Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-Barré Rapport final. BRGM/RP FR juin 2007

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1 Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-Barré Rapport final BRGM/RP FR juin 2007

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3 Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-Barré Rapport final BRGM/RP FR juin 2007 Étude réalisée dans le cadre des projets de Service public du BRGM 2007-PIR-A14 E. Rouxel Vérificateur : Nom : L. CLOSSET Date : vu le 31/07/2007 Approbateur : Nom : P. CONIL Date : vu le 31/07/2007 Le système de management de la qualité du BRGM est certifié AFAQ ISO 9001:2000.

4 Mots clés : Escarpement, Falaise, Mouvement de terrain, Risques naturels, Schistes, Appui administration, Beaulieu-sur-Layon, Maine-et-Loire. En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante : Rouxel E. (2007) Commune de Beaulieu-sur-Layon (49). Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont- Barré. Rapport final. BRGM/RP FR. 18 p., 8 ill., 1 ann. BRGM, 2007, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l autorisation expresse du BRGM.

5 Commune de Beaulieu-sur-Layon (49) Avis sur la stabilité de l escarpement de Pont-barré Synthèse S uite à l apparition de fentes d extension localisées en haut du massif (détectées en mai 2007 par la Ligue de Protection des Oiseaux -L.P.O.-, propriétaire du site), la Préfecture du Maineet-Loire a demandé au BRGM (Service géologique régional des Pays de la Loire) un avis quant à la stabilité de l escarpement de Pont-Barré, sur la commune de Beaulieu-sur-Layon (49). Dans le cadre de ses missions de Service public (appui aux administrations), le BRGM a effectué le 6 juin 2007 une intervention au lieu-dit «Pont-Barré», à Beaulieu-sur-Layon, en présence de M. MANCIET et Mme DAVIAU (SIDPC), de M. SILVESTRE (Maire), de M. MOURGAUD (L.P.O.), de M. MOEBS (DRIRE), de Mme LE MARQUAND (DDE), du Capitaine VIAUT (SDIS) et du Gendarme LEPLAS (Gendarmerie). L objectif de cette intervention était d évaluer le risque d éboulement et de définir les mesures de mise en sécurité appropriées. Elle a consisté en une reconnaissance visuelle de la paroi, depuis son pied et depuis son sommet dans le secteur considéré. Les observations faites ce jour ont permis d établir que le risque d éboulement n est actuellement pas à craindre à court terme sur la partie de l escarpement observée (extrémité ouest). Cette situation est amenée à évoluer à moyen, voire à long terme (échelle de temps annuelle à pluriannuelle), sous l action de l infiltration de l eau dans le massif et dans les fentes déjà ouvertes (altération de la roche, alourdissement du massif). D après le voisinage, les tirs pratiqués dans la carrière située en amont, sur la parcelle contiguë, causeraient des vibrations importantes. Ces vibrations pourraient également fragiliser la partie altérée du massif. En revanche, les chutes de pierres et de blocs provenant de la partie haute de la falaise peuvent se produire de façon sporadique. Ce phénomène constitue le risque le plus présent sur toute la longueur de l escarpement. Les éboulis présents sur la partie inférieure de la paroi ne semblent pas parfaitement stabilisés, certains blocs pourraient poursuivre leur chute jusqu au bas de la falaise. En terme d enjeux, le site est assez peu fréquenté en dehors des visites de scientifiques (L.P.O. fréquence mensuelle ; sorties universitaires fréquence annuelle). Une voie communale longe le pied de l escarpement et il n y a pas d habitation dans le secteur étudié. Les préconisations s orientent donc vers des solutions passives visant à protéger les personnes en les éloignant des «zones à risque» et à mettre en place rapidement (accès à l escarpement et au cône d éboulis empêché par une clôture ; risque de chute de blocs et de pierres et instabilité du cône d éboulis signalés par un ou plusieurs panneaux bien lisibles). Compte tenu de la faible fréquentation de ce site, une purge de la paroi permettant de faire chuter les éléments les plus instables n est pas jugée indispensable. Concernant l instabilité du massif rocheux à l extrémité ouest de l escarpement, compte tenu du faible risque à court terme et des enjeux (faible fréquentation, pas d habitation), la solution la plus BRGM/RP FR Rapport final -3 -

6 adaptée serait plutôt de mettre en place un suivi régulier de l évolution des fentes en surplomb (nombre, ouverture, extension latérale et verticale). À l occasion de la mise en place de ce suivi, une vérification plus détaillée de la stabilité de l ensemble de l escarpement serait aussi à envisager, afin de vérifier qu aucune autre partie du surplomb ne menace de basculer. BRGM/RP FR Rapport final -4-

7 Sommaire 1. Introduction Description du site SITUATION GÉOGRAPHIQUE CADRE GÉOLOGIQUE Observations de terrain (06/06/2007) Avis du BRGM ANALYSE DU RISQUE PRÉCONISATIONS POUR LA MISE EN SÉCURITÉ Conclusions...13 Annexe 1 - Planches photographiques...14 Liste des illustrations Illustration 1 - Situation des désordres (extrait de la carte IGN à 1/25 000)....7 Illustration 2 - Situation géologique (extrait de la carte géologique au 1/50 000)....9 Illustration 3 - Vue générale de l escarpement depuis l est (zone étudiée non visible)...15 Illustration 4 - Vue générale de l escarpement depuis le sud...15 Illustration 5 - Surplomb rocheux affecté par les fentes d'extension repérées en mai 2007 par la L.P.O. (vue depuis l est, contour souligné en tirets noirs) Illustration 6 - Vues des fentes d'extension observables en surplomb du massif rocheux (extrémité ouest de l escarpement) Illustration 7 - Vue générale du cône d'éboulis (éboulement survenu en 1987, selon le maire de Beaulieu-sur-Layon) Illustration 8 - Extrémité ouest du cône d éboulis (vue du pied de l extrémité ouest de l escarpement)...18 BRGM/RP FR Rapport final -5 -

8 1. Introduction S uite à l apparition de fentes d extension localisées en haut du massif (détectées en mai 2007 par la Ligue de Protection des Oiseaux, propriétaire du site), la Préfecture du Maine-et-Loire a demandé au BRGM (Service géologique régional des Pays de la Loire) un avis quant à la stabilité de l escarpement de Pont-Barré, sur la commune de Beaulieu-sur-Layon (49). Dans le cadre de ses missions de Service public (appui aux administrations), le BRGM a effectué le 6 juin 2007 une intervention au lieu-dit «Pont-Barré» à Beaulieu-sur-Layon, en présence de M. MANCIET et Mme DAVIAU (SIDPC), de M. SILVESTRE (Maire), de M. MOURGAUD (L.P.O.), de M. MOEBS (DRIRE), de Mme LE MARQUAND (DDE), du Capitaine VIAUT (SDIS) et du Gendarme LEPLAS (Gendarmerie). L objectif de cette intervention était d évaluer le risque d éboulement et de définir les mesures de mise en sécurité appropriées. Elle a consisté en une reconnaissance visuelle de la paroi, depuis son pied et depuis son sommet dans le secteur considéré. Ce rapport fait état des observations de terrain, puis de l analyse du risque établie à partir des informations recueillies avant d en venir aux préconisations de mise en sécurité. BRGM/RP FR Rapport final -6-

9 Illustration 1 - Situation des désordres (extrait de la carte IGN à 1/25 000). BRGM/RP FR Rapport final -7 -

10 2. Description du site 2.1. SITUATION GÉOGRAPHIQUE La commune de Beaulieu-sur-Layon se situe dans le département du Maine-et-Loire (49), à une quinzaine de kilomètres au sud d Angers. Le lieu-dit de Pont-Barré se trouve à l ouest du bourg de la commune, en rive droite du Layon. En termes de dimensions, l escarpement étudié est haut d une soixantaine de mètres et long de 150 m. Dans ce secteur, le Layon s écoule au pied de coteaux plus ou moins hauts et abrupts. L escarpement de Pont-Barré est le plus proéminent CADRE GÉOLOGIQUE Le site étudié se situe dans le domaine de socle armoricain. La formation géologique présente à Pont-Barré s apparente à des schistes à nodules siliceux dont la stratification est orientée N110 avec un pendage de 50 vers le sud. Ces schistes sont affectés d une fracturation associée orientée N150 (pendage de 80 vers le NE). L escarpement correspond à la trace de la faille du Layon, il en marque le rejet important. La faille du Layon est un trait structural et morphologique majeur. De direction sud-armoricaine (N110), il juxtapose deux domaines du socle n ayant pas subi la même évolution géodynamique. Les rejeux post-cénomaniens de cet accident ont exhaussé les terrains paléozoïques au nord et sont ainsi responsables de la mise en relief des Coteaux du Layon. Ce relief est bordé par un abrupt de faille à regard sud-ouest, généralement très fort, dont la dénivellation atteint 60 m à Pont-Barré (escarpement étudié donnant lieu aux chutes de blocs). BRGM/RP FR Rapport final -8-

11 Illustration 2 - Situation géologique (extrait de la carte géologique au 1/50 000). BRGM/RP FR Rapport final -9 -

12 3. Observations de terrain (06/06/2007) Début mai 2007, la L.P.O. (Ligue de Protection des Oiseaux) a détecté, en partie haute de l extrémité ouest de l escarpement, deux fentes ouvertes apparues durant l hiver L observation depuis le haut de la partie de l escarpement concernée montre que : - les deux fentes d extension sont d orientation N110 (direction sud-armoricaine), elles sont déterminées par la stratification. Aucune autre fente d extension n a été décelée ; - elles affectent un volume de roche qui constitue un bombement en surplomb de la paroi (environ 800 m 3 ) ; - leur ouverture décroit d est en ouest (maximum : 7 cm). Leur extension latérale est limitée à une dizaine de mètres. À ce stade, elles n individualisent donc pas un volume de roche instable. L observation depuis le pied de la partie de l escarpement concernée montre que : - verticalement, les fentes n affectent que la partie haute de la paroi, plus altérée (moins de 15 m). Plus bas, la roche est saine et massive ; - au pied de cette partie de la paroi, il y a une ancienne carrière (sur creusement d environ 10 m de profondeur) ; - des éléments (1 m 3 maximum) sont individualisés et potentiellement instables en partie haute sur toute la longueur de l escarpement ; - des éboulis, résultant d un important éboulement survenu en 1987, sont restés en place en partie centrale de l escarpement. BRGM/RP FR Rapport final -10-

13 4. Avis du BRGM 4.1. ANALYSE DU RISQUE Compte tenu des observations de terrain, il apparaît que : - étant donné l orientation des fentes et leur ouverture, la partie du massif affectée (800 m 3 ) tend à basculer vers le vide (phénomène de fauchage) ; - le risque d éboulement n est actuellement pas à craindre à court terme sur la partie de l escarpement observée (extrémité ouest). En effet, les ouvertures constatées en surplomb du massif ne se prolongent pas assez latéralement et verticalement pour déterminer un volume instable à court terme. Cette situation est amenée à évoluer à moyen, voire à long terme (échelle de temps annuelle à pluriannuelle), sous l action de l infiltration de l eau dans le massif et dans les fentes déjà ouvertes (altération de la roche, alourdissement du massif). D après le voisinage, les tirs pratiqués dans la carrière située en amont, sur la parcelle contiguë, causeraient des vibrations importantes. Ces vibrations pourraient également fragiliser la partie altérée du massif ; - les chutes de pierres et de blocs provenant de la partie haute de la falaise peuvent en revanche se produire de façon sporadique. Ce phénomène constitue le risque le plus présent sur toute la longueur de l escarpement ; - les éboulis présents sur la partie inférieure de la paroi depuis 1987 ne semblent pas parfaitement stabilisés, certains blocs pourraient poursuivre leur chute jusqu au bas de la falaise ; - en terme d enjeux, le site est assez peu fréquenté en dehors des visites de scientifiques (L.P.O. fréquence mensuelle ; sorties universitaires fréquence annuelle). Une voie communale longe le pied de l escarpement. Il n y a pas d habitation dans le secteur étudié PRÉCONISATIONS POUR LA MISE EN SÉCURITE Compte tenu du risque de chute de blocs et de pierres et de l instabilité du cône d éboulis en place, des solutions passives visant à protéger les personnes en les éloignant des «zones à risque» doivent être mises en place rapidement. L accès à l escarpement et au cône d éboulis doit être empêché en mettant en place une clôture. Le risque (chute de blocs et de pierres, instabilité du cône d éboulis) devra aussi être signalé par un ou plusieurs panneaux bien lisibles. Compte tenu de la faible fréquentation de ce site, une purge de la paroi permettant de faire chuter les éléments les plus instables n est pas jugée indispensable. Concernant l instabilité du massif rocheux à l extrémité ouest de l escarpement, plusieurs solutions peuvent être envisagées. Les plus efficaces consisteraient à stabiliser de façon définitive la zone (boulons d encrage, décapage). Ces solutions nécessitent une étude préalable par un bureau d études spécialisé pour déterminer la plus adaptée et avoir une idée plus précise des coûts. BRGM/RP FR Rapport final -11 -

14 Toutefois, compte tenu du faible risque à court terme et des enjeux (faible fréquentation, pas d habitation), la solution la plus adaptée serait plutôt de mettre en place un suivi régulier (annuel, voire bisannuel) de l évolution des fentes en surplomb (nombre, ouverture, extension latérale et verticale). À l occasion de la mise en place de ce suivi, une vérification plus détaillée de la stabilité de l ensemble de l escarpement serait aussi à envisager, afin de vérifier qu aucune autre partie du surplomb ne menace de basculer. BRGM/RP FR Rapport final -12-

15 5. Conclusions S uite à l apparition de fentes d extension localisées en haut du massif (détectées en mai 2007 par la Ligue de Protection des Oiseaux, propriétaire du site), la Préfecture du Maine-et-Loire a demandé au BRGM (Service géologique régional des Pays de la Loire) un avis quant à la stabilité de l escarpement de Pont-Barré, sur la commune de Beaulieu-sur-Layon (49). La visite au lieu-dit «Pont-Barré» à Beaulieu-sur-Layon a été effectuée le 06 juin 2007 en présence de M. MANCIET et Mme DAVIAU (SIDPC), M. SILVESTRE (Maire), de M. MOURGAUD (L.P.O.), de M. MOEBS (DRIRE), de Mme LE MARQUAND (DDE), du Capitaine VIAUT (SDIS) et du Gendarme LEPLAS (Gendarmerie). Les observations faites ce jour ont permis d établir que le risque d éboulement n est actuellement pas à craindre à court terme sur la partie de l escarpement observée (extrémité ouest). Cette situation est amenée à évoluer à moyen, voire à long terme (échelle de temps annuelle à pluriannuelle), sous l action de l infiltration de l eau dans le massif et dans les fentes déjà ouvertes (altération de la roche, alourdissement du massif). D après le voisinage, les tirs pratiqués dans la carrière située en amont, sur la parcelle contiguë, causeraient des vibrations importantes. Ces vibrations pourraient également fragiliser la partie altérée du massif. En revanche, les chutes de pierres et de blocs provenant de la partie haute de la falaise peuvent se produire de façon sporadique. Ce phénomène constitue le risque le plus présent sur toute la longueur de l escarpement. Le cône d éboulis (en place depuis 1987) présente aussi un risque d instabilité. En terme d enjeux, le site est assez peu fréquenté en dehors des visites de scientifiques (L.P.O. fréquence mensuelle ; sorties universitaires fréquence annuelle). Une voie communale longe le pied de l escarpement et il n y a pas d habitation dans le secteur étudié. Les préconisations s orientent donc vers des solutions passives visant à protéger les personnes en les éloignant des «zones à risque» et à mettre en place rapidement (accès à l escarpement et au cône d éboulis empêché par une clôture ; risque de chute de blocs et de pierres et instabilité du cône d éboulis signalés par un ou plusieurs panneaux bien lisibles). Compte tenu de la faible fréquentation de ce site, une purge de la paroi permettant de faire chuter les éléments les plus instables n est pas jugée indispensable. Concernant l instabilité du massif rocheux à l extrémité ouest de l escarpement et compte tenu du faible risque à court terme et des enjeux (faible fréquentation, pas d habitation), la solution la plus adaptée serait plutôt de mettre en place un suivi régulier (annuel, voire bisannuel) de l évolution des fentes en surplomb (nombre, ouverture, extension latérale et verticale). À l occasion de la mise en place de ce suivi, une vérification plus détaillée de la stabilité de l ensemble de l escarpement serait aussi à envisager, afin de vérifier qu aucune autre partie du surplomb ne menace de basculer. BRGM/RP FR Rapport final -13 -

16 Annexe 1 Planches photographiques BRGM/RP FR Rapport final -14-

17 Fente d extension Cône d éboulis Illustration 3 - Vue générale de l escarpement depuis l est (zone étudiée non visible). Partie étudiée Cône d éboulis Illustration 4 - Vue générale de l escarpement depuis le sud. BRGM/RP FR Rapport final -15 -

18 Illustration 5 - Surplomb rocheux affecté par les fentes d'extension repérées en mai 2007 par la L.P.O. (vue depuis l est, contour souligné en tirets noirs). BRGM/RP FR Rapport final -16-

19 Fentes d extension (ouverture maximale de 7 cm) Illustration 6 - Vues des fentes d'extension observables en surplomb du massif rocheux (extrémité ouest de l escarpement). BRGM/RP FR Rapport final -17 -

20 Illustration 7 - Vue générale du cône d'éboulis (éboulement survenu en 1987, selon le maire de Beaulieu-sur-Layon). Illustration 8 - Extrémité ouest du cône d éboulis (vue du pied de l extrémité ouest de l escarpement). BRGM/RP FR Rapport final -18-

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