entreprises Contexte économique Ressources humaines Financement
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailAMUNDI Les Jeunes actifs et la retraite - Vague 3-2010
AMUNDI Les Jeunes actifs et la retraite - Vague 3-2010 Résultats de l étude TNS Sofres / Présentation Frédéric Chassagne 7 juin 2010 FICHE TECHNIQUE Étude barométrique réalisée pour AMUNDI Échantillon
Plus en détailEffet «La Marseillaise»
DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLes préoccupations des enseignants en 2014
Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle
Plus en détailAVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014
AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance
Plus en détailETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE
NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises
Plus en détailI. R. E. F BANQUE ET ASSURANCES
Observatoire Régional de la Formation et de l'emploi (ORFE) I. R. E. F BANQUE ET ASSURANCES Date de mise en ligne : Janvier 29 INDICATEURS DE LA RELATION EMPLOI FORMATION Conception, méthodologie : Marie-Béatrice
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailLes entreprises familiales vues par les actifs Français.
Les entreprises familiales vues par les actifs Français. Janvier 2014 Chaire Entrepreneuriat Familial et Société entre pérennité et changement Contacts : Noémie Lagueste Chargée d études Chaire Entrepreneuriat
Plus en détailENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.
Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailLe point sur le service bancaire de base, cinq ans après son introduction
Le point sur le service bancaire de base, cinq ans après son introduction Le rapport du Service de médiation banque-crédit-placements annonce une diminution du nombre de comptes bancaires de base ouverts
Plus en détailEnquête sur les investissements dans l industrie
Note Méthodologique Dernière mise à jour : 30-08-2010 Enquête sur les investissements dans l industrie Avertissement : depuis mai 2010, les résultats de l enquête trimestrielle sur les investissements
Plus en détailComité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques
F SCT/30/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 12 AOUT 2013 Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques Trentième session Genève, 4 8 novembre 2013
Plus en détailLa certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux
C.E.R.A. Cellule Économique Rhône-Alpes Observatoire Régional du BTP La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux Edition décembre 2006 INTRODUCTION Les
Plus en détailTablettes : Perception & Usages des Français 6 ème édition du Baromètre Semestriel
Communiqué de presse Septembre 2013 Tablettes : Perception & Usages des Français 6 ème édition du Baromètre Semestriel La tablette : toujours plus complémentaire à la télévision et au smartphone 70% des
Plus en détailJOURNEE DE SOLIDARITE
JOURNEE DE SOLIDARITE 15/12/2014 La loi n 2004-626 du 30 juin 2004 a introduit dans le code du travail un article L 212-16 relatif à l institution d une journée de solidarité «en vue d assurer le financement
Plus en détailQuand le QCA va. DTZ Research PROPERTY TIMES. Paris QCA T4 2014. Sommaire. Auteur. Contacts
DTZ Research PROPERTY TIMES Quand le QCA va Paris QCA T4 214 8 Janvier 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Auteur Pierre d Alençon Chargé d Etudes
Plus en détailLes entreprises paient avec un retard de 19,3 jours la morale de paiement en berne à cause de l effet domino
Statistiques des comportements de paiement: le comporte Statistiques des comportements ment de paiement: de paiement le comportement des de entreprises en Suisse 4 ème trimestre et perspectives 2009 Editeur:
Plus en détail