L apport des TSI au management de la supply chain : de l absence d un one best way aux enseignements pour la recherche en logistique

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1 L apport des TSI au management de la supply chain : de l absence d un one best way aux enseignements pour la recherche en logistique Jacques BOULAY Professeur, Chaire Logistique & Stratégie Marchande, ESSCA, Laboratoire CREDO j.boulay@essca.asso.fr Brigitte de FAULTRIER Professeur Titulaire de la Chaire Logistique & Stratégie Marchande, ESSCA, Laboratoire CREDO b.faultrier@essca.asso.fr Les discours entendus ici ou là sur les salons (ou lus dans la presse) professionnels contribuent à alimenter la vision de technologies et de systèmes d information (TSI) porteurs de tous les espoirs pour les managers de la supply chain : une chaîne logistique mieux intégrée, une collaboration (inter)organisationnelle renforcée, une plus grande performance. Mais la revue de la littérature de recherche sur le thème des apports des TSI à la supply chain proposée dans cet article offre une vision plus nuancée des bénéfices que le manager logistique peut réellement espérer tirer des outils déployés. Elle est l occasion d offrir à la recherche en logistique des voies d investigation renouvelées. Introduction Devenue centrale dans les organisations modernes, la logistique est certainement l une des fonctions de l entreprise qui a été parmi les plus touchées par l évolution rapide des technologies et des systèmes d information (TSI) 1 depuis le début des années Cette évolution, qui a rendu «praticables de nombreux rêves logistiques» (Fabbe-Costes, 2002), a accompagné les changements de pratiques liées à l intégration croissante des préoccupations logistiques des fournisseurs, des producteurs et des détaillants dans ce qu il est désormais convenu d appeler la supply chain (ou chaîne logistique). Le passage de la logistique - fonction longtemps cantonnée à la seule gestion des flux produits - à la supply chain caractérise en fait une rupture majeure dans la stratégie de l organisation logistique des entreprises : le passage d une dimension intra-organisationnelle à une approche multi-acteurs tenant compte des interfaces inter-organisationnelles (Ayadi, 2005 ; Paché et Colin, 2000). C est dans cette dimension d échange entre des entités indépendantes qui s inscrivent dans une même suite de processus que les TSI ont trouvé leur place. L abondance des recherches empiriques sur les liens entre TSI et management de la supply chain suggère que le monde académique s est très tôt intéressé à la question de l utilité des nouveaux outils déployés. Les travaux ont d ailleurs su accompagner la progression technologique, portant successivement sur les 1 - Nous basant sur la définition d un SI d Alter (1999), nous définissons les TSI comme un système de travail (supporté par des technologies et des systèmes d informatisation) dont la fonction centrale est le traitement de l information via l exécution de 6 types d opérations : la saisie, la transmission, le stockage, la recherche, la manipulation et l affichage de l information. Les TSI produisent de l information et assistent le travail exécuté par d autres systèmes de travail. Dans le contexte des relations d échange dans la chaîne logistique, il s agit principalement de systèmes d information inter-organisationnels supportés, entre autres, par la technologie EDI (Echange de Données Informatisées) et plus récemment par la technologie Internet. Vol. 13 N 2,

2 2 : «La terminologie de Supply Chain Management a [d ailleurs] souvent été appliquée aux progiciels d optimisation de la chaîne logistique» (Lexipro [2005], p. 53). systèmes ouverts de type EDI puis sur les progiciels, enfin, plus récemment, sur la technologie Internet et ses supports d usage (intranet, extranet, places de marchés électroniques). De conceptuelles au début des années 1990, les recherches se sont depuis développées avec une orientation normative forte. Ce constat est à rapprocher des nombreuses promesses des fabricants de progiciels qui font croire que tout déploiement de TSI entraîne de facto une performance logistique supérieure 2, contribuant à une course à l imposition d un «one best way». Face à ce phénomène, il est important que la recherche en logistique offre aux managers de la supply chain une vision claire des bénéfices qu ils peuvent réellement espérer tirer de leurs investissements TSI. Savoir ce que l on peut concrètement attendre des TSI vis-à-vis de la chaîne logistique (et ce que l on ne doit pas en attendre) est en effet un élément indispensable à une bonne gestion. A cette fin, nous proposons dans une première partie une présentation structurée des résultats des recherches empiriques sur l apport des TSI au management de la supply chain. Les travaux analysés sont essentiellement issus des champs logistique et achat. Cinq journaux anglo-saxons qui font référence dans ces deux champs (International Journal of Physical Distribution and Logistic Management, International Journal of Purchasing and Material Management, Journal of Business Logistics, Journal of Supply Chain Management, Logistics Information Management) ont été passés en revue sur les 15 dernières années afin d identifier les principales études empiriques portant sur les effets du déploiement des TSI sur la chaîne logistique. L analyse détaillée des bibliographies des articles sélectionnés a permis d identifier des recherches issues d autres supports qui ont également été retenues chaque fois qu elles proposaient un éclairage complémentaire. Ce qui a conduit à solliciter les champs de la recherche en distribution et en systèmes d information, rejoignant en cela la typologie des recherches sur la supply chain établie par Morana (2004). Cette revue de la littérature s achève par une tentative de réponse à la question de départ portant sur les bénéfices que les managers de la chaîne logistique peuvent attendre du déploiement des TSI. La discussion des résultats dès lors qu elle s inscrit au croisement des préoccupations académiques et managériales participe également à nourrir la réflexion de la recherche en logistique. Ainsi, on remarque que les travaux analysés ne sont pas exempts d un certain nombre de limites conceptuelles et méthodologiques. Afin de les dépasser, nous discutons dans une seconde partie de la pertinence de développer ou d approfondir quatre pistes de recherche. Ceci, afin que la recherche sur l apport des TSI au management de la supply chain contribue plus efficacement à aider à la prise de décision managériale. Une synthèse des recherches sur l apport des TSI au management de la supply chain Il existe un corpus de recherche empirique relativement dense sur le sujet du lien entre TSI et management de la chaîne logistique. Dans un souci de clarté du propos, nous proposons un classement des travaux à partir de l adaptation au contexte de la supply chain du triptyque «structure - management des relations - gouvernement» proposé par Anderson et Coughlan (2000) dans le cadre du canal de distribution. Les recherches sur «TSI et structure de la supply chain» cherchent à évaluer comment le déploiement d outils de gestion et d échange d informations contribue à intégrer les flux logistiques entre des entités indépendantes (qu il s agisse de flux produits ou d information) au point que les frontières organisationnelles disparaissent. Les recherches sur le thème des liens entre TSI et management des relations dans la chaîne logistique portent sur la mesure des effets du déploiement de systèmes d information inter-organisationnels sur trois variables : la coordination et/ou la coopération entre les acteurs, le développement de l engagement et/ou de la confiance, la performance. Enfin, la recherche sur l utilisation des TSI pour gouverner une relation d échange est centrée sur l enchaînement TSI égalent savoir, savoir égale pouvoir. TSI et structuration de la supply chain Les travaux discutent de la pertinence d un effet «naturellement» structurant de la technologie. Les plus anciens, inspirés par la théorie williamsonnienne, soulignent que les acteurs de la chaîne logistique, distributeurs comme fournisseurs, peuvent utiliser les technologies comme l EDI pour obtenir les bénéfices d une quasi-intégration verticale (à savoir une meilleure coordination entre les acteurs inter-organisationnels et des flux d échanges plus importants) sans propriété commune (Bensaou, 1997 ; Zaheer et Venka- 60 Vol. 13 N 2, 2005

3 traman, 1994 ; Buzzell et Ortmeyer, 1994 ; Konsynski et McFarlan, 1990). Ainsi, selon Lewis et Talalayevsky (2000), le développement des systèmes d information inter-organisationnels conduit à une utilisation plus importante des marchés centralisés pour les structures logistiques. Il se traduit aussi par un recours accru aux prestataires logistiques. Ce résultat rejoint ceux obtenus par Vijayasarathy et Robey (1997) qui montrent une corrélation positive entre le déploiement de l EDI dans le canal de distribution et la formalisation des relations entre les acteurs. Edwards, Peters et Sharman (2001) sont plus nuancés sur le rôle structurant des TSI. Ils constatent que les entreprises développant les liens les plus étroits sont celles dont les TSI soutiennent le mieux ces liens. Mais ils constatent aussi que l importance stratégique des infrastructures technologiques pour l intégration de la supply chain n est pas un sujet de préoccupation majeur pour beaucoup d organisations. Ils concluent même que le management des TSI et la façon dont elles sont déployées sont plus importants que les systèmes eux-mêmes. TSI et management de la supply chain Les recherches sur l apport des TSI au management de la supply chain sont également caractérisées par la mise en évidence de résultats contradictoires. TSI et coordination / collaboration - coopération La recherche empirique de Marcussen (1996), souvent citée, souligne que le déploiement des TSI renforce la relation entre les acteurs de la chaîne logistique. Bowersox et Daugherty (1995) pensent qu il s agit d une tendance de fond qui résulte des possibilités offertes par les TSI pour coordonner les actions inter-organisationnelles. Cette observation est validée par Emmelhainz (1988) et Mohr (1990) qui montrent empiriquement que les investissements dans des systèmes d information inter-organisationnels favorisent la coordination des activités entre acheteurs et vendeurs dans la supply chain. Bensaou (1993) va dans le même sens en établissant que les TSI peuvent être utilisées pour améliorer la coordination des tâches non structurées. Mais des recherches plus récentes vont à contre-courant de ces résultats, concluant à l absence ou à la faiblesse des liens entre TSI et qualité des relations. Larson et Kulchitsky (2000, 1999) montrent que si l EDI accroît l intégration logistique (il a en ce sens un effet structurant), il n accroît pas les sentiments coopératifs entre les agents. Handfield et Nichols (1999) suggèrent même la possible détérioration des relations sous l effet d une utilisation non pertinente et du coté impersonnel des technologies. Vloski et Wilson (1999) établissent toutefois que cette détérioration ne serait que de courte durée. Dans un premier temps, elle s expliquerait par la faiblesse des bénéfices perçus par certains des acteurs au regard de l investissement réalisé. Mais à long terme, l adoption des TSI serait positive, les points de conflits liés aux différences de perception quant à la rapidité avec laquelle les acteurs s équipent disparaissant. Whipple et Daugherty (2002) confirment que le déploiement des TSI n est pas une garantie d intégration. Celle-ci dépendrait de la qualité des informations échangées grâce aux outils. C est également la somme des informations fournies et partagées par chacun des acteurs qui accroît la satisfaction perçue de l alliance (tandis que pour les acheteurs, la qualité de la relation dépend de l exactitude de l échange d information, les fournisseurs valorisent pour leur part le fait que les informations arrivent au moment opportun). Enfin, récemment, Sanders et Premus (2005) ont identifié que les technologies logistiques favorisaient les relations de coopération. Mais ils ont aussi confirmé qu elles n étaient pas des déterminants de la collaboration, cette dernière relevant d abord du résultat d interactions humaines que les TSI peuvent soutenir mais en aucun cas remplacer. TSI et engagement-confiance 3 Là aussi, les travaux empiriques balancent entre apports favorables et absence d effet des TSI. Emmelhainz (1988) montre que l utilisation de l EDI contribue à améliorer les relations acheteurs-vendeurs via l engagement qui se développe lors du déploiement du système. La confiance entre les parties augmente par la suite grâce au partage de l information et à la diminution des commandes mal traitées. Une fréquence plus élevée de communication électronique et d échange d information entre les acteurs est également associée à davantage d engagement (Mohr, 1990). Mais d autres travaux ne trouvent aucun lien significatif entre la présence des TSI et engagement-confiance dans la chaîne logistique. Lothia et Krapfel (1994) échouent en tentant de mesurer comment l investissement en EDI d un fournisseur peut impacter la dépendance (mesurée via l engagement) de l acheteur. 3 - La confiance fait référence à la croyance, au sentiment et à l attente que l on a concernant la crédibilité et la loyauté à attendre d un partenaire (Blau, 1964). L engagement est à la base du développement de la confiance. Il comprend une facette instrumentale via l allocation de ressources spécifiques à la relation et une facette attitudinale via l engagement affectif et l attachement psychologique à la relation (Gundlach et al., 1995). Vol. 13 N 2,

4 4 - Il existe de nombreuses façons de mesurer la performance dans la littérature logistique. Ces mesures incluent typiquement quatre priorités concurrentielles fondamentales, à savoir le coût, la qualité, la fiabilité et la flexibilité. L innovation (approchée via la vitesse de mise sur le marché des nouveaux produits) a été ajoutée récemment à ces critères. Tandis que Guibert (1996), dans le contexte français des relations acheteurs-fournisseurs, rejette l hypothèse d un lien positif entre le déploiement des TSI et la confiance ou l engagement des acteurs. Mais quel que soit leur résultat, ce qui relie les recherches sur le lien entre déploiement des TSI et engagement / confiance des acteurs est qu elles ont été les premières à s interroger sur l enchaînement réel des variables. Ainsi, autant les TSI peuvent expliquer plus d engagement autant «il y a des chances pour que ce soient des firmes déjà engagées l une envers l autre qui prennent le risque de se lier électroniquement» (Mohr, 1990). TSI et performance logistique 4 Srinivasan et al (1994) établissent que l EDI favorise la performance des fournisseurs ayant investi dans des systèmes intégrés comme celle des fournisseurs dont le taux de partenaires reliés par EDI est élevé. Mais ce résultat a été remis en cause par d autres analyses. Jayaraman et Vickery (1998) ne trouvent ainsi pas de lien entre la performance et l utilisation de l EDI. Etudiant le déploiement des TSI pour les opérations logistiques, Narasimham et Kim (2001) concluent eux aussi à l absence de lien entre TSI et performance. Bamfield (1994) explique cette absence de lien par le fait que les distributeurs sont encore trop peu enclins à partager l information et que si les systèmes permettent davantage d efficacité, par exemple en terme de réapprovisionnement des stocks, ils ne conduisent pas nécessairement à une réduction des coûts de gestion de ces stocks. Les études les plus récentes font état de conclusions plus nuancées. Ainsi Angulo et al (2004), dans une étude sur les effets de la qualité de l information échangée par ARP (Automatic Replenishment Programs) sur la performance, offrent des résultats dont le sens varie selon le type de produit et selon la position du partenaire dans la supply chain. Tandis que Sanders et Premus (2005) montrent que ce sont les entreprises qui ont un niveau d utilisation élevé des TSI qui connaissent une performance supérieure. Ces travaux suggèrent en fait que les effets constatés des outils sont fortement liés au contexte de la recherche. TSI et gouvernement de la supply chain On distingue généralement deux mécanismes de gouvernement des relations dans la chaîne logistique : l intégration et le contrôle. L apport des TSI à l intégration de la supply chain a déjà été souligné précédemment. Nous nous concentrons donc dans cette partie sur les effets de leur déploiement sur la répartition du pouvoir entre les acteurs et sur le contrôle du partenaire de l échange. TSI et pouvoir L utilisation des TSI peut modifier l équilibre des pouvoirs entre les acteurs, en particulier en rendant indépendants flux d information et flux produits (Meier, 1995). Tandis que les produits suivent un chemin classique (producteur intermédiaire détaillant), les TSI permettent de mettre en place une structure d information plate dans laquelle le producteur est le point de coordination unique de l ensemble de la chaîne (Lewis et Talalayevsky, 1997). La plupart des recherches soulignent que les TSI profitent d abord au leader de la chaîne logistique pour établir ou renforcer sa domination sur ses partenaires (Webster, 1994). Nakayama (1998) trouve ainsi que l utilisation de la technologie EDI peut réduire le pouvoir de négociation d un distributeur, l outil permettant à l industriel de collecter davantage d informations et de gagner en flexibilité. A contrario, d autres recherches montrent que l EDI profite d abord aux acheteurs parce que ce sont eux qui imposent leurs procédures lors du déploiement de TSI logistiques (Marcussen, 1996). TSI et contrôle Il n a pas été identifié de recherche portant sur l utilisation des TSI comme outil de contrôle des membres de la supply chain au sens où l entendent Penning et Woyceshyn (1987) lorsqu ils proposent la notion de «contrôle technologique». La seule recherche portant indirectement sur ce thème est celle de Grover et al (2002) qui, en cherchant à identifier le rôle médiateur des TSI sur le lien entre coûts de transaction et niveau de relationalisme de l échange, concluent que les TSI peuvent être utilisés pour faciliter le contrôle des tendances à l opportunisme des fournisseurs. Sriram et Banerjee (1994) ont eux observé que l adoption de l EDI ne modifiait pas fondamentalement les procédures et les politiques achat des organisations, les acteurs ayant tendance à fonctionner prudemment dans un environnement électronique. Au terme de cette revue de la littérature de recherche empirique sur l apport des TSI au management de la chaîne logistique, il apparaît donc une grande hétérogénéité dans les résultats obtenus (synthétisés dans le tableau 1). 62 Vol. 13 N 2, 2005

5 Tableau 1 Résultats des principaux travaux sur l apport des TSI au management de la supply chain 5 Angle de recherche Apport positif du déploiement des TSI Neutralité du déploiement des TSI Apport négatif du déploiement des TSI Structure des relations dans la supply chain Les TSI influencent l étroitesse des liens entre les acteurs (Edwards et al, 2001) Les TSI conduisent à une utilisation plus importante des marchés centralisés pour les structures logistiques (Lewis et Talalayevsky, 2000) Les TSI renforcent l intensité et la formalisation des relations (Vijayasarathy et Robey, 1997) Management des relations Coopération-coordination des acteurs de la supply chain Les TSI logistiques favorisent la coopération (Sanders et Premus, 2005) Les TSI renforcent la qualité des relations (Marcussen, 1996) Les TSI favorisent la coordination (Bensaou, 1993, Mohr, 1990, Emmelhainz, 1988) Les TSI logistiques ne sont pas des déterminants de la collaboration [qu elles peuvent néanmoins soutenir] (Sanders et Premus, 2005) Les TSI ont peu d effet sur l étroitesse des relations (Larson et Kulchitsky, 2000) Le déploiement des TSI n est pas une garantie d intégration logistique (Whipple et al, 2002) Le déploiement des TSI peut entraîner une détérioration des relations (Handfield et Nichols, 1999) Le déploiement des TSI peut entraîner une détérioration des relations à court terme (Vloski et Wilson,1999) Engagement - confiance dans la supply chain Une fréquence élevée de communication est associée à davantage d engagement (Mohr, 1990) Les TSI améliorent les relations via l engagement (Emmelhainz, 1988) L investissement en TSI ne réduit pas la perception de dépendance de l acheteur vis-à-vis du fournisseur (Lohtia et Krapfel, 1994) Performance de la supply chain Les TSI ont une influence directe et positive sur la performance (Sanders et Premus, 2005, 2002) Les TSI ont un effet positif sur la performance en magasin des produits dont la demande moyenne varie (Angulo et al, 2004) Les fournisseurs ayant investi dans des systèmes intégrés ont des performances d expédition meilleures que les autres (Srinivasan et al, 1994) Il n y a pas de lien significatif entre performance et utilisation des TSI (Jayaraman et Vickery, 1998 ; Zaher et al, 1998) Les TSI n ont pas de lien direct sur la performance de la supply chain (Narasimham et Kim, 2001) L EDI a peu d effet sur la performance (Larson et Kulchitsky, 2000) L effet TSI sur la performance est négatif lors de retards d information (Sanders et Premus, 2005) Pouvoir Les TSI profitent d abord au leader de la chaîne logistique (Webster, 1994) Gouvernement des relations Les TSI réduisent le pouvoir de négociation du distributeur (Nakayama, 1998) Contrôle Les TSI facilitent le contrôle des tendances à l opportunisme des acteurs (Grover et al, 2002) Les TSI ne modifient pas les procédures / politiques achat (Sriniram et Banerjee, 1994) Une lecture «positive» de cette synthèse (résultats présentés dans la première colonne) conduit à suggérer que le déploiement des TSI contribue à renforcer l intégration des différentes entités de la supply chain en favorisant la coordination et la coopération entre ses acteurs. Les liens de dépendance qui se créent participeraient alors au renforcement des sentiments d engagement et de confiance, même si le leader de la chaîne logistique a la possibilité d instrumentaliser les TSI pour accroître sa domination. Au final, la performance de la supply chain en sortirait renforcée. Mais il y a autant de travaux permettant de tenir ce type de discours que de recherches soulignant que les TSI n ont pas d effet particulier sur la structure des relations, leur management ou encore sur le gouvernement de l échange entre les acteurs de la chaîne logistique. Enfin, d autres recherches (plus rares) suggèrent que le déploiement des TSI peut contribuer à détériorer les relations entre les acteurs. Ces résultats contradictoires, liés à une remise en cause croissante des conclusions de travaux anciens longtemps considérés comme «acquises» (une performance logistique supérieure, des relations renforcées, ) sont autant d éléments qui empêchent les managers de la chaîne logistique de disposer d une 5 - En remplaçant par le terme TSI le support technique étudié par les auteurs cités, nous faisons l hypothèse d une homogénéité technologique qui n est sûrement pas représentative de la réalité. Toutefois, on constate que près de trois quarts des recherches analysées portent sur les effets du déploiement de la seule technologie EDI. Vol. 13 N 2,

6 idée précise de ce qu ils peuvent «à coup sûr» attendre de leurs investissements en TSI. Ce constat appelle un certain nombre de commentaires sur les choix conceptuels et méthodologiques retenus par les auteurs des recherches analysées. En effet, faire évoluer ces choix apparaît nécessaire si la recherche ambitionne d offrir aux managers des cadres pertinents dans lesquels inscrire leurs décisions en termes d investissement et d utilisation des TSI. La nécessité de réviser les cadres conceptuels et méthodologiques des recherches sur l apport des TSI au management de la supply chain Nous pensons que la disparité des résultats des travaux existants s explique en partie par des limites d ordre conceptuel. En effet, la plupart des travaux se focalisent sur une technologie particulière, sans s interroger sur les objectifs de son déploiement dans la relation. Sur un plan plus méthodologique, les recherches adoptent une approche déterministe qui voudrait que la seule présence des TSI dans une relation inter-organisationnelle suffise à produire des effets. Et elles omettent de se soucier des contextes temporel et relationnel dans lesquels l échange s inscrit. Face à chacune de ces quatre limites, nous proposons une voie de recherche à investiguer. Les pistes conceptuelles Clarifier la notion de système d information de la supply-chain La plupart des auteurs s intéressent au déploiement de systèmes d information inter-organisationnels entre des firmes indépendantes en se focalisant sur l étude des effets d une seule technologie (EDI, code-barre, intranet ). Ce choix conceptuel présente un double inconvénient. Tout d abord, il propose une vision limitée de la réalité des TSI dans la gestion de la supply chain, les individus interrogés répondant par rapport à un outil en particulier alors qu ils emploient le plus souvent un portefeuille de technologies dans lequel il est difficile de discerner les effets des différents outils. Le second inconvénient est qu il se concentre souvent sur le seul angle «communication et échange d informations» du système d information logistique. Ce qui est fortement réducteur car passant sous silence l informatisation des systèmes de production et de gestion qui permettent d automatiser de nombreuses activités répétitives dans la relation fournisseur-distributeur (commande, facturation, gestion des stocks, mise à jour tarifs, ). Dans le débat sur les effets plus ou moins centralisateurs des systèmes d information, Benghozi (1999) souligne d ailleurs que pour gérer l articulation entre ce qu il appelle contrôle central et autonomie locale, «certaines entreprises opèrent le découplage pur et simple des deux systèmes : production et gestion d une part, communication d autre part». Ainsi, une recherche portant sur les seuls outils ou fonctionnalités de communication et d échange d informations entre les membres de la chaîne logistique pourra conduire au constat d un renforcement des relations, alors que dans le même temps les TSI seront utilisées par le leader de la relation pour renforcer son contrôle. C est pourquoi limiter la recherche à l étude des effets «échange d informations» n est pas suffisant pour comprendre la réalité du système d information logistique. Enfin, les outils étant de plus en plus multiples, complémentaires ou substituables (Reix et Rowe, 2002), il ne s agit plus tant de s intéresser à leur seule existence technique qu à leurs capacités en tant que support des processus de travail au sens large (de production, de gestion, de communication et d échange d informations). A cet effet, nous proposons que la recherche logistique et les travaux liés en systèmes d information qui ont déjà commencé à investiguer cette piste s intéressent davantage à la mesure des capacités des TSI déployés plutôt qu à mesurer leur seule présence ou intensité d utilisation dans la supply chain. S interroger sur les objectifs des outils déployés Les auteurs omettent fréquemment de s interroger sur les objectifs de la mise en œuvre des TSI dans la chaîne logistique. Au-delà d une logique qui voudrait que le manager se sente «obligé» d intégrer les techniques les plus modernes dans son entreprise sous la contrainte d une force technologique et de la compétition économique (Hill, 1984), il convient pourtant de s interroger sur les objectifs réels qu il cherche à atteindre ce faisant. Nous rejoignons ainsi Larson et Kulchitsky (2000) quand ils écrivent qu il n est pas étonnant de ne pas trouver de lien entre le déploiement de TSI et les relations entre les 64 Vol. 13 N 2, 2005

7 acteurs de la supply chain. Cela peut être dû à la nature impersonnelle de ce type de communication - «bien que rapide, l EDI retire de l échange tout ce qu il comporte d humain ( )» - mais aussi au fait qu il s agit de programmes informatiques qui ne sont pas destinés, et ceci dès l origine, à améliorer la dite relation. Il convient donc que les recherches en logistique abordent la mesure des apports des TSI au management de la supply chain avec une perspective relativiste. Ce qui importe n est pas tant l effet des TSI en soi-même que la mesure de cet effet au regard des bénéfices qui en étaient attendus par les acteurs - directions logistiques et directions SI - au début du projet TSI. Il s agit donc de développer davantage les recherches sur un mode «avant-après». Ces pistes conceptuelles doivent être complétées par une révision des cadres méthodologiques, une des limites persistantes des travaux étant le choix d approches que Fabbe-Costes (2000) qualifie de «technologically driven». Les pistes méthodologiques Dépasser l approche déterministe de l étude des effets de la technologie Nous croyons en effet que les contradictions observées entre les résultats obtenus relève en partie d une conception déterministe des TSI selon laquelle la technologie est un agent externe capable de transformer l organisation. Cette conception déterministe est pourtant critiquée par les chercheurs en SI pour l insuffisance des conclusions auxquelles elle aboutit («la contribution des TI à la performance est liée à des phénomènes émergents et mal maîtrisés ; on ne peut parler de déterminisme technologique» [Reix, 2004]). Elle continue pourtant de prévaloir dans de nombreuses recherches en logistique consacrées aux conséquences organisationnelles du déploiement et/ou de l utilisation des TSI. Les approches déterministes omettent en particulier de prendre en compte le contexte d utilisation des outils ou leur perception par les utilisateurs. Or, comme le soulignent Reix et Rowe (2002), «le domaine de l usage des SI est caractérisé par l existence de nombreux facteurs de contingence». Dépasser l approche déterministe des recherches passe donc par la poursuite de travaux qui adopteront une orientation dite «interactionniste» pour laquelle l utilisation et les effets des TSI émergent d interactions entre l organisation et la technologie. Ce n est que très récemment que cette perspective a été intégrée par les travaux sur l apport des TSI au management de la supply chain (par exemple, Angeles et Nath [2001] expliquent l efficacité d un partenariat EDI par la congruence des partenaires). Les auteurs doivent donc être sensibles dans les recherches à venir à approfondir cette perspective. Car si le déploiement des TSI dans les relations (inter)organisationnelles s inscrit «dans le cadre plus ou moins contraignant d un mode opératoire prédéfini» (Reix, 2004), les comportements des acteurs face aux outils participent également aux effets de l utilisation de ces derniers. Dépasser l absence de longitudinalité des recherches Vlosky et Wilson (1999) suggèrent l importance de la prise en compte du temps pour comprendre les réactions des acteurs face au déploiement des TSI dans une relation d échange inter-organisationnelle. Ils montrent comment les effets du déploiement de TSI sur la qualité de la relation fabricant-distributeur sont dépendants d un temps d appropriation des nouvelles technologies par les utilisateurs : à court terme, des ruptures dans la relation apparaissent, provoquées, côté fournisseur, par la faiblesse des bénéfices perçus au regard de l investissement réalisé et par la pression des clients distributeurs pour qu ils implantent la technologie. A long terme, la relation s améliore avec la disparition des points de conflits liés aux différences de perception quant à la rapidité avec laquelle les fournisseurs s équipent pour répondre aux demandes des distributeurs. Cet exemple suggère que le moment auquel les données sont recueillies peut avoir un impact significatif sur le résultat de la recherche. Il milite donc pour un recueil à différents moments du projet TSI afin de «contrôler» la variable temps. Enfin, au-delà de la question de la prise en compte du temps, dans la plupart des recherches recensées, on ne sait finalement pas si les TSI participent au renforcement des variables explicatives de la qualité de la relation ou si ces dernières doivent déjà être fortes pour que la mise en œuvre des TSI ait un quelconque effet (Monczka et Carter, 1988). Or, de plus en plus d auteurs en SI soulignent que si les outils impactent la qualité de la relation, la qualité de la relation en place a aussi une grande importance dans le succès ou l échec du déploiement des TSI dans les systèmes inter-organisationnels (Meier, 1995). Pour dépasser cette limite, nous conseillons que les modèles de recherche sur les effets des TSI sur Vol. 13 N 2,

8 la supply chain intègrent une réflexion sur le rôle de la nature et de la situation de la relation d échange entre les acteurs. C est donc résolument vers des travaux qui adoptent des approches contextuelles et contingentes que la recherche sur l apport des TSI au management de la chaîne logistique doit se tourner. L objectif est de les placer dans une perspective managériale tout en renouvelant l actualité de la «question» de la technologie pour la recherche en logistique. Conclusion Nous nous sommes efforcés au travers de cet article consacré à l apport des TSI au management de la supply chain de montrer l intérêt d ouvrir le débat sur l importance et le rôle des TSI dans la chaîne logistique. Ceci, alors qu un nombre important de travaux et de discours «technologues» continuent à nourrir la vision d un «one best way», faisant implicitement ou explicitement dépendre de nombreuses variables caractéristiques des échanges dans la supply chain du seul déploiement des technologies. Or, nous avons vu que l analyse des recherches empiriques sur ce thème offre aux décideurs de la chaîne logistique une vision contrastée des bénéfices qu ils peuvent réellement et systématiquement espérer du déploiement des TSI. En particulier, les résultats des travaux suggèrent qu il n y a pas d effet déterministe à attendre des TSI et que de nombreux facteurs de contingence (position dans la supply chain, expérience du manager logistique, niveau d utilisation des TSI, volonté de partager des informations sensibles, stratégie de déploiement des TSI, ) contribuent au succès des projets TSI. Autant de pistes que nous conseillons aux travaux à venir sur les liens logistique et systèmes d information d explorer ou d approfondir. La contribution managériale de cet article est donc claire. Elle suggère qu un manager logistique à la recherche d une plus grande performance via le déploiement des TSI devra toujours veiller à apporter un soutien actif au projet, qu il saura communiquer auprès de ses équipes. Il devra également s assurer de participer le plus en amont possible à la définition des besoins durant la sélection et le paramétrage de l application. Car les outils seuls ne sauraient trouver leur place «naturellement», en dépit de tous les progrès réalisés sur le plan de leur ergonomie d usage depuis quelques années. Enfin, les directions logistiques et SI engagées dans le déploiement de programmes TSI veilleront à promouvoir la collaboration des individus au sein des équipes de la supply chain via mais aussi en dehors des points de contacts supportés par les TSI. De nombreux facteurs entrent en ligne de compte, à la fois pour expliquer la performance des projets TSI mais plus globalement pour comprendre la performance de la chaîne logistique dans son ensemble. Tout en reconnaissant leur valeur ajoutée (voire leur caractère irremplaçable aujourd hui), les TSI ne doivent donc pas être regardés comme une panacée et faire oublier aux logisticiens de terrain l importance d un bon management de l élément humain. Bibliographie Alter, S., (1999), Information Systems: a Management Perspective, Addison-Wesley, 3 e édition, Anderson, E., Coughlan, A.T., (2002), Channel management : structure, governance and relationship management, Handbook of Marketing, eds B. Weitz et R. Wensley, Sage, pp Angeles, R., Nath, R., (2001), Partner Congruence in Electronic Data Interchange (EDI) -Enabled Relationships, Journal of Business Logistics, Vol.22, n 2, pp Angulo, A., Nachtmann, H., Waller M.A., (2004), Supply Chain Information Sharing In Vendor Managed Inventory Partnership, Journal of Business Logistics, Vol.25, n 1, pp Ayadi, S., (2005), Le supply chain management : vers une optimisation globale des flux, Revue Gestion 2000, n 6, nov-dec, pp Bamfield, J., (1994), Learning by Doing: Electronic Data Interchange Adoption by Retailers, Logistics Information Management, Vol. 7, n 6, 32. Benghozi, P.J., (1999), Technologies de l information et organisation : de la tentation de la flexibilité à la centralisation, 2 e Colloque International «Usages et services des télécommunications», Bordeaux. Bensaou, B.M., (1993), Interorganizational Cooperation : the Role of Information Technology, an Empirical Comparison of US and Japanese Supplier Relations, Proceedings of the fourteenth ICIS, Orlando, Floride, pp Vol. 13 N 2, 2005

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