de Perte d Autonomie
|
|
- Jeanne Léger
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 Parcours de santé des Personnes Agées En Risque de Perte d Autonomie St Méen-le-Grand - 11 mars et 24 avril Parcours de santé des Personnes Agées En Risque de Perte d Autonomie GUICHEN - 12 mars et 25 avril 2019
2 Le programme PAERPA (Personnes Agées En Risque de Perte d'autonomie) J1 J2 Présentation des outils du PAERPA et de la CTA (Coordination Territoriale des Ainés) Travaux en ateliers : remplissage pratique du PPS (Plan Personnalisé de Santé) Organisation du J1 4 9h00 9h45 : Tour de table de présentation et recueil des attentes 9h45 10h45 : Présentation générale du dispositif PAERPA 10h45 11h00 :Pause 11h00 12h30 : Présentation de la Coordination Territoriale d Appui Repas de 12h30 à 13h30 13h30 15h15 : Présentation du Plan Personnalisé de Santé 15h15 15h30 :Pause 15h30 16h45 : Les principaux facteurs de perte d autonomie 16h45 17h00 : Conclusion du J1 et travaux d intersession
3 Les intervenants de ce J1 5 Chaque étape du programme est animée par au moins un formateur du GRIEPS et un intervenant du territoire PAERPA. Formateur GRIEPS Docteur Jean-Charles GIMBERT Médecin généraliste et gériatre Formateur National PAERPA Intervenant du territoire Odile Anna MATHELLON Référente Expert Parcours PTA Appui Santé Brocéliande Les intervenants de ce J1 6 Chaque étape du programme est animée par au moins un formateur du GRIEPS et un intervenant du territoire PAERPA. Formateur GRIEPS Docteur Jean-Charles GIMBERT Médecin généraliste et gériatre Formateur National PAERPA Intervenant du territoire Isabelle GOVEN Responsable SSIAD Plélan PAERPA Pays des Vallons de Vilaine
4 Petit quiz Vous savez que c est VRAI ou FAUX Vous ne savez pas? 1) Le PAERPA concerne les personnes âgées de 75 ans et plus 2) Quand une personne âgée devient dépendante, elle perd son autonomie 3) Une personne âgée est dite «fragile» si elle présente un risque important de fracture en cas de chute 4) On peut établir un PPS pour une personne âgée 75 ans hospitalisée ou en EHPAD 5) Chaque professionnel de santé participant à la rédaction d un PPS est rémunéré 25 6) Une personne âgée en GIR 2 est moins dépendante qu une autre en GIR 1 7) Une de perte de poids de 3 kg en 1 mois signe une dénutrition chez la PA 8) L incontinence urinaire représente un risque majeur de perte d autonomie 9) Un test «Get up and Go» supérieur à 14 secondes est prédictif de chute 10) Le MMS est actuellement le meilleur test de repérage rapide d une démence Organisation du J1 8 9h00 9h45 : Tour de table de présentation et recueil des attentes 9h45 10h45 : Présentation générale du dispositif PAERPA 10h45 11h00 :Pause 11h00 12h30 : Présentation de la Coordination Territoriale d Appui Repas de 12h30 à 13h30 13h30 15h15 : Présentation du Plan Personnalisé de Santé 15h15 15h30 :Pause 15h30 16h45 : Les principaux facteurs de perte d autonomie 16h45 17h00 : Conclusion du J1 et travaux d intersession
5 LE CONSTAT : augmentation du nombre de personnes âgées En 2060, 1/3 des Français auront plus de 60 ans Dans les 40 ans à venir, la population des plus de 80 ans aura triplé Dans 20 ans, le nombre de personnes dépendantes aura doublé pour atteindre 2 millions de personnes 10 Complexité du parcours de santé de la PA : approche multidimensionnelle Nombre important et diversité des acteurs à mobiliser (institutionnels, établissements de santé au sens large, professionnels de santé, médicaux, médicosociaux, sociaux, privés, publics, salariés, libéraux, encadrant, soignants, ) Cloisonnement des acteurs et insuffisance de coordination entre les différentes prises en charge sanitaires, sociales et médico-sociales Trop d hospitalisations évitables, d où une utilisation non efficiente des fonds publics
6 Dépense totale de santé par habitant en 2008 Les 5 objectifs du PAERPA Renforcer le maintien à domicile par une action renforcée des professionnels de santé de premier recours (CCP = coordination clinique de proximité) 2. Améliorer la coordination des intervenants par une coordination territoriale d appui (CTA) avec un numéro unique d appel 3. Éviter les hospitalisations inutiles par le repérage, les actions d éducation thérapeutique, la circulation d informations entre professionnels (SI = système informatisé), 4. Sécuriser la sortie d hôpital en l anticipant et en la préparant, en transitant si nécessaire par un hébergement temporaire, en organisant la prise en charge à domicile, en transmettant les informations au médecin traitant, 5. Mieux utiliser les médicaments en révisant les ordonnances, notamment en sortie d hospitalisation en lien avec le médecin traitant et le pharmacien d officine
7 Le principe du dispositif PAERPA 13 La démarche Paerpa s adresse aux personnes de 75 ans et plus encore autonomes, mais dont l autonomie est susceptible de se dégrader pour des raisons d ordre médical ou social Cette démarche a pour objectif de faire en sorte que les personnes reçoivent les bons soins, par les bons professionnels, dans les bonnes structures, au bon moment, le tout au meilleur coût. Ceci en améliorant la coordination entre les différents professionnels sanitaires, sociaux et médico-sociaux du territoire, et les modalités de prise en charge des personnes âgées (= bonnes pratiques en gérontologie). Elle est financée par l assurance maladie, grâce à une enveloppe dédiée sur le Fonds d Intervention Régional des agences régionales de santé (mission 1 : la promotion de la santé et la prévention des maladies, des traumatismes, du handicap et de la perte d autonomie). Elle a été expérimentée par neuf ARS depuis septembre 2013 puis étendue progressivement à toute la France depuis fin LES PROJETS PILOTES PAERPA Près de personnes âgées et environ 7000 professionnels de santé sont ainsi susceptibles d intégrer les parcours Paerpa.
8 15 LES EXTENSIONS 2016 DANS VOTRE RÉGION 16
9 Des niveaux de prise en charge adaptés aux besoins 17 Des niveaux de prise en charge adaptés aux besoins 18
10 Des niveaux de prise en charge adaptés aux besoins 19 Des niveaux de prise en charge adaptés aux besoins 20
11 Personnes Agées En Risque de Perte d Autonomie Personnes Agées
12 Effets du vieillissement sur l'organisme 23 Le vieillissement est un phénomène : progressif universel inéluctable hétérogène Pas un vieillissement mais des vieillissements 24 Le vieillissement est un phénomène normal, à vitesse variable, qui procède par palier selon les événements psychosociaux ou organiques. Notion de vieillissement différentiel : chacun vieillit différemment. Le vieillissement normal Réduction physiologique des capacités et des fonctions sans lien évident avec une maladie Le vieillissement réussi Prédisposition génétique, hygiène de vie Le vieillissement avec des pathologies Maladies chroniques et neuro-dégénératives
13 Pas un vieillissement mais des vieillissements En Risque de
14 Le concept de fragilité en tant que marqueur de risque 27 La Société française de gériatrie et de gérontologie (SFGG) a adopté en 2011 la définition suivante de la fragilité : «La fragilité est un syndrome clinique qui est un marqueur de risque de mortalité et d événements péjoratifs, notamment d incapacités, de chutes, d hospitalisation, de perte d autonomie et d entrée en institution. L âge est un déterminant majeur de fragilité mais n explique pas à lui seul ce syndrome. 40 % des personnes de plus de 65 ans présentent des signes de pré-fragilité / fragilité
15 Repérage de la fragilité Perte d Autonomie
16 La dépendance C est la nécessité d une aide humaine pour effectuer une ou plusieurs activités de la vie courante, qu elles soient physiques, mentales, économiques ou sociales. 31 L autonomie Elle est définie par la capacité à se gouverner soi-même et présuppose la capacité de jugement. LES OUTILS DU PAERPA 32
17 La démarche PAERPA s appuie sur plusieurs dispositifs 33 CCP : Coordination Clinique de Proximité PPS : Projet Personnalisé de Santé CTA: Coordination Territoriale d Appui La CCP: Coordination Clinique de Proximité Autour du médecin généraliste, coordonnateur du parcours de soins, la CCP est une équipe pluri professionnelle de proximité, composée des professionnels de santé intervenant en ville aux côtés de la personne : infirmier (libéral ou coordonnateur de SSIAD), pharmacien et autres professionnels libéraux le cas échéant.
18 Le PPS: Plan Personnalisé de Santé 35 Construit en commun par la CCP, le PPS permet de gérer et d anticiper les modalités de prise en charge des personnes âgées. Ses objectifs sont partagés avec le patient et il implique le médecin traitant et au moins un autre professionnel de santé. Le PPS est déclenché dès le repérage d une situation à risque chez une personne âgée. Le PPS fait suite à une évaluation globale de la situation médicale, psychologique et sociale du patient Il résume la situation sociale du patient, son état de santé et les problèmes en cours Il définit un plan d actions pour y répondre, comportant un volet «soins» et un volet «aides», avec les intervenants et les dates prévues pour les points d étape. Il est obligatoirement caduque au bout d un an mais peut être renouvelé chaque année aussi souvent que nécessaire Il donne lieu à une rémunération globale de 100 euros, versée en une fois à la signature du PPS et à chaque renouvellement La CTA : Coordination Territoriale d Appui 36 La CTA est une plateforme d information et d appui à destination des professionnels, des aînés et de leurs aidants avec un numéro unique ouvert sur des plages étendues et un guichet intégré. Le rôle de la CTA : toutes demandes autour d un PPS : repérage de la situation, initiation du PPS, transmission, suivi et réévaluation, clôture, etc. MAIS pas seulement cela. (.. Présentation suivre!)
19 Organisation du J1 37 9h00 9h45 : Tour de table de présentation et recueil des attentes 9h45 10h45 : Présentation générale du dispositif PAERPA 10h45 11h00 :Pause 11h00 12h30 : Présentation de la Coordination Territoriale d Appui Repas de 12h30 à 13h30 13h30 15h15 : Présentation du Plan Personnalisé de Santé 15h15 15h30 :Pause 15h30 16h45 : Les principaux facteurs de perte d autonomie 16h45 17h00 : Conclusion du J1 et travaux d intersession 38 PRÉSENTATION DE LA CTA par Odile Anna MATHELLON Référente Expert Parcours PTA Appui Santé Brocéliande
20 39 PRÉSENTATION DE LA CTA par Isabelle GOVEN Responsable SSIAD Plélan PAERPA Pays des Vallons de Vilaine Organisation du J1 40 9h00 9h45 : Tour de table de présentation et recueil des attentes 9h45 10h45 : Présentation générale du dispositif PAERPA 10h45 11h00 :Pause 11h00 12h30 : Présentation de la Coordination Territoriale d Appui Repas de 12h30 à 13h30 13h30 15h15 : Présentation du Plan Personnalisé de Santé 15h15 15h30 :Pause 15h30 16h45 : Les principaux facteurs de perte d autonomie 16h45 17h00 : Conclusion du J1 et travaux d intersession
21 41 EVALUATION DE LA DÉPENDANCE CHEZ LA PERSONNE ÂGÉE Les activités analysées dans le modèle AGGIR 42 Le modèle AGGIR comporte 10 variables d'activité corporelle et mentale (dites discriminantes) et 7 variables d'activité domestique et sociale (dites illustratives) : Certaines variables comme la toilette, l'habillage, l'alimentation, l'élimination, l'orientation et la cohérence sont codées sur plusieurs "sous-variables"
22 43 DE L AUTONOMIE À LA PERTE D AUTONOMIE Les 4 facteurs majeurs d hospitalisation 44 Les professionnels de santé constatent que l hospitalisation des personnes âgées, même lorsqu elle est nécessaire pour traiter un problème de soins, les pousse souvent vers la perte d autonomie
23 Les risques majeurs de perte d autonomie 46 LE PLAN PERSONNALISÉ DE SANTÉ. EN PRATIQUE PPS
24 1) Le repérage de la personne. Le repérage de la personne pouvant en bénéficier est l élément déclencheur du PPS. 1 ère étape : Identifier une ou plusieurs situations a problèmes pouvant relever d un PPS 2) Décider d initier un PPS
25 49 50
26 51 52
27 53 54
28 55 56
29 Synthèse de la mise en œuvre du PPS Facturation du PPS 58
30 Organisation du J1 59 9h00 9h45 : Tour de table de présentation et recueil des attentes 9h45 10h45 : Présentation générale du dispositif PAERPA 10h45 11h00 :Pause 11h00 12h30 : Présentation de la Coordination Territoriale d Appui Repas de 12h30 à 13h30 13h30 15h15 : Présentation du Plan Personnalisé de Santé 15h15 15h30 :Pause 15h30 16h45 : Les principaux facteurs de perte d autonomie 16h45 17h00 : Conclusion du J1 et travaux d intersession
«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»
DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détail2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé
Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailMaison ou un Pôle de santé
Les 4 points clés pour créer une Maison ou un Pôle de santé pluri-professionnel De nouveaux modes d exercice coordonné et regroupé : L exercice médical dans les villes et dans les campagnes est aujourd
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailauremar - Fotolia.com
auremar - Fotolia.com Bien vivre chez soi Différents dispositifs permettent aux seniors giffois de rester chez eux avec des repas à domicile, des aides ponctuelles comme le ménage, le repassage, les courses
Plus en détailRECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables
1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailMASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ
MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détail2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.
2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailEtablissements de prise en charge des seniors
Etablissements de prise en charge des seniors Claudine Fabre I. Introduction Qui est vieux? Dans le langage courant, le terme de personnes âgées sousentend un individu retraité ou > 65 ans Sous cette étiquette
Plus en détailAméliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?
Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailLépine Providence DOSSIER DE PRESSE
Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailRéunion régionale. avec les établissements de santé. 4 Avril 2013
Réunion régionale avec les établissements de santé 4 Avril 2013 1 Ordre du jour Introduction par Michel LAFORCADE, Directeur Général de l ARS Aquitaine 1 ) Optimiser les parcours de santé: place des établissements
Plus en détailMadame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF
Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF Système d information MAIA et stratégie régionale Journée MAIA Paris 11 mai 2015 Hôtel de Ville de Paris Systèmes d Information
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailBien vieillir à domicile : accompagner les seniors
Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays. Afin d élaborer des
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailAtelier «Vieillissement de la population et habitat»
Atelier «Vieillissement de la population et habitat» Avec l allongement de la durée de vie et la mutation démographique sans précédent auxquels la société française est confrontée, la question du logement
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailDroits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.
Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailPARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA
PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES
PLAN NATIONAL D ACTION POUR UNE POLITIQUE DU MEDICAMENT ADAPTEE AUX BESOINS DES PERSONNES AGEES 1 Introduction Dans le cadre des travaux de préparation de la Loi d orientation et de programmation pour
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailL exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé
L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé Dr Jean Jacques ANTOINE FEMALOR 14 Juin 2012 METZ 57 1 Déclara'on d intérêts J ai actuellement ou j ai eu au cours des trois
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détailDocument de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011
Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu
Plus en détailNOUVELLES TECHNOLOGIES
NOUVELLES TECHNOLOGIES INTERET DANS LA PRISE EN CHARGE DES PERSONNES AGEES DEPENDANTES OU A RISQUE DE PERTE D AUTONOMIE Dr V. CRESSOT Pôle de Gérontologie clinique CHU de Bordeaux 1 INTRODUCTION Augmentation
Plus en détailRapport sur la mise en oeuvre des projets pilotes
Comité national de pilotage sur le parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d'autonomie Rapport sur la mise en oeuvre des projets pilotes Comité présidé par Dominique Libault Composé d
Plus en détailLe partenaire de la gestion des risques des acteurs du social et du médico-social
Le partenaire de la gestion des risques des acteurs du social et du médico-social Présentation de la société La société Sham Fondée en 1928 par des Directeurs d hôpitaux SHAM est une Société d Assurance
Plus en détailServices complémentaires en Outaouais
Services complémentaires en Outaouais La réalisa4on et le succès d un main4en à domicile d une personne âgée en perte d autonomie est un travail d équipe. Les acteurs de ce=e équipe sont d abord la personne
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailAdapter le parc de logements à l âge et au handicap
Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Jeudi 15 novembre 2007 Landivisiau Participants : CAROFF Marie-Françoise Délégué PLH Adjointe à Plounévez-Lochrist GUERNIC Françoise Armorique Habitat
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailGENER'ACTION Formation
GENER'ACTION Formation Actions et formations dans le domaine de la gérontologie sociale GENER'ACTION Formation est une association loi 1901 à but non lucratif dont l'objet est de : Permettre de maintenir
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailBilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010
Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et
Plus en détailUn de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider
Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailGlobule & projet PAACO
24 janvier 2014 - Arcachon 9ème Journées nationales des services pour les adultes handicapés Globule & projet PAACO Un outil de communication pour la coordination Antoine Comiti - société Ki-Lab Globule
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailPoint d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé
Point d actualité DMP et Messageries Sécurisées de Santé Assemblée Générale GCS Télésanté Basse Normandie 26 mars 2014 Anne Bertaud Pole Territoire Dossier Médical Personnel 2 DMP : quelques chiffres (février
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION
HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,
Plus en détailNOTRE TRAVAIL C EST VOTRE SANTE. Présentation en avant-première. Un outil communicant pour garder son indépendance en toute sécurité
NOTRE TRAVAIL C EST VOTRE SANTE Présentation en avant-première du PILL Secure : le l pilulier intelligent. DO-PILL Un produit innovant pour la bonne observance des traitements médicamenteux Un outil communicant
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailAppel à projet. Bourse Charles Foix édition 2014. 2014- Silver Valley - tous droits réservés
Appel à projet Bourse Charles Foix édition 2014 2014- Silver Valley - tous droits réservés APPEL À PROJET - LA BOURSE CHARLES FOIX Clôture le vendredi 1 août 2014 à minuit Silver Valley lance, en partenariat
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détail1 Les principales définitions
Dispositions Générales Complémentaire Santé 1 Les principales définitions Vous Désigne le souscripteur, l'adhérent ou l'assuré. Nous Désigne la société d'assurance mentionnées aux dispositions personnelles.
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.
SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de
Plus en détailMettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.
7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement
Plus en détailLes campagnes budgétaires dans le secteur médico-social
Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social 4 juin 2013 1 Déroulement des campagnes PA-PH dans un cadre préservé Progression de l ONDAM médico-social 2013 : Taux le plus élevé des sous objectifs
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22
DOSSIER DE PRESSE Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22 2014 1 BERGER-LEVRAULT, PARTENAIRE INCONTOURNABLE DES ACTEURS DE SANTÉ PUBLICS ET PRIVÉS Dossier de presse 2014 I Page 3 1 BERGER-LEVRAULT,
Plus en détailFormations 2008. www.ifpa-formation.com. Développement personnel. Ressources humaines. Management. Bureautique. Vente. Hygiène.
Développement personnel Ressources humaines Management Bureautique Formations 2008 Vente Hygiène Santé, social Linguistique professionnelle Langues vivantes étrangères Tél. : 03 85 42 44 98 www.ifpa-formation.com
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détail