Comment les virus usurpent les voies de transport cellulaires?
|
|
- Edmond Lamarche
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Comment les virus usurpent les voies de transport cellulaires? Fabienne Rayne Laboratoire Microbiologie Fondamentale et Pathogénicité UMR novembre 2013
2 Cours non exhaustif Quelques exemples pour illustrer ce thème
3 Les voies de transport cellulaire : voies d entrée, de sortie et trafic Entrée = Endocytose internalisation de molécules et de grosses particules dans la cellule Trafic intracellulaire dans le cytoplasme : transport vésiculaire (cytosquelette) dans le cytosol : transport de molécules (cytosquelette) Sortie = Exocytose transport par des vésicules de sécrétion libération de molécules dans le milieu extérieur ou exposition à la surface D après Trafficking Inside Cells: Pathways, Mechanisms and Regulation
4 Les voies de transport cellulaires : fonctions principales Répondre aux signaux extérieurs (ex : facteurs de croissance, stress mécanique), transduction de signal Régulation négative du signal (ex : récepteur aux facteurs de croissance ) : internalisation du complexe récepteur /ligand pour diminuer exposition à la surface désensibilise la cellule une fois le signal transmis Entrée de nutriments sous forme de macromolécules (ex : cholestérol par LDL, fer par la transferrine) Transcytose : passage de molécules de la partie apicale à la partie basolatérale des cellules polarisées Tri, recyclage, dégradation, stockage, maturation de molécules dites «CARGO» Trafic intracellulaire pour cibler les protéines cellulaires vers leur compartiment de destination ex : protéine résidant dans le RE, protéines membranaires enchâssées dans la membrane plasmique Exocytose de molécules ex : neurotransmetteurs, hormones
5 Les voies de transport cellulaires : réseau complexe Réseau complexe de voies de transport : mouvements de l extérieur de la cellule vers l intérieur ET mouvements du RE vers l extérieur de la cellule Implication de différents compartiments (RE, Golgi, endosomes, lysosomes) Existence d interconnections entre les voies Voies utilisées par les virus pour passer la première barrière de la cellule : membrane plasmique D aprèsle livre Molecular biology of the cell, 2002, 4ème édition
6 Les voies d endocytose : caractéristiques et classifications possibles Récepteurs Radeaux lipidiques «rafts» Actine Dynamine Clathrine Cavéoline Mayor et al, 2006, Nat Rev Mol Cell Biol
7 Les voies d endocytose : caractéristiques et classifications possibles TPA induces macropinocytosis in A431 cells. Phagocytose et macropinocytose Merceret al, 2010, Ann RevBiochem TPA = ester de phorbol Grimmer et al, 2002, J Cell Science Formations d extensions vers le milieu extérieur Phagocytose - Cellules spécialisées (macrophages, polynucléaires éosinophiles et neutrophiles) - Formation d un phagosome dans la cellule Macropinocytose - En théorie toutes les cellules -Ne dépend pas de la présence d une particule -Non spécifique mais peut être induite par des facteurs de croissance par ex - Entrée massive de fluide et solutés - Remodelage actine et formation d un macropinosome - Macropinosome mature en endosome précoce, puis tardif et fusionne avec lysosome
8 Les voies d endocytose : caractéristiques et classifications possibles Récepteurs Autres voies Radeaux lipidiques «rafts» Clathrine Dynamine 2-5 min Rapide Dynamine Cavéoline Lent (>60 min) ph neutre min ph acide min Schütze et al, 2008, Nat Rev Mol Cel Biol
9 Endocytose par les puits recouverts de clathrine Voie dépendante de la clathrine -La mieux connue Autres voies -Dépend de la liaison d un ligand sur son récepteur (ex: transferrine sur Rctransferrine; EGF sur le Rcà l EGF) - Caractérisée par la formation de puits recouverts d un manteau de clathrine caractéristique -Dépend de la clathrineet de la dynamine - Endosome précoce, de tri, tardif (ph acide) et fusion avec lysosome (ph acide/enzymes de dégradation) UBC, Vancouver, Canada a : Tf -or dans les puits recouverts de clathrine b : Cryomicroscopieet visualisation du manteau de clathrinesur la face interne de la membrane Mayoret al, 2006, Nat RevMol CellBiol
10 Les voies d endocytose : caractéristiques et classifications possibles Voie cavéoles/cavéoline Autres voies - Découverte en étudiant le virus SV40 (polyomavirus, non enveloppé, même famille BK et JC) - Riche en lipides particuliers (cholestérol et sphingolipides) qui forment les radeaux lipidiques «Rafts» - Forment des cavéosomes(ph neutre, absence des marqueurs des endosomes) -Cargo dans cavéosomespeut être dirigé vers le RE en passant par les endosomes -Dépend de la cavéoline, de la dynamine, de l actine et des rafts - Toxine cholérique connue pour utiliser cette voie d entrée dans certaines cellules (marqueur) Voies indépendantes de la clathrine et de la cavéoline Voie cavéoles (dépendante cavéoline, radeaux lipidiques) c : Cavéoles d : Toxine cholérique - péroxydase Voie indépendante de la clathrineet de la cavéoline e : Ancre GPI-GFP f : Toxine cholérique -péroxydase Mayor et al, 2006, Nat Rev Mol Cell Biol
11 Les voies d endocytose : des endosomes aux lysosomes Récepteurs Rafts Dynamine Cavéoline Actine Clathrine Endosome précoce ph acide Corps multivésiculaires Endosome tardif Tsg101 Hrs Dégradation Modifié d après Merceret al, 2010, Ann Rev Biochem
12 Voies d endocytose détournées pour l entrée des virus : avantages Avantages de l endocytose pour les virus : -ne laisse pas de trace de passage du virus sur la membrane (évite reconnaissance de la cellule infectée par le SI) -mécanismes pré-existantsdans la cellule : toute la machinerie cellulaire est là, prête à l emploi! -caractérisquesdes différents types d endosomes (ph par ex) utilisées par le virus pour atteindre le site de réplication Différentes étapes nécessaire à la libération du génome en fonction du site de réplication -Exemple ici avec schéma de virus animaux Marsh et al, 2006, Cell
13 Voies d endocytose détournées pour l entrée des virus Modifié d après Mercer et al, 2010, Ann Rev Biochem Etude des virus a participé à la découverte de nouvelles voies d endocytose (ex : SV40 et voie cavéoles) Voie d endocytose sont variables selon les virus Un même virus peut utiliser différentes voies en fonction de la cellule rencontrée Dépend de : taille, site de réplication, structure du virus,
14 Voies d endocytose détournées pour l entrée des virus Autre illustration Schelhaaset al, 2010, Cell Microbiol
15 Exemple d entrée de virus par macropinocytose Induction of macropinocytosis by filamentous influenza virions Virus vaccine Rossmanet al, 2012, JVirol Merceret al, 2010, Nat CellBiol
16 Exemples d entrée par les voie dépendantes de clathrine ou cavéoline Entrée West Nile virus par la voie clathrine Chu et al, 2004, J Virol(West Nile Virus = Flaviviridae) Marsh et al, 2006, Cell Entrée SV40 par cavéoles Pelkmanset al, 2001, Nature (SV40 = Polyomaviridae)
17 Modèles et outils expérimentaux Modèle d étude in cellulo: le plus souvent infections de cellules en culture (primaires ou plus souvent de cellules immortalisées, avec les biais que cela comporte) Suivant les virus et leur dangerosité, pas toujours facile de disposer des infrastructures adaptées pour les manipuler Les voies d endocytose ne sont pas toujours faciles à distinguer : interconnections possibles et virus qui utilisent des éléments de différentes voies à leur profit
18 Outils expérimentaux pour identifier les voies d endocytose Marqueursdont localisation connue : ex Rab pour les différents types d endosome, Tf pour la voie clathrine, la toxine cholérique pour les cavéoleset imagerie (microscopie confocale, immunofluorescence, utilisation de protéines fluorescentes [ex : GFP]) Critères d identification des voies d endocytose Mutants dominant négatifs qui inhibent la fonction d un facteur cellulaire endogène (ex : dynamine) sh/si RNA qui inhibent l expression de facteurs cellulaires spécifiques (que l on choisit!) Inhibiteurs spécifiques (ex : bafilomycine A1 qui inhibe l acidification des endosomes; dynasore pour la dynamine) Couplage des virus à des fluorophorespour suivre leur entrée dans la cellule en temps réel par microscopie à fluorescence Mayoret al, 2006, Nat RevMol CellBiol Criblage de sirnapour identifier les facteurs cellulaires nécessaires à l infection virale
19 Exemple d étude de l entrée du virus Ebola Septembre 2010 Souche Ebola Zaïre la plus dangereuse (ZEBOV) : 90 % de mortalité Fièvre hémorragique Difficile à étudier : particules infectieuses en P4!!!!! Indispensable de trouver des modèles d études permettant une manipulation aisée, non dangereuse Peu de connaissances sur l entrée de ce virus : - données contradictoires avec des virus «hybrides» = pseudotypes - voies d entrée varient en fonction des modèles utilisés Dans cet article récent (Sept 2010): - virus infectieux (ZEBOV) et pseudoparticules(virus-like Particles = VLP)
20 Exemple d étude de l entrée du virus Ebola Effet de dominants négatifs sur l entrée des VLP (cellules Vero) Pas d effet des dominants néga3fs (Eps15 et Cavéoline) des voies clathrine et cavéoline Recherche colocalisation VLP avec marqueurs des 2 voies (IF sur cellules Vero) Pas de colocalisation
21 Exemple d étude de l entrée du virus Ebola Effet d un inhibiteur de la dynamine (dynasore) (voies clathrine et cavéoline) Infection cellules Véro avec virus infectieux exprimant une protéine fluorescente Effet d un dominant négatif de la dynamine et colocalisation Pas d effet du dynasore Entrée des VLP Colocalisation VLP et dynamine Pas d effet du dominant néga3f et pas de colocalisation avec la dynamine
22 Exemple d étude de l entrée du virus Ebola Implication des domaines lipidiques «Rafts» riches en cholestérol Recherche d une colocalisation avec un marqueur des rafts IF toxine cholérique et VLP fluorescentes dans cellules Vero Colocalisation des VLP avec les rafts Effet de drogues capables d extraire (MBC) ou de séquestrer (nystatine) le cholestérol Cellules Vero traitées puis infectées par virus infectieux codant la GFP Inhibi3on de l infec3on par les drogues Implica3on des ra5s et du cholestérol dans l entrée du virus Ebola
23 Exemple d étude de l entrée du virus Ebola Internalisation de solutés pendant l entrée du virus? Macropinocytose? Suivi de l entrée de dextran (rouge) et des VLP (vertes) Entrée de dextran après infection Colocalisation des VLP avec le dextran Augmenta3on de l entrée de dextran après infection Macropinocytose?
24 Exemple d étude de l entrée du virus Ebola Implication des endosomes précoces? Recherche colocalisation EEA1 (rouge) et des VLP (vertes) au cours du temps Colocalisation des VLP avec le marqueur EE1A des endosomes précoces
25 Exemple d étude de l entrée du virus Ebola Conclusions : -Entrée du virus Ebola : macropinocytose, nécessite les raftsde la membrane plasmique et les particules virales empruntent les endosomes précoces -Démonstration qu il n est pas si simple de déterminer les voies de transport utilisées par les virus -Illustration parfaite du détournement de toutes les machineries cellulaires disponibles par les virus Pas ausssi simple que dans les livres!!!!!!!!!!
26 Entrée du virus par endocytose et libération dans le cytosol Entrée par endocytose : particule virale dans vésicule Passage de la deuxième barrière membranaire pour libérer la particule/génome dans le cytosol -Est l «échappement endosomal» quand le virus se trouve dans les endosomes: évite la dégradation par lysosome Le plus souvent, utilisation des caractéristiques des vésicules pour l échappement -Ex : le ph acide des endosomestardifs Exemples d échappement endosomal -Virus Influenza (enveloppé) : ph acide changement de conformation de l HA exposition peptide fusogène insertion dans membrane fusion enveloppe du virus et membrane de l endosome - Adénovirus(non enveloppé) : endosome tardif désassemblage partiel de la particule protéine de capside VI libérée induction courbure de la membrane de l endosomeet rupture Quand génome/particule libéré dans le cytosol : transport vers le site de réplication Le plus souvent utilisant du cytosquelette (microtubules) Smith et al, 2004, Science
27 Entrée du virus par endocytose et libération dans le cytosol Virus Influenza Adénovirus VI VI VI Dimitrov, 2004, NatRevMicrobiol VI Modifié d après Nemerov, 2009, Virology
28 Echappement endosomal de l adénovirus filmé! Endosome lysé Virus
Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailLe grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale
Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Ludger Johannes «Chemical Biology of Membranes and Therapeutic Delivery» unit U1143 INSERM UMR3666 CNRS «Endocytic Trafficking
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailMorphogènes et endocytose
MEDECINE/SCIENCES 2003 ; 19 : 351-7 > Les protéines signalisatrices des familles Wingless/Wnt, Hedgehog et Decapentaplegic (Dpp)/Bone morphogenic protein (BMP) agissent comme des morphogènes au cours du
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailFLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007
FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie trie Journée e Thématique 18 janvier 2007 Cécile COTTET Laboratoire de Bioénerg nergétique Fondamentale et Appliquée e - Inserm
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailContrôle et modulation de la réponse immunitaire par Brucella abortus
AIX-MARSEILLE UNIVERSITE Faculté des sciences de Luminy Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE DE DOCTORAT Biologie - Spécialité : Immunologie En vue d'obtenir le titre de DOCTEUR
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailPLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION
PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailInitiation à la virologie Chapitre I : Généralités sur les virus
Initiation à la virologie Chapitre I : Généralités sur les virus [www.virologie-uclouvain.be] Objectifs du module Qu est-ce qu un virus? Comment les virus évoluent-ils? Pourquoi tant de diversité parmi
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détailMicroscopie Multiphotonique
Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailPolymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective
Polymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective Christian Pichot, Denis Labarre et Jean-Claude Daniel Un atelier européen de prospective sur le sujet «Polymer nanoparticles
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailLundi 4 et mardi 5 décembre 2006 Monday 4th et tuesday 5th december 2006
XIXes Entretiens du Centre Jacques Cartier XIXth Jacques Cartier Symposium NOUVELLES PANDEMIES, LES COMPRENDRE, LES COMBATTRE Les virus HIV et le SIDA, et HCV et les hépatites chroniques On HIV and AIDS,
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailUniversité Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de
Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE En vue de l obtention du grade de Docteur de l Université Louis Pasteur de Strasbourg Discipline : Aspects
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailvoies de signalisation
Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique
Plus en détailTrafic protéique dans le globule rouge infecté par Plasmodium
Trafic protéique dans le globule rouge infecté par Plasmodium Françoise Baunaure, Gordon Langsley To cite this version: Françoise Baunaure, Gordon Langsley. Trafic protéique dans le globule rouge infecté
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailLes Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique. et l Institut Pasteur
Les Maladies Tropicales, la Société de Pathologie Exotique et l Institut Pasteur Un partenariat qui a bien plus de 100 ans Beaucoup des grands noms de la recherche française sur les maladies tropicales
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLa Présentation Antigénique
La Présentation Antigénique Dr Frédérique FORQUET Centre d Immunologie de Marseille-Luminy Connaître les mécanismes de la présentation antigénique permet : - de mieux appréhender les épitopes antigéniques
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailAdvanced Fluorescence Microscopy to Study Plasma Membrane Protein Dynamics
Advanced Fluorescence Microscopy to Study Plasma Membrane Protein Dynamics THÈSE N O 4869 (2010) PRÉSENTÉE LE 5 NOVEMBRE 2010 À LA FACULTÉ SCIENCES DE BASE LABORATOIRE DE CHIMIE PHYSIQUE DES POLYMÈRES
Plus en détailFaculté des sciences de gestion et sciences économiques BASE DE DONNEES
BASE DE DONNEES La plupart des entreprises possèdent des bases de données informatiques contenant des informations essentielles à leur fonctionnement. Ces informations concernent ses clients, ses produits,
Plus en détailLes Protéines Fluorescentes. Tounsia Aït-Slimane, UMRS 938, CDR Saint-Antoine CHU Saint-Antoine
Les Protéines Fluorescentes Tounsia Aït-Slimane, UMRS 938, CDR Saint-Antoine CHU Saint-Antoine Sondes fluorescentes et méthodes d imagerie en biologie : GFP, EGFP, BFP, CFP, YFP, dsred, mrfp1, Hc Red,
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailles deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques
UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailDéshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission
Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détail«Grippe Aviaire : Le nouveau péril jaune?»
Numéro 12, Mai 2004 «Grippe Aviaire : Le nouveau péril jaune?» Le nez qui coule, des salves d éternuements et des quintes de toux qui agitent de soubresauts vos brumes fiévreuses, cela vous rappelle-t-il
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailCommentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les Épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve Écrite de Biologie A... 2 Épreuve Écrite de Biologie B... 8 Épreuve Orale de Biologie... 16 Annexe 1 : liste des sujets proposés
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailSIDA, limites et perspectives de la trithérapie.
PSIR SEPA (2014) Projet Scientifique d Initiation à la Recherche (PSIR) SIDA, limites et perspectives de la trithérapie. E. Bouissière, A. Lesebos, A. Rouillé, M. Sanson, M. Collette* Groupe esaip 18 rue
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détail