Faut-il investir pour faire plus de lait?
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- Hippolyte Champagne
- il y a 8 ans
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1 Normandie Faut-il investir pour faire plus de lait? RÉFLÉCHIR L APRÈS-QUOTA A partir de 2015, les quotas laitiers en place depuis plus de 30 ans disparaissent. Pour beaucoup d éleveurs, ce changement représente une opportunité de développement. Certains ont d ailleurs déjà commencé à anticiper les prochaines augmentations de leurs volumes. Néanmoins le développement des ateliers ne peut se faire dans n importe quelle condition, notamment quand il nécessite des investissements importants. L objectif de ce dossier est d évaluer la rentabilité de plusieurs options d agrandissement. Pour cela, 4 simulations ont été réalisées à partir de 2 systèmes de production bien représentés dans la région. PRÉSENTATION DES DEUX SYSTÈMES NORMANDS UTILISÉS Lait + cultures Ce système est présent en Haute-Normandie et dans les zones mixtes de Basse-Normandie (Bessin, Perche). La structure compte litres de lait et 65 ha de cultures sur 100 ha de SAU. Le cheptel se compose de 48 vaches laitières à litres de production brute annuelle. La production est de plus de litres de lait par ha de SFP. La main-d œuvre repose sur deux personnes à temps plein et un salarié à temps partiel. Lait + Jeunes Bovins Ce type d exploitation principalement localisé dans le bocage normand, est composé d un cheptel de 38 vaches laitières Prim Holstein, avec une référence de litres sur 60 ha de SAU. Ce système d exploitation est intensif sur le plan animal et végétal avec pour objectif l optimisation des performances techniques. Le système fourrager est dominé par le maïs ensilage. L activité viande repose sur un atelier de 60 taurillons provenant d achat de broutards et de veaux nés sur l élevage. La main-d œuvre est composée du chef d exploitation et de son conjoint.
2 Caractéristiques structurelles des 2 systèmes retenus dans l étude (Source : Réseau Bovin Lait de Normandie) Lait + cultures l de lait 65 ha de cultures Lait + JB l de lait 60 jeunes bovins UMO 2,15 1,5 SAU (ha) Maïs (ha) 14 21,5 Herbe (ha) 20,6 23 Conduite des surfaces Cultures et maïs dominant Herbe + maïs dominant Maïs/SFP 40% 48% Nombre de VL Bâtiments VL Bâtiment élèves Logettes, 100 % couvert 48 places Salle de traite 2 5 Stabulation paillée, litière accumulée 48 places Stabulation 100 % paillée pour 38 VL et 16 génisses Salle de traite 2 4 Anciens bâtiments fonctionnels 21 places + 60 JB HYPOTHESES RETENUES POUR L ENSEMBLE DES SIMULATIONS Toutes les simulations ont été réalisées à partir des 2 cas-types présentés ci-dessus. Au niveau des hypothèses retenues : Les situations de départ sont déjà optimisées (systèmes cohérents et performants techniquement et économiquement) et mises aux normes réalisées. En cas d investissements bâtiments, un taux d autoconstruction de 20 % a été retenu. Le régime alimentaire et la production des vaches restent inchangés (sauf pour la simulation 3, avec achat d un robot). La sensibilité des résultats est évaluée à deux niveaux : Sur le prix du lait (produits) Sur le prix des céréales et des aliments (charges, et produits également pour les céréales). Tableau des principaux prix retenus Valeurs centrales Mini-Maxi* Lait ( /1000L) Concentrés ( /1000L) Blé ( /T) Vache de réforme ( /tête) JB Prim Holstein ( /tête) JB Charolais ( /tête) * D après Commission européenne, Prospects for Agricultural Markets and Income in the EU , décembre
3 FAUT-IL INVESTIR POUR FAIRE PLUS DE LAIT? Pour savoir quelles simulations vous intéressent, suivez le guide! 3
4 20% DE LAIT EN PLUS, AVEC AJOUT D UNE TRAVEE 10 PLACES Des investissements limités à 660 /1 000 l supplémentaires (4 815 /VL en +) Cette simulation est réalisée sur la base du système lait + cultures. Le rallongement du bâtiment permet de loger 10 vaches supplémentaires, faisant passer le volume de lait produit de l à l. Comme la conduite reste inchangée, l implantation de 4,3 ha de prairies temporaires et 3 ha de maïs permettent de couvrir les besoins fourragers de l ensemble du troupeau, génisses de renouvellement comprises. Pour faciliter l organisation du travail, la salle de traite est passée en 2 6. Travée 10 vaches Logement génisses + veaux + stockage déjections Silo taupe postes traite L investissement global s élève à L ensemble est financé par un prêt à 3,5 % sur 10 ans pour une annuité de L augmentation du cheptel est autofinancée. Un investissement bien rentabilisé L EBE avant MSA progresse de , soit 162 /1000 litres supplémentaires. Cette augmentation couvre l intégralité de l annuité qui résulte des investissements nécessaires. Au final, le revenu disponible avant MSA progresse de Ecart de revenu disponible avant MSA entre situation finale et situation de départ Prix Blé /t Conc. /1000 L Prix du lait ( /1000L) h de travail par jour et par associé L augmentation de la dimension du troupeau accroit le temps de travail global de 530 heures. Si l on répartit ce temps sur les 2 associés, cet agrandissement de troupeau aura un impact d 1 heure de travail en plus par jour et par associé (hors week-end). Cela signifie que le revenu disponible supplémentaire permet de rémunérer 10 /h le travail en plus. Facteurs clés de réussite Avoir une trésorerie suffisante pour financer l augmentation de cheptel Anticiper en gardant les génisses issues du troupeau pour maîtriser les risques sanitaires Points de vigilance Attention à l état sanitaire des animaux achetés et à leur intégration dans le troupeau Dimensionner les équipements de stockage des déjections en conséquence 4
5 DOUBLEMENT DE LA PRODUCTION AVEC MAIN D ŒUVRE SALARIEE SUPPLEMENTAIRE Un investissement de pour litres supplémentaires (soit / VL en +) Cet agrandissement réalisé à système fourrager constant, la sole en cultures passe de 65 ha à 30 ha. Pour passer d une production de l à l, il est prévu d investir dans une salle de traite 2x8 TPA (extensible à 2x10), de doubler le logement des VL, d aménager celui des génisses et d augmenter le volume de stockage des déjections. Une construction d un hangar pour le stockage des fourrages ainsi que l achat d une désileuse de 20 m 3 sont également prévus. Le croît du cheptel correspond à l achat de 38 VL à 1600 (les 10 VL restantes viennent de l élevage de 10 génisses supplémentaires). Salle de traite 2 8 TPA ans Logement VL ans Nursery ans Aménagement logement génisses ans Stockage déjections - fosse ans Silo couloir ans Hangar Foin Paille ans Désileuse ans Croît du cheptel ans L investissement global s élève à Avec un autofinancement de 15%, l annuité s élève à Un autofinancement de 40 % pour maintenir l équilibre L EBE avant MSA progresse de près de , soit 138 /1000 L de lait supplémentaire. Etant donné l importance des annuités, le revenu disponible avant MSA diminue de près de Seul un autofinancement de 40 % permet de maintenir l équilibre financier en conjoncture médiane. Ecart de revenu disponible avant MSA entre situation finale et situation de départ Prix du lait ( /1000L) Prix Blé Conc. /t /1000 L Du travail en plus : 2 h par jour et par associé Le surplus de travail s élève à heures, soit un temps plein de salarié. Pour limiter l impact financier, on embauche un salarié à mi-temps (déjà à 0,15 UTH en situation initiale). Le surcroit de travail est assuré par les 2 associés. Ce type d agrandissement peut être facilité par l entrée d un nouvel associé. Facteurs clés de réussite Favoriser un croît interne du cheptel Avoir une trésorerie solide Avoir une bonne efficacité technicoéconomique Points de vigilance Un troupeau deux fois plus important ne se conduit plus de la même façon (changement d échelle). Un tel doublement de la production ne peut s envisager que si les annuités initiales arrivent à échéance. Les augmentations conséquentes de troupeaux peuvent entraîner un changement de statut des Installations Classées : déclaration ou autorisation. 5
6 DOUBLEMENT DE LA PRODUCTION AVEC ACHAT DE ROBOT Un investissement de / l supplémentaires ( /VL en +) Dans cette hypothèse, on investit dans 2 stalles de robot. Le coût de la maintenance du robot est de par stalle. Le système fourrager est adapté à ces nouvelles conditions : le pâturage est réduit de 22 à 12 ares par vache, la part de maïs passe de 40 à 49% de la SFP. La surface en herbe augmente donc de 13 ha et la surface en maïs de 22. Le changement de ration et le passage au robot permettent une hausse de la production des vaches de 800 litres. La quantité de concentré augmente en conséquence, ce qui se traduit par une hausse du coût des concentrés de 78 à 95 /1000 litres. Robot de traite 2 stalles (+ maçonnerie) ans Silo couloir ans Logement VL ans Stockage déjections (fumière + fosse) ans Nurserie ans Aménagement génisse ans Hangar Foin Paille ans Désileuse ans Croît cheptel ans Le total des investissements s élève à avec un autofinancement de 15%. L annuité est de Un préalable indispensable : une situation financière solide L EBE avant MSA augmente de (+ 128 /1000 litres supplémentaires), mais cela ne suffit à couvrir les annuités. Le revenu disponible avant MSA baisse de Seul un autofinancement de 35 % permet de maintenir l équilibre financier en conjoncture médiane. Ecart de revenu disponible avant MSA entre situation finale et situation de départ Prix Blé /t Conc. /1000 L Prix du lait ( /1000L) Le robot ne fait pas tout le travail! Le doublement du troupeau avec un robot engendre heures supplémentaires, soit 1h30 de plus par jour et par associé. Facteurs clés de réussite Suivi et surveillance du troupeau Prairies bien groupées autour du bâtiment VL Maîtrise des quantités de concentrés distribuées Points de vigilance Ne pas dépasser 65 VL par stalle de robot L affouragement en vert augmenterait les charges et le temps de travail Attention à la quantité de concentré en fin de lactation! 6
7 + 25% DE LAIT AVEC ARRET DES TAURILLONS Un choix peu coûteux Ce scénario prévoit l arrêt de l atelier taurillons. L exploitation augmente son cheptel laitier de 25% pour passer de 38 VL à 47 VL. Le volume de lait produit est donc de l. La salle de traite passe de 2 4 à 2 5. Initialement, le bâtiment est occupé par les vaches laitières et les génisses. Dans le projet ces génisses sont logées dans le bâtiment taurillons. La surface fourragère des taurillons est allouée à l atelier lait. Les aménagements sont autofinancés. Moins de travail pour un revenu similaire L EBE avant MSA augmente de (soit 39 /1000 litres supplémentaires). Le revenu disponible avant MSA progresse de Ecart de revenu disponible avant MSA entre situation finale et situation de départ Prix Blé /T Conc. /1000L Prix du lait ( /1000L) Le temps de travail nécessaire aux 10 VL supplémentaires est compensé par la suppression de l atelier JB. La charge de travail diminue légèrement grâce à la simplification du travail. Facteurs clés de réussite L agencement initial des bâtiments permet de rationaliser les investissements. Le système final permettrait de fermer le silo de maïs au printemps (diminution du coût alimentaire) L équilibre surfaces fourragères/culture est conservé. Points de vigilance Attention à l impact fiscal de l arrêt des taurillons Fragilité économique liée à la spécialisation laitière Revoir la quantité de lait doux à produire pour les veaux Redimensionnement du silo de maïs 7
8 Le résultat de ces 4 simulations montre que si les investissements peuvent être intéressants sous certaines conditions, ils doivent toujours être bien raisonnés. La volatilité des prix, produits et charges, incite à la prudence. La rentabilité des projets sera améliorée si : l éleveur limite ses investissements matériels (occasion), ou bâtiments (récupération, utilisation de bâtiments existants), la part d autoconstruction augmente, La part d autofinancement est plus importante. Enfin, la main-d œuvre est souvent l élément négligé dans les études d agrandissement. Il est donc indispensable de mesurer les impacts sur l organisation et le temps de travail. Prix du lait permettant de couvrir les charges pour chaque projet 20 % de lait en plus, avec ajout d une travée 10 places 335 Doublement de la production avec main d œuvre salariée supplémentaire 373 Doublement de la production avec achat de robot % de lait avec arrêt des taurillons 342 (avec un blé à 180 /T) 8 Document édité par l Institut de l Elevage 149 rue de Bercy Paris Cedex 12 Juillet 2014 ISBN : Référence Idele : Réalisation : Isabelle Guigue Impression : Imprimerie Centrale de Lens LENS Cedex Crédit photos : Institut de l Elevage, Chambres d agriculture Ont contribué à ce dossier : Cédric GARNIER Chambre d agriculture de l Eure et de la Seine-Maritime Tél : Julia VUATTOUX Chambre d agriculture de l Orne Tél : Laurence FOS, Pascal FERRÉ Chambre d agriculture du Calvados Tél : Yves MALVOISIN Chambre d agriculture de l Eure Tél : Viviane SIMONIN Chambre d agriculture de la Manche Tél : Simon FOURDIN Institut de l Elevage Tél : Pour en savoir plus : Les outils utilisés pour ces simulations peuvent être appliqués à votre exploitation dans le cadre de Sécurilait. N hésitez pas à contacter vos conseillers des Chambres d agriculture pour vous accompagner dans vos projets. Retrouvez notre publication : Plus de concentrés pour plus de lait : ça se discute! INOSYS RÉSEAUX D ELEVAGE Un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs de l Institut de l Elevage et des Chambres d agriculture pour produire des références sur les systèmes d élevages. Ce document a reçu l appui financier du CASDAR et de FranceAgrimer.
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