INSPECTION SUBAQUATIQUE BARRAGE DE GRAND MAISON (38)

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1 DOSSIER DE PRESSE AOUT 2012 INSPECTION SUBAQUATIQUE BARRAGE DE GRAND MAISON (38) Un geste simple pour l'environnement, n'imprimez ce message que si vous en avez l'utilité. UNITE DE PRODUCTION ALPES 37 rue Diderot GRENOBLE EDF SA au capital euros R.C.S. Paris CONTACT PRESSE : Catherine Yazbek Directrice de la Communication com-upalpes@edf.fr

2 EDF réalise une inspection subaquatique du barrage de Grand Maison Mis en service en 1987, le barrage de Grand Maison est l ouvrage de tête de l aménagement hydroélectrique de Grand Maison, le plus puissant de France avec près de 1800 MW mobilisables sur le réseau électrique français en quelques minutes. Du 30 juillet au 3 août 2012, pour la première fois depuis la construction de l ouvrage, EDF réalise une inspection subaquatique des galeries d amenée et de vidange de fond du barrage de Grand Maison, organes majeurs de la sûreté hydraulique de l ouvrage. Cette inspection se déroule à 120 m de profondeur sous la retenue et nécessite l intervention de deux plongeurs spécialisés qui, confinés dans des caissons hyperbares, auront pour mission d ouvrir les grilles donnant accès aux galeries immergées pour permettre le passage de deux robots sous-marins. Ces derniers, reliés aux pontons par un «cordon ombilical» long de près de 1000 mètres, contrôlent l intérieur des galeries afin de vérifier leur intégrité. Lors des travaux, le fonctionnement de la centrale de Grand Maison est suspendu du 30 juillet au 10 août et le débit réservé maintenu à travers la prise d eau de la vidange de fond. Pour permettre une meilleure visibilité des relevés vidéo des robots, le fonctionnement en pompage de la centrale de Grand Maison est suspendu 2 jours avant l intervention des robots. Cette investigation subaquatique est conduite simultanément avec l Examen Technique Complet (ETC) du barrage de Grand Maison afin de limiter au maximum l indisponibilité de l aménagement et optimiser la mobilisation des moyens humains et techniques (voir ETC page 10 de ce dossier). Prise d eau Vidange de fond / Dérivation provisoire Prise d eau usinière Bâtiment d exploitation Prise d eau usinière - 2 -

3 SOMMAIRE 1. L AMENAGEMENT DE GRAND MAISON Le barrage de Grand Maison Le barrage du Verney Une Station de Transfert d Energie par Pompage (STEP) Le groupement d usines de Grand Maison 2. INSPECTION SUBAQUATIQUE DES GALERIES D AMENEE ET DE VIDANGE DE FOND DU BARRAGE 3. LA SÛRETE DES INSTALLATIONS : UNE PRIORITE Surveiller les installations au quotidien Garantir la sûreté des grands barrages, sous le contrôle des pouvoirs publics - 3 -

4 1. L AMENAGEMENT DE GRAND MAISON La centrale de Grand-Maison est située au cœur de la vallée de l Eau d Olle qui, encadrée par les massifs de Belledonne et des Grandes Rousses, s étend de la Savoie jusqu à la plaine de Bourg d Oisans et la vallée de la Romanche. La crête du barrage de Grand-Maison est située à l altitude de m. La centrale est située sur la commune de Vaujany. Une Station de Transfert d Energie par Pompage (STEP) La plus puissante de France, la centrale de Grand-Maison est une Station de Transfert d Energie par Pompage (STEP). En stockant l'eau pendant les périodes de faibles consommations, la STEP représente une réserve de puissance quasi immédiate en cas de fortes demandes. L aménagement comprend deux bassins : l un constitue la retenue supérieure de Grand-Maison l autre est situé immédiatement en aval et forme le bassin inférieur du Verney L eau contenue dans la retenue de Grand-Maison est turbinée pour produire de l électricité aux heures de pointe, puis stockée dans le bassin du Verney. Elle est remontée par pompage pendant les heures creuses. Le pompage - 4 -

5 pendant les périodes de moindre consommation (la nuit et le week-end, le printemps et au début de l été) permet d'utiliser 4 ou 5 fois l eau de la retenue supérieure avant de la restituer à la rivière. Mise en service en 1985, la centrale de Grand Maison qui comprend 12 groupes de 150 MW chacun, se compose de deux usines : 4 groupes, fonctionnent en turbines et sont installés dans un bâtiment extérieur, 8 groupes fonctionnent en turbines ou en pompes et sont installés dans un ouvrage souterrain. La puissance installée de l aménagement est de 1800 MW, mobilisables sur le réseau électrique français en quelques minutes. Le barrage de Grand Maison Situé à 1700 m d altitude, le barrage de Grand Maison est l ouvrage de tête de l aménagement. C est un barrage type poids, en terre et enrochements. Il comporte, au centre, un noyau vertical étanche large de plus de 100 m à sa base. Il mesure 140 m de haut au-dessus du terrain naturel. La longueur en crête est de 550 m, à la base, la largeur est de 650 m. La retenue est de 249 ha et de 3,3 km de long. La capacité maximale du réservoir est de 140 millions de m 3 d eau dont 132 millions de m 3 constituent la capacité utile. Tous les ouvrages de prise d eau, vidange de fond, évacuateur de crue de surface ainsi que le bâtiment de surveillance sont implantés dans l appui en rive gauche du barrage. La construction du barrage de Grand Maison s est déroulée de 1978 à 1985 et sa mise en service a eu lieu fin Le barrage du Verney Situé à 770 m d altitude, le barrage du Verney est un barrage type poids, constitué d une digue en alluvions, avec une paroi étanche en amont. Il mesure 42 m de haut au-dessus du terrain naturel. La longueur en crête est de 430 m, à la base, la largeur est de 195 m. La capacité maximale du réservoir est de 15,4 millions de m3 d eau dont 14,2 millions de m3 constituent la capacité utile. Sa mise en service a eu lieu en Le groupement d usines de Grand Maison Le groupement est formé de la centrale principale, Grand Maison, et de deux autres centrales : le Verney et Oz. Tout comme la centrale de Grand Maison, la centrale du Verney se situe à 900 m à l aval du barrage de Grand Maison. Elle comprend 2 groupes qui totalisent une puissance de 23,7 MW. A l aval du barrage du Verney, l aménagement s achève par la centrale d Oz équipée d un groupe turbine de 11 MW qui utilise une deuxième fois l Eau d Olle avant de la restituer définitivement à son cours naturel

6 - 6 -

7 2. INSPECTION SUBAQUATIQUE DES GALERIES D AMENEE ET DE VIDANGE DE FOND DU BARRAGE Profitant d un Examen Technique Complet, EDF a pris l initiative de réaliser, pour la première fois depuis la mise en service du barrage en 1987, une inspection des galeries d amenée et de vidange de fond. Situées à plus de 100 m de profondeur, ces 2 galeries sont fermées par des grilles qui ne permettent pas le passage des robots. Afin d assurer l inspection par un robot sous-marin (ROV : Remote Operated Vehicule), des plongeurs doivent donc intervenir pour ouvrir le portillon de la prise d eau usinière qui alimente la centrale, soulever le barreau d accès à la galerie de vidange de fond et fermer l ensemble après le passage des robots. Deux plongeurs spécialisés en travaux subaquatiques de la société Hydrokarst travailleront à 112 m de profondeur pendant 3 Le caisson hyperbares jours. Pour effectuer leurs travaux en toute sécurité, ils seront isolés dans un caisson hyperbars pendant 5 jours. Plus de 20 personnes assureront la surveillance de ces 2 plongeurs pendant toute la durée de l intervention, à partir d un ponton de 300m 2 installé sur la retenue du barrage. Pour inspecter la galerie d amenée sur 600 m et la galerie de vidange de fond sur 400 m, 2 robots (un de la société SASA et un de la société BAULAND TP) plongeront à 120 m. Pilotés et commandés par une régie de contrôle, positionnée sur un ponton de 50 m 2, 24h/24 pendant 3 jours, ils sont alimentés depuis la surface par l intermédiaire d un câble par un cordon ombilical de 1000 m. Equipés d'une caméra couleur orientable, d'un système d'éclairage diffus, d'un dispositif d'éclairage ponctuel permettant l'éclairage d'une zone spécifique, et d'un dispositif de positionnement du robot dans son environnement, ces robots de dernière technologie permettent des relevés par imagerie acoustique, palpeur d épaisseur Les ingénieurs suivent sur un écran les déplacements du robot et visualisent en direct les images filmées par caméra. Le robot Le film réalisé est ensuite analysé par des spécialistes pour établir le rapport d'inspection archivé sur un DVD pour une utilisation ultérieure. Ces archives serviront notamment à DTG* qui capitalise toutes les données concernant le suivi des aménagements de production d'électricité, et notamment les barrages. Cette base de données permet de réaliser un suivi régulier et d'établir des diagnostics à partir de données fiables afin de garantir la surveillance optimale des ouvrages dans le temps

8 * DTG ou Division Technique Générale est l unité d ingénierie d EDF spécialisée dans la mesure et la surveillance des ouvrages hydrauliques et nucléaires et dont le siège est situé à Grenoble. Les atouts d une inspection subaquatique Souplesse et rapidité de l'intervention : une vidange se serait déroulée sur plusieurs semaines et aurait rendu l'ouvrage indisponible pour ses fonctions de base (production hydroélectrique et réserve d'eau). Sans vidange, le barrage ne sera indisponible, en journée ouvrable, que quelques jours lorsque les plongeurs et les robots se trouveront près de la zone de prise d'eau. Pas de contrainte pour les autres usages de l'eau puisque la retenue d'eau est maintenue à son niveau habituel. Pas d'impact sur l'environnement, sur la qualité de l'eau, ni sur la vie piscicole, puisque la retenue n'est pas vidée

9 3. LA SÛRETE DES INSTALLATIONS : UNE PRIORITE Conçus pour une durée de vie très longue, les ouvrages hydrauliques du parc de production d EDF font l objet d un suivi et d un entretien régulier et très rigoureux, sous le contrôle vigilant des pouvoirs publics. EDF a développé une politique de sûreté hydraulique qui recouvre l ensemble des dispositions prises lors de la conception, l exploitation ou la maintenance des aménagements hydroélectriques pour assurer la sécurité des personnes, des biens et de l environnement contre les risques liés à l eau et dus à la présence et à l exploitation des ouvrages. Cette démarche se structure autour de trois lignes d actions complémentaires de maîtrise des risques. Pour la sécurité des personnes, des biens et de l environnement vis-à-vis des variations de débit résultant de l exploitation normale des ouvrages (démarrages, arrêts de turbines, etc.), Pour l exploitation des ouvrages en période de crue, Pour la prévention de rupture d ouvrages, ou parties d ouvrages, dont la défaillance pourrait mettre en cause la sécurité des personnes, des biens ou de l environnement. Surveiller les installations au quotidien Les exploitants, les ingénieurs et les équipes de maintenance d EDF surveillent, contrôlent et auscultent régulièrement tous les composants des ouvrages hydrauliques, qu il s agisse des barrages, des vannes, des conduites forcées, etc. Dès leur mise en eau et tout au long de leur exploitation, les barrages sont surveillés, auscultés et entretenus. Ils sont équipés de différents moyens permanents d auscultation, mis en place dès la construction. On mesure en particulier les mouvements des barrages (par relevé topographique et pendules d auscultation) et leur comportement hydraulique (influence de l eau sur la stabilité et le comportement de l ouvrage) par mesure des infiltrations d eau et des sous-pressions. Ces capteurs servent à suivre en permanence la bonne santé de l ouvrage. D une grande précision, ils détectent des déplacements de quelques dixièmes de millimètre sur des barrages de plusieurs centaines de mètres de long. Les mesures sont soit réalisées par l exploitant lors de visites d inspection, soit enregistrées automatiquement. Elles sont alors transmises à distance à un centre de calcul où elles sont enregistrées et analysées pour obtenir des «diagnostics de santé» des ouvrages. Depuis les centres de télé-auscultation de Grenoble et de Toulouse, EDF suit en temps réel tous les indicateurs de sûreté des barrages : tassements, pressions, micro-mouvements... Les équipes d ingénierie peuvent ainsi anticiper les évolutions de ces indicateurs et programmer, si besoin, les opérations de maintenance nécessaires. Les équipes d EDF assurent le traitement et l exploitation de toutes ces mesures, afin de mettre en évidence d éventuels comportements inhabituels, consignés dans le rapport d auscultation. Ce dernier livre une étude des comportements mécaniques (analyse des déplacements) et hydrauliques (analyse des niveaux piézométriques et des débits de fuites) des barrages

10 Au-delà de l analyse du comportement de chaque ouvrage, l expérience acquise depuis plus de 60 ans ainsi que l importance du parc d ouvrages auscultés en France et l étranger permettent : de réaliser des synthèses de l ensemble des données recueillies (tassement des ouvrages, déplacements, débits de fuites ), d établir un véritable «bilan de santé» des ouvrages, de participer, par la mise en évidence de problèmes éventuels, à leur maintenance préventive. Ce rapport donne également à l exploitant un avis sur l'état de son barrage, permettant une exploitation et une maintenance irréprochables. Selon la réglementation en vigueur, les rapports d auscultation doivent être produits tous les 2 ans pour les grands barrages français. Ces documents sont envoyés aux Directions Régionales de l Environnement, de l Aménagement et du Logement (DREAL) en charge du contrôle de la sécurité des installations hydroélectriques. Garantir la sûreté des grands barrages, sous le contrôle des pouvoirs publics La surveillance des barrages dépassant les 10 mètres de hauteur est soumise à des exigences réglementaires strictes. Des inspections sont menées par les DREAL afin de vérifier la tenue satisfaisante des ouvrages, ainsi que le respect et l efficacité des mesures de contrôle. EDF informe également chaque année les DREAL des résultats de ses contrôles de sûreté. L inspecteur sûreté hydraulique du groupe EDF rédige tous les ans un rapport sur la sûreté mis en ligne sur Internet, diagnostic sans complaisance de toutes les installations. Grâce à cette analyse régulière, EDF peut maîtriser ses risques. Les grands barrages, de plus de 20 m, sont soumis à un Examen Technique Complet (ETC) au cours duquel est réalisé un check-up complet de l ouvrage et de l ensemble de ses composants, en s attachant particulièrement à observer les parties habituellement immergées de l ouvrage. Cette observation s effectue au moyen d une vidange de la retenue ou, lorsque cela est techniquement possible, par l utilisation d un robot subaquatique. L objectif de cet examen est de s assurer que le barrage et ses ouvrages de sûreté sont dans un état satisfaisant et qu ils peuvent remplir l ensemble de leurs fonctions. En mars 2012, l Examen Technique Complet (ETC) du barrage du Verney, barrage inférieur de l aménagement de Grand Maison, a permis l étude approfondie du parement avec son nettoyage, la réparation des désordres du revêtement bitumineux et l évacuation des corps flottants. En août 2012, l ETC du barrage de Grand Maison portera plus spécifiquement sur la visite des vannes de vidange et des vannes de galeries. S agissant d un barrage en remblais, il n y a donc pas d inspection du parement

11 GLOSSAIRE Canal de fuite : canal qui permet d évacuer toute l eau qui sort des turbines de la centrale jusqu à la rivière. Conduites forcées : Gros tuyaux fixés à flanc de montagne ou enterrés, qui conduisent l eau depuis la prise d eau jusqu aux turbines. Débit : volume de liquide qui s écoule dans un temps donné. Le débit d une rivière s exprime en général en m3/s (mètre cube par seconde). Un mètre-cube est un volume correspondant à un cube d un mètre d arête. Débit réservé : débit minimal qui garantit la vie de la rivière, la circulation et la reproduction des espèces. Galerie d amenée : tunnel souterrain qui amène l eau du barrage où elle est captée jusqu à la centrale où elle actionne les turbines Prise d eau : construction en forme d entonnoir équipée de grilles qui capte l eau dans le barrage et permet de l entonner dans la galerie. Puissance installée : puissance électrique maximum que peuvent fournir les turbines d'une installation (exprimée en watts (W), kilowatts (kw) et mégawatts (MW)). Retenue : lac artificiel permettant de retenir et de stocker l eau grâce à un barrage. Rive : bande de terre qui longe un cours d eau. Quand on se met dans le sens de l écoulement de la rivière, on appelle rive droite celle qui est à droite du cours d eau et rive gauche, celle qui est à sa gauche. Vannes : panneau vertical qui, à la manière d une porte, va plus ou moins fermer la passe d un barrage pour élever le niveau de l eau à la hauteur souhaitée. Vidange de fond : Conduite munie d'une vanne et située dans la partie inférieure d'un barrage, utilisée notamment pour vidanger complètement la retenue ou évacuer des dépôts solides

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