TRAITEMENT DES LIXIVIATS PAR UN COUPLAGE DE PROCEDES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TRAITEMENT DES LIXIVIATS PAR UN COUPLAGE DE PROCEDES"

Transcription

1 TRAITEMENT DES LIXIVIATS PAR UN COUPLAGE DE PROCEDES 1. Contexte de l étude + Objectifs 2. Caractérisation des lixiviats 3. Performances du couplage de procédés 4. Conclusion générale Étude menée au STRI/LHC et cofinancée par la région PACA : Doctorant : Sébastien RENOU Responsable CEA : Sandrine POULAIN Directeur de thèse : Philippe MOULIN (LPPE UMR 6181) 1

2 Définition CONTEXTE DE L ETUDE Les lixiviats de centre de stockage, appelés "jus de décharge" sont des effluents liquides noirâtres qui résultent de la percolation des eaux au travers d un lit de déchets ménagers au sein des Centres de Stockage des Déchets Ultimes (CSDU). Quelques chiffres sur le stockage des déchets en France (chiffres ADEME, 2006) En 2004, 47 Mt de déchets ménagers et assimilés traités dont 22,1 Mt dans 318 CSDU (43% ordures ménagères!) 5,2 milliards en 2004 dont 2,1 milliards pour l enfouissement 2

3 Fonctionnement d un CSDU Site 1 Site 2 Site 3 50 m 3 /j Biogaz (vers torchère) Limitation actuelles du traitement - Fortes pression osmotiques - Colmatage organique important par les substances humiques LAGUNE - Volume important de concentrat ENJEU SCIENTIFIQUE Proposer et optimiser un couplage de procédés efficace pour l épuration des lixiviats 100 m 3 /j Osmose inverse 50 m 3 /j Milieu naturel Rejets conformes aux normes en vigueur 3

4 Caractérisation des lixiviats de l étude (Composition moyenne d octobre 2004 à décembre 2006) DCO «dure» : composés réfractaires de type acides humiques et fulviques Salinité importante : recirculation des concentrats, nature des déchets enfouis Lixiviats biologiquement stabilisés Prétraitement favorable par voie physico-chimique 4

5 Choix de la filière de traitement Pression osmotique Diminution de la salinité par précipitation des métaux et des carbonates Colmatage Elimination des dépôts minéraux de CaCO 3 Elimination de macromolécules organiques de type humique (Slater et al., 1983, 1985 ; Liao and Randtke, 1986 ; Kweon and Lawler, 2002, 2004) Génération d une phase précipitée de granulométrie élevée > 1 µm Précipitation chimique à la chaux Séparation solide/liquide OSMOSE INVERSE DECANTATION Filtration classique sur tambour rotatif sous vide à précouche de diatomée Retour d expérience CEA sur le traitement d effluents radioactifs 5

6 Traitement des lixiviats par un couplage de procédés PRETRAITEMENT OSMOSE INVERSE 6

7 ETAPE 1 : PRECIPITATION CHIMIQUE A LA CHAUX Décoloration du surnageant ~ 2 à 6 g.l -1 ~ 10 à 25 % ~ 20 à 40 % ~ 95 % ~ 75 à 95 % 3 g.l -1 6 g.l -1 9 g.l -1 Formation d une phase précipitée (CaCO3) Le prétraitement à la chaux entraîne : ~ 20 à 50 % ~ 75 à 85 % ~ 75 % - Une diminution de la salinité du lixiviat par décarbonatation de l effluent - Une élimination des macromolécules organiques (PM > g.mol -1 ) type acide humique, selon un mécanisme de co-précipitation 7

8 ETAPE 2 : FILTRATION SUR TAMBOUR ROTATIF Principe de fonctionnement Gâteau de diatomée Effluent filtré et performances Lixiviat prétraité Boue pelletable et STABLE Flux de filtration élevés 8

9 Traitement des lixiviats par un couplage de procédés PRETRAITEMENT OSMOSE INVERSE 9

10 PERFORMANCES DE L OSMOSE INVERSE Volume de concentrat? (Lixiviat MC 06-1, J=10 L.h -1.m -2, 20 C, module spiralé Koch) 60 Pression transmembranaire, Ptm (bar) Osmose Inverse sans prétraitement COUPLAGE Facteur de Concentration Volumique Le couplage permet de concentrer le lixiviat 10 fois plus que par le procédé d Osmose Inverse seule 10

11 PERFORMANCES DE L OSMOSE INVERSE Osmose Inverse sans prétraitement Couplage de procédés développé au CEA Flux de filtration constant : 10 L.h -1.m - ², Pression maximale admissible : 55 bars, Température : 20 C Pression transmembranaire, Ptm (Bar) FCV=4 FCV= Volume de filtrat (L) Pression transmembranaire, Ptm (bar) FCV=6 FCV=4 FCV= Volume de filtrat (L) Élimination totale du colmatage organique + minéral des membranes 11

12 PERFORMANCES DE L OSMOSE INVERSE Traitement? (Lixiviat MC 06-1, J=10 L.h -1.m -2, 20 C, module spiralé Koch) Excellentes performances d épuration : rejet conforme aux normes en vigueur, sauf pour l ammonium et le ph => Traitement complémentaire? 12

13 Précipitation chimique à la chaux CONCLUSION GENERALE Filtre à tambour rotatif Osmose Inverse Diminution de la salinité de 20 à 40 % : Précipitation des carbonates, Ca 2+,Mg 2+, et des métaux Elimination de 20 à 30 % de la DCO : co-précipitation des composés à haut poids moléculaire responsable du colmatage : les acides humiques Pression vide de 300 mbar Flux ~ 0,6 à 1 m 3.h -1.m -2 Siccité de la boue ~ 50 % Très faible production de boue sèche (< 1%) Boue sèche ~ 5 à 7 g.l -1 : STABLE ET INERTE Elimination des dépôts minéraux et organiques sur la membrane Forte diminution de la pression osmotique Efficacité = taux de conversion Pression de travail Coûts d exploitation Volume de concentrat Fréquence de lavage DEPOT DE BREVET EN FRANCE ET EN EUROPE 13

14 CONCLUSION GENERALE Concentrat Casier Lixiviat INDUSTRIEL 100 m 3 /j 50 m 3 /j 50 m 3 /j COUPLAGE DE PROCEDES OSMOSE INVERSE Perméat Casier Entreposage 100 m 3 /j Lixiviat 0,5 m 3 /j Prétraitement 99,5 m 3 /j 5 m 3 /j OSMOSE INVERSE 94,5 m 3 /j Perméat 14

15 TRAITEMENT DES LIXIVIATS PAR UN COUPLAGE DE PROCEDES Merci de votre attention Centres de Stockage de Déchets Ultimes 15

16 PRECIPITATION CHIMIQUE A LA CHAUX Impact sur la fraction organique Caractérisation par Chromatographie de Perméation sur Gel (C.P.G) Zone 1 : 9-10 min Zone 2 : min Zone 3 : min PM > 50 kda 50 kda > PM > 1 kda PM < 1 kda Abs. UV à 254nm (mau) 12 CM 06-3 brut 4,5 g/l (dose optimale) 4,5 g/l (dose optimale) Abs. UV à 254nm (mau) BF 06-4 brut g/l (dose optimale) 5 g/l (dose optimale) Abs. UV à 254nm (mau) PV 06-5 brut g/l (dose optimale) 6 g/l (dose optimale) Temps (min) -4 Temps (min) -4 Temps (min) Elimination des composés à haut poids moléculaires ( > 50 kda) : les acides humiques 16

17 PRECIPITATION CHIMIQUE A LA CHAUX Impact sur la fraction organique Prises de vues au MEB du précipité (x 7000) Solution de NaHCO 3 Calcite pur : structure rhomboédrique cristaux < 1 µm Lixiviat CM 06-3 Calcite (DRX) : gros agglomérats granuleux de type «chou-fleur» grains ~ plusieurs µm La présence des composés organiques vient perturber la formation du CaCO 3. Selon la littérature, le mécanisme d élimination est du type co-précipitation (Randtke et al., 1982 ; Liao and Randtke, 1985, 1986) 17

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de

Plus en détail

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval

Plus en détail

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,

Plus en détail

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE ET LEUR APPLICATION DANS L INDUSTRIE ALIMENTAIRE

PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE ET LEUR APPLICATION DANS L INDUSTRIE ALIMENTAIRE Siège social et station expérimentale 142, Rang Lainesse Saint-Norbert d Arthabaska Québec G0P 1B0 Téléphone : (819) 369-4000 Télécopieur : (819) 369-9589 REVUE DE LITTÉRATURE PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE

Plus en détail

Dispositifs de traitement des effluents phytosanitaires reconnus par le ministère en charge de l écologie

Dispositifs de traitement des effluents phytosanitaires reconnus par le ministère en charge de l écologie Dispositifs de traitement des effluents phytosanitaires reconnus par le ministère en charge de l écologie 1 Ce travail de synthèse a été élaboré dans le cadre des travaux conduits par le groupe ECOPULVI

Plus en détail

"COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE"

COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE "COMMUNICATION SCIENTIFIQUE EXCEPTIONNELLE" La loi d'épuration expérimentale TILLIÉ-TURCO Deux chercheurs niçois, spécialistes de la valorisation des Déchets Industriels Réutilisables - les "D.I.R" comme

Plus en détail

arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Description Applications ijust

arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Description Applications ijust arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Eau de type 2 de qualité constamment élevée grâce à la technologie EDI moderne Consommation d eau optimisée auto matique ment

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Étude des pré-traitements compacts basés uniquement sur le tamisage fin

Étude des pré-traitements compacts basés uniquement sur le tamisage fin Ministère de l Agriculture, de l Alimentation, de la Pêche et des Affaires rurales FNDAE n 28 Document technique Étude des pré-traitements compacts basés uniquement sur le tamisage fin Jean-Pierre Canler,

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse

La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse SAS RECYCL EAU au capital de 30 294,88 contact@recycleau.fr 150 avenue des Ferrailles N SIRET : 515 330 009 00017 www.recycleau.fr 84800 Isle sur

Plus en détail

Je dédie ce modeste travail :

Je dédie ce modeste travail : ² Je dédie ce modeste travail : * A mes chers et adorables parents * A mes frères et sœurs * A toute ma famille * A mes collègues, mes amis : je vous souhaite le bonheur et la réussite dans votre vie et

Plus en détail

Notice technique La filtration sur terre

Notice technique La filtration sur terre Notice technique La filtration sur terre 1 PRINCIPES ET DEFINITIONS La filtration du vin est une pratique très ancienne. Le mot lui même est un dérivé de «filtrum», le feutre qui était alors utilisé pour

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009 Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

BIO-CEL MODULES IMMERGÉS POUR BRM

BIO-CEL MODULES IMMERGÉS POUR BRM BIO-CEL MODULES IMMERGÉS POUR BRM MANUEL D UTILISATION Le spécialiste de la filtration membranaire Alting est fondée en 1998, à l issue d un «management buy out» partiel (pour le marché français) de la

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du

Plus en détail

Puissant et écologique à la fois

Puissant et écologique à la fois Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une

Plus en détail

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau

Plus en détail

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel

L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF

Plus en détail

Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011

Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour

Plus en détail

Filtre/Sécheurs émaillés

Filtre/Sécheurs émaillés Filtre/Sécheurs émaillés Innovation par la compétence. La nouvelle dimension de Filtre/Sécheurs pour milieu corrosif Rosenmund est une marque leader dans le domaine de la séparation liquide/solide et du

Plus en détail

MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE

MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et

Plus en détail

Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?

Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

33-Dosage des composés phénoliques

33-Dosage des composés phénoliques 33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés

Plus en détail

Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB

Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012 TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB 1 Dispositifs agréés Typologie et principe Procédés à écoulement saturé

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE

LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE LA PLACE DU SECHAGE THERMIQUE DANS LE TRAITEMENT DES BOUES LES RETOURS D EXPERIENCE par Jean Paul CHABRIER Société ENVIRO-CONSULT Ingénieur Consultant en séchage thermique des boues et déchets AQUATECH

Plus en détail

Partie C1 «Déchets de boues et autres déchets organiques non dangereux produits en 2008»

Partie C1 «Déchets de boues et autres déchets organiques non dangereux produits en 2008» - Centre de tri ou déchèterie : catégorie à utiliser seulement si la destination finale n'est pas connue. Il s'agit en pratique d'une étape intermédiaire de collecte des déchets. Cette catégorie comprend

Plus en détail

Biogaz et méthanisation

Biogaz et méthanisation Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05

Plus en détail

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011

Intitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi

Plus en détail

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et

Plus en détail

Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux

Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 Décret n 2005-635 du 30 mai 2005 Arrêté du 29 juillet 2005 Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets

Plus en détail

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013

La Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013 La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe

Plus en détail

T H È S E. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (AgroParisTech) Camille SAGNE.

T H È S E. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (AgroParisTech) Camille SAGNE. T H È S E pour obtenir le grade de Docteur de l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (AgroParisTech) Spécialité : Génie des Procédés présentée et soutenue publiquement par

Plus en détail

Centre d Enfouissement Technique Le Beaumont

Centre d Enfouissement Technique Le Beaumont Centre d Enfouissement Technique Le Beaumont Société des groupes : 520 rue de Trazegnies B-6031 Monceau Sur Sambre N vert : 0800 96 710 Sommaire INTRODUCTION... 3 I. DESCRIPTION DE NOS ACTIVITES... 4 QUI

Plus en détail

Une production économique! Echangeur d ions TKA

Une production économique! Echangeur d ions TKA Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION

Plus en détail

Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES

Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES ÉDITIONS JOHANET, 60, RUE DU DESSOUS DES BERGES - 75013 PARIS TÉL. 01 44 84 78 78 - FAX 01 42 40 26 46 - WWW.REVUE-EIN.COM REVUE MENSUELLE - ISSN 0755-5016 Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS

Plus en détail

TP n 1: Initiation au laboratoire

TP n 1: Initiation au laboratoire Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments) 15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70

Plus en détail

FACTEURS INFLUENÇANT LA QUALITÉ DU CAFÉ-BOISSON 1 - CAFÉ 2 - TORRÉFACTION 3 - CONSERVATION 4 - EAU 5 - MOUTURE 6 - DOSAGE 7 - TYPE DE PRÉPARATION

FACTEURS INFLUENÇANT LA QUALITÉ DU CAFÉ-BOISSON 1 - CAFÉ 2 - TORRÉFACTION 3 - CONSERVATION 4 - EAU 5 - MOUTURE 6 - DOSAGE 7 - TYPE DE PRÉPARATION FACTEURS INFLUENÇANT LA QUALITÉ DU CAFÉ-BOISSON 1 - CAFÉ 2 - TORRÉFACTION 3 - CONSERVATION 4 - EAU 5 - MOUTURE 6 - DOSAGE 7 - TYPE DE PRÉPARATION 1 1. CAFÉ La qualité du café vert dépend : De l espèce

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers

Plus en détail

Développement des saveurs. Contenu 2015-02-24

Développement des saveurs. Contenu 2015-02-24 Développement des saveurs Présenté par : Raymond Nadeau, conseiller acéricole au CQABA Club Qualité acéricole Beauce Appalaches et Sève, santé des érablières Contenu Évolution de la production; Problématiques

Plus en détail

Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande

Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette

Plus en détail

Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert)

Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) Les rendez-vous technologiques «Les traitements de surface des alliages légers» Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) 1 Préparation avant peinture Les traitements avant

Plus en détail

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire

Plus en détail

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau

Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Étape 1 : Balancer la chimie de l'eau Au printemps surtout et durant l'été, il sera important de contrôler et d'ajuster certain paramètres qui constituent la chimie de l'eau. Cet étape est bien souvent

Plus en détail

Comment? chez le particulier ou en collectivité

Comment? chez le particulier ou en collectivité Actions Citoyennes pour une Transition Energétique Solidaire par René CHAYLA Président d AC ACTEnergieS Comment? chez le particulier ou en collectivité 1 LA TRANSITION ENERGETIQUE EN PRATIQUE DIMINUER

Plus en détail

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment

Plus en détail

BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS)

BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS) BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS) Filtres à Très Haute Efficacité (THE) Version 0 juin 2006 Document élaboré par l IRSN Document de synthèse relatif à une

Plus en détail

Fiscalité environnementale

Fiscalité environnementale Secrétariat général Fiscalité environnementale Février 2009 La réforme de la fiscalité environnementale, adoptée dans la loi de finances pour 2009 et la loi de finances rectificative pour 2008, concrétise

Plus en détail

Déchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels

Déchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels Déchèteries du SYELOM Mode d emploi pour les professionnels Sommaire Page Edito du Président 3 Qu est ce que le SYELOM? 4 Quels sont les professionnels 6 acceptés? Vous êtes professionnels? 7 Vous devez

Plus en détail

Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry

Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry L OFAEnR Origines & Objectifs Crée en 2006 par les gouvernements français & allemand Bureau au ministère

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

«Actualités réglementaires en radioprotection»

«Actualités réglementaires en radioprotection» Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

Métallerie / Serrurerie

Métallerie / Serrurerie Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité

Plus en détail

La Vinification en Alsace

La Vinification en Alsace La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et

Plus en détail

Retours d expérience du SATESE 37

Retours d expérience du SATESE 37 Les filières d épuration pour les petites collectivités Retours d expérience du SATESE 37 Syndicat d Assistance Technique pour l Epuration et le Suivi des Eaux d Indre et Loire Domaine d activité papillon

Plus en détail

Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage

Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage Sommaire L Andra dans l Aube : un exploitant industriel exemplaire Le Centre industriel de regroupement, d entreposage et de stockage

Plus en détail

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand

Plus en détail

VAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire

VAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE

1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,

Plus en détail

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul

Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller

Plus en détail

1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni

1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni 1. GES 5 : Production de céramiques pour l'électronique et de céramiques à fonctionnement thermique contenant du Ni Cycle de vie Utilisation finale DU de NiO Titre libre et court Production de céramiques

Plus en détail

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,

Plus en détail

Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse

Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse XII ème Colloque AQUATECH LIMOGES 13 octobre 2005 Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse Merzak BELKHODJA Direction Technique Veolia Water Principe Principe Oxydation thermique en phase liquide

Plus en détail

Besançon - jeudi 14 mai 2009

Besançon - jeudi 14 mai 2009 Colloque sur les traitements de surface par voie sèche, voie humide ou revêtements polymères Besançon - jeudi 14 mai 2009 IUT - Département Chimie - 30 avenue de l Observatoire - 25009 Besançon cedex 9

Plus en détail

Avant de commencer à utiliser l oreillette, vous devez charger la pile entièrement.

Avant de commencer à utiliser l oreillette, vous devez charger la pile entièrement. Merci d avoir acheté un produit Hip Street. Nous espérons que vous aimerez utiliser cet appareil. Veuillez visiter notre site Web à www.hipstreetonline.com. Préface Veuillez lire attentivement le présent

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail