CLS de la CCL et de la CCM. Groupe de travail n 1 du 4 décembre 2014 «Comité de repérage» Etaient présents :

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1 CLS de la CCL et de la CCM Groupe de travail n 1 du 4 décembre 2014 «Comité de repérage» Etaient présents : - Didier ALLIX, Centre Hospitalier Henri Laborit - Zoubida BERRITANE, Conseil Général de la Vienne, Maison de la Solidarité, Montmorillon - Séverine BOULAY, secrétaire, CCM - Jean-François BRETAGNON, Cadre Supérieur de Santé, Centre Hospitalier Henri Laborit - Pascale CAMPANELLA, Assistante Sociale, Centre Hospitalier de Montmorillon - Jérôme CERISIER, 1 er adjoint à Queaux - Bernadette GIRARD, Réseau Gérontologique du Pays Montmorillonnais - Béatrice HARENT, Animatrice Santé, CCM - Michel JARRASSIER, Président de la Commission Santé, CCM - Fanny LAURIER, Croix Rouge Française - Rachelle LAVAUD, Conseillère Municipale à Plaisance - Dominique RAFFIN, Conseil Général de la Vienne, Maison de la Solidarité, Civray - Sylviane SOUBRY, Maire de Moussac-sur-Vienne - Dominique TINTURIER, Direction départementale de la Cohésion Sociale, Poitiers Etaient excusés : - Maïté AIRAULT, Assistante Sociale, CARSAT - Sandie BERNAGAUD, Directrice adjointe, IREPS Poitou-Charentes - Agnès BISSERIER, CARSAT Service Social - Vincent CHENU, Mission Locale Rural Centre Sud Vienne, Montmorillon - Emma JALKANEN, CARSAT Service Social - Xavier LESEGRETAIN, Centre Hospitalier de Montmorillon - Aurore MOREAU, Réseau Gérontologique du Pays Montmorillonnais - Christian POUPIN, Centre Hospitalier Henri Laborit - Anne-Claire THIRIAU, Conseil Général de la Vienne, Maison de la Solidarité, Montmorillon 1

2 Michel Jarrassier remercie les participants d être présents et annonce l ordre du jour. Il rappelle que lors des différentes réunions qui ont eu lieu, les élus avaient évoqué leur difficulté à orienter les habitants de leur commune lorsqu il se trouvait dans des situations difficiles. C est pourquoi, dans le cadre du Contrat Local de Santé, fiche action n 1, le comité de repérage propose de créer un comité de gestion des situations complexes. Dominique Tinturier explique que ce comité serait donc une instance qui pourrait être saisie par les élus lorsque ceux-ci sont face à une situation difficile sociale comme par exemple : un enfant peu scolarisé, une personne violente, un adolescent en manque de repère, une personne sans hébergement, etc L objectif de ce comité est de créer une plaquette avec les coordonnées des différents acteurs sociaux à contacter en cas de situations complexes. Il a également pour but d être un relais et obtenir des propositions pour faire à ces situations. Ce comité dépendrait de la Communauté de Commune du Montmorillonnais (CCM). Lorsqu une situation complexe se présente, l élu doit savoir si cette situation est nouvelle, ou si elle existe déjà ; si tel était le cas, il faut savoir ce qui a déjà été fait pour ensuite savoir comment agir. Michel Jarrassier rappelle que les élus ne sont pas formés face aux situations difficiles et ne sont pas forcément qui contacter face à certains cas. Béatrice Harent évoque la première rencontre en date du 13 mai dernier, qui a soumis la création de ce comité de gestion des situations complexes pour les cas urgents. Elle explique qu un flyer a été créé en collaboration avec les Maisons de la Solidarité de Montmorillon, Chauvigny, Civray, la Mission Locale Rurale Centre Sud Vienne de Montmorillon, le Réseau Gérontologique du Pays Montmorillonnais, et le SIAO (Service Intégré de l Accueil et de l Orientation). Dominique Tinturier informe que le PDLHI (Pôle Départemental de Lutte contre l Habitat Indigne) a élaboré une plaquette pour lutter contre l habitat indigne (plaquette qu elle fait circuler lors de la réunion). Elle explique que lorsqu il y a des problèmes d habitat indigne, il y a malheureusement des problèmes sociaux aussi. C est pourquoi il faudrait intégrer les coordonnées du PDLHI sur le flyer. Dominique Tinturier regrette qu il n y ait pas de personnes à contacter sur le flyer en cas de gros problème de santé, et pense qu il serait bien d y ajouter les coordonnées du Centre Hospitalier de Montmorillon, de Poitiers, ainsi que le Centre Hospitalier Henri Laborit. Jean-François Bretagnon complète en disant qu il n est pas très facile d accéder au bon service lorsqu une personne contact le Centre Hospitalier Laborit malgré un standard existant. Il propose de pouvoir contacter quelqu un qui puisse orienter vers les personnes adéquates 2

3 plutôt que de mettre différents interlocuteurs sur le flyer, et demandent aux élus présents ce qu il pense de cette idée. Michel Jarrassier explique que la plupart des élus ne savent pas forcément comment est structuré le Centre Hospitalier Laborit. Michel Jarrassier approuve la proposition concernant le PDLHI. Ce pôle est effectivement plus facile à cibler que les problèmes comportementaux. Dominique Tinturier souhaite tout de même inscrire un contact lié à la santé sur le flyer. Béatrice Harent explique qu il ne faut pas qu il y ait trop d informations sur le flyer sinon il ne sera pas lisible. Michel Jarrassier propose de faire apparaître sur le flyer «en collaboration avec les Centre Hospitalier de Montmorillon, Poitiers, Laborit». Dominique Tinturier propose de créer un protocole où apparaissent les coordonnées des différents centres hospitaliers. Fanny LAURIER suggère un guichet unique qui prendra contact ensuite avec les structures adéquates. Michel Jarrassier répond qu effectivement cela peut être une solution. Fanny LAURIER explique que le SIAO a vocation à être guichet unique. Cette idée est à développer. Sur Montmorillon, une commission se réunit tous les 15 jours. Dominique Tinturier approuve cette idée. Il est possible ensuite d orienter par téléphone. Zoubida Berritane informe que la Maison de la Solidarité a aussi pour vocation d orienter et travaille déjà avec les élus pour les informer, accueillir, orienter, etc Pascale Campanella explique qu elle travaille déjà sur des situations complexes, et que ce n est pas toujours facile d aider les personnes concernées. Michel Jarrassier confirme qu effectivement certaine situations sont difficiles à gérer surtout lorsque la personne concernée ne veut pas se faire aider ou être hospitalisé. L objectif de ce flyer est de communiquer, de savoir vers qui se tourner en cas de problème, et non de remplacer ce qui existe déjà. 3

4 Dominique Tinturier rappelle que le but de ce flyer est bien de communiquer les numéros des structures existantes et permettre aux Maires de savoir qui appeler. Rachelle Lavaud constate l exemple de situations difficiles sur sa commune et explique qu il est difficile de savoir si les élus peuvent intervenir ou non. Lorsqu une personne vit dans l insalubrité et qu elle s y sent «bien», que ce n est pas dû à un problème financier, peut-on vraiment intervenir? Jérôme Cerisier indique que les élus sont là d abord pour évaluer la situation difficile et/ou, le comportement, et ont besoin de l avis d un professionnel. Il est donc important que chaque commune est accès à tous les numéros nécessaires, et de leur expliquer le rôle de chaque structure (Maison de la Solidarité, Réseau Gérontologique, etc ). Didier Allix demande s il ne serait pas mieux de mettre la Maison de la Solidarité comme porte d entrée unique et ainsi orienter les élus. Dominique Raffin informe qu il est difficile de s orienter vers une assistante sociale car mal perçu par la personne en difficulté. Jean-François Bretagnon répond qu il faut savoir s il y a urgence ou non pour savoir s il est nécessaire de contacter une assistante sociale. Il informe également que les problèmes comportementaux ne sont pas forcément la cause d une situation difficile mais peut être la conséquence. Rachelle Lavaud explique qu il faut savoir différencier les situations chroniques, des situations de crise, de même pour les urgences de jour ou de nuit, et également savoir si c est perçu comme une aide ou une intrusion dans la vie privée. Dominique Tinturier répond que le flyer est réalisé pour aider les élus à s orienter, savoir vers qui se tourner en cas de difficulté mais il reste difficile d éviter une grosse crise. Elle souligne que le Contrat Local de Santé du Montmorillonnais et du Lussacois est précurseur par rapport à ses problèmes, et il faut donc en profiter mettre en œuvre les idées proposées. Il faut également rester vigilant face à certaines situations et faire en sorte que des cas complexes ne deviennent pas des cas d extrême urgence. Dominique Raffin confirme que le flyer n est pas réalisé pour gérer les situations de crise mais prévenir et anticiper les cas difficiles. Jérôme Cerisier rappelle que les communes ont un devoir de solidarité. 4

5 Michel Jarrassier explique que parfois les communes accordent une aide financière (100 par exemple) à une famille dans le besoin mais que cela n empêche pas celle-ci d être dans une situation difficile : attribuer une aide ne résout pas les problèmes sociaux. Pascale Campanella ajoute qu il est important que la personne en difficulté soit actrice de sa situation. Cette personne ne peut pas être aidée si elle ne sent pas elle-même concernée par ses problèmes. Jean-François Bretagnon demande si les flyers sont uniquement destinés aux élus, ou aussi à la population. Michel Jarrassier répond qu effectivement, les seuls destinataires seront les Maires du territoire, et non les habitants. Dominique Tinturier pense que le fait que la Communauté de Communes du Montmorillonnais soit impliquée est important car elle est neutre. Elle n interviendra pas directement, elle orientera les élus. Rachelle Lavaud trouve que le flyer banalise les informations qu il contient et qu un courrier serait plus adapté. Béatrice Harent explique qu il a été choisi un flyer et non courrier, justement pour être remarqué et sortir de l ordinaire des courriers envoyés. Il doit interpeller les élus. Michel Jarrassier confirme que le flyer doit marquer les esprits et permettre aux élus de le contacter s ils ont des interrogations. En outre, il ajoute qu une réunion d information à l ensemble des Maires sera organisée afin de leur expliquer l utilité de ce document. Zoubida Berritane approuve l idée du flyer. Il permettra aux élus de ne pas réfléchir seul dans leur coin aux situations difficiles qu ils rencontrent, mais d étudier ensemble, en réseau, avec d autres interlocuteurs, des professionnels de santé, afin de trouver la solution adéquate. Didier Allix demande qui répond aux élus en cas de problème. Michel Jarrassier répond que ce sera la personne qu il aura contacté qui lui répondra. Suite à ces échanges, Béatrice Harent demande aux participants s ils valident la proposition d ajouter les coordonnées du PDLHI sur le flyer. Tous les participants sont d accord et valident donc cette proposition. 5

6 Béatrice Harent poursuit et annonce qu une réunion aura lieu auprès des élus pour les informer de ce comité de gestion des situations complexes ainsi que du flyer qui leur sera remis. Jérôme Cerisier demande qui l élu doit-il contacter : Béatrice Harent ou un des interlocuteurs? Béatrice Harent répond que l élu peut appeler soit un des interlocuteurs ou soit elle-même qui orientera ensuite. Jérôme Cerisier suggère de le formuler autrement sur le flyer car ce n est pas forcément très clair. Michel Jarrassier passe au point suivant : le référentiel partagé «accéder à un logement social autonome» travaillé dans le cadre du PDALPD (Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées de la Vienne. Il laisse la parole à Dominique Tinturier. Dominique Tinturier explique que ce document a été créé en collaboration avec les bailleurs sociaux, les travailleurs sociaux des Maisons de la Solidarité du Conseil Général et les associations œuvrant dans les domaines de l hébergement et de l accompagnement. Didier Allix demande si un ressortissant en psychiatrie doit contacter le SIAO pour se reloger. Dominique Tinturier répond que ce n est pas nécessaire. Le document présenté est un référentiel pour tous les bailleurs sociaux et les travailleurs sociaux qui font de l accompagnement vers le logement et il sera également présenté aux travailleurs sociaux de tous les organismes intervenant dans le département. Jean-François Bretagnon informe que la communauté médiale ne s occupe pas de logement dès qu un patient sort. Dominique Tinturier rappelle que l objectif est de loger et/ou reloger des personnes dans le besoin, y compris les personnes avec des problèmes psychiatriques. Le but de ce document est également de permettre aux personnes en difficulté d avoir un logement adapté quel que soit leur difficulté. Jérôme Cerisier ne comprend pas que certaine famille déjà en difficulté sont logées dans des communes rurale comme Queaux excentrée de tout. Cela ne les aide pas forcément à s en sortir. Dominique Tinturier répond que l on ne peut pas empêcher une famille ou une personne de s installer en milieu rural si elle le souhaite. On peut juste la prévenir des difficultés qu elle rencontrera. 6

7 Zoubida Berritane s étonne qu il n y ait pas d article dans le PDALPD, concernant les difficultés liées à l enfance. Dominique Tinturier explique que le document est basé sur le Code Social et de la Famille qui inclut déjà l enfance. Après ses échanges sur le PDALPD, Béatrice Harent poursuit avec les propositions de formation 2015 : - mai ou juin : addictions ; - octobre : risques suicidaires. Michel Jarrassier précise que le thème sur les addictions a été demandé par les Maires qui rencontrent des personnes en difficulté à cause de leur addiction à l alcool. Jean-François Bretagnon informe qu un pôle de santé publique sur les risques suicidaires existe au sein du Centre Hospitalier Henri Laborit, géré par le Docteur Christian Poupin. Dominique Tinturier ajoute que dans le cadre du PDLHI (pôle départemental de lutte contre l habitat indigne), une formation a été proposée aux Maires sur le thème de l habitat indigne. Et elle indique qu une formation pour les travailleurs sociaux a lieu les 5 et 12 décembre prochains sur l habitat indigne. Jean-François Bretagnon profite de la fin de réunion pour annoncer qu un nouveau directeur arrive courant janvier 2015 au Centre Hospitalier Henri Laborit et il s excuse de son absence aux précédentes réunions liée à une surcharge de travail due à l absence de directeur. Michel Jarrassier remercie une nouvelle fois les participants de leur présence et clôture ainsi la réunion. 7

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