Périmètre GIDI Présentation succincte de l application Caractérisation des déclarations

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Périmètre GIDI Présentation succincte de l application Caractérisation des déclarations"

Transcription

1 Congres International Sécurité des patients Bâle 211 Dr Aimad Ourahmoune MD, MPH Service Qualité des Soins Direction Médicale et Qualité Hôpitaux Universitaires de Genève Groupe de pilotage GIDI : A. Ourahmoune, P. Chopard, F. Herrmann, I. Douau, J. Simon, T. Laroche, L. Cingria, S. Vallon, S. Guenin, D. Paquet, S. Chalier, F. Mollard Chenevez Plan Périmètre GIDI Présentation succincte de l application Caractérisation des déclarations Evolution du nombre des déclarations Qui déclare? Que déclare-t-on? Quelles actions? 2

2 Périmètre GIDI Gestion des incidents / EIG bénins Incidents graves Déclaration volontaire Vigilances (hemo-, pharmaco-, Matério-) Groupe gestion des incidents des services/départements Déclaration obligatoire Secrétariat général Directions professionnelles confidentiel Analyse "système" pas de sanction Rapports d activités Rapports d activités Délégation du CD nominatif Analyse "système" Responsabilités (civile, pénale, disciplinaire) sanction possible Rapport individualisé Application institutionnelle (juin 27) Objectifs: Fournir une application permettant aux services de soins de gérer les incidents Des modalités de déclarations homogènes Une analyse des incidents selon les facteurs contributifs Une gestion des actions correctives Une analyse statistique (nbr d incidents/mois, par catégories ) La rédaction de rapports d activités structurés Avoir un concept et des outils communs

3 Notification 6

4 7 Nombre de personnes / GI / département 4 35 Anesthésiologie, Pharmacologie et Soins Intensifs Direction de la Logistique des Soins Direction et services communs DISIM Département de Chirurgie Département des Spécialités de Médecine Enfant et Adolescent Exploitation Gynecologie-Obstetrique Médecine Communautaire et Premier Recours Médecine Génétique et de Laboratoire Médecine Interne Neurosciences Cliniques Départements 74 groupes incidents avec 322 membre Moyenne 4 (1 à 17 personnes) 28 février 211 8

5 Incidents déclarés Juin 27: GIDI 25 Evolution des déclarations par département Anesthésiologie, Pharmacologie et Soins Intensifs Département de Chirurgie Département des Spécialités de Médecine Direction de la Logistique des Soins Direction et services communs DISIM Enfant et Adolescent Exploitation Gynecologie-Obstetrique Médecine Communautaire et Premier Recours Médecine Génétique et de Laboratoire Médecine Interne Neurosciences Cliniques Psychiatrie Réhabilitation et Gériatrie Structure Transdépartementale

6 Nb d'incident Nb d'incident Anesthésiologie, Pharmacologie et Soins Intensifs Anesthésiologie - incidents matériel Anesthésiologie - incidents (sauf matériel) Anesthésiologie - pharmacovigilance Soins Intensifs - incidents matériel Soins Intensifs - incidents (sauf matériel) Direction et services communs Blocs Opératoires Direction de la Logistique des Soins Pharmacie 1 3 Stérilisation centrale Transports Patients CR 2 5 1

7 Nb d'incident Structure Transdépartementale Centre de médecine pénitentiaire Hémo-Vigilance 1 Matério-Vigilance 1 Pharmaco-Vigilance 5 Secteur Privé 5 Anonymat et implication des déclarants 1% 1% 9% 9% 8% 8% 7% 7% 6% 6% 5% 5% 4% 4% 3% 3% 2% 2% 1% 1% % % anonyme nominatif Non Impliqué Impliqué

8 Professions des déclarants Médecin infirmier autre non renseigné % 7% 8% 53% Médecin infirmier autre non renseigné 1.33 infirmier pour 1 déclaration/an 2.62 médecin pour 1 déclaration/an 1.52 collaborateur HUG pour 1 déclaration/an Matériel impliqué Oui Non 1% 9% 8% 7% 2'33 2'732 3'311 3'859 6% 5% 4% 3% 1'81 2'93 1'962 1'936 2% 1% %

9 Codage IPSEC et Métier 34% 33% 34% 38% 35% 38% 11% 1% 1% 18% 22% 19% Nombre d'incidents codés IPSEC et Métier Nombre d'incidents codés qu'en IPSEC Nombre d'incidents codés qu'en Métier Nombre d'incidents NON codés Codage IPSEC et Métier par département (en 21) 1% 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% % Nombre d'incidents NON codés Nombre d'incidents codés qu'en Métier Nombre d'incidents codés qu'en IPSEC Nombre d'incidents codés IPSEC et Métier

10 Répartition du codage IPSEC (niveau 2) % 17% 3% 69% Evénement sans lien direct avec le patient; 1659; 34% Evénement affectant un collaborateur; 479; 1% Evénement sans lien direct avec le patient Evénement en lien direct avec le patient Evénement affectant un collaborateur Non codé IPSEC Evénement en lien direct avec le patient; 2717; 56% Répartition du codage IPSEC (niveau 3 et 4) Evénement sans lien direct avec le patient; 1659; 34% Evénement affectant un collaborate ur; 479; 1% Evénement en lien direct avec le patient; 2717; 56% 17; 1% 852; 31% Evénement en lien direct avec le patient 73; 3% 17; 4% 81; 3% 83; 3% Produits sanguins; 59; 7% 15; 5% 27; 8% 4; 15% Accident Agression Autres Non codé niv 4; 6; 1% Comportement du patient Documentation et communication Equipements et consommables Infection nosocomiale Management clinique non codé niv 3 Equipements et consommables Equipements et dispositifs médicaux; 326; 39% Médicaments; 439; 53%

11 Répartition du codage IPSEC (niveau 5) Equipements et consommables Produits sanguins; 59; 7% Non codé niv 4; 6; 1% Médicaments; 439; 53% Equipements et dispositifs médicaux; 326; 39% Qualité et Surveillanc stockage; 15; e; 5; 1% 3% Prescription; 57; 13% Médicaments non codé niv 5; 12; 3% Administratio n; 116; 26% Contreindication; 1; % Inadéquation; 24; 7% Equipements et dispositifs médicaux Indisponibilité; 28; 9% non codé niv 5; 17; 5% Absence de désinfection, décontaminati on; 3; 1% Préparation, dispensation; 233; 53% Effet indésirable; 4; 1% Erreur d'utilisation ; 4; 12% Effet indésirable; 29; 9% Défaillance, dysfonctionne ment; 187; 57% Retrospective analysis of drug-related incidents voluntarily declared in a General Internal Medicine service D. Carli 1,2, E. Gerstel 3, S. Le Du 3,4, M. Tarpin-Lyonnet 3, B. Guignard 1, P. Chopard 4, P. Bonnabry 1,2, A. Perrier 3,5. Drugs involved in incidents Most drug classes involved were narcotics and anticoagulants with morphine,methadone and heparin being the most cited.

12 15% 11% 75% Codage des actions Non codé Codé IPSEC Codé métier Locaux; 6; % Declaration Vigilance; 21; 1% Documents; 72; 4% Système d'information; 134; 8% codé Autres; 565; 32% Personnes; 473; 27% Investigation supplémentai re; 237; 14% Equipement; 245; 14% Recrute ment; 7; 1% Formatio n; 79; 17% Acquisiti on; 5; 2% Personnes Equipement Retrait ; 11; 5% non codé; 1; 4% non codé; 6; 1% Informat ion; 381; 81% Modifica tion; 127; 52% Réparati on; 47; 19% 23 15% 11% Codage des actions Non codé Codé IPSEC Codé métier transformateur; 12; % support tuyaux; 21; 1% stimulateur de nerf; 19; 8% sonde thermique; 15; 4% Materiel concernée ventilateur; 38; 15% autre cable; 9; 4% aspiration; 51; 2% autres; 18; 4% bouton poussoir PCA; 28; 1% cable ECG; 8; % cable Artère; 12; % cable Satu; 2; % chargeur laryngoscope; 19; 1% défibrillateur; 34; 1% fibroscope; 33; 1% fouet ECG; 67; 3% lame de laryngoscope; 19; 1% manche laryngoscope; 199; 8% 75% réchauffeur perfusion; 53; 2% réchauffeur patient; 49; 2% pousse-seringue; 159; 6% pompe volumétrique; 92; 4% pince Satu; 193; 8% moniteur; 229; 9% pb électrique; 21; 1% manchette à pression; 1; 4% manchette à tension; 122; 5% mano détendeur O2; 66; 3% 24

13 Codage des actions Materiel concernée Non codé Codé IPSEC Codé métier défibrillateur; 34; 1% 15% 246 ventilateur; 38; 15% fibroscope; 33; 1% 11% 1753 stimulateur de nerf; 19; 8% fouet ECG; 67; 3% manche laryngoscope; 199; 8% 75% manchette à pression; 1; 4% pousse-seringue; 159; 6% pompe volumétrique; 92; 4% pince Satu; 193; 8% moniteur; 229; 9% manchette à tension; 122; 5% mano détendeur O2; 66; 3% 25 15% 11% Codage des actions Non codé Codé IPSEC Codé métier Actions Groupe Materiel Autre; 5; % Corrigé sur place; 7; % Echange sans réparation; 284; 12% Irréparable; 393; 17% Réparé; 1225; 51% 75% Panne non constatée; 223; 9% Réparation non nécessaire; 84; Problème lié à 4% l'utilisateur; 3; 1% Pas d'information; 124; 5% Pas réceptionné à l'atelier; 26; 1% 26

14 Perspectives Renforcement des capacités d analyse et de codage par les groupes: Poursuite de la formation 27 Formation Formation Gestion des Incidents (formation 3 j) : : 312 collaborateurs HUG Formation application GIDI (formation 2h) : :18 séances : 183 collaborateurs HUG 28 février

15 Perspectives Renforcement des capacités d analyse et de codage par les groupes: Poursuite de la formation Rapport systématique périodique au niveau des services/départements (supervision par les Quality officers) Evolution de la classification au niveau départemental Communication Connexion au système national (CIRRNET) 29 3

16 31 32

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des

Plus en détail

Futur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015. Gouvernance opérationnelle

Futur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015. Gouvernance opérationnelle Futur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015 Gouvernance opérationnelle 2010-2015 Gouvernance opérationnelle 2010-2015 Sommaire Avant-propos par Bernard Gruson 02 Gouvernance opérationnelle 03 En bref

Plus en détail

Analyse des incidents

Analyse des incidents Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité

Plus en détail

Risques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010

Risques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010 Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Logiciels de gestion sur mesure Etude et développement. Logiciel de suivi des évènements indésirables dans les établissements hospitaliers

Logiciels de gestion sur mesure Etude et développement. Logiciel de suivi des évènements indésirables dans les établissements hospitaliers Logiciels de gestion sur mesure Etude et développement VIGITRACE Logiciel de suivi des évènements indésirables dans les établissements hospitaliers VIGITRACE Page 2 1. Préambule Le logiciel «Vigitrace»

Plus en détail

HosmaT - ciculaire DHOS/O1 n 2005-256

HosmaT - ciculaire DHOS/O1 n 2005-256 Circulaire DHOS/E 4 n 2005-256 du 30 mai 2005 relative aux conditions techniques d alimentation électrique des établissements de santé publics et privés NOR : SANH0530245C Date d application : immédiate.

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

Maîtrise universitaire d études avancées (MAS) en pharmacie hospitalière. Dossier de présentation et programme

Maîtrise universitaire d études avancées (MAS) en pharmacie hospitalière. Dossier de présentation et programme Maîtrise universitaire d études avancées (MAS) en pharmacie hospitalière Dossier de présentation et programme V6/30.04.07: annule et remplace V5 de avril 2006 TABLE DES MATIERES Page 1. Préambule 3 2.

Plus en détail

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)

Plus en détail

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou

Plus en détail

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

La gestion des risques dans les établissements de soins

La gestion des risques dans les établissements de soins La gestion des risques dans les établissements de soins Forum des Usagers 01/03/2010 Dr Agnès PERRIN Sce de Gestion du Risque Infectieux et des Vigilances CHRU de LILLE Débuts de la gestion des risques

Plus en détail

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du

Plus en détail

le réseau des systèmes locaux de déclaration des erreurs

le réseau des systèmes locaux de déclaration des erreurs > Critical Incident Reporting & Reacting NETwork le réseau des systèmes locaux de déclaration des erreurs www.patientensicherheit.ch www.cirrnet.ch Objectifs est le réseau des systèmes locaux de déclaration

Plus en détail

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»

«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,

Plus en détail

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa : POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page

Plus en détail

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Soins infirmiers et gestion des risques

Soins infirmiers et gestion des risques Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Apprendre un métier et

Apprendre un métier et Technicien en Installation des Equipements Electriques et Electroniques Ref : 0701309 Mon métier : je réalise des installations électriques, je mets en service et assure la maintenance de ces installations.

Plus en détail

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :

Politique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants : POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

4. Base de données des connaissances

4. Base de données des connaissances 4. Base de données des connaissances DE Management communication et animation Finances comptabilité, contrôle Soins et activités paramédicales management général management de projet communication, accueil

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY Lanuéjols 48000 MENDE SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p. 3 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT

Plus en détail

Qualité et gestion des risques

Qualité et gestion des risques formation 2007 Qualité et gestion des risques Qualité et certification HAS Démarche qualité Qualité et certification ISO Qualité en imagerie Qualité au laboratoire Management des risques Risques spécifiques

Plus en détail

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5

WHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

3 e symposium international

3 e symposium international 3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination

Plus en détail

Réduire les risques en santé

Réduire les risques en santé Réduire les risques en santé «Mieux vaut penser le changement que changer le pansement» Marie-Françoise Dumay, Garménick Leblanc, Marc Moulaire, Gilbert Mounier 1 Définition du risque «Possibilité de dommage»

Plus en détail

Contenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage

Contenu. Introduction. Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs. Retrait de certains indicateurs. Répondants au sondage Contenu Introduction Répondants au sondage Établissement des priorités pour l élaboration des indicateurs Pour chacun des quadrants Pour les dimensions des quadrants Retrait de certains indicateurs Indicateurs

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE

curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 6 : Risque iatrogène Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Emergence

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

Projet QUALIMED et Maintenance Biomédicale

Projet QUALIMED et Maintenance Biomédicale CHUV Bugnon 11 1011 Lausanne SUISSE Projet QUALIMED et Maintenance Biomédicale Stage de fin d études Du 19 février 2007 au 9 juin 2007 Service Technique Atelier de maintenance biomédicale Maître de stage

Plus en détail

Observatoire Valaisan de la Santé

Observatoire Valaisan de la Santé Observatoire Valaisan de la Santé 02 Sommaire Un Observatoire de la santé pour décider 03 - Un outil indispensable pour piloter le système de santé 03 Une création par étapes 04 Organisation et Mission

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION

OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement

Plus en détail

Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques

Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques 6ème journée "Actualités et perspectives» Réseau d Hémovigilance Aquitaine Limousin 27/11/08 Dr P.Roussel Institut National

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale

Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux

Plus en détail

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d

Plus en détail

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013

ZOOM ETUDES Les études paramédicales. Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 ZOOM ETUDES Les études paramédicales Auditorium de l Institut Français du Bénin 9 novembre 2013 L enseignement supérieur français - santé Études de médecine, pharmacie et odontologie : Universités en partenariat

Plus en détail

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) 3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier

Plus en détail

Identification, évaluation et gestion des incidents

Identification, évaluation et gestion des incidents Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées

3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées 3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

La responsabilité juridique des infirmiers. Carine GRUDET Juriste

La responsabilité juridique des infirmiers. Carine GRUDET Juriste La responsabilité juridique des infirmiers Carine GRUDET Juriste Introduction Dans notre société civile, la responsabilité est un principe juridique selon lequel chacun doit répondre des conséquences de

Plus en détail

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

Pharmacovigilance des Essais cliniques

Pharmacovigilance des Essais cliniques Pharmacovigilance des Essais cliniques Edouard LECHAPTOIS DIU FIEC 22 janvier 2013 1 Introduction S o m m a i r e Eléments de réglementation Définitions Responsabilité des investigateurs / promoteurs Organisation

Plus en détail

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques

Plus en détail

La sécurité des patients

La sécurité des patients Amélioration des pratiques et sécurité des soins La sécurité des patients Mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins en établissement de santé Des concepts à la pratique Partie 5 Des fiches

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1

Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures

Plus en détail

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p

Plus en détail

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient

Plus en détail

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un

Plus en détail

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la

Plus en détail

La gestion des risques en hygiène hospitalière

La gestion des risques en hygiène hospitalière La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)

Plus en détail

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal

Plus en détail

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis

STACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis 3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine

Plus en détail

La Revue de Direction. Norme ISO 13485 5.6. Dispositifs médicaux

La Revue de Direction. Norme ISO 13485 5.6. Dispositifs médicaux La Revue de Direction Norme ISO 13485 5.6 Dispositifs médicaux D. Paquet 21.02.2013 Organigramme de la gestion des équipements OUI Cela fonctionne? NON N y touche pas OUI Y as-tu touché? Idiot NON Quelqu

Plus en détail

va être opéré d un hypospadias

va être opéré d un hypospadias Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications

Plus en détail

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité

Plus en détail

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 [POLITIQUE QUALITE, GESTION DES RISQUES, SECURITE DES SOINS, ENVIRONNEMENT] 1 ENGAGEMENTS QUALITÉ, SÉCURITÉ, GESTION DES RISQUES ET ENVIRONNEMENT Depuis sa

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Les audits de l infrastructure des SI

Les audits de l infrastructure des SI Les audits de l infrastructure des SI Réunion responsables de Catis 23 avril 2009 Vers un nouveau modèle pour l infrastructure (CDSI Avril et Juin 2008) En dix ans, les évolutions des SI ont eu un fort

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :

Plus en détail

Programme d appui à la prévention et la prise en charge de la malnutrition aigüe sévère au Mali

Programme d appui à la prévention et la prise en charge de la malnutrition aigüe sévère au Mali 1 Programme d appui à la prévention et la prise en charge de la malnutrition aigüe sévère au Mali Nom et Prénom Fonction Affectation Responsable hiérarchique (superviseur direct) Collaboration Subordonnés

Plus en détail

Votre bébé a besoin de soins spéciaux

Votre bébé a besoin de soins spéciaux Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il

Plus en détail

Application de l ingénierie des systèmes d information institutionnels au domaine financier dans le contexte des accords de Bâle II Abdelaziz KHADRAOUI Contact: abdelaziz.khadraoui@cui.unige.ch Forum International

Plus en détail

La responsabilité juridique des soignants

La responsabilité juridique des soignants La responsabilité juridique des soignants Les soignants, face à des conditions de travail parfois difficiles et aux aléas de la médecine, songent plus souvent aux risques thérapeutiques qu aux risques

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage

Plus en détail

Septembre 2011. 4, avenue Ruysdaël 75379 Paris Cedex 08 Téléphone : 0033/1.56.21.34.84 - Fax : 0033/1.56.21.34.79 Email : iadenot@ordre.pharmacien.

Septembre 2011. 4, avenue Ruysdaël 75379 Paris Cedex 08 Téléphone : 0033/1.56.21.34.84 - Fax : 0033/1.56.21.34.79 Email : iadenot@ordre.pharmacien. Réponse de l Ordre national des pharmaciens de France au livre vert de la Commission européenne «Moderniser la directive sur les qualifications professionnelles COM/2011/367» Septembre 2011 Remarques préliminaires

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

Simulation en aviation

Simulation en aviation Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en

Plus en détail

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013 La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du

Plus en détail

Mise en œuvre d un système de procédures de maintenance des équipements biomédicaux au CH de Mulhouse Sylvain Patrice KANGNI INTRODUCTION

Mise en œuvre d un système de procédures de maintenance des équipements biomédicaux au CH de Mulhouse Sylvain Patrice KANGNI INTRODUCTION INTRODUCTION La garantie des soins dans un établissement de santé passe nécessairement par les efforts du Service Technique Biomédical chargé de la gestion des dispositifs médicaux. A l inverse de la situation

Plus en détail

Futur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015. Plan stratégique

Futur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015. Plan stratégique Futur bâtiment des lits (Bdl 2) vision 2015 Plan stratégique 2010-2015 PLAN STRATéGIQUE 2010-2015 EN BREF : 1 vision 7 objectifs 7 programmes d actions Enjeu 1 Adapter notre CAPACITé aux nouveaux besoins

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR CENTRE HOSPITALIER DE LA ROCHELLE

REGLEMENT INTERIEUR CENTRE HOSPITALIER DE LA ROCHELLE REGLEMENT INTERIEUR DU CENTRE HOSPITALIER DE LA ROCHELLE SOMMAIRE p. 1/4 INTRODUCTION CHAPITRE I - ORGANISATION SECTION 1 - ORGANISATION ADMINISTRATIVE Sous-section 1 - Le Conseil d Administration Sous-section

Plus en détail

La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL. Dr Hervé LECLET. Santopta

La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL. Dr Hervé LECLET. Santopta La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL Dr Hervé LECLET Tous les centres d'imagerie médicale doivent assurer la sécurité informatique de leur système d'information

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail