Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-Barré Rapport final. BRGM/RP FR juin 2007
|
|
- Martial Milot
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-Barré Rapport final BRGM/RP FR juin 2007
2
3 Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-Barré Rapport final BRGM/RP FR juin 2007 Étude réalisée dans le cadre des projets de Service public du BRGM 2007-PIR-A14 E. Rouxel Vérificateur : Nom : L. CLOSSET Date : vu le 31/07/2007 Approbateur : Nom : P. CONIL Date : vu le 31/07/2007 Le système de management de la qualité du BRGM est certifié AFAQ ISO 9001:2000.
4 Mots clés : Escarpement, Falaise, Mouvement de terrain, Risques naturels, Schistes, Appui administration, Beaulieu-sur-Layon, Maine-et-Loire. En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante : Rouxel E. (2007) Commune de Beaulieu-sur-Layon (49). Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont- Barré. Rapport final. BRGM/RP FR. 18 p., 8 ill., 1 ann. BRGM, 2007, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l autorisation expresse du BRGM.
5 Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-barré Synthèse S uite à l apparition de fentes d extension localisées en haut du massif (détectées en mai 2007 par la Ligue de Protection des Oiseaux -L.P.O.-, propriétaire du site), la Préfecture du Maineet-Loire a demandé au BRGM (Service géologique régional des Pays de la Loire) un avis quant à la stabilité de l escarpement de Pont-Barré, sur la commune de Beaulieu-sur-Layon (49). Dans le cadre de ses missions de Service public (appui aux administrations), le BRGM a effectué le 6 juin 2007 une intervention au lieu-dit «Pont-Barré», à Beaulieu-sur-Layon, en présence de M. MANCIET et Mme DAVIAU (SIDPC), de M. SILVESTRE (Maire), de M. MOURGAUD (L.P.O.), de M. MOEBS (DRIRE), de Mme LE MARQUAND (DDE), du Capitaine VIAUT (SDIS) et du Gendarme LEPLAS (Gendarmerie). L objectif de cette intervention était d évaluer le risque d éboulement et de définir les mesures de mise en sécurité appropriées. Elle a consisté en une reconnaissance visuelle de la paroi, depuis son pied et depuis son sommet dans le secteur considéré. Les observations faites ce jour ont permis d établir que le risque d éboulement n est actuellement pas à craindre à court terme sur la partie de l escarpement observée (extrémité ouest). Cette situation est amenée à évoluer à moyen, voire à long terme (échelle de temps annuelle à pluriannuelle), sous l action de l infiltration de l eau dans le massif et dans les fentes déjà ouvertes (altération de la roche, alourdissement du massif). D après le voisinage, les tirs pratiqués dans la carrière située en amont, sur la parcelle contiguë, causeraient des vibrations importantes. Ces vibrations pourraient également fragiliser la partie altérée du massif. En revanche, les chutes de pierres et de blocs provenant de la partie haute de la falaise peuvent se produire de façon sporadique. Ce phénomène constitue le risque le plus présent sur toute la longueur de l escarpement. Les éboulis présents sur la partie inférieure de la paroi ne semblent pas parfaitement stabilisés, certains blocs pourraient poursuivre leur chute jusqu au bas de la falaise. En terme d enjeux, le site est assez peu fréquenté en dehors des visites de scientifiques (L.P.O. fréquence mensuelle ; sorties universitaires fréquence annuelle). Une voie communale longe le pied de l escarpement et il n y a pas d habitation dans le secteur étudié. Les préconisations s orientent donc vers des solutions passives visant à protéger les personnes en les éloignant des «zones à risque» et à mettre en place rapidement (accès à l escarpement et au cône d éboulis empêché par une clôture ; risque de chute de blocs et de pierres et instabilité du cône d éboulis signalés par un ou plusieurs panneaux bien lisibles). Compte tenu de la faible fréquentation de ce site, une purge de la paroi permettant de faire chuter les éléments les plus instables n est pas jugée indispensable. Concernant l instabilité du massif rocheux à l extrémité ouest de l escarpement, compte tenu du faible risque à court terme et des enjeux (faible fréquentation, pas d habitation), la solution la plus BRGM/RP FR Rapport final -3 -
6 adaptée serait plutôt de mettre en place un suivi régulier de l évolution des fentes en surplomb (nombre, ouverture, extension latérale et verticale). À l occasion de la mise en place de ce suivi, une vérification plus détaillée de la stabilité de l ensemble de l escarpement serait aussi à envisager, afin de vérifier qu aucune autre partie du surplomb ne menace de basculer. BRGM/RP FR Rapport final -4-
7 Sommaire 1. Introduction Description du site SITUATION GÉOGRAPHIQUE CADRE GÉOLOGIQUE Observations de terrain (06/06/2007) Avis du BRGM ANALYSE DU RISQUE PRÉCONISATIONS POUR LA MISE EN SÉCURITÉ Conclusions...13 Annexe 1 - Planches photographiques...14 Liste des illustrations Illustration 1 - Situation des désordres (extrait de la carte IGN à 1/25 000)....7 Illustration 2 - Situation géologique (extrait de la carte géologique au 1/50 000)....9 Illustration 3 - Vue générale de l escarpement depuis l est (zone étudiée non visible)...15 Illustration 4 - Vue générale de l escarpement depuis le sud...15 Illustration 5 - Surplomb rocheux affecté par les fentes d'extension repérées en mai 2007 par la L.P.O. (vue depuis l est, contour souligné en tirets noirs) Illustration 6 - Vues des fentes d'extension observables en surplomb du massif rocheux (extrémité ouest de l escarpement) Illustration 7 - Vue générale du cône d'éboulis (éboulement survenu en 1987, selon le maire de Beaulieu-sur-Layon) Illustration 8 - Extrémité ouest du cône d éboulis (vue du pied de l extrémité ouest de l escarpement)...18 BRGM/RP FR Rapport final -5 -
8 1. Introduction S uite à l apparition de fentes d extension localisées en haut du massif (détectées en mai 2007 par la Ligue de Protection des Oiseaux, propriétaire du site), la Préfecture du Maine-et-Loire a demandé au BRGM (Service géologique régional des Pays de la Loire) un avis quant à la stabilité de l escarpement de Pont-Barré, sur la commune de Beaulieu-sur-Layon (49). Dans le cadre de ses missions de Service public (appui aux administrations), le BRGM a effectué le 6 juin 2007 une intervention au lieu-dit «Pont-Barré» à Beaulieu-sur-Layon, en présence de M. MANCIET et Mme DAVIAU (SIDPC), de M. SILVESTRE (Maire), de M. MOURGAUD (L.P.O.), de M. MOEBS (DRIRE), de Mme LE MARQUAND (DDE), du Capitaine VIAUT (SDIS) et du Gendarme LEPLAS (Gendarmerie). L objectif de cette intervention était d évaluer le risque d éboulement et de définir les mesures de mise en sécurité appropriées. Elle a consisté en une reconnaissance visuelle de la paroi, depuis son pied et depuis son sommet dans le secteur considéré. Ce rapport fait état des observations de terrain, puis de l analyse du risque établie à partir des informations recueillies avant d en venir aux préconisations de mise en sécurité. BRGM/RP FR Rapport final -6-
9 Illustration 1 - Situation des désordres (extrait de la carte IGN à 1/25 000). BRGM/RP FR Rapport final -7 -
10 2. Description du site 2.1. SITUATION GÉOGRAPHIQUE La commune de Beaulieu-sur-Layon se situe dans le département du Maine-et-Loire (49), à une quinzaine de kilomètres au sud d Angers. Le lieu-dit de Pont-Barré se trouve à l ouest du bourg de la commune, en rive droite du Layon. En termes de dimensions, l escarpement étudié est haut d une soixantaine de mètres et long de 150 m. Dans ce secteur, le Layon s écoule au pied de coteaux plus ou moins hauts et abrupts. L escarpement de Pont-Barré est le plus proéminent CADRE GÉOLOGIQUE Le site étudié se situe dans le domaine de socle armoricain. La formation géologique présente à Pont-Barré s apparente à des schistes à nodules siliceux dont la stratification est orientée N110 avec un pendage de 50 vers le sud. Ces schistes sont affectés d une fracturation associée orientée N150 (pendage de 80 vers le NE). L escarpement correspond à la trace de la faille du Layon, il en marque le rejet important. La faille du Layon est un trait structural et morphologique majeur. De direction sud-armoricaine (N110), il juxtapose deux domaines du socle n ayant pas subi la même évolution géodynamique. Les rejeux post-cénomaniens de cet accident ont exhaussé les terrains paléozoïques au nord et sont ainsi responsables de la mise en relief des Coteaux du Layon. Ce relief est bordé par un abrupt de faille à regard sud-ouest, généralement très fort, dont la dénivellation atteint 60 m à Pont-Barré (escarpement étudié donnant lieu aux chutes de blocs). BRGM/RP FR Rapport final -8-
11 Illustration 2 - Situation géologique (extrait de la carte géologique au 1/50 000). BRGM/RP FR Rapport final -9 -
12 3. Observations de terrain (06/06/2007) Début mai 2007, la L.P.O. (Ligue de Protection des Oiseaux) a détecté, en partie haute de l extrémité ouest de l escarpement, deux fentes ouvertes apparues durant l hiver L observation depuis le haut de la partie de l escarpement concernée montre que : - les deux fentes d extension sont d orientation N110 (direction sud-armoricaine), elles sont déterminées par la stratification. Aucune autre fente d extension n a été décelée ; - elles affectent un volume de roche qui constitue un bombement en surplomb de la paroi (environ 800 m 3 ) ; - leur ouverture décroit d est en ouest (maximum : 7 cm). Leur extension latérale est limitée à une dizaine de mètres. À ce stade, elles n individualisent donc pas un volume de roche instable. L observation depuis le pied de la partie de l escarpement concernée montre que : - verticalement, les fentes n affectent que la partie haute de la paroi, plus altérée (moins de 15 m). Plus bas, la roche est saine et massive ; - au pied de cette partie de la paroi, il y a une ancienne carrière (sur creusement d environ 10 m de profondeur) ; - des éléments (1 m 3 maximum) sont individualisés et potentiellement instables en partie haute sur toute la longueur de l escarpement ; - des éboulis, résultant d un important éboulement survenu en 1987, sont restés en place en partie centrale de l escarpement. BRGM/RP FR Rapport final -10-
13 4. Avis du BRGM 4.1. ANALYSE DU RISQUE Compte tenu des observations de terrain, il apparaît que : - étant donné l orientation des fentes et leur ouverture, la partie du massif affectée (800 m 3 ) tend à basculer vers le vide (phénomène de fauchage) ; - le risque d éboulement n est actuellement pas à craindre à court terme sur la partie de l escarpement observée (extrémité ouest). En effet, les ouvertures constatées en surplomb du massif ne se prolongent pas assez latéralement et verticalement pour déterminer un volume instable à court terme. Cette situation est amenée à évoluer à moyen, voire à long terme (échelle de temps annuelle à pluriannuelle), sous l action de l infiltration de l eau dans le massif et dans les fentes déjà ouvertes (altération de la roche, alourdissement du massif). D après le voisinage, les tirs pratiqués dans la carrière située en amont, sur la parcelle contiguë, causeraient des vibrations importantes. Ces vibrations pourraient également fragiliser la partie altérée du massif ; - les chutes de pierres et de blocs provenant de la partie haute de la falaise peuvent en revanche se produire de façon sporadique. Ce phénomène constitue le risque le plus présent sur toute la longueur de l escarpement ; - les éboulis présents sur la partie inférieure de la paroi depuis 1987 ne semblent pas parfaitement stabilisés, certains blocs pourraient poursuivre leur chute jusqu au bas de la falaise ; - en terme d enjeux, le site est assez peu fréquenté en dehors des visites de scientifiques (L.P.O. fréquence mensuelle ; sorties universitaires fréquence annuelle). Une voie communale longe le pied de l escarpement. Il n y a pas d habitation dans le secteur étudié PRÉCONISATIONS POUR LA MISE EN SÉCURITE Compte tenu du risque de chute de blocs et de pierres et de l instabilité du cône d éboulis en place, des solutions passives visant à protéger les personnes en les éloignant des «zones à risque» doivent être mises en place rapidement. L accès à l escarpement et au cône d éboulis doit être empêché en mettant en place une clôture. Le risque (chute de blocs et de pierres, instabilité du cône d éboulis) devra aussi être signalé par un ou plusieurs panneaux bien lisibles. Compte tenu de la faible fréquentation de ce site, une purge de la paroi permettant de faire chuter les éléments les plus instables n est pas jugée indispensable. Concernant l instabilité du massif rocheux à l extrémité ouest de l escarpement, plusieurs solutions peuvent être envisagées. Les plus efficaces consisteraient à stabiliser de façon définitive la zone (boulons d encrage, décapage). Ces solutions nécessitent une étude préalable par un bureau d études spécialisé pour déterminer la plus adaptée et avoir une idée plus précise des coûts. BRGM/RP FR Rapport final -11 -
14 Toutefois, compte tenu du faible risque à court terme et des enjeux (faible fréquentation, pas d habitation), la solution la plus adaptée serait plutôt de mettre en place un suivi régulier (annuel, voire bisannuel) de l évolution des fentes en surplomb (nombre, ouverture, extension latérale et verticale). À l occasion de la mise en place de ce suivi, une vérification plus détaillée de la stabilité de l ensemble de l escarpement serait aussi à envisager, afin de vérifier qu aucune autre partie du surplomb ne menace de basculer. BRGM/RP FR Rapport final -12-
15 5. Conclusions S uite à l apparition de fentes d extension localisées en haut du massif (détectées en mai 2007 par la Ligue de Protection des Oiseaux, propriétaire du site), la Préfecture du Maine-et-Loire a demandé au BRGM (Service géologique régional des Pays de la Loire) un avis quant à la stabilité de l escarpement de Pont-Barré, sur la commune de Beaulieu-sur-Layon (49). La visite au lieu-dit «Pont-Barré» à Beaulieu-sur-Layon a été effectuée le 06 juin 2007 en présence de M. MANCIET et Mme DAVIAU (SIDPC), M. SILVESTRE (Maire), de M. MOURGAUD (L.P.O.), de M. MOEBS (DRIRE), de Mme LE MARQUAND (DDE), du Capitaine VIAUT (SDIS) et du Gendarme LEPLAS (Gendarmerie). Les observations faites ce jour ont permis d établir que le risque d éboulement n est actuellement pas à craindre à court terme sur la partie de l escarpement observée (extrémité ouest). Cette situation est amenée à évoluer à moyen, voire à long terme (échelle de temps annuelle à pluriannuelle), sous l action de l infiltration de l eau dans le massif et dans les fentes déjà ouvertes (altération de la roche, alourdissement du massif). D après le voisinage, les tirs pratiqués dans la carrière située en amont, sur la parcelle contiguë, causeraient des vibrations importantes. Ces vibrations pourraient également fragiliser la partie altérée du massif. En revanche, les chutes de pierres et de blocs provenant de la partie haute de la falaise peuvent se produire de façon sporadique. Ce phénomène constitue le risque le plus présent sur toute la longueur de l escarpement. Le cône d éboulis (en place depuis 1987) présente aussi un risque d instabilité. En terme d enjeux, le site est assez peu fréquenté en dehors des visites de scientifiques (L.P.O. fréquence mensuelle ; sorties universitaires fréquence annuelle). Une voie communale longe le pied de l escarpement et il n y a pas d habitation dans le secteur étudié. Les préconisations s orientent donc vers des solutions passives visant à protéger les personnes en les éloignant des «zones à risque» et à mettre en place rapidement (accès à l escarpement et au cône d éboulis empêché par une clôture ; risque de chute de blocs et de pierres et instabilité du cône d éboulis signalés par un ou plusieurs panneaux bien lisibles). Compte tenu de la faible fréquentation de ce site, une purge de la paroi permettant de faire chuter les éléments les plus instables n est pas jugée indispensable. Concernant l instabilité du massif rocheux à l extrémité ouest de l escarpement et compte tenu du faible risque à court terme et des enjeux (faible fréquentation, pas d habitation), la solution la plus adaptée serait plutôt de mettre en place un suivi régulier (annuel, voire bisannuel) de l évolution des fentes en surplomb (nombre, ouverture, extension latérale et verticale). À l occasion de la mise en place de ce suivi, une vérification plus détaillée de la stabilité de l ensemble de l escarpement serait aussi à envisager, afin de vérifier qu aucune autre partie du surplomb ne menace de basculer. BRGM/RP FR Rapport final -13 -
16 Annexe 1 Planches photographiques BRGM/RP FR Rapport final -14-
17 Fente d extension Cône d éboulis Illustration 3 - Vue générale de l escarpement depuis l est (zone étudiée non visible). Partie étudiée Cône d éboulis Illustration 4 - Vue générale de l escarpement depuis le sud. BRGM/RP FR Rapport final -15 -
18 Illustration 5 - Surplomb rocheux affecté par les fentes d'extension repérées en mai 2007 par la L.P.O. (vue depuis l est, contour souligné en tirets noirs). BRGM/RP FR Rapport final -16-
19 Fentes d extension (ouverture maximale de 7 cm) Illustration 6 - Vues des fentes d'extension observables en surplomb du massif rocheux (extrémité ouest de l escarpement). BRGM/RP FR Rapport final -17 -
20 Illustration 7 - Vue générale du cône d'éboulis (éboulement survenu en 1987, selon le maire de Beaulieu-sur-Layon). Illustration 8 - Extrémité ouest du cône d éboulis (vue du pied de l extrémité ouest de l escarpement). BRGM/RP FR Rapport final -18-
21 Centre scientifique et technique 3, avenue Claude-Guillemin BP Orléans Cedex 2 France Tél. : Service géologique régional Pays de la Loire 1, rue des Saumonières BP Nantes Cedex 3 France Tél. :
Les versants sous-cavés
RAPPORT D ÉTUDE 15/01/2014 DRS-13-135675-12706A Les versants sous-cavés Contraintes réglementaires, caractérisation détaillée de site et validation de la méthodologie d évaluation de l aléa. Les versants
Plus en détailRapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)
Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de
Plus en détailChangement du trait de côte et images satellites. Tempêtes 2014, plage de la Salie, côte atlantique française
Les tempêtes L expert Avec la crise climatique, les rivages subissent plus durement les assauts de la mer et les crues de fleuves. Pour anticiper et prévenir des risques d érosion et d inondation, il est
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailReprésenter un pays : la carte de France
séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 séance 1 De la photo à la carte. Je découvre Avec l aimable autorisation de la Mairie de l Ile d Arz - www.iledarz.fr Emma va passer quelques jours de vacances à Bilhervé,
Plus en détailAppui SIE :Développement de services web ADES/SIE
Appui SIE :Développement de services web ADES/SIE Rapport final BRGM/ RP-55128-FR Décembre 2006 Appui SIE : Développement de services web ADES/SIE Rapport final BRGM/ RP-55128-FR décembre 2006 Étude réalisée
Plus en détailPlateformes de travail élévatrices et portatives
B354.1-04 Plateformes de travail élévatrices et portatives Plate-forme élévatrice de type 1 à déplacement manuel Plate-forme élévatrice de type 2 remorquable Édition française publiée en août 2004 par
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détail5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM
5.2. EVOLUTION DU TRAIT DE COTE SUR LES PHOTOGRAPHIES AERIENNES DE L'IGN ET LES CARTES ANCIENNES DU SHOM La digitalisation des traits de côte (pied de falaise) a été réalisée pour les cartes anciennes
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailTélésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint-Sulpice-de-Cognac (1 6)
Télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint-Sulpice-de-Cognac (1 6) Rapport de suivi Juillet 2003 -Juillet 2004 BRGMIRP-53257-FR Juillet 2004 Etude réalisée dans le cadre des opéralions
Plus en détailAccessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1
Accessibilité > voirie et espaces publics Réglementation et mise en oeuvre Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Les références réglementaires Le cadre législatif Loi n 2005-102 du 11 février
Plus en détailÉtat de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central
État de répartition des Maculinea dans le sud du Massif Central Situation en Languedoc-Roussillon Aubrac Espèces Maculinea alcon Maculinea rebeli Maculinea arion autres espèces de papillons Méjean Montagne
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailCLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée
CLUB DE MARCHE Ballade et Randonnée SOMMAIRE 1 LA CARTE 1.1 Les types de carte 1.2 Les différentes échelles 1.3 - Les informations figurants sur les cartes au 1/25000 ème 1.3.1 - Le cadre 1.3.2 Les couleurs
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailAccessibilité des ERP existants
CONSEIL D ARCHITECTURE D URBANISME ET DE L ENVIRONNEMENT DU TARN Accessibilité des ERP existants 27 janvier 2015 www.caue-mp.fr 188, rue de Jarlard 81000 ALBI - Tél : 05 63 60 16 70 - Fax : 05 63 60 16
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailSCP d Architecture et d Aménagement du Territoire DESCOEUR F & C 49 rue des Salins, 63000 Clermont Fd. 7 juin 2010
SCP d Architecture et d Aménagement du Territoire DESCOEUR F & C 49 rue des Salins, 63000 Clermont Fd Commune de Coulandon CONTRATT COMMUNAL D AMENAGEMENT DE BOURG FICHE ACTION 1 Aménagement de la route
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailCommune de VILLARD-SUR-DORON
I n g é n i e r i e d e s M o u v e m e n t s d e S o l e t d e s R i s q u e s N a t u r e l s Siège : Parc Pré Millet - 38330 MONTBONNOT tél : 04 76 52 41 20 - fax : 04 76 52 49 09 email : ims@imsrn.com
Plus en détailL escalier extérieur, le jardin et le balcon
L escalier extérieur, le jardin et le balcon Les marches Glissantes, irrégulières ou en pierres disjointes, les marches de l escalier extérieur représentent un risque important de chute. Entretenez l escalier
Plus en détailNOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public
NOM équipement Notice accessibilité pour les établissements recevant du public Textes de référence : Loi n 2005-102 du 11 février 2005 Décret n 2006-555 du 17 mai 2006 Arrêté du 1er Règles en vigueur considérées
Plus en détailRAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC
RAPPORT DE TRANSPARENCE ORCOM SCC INTRODUCTION Le présent rapport de transparence est rédigé et publié en application de l article R 823-21 du Code Commerce aux termes duquel «les commissaires aux comptes
Plus en détailCompte-rendu Réunion générale. Grenoble, le 29 juin 2011 URBASIS
URBASIS Sismologie urbaine : évaluation de la vulnérabilité et des dommages sismiques par méthodes innovantes ANR09RISK009 URBASIS Compterendu Réunion générale Grenoble, le 29 juin 2011 Participants: J.
Plus en détailSecteur Paris 13 e - Ivry - Vitry Réunion publique. du 27 novembre 2012. Vitry-sur-Seine
Secteur Paris 13 e - Ivry - Vitry Réunion publique du 27 novembre 2012 Vitry-sur-Seine!" Le programme de la réunion 2 Le programme de la réunion Le dispositif de concertation Les acteurs et les objectifs
Plus en détailGuide de l Accessibilité des ERP
Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailLes textes et règlements
Réglementation applicable aux chapiteaux, tentes et Note : cette fiche est extraite pour l essentiel de l ouvrage «Organiser un événement artistique dans l espace public : Guide des bons usages», édité
Plus en détailAGENT DE VOIRIE POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE MISSIONS
Direction des Ressources humaines AGENT DE VOIRIE DANS UN CENTRE D EXPLOITATION DÉPARTEMENTAL POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction des Routes Service : Centre Technique Départemental
Plus en détailUn nouvel État territorial
La réforme de l administration territoriale de l État 1 / 7 Un nouvel État territorial L organisation territoriale de l État en France est caractérisée par : une architecture historique calée sur les départements
Plus en détailManutention et Levage
Manutention et Levage Manutentions Manuelles : la norme NF X35-109 La masse unitaire maximale acceptable est fixée à 15kg pour le soulever/ tirer Pour les hommes et les femmes. Et ce, dans des conditions
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailConcevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois
Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Cette vous permettra d appréhender les principes fondamentaux du système constructif ossature bois selon les normes et DTU en vigueur. Elle
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détail! "# $ "%& & *+ *!1 '() /.2( + (/(, 2,2 )5 0120 "$62!, 75., "#8%% "#9$%!&%#'%(988)(*+,-&%#'%("%:"9 &%#'%('9)#9*+,-&%#'%%'()$%.,&,2;3,<4.
! "# $ "%& & '() *+ *,!+-).(/0-!1 % *! "#$#%!&%#'%((")##*+,-&%#'%((")##.,&/01, 2-344 /.2( + (/(, 2,2 )5 0120 "$62!, 75., "#8%% "#9$%!&%#'%(988)(*+,-&%#'%("%:"9 &%#'%('9)#9*+,-&%#'%%'()$%.,&,2;3,
Plus en détailLyon, le 17 septembre 2013
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON N/Réf. : CODEP-LYO-2013-052873 Lyon, le 17 septembre 2013 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Bugey Electricité de France CNPE
Plus en détailRAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR
1 Tome 1 REPUBLIQUE FRANÇAISE PREFECTURE DE LA CHARENTE-MARITIME COMMUNE DE SAINTE-SOULLE ENQUETE PUBLIQUE relative au projet d aménagement d une retenue d eau du bassin versant de SAINTE-SOULLE, sur la
Plus en détailNotice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:
Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,
Plus en détailDETECTEUR DE FUITES PORTATIF Méthode H2
DETECTEUR DE FUITES PORTATIF Méthode H2 D F P - S 0 6 Plus de 30 ans à votre service Version 07/2007 Le DFP-S06 a été spécialement développé pour la détection et la localisation de fuites en utilisant
Plus en détailC O N S E I L. C a s t o r a m a. La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose. La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6
40.03 POSER UNE MOQUETTE C O N S E I L C a s t o r a m a La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose pages 3&4&5 La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6 page 1/6 - Fiche Conseil n 40.03
Plus en détailBrou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1
1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux
Plus en détailMunicipalité 16 avril 2014
Municipalité 16 avril 2014 RAPPORT AU CONSEIL COMMUNAL D'YVERDON-LES-BAINS concernant PR14.12PR une demande de crédit d'investissement de Fr. 680 000.- pour les travaux de remise en état du Temple Pestalozzi
Plus en détailEîude réalisée dans le cadre des actions de Service Public du BRGM 02PIR115. E. Equilbey, J.F. Vernoux. mars 2002 BRCMIRPB 1576-FR
Avis hydrogéologique sur des dossiers de demande de reconnaissance de l état de catastrophe naturelle liée à une remontée de nappe phréatique - Communes de Marcoussis et du Val-Sain t-germain (Essonne)
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailFonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source
Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique
Plus en détailElaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21
Elaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21 Phase diagnostic Par : P. Mordelet, Université Toulouse 3 C. Aschan-Leygonie, Université Lyon 2 F. Boussama, Université Montpellier 1 C. Mathieu,
Plus en détailLUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT
LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT Prix À «Mobilisons-nous L ÉCOLE : L AFFAIRE contre DE le TOUS! harcèlement» 2ème édition 2014/2015 Préambule Dans le cadre de la politique conduite pour diminuer le harcèlement
Plus en détailGuide des autorisations d urbanisme
Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A
Plus en détailEtude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine
Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion
Plus en détailMobilité du trait de côte et cartographie historique
Mobilité du trait de côte et cartographie historique 1 Frédéric POUGET Université de La Rochelle UMR 6250 LIENSS (Littoral Environnement et SociétéS) Colloque Les littoraux à l heure du changement climatique
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailHUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation
Janvier 2009 SIMPLE HUMAIN aménager ACCUEILLANT LYON FACILE A TOUS ACCeSSIBLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL ACCESSIBILITE LOGEMENT COLLECTIF Les clés de la réglementation www.lyon.fr Nos enjeux
Plus en détailMANUEL D UTILISATION MODE D EMPLOI ALT 600 MODE D EMPLOI ALT 600 FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE
1. Présentation. FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE MANUEL D UTILISATION La société ASD est spécialisée dans la conception et le développement de systèmes de levage spécifique à l environnement du spectacle
Plus en détailDOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE
Coordonnées Destinataire Agence de PARIS ZI DU PONT - "LA LEVA" 42300 VILLEREST Tel : 0800400100 Fax :0825800954 A communiquer pour toute correspondance Réalisé le : 27/01/2015 DIRECTION GENERALE DES FINANCES
Plus en détailBATIMENT RELAIS. Parc d'activités de Plaisance St-Sauveur-des-Landes. Surface totale : 842 m²
BATIMENT RELAIS Parc d'activités de Plaisance St-Sauveur-des-Landes Surface totale : 842 m² Atelier : 632 m² 7 m hauteur sous plafond, porte sectionnelle automatique Bureaux : 100 m² Accueil, 2 bureaux,
Plus en détailaccessibilité des maisons individuelles neuves
accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis unique relative à l aménagement d un complexe sportif sur le domaine du Bois-Saint-Jean au Sart Tilman à LIEGE
AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.392 Liège, le 11 avril 2005 Objet : Demande de permis unique relative à l aménagement d un complexe sportif sur le domaine du Bois-Saint-Jean au Sart Tilman à LIEGE Avis du CWEDD
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailDOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE
Coordonnées Destinataire Agence de PARIS ZI DU PONT - "LA LEVA" 42300 VILLEREST Tel : 0800400100 Fax :0825800954 A communiquer pour toute correspondance Réalisé le : 28/01/2015 DIRECTION GENERALE DES FINANCES
Plus en détailDOSSIER : TOURISME ET HANDICAP
DOSSIER : TOURISME ET HANDICAP Dossier à l intention des professionnels souhaitant s améliorer dans l accueil des personnes handicapées. Réaliser les aménagements fondamentaux pour l accueil des personnes
Plus en détailLe point de vue du contrôleur technique
Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle
Plus en détailDOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE
Coordonnées Destinataire Agence de PARIS ZI DU PONT - "LA LEVA" 42300 VILLEREST Tel : 0800400100 Fax :0825800954 A communiquer pour toute correspondance Réalisé le : 27/01/2015 DIRECTION GENERALE DES FINANCES
Plus en détailREUNION DU CONSEIL MUNICIPAL. Du 21 octobre 2008
REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL Du 21 octobre 2008 L an deux mil huit, le mardi 21 octobre, à vingt heures trente, les membres du Conseil Municipal de la commune de Neung sur Beuvron se sont réunis dans la
Plus en détailETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993
ETAT DES LIEUX RAPPEL DE L ETAT DES LIEUX EFFECTUE EN JANVIER 1993 1 ETAT DES LIEUX AU PRINTEMPS 2010 Végétation Souche effondrée Végétation Parties hautes des murs effondrées Cheminées effondrées Ouverture
Plus en détailUNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS. Dossier n 1 Juin 2005
UNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS Dossier n 1 Juin 2005 Tous droits réservés au réseau AGRIMÉDIA Conçu et réalisé par : Marie-Christine LIEFOOGHE Bruno VANBAELINGHEM Annie VANDERSTRAELE
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailMODE D EMPLOI ST 4000. Route de la Neuville 08460 LALOBBE FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE MANUEL D UTILISATION ST 4000. Rapport N 2520/14/7656
Route de la Neuville 08460 LALOBBE FABRICANT DE MATERIEL SCENIQUE MANUEL D UTILISATION ST 4000 Rapport N 2520/14/7656 APPAREILS DE LEVAGE - STRUCTURES ALUMINIUM ACCESSOIRES DIVERS www.alusd.com TEL : 03.24.59.41.91
Plus en détailPrésentation de l outil
Présentation de l outil Communiquer en temps réel avec vos clients Solutions SMS, marketing mobile, numérique et social 1 Notre offre Application web paramétrable pour l envoi et la réception de SMS personnalisés
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailVERS UNE ACCESSIBILITÉ. généralisée. Accès à tout pour tous
VERS UNE ACCESSIBILITÉ généralisée Accès à tout pour tous La loi handicap du 11 février 2005 précise que les conditions d accès des personnes handicapées dans les E.R.P.* doivent être les mêmes que celles
Plus en détail4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE
MAITRE D OUVRAGE / MAITRE D OEUVRE : VILLE DE NICE DIRECTION GENERALE DES SERVICES TECHNIQUES, DE L AMENAGEMENT, DES TRAVAUX, ET DU DEVELLOPEMENT DURABLE DIRECTION DES BATIMENTS COMMUNAUX SERVICE MAINTENANCE
Plus en détailF3. NORMES TECHNIQUES RELATIVES A L ACCESSIBILITE AU CABINET MEDICAL
Le pour les I - Les cheminements extérieurs Article 2 «[ ] Lorsqu une dénivellation ne peut être évitée, un plan incliné de pente inférieure ou égale à 5 % doit être aménagé afin de la franchir. Les valeurs
Plus en détailLe Document d Information Communal sur les
EDITORIAL ETRE INFORMÉS ET ORGANISÉS POUR BIEN REAGIR Jean-Jacques Filleul, maire de Montlouis-sur-Loire, président de la Communauté de communes de l Est Tourangeau. Le Document d Information Communal
Plus en détailAugmentation de l efficience
SENEGALAISE DES EAUX Augmentation de l efficience Affermage de l eau au Sénégal Par Mamadou DIA Dakar 7 Juin 2012 L ENTREPRISE SDE Filiale de FINAGESTION (57%), créée en 1995, 33% privés sénégalais, 5%
Plus en détailLE TRAVAIL EN HAUTEUR
F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les
Plus en détailObservatoire. de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2014 LINEO SOFADEX RAUD LAZARD
Observatoire de l immobilier d entreprise de Maine-et-Loire EDITION 2014 LAZARD RAUD SOFADEX LINEO Les faits marquants EDITORIAL Le contexte économique difficile qui nous affecte depuis plus de cinq ans
Plus en détailNouveau règlement Accessibilité Handicapés
Nouveau règlement Accessibilité Handicapés 1 Les principaux points à retenir en synthèse Prise en compte de tous les handicaps notamment physique, cognitif, mental ou psychique Exigences de performance
Plus en détailPrélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote
Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION A L ENTRÉE EN FORMATION pour une UCC associée au BPJEPS AN
DIRECTION RÉGIONALE DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DE LA COHESION SOCIALE DES PAYS DE LA LOIRE Mme M. DOSSIER D INSCRIPTION A L ENTRÉE EN FORMATION pour une UCC associée au BPJEPS AN (cocher le support
Plus en détailRéaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!
Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)
Plus en détailLe droit de préemption en matière immobilière
Le droit de préemption en matière immobilière C est le truc le plus grave à louper. I Le preneur à bail rural C est surement le texte le plus ancien dans notre droit positif actuel. Cela date de 1945.
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailIII RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2
FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée
Plus en détailévaluez votre accessibilité
évaluez votre accessibilité Auto-évaluation pour les ERP de 5 e catégorie de type commerce, artisanat ou service Entrée du magasin L enseigne est lisible L entrée unique présente un marquage au sol repérable
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détail- Grille d'autodiagnostic Restaurant
- Grille d'autodiagnostic Restaurant L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLatitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014
RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5
Plus en détailOUVERTURE ET FERMETURE DES PORTES D ACCES DU PARC DES VOYETTES A CYSOING
Ville de Cysoing Hôtel de Ville 2, place de la République BP 67 59830 CYSOING Tél : 03.20.79.44.70. Fax : 03.20.79.57.59. N Cys OUVERTURE ET FERMETURE DES PORTES D ACCES DU PARC DES VOYETTES A CYSOING
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailOutil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux -
Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - 17 septembre 2014 (mis à jour le 31 octobre 2014) Afin d avoir une idée du niveau d accessibilité de son cabinet et des principales
Plus en détail