Escapulometría por RM en los conflictos subacromiales y en la ruptura del mango rotador
|
|
- Marie-Anne Lévesque
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dr. Jean-Jacques Railhac Professeur de Radiologie Centro Hospitalario Universitario de Toulouse Relations internationales de la SIMS Toulouse, Francia Escapulometría por RM en los conflictos subacromiales y en la ruptura del mango rotador Scapulométrie magnétique dans les conflits et les lésions de la coiffe des rotateurs Les conflits sous-acromiaux, bien décrits par Neer en 1972, dominent la pathologie non traumatique de l épaule. Ils se traduisent cliniquement par des douleurs et parfois des sensations d accrochage lors des mouvements actifs, dont l amplitude peut être limitée. Les étiologies sont multiples et souvent associées. Aujourd hui, l imagerie, grâce notamment à l échographie et l IRM, permet de bien préciser les causes, mais aussi de guider le traitement. Si le rôle des lésions de la coiffe des rotateurs est bien connu, la responsabilité de remaniements de la bourse sous-acromio-deltoïdienne et d anomalies acquises ou constitutionnelles de la voûte acromio-coraco-claviculaire doit être systématiquement recherchée. Quelques Rappels Pour bien comprendre la physiopathologie des confits sous-acromiaux, des rappels d anatomie et de biomécanique sont indispensables. Décrit dans la littérature comme la «deuxième articulation de l épaule», l espace sous-acromial joue un rôle fonctionnel majeur. D une hauteur d environ 1cm sur les radiographies, il est occupé presque entièrement par la masse des tendons de la coiffe des rotateurs, dans laquelle s intercale l intervalle des rotateurs avec le tendon du long biceps. La bourse sous-acromio-deltoïdienne est l autre structure-clé de cet espace ; lors des mouvements du bras, cette cavité synoviale très fine permet le glissement entre la coiffe qui recouvre la tête humérale et les tubérosités et une voûte «pratiquement
2 fixe», constituée par les planchers de l acromion, du ligament acromio-coracoïdien, de l articulation acromio-claviculaire et la face profonde de l apophyse coracoïde. En pathologie toutes les modifications anatomiques acquises ou constitutionnelles dans ce défilé pourront être à l origine de syndromes de conflits et de pathologies intriquées. Si l anamnèse et un examen clinique rigoureux orientent bien le diagnostic, c est surtout l imagerie, avec ses nouvelles techniques comme l échographie et l IRM, qui confirmera les anomalies à l origine des «accrochages». Dans une épaule en mouvement les zones potentielles de conflits sont multiples; la plus fréquente est la région antéro-supérieure de l épaule, autour de l insertion acromiale du ligament acromio-coracoïdien. En IRM un conflit se traduit le plus souvent dans la région pathologique par un effacement de la graisse péri-bursale en T1 et un hypersignal en T2FS, un épanchement et des signes d inflammation de la bourse sous-acromio-deltoïdienne, des remaniements de la face superficielle de la coiffe et un rétrécissement de l espace sous-acromio-coraco-claviculaire de moins de 8mm. Repondre a 3 Questions par L Imaginarie En présence d un syndrome d accrochage ou de conflit sous-acromial, il faudra lors de tout examen d imagerie se poser trois questions : quel est l état de la coiffe des rotateurs et du tendon du long biceps?. Existe-t-il des anomalies de la voûte acromio-coraco-claviculaire qui, en rétrécissant le défilé sous acromial, pourraient agresser lors des mouvements la bourse et les tendons?. Quel est l état de la bourse sous-acromio-deltoïdienne?. Des travaux récents réalisés dans notre service et une revue de la littérature ont servi de base à cette communication. 1.) Quel est l état de la coiffe des rotateurs et du tendon du long biceps? Toutes les tendinopathies de la coiffe des rotateurs et du long biceps peuvent être à l origine d un syndrome d accrochage dans la mesure où elles peuvent s accompagner de bursites et d épanchement bursaux, d une hypertrophie focalisée des tendons (calcifications, nodules de tendinose) ou d une instabilité secondaire à des ruptures. Le radiologue devra donc d abord rechercher des calcifications tendineuses, préciser leur aspect et leur siège ; des calcifications situées à la face superficielle de la coiffe peuvent par leur débord être à l origine d accrochages lors des mouvements.
3 Toutes les tendinopathies «simples» («tendinite», «tendinose»), les ruptures partielles et les perforations des tendons peuvent causer des douleurs et des syndromes d accrochage, le plus souvent par l intermédiaire d épanchements bursaux d accompagnement. C est aussi le cas dans les ruptures tendineuses complètes qui peuvent déstabiliser l épaule, s accompagner d une involution graisseuse des muscles correspondants et d une arthrose gléno-humérale. 2.) Existe-t-il des anomalies acquises ou constitutionnelles de la «voûte acromio-coraco-claviculaire»? La recherche d anomalies de la voûte («voûte agressive») se fera déjà sur les radiographies standard, mais sera optimale sur les reconstructions multiplanaires du scanner et les différentes coupes de l IRM. En 2007 nous avons réalisé un travail prospectif dont le but était double: établir des critères de normalité des éléments de l arche acromio-coraco-claviculaire sur des coupes sagittales, coronales et axiales en IRM et définir les critères pathologiques qui pourraient favoriser des conflits. Pour mener à bien cette étude nous avons examinés 30 volontaires sains et 87 sujets qui présentaient des signes cliniques de syndrome d accrochage, en l absence de toute autre pathologie et notamment de calcifications tendineuses. Après l examen IRM 3 groupes de conflits ont été définis : sans rupture tendineuse (47%), avec rupture tendineuse partielle ou perforation (18%), avec rupture tendineuse complète (36%). Chaque examen comprenait 3 plans en séquences DPFS et T1. Nos résultats ont fait l objet d une analyse critique pluridiciplinaire, d une étude statistique multicritères et d une comparaison aux données de la littérature. Nous rapporterons les points les plus significatifs de cette «étude scapulométrique». Des malformations et des malpositions de l acromion peuvent rétrécir le défilé sous acromial. Elles sont à rechercher en imagerie dans les plans coronal et sagittal: - acromion «crochu» de type 3 de Morrisson et Bigliani ; pour ces auteurs le crochet, étendu sur environ 2 à 3 mm de hauteur, s observerait plus fréquemment dans les ruptures de la coiffe. - Notre travail confirme son rôle pathogène dans l ensemble des conflits - acromion de type 4, convexe vers le bas;
4 - os acromiale; cette anomalie (3% de la population), favoriserait les conflits par l hypertrophie fibreuse de la face inférieure de la néo-articulation ou par la mobilité excessive de l acromion, - acromion à pente antéro-inférieure («acromion plongeant antérieur»), - acromion à pente inféro-latérale («acromion plongeant latéral») avec un angle supérieure à 10 et surtout 20 degrés par rapport à l horizontale. Nous n avons pas retrouvé dans notre série de «crochet frontal» (11% sur les radiographies pour certains auteurs), - acromion en position basse par rapport à la clavicule (ou à l inverse clavicule en position basse par rapport à l acromion), de plus de 1/3 de la hauteur de l articulation acromio-claviculaire, - couverture latérale trop importante de la tête humérale par l acromion, facteur décrit dans la littérature, mais non validé dans notre travail, - insertion aberrante du tendon du petit pectoral sur la face profonde du ligament acromio-coracoïdien. Quelques anomalies du ligament acromio-coracoïdien, lame fibreuse triangulaire et un peu souple qui ferme la partie antéro-supérieure du défilé, peuvent entrainer des conflits par 3 processus: - un raccourcissement constitutionnel du ligament en dessous de 2 cm (longueur normale de 3 à 5 cm) qui le rendrait moins déformable, - une hypertrophie du ligament. Pour Homsi, ce ligament présente à l état normal une épaisseur moyenne de 1,25 mm, non uniforme avec 2 bandes latérales plus épaisses. Au dessus de 2 mm d épaisseur en échographie une hypertrophie pathologique peut être validée, - une insertion «basse», sous l acromion, du ligament (bien vue sur les coupes sagittales de l IRM en T1), - une ossification de l enthèse acromiale. Un «ostéophyte ou enthésophyte» dans cette région s observe dans 5% de la population témoin, mais est retrouvé dans 2/3 des ruptures complètes de la coiffe des rotateurs. Ces ossifications sont-elles la cause ou la conséquence des conflits? Dans le conflit antérieur de l épaule décrit par Gerber un défilé sous coracoïdien étroit (inférieur à 8 mm) ou un «crochet coracoïdien» sont responsables d accrochages avec le tendon sub-scapulaire et la bourse sous-coracoïdienne. Le scanner et l IRM permettent les mesures, mais l IRM montre aussi les conséquences sur la bourse et le tendon. Enfin, l arthrose acromio-claviculaire, particulièrement fréquente après 50 ans, est une cause classique de conflits sous-acromiaux, quand des ostéophytes se développent vers le bas.
5 En raison de la grande étroitesse des rapports anatomiques dans cette zone ces ostéophytes, même parfois très petits, viennent agresser lors des mouvements de l épaule la bourse et la face superficielle de la coiffe sous-jacentes. Si cette arthrose se dépiste facilement sur la radiographie de l épaule en face stricte, l agressivité des ostéophytes s apprécie de façon optimale sur les coupes coronales de l IRM. 3) Quel est l état de la bourse sous-acromio-deltoïdienne? Dans le défilé sous-acromio-coraco-claviculaire, la bourse a un rôle fonctionnel majeur. Elle facilite le glissement entre la voûte et la face superficielle de la coiffe (adhésion partielle au tendon supra-épineux). Dans tous les conflits, mais aussi dans le rhumatisme à apatite ou d autres pathologies synoviales, cette bourse pourra réagir par une inflammation de ses parois et un épanchement. Dans tous les cas ces épanchements sont la cause principale des douleurs et de la limitation fonctionnelle. Depuis leur introduction, l échographie et l IRM ont bien confirmé le rôle des épanchements bursaux dans la symptomatologie fonctionnelle. Toutes les pathologies de la voûte et de la coiffe peuvent agresser la bourse. Les bursites «primitives» sont particulièrement fréquentes dans le cadre d une hypersollicitation professionnelle ou sportive. Que Faut il Retenirg? Dans le bilan des syndromes d accrochage de l épaule, l échographie et l IRM, qui viennent toujours en complément d un bon examen radio-clinique, sont aujourd hui les techniques les plus performantes. L échographie, comprendra toujours une étude dynamique comme celle proposée par Nathalie Bureau. Si elle est presque toujours suffisante pour l étude des conflits, elle n apporte pas toutefois comme l IRM avec ses séquences T1, une vision tridimensionnelle de l espace sous-acromial. Par ailleurs les séquences IRM de type T2 avec suppression du signal de la graisse objectivent de façon remarquable les zones pathologiques «inflammatoires» et les épanchements.
6 L recours à l injection de gadolinium par voie veineuse et l arthro-irm ne sont pas nécessaires dans l immense majorité des cas. Quelques References Bigliani LU, Morrison DS, April EW. The morphology of the acromion and its relationship to rotator cuff tears (abstract). Orthop Transp 1986;10:228. Bureau NJ, Beauchamp M, Cardinal E, Brassard P. Dynamic sonography evaluation of shoulder impingement syndrome. AJR 2006;187: Gagey N, Gagey O. Anatomie IRM de la coiffe et du défilé sous-acromial. In :«La coiffe des rotateurs et son environnement», sous la coordination de JD Laredo, H Bard, Sauramps Médical Ed, Getroa Opus XXIII ; Montpellier 1996 ; Gerber C, Terrier F, Zehnder R, Ganz R. The subcoracoid space. An anatomic study. Clin Orthp 1987; 215: Homsi C, Bordalo-Rodriguez M, José Da Silva J, Stump X. Intérêt de l étude échographique du ligament coraco-huméral dans les rétractions capsulaires. In : «L épaule, une approche pluridisciplinaire», sous la direction de A Blum, Th Tavernier, JL Brasseur, E Noel, G Walch, A Cotten, H Bard, Sauramps Médical ed Getroa Opus XXXII, 2005; Neer CS. Anterior acromioplasty for the chronic impingement syndrome in the shoulder: a preliminary report. J Bone Joint Surgery (Am) 1972;54:41-50 Railhac JJ, Sans N, Rigal A et al: Strict anteroposterior radiography of the shoulder: value of the assessment of rotator cuff tears. J Radiol 2001;82: Railhac JJ. Imagerie des ruptures de la coiffe des rotateurs et des conflits sous acromiaux. L observatoire du mouvement 2010 ; n 35:9-12. Uhthoff HK, Sarkar K, Hammon DI. The subacromial bursa: a clinicopathological study. In: surgery of the shoulder. Mosby Ed, St Louis 1984;
Échographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailD re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon,
Conflits d intérêts Comité d élaboration D re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon, médecin de famille,
Plus en détailRééducation après lésion dégénérative de la coiffe des rotateurs
28 Article de revue Khelaf Kerkour, MCMK, Physiothérapeute, chef de l Hôpital Régional de Delémont, 2800 Delémont Jean-Louis Meier, Rhumatologue, médecin-chef, même adresse Jacques Mansuy, chef de clinique,
Plus en détailLes luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Les luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 anatomie descriptive et fonctionnelle de la scapulo-humérale
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailSOFARTHRO.com. Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective
Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective Boyer P, Bouthors C, Ben Hamida F, Mylle G, Massin P service d orthopédie, Hôpital Bichat
Plus en détailFiche pathologie n 1 : Tendinopathie
Fiche pathologie n 1 : Tendinopathie Fiches pathologies du danseur Inflammation d un tendon ou des structures avoisinantes résultant d une surcharge de travail ou d une contrainte anormale. 4 stades (du
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailmythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet
mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet Le conflit fémoro-acétabulaire concept (Ganz 2003*) explication des lésions labrales et cartilagineuses
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailLes Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.)
DOSSIER Les Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.) De par leur fréquence et leur impact, tant médical que socioprofessionnel, les TMS constituent un problème majeur de santé au travail. Bien que de nombreuses
Plus en détailÉCHOGRAPHIE DU TENDON ACHILLÉEN
ÉCHOGRAPHIE DU TENDON ACHILLÉEN Ce que tout radiologue généraliste doit connaître P. Omoumi (1), L. Bouilleau (1), O. Favelle (1), G. Azulay (2), A. Rolon (2), J. Brilhault (1), MJ. Borie (1), B. Fouquet
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailPATHOLOGIES NON OPEREES
PATHOLOGIES NON OPEREES DE LA COIFFE DES ROTATEURS ET MASSO-KINESITHERAPIE AVRIL 2001 Service des recommandations et références professionnelles Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailhumatologue FMC Socio-Pro juridique Les canalopathies douloureuses Imagerie de la capsulite rétractile de l épaule Complications osseuses du VIH
Le humatologue La revue de la Fédération Française de Rhumatologie FMC Les canalopathies douloureuses Imagerie de la capsulite rétractile de l épaule Complications osseuses du VIH PR : objectif remission
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailLa jurisprudence du TFA concernant les lésions tendineuses 1
SZS/RSAS 50/2006 529 La jurisprudence du TFA concernant les lésions tendineuses 1 Par Jean-Michel Duc, avocat à Lausanne et Sion Zusammenfassung Im Lichte der letzten medizinaltechnischen Entwicklungen,
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailETUDE QUALITATIVE SUR LES
ETUDE QUALITATIVE SUR LES SÉJOURS CHIRURGICAUX POUR PATHOLOGIES DE L ÉPAULE ET L ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE EN SAVOIE ET HAUTE-SAVOIE AVRIL 2009 Observatoire Régional de la Santé Rhône-Alpes Espace Régional
Plus en détailP. CLAVERT, P. COLOTTE Service de Chirurgie du Membre Supérieur CCOM. Les Hôpitaux Universitaires de STRASBOURG
P. CLAVERT, P. COLOTTE Service de Chirurgie du Membre Supérieur CCOM Les Hôpitaux Universitaires de STRASBOURG Rappel anatomique Face costale de la scapula Tubercule mineur Fonctions : rotateur interne
Plus en détailPUBALGIES: ASPECT TYPIQUE ET ATYPIQUE EN IMAGERIE
PUBALGIES: ASPECT TYPIQUE ET ATYPIQUE EN IMAGERIE C Bourillon, S Touraine, D Petrover, L Laouisset, C Parlier- Cuau, V Chicheportiche, M Wybier, V Bousson, JD Laredo Paris - France Pathologie rare Introduction
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailLa mécanique sous le capot
La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailUniversité Paris-VI. Orthopédie. Questions d internat
Université Paris-VI Orthopédie Questions d internat 2000 Christophe Castelain Michel Christofilis Marc Jayankura (ccapitie@free.fr) Camille Samaha Samy Zouaouy Mise à jour : 12 septembre 2000 2/252 Orthopédie
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailOstéoarticulaire 363
Ostéoarticulaire 363 OS Fiche 1 Bilan avant prothèse pour omarthrose : radiographie Objectif Faire le diagnostic positif d omarthrose. Distinguer une omarthrose primitive d une omarthrose secondaire. Distinguer
Plus en détailTroubles musculo squelettiques. Institut de Formation en Ergothérapie de Nancy Cours Ergonomie 2004 TMS François Cail - INRS
Troubles musculo squelettiques Institut de Formation en Ergothérapie de Nancy Cours Ergonomie 2004 TMS François Cail - INRS 2003 Les TMS sont des pathologies multifactorielles à composante professionnelle
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailLes troubles musculosquelettiques du membre supérieur
LE POINT DES CONNAISSANCES SUR LE POINT DES CONNAISSANCES SUR Que ce soit dans l industrie ou dans le tertiaire, le risque de TMS des membres supérieurs est omniprésent. Raphaël Dautigny Gaël Kerbaol ED
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailLes troubles musculosquelettiques du membre supérieur
Ce guide concerne les troubles musculosquelettiques (TMS) du membre supérieur. Il a été élaboré à partir de travaux de la section Assistance en physiologie-ergonomie (APE) du service de Physiologie environnementale
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailLa signification des mots signalés par un astérisque* est exposée dans un glossaire situé en fin de fiche. I DÉFINITION DE LA NUISANCE ET DU RISQUE
Fiche de sécurité H2 F 19 02 Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics Tour Amboise 204, rond-point du Pont de Sèvres 92516 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél. : 01 46 09 27
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles
Plus en détailImputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude
Nantes, Congrès de la Société d Orthopédie de l Ouest 2015 Imputabilité de la frange synoviale huméro-radiale dans l épicondylalgie latérale de coude D Utruy A, Tarissi N, Potage D, Siedlecki C, Auquit-Auckbur
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLes lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail
Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailTendinopathies rotuliennes. Tendinopathies achiléennes
Epicondylites Epitrochléites Enthésopathies des Ischio-jambiers Syndromes de coiffe Cicatrices fibreuses musculaires Tendinopathies achiléennes Aponévrosites plantaires Tendinopathies rotuliennes Périostites
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailPROTECTIONS COLLECTIVES
PROTECTIONS COLLECTIVES SOMMAIRE PROTECTIONS COLLECTIVES DE RIVES ET TOITURES presse rapide et ses consoles, protections avec poteaux, protection de rive par traversée de mur 3 CONSOLES POUR PLANCHERS
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante
39 Item 282 Spondylarthrite ankylosante Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer une spondylarthrite ankylosante. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER
Plus en détailPlan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES
Plan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES PRINCIPE DE BASE POUR LE COU On travaille sur environ 6 pouces qui retient la boîte crânienne et son contenu De
Plus en détailPrévention des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) VILLE DE LANDERNEAU
Prévention des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) VILLE DE LANDERNEAU SOMMAIRE 1/ Pourquoi cette démarche? 2/ Les TMS 3/ Les caractéristiques de la démarche 4/ Méthodologie :. Principes pris en compte.
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Symptômes et atteintes qui touchent principalement ces structures : nerfs muscles tendons ligaments articulations vaisseaux sanguins Cela peut se produire
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailPRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES
PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS
Plus en détailL'osteopathie à travers les troubles musculo squelettiques et le sport :
L'osteopathie à travers les troubles musculo squelettiques et le sport : Dans de nombreux cas il est possible de prévenir les pathologies en étant à l écoute de ses dysfonctionnements, pertes d énergie,
Plus en détailÉDITO SOMMAIRE DES ACCIDENTS TOUJOURS EN AUGMENTATION
Septembre 2013 ÉDITO Accident du travail : les indicateurs d absence s aggravent dans les conseils généraux et régionaux Depuis 2006, près de 130 00 agents (1) TOS* et personnels DDE** ont intégré les
Plus en détail28 avril 2009 au 28 avril 2010
Journée e Mondiale pour la Santé et la SécuritS curité au Travail 28 avril 2009 au 28 avril 2010 RECHERCE ACTION en Pays de Charleroi Evaluation des troubles musculo-squelettiques squelettiques Des travailleurs
Plus en détail