Pathologies. auto-inflammatoires systémiques
|
|
- Camille Bouchard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pathologies auto-inflammatoires systémiques
2 Définition Classification physiopathologie NLR Inflammasome Pathologies IL-1b dépendantes Intrinsèques: CAPS (clinique-génétiquetraitement) extrinsèques
3 1. Définition Classification physiopathologie NLR Inflammasome Pathologies IL-1b dépendantes Intrinsèques: CAPS (clinique-génétiquetraitement) extrinsèques
4 Pathologies autoinflammatoires: Pathologies inflammatoires systémiques absence de réaction immune T spécifique et B spécifique cellules de immunité innée Pathologies autoimmunes: Composante inflammatoire importante Immunité adaptative: réponse T et/ou B spécifique
5 Autoimmunité (I. adaptative) Autoinflammation (I. Innée) Maladies autoinflammatoires polygéniques Maladies autoimmunes monogéniques FMF TRAPS HIDS Cryopyrinopathies Syndrome de Blau PAPA syndrome Gout, crystalopathies Maladie de crohn Maladie de Behçet PFAPA Maladie de Still Arthrite rhumatoide Diabète type I Dermatomyosite Sclérodermie Lupus ( ) ALPS IPEX APECED Maladies autoinflammatoires monogéniques Maladies autoimmunes polygéniques
6 1. Définition 2. Classification (génétique/clinique/physiopathologie) NLR Inflammasome Pathologies IL-1b dépendantes Intrinsèques: CAPS (clinique-génétiquetraitement) extrinsèques
7 2/ classifications 2.1 En fonction de la génétique: Pathologies autoinflammatoires monogéniques versus maladies complexes polygéniques 2.2 En fonction de la clinique: Fièvres récurrentes (FMF, TRAPS, cryopyrinopathies, PFAPA, ) versus pathologies granulomateuses (BLAU) ou pyogéniques (PAPA) 2.3 En fonction de la Physiopathologie:
8 2.1 En fonction de la génétique Transmission autosomique récessive: FMF (pyrine/marenostrine) Population méditerranéenne Épisode de fièvre et DOULEUR ADBO Bref: 48h-72h Hyper IgD syndrome (mévalonate kinase) 5 à 7 j début précoce Aphtes, adp, rash DIRA (Deficiency of interleukin 1 receptor antagonist)
9 Transmission autosomique dominante: TRAPS FCAS/MWS/CINCA (CIAS1-cryopyrine) Fièvre périodique associé à mutation de NALP12 Syndrome de Blau (NOD2) PAPA syndrome (Pyogenic arthritis pyoderma gangrenosum acne) (CD2BP1, CD2 binding prot 1)
10 Formes polygéniques Maladie de Still PFAPA Maladie de Bechet
11 2.2 En fonction de la clinique Fièvres récurrentes avec inflammation localisée aux niveaux de différents organes (peau, articulations, séreuses..) Formes granulomateuses
12 2.3 En fonction de la physiopathologie 1) Pathologies par excès d activation de l IL1-β ou inflammasomes dépendantes 2) Pathologies par excès d activation de NF-kB 3) Pathologies par anomalie du folding proteique perspectives thérapeutiques nouvelles
13 La famille des NLR Immunité innée: détection RAPIDE mais PEU SPECIFIQUE d une grande variété de pathogènes Toll-like recepteurs NOD-like recepteurs: (TLR1 à 9) NLR PAMPs LRR Mbrane plasmique TIR LRR NF-kB Facteurs de transcription Cytokines pro-inflammatoires Interferon de type I
14 NALPs NOD IPAF NALP1 NALP2 to 14 NOD1 NOD2 CIITA IPAF NAIP Pyrin NACHT NAD FIIND CARD BIR AD CARD Or Pyrin Domaine d oligomérisation LRR LRR NB-ARC WD-40 TIR
15 NLR et pathologies humaines NALP1: SNPs associés a vitilgo généralisé et autoimmunité NALP3 cryopyrin FCAS Muckle-Wells syndrome CINCA/NOMID syndrome NALP12/NLRP12 : fièvre récurrente héréditaire AD NALP7/NLRP7: mole hydatiforme (AR) NOD2: Susceptibility to crohn s disease Blau syndrome
16 Inflammasome DAMPs: ATP libre, UV Acide urique, crystaux de silice et d asbeste, aluminium NALP3 inflammasome Cell membrane NALP1 NIAP INACTVE NALP3 ROS? CARDINAL PAMPs: ARN bacterien,mdp IL1β And IL18 PYD NACHT NAD NALP3 Activation PYD NACHT NAD FIIND PYD CARD CARD CARD CARD Caspase 1 activation ASC PRO-CASPASE 1 Pro-IL1β And pro IL18
17 1. Définition 2. Classification physiopathologie NLR Inflammasome 3. Pathologies IL-1b dépendantes Intrinsèques: CAPS (clinique-génétiquetraitement) extrinsèques
18 3/ Pathologie IL-1b dépendantes Pathologies IL1-β dépendantes intrinsèques CAPS Pathologies IL1-β dépendantes extrinsèques monogéniques (FMF, PAPA, DIRA, HIDS) complexes (Goutte, pseudo goutte, diabète type 2)
19 Pathologies IL1-β dépendantes intrinsèques CAPS CRYOPYRINOPATHIES AD AD/de novo sévérité de novo/ad FCAS MWS Absence de facteurs CINCA/ NOMID déclenchants Risque amylose/surdité Épisodes récurrents Déclenchés par le froid Atteinte articulaire sévère Inflammation SNC Risque amylose/surdité
20 FCU/MWS/CINCA Familial Cold Urticarial syndrome Muckle-Wells syndrome syndrome Chronique Infantile Neurologique Cutané et Articulaire Pseudo-urticaire Rash érythémateux Maculo-papuleux Migratoire NON prurigineux infiltrat péri-vasculaire à POLYNUCLEAIRES
21
22
23 Urticaire familiale au froid (FCAS) Historique: Description en 1940 par Kile et Rusk pathologie autosomomique dominante épisodes récurrents de fièvre associé à un rash et des arthralgies déclenchement par l exposition au froid
24 Description des accès inflammatoires: Age de début: Précoce (premières semaines de vie ou dès la naissance) Facteurs déclenchants Exposition généralisée au froid air conditionné +++, air humide, saison délai 30 min à 10h Signes cliniques épisodes paroxystiques inflammatoires Durée maximum 24 heures
25 Signes biologiques Syndrome inflammatoire biologique pendant les poussées paroxystiques Pronostic Globalement bon Cas exeptionnels d amylose Diagnostic différentiel Urticaire au froid acquis
26 symptômes durant les épisodes paroxystiques éruption cutanée fièvre arthralgies conjonctivite sueurs somnolence céphalées sentation de soif nausées fréquence 100% 89 à 100% 93 à 100% 42 à 85% 39 à 72% 39 à 67% 50 à 58% 33 à 67% 44 à 56% Adapté de Hofman et al
27 Syndrome de Muckle-wells Historique: Description en 1962 par T. Muckle et M. Wells affection autosomique dominante épisodes récurrents de fièvre + éruption urticarienne se compliquant d une surdité +/- amyloïdose rénale
28 Description clinique Age de début: Précoce ++mais quelques cas à début tardif Facteurs déclenchants Rien de précis ou Influence climatique, changement de temps, chaleur Signes cliniques Épisode inflammatoire de durée et fréquence variable poussées inflammatoires bien définies, cycle cyrcadien+++
29 Signes cutanés Fièvre Signes articulaires Signes occulaires Signes biologiques Complications Pemanent ou en poussée Élevée, modérée, absente Sensation de malaise, fatigue Arthralgies ou arthrites Mono ou pauci articulaire Non érosive Conjonctivite Uvéite Syndrome inflammatoire en poussée ou permanent Surdité de perception (70%) Amyloidose (25%)
30 CINCA/NOMID Historique Première description syndromique par AM Prieur De novo (familial AD) rash atteinte articulaire méningite aseptique
31 Typiquement, maladie chronique non cyclique symptômes permanents Début précoce +++, dès la naissance ou pré-natal (prématurité, dysmaturité, infiltrat du placenta et des membranes à polynucléaires) Signes cutanés Fièvre : rare, absente Fatigue chronique
32 Signes articulaires Arthralgies/arthrites 70 % des cas Arthropathies Hypertrophiantes 30% des cas Grosses articulations: Genoux+++, chevilles, coudes, poignets Contractures, douleurs Impotence fonctionnelle
33 Contractures Douleurs Impotence fonctionnelle remaniements épiphysaires et métaphysaires des os longs hypertrophie des cartilages de croissance
34 Aspect radiologique 2 ans 6 mois 3 ans 9/12
35 5 ans 6 ans 8 ans
36 Atteinte du système nerveux central Méningite chronique à polynucléaires Symptomes variables: Céphalées, vomissement (HTIC) OP au fond d oeil Retard mental Convulsion Macrocranie, retard fermeture de la fontanelle
37 Ponction lombaire Augmentation de la cellularité (polynucléaires) Augmentation de la protéinorachie Augmentation de la pression d ouverture du LCR Imagerie cérébrale: Inflammation des méninges Calcifications Atrophie cérébrale
38 Atteinte neuro-sensorielle Ophtalmologique: Oédeme papillaire, Papillite Atrophie optique, Cécité (25%) Uvéite (30%) Conjonctivite Surdité de perception: début dans l enfance ou adolescence très fréquente (> 80%) Amyloidose (20-30%) Syndrome inflammatoire biologique permanent Retard de croissance staturo-pondéral ++
39 Episods of fever, skin rash Cold triggering Articular involvement Neurological involvement Growth failure Failure to thrive Dysmorphism Deafness amyloidosis FCAS MWS CINCA/NOMID
40 Gène CIAS1 Expression dans les PNN et les monocytes CRYOPYRINE/ PYPAF1/NALP3 pyrin domaine de «mort» LRR NBS/NACHT Site de fixation pour l ATP Hétérogénéité génétique: rares cas de FCAS/ MWS non mutés, 40% de CINCA non mutés formes mosaiques
41 V198M L264F Q306K H358R E354DA374N L305P L353P A352V G301D A439V A439T F523L F523C F443L R488K E627G G569R CRYOPYRINOPATHIES T859C PYRIN CINCA FCAS MWS R260W R260P R260L V262A D303G D303N NBS/NACHT I334V T348M F309S V351M V351L T436I T436N M406I T405P LRR Y570C G755A L632 F573S F M662T Mutation gains de fonction CIAS1 (NALP3) FIIND PYD NACHT PYD NACHT CARD PYD CARD CARD CARD IL1/18
42 Cell membrane INACTVE CRYOPYRIN Bacterial RNA, MDP, uric acid crystals CARDINAL IL1β And IL18 PYD NACHT NAD Cryopyrin Activation PYD NACHT NAD FIIND PYD CARD CARD CARD CARD Caspase 1 activation ASC PRO-CASPASE 1 Pro-IL1β And pro IL18 Cryopyrin inflammasome
43 Implications thérapeutiques Compréhensions physiopathologiques Dysrégulation de la production d IL-1 IL-1 récepteur antagoniste: efficacité +++
44 ANAKINRA (KINERET) IL-1RA recombinant IL-1RA ½ vie courte 1 Injection sous cutanée /j
45 FCAS MWS CINCA/NOMID Hawkins P et al, NEJM 2003 Hoffman et al, Lancet 2004 Goldbach-Mansky et al, NEJM 2006 dose 1 mg/kg/j 100 mg/j 3 à 5 mg/kg/j Sd inflam Surdité de perception amyloidose
46 Rilonacept :IL1-Trap Étude randomisée dans FCAS MWS adultes (47 patients) : bonne efficacité, 1 injection/sem effets secondaires: réactions locales 2 décès! Approuvé par le FDA pour FCAS/MWS AZC885-Canakinumab: Ac monoclonal anti 1L1- injection/2 mois! AMM dans FCAS/MWS
47 Rilonacept (IL1-Trap, Arcalyst) 47 patients adultes atteints de CAPS rilonacept 160 mg /sem. SC Hoffman et al, Arth Rheum 2008
48 FCAS MWS Infections peu sévères 10%-1 décès pneumocoques! Approuvé par le FDA pour traitement FCAS/MWS
49 Canakinumab (Ilaris) Canakinumab 35 patients (9-34 ans) atteints de CAPS (FCAS-MWS) canakinumab 2 mg/kg /8 sem. SC
50 Complete response rate (%) Day 8 94 Day 15 Before injection 24 h after injection Median CRP (mg/l) Part 1 * baseline Start of part 2 Canakinumab Canakinumab or placebo Start of part 3 ** End of study Canakinumab Canakinumab Placebo Bonne tolérance mais Prudence AMM > 4 ans
51 Pathologies IL1-β dépendantes extrinsèques FIEVRE MEDITERRANEENNE FAMILIALE Mutation MEFV (pyrine/merenostrine) AR Population méditerranéenne Accès fébrile Inflam. des séreuses Risque d amylose Pyrine B-Box Zinc finger Coiled coil domain B30.2
52 Fonction pro-inflammatoire Mutation gain de fonction Pyrine Pyro ptosome IL1/18 apoptose 2 théories opposées FIIND Pyrine PYD NACHT CARD PYD CARD CARD CARD IL1/18 Fonction anti-inflammatoire Mutation perte de fonction ASC
53 Pathologies IL1-β dépendantes extrinsèques PAPA Syndrome Mutation CD2BP1/PSTPIP1 Pyrine Pyro ptosome Interaction avec la pyrine Mutation gain de fonction CD2BP1 FIIND Pyrine PYD NACHT PYD CARD CARD CARD CARD IL1/18 ASC
54 Pathologies IL1-β dépendantes extrinsèques DIRA Défaut en interleukin 1 recepteur antagonist N Engl j M, 360, 2009
55 Pathologies IL1-β dépendantes extrinsèques Acetyl CoA Mevalonic acid HIDS Défaut en mévalonate kinase Mevalonate kinase 5-Phosphomevalonic Acid Acides isoprenoiques RAC1 PI3K PKB IL1/18 cholesterol
56 FMF/PAPA sd/ FCU-MWS-CINCA FMF Mutation avec perte de fonction Trigger PAPA syndrome Mutation avec Gain de fonction Pyrine/ marénostrine CD2BP1 Activation De caspase 1 Production D Il1β cryopyrine inflammasome Modulation de Nf-kB HIDS FCU MWS CINCA apoptose Mutation avec gain de fonction
57 Pathologies IL1-β dépendantes extrinsèques Mole idatiforme récurrente AR- mutation NRLP7? CRMO SAPHO (synovitis acne pustulosis hyperostosis osteitis) Syndrome de majeed (LPIN2)? IL1/18 Hyperglycémie Stress métabolique IL1β Apoptose cellules β pancréas Diabète type 2 Asbeste silicose Goutte Pseudo-goutte
58 conclusions «age d or» des maladies autoinflammatoires! concept récent en plein essor Trouble de l homéostasie de l immunité innée Étude de maladies monogéniques rares élargissement du champ des connaissances Perspectives thérapeutiques nouvelles
59 Définition Classification physiopathologie NLR Inflammasome Pathologies IL-1b dépendantes Intrinsèques: CAPS (clinique-génétiquetraitement) extrinsèques
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLupus systémique monogénique
Lupus systémique monogénique B.Bader-Meunier LES systémique pédiatrique Rare:15-20% LES Sexe ratio: 1/5 à 1/8 Plus sévère que chez l adulte :atteintes rénales, neurologiques LES systémique pédiatrique
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailLa goutte la maladie des rois
La goutte la maladie des rois Tous droits protégés Pharmanetis Sàrl Tout savoir sur la goutte Comment bien gérer sa maladie? Par Van Nguyen et Xavier Gruffat (pharmaciens) Photo: Matthew Cole - Fotolia.com
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailPRECISION ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION. mensuel PRECISION
mensuel Nouvelles sur la recherche, l éducation et la défense du dossier de l arthrite : juin/juillet 2014 ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION Dans ce numéro du Mensuel JointHealth, nous regardons de plus près
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailProgramme commun d'évaluation des médicaments Sommaire
Programme commun d'évaluation des médicaments Sommaire Juillet 2015 Médicament élosulfase alfa (Vimizim) (2 mg/kg) Indication Enzymothérapie substitutive à long terme dans le traitement de la mucopolysaccharidose
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailHumira Solution pour injection dans un injecteur prérempli
Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli ABBOTT OEMéd Qu est-ce que Humira et quand doit-il être utilisé? Humira est un médicament qui limite le processus inflammatoire dans le cadre
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailConduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant. Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque
Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque Définition Œdèmes généralisés : Œdèmes de stase : Normoprotidiques Hypoprotidémiques Œdèmes inflammatoires
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailPHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES
PHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES Cercle de Qualité Le Merle d Aubigné (CQMdA) Bodmer Eveline, Baumberger Dominique, Bensaddik-Brunner Verena, Canova Danielle, Dosso Elena, Dunand Alain, Finazzi
Plus en détail