Allergie médicamenteuse
|
|
- Geneviève Blanchard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 239 Chapitre 11 Allergie médicamenteuse Dr. Michèle RAFFARD Allergologue Centre Médical de l Institut Pasteur, 75 rue de l Eglise Ŕ 75015, Paris mraffard@free.fr
2 240 Allergies médicamenteuses Chapitre 11 (Michèle RAFFARD) L allergie médicamenteuse pose souvent un problème diagnostic difficile en particulier lors d une poly médication où les informations fournies par le patient ou son médecin prescripteur sont souvent incomplètes. Les mécanismes en cause sont multiples et complexes et le mot d allergie est malheureusement souvent abusivement utilisé, en cas d intolérance ou d effets secondaires attendus. Mais devant éruption sévère il faut penser à une cause médicamenteuse (1-2) Il y a donc risque de sous diagnostic ou au contraire abus si une évaluation dans un service spécialisé n est pas pratiquée, bien que les outils cliniques et biologiques diagnostiques ne soient pas vraiment validés (1-2). Les réactions médicamenteuses secondaires sont de deux ordres (Tableau I) prévisibles et imprévisibles. Réactions secondaires prévisibles Toxicité Effets inévitables Activité pharmacologique Interactions médicamenteuses Tableau I Ŕ Réactions secondaires. Réactions secondaires imprévisibles Intolérance à faibles doses Idiosyncrasie Allergie Les mécanismes immunologiques sont multiples (Tableau II ) Mécanismes Hypersensibilité médicamenteuse Allergie médicamenteuse Hypersensibilité médicamenteuse non allergique Allergie IgE dépendante Allergie non IgE dépendante
3 241 Tableau II - Mécanismes d allergie médicamenteuse (3). La réaction IgE dépendante est immédiate, elle survient dans l heure qui suit la prise médicamenteuse comme avec les Aminopénicillines (amoxicilline) ce qui n exclut pas d autres mécanismes pour ces antibiotiques. Parmi les réactions allergiques non IgE dépendantes, plusieurs mécanismes sont en cause (voir tableau III) et induisent des formes cliniques variées (tableau III) Complément Lymphocytes Eosinophiles Maladie sérique Eczéma de contact Pneumopathies d hypersensibilité Cytopénie : rouges, blancs, plaquettes Glomérulonéphrites Erythème maculo-papuleux Pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) Photosensibilisation Tableau III Ŕ Réactions allergiques non IgE dépendantes. DRESS Drug Reaction with Eosinopilia and Systemic Symptomes L hypersensibilité non allergique (non immunologique) peut avoir plusieurs mécanismes (Tableau IV) Mécanismes Histamino-libération non spécifique Dégranulation directe des mastocytes Accumulation de bradykinine Activation du complément Inhibition de la voie de l acide arachidonique : leucotriènes Blocage des récepteurs adrénergiques Médicaments Opiacés, Produits de Contraste IodésI, Vancomycine Inhibiteurs de l Enzyme de Conversion Protamine et Produit de Contraste Iodé Anti Inflammatoires Non Stéroïdiens et aspirine -bloquants Tableau IV Ŕ Mécanismes de l hypersensibilité non allergique. Epidémiologie Les effets secondaires des médicaments concernent 10 à 20% des hospitalisés (4) dont un tiers ont une réaction d hypersensibilité allergique soit IgE dépendante, soit non IgE dépendante. Les manifestations cliniques sont multiples (1-5) et recouvre toutes les descriptions cliniques des maladies allergiques (Tableau V et VI)
4 242 Manifestations cliniques Systémiques Pulmonaires Hématologiques Autres Tableau V Ŕ Manifestations cliniques. Anaphylaxie Fièvre Maladie sérique Bronchospasme Pneumopathies d hypersensibilité Syndrome de Löffler Poumon à éosinophiles Anémies Neutropénies Thrombocytopénies Agranulocytose Hyperéosinophilie Néphrites Hépatites Syndrome lupique Urticaire Angio-œdème Exanthème maculo-papuleux Érythème pigmenté fixe Eczéma Photodermatoses Érythème polymorphe like Manifestations Cutanées Syndrome de Stevens-Johnson Syndrome de Lyell Vascularites DRESS Sy. Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms Tableau VI - Manifestations cliniques cutanées.
5 243 Diagnostic Comme pour tout diagnostic de maladie allergique, l interrogatoire est très minutieux mais rarement fiable en cas de prises médicamenteuses multiples. Toutefois la reconstitution de la chronologie des symptômes est indispensable en regard de la prise de TOUS les médicaments : Médicaments à suspecter Injections, comprimés, sirop, suppositoires, gouttes oculaires, nasales auriculaires, crèmes ou pommades, mais aussi Hormones, laxatifs, immunisation, médicaments traditionnels détaillés Le temps de survenue des symptômes par rapport au contact avec les médicaments peut orienter les tests cutanés : Réaction immédiate ou réaction retardée Mais le contexte clinique peut modifier la réactivité du patient et doit être soigneusement éclairci : raison médicale du traitement et maladie intercurrente ainsi que les antécédents personnels et les traitements habituels. Le diagnostic d allergie médicamenteuse est confirmé soit par les tests cutanés et/ou les tests biologiques et/ou les tests de provocation spécifique selon la gravité des manifestations cliniques ou la connaissance de la réactivité de la molécule. On approche le diagnostic grâce à des critères d imputabilité intrinsèque et extrinsèque. Critères d imputabilité Intrinsèque : mécanismes allergiques identifiés grâce à l interrogatoire Extrinsèque : médicament sensibilisant connu par la revue de la littérature Choix des tests cutanés : selon les mécanismes identifiés lors de l interrogatoire (Tableau VII) Réaction immédiate Dès la prise du 1er comprimé Médiation à IgE probable Prick-tests dans un 1 er temps Puis si négatifs IDR diluées à dose progressivement croissante toutes les 20/30 mn Tableau VII Ŕ Choix des tests cutanés. Réaction retardée Après quelques heures, jours ou semaines Tests épicutanés dans un 1 er temps avec lecture à 48, 72, 96 h IDR à lecture retardée à 24, 48 h Photo-patch tests en cas de photoallergie
6 244 Mais les tests cutanés ne sont pas vraiment validés, ils ne sont pas possible dans de nombreux cas (Quinolone, Macrolides). Négatifs, ils n éliminent pas toujours une allergie, il faut se référer aux publications les plus récentes. Réactions secondaires aux tests cutanés Les tests cutanés avec les médicaments ne sont pas sans risque, de nombreuses publications font état de réaction survenant au décours plus ou moins immédiat des tests (15 mn à plusieurs heures) plus ou moins grave allant jusqu à l anaphylaxie ou la réactivation des symptômes cliniques observés lors du traitement. La prudence est de mise et les tests doivent être pratiqués par un personnel entrainé et bien formé, habitué à cette pratique. Diagnostic biologique C est pourquoi l utilisation de tests biologiques est toujours tentée par les équipes en charge de cette pathologie mais pour l heure cela reste encore souvent du domaine de la recherche. Quelques dosages d IgE spécifiques sont à disposition dans certains laboratoires d analyses médicales (Tableau VIII). Ampicilline Amoxicilline Pénicilline V Pénicilline G céfaclor Chlorexidine Latex Tableau VIII Ŕ IgE spécifiques du Laboratoire Phadia. Succamethonium Protamine (antidote de l héparine) Insuline humaine, bovine et porcine Gélatine bovine Chymopapaïne Anatoxine tétanique Ce pendant les taux d IgE spécifiques sont souvent moins sensibles que les tests cutanés en particulier pour les pénicillines et ne peuvent être dosées qu en cas d allergie immédiate. Les tests d activation cellulaire des basophiles sont en cours de validation. Le Test de Dégranulation des Basophiles Humains (TDBH) est abandonné car peu fiable et nécessitant un grand nombre de basophiles. D autres tests, encore à l étude, utilisent la cytométrie de flux et des anticorps spécifiques des basophiles, selon l anticorps utilisé il peut y avoir des discordances dans les résultats (6). Basotest (CD 63) BAT : (CD63 et CD203c) CAST (Leucotriènes) peu sensible, peu spécifique D autres dosages peuvent être utiles au décours d un accident allergique par exemple après un examen radiologique utilisant des produits de contraste iodés ou au cours d une anesthésie générale, pour différencier un accident cardiaque d un accident allergique. Tryptase dérivé de l histamine plus stable et pour laquelle il existe un kit de dosage Le TTL : Test de Transformation Lymphoblastique est abandonné par manque de fiabilité.
7 245 Tests de provocation ou de réintroduction La preuve de l allergie à un médicament donné peut se faire par un test de provocation à très faible dose, il s agit de reproduire la symptomatologie présentée par le patient mais cela peut être très dangereux. Des précautions sont à prendre : 1 - Check liste avant la décision (7) Réaction due à une activité pharmacologique? Est-ce la 1ère fois avec la 1ère dose? Quelle est la nature de la réaction? Quel est le délai d apparition de la réaction 2 - Selon la clinique Eliminer les accidents anaphylactiques sévères Lyell DRESS syndrome 3 - Selon les médicaments Produits irremplaçables pour le patient 4 Ŕ test à pratiquer en milieu hospitalier spécialisé Cathéter veineux en prévision d une forte réaction Vérifier l état du chariot d urgence Personnel entrainé et habitué Médicaments dilué (voir schéma) Faire ingérer toutes les 30 mn Bien noter toutes les réactions même minimes Traitement des allergies médicamenteuses Le traitement est symptomatique, en fonction de la clinique - Adrénaline en cas d anaphylaxie, associée aux corticoïdes par voie orale ou générale. - Corticoïdes locaux pour les eczémas. - Antihistaminique dans l urticaire. - Corticoïdes en cas de toxidermie grave. - Service des brulés pour le syndrome de Lyell. Arrêt du médicament soupçonné À remplacer par une molécule d une autre famille chimique
8 246 Conclusion Un bilan spécialisé est recommandé en cas de réaction importante ou de polymédication et dans certains cas une accoutumance ou désensibilisation pourra être envisagée par une équipe entrainée si le médicament ne peut être remplacé. Cela nécessite une formation de base, un personnel régulièrement confronté à cette problématique. QELQUES CAS D ALLERGIE AUX MEDICAMENTS - PAR FAMILLE A ) ANTIBIOTIQUES 1 - Pénicillines Arbre décisionnel de AFFSAPS Octobre 2005 (voir schéma 1) Tests cutanés pour les réactions immédiates aux -lactames Concentration utilisées Pénicilline G : unités/ml Amoxicilline, ampicilline, Amoxicilline+acide clavulanique à 100mg/ml (injectable IM à 500mg pour 5 ml) Autres -lactames : 10mg/ml Prick-tests : l un après l autre, toutes les 20 mn Au 1/10 de la solution mère Pur IDR : l une après l autre, toutes les 20 à 30 mn 1/100 de la solution mère 1/10 de la solution mère Pur après 24h (réaction retardée) Arrêt des tests dès la première positivité 2 - Macrolides Allergie rare = 0,5 % des allergies médicamenteuses Manifestations cliniques Diagnostic Urticaire, rash maculo-papuleux, dermite de contact, érythème pigmenté fixe (érythromycine, clarithromycine), vacsularite Respiratoire professionnelle : spiramycine Anaphylaxie : rare ni biologie (pas d IgE)
9 247 ni tests à part dans l érythème pigmenté fixe, patch-tests sur la zone atteinte (érythromycine, clarithromycine) Tests de provocation en milieu hospitalier L allergie croisée ENTRE macrolides est exceptionnelle 3 - Quinolones Allergie rare, peut-être sous estimée Manifestations cliniques Urticaire, angio-œdème, éruptions maculo-papuleuses ou bulleuses, érythème pigmenté fixe Stevens-Johnson et Lyell plus rarement Photosensibilisation (enoxine, sparfoxacine, loméfloxacine) Facteurs de risque : Femmes, SIDA, Exposition solaire Diagnostic Utilisation antérieure de molécules apparentées : Chloroquine, tiliquinol, nitroxoline ni biologie (pas d IgE) ni tests cutanés Tests de provocation en milieu hospitalier L allergie est CROISEE entre quinolones 4 - Sulfamides La population générale est faiblement réactive : 3% alors que les patients séro positifs pour le VIH réagissent dans 40 à 60% avec sulfaméthoxazole + triméthoprime (Bactrim, Eusaprim, Cotrimazol). Clinique Urticaire, anaphylaxie, bronchospasme SIDA + Tt pneumocystose ou toxoplasmose Exanthème maculo-papuleux non prurigineux > torse + fièvre = DRESS syndrome : 7 au 12ème jour Stevens-Johnson, érythème polymorphe, plus rares Les sulfamides hypoglycémiants sont rarement sensibilisants et il n y a pas d allergie croisée avec les anti-infectieux.
10 248 B ) ALLERGIE LORS DE L ANESTHESIE GENERALE Epidémiologie ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE DE LA SFAR en2001 Pré-anesthésie Per-anesthésie Curares..62 % Hypnotiques 7,4 % Morphiniques.1,9 % Halogénés 0 Antibiotiques....4,7 % Latex.16,5 % Substituts plasma. 3,6 % Post-anesthésie Latex Antalgiques ENQUETE 1997 Ŕ 2004 du GERAP* Allergie = 2516 cas Non IgE : ,82% IgE : ,18% ADULTES > Curares.58,08% Latex..19,65% AB 12,85% ENFANTS = Latex > 50% Curares 39% AB.. 10,2% *Groupe d Etude des Réactions Anaphylactiques Per anesthésiques (8) Les réactions anaphylactique au cours de l anesthésie générale peuvent survenir juste au début de l induction, essentiellement avec les curares, ou pendant l intervention par allergie au latex au contact du patient (masque, sonde, gants) ou après par allergie aux analgésiques utilisés en salle de réveil ou à la présence da latex dans la chambre Chronologie des réactions < 5 minutes suivant l induction : Hypersensibilité aux anesthésiques - Rash isolé du torse : non spécifique - Bronchospasme réflexe isolé - Anaphylaxie Myorelaxants le plus souvent = arrêt intervention Prise de sang dosage de la tryptase > 5 minutes après l induction Latex, solutés de remplissage, AntiBiotiques Dans les suites de l intervention - Salle de réveil : AINS, dérivés morphiniques - Chambre : AINS ou toxidermie aux AntiBiotiques
11 249 ALLERGIE AU LATEX Clinique - Choc anaphylactique au cours de l intervention Gants du chirurgien au contact du malade Fréquence chez les enfants multi opérés porteurs de Spina bifida (Hev b1 et Hev b3) Allergène majeur Hev b 1, Hev b 5, Hev b 6 et Hev b 11 Allergie à IgE Prick-test avec le gant ou des allergènes standardisés IgE spécifiques : Latex ou ses recombinants - Allergie au latex du personnel hospitalier (Hev b3, Hev b6.01) Urticaire de contact des mains Eczéma de contact des mains Rhinoconjonctivite et asthme Particules de latex aéroportées, véhiculées par l amidon - Allergie alimentaire croisées Fruits : banane, châtaigne Légumes : avocat, poivron, sarrasin Prévention de l allergie au latex Lors d interventions = précautions + éviction - En préopératoire Programmer l intervention à la première heure : salle sans latex Matériel d anesthésie sans latex - En per-opératoire Matériel sans latex : Gants, Ventilation, Matériel en contact avec le patient - Post-opératoire Pas de latex dans la chambre C ) ALLERGIE AUX ANTALGIQUES Acide acétylsalicylique et Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens AINS : Il s agit d une intolérance par inhibition de la voie de la Cyclo-OXygénase : COX 1 avec augmentation des leucotriènes, diminution des prostaglandines qui induisent une vaso-dilatation cutanée, une hypersécrétion du mucus bronchique. Ces mécanismes expliquent les symptômes cliniques : cutané et respiratoire - Urticaire et angioœdème : 0,07 à 0,2% de la population générale (9) - Asthme crise isolée ou Maladie de Widal (10) (asthme, rhinite et polypose nasale)
12 250 Les moyens diagnostiques sont restreints au test de provocation (nasale, bronchique ou orale) Car il n y a pas d anticorps ni de cellules immunocompétentes puisqu il ne s agit pas d une réaction immuno-allergique. Eviction : Pour le traitement de la douleur, éviction de l acide acétylsalicylique et des médicaments le contenant (> 100 ) et des AINS Anti-COX-1 Possibilité de prescrire des AINS AntiCOX-2, du Paracétamol et des Morphiniques D ) ALLERGIE AUX PRODUITS DE CONTRASTE IODES (PCI) - Épidémiologie (11-12) 3 enquêtes internationales ( ) injections par an dans le monde Réactions légères à modérés Produits ioniques de forte osmolarité = 3,8 à 12,7% Produits non ioniques = 0,7 à 3,1 % Réactions graves Produits ioniques de forte osmolarité = 0,1 à 0,4 % Produits non ioniques = 0,02 à 0,04% Décès = 1 pour Le rôle des grosses molécules des anciens produits est clair les nouveaux produits sont moins fréquemment en cause. - Diagnostic En cas d accident sévère : dosage de la tryptase lors de l accident puis Identification du produit en milieu hospitalier par tests cutanés - Prévention - Tests épicutanés à lecture retardée (souvent négatifs) - IDR diluées à lecture immédiate et retardée (24/48 heures) Pas de PCI ioniques, utiliser les nouveaux PCI non ioniques Une prémédication (AH1 + corticoïdes) n a pas fait la preuve de son efficacité (9)
13 251 Bibliographie 1. Demoly P. Controverse : les tests de provocation médicamenteuse assurent toujours le diagnostic d allergie médicamenteuse. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2007 ;47 : Demoly P. et al; Actualités en allergies médicamenteuses Bull Acad Nat Méd 2000; 184:65 3. Johanson SGO et al EAACI. A revised nomenclature for allergy. Allergy2001;56: [traduction D Vervloet Rev Fr Allergol Immunol Clin 2004;44: ) 4. DemolyP, Bousquet J.Epidémiology of drug allergy. Curr Opin Clin Immunol 2001;1: Doutre MS. Toxidermie aux médicaments au XXI ème siècle. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2008;48: Ebo DG. Test d activation des basophiles dans l allergie per-anesthésique. RFAIC 2008;48: Gruchalla RS. Antibiotic Allergy New Engl J Med 2006;9 feb: Epidémiologie des reactions d hypersensibilité immediate peranesthésiques chez l adulte et l enfant. Bilan de 8 années du GERAP. Mertes PH et al. Rev Fr Allergol Immunol Clin 2008;48: Gollapudi RR Aspirin sensitivity: implications for patients with coronary artery diseases. JAMA 2004 Dec 22;292: Widal Fernand, Abrami P, Lermoyer J. Anaphylaxie et idiosyncrasie Presse Méd 1922; 30: Skin testing in patients with hypersensitivity reactions to iodinated contrast media Ŕ a European multicenter study. Brockow K. et al. Allergy 2009: 64: 234Ŕ Demoly P.hypersensibilité aux produits de contraste iodé : est-ce fréquent? Rev Fr Allergol Immunol Clin 2007;47:183-5
F.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF
ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF DE GESTION DES PATIENTS ALLERGIQUES AVANT INJECTION DE PRODUIT DE CONTRASTE IODÉ D Geffroy¹, A Pipet², F Wessel², G Mineur¹, P Meingan¹, I Doutriaux¹, C Labbe¹, S Houdebine¹,
Plus en détailLES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS
LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS Cours Francophone Inter pays de Pharmacovigilance Centre Antipoison et de pharmacovigilance du Maroc Dr R. Benkirane TERMINOLOGIE Plusieurs termes sont préconisés
Plus en détailHypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test.
Hypersensibilité immédiate déclenchée par un prick-test à l amoxicilline. Immediate hypersensitivity triggered by amoxicillin skin prick test. Cherih C 1, Bernede A 1, Breton AL 1, Pralong P 1-3, Nicolas
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailRéintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV
Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailDes désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria. Michel Miguéres AART, janvier 2011
Des désensibilisations inhabituelles : le chat, Alternaria Michel Miguéres AART, janvier 2011 Allergènes répandus Pouvoir pathogène élevé Éviction difficile voire impossible ITS peut être considérée Quels
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailLes mises au point de l'ifn
Les mises au point de l'ifn Octobre 2008 N 2 Pascale Dumond, Gisèle Kanny Médecine interne, Immunologie clinique et allergologie Centre hospitalier universitaire de Nancy Hôpital Central 54035 Nancy cedex
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailAllergologie en pratique
2-0093 Allergologie en pratique M. Raffard, H. Partouche L incidence des maladies allergiques est en constante augmentation. Pour expliquer ce phénomène, on discute des modifications du style de vie dans
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailALLERGIES ET HYPERSENSIBILITES item 113. ALLERGIES RESPIRATOIRES item 115
Collège des Enseignants de Pneumologie Référentiel pour la préparation de l ECN Dr Bourdin (Montpellier), Pr Godard (Montpellier) Pr Charpin (Marseille), Pr Tillie-Leblond (Lille) Pr Raherison (Bordeaux),
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailPharmacovigilance. Brèves en
Brèves en Pharmacovigilance Centre Régional de Pharmacovigilance Nord Pas de Calais C.H.R.U. Place de Verdun 59037 Lille Cedex Ligne directe : 03 20 96 18 18 Ligne CHRU : 03 20 44 54 49 Fax : 03 20 44
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailUTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailALLERGIE RESPIRATOIRE
ALLERGIE RESPIRATOIRE Catherine NEUKIRCH Service de Pneumologie et Allergologie INSERM U700 Hôpital Bichat, Université Paris 7 Enquête allergologique chez l asthmatique : oui! Cause allergique retrouvée
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailURTICAIRE ET ANGIO-OEDEME
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours URTICAIRE ET ANGIO-OEDEME J.-P. Rieder 1 et T. Harr ² ¹Service de médecine de premier recours,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations. Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN
ALLERGIES ALIMENTAIRES : Etat des lieux et propositions d orientations Carine DUBUISSON Sébastien LA VIEILLE Ambroise MARTIN Janvier 2002 Les auteurs tiennent à remercier pour leurs suggestions et la lecture
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR. Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant
B. NOTICE 1 NOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser
Plus en détailDIAMICRON MR (Gliclazide) Monographie de produit Page 1 de 5
PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR Pr DIAMICRON MR Gliclazide Comprimés à libération modifiée de 30 mg Comprimés sécables à libération modifiée de 60 mg Le présent dépliant constitue la troisième
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailHYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN.
UNIVERSITE DE LIMOGES FACULTE DE PHARMACIE ************ ANNEE 2012 THESE N HYPERSENSIBILITES ALIMENTAIRES ALLERGIQUES CHEZ L ENFANT : DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET CONSEILS DU PHARMACIEN. THESE POUR LE DIPLOME
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailLes conditions de sécurité pour la réalisation des tests de provocation en allergologie Safety conditions for allergic challenge tests realization
Revue française d allergologie et d immunologie clinique 47 (2007) 323 332 http://france.elsevier.com/direct/revcli/ Revue critique Les conditions de sécurité pour la réalisation des tests de provocation
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DENOMINATION DU MÉDICAMENT Betaferon 250 microgrammes/ml, poudre et solvant pour solution injectable. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Interféron
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailNurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailExemple de Projet d Accueil Individualisé ELEVE CONCERNE
Exemple de Projet d Accueil Individualisé Circulaire projet d accueil n 2003-135 du 08/09/2003 (Bulletin Officiel n 34 du 18/9/2003) Circulaire restauration scolaire n 2001-118 du 25/06/2001(BO Spécial
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailFiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)
Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.
Plus en détail