Dr F. Zonens-Hirszowski. DU douleur Pointe à Pitre février 2014
|
|
- Rémy Juneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dr F. Zonens-Hirszowski DU douleur Pointe à Pitre février 2014
2 aurico thérapie ostéopathie / La chiropraxie Les touchers thérapeutiques adultes et enfants nouveaux nés (ex. peau à peau) Art thérapie : musico-thérapie La relaxation (Laïlla Measson) / sophrologie (Nathalie Baste) L hypnose / la méditation : " Méditation et pleine conscience. Acceptation et engagement» Mirror box/imagerie mentale motrice
3 Modulation douloureuse étudiée en imagerie Distraction,hypnose, anticipation, biais temporel Changements dans le prefrontal cortex latéral, le CCA post et rostral, et la PAG
4 Anticipation le patient s attend à un soulagement activité plus importante le patient s attend à une douleur anticipation / effet placebo 31 volontaires avec analgésie «conditionnée» du pied «L analgésie» est avertie par un indice visuel Elle est fictive et anticipée : forte ou nulle; Lui et al, 2010 Pain dec
5 Effet prouvé de la distraction visuelle, auditive, olfactive, tactile avec ou sans tâche associée Effets sur toute la matrice thalamus, S1 SII insula et CCA avec activation des systèmes de contrôle CCA rostral, SGPA et orbitofrontal Effets prouvés de la distraction dans gestes douloureux (ponctionsv, chir de catarracte, endoscopie,soins de blessures réalité virtuelle chez les brûlés (Hoffman 2011 Morris 2009) Surtout douleur aigue car dans la DC biais cognitif vers la DC que l on traite en tant que tel
6 Beaucoup de publications sur l approche du catastrophisme et des comportements d évitement Peu d études sur les corrélations neuronales : Lackner avec TEP chez 8 femmes avec IBS après 8 sem de TCC; diminution du débit O15 du système limbique au repos (parahippocampes et CCA bil) : moindre attention à la douleur? Jensen fmri après 12 sem de TCC chez 43 femmes FM : plus d activation du cortex préfrontal lors de la douleur expérimentale avec augmentation de la connectivité CPF-thalamus. Restauration du rôle de frein du thalamus? En psychiatrie résultats voisins avec la TCC : diminution MTB limbique et augmentation des réponses préfrontales Donc diminution des réponses émotionnelles et cognitives maladaptatives par stimulation du cortex préfrontal latéral ; l hyperactivité orbitofrontale serait prédictive du résultat (Ritchey 2011)
7 Jensen évaluation des 43 FM après la TCC avec pressions douloureuses calibrées :soustraction après tt- avant tt : augmentation des activités préfrontales après tt en comparaison des contrôles En bas augmentation de la connectivité avec thalamus et CPF lat dans le groupe traité
8 Méta-analyses pour céphalées, back pain, D. orofaciales avec biofeedback cardiaque fréquence et variabilité, EMG de surface des muscles, température et sudation cutanés, EEG voire IRMf lors de stim douloureuse (de Charms; Weiskopf) EEG chez FM : analyse theta, stades de sommeil, alpha 8-12 et beta 13 le tout traduit visuellement sur écran : le sujet apprend à augmenter le ration theta/alpha ou reduire la puissance alpha en 10 séances effet positif sur douleur, fatigue, anxiété effet non spécifique? Neuroplasticité augmentation de l excitabilité du cortex moteur et des systèmes de contrôle inhibiteur sur le thalamus Une étude positive dans la FM avec analyse cardiaque de variabilité après 10 sem (Hasset 2007)
9 Une étude à 4 sem chez 18 patients avec mbre fantôme et une autre à 6 sem en cross over chez des CRPS Amélioration de 50% à 8 et 24 sem respectivement Plusieurs études dans l AVC : plasticité qui implique l hémisphère lésé Chez 14 amputés Diers montrent que les douloureux ont moins d activation dans les cortex sensitivo moteurs lors de l IRMf avec miroir Seidel après 14 sessions ne trouvent pas de différences sur le cortex SM malgré une réponse de 50% sur la douleur
10 De randomisation De listes d attente De contrôle «actif»: information, activité sociale De contrôle médicamenteux Quels processus par ex TCC : comportement, distraction, imagerie mentale, évitement, compréhension
11 b/ Méthodes alternatives de pratique médicale. Ayurveda. Médecine chinoise traditionnelle. L acupuncture. L homéopathie. L allopathie c / Soins par le toucher, ou gestes manuels. Ostéopathie. Chiropractie. Le massage
12 d/ médecine herbale e/ la nutrition et ses suppléments f/ l exercice g/ la médecine énergétique Ces thérapies ont été nommées : - Thérapies alternatives puis - Thérapies complémentaires puis - Approche holistique et «médecine intégrative»
13 L approche holistique : - cherche à soigner l être dans sa globalité son corps, sa pensée, ses émotions, son esprit dans le contexte de ses valeurs personnelles et familiales, sa culture et sa communauté [Kemper KJ : Pediatrics 2000 ; ]
14 1- Donner des soins centrés sur le besoin du patient : donc établir une relation thérapeutique de qualité et tenir compte de tous les facteurs pouvant influencer la santé 2- Encourager la guérison : le corps a la capacité de s améliorer; donc être moins interventionniste et chercher à traiter la cause de la maladie et non les symptômes.
15 3 Soutenir une modèle dynamique de la santé : la santé = équilibre dynamique 4- Garder une scepticisme ouvert 5- Faire une synthèse de la meilleure médecine allopathique et des autres approches thérapeutiques
16 Chez l adulte aux USA : 33% en % en 1997 [Eisenberg D et al. Jama 1998 ; 280 : ] Chez l enfant *aux USA : 20 à 30% de patients pédiatriques; 50 à 75% des adolescents [Kemper KJ. Arch Dis Child 2001; 84 : 6-9] -65% des enfants présentant un cancer, 51% dans le groupe control [Friedman et al. Pediatrics 1997; 100 : 1024] *au Canada : Sur 1911 questionnaires, 208 (11 %) des enfants [Spigelblatt L et al. Pediatrics 1994 ; 94 : ] au Danemark : sur 622 patients, 53% [Madsen H et al. Eur J Pediatr 2003 ; 162 : ]
17 A] La sensibilité à la douleur Un enfant ayant un tempérament plus sensible à la douleur rapportera plus d anxiété et de douleur liés aux gestes iatrogènes Cette détresse augmente avec le temps, si l enfant n a pas d aide psychologique B] Le «Coping» Certains sont des «participateurs» : ils veulent des informations avant et pendant le geste Certains sont des «distracteurs» : ne veulent pas savoir ce qui se passe, et veulent être engagés dans une distraction C] Les cognitions Les processus mentaux vis-à-vis de la douleur sont influencés par : sexe, âge, le tempérament, l attention, le développement cognitif, les apprentissages familiaux, les expériences douloureuses passées, la culture, les émotions, les attentes, la réponse parentale, la perception d un contrôle, les résurgences, la méthode de «coping»
18 A] La sensibilité à la douleur Différences individuelles à la sensibilité et tolérance à la douleur Un enfant ayant un tempérament plus sensible à la douleur rapportera plus d anxiété et de douleur liés aux gestes iatrogènes Cette détresse augmente avec le temps, si l enfant n a pas d aide psychologique Il faudrait sélectionner les enfants à qui on propose cette prise en charge (Sensory Temperament Inventory for Pain)
19 B] Le Coping les enfants ont des préférences naturelles sur leur manière de faire face aux gestes douloureux Certains sont des «participateurs» : ils veulent des informations avant et pendant le geste Certains sont des distracteurs : ne veulent pas savoir ce qui se passe, et veulent être engagés dans une distraction Il faut adapter la méthode de coping aux préférences de l enfant [Fanurik D. Pain 1993; 53 : ]
20 C] Les cognitions L âge de développement cognitif influence la capacité de comprendre la douleur et de l exprimer Explications adaptées à l âge Le souvenir de gestes douloureux Les processus mentaux vis-à-vis de la douleur sont influencés par : sexe, âge, le tempérament, l attention, le développement cognitif, les apprentissages familiaux, les expériences douloureuses passées, la culture, les émotions, les attentes, la réponse parentale, la perception d un contrôle, les résurgences, la méthode de coping
21 La kinésithérapie les massages+/- l aromathérapie le chaud/le froid les bains écossais le toucher, le «holding» L acupuncture La neurostimulation transcutanée (TENS)
22 Fondées à la fin du 19ème siècle - L ostéopathie a été fondée par Andrew Taylor Still en La chiropractie a été fondée en 1890 par Daniel Palmer Ces 2 techniques sont indiquées : - douleurs dorsales et lombaires - cervicalgies, migraines, céphalées - douleurs musculaires, torticolis, colique - tendinite, synovite, douleurs de hernie discale Lee A. Arch Pediatr Adolesc Med ; 154 : Il y a eu en 1998 dans la région de Boston, visites pédiatriques chez un chiropracteur, d un coût de 14 millions de dollars
23 Une thérapie très ancienne : 180 av JC, décrite dans l Ayur-Véda Avec des différences culturelles Nouvelle Zélande : Maori massent le nez et les jambes Cuba : massage à l ail pour les douleurs abdominales Samoa : on utilise l eau de coco, des fleurs, des plantes et des racines (migraines, diarrhée ) Suède : 6 types de massage : effleurement, frictions, pression sans mouvement, pétrissage, vibrations, et percussions
24 Augmente la circulation sanguine, le flux lymphatique, la synthèse du collagène, et le péristaltisme digestif Accélère la guérison tissulaire Interrompt le cycle : douleur- spasme musculairedouleur Diminue le niveau des hormones du stress Augmente la saturation en O 2
25 Facilite le lien parent enfant Réduit les réponses liées au stress des gestes iatrogènes Réduit la douleur de la dentition, de la constipation Réduit les douleurs de colique Améliore le sommeil A un effet positif sur les parents («I Feel good»)
26 Etude en Réanimation néonatale (20 j de USIE) 40 prématurés (31 SA d âge gestationel, 1280g poids moyen) 45 minutes de massage/j (3 fois 15 minutes) : 5 minutes de pressions sur la tête, et le corps 5 minutes de mouvements des membres 5 minutes de pressions 47% de gain de poids Plus actif et plus réveillés Meilleur score de Brazelton 6 jours d hospitalisation en moins (économie de 3000$/ enfant)
27 Une des thérapies complémentaires les plus utilisées [Spigelblatt et al. : Pediatrics 1994 ; 6 : ] 30% des centres de traitement de la douleur de l enfant [Lee West J. Med ; 171 : 153-7] Peu proposée car réserves concernant son acceptabilité. Mais 67% des parents ont trouvé ce moyen thérapeutique agréable [Kemper et al. Pediatrics 2000 Avril ; 105 : 941-7]
28 Une étude contrôlée, randomisée [Pintov S. et al. Pediatr Neurol 1997 ; 17 : ] Patients âgés de 7 à 15 ans : - présentant des migraines - 10 sessions d acupuncture Le groupe traité par acupuncture : - moins de migraines - crises moins sévères - avec une augmentation de l activité du système endorphinique (taux plasmatique des ß endorphines)
29 Faisabilité et acceptabilité de l Acupuncture et de l Hypnose pour la douleur chronique [Zeltzer L. et al. J Pain Symptom Manage 2002 ; ] - 33 patients âgés de 6 à 18 ans (21 filles) - sessions de 20 minutes toutes les semaines pendant 6 semaines - 2 patients ont refusé, 90% ont accepté le traitement Les symptômes : - Migraines : 46% - Douleurs abdominales : 21% - Fibromyalgie : 11% - CRPS : 11% - Arthrite juvénile : 4% - Douleurs musculaires : 8%
30 Définition : Il s agit d un produit biologiquement inerte qui simule le vrai traitement L effet placebo est un changement dans l unité corpsesprit secondaire à la signification symbolique attribuée à un évènement ou un objet (Brody H. The Placebo Response New York Harper Collins 2000). En fait, il s agit de la réponse d un individu à un CONTEXTE particulier : - un contexte positif peut réduire un symptôme (effet placébo) - un contexte négatif : peut aggraver le symptôme (effet nocébo)
31 1 Le placebo diminue l anxiété et donc la douleur 2 Il s agit d un phénomène de conditionnement classique 3 Il y a une théorie cognitivo-comportementale. Ce sont les attentes qui déterminent l effet placebo 4 Il y a un mécanisme physiologique faisant intervenir les opioïdes endogènes annulés par la Naloxone
32 Placebo répondeurs Non placébo répondeurs Petrovic Science 2003
33 Différencier les répondeurs «placebo et nocebo» en terme de récepteurs attentes MOT Effet nocebo Effet placebo Colloca et Benedetti, 2006 Zubieta et al., 2008
34 Il y a de nombreux récepteurs opioïdes dans le cortex cingulaire antérieur (région caudale) et l insula antérieur qui augmentent leur activité si on administre des opiacés à des sujets Lors de l effet placebo, il y a une activation du cortex cingulaire antérieur (partie rostrale) Cette zone interviendrait dans la régulation cognitive des processus opioïdes endogènes
35 Staats et al. J Pain Symptom Manage : Suggestion et effets placebo sur la douleur. Immersion de la main dans de l eau à 1 C - Suggestion positive sur les bienfaits de l eau froide - Suggestion négative - Groupe contrôle La suggestion positive a augmenté de manière significative : - Le seuil de la douleur - la tolérance à la douleur - et l endurance ou la durée de l immersion en eau froide
36 L effet placebo est médié par les opioïdes endogènes (Travaux de l équipe de Benedetti à Turin) - Si l effet placebo est induit après plusieurs administrations de morphine, il peut être antagonisé par la Naloxone - Cet effet a une organisation somatotopique précise - 4 stimulis douloureux appliqués sur les mains et les pieds - Une crème placebo appliquée sur une main : la douleur est réduite au niveau de cette main, et cet effet est bloqué par la Naloxone.
37 L approche cognitivo-comportementale cherche à identifier les pensées associées à la détresse et à recadrer ces pensées On peut diviser ces traitements en : Approche comportementale La désensibilisation Le renforcement La relaxation Approche cognitive La préparation Modification du souvenir L hypnose Pensée positive/ arrêt de la pensée
38 le biofeedback avec un ordinateur relié à des électrodes réparties en différents endroits du corps permet de mieux comprendre comment contrôler des réponses physiologiques le «modelling» : observer le comportement d un autre sujet lors d une situation particulière utilisé pour les comportements d évitement, de peurs la désensibilisation : le patient est confronté de manière progressive à une situation ou un objet anxiogène
39 Les méthodes cognitives la distraction et l attention : méthode la plus utilisée par les parents à adapter à l âge cognitif de l enfant, à sa fatigabilité mettre en jeu les différentes modalités sensorielles l imagerie visuelle : grâce à son imaginaire, l enfant se focalise sur une expérience agréable
40 Tous les travaux actuels confirment le rôle du cortex cingulaire antérieur dans l aspect attentionnel/émotionnel et comportemental de la douleur L hypnose atténue ou fait disparaître la réponse cingulaire La suggestion la renforce alors que les réponses pariétales restent inchangées La chronicité de la douleur, l attention, l anticipation à la douleur, la distraction agissent à ce niveau là C est aussi une région candidate aux régulations descendantes inhibitrices de la douleur
41 Une sensation de relaxation mentale Une attention concentrée et focalisée L absence de jugement ou de censure Une suspension d orientation de lieu ou de temps Une expérience de réponses quasi automatiques Permettant l incorporation de suggestions hypnotiques dont celles d analgésie
42 Beaucoup de travaux : Rainville suggestion de désagrément et activité CCA et suggestion d intensité et modification de S1 Chroniquement effet sur CCA et sur la connectivité CCA moyen et un large réseau (tronc,thalamus, insula, AMS, CPFLD dt ) donc sur des circuits cognitifs émotionnels et comportementaux autant que sur la réception douloureuse 4 études dans la douleur chronique (FM, orodentaire et lowback pain) changement dans les activations lors de douleurs expérimentales Pas de consensus de ces études quelle prédiction? Correlat de l hypnosuggestibilité?
43 Méthode très utile pour la douleur aiguë ou chronique Zeltzer L and LeBaron S. J Pediatr 1982; 101 : Kuttner L, Bowman M,Teasdale M. Dev Behav Pediatrics 1988; 9 : Kellerman J, Zeltzer L, Ellenberg L, Dash J. J of Adolescent Health Care 1983; 4 : Liossi C, Hatira P Int J Clin Exp Hypnosis 1999; 47 : Olness K, MacDonald J, Uden D Pediatrics 1987; 4 : Anbar R Pediatrics 2000; 106 :
44 Connaître l autre, ses goûts, ses préférences sensorielles Etablir une relation thérapeutique de qualité : Etablir une confiance Avoir une écoute attentive Être humble Aller dans le monde de l enfant Valider ce que le patient amène Etre intuitif Etre créatif
45 Le cerveau n entend pas la négation.. «concentrez vous je ne veux pas que vous pensiez à un éléphant rose» «n aies pas peur.. tu n auras pas mal» «ne t inquiètes pas..» «ne tombes pas...» «n oublies pas ton cartable»
46 L hypnose utilisée avec le MEOPA : > 1000 cas à l Hôpital Robert Debré par l UTD Indications : ponctions lombaires ponctions de moelle ponctions biopsie rénale pansements divers voies veineuses enfants anxieux ou phobiques
47 Le Gaz : Mélange Équimolaire d Oxygène et de Protoxyde d Azote (MEOPA) assure : analgésie de surface, sédation consciente, anxiolyse et euphorie pourrait faciliter une focalisation sur «autre chose» pendant l inhalation, l enfant garde un contact verbal et interagit avec la personne qui «l accompagne»
48 Dans un contexte d Urgence Enfant inéxaminable, traumatisme. Ponctions veineuses.. D autres gestes douloureux Pendant une hospitalisation Pour entrer en contact avec un enfant (effrayé, mutique ) Pour des pansements fait sans analgésiques La kinésithérapie Phobie des piqûres, des PL. Relaxation Stress post-traumatique Situations de «fin de vie»
49 Douleur récurrente ou chronique : enfants adressés pour apprendre l hypnose Présentant des pathologies chroniques : Douleurs chroniques ou récurrentes : douleurs abdominales, céphalées, migraines, douleurs myofasciales, douleurs neuropathiques. Amputations Leucémie, cancer.(phobies des piqûres, des PL ) Scoliose, paraplégies. Mucoviscidose Maladie de Cröhn, maladie périodique familiale Drépanocytose.
50 Dans un contexte d Urgence Enfant inéxaminable, traumatisme. Ponctions veineuses.. D autres gestes douloureux Pendant une hospitalisation Pour entrer en contact avec un enfant (effrayé, mutique ) Pour des pansements fait sans analgésiques La kinésithérapie Phobie des piqûres, des PL. Relaxation Situations de «fin de vie»
51 Douleur récurrente ou chronique : enfants adressés pour apprendre l hypnose Présentant des pathologies chroniques : Douleurs chroniques ou récurrentes : douleurs abdominales, céphalées, migraines, douleurs myofasciales, douleurs neuropathiques. Amputations Leucémie, cancer.(phobies des piqûres, des PL ) Scoliose, paraplégies Stress post-traumatique Mucoviscidose, maladie de Crohn.. Drépanocytose.
52 Attirer l attention sur la douleur le globe illuminé : «si tu es à l intérieur d un globe illuminé et si tu progresses sur la carte de l inconfort..». Modifier la forme, les sensations, les couleurs, le bruit..etc faire un voyage à l intérieur de ton corps : visiter les différents endroits et associer l interrupteur de la douleur l amnésie de la douleur : laisser l esprit oublier la douleur
53 Suggestions de distraction : raconter une histoire ou un conte raconter un match, un film faire participer l enfant à un soin et le raconter se concentrer sur quelque-chose de moins désagréable : par exemple se focaliser sur le froid lors d une PL ou sur la sensation de la perfusion.
54 Avoir une approche holistique du malade Connaître ces thérapies complémentaires et savoir les utiliser Proposer ce qui peut aider le patient, en tenant compte de ses attentes Savoir multiplier les approches si besoin Faire des études chez l enfant, afin de prouver l utilité de ces techniques
Douleur de l enfant : place des approches non médicamenteuses
Douleur de l enfant : place des approches non médicamenteuses Dr Chantal Wood Centre de Prise en Charge de la Douleur Chronique, Service de Rhumatologie CHU Dupuytren, Limoges Les Thérapies Complémentaires
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailFACE A LA DOULEUR QUI PERSISTE
FACE A LA DOULEUR QUI PERSISTE AVANT-PROPOS Cette brochure est destinée aux patients souffrant de douleurs persistantes, mal soulagées par les méthodes habituelles de traitement. Son but est de les aider
Plus en détailLa fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter
La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter Dr Patrick GINIES, Anesthésiste, Centre d'évaluation et de traitement de la douleur CHU MONTPELLIER Patient partenaire et soignant partenaire Le rôle
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailGuide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant
Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailQuestionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique
Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique BUT : Découvrir ton profil préférentiel «Visuel / Auditif / Kinesthésique» et tu trouveras des trucs
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLa musicothérapie : une alternative non médicamenteuse chez l enfant douloureux
La musicothérapie : une alternative non médicamenteuse chez l enfant douloureux Sabine Métayer*, Dr Jacques Merckx**, Pr Stéphane Blanche*** * Musicothérapeute, Unité d immunologie-hématologie pédiatrique,
Plus en détailUNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailAGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON
Douleurs neuropathiques périphériques de l adulte non diabétique : De l étiologie au rôle de l infirmier AGRES Hugues IADE RD LA ROCHE / YON La douleur neuropathique Définition [1] C est est une douleur
Plus en détailL HYPNOSE. Isabelle Célestin-Lhopiteau
7. Isabelle Célestin-Lhopiteau De nombreuses études montrent et rappellent l intérêt d une prise en charge globale (médicamenteuse mais aussi non pharmacologique) dans la prévention et le soulagement de
Plus en détailles DOULEURS INEXPLIQUÉES
MIEUX VIVRE avec une DOULEUR les DOULEURS INEXPLIQUÉES Dr F. LAROCHE Dr E. SOYEUX Centre d évaluation et de traitement de la douleur Hôpital Saint-Antoine, Paris, Réseau Ville-Hôpital Lutter Contre la
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailhttp://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com
HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE
Santé et pollution intérieure dans les écoles : Réseau d observation en Europe QUESTIONNAIRE SUR LA SANTE RESPIRATOIRE ET ALLERGIQUE DES ECOLIERS ET LEUR ENVIRONNEMENT SCOLAIRE A compléter par les enfants
Plus en détailPlan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique
Le monde virtuel au service de la prévention de la rechute du jeu pathologique Stéphane Bouchard, Ph.D., Lucie Laniel, Lynda Poirier Isabelle e Cyr, Josée Dostie, Geneviève e emorency oe cyet Cathy Tétreault
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailGuide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II
Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les
Plus en détailEntretien Motivationnel utilisation en pratique
Entretien Motivationnel utilisation en pratique Docteur Guy Azoulaï, Médecin Psychothérapeute Aulnay sous Bois CIMC 2008 Les obligations du médecin Code de déontologie médicale Article 28 : Le médecin
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailLes lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail
Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques
Plus en détailSommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7
Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement
Plus en détailDouleur. et maladies neuromusculaires REPÈRES JANVIER 2012 SAVOIR ET COMPRENDRE
ktsdesign-fotolia.com AFM / L. Audinet AFM / L. Audinet Douleur et maladies neuromusculaires JANVIER 2012 La douleur est une sensation complexe qui est propre à chacun. Sa perception dépend d un système
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailRespiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée
Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Intérêt dans la prévention et le traitement des LOMBALGIES, SCIATIQUES et RACHIALGIES et dans les MANUTENTIONS DE CHARGES
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :
Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les
Plus en détailLa prise en charge des lombalgiques
La prise en charge des lombalgiques Approche au Grand-Duché de Luxembourg Dr Nicole Majery Service de Santé au Travail Multisectoriel FMP, Bruxelles,17.4.08 Plan: Projet STM: 2001-2007: Financement Contenu
Plus en détailBIENVENUE A L ESPACE BIEN ÊTRE DU CHATEAU DE BEZYL
BIENVENUE A L ESPACE BIEN ÊTRE DU CHATEAU DE BEZYL Profitez de votre séjour au Château de BEZYL pour prendre un peu de temps pour votre bien être, afin de vous retrouver avec vous même en découvrant ou
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailPrévention des escarres
Prévention des escarres MOBILISATION ET POSITIONNEMENT Historique 1848 : Robert Graves Ecrivait qu il était possible de prévenir les escarres par une mobilisation régulière. 1961 : Kosiak Etude sur les
Plus en détailassurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective
Les forces du changement en assurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective La pénurie de main-d œuvre ralentira la croissance D ici 2030, il manquera 363 000 travailleurs
Plus en détailOBSERVATOIRE DE LA m-santé
OBSERVATOIRE DE LA m-santé La m-santé, de nouvelles perspectives pour le bien-être et la santé Qu il s agisse de surveiller son poids ou son alimentation, d arrêter de fumer, de mesurer son activité physique
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailLa douleur est une mauvaise habitude.
La douleur est une mauvaise habitude. Vous pourriez avoir envie de dire : "non, c'est impossible! Je ne peux pas me faire du mal à moi-même!" et vous auriez en partie raison. Comme exemple de douleurs
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailMaladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1
Maladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1 Cas de Madame N. B. Mme N. B. vient vous voir. Elle a mal au dos, «comme d habitude, en bas du dos comme une barre dans les
Plus en détailTraumatisme crânien léger (TCL) et scolarité
Document destiné aux enseignants, aux médecins et aux infirmières scolaires H.Touré pour l'équipe du CSI (Centre de Suivi et d Insertion pour enfant et adolescent après atteinte cérébrale acquise), M.Chevignard,
Plus en détailParmi ces recommandations, la cure thermale tient une place prépondérante dans le traitement et la prise en charge de la maladie.
CHAINE THERMALE DU SOLEIL - S.A.S au capital de 8.129.638,30 - SIREN 310 968 540 - APE 741 j - Directeur de la publication : Biche Barthélémy - Coordination édition : Anne Mascarou Photos : Chaîne Thermale
Plus en détailRééducation Posturale Globale
Rééducation Posturale Globale R.P.G. Créateur de la méthode : Philippe E. SOUCHARD France Petit guide à l attention de nos patients La Rééducation Posturale Globale est apparue en 1980 à la suite de plus
Plus en détailLES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE
LES COURBURES DE LA COLONNE VERTEBRALE La colonne vertébrale présente des courbures normales (physiologiques) : lordoses et cyphoses qu'il convient de différencier de courbures pathologiques (cyphose accentuée,
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailDéfinition trouble psychosomatique. TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289. Définition trouble psychosomatique. Définition trouble psychosomatique
Définition trouble psychosomatique TROUBLES PSYCHOSOMATIQUES Item 289 La médecine psychosomatique est l étude des perturbations psychiques d ordre affectif et des troubles viscéraux qui en constituent
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLa migraine chronique
La migraine chronique - Céphalées chroniques quotidiennes -Abus médicamenteux Avec le soutien des laboratoires Novartis Un concept en évolution 1ère classification IHS 1988 : pas de mention 1982: Mathew
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS
Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détail14. Votre enfant a-t-il déjà souffert de :
FORMULAIRE POUR ENFANT RENSEIGNEMENTS Nom du patient Prénom Sexe : M F Adresse Ville Code postal Tél. résidence ( ) Tél. travail parent ( ) Date de naissance / / année mois jour Âge an(s) mois Nom du parent
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailFR E S P A C E B I E N - Ê T R E
ESPACE BIEN-ÊTRE FR UN VÉRITABLE PLAISIR DES SENS... S occuper de soi devient un délicieux instant de bien-être. Les soins de beauté ont des textures douces, fondantes et des parfums qui éveillent les
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailLES CHAÎNES PHYSIOLOGIQUES BÉBÉ
Photo 1. MÉTHODE BUSQUET LES CHAÎNES PHYSIOLOGIQUES BÉBÉ Il peut être intéressant de pratiquer un traitement des chaînes physiologiques dès le plus jeune âge, pour libérer le nourrisson de ses tensions
Plus en détailLe développement de la temporalité chez les. enfants
Conférence à la Société Romande d Audiologie, de Phoniatrie et de Logopédie Le développement de la temporalité chez les Vincent Quartier Plan de la présentation Le temps Temps et hyperactivités Questionnaire
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailAssistance Publique Hôpitaux de Paris Faculté de médecine Cochin Port-Royal Université René Descartes
Assistance Publique Hôpitaux de Paris Faculté de médecine Cochin Port-Royal Université René Descartes Diplôme d université Prise en charge de la Douleur en Soins infirmiers Directeur de l enseignement
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher»
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Exposition temporaire «Très toucher» Du 7 juillet au 7 décembre 2012 à L Arche des Métiers L ARCHE DES MÉTIERS - CCSTI de l Ardèche Place des Tanneurs BP 55-07160 LE CHEYLARD Tél.
Plus en détailPersonnes âgées et BESOIN d APPRENDRE
Personnes âgées et BESOIN d APPRENDRE I- Savoir résumer ce besoin II- Savoir reconnaître le processus de vieillissement physiologique et ses conséquences A - Le vieillissement physiologique Processus du
Plus en détailIntroduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise.
Introduction Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise. Recruter présente un enjeu stratégique et sociétal pour l entreprise en termes de 2 : 1. Productivité : le choix
Plus en détailDéveloppement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage
Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailEn quoi consistera ce jeu?
1 Projet Comité d Education à la Santé et à la Citoyenneté inter degré Création jeu par les élèves de l école du Gliesberg, de l école Martin Schongauer et du collège Hans Arp de Strasbourg Création d
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détail