JMP. Agenda WASH pour l après-2015 : Introduction. Fondamentaux. Réduction des inégalités. Niveaux de service. Cadres autres que les ménages

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "JMP. Agenda WASH pour l après-2015 : Introduction. Fondamentaux. Réduction des inégalités. Niveaux de service. Cadres autres que les ménages"

Transcription

1 Agenda WASH pour l après-2015 : Cibles et indicateurs JMP Photo : UNICEF. Femmes, quelquesunes avec de conteneurs d eau dans leurs têtes, croissent une route qui a été inondée par les eaux d une inondation saisonnière. Photo : Banque Mondial / WSP. Propriétaires d une toilette récemment construit financé par un prêt d une institution des microfinances en Peru. Introduction En mai 2011, l Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l UNICEF ont organisé une consultation mondiale des parties prenantes à Berlin, sous l égide du ministère allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ). Cette consultation avait pour objet de lancer le processus de formulation des cibles «eau, assainissement et hygiène» ou WASH (de l anglais water, sanitation and hygiene) au-delà de 2015 et des indicateurs correspondants. C est le Programme commun OMS/UNICEF de surveillance de l eau et de l assainissement (JMP) qui a servi de plateforme internationale de production de données, de consultation et de synthèse pour ce processus. Les résultats de ce processus, mené par quatre groupes de travail (Eau, Assainissement, Hygiène et Équité et non-discrimination), ont fait l objet d une deuxième consultation à La Haye (3-5 décembre 2012). De l avis général des participants à cette réunion, les cibles et indicateurs retenus constituaient un bon point de départ pour des actions supplémentaires et de quoi alimenter les discussions politiques sur l agenda du développement au-delà de Ce document décrit les indicateurs, les cibles et les définitions WASH proposés, ainsi que certains des facteurs qui en ont orienté le développement. Fondamentaux Réduction des inégalités Les cibles doivent consister en une réduction progressive des inégalités entre riches et pauvres, villes et campagnes, bidonvilles et habitat urbain proprement dit, groupes défavorisés et population générale. Il faudra en outre veiller à réduire les inégalités basées sur le genre, les infirmités et l âge. On consultera la note explicative pour plus de précisions. Niveaux de service Il s agit pour les ménages non seulement d obtenir un accès de base, mais de progresser graduellement sur une «échelle» de niveaux de service, niveaux définis par des critères multiples et correspondant à des seuils de service fondés sur les critères normatifs du droit humain à l eau et à l assainissement. Cadres autres que les ménages Outres les ménages, il s agira de donner la priorité aux institutions scolaires et aux centres de santé pour l accès à l eau potable et à l assainissement, en mettant l accent sur le lavage des mains par tous et la gestion de l hygiène menstruelle. Développement durable Parmi les paramètres clés, citons un coût abordable, la responsabilité, ainsi que la durabilité financière et environnementale. Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts 1

2 Cibles prévues Le processus consultatif, qui a duré deux ans et auquel ont participé plus de 200 personnes et plus de 100 organisations clés du secteur, a permis de définir des cibles à atteindre, qui sont ambitieuses mais que les personnes en charge considèrent comme réalisables. Notre vision commune est la suivante : Personne ne pratique la défécation à l air libre. Tous les domiciles possèdent des équipements adéquats d approvisionnement en eau, d assainissement et d hygiène. Tous les établissements scolaires et centres de santé possèdent des équipements adéquats d approvisionnement en eau, d assainissement et d hygiène. L accès à l eau, l assainissement et l hygiène est durable et les inégalités ont été progressivement éliminées. Objectifs des ciblest Les groupes de travail ont élaboré les cibles prévues pour l eau potable, l assainissement et l hygiène. Comme l année cible pour le cadre de développement international n a pas encore été fixée, une période de 25 ans a été retenue, de 2015 à Ces cibles visent à atteindre les objectifs d une réalisation progressive en augmentant le nombre des personnes bénéficiant des services, en réduisant les inégalités, en améliorant le niveau des services, en encourageant les progrès dans les établissements scolaires et les centres de santé autant que dans les ménages, en obtenant une couverture généralisée pour un nombre maximum de paramètres dans la période et une couverture durable sur le long terme. Cibles détaillées D une vue d ensemble des propositions de nos quatre groupes de travail Approvisionnement en eau, Assainissement, Hygiène et Équité et non-discrimination se dégagent les cibles détaillées suivantes : Cible 1 : D ici 2025 plus personne ne défèque à l air libre et les inégalités dans la pratique de la défécation à l air libre ont été progressivement éliminées. Cible 2 : D ici 2030 tous disposent à domicile d un accès à un approvisionnement basique en eau potable et à une installation pour se laver les mains, tous les établissements scolaires et tous les centres de santé disposent pour tous les usagers d un approvisionnement basique en eau potable, d installations d assainissement adéquates pour le lavage des mains et la gestion de l hygiène menstruelle, et les inégalités dans l accès à chacun de ces services ont été progressivement éliminées. Cible 3 : D ici 2040, tous disposent à domicile d un accès à un assainissement adéquat, la proportion de la population qui n a pas accès à un service de niveau moyen d approvisionnement en eau potable a été réduite de moitié, les excréments provenant d au moins la moitié des établissements scolaires, des centres de santé et des ménages pourvus d un assainissement adéquat sont gérés d une manière sûre, et les inégalités dans l accès à chacun de ces services ont été progressivement réduites. Cible 4 : Tous les services d approvisionnement en eau potable, d assainissement et d hygiène sont fournis d une manière progressivement abordable, responsable, et financièrement et environnementalement durable. Dates cibles 2025 Pas de défécation à l air libre 2030 Approvisionnement basique en eau potable, assainissement, lavage des mains et gestion de l hygiène menstruelle adéquats dans les établissements scolaires et les centres de santé ; approvisionnement basique en eau potable chez les particuliers ; lavage des mains chez les particuliers 2040 Assainissement adéquat chez les particuliers Ces dates font l objet d un calendrier des cibles qui combine une couverture généralisée pour certains paramètres et des progrès vers une couverture généralisée pour d autres. Eau Assainissement Hygiène 2025 Pas de défécation a l air libre 2030 Approvisionnement basique en eau potable pour tous dans les établissements scolaires et les centres de santé Approvisionnement basique en eau potable pour tous chez les particuliers 2040 Progrès vers un niveau intermédiaire d eau potable chez les particuliers Assainissement de base pour tous dans les établissements scolaires et les centres de santé Assainissement basique pour tous chez les particuliers Progrès en vue d une gestion sûre des excréments Lavage des mains et gestion de l hygiène menstruelle adéquats pour tous dans les établissements scolaires et les centres de santé Lavage des mains adéquat pour tous chez les particuliers 2 Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts

3 Indicateurs 1 par cible Afin de mesurer la progressive réduction ou élimination des inégalités, tous les indicateurs doivent être désagrégés entre zones rurales et zones urbaines, populations défavorisées et populations générales. Les populations défavorisées doivent être identifiées à travers un processus participatif national prenant en considération les motifs illicites de discrimination. Cible 1: D ici 2025 plus personne ne défèque à l air libre et les inégalités dans la pratique de la défécation à l air libre ont été progressivement éliminées. Indicateur 1.1 Pourcentage de la population qui déclare pratiquer la défécation à l air libre Pourcentage de la population qui n utilise aucune installation d assainissement. Pourcentage des ménages dont un des membres pratique la défécation à l air libre. Pourcentage des ménages avec un enfant de moins de cinq ans qui déclarent se débarrasser d une manière hygiénique des excréments des enfants de moins de cinq ans. Cible 2 : D ici 2030 tous disposent à domicile d un accès à un approvisionnement basique en eau potable et à une installation pour se laver les mains, tous les établissements scolaires et tous les centres de santé disposent pour tous les usagers d un approvisionnement basique en eau potable, d installations d assainissement adéquates pour le lavage des mains et la gestion de l hygiène menstruelle, et les inégalités dans l accès à chacun de ces services ont été progressivement éliminées. Indicateurs 2.1 Pourcentage de la population qui utilise un source basique d eau potable Pourcentage de la population qui utilise une source améliorée, le temps requis pour aller chercher l eau se montant à 30 minutes au maximum pour l aller et retour, y compris l attente. 2.2 Pourcentage de la population disposant à domicile d installations de base pour se laver les mains pourcentage des ménages disposant d eau et de savon dans une installation de lavage des mains communément utilisée par les membres de la famille. pourcentage des ménages disposant d eau et de savon dans une installation de lavage des mains située dans le local d assainissement ou à proximité immédiate. pourcentage des ménages disposant d eau et de savon dans une installation de lavage des mains dans la zone de préparations de la nourriture ou à proximité immédiate. 1 Tous les indicateurs doivent être ventilés entre milieu rural et urbain, en fonction des quintiles de richesse, entre bidonvilles et habitat urbain proprement dit, et entre groupes défavorisés et population générale. Les groupes défavorisés doivent être identifiés à l aide de processus participatifs nationaux en prenant en compte des motifs de discrimination illégaux. Les indicateurs de base sont exprimés en termes de personnes alors que les sousindicateurs sont exprimés en termes de ménages, établissements scolaires ou centres de santé (puisque c est là la base de collecte des données). On a assumé qu il sera procédé aux calculs nécessaires pour convertir d un type d unité à l autre. 2.3 Pourcentage des élèves inscrits dans des établissements scolaires primaires ou secondaires disposant d un approvisionnement basique en eau potable, d un assainissement et de services d hygiène adéquats Pourcentage des établissements scolaires primaires et secondaires disposant d une source améliorée (dans les zones rurales, définitions du programme JMP d avant ; dans les zones urbaines, conduite d eau dans l établissement scolaire, le préau ou le terrain, ou colonne d alimentation /robinet public ou puits / forage) sur place et points d eau accessibles à tous durant les heures de classe. Pourcentage d établissements scolaires primaires et secondaires avec des installations d assainissement non mixtes, soit sur place soit à proximité, avec au moins une toilette pour 25 filles, au moins une toilette pour le personnel féminin de l établissement scolaire, au moins une toilette et un urinoir pour 50 garçons et au moins une toilette pour le personnel masculin. Pourcentage d établissements scolaires primaires et secondaires avec une installation pour se laver les mains à l eau et au savon dans les locaux d assainissement ou à proximité. Pourcentage d établissements scolaires primaires et secondaires avec une installation pour se laver les mains à l eau et au savon à proximité des zones de préparation de la nourriture. Pourcentage d établissements scolaires primaires et secondaires avec un endroit privé réservé au lavage des mains, des parties intimes et des vêtements, au séchage des matières réutilisables et à l élimination sûre de matériel utilisé de protection menstruelle. 2.4 Pourcentage de bénéficiaires fréquentant des hôpitaux, des centres de santé et des cliniques qui disposent d une installation basique en eau potable de base, d un assainissement et d une hygiène adéquats Pourcentage d hôpitaux, de centres de santé et de cliniques avec une source améliorée (dans les zones rurales, définitions de JMP d avant 2015 ; dans les zones urbaines, conduite d eau dans le centre de santé, la cour ou le terrain, ou colonne d alimentation / robinet public ou puits/forage) sur place et points d eau accessibles à tous en permanence. Pourcentage d hôpitaux, de centres de santé et decliniques avec des installations d assainissement améliorées non mixtes, soit sur place soit à proximité (au moins une toilette pour 20 personnes dans les centres de traitement avec hospitalisation, au moins quatre toilettes soit un pour le personnel, un pour les patientes, un pour les patients et un pour les enfants malades dans les centres de traitement ambulatoire. Pourcentage d hôpitaux, de centres de santé et de cliniques avec une installation pour se laver les mains à l eau et au savon dans les installations d assainissement, les zones de préparation de la nourriture et les zones de traitement des patients, ou à proximité. Pourcentage d hôpitaux, de centres de santé et de cliniques avec un endroit privé réservé au lavage des mains, des parties intimes et des vêtements, au séchage des matières réutilisables et à l élimination sûre des matériels de protection menstruelle. 2 Voir Note explicative. Personne ne pratique la défécation à l air libre tout les domiciles possèdent des équipements adéquats d approvisionnement en eau, d assainissement et d hygiène Tous les établissements scolaires et centres de santé possèdent des équipements adéquats d approvisionnement en eau, d assainissement et d hygiène l accès à L eau, l assainissement et l hygiène est durable et les inégalités ont été progressivement éliminées Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts 3

4 Photo: Banque Mondial / WSP J. Rojas. Honduras. Cible 3 : D ici 2040, tous disposent à domicile d un accès à un assainissement adéquat, la proportion de la population qui n a pas accès à un service de niveau intermédiaire d approvisionnement en eau potable a été réduite de moitié, les excréments provenant d au moins la moitié des établissements scolaires, des centres de santé et des ménages pourvus d un assainissement adéquat sont gérés d une manière sûre, et les inégalités d accès à chacun de ces services ont été progressivement réduites. Indicateurs 3.1 Pourcentage de la population utilisant un service d eau potable de niveau intermédiaire Pourcentage de la population utilisant une source d eau potable améliorée sur place avec des interruptions de moins de deux jours au cours des deux dernières semaines, avec moins de 10 UFC E. coli/100ml à la source toute l année, et accessible à tous les membres du ménage quand ils en ont besoin. 3.2 Pourcentage de la population utilisant une installation d assainissement adéquate Pourcentage de la population utilisant une installation d assainissement adéquate. Pourcentage des ménages où les installations d assainissement sont utilisées par tous les membres du ménage (y compris hommes et femmes, garçons et filles, personnes âgées et personnes handicapées) quand ils en ont besoin. 3.3 Pourcentage de la population vivant dans des ménages dont les excréments font l objet d une bonne gestion Pourcentage des ménages avec un assainissement adéquat dont les excréments font l objet d une bonne gestion. Proportion des excréments humains qui atteint les sites d élimination désignés. 3 On peut aborder la question du coût abordable et de l accessibilité pour les ménages individuels par le biais de questions dans des enquêtes transversales comprenant : le pourcentage de la population indiquant ne pas avoir pu accéder à l eau quand elle en avait besoin à un moment donné au cours de la quinzaine précédente [catégories de réponses pour l accès : peu fiable, inabordable, insuffisant, inacceptable, non autorisé, etc.]. Cible 4 : Tous les services d approvisionnement en eau potable, d assainissement et d hygiène sont fournis d une manière progressivement abordable, responsable, et financièrement et environnementalement durable. Indicateurs 4.1 Pourcentage de la population qui utilise des fournisseurs de services d eau et d assainissement qui sont enregistrés auprès d une autorité de réglementation (données séparées pour la population rurale et urbaine). 4.2 Pourcentage de la population du quintile le plus pauvre dont les dépenses en eau, assainissement et hygiène sont en dessous de 3 % du seuil de pauvreté (données séparées pour la population rurale et urbaine) Ratio du revenu annuel par rapport aux dépenses annuelles pour l entretien (y compris dépenses d exploitation, entretien des équipements, service de la dette) par rapport à la valeur annualisée des immobilisations ET 4.4. Ratio entre les dépenses annuelles en entretien (y compris les dépenses d exploitation, l entretien des équipements et le service de la dette) et la valeur annualisée des équipements. 4.5 Pourcentage des tests de qualité de l eau brute qui sont dans les limites des normes nationales de contamination fécale 4.6 SOIT ratio de production d eau (litre / personne / jour) par rapport à la consommation totale d eau (litre / personne / jour), SOIT ressources en eau renouvelable par habitant. Note explicative : Hypothèses et principes de base Contenu Les cibles doivent être formulées dans le contexte d une vision simple et inspiratrice, articulée autour d une utilisation de l eau, de l assainissement et de l hygiène par tous. Les cibles doivent être centrées en premier lieu sur des résultats. Les cibles doivent être le reflet du droit humain à l eau et à l assainissement, et de la notion d une réalisation progressive de ce droit. Les cibles doivent être le reflet de deux aspirations, qui seront toutes deux réalisées d une manière progressive : l augmentation du nombre des personnes qui ont accès à l eau, à l assainissement et à l hygiène, et l amélioration du niveau des services qu elles reçoivent. Les cibles sont mondiales et doivent donc être applicables à tous les pays. Les cibles doivent aller au-delà des logements pour inclure les établissements scolaires et les centres de santé. La priorité sera donnée aux pauvres, aux personnes défavorisées et aux exclus. La priorité sera donnée à l élimination des inégalités et des injustices. La portée des cibles ne limite pas la portée du suivi et du reporting réguliers que les groupes de travail estiment nécessaires dans le domaine de l eau, de l assainissement et de l hygiène ; une liste de paramètres plus longue que celle contenue dans les cibles fera l objet de recommandations. 4 Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts

5 Format Il faut trois ou quatre cibles, avec une série d indicateurs brefs correspondants. Les cibles doivent être sans ambiguïté, faciles à communiquer et exprimées en termes simples pour que tout le monde les comprenne et les saisisse sans peine. Il faudra éviter le jargon technique et l excès d adjectifs dans la formulation des cibles. Il faut des définitions claires et faciles à comprendre, qui expriment bien le contenu et les aspirations des cibles les cibles elles-mêmes pourront alors rester concises. Les cibles, indicateurs et définitions doivent constituer un ensemble cohérent et harmonieux 4. Chaque sous-secteur (eau, assainissement et hygiène) est important en tant que tel et ne doit pas être subordonné aux autres. Les cibles doivent être concrétisées par un ensemble d échéances où auront été réalisés différents degrés de réduction des inégalités et d amélioration des niveaux de service et des pratiques correspondantes. Comme l année cible pour le cadre de développement mondial futur n a pas encore été fixée, nous avons assumé une période de 25 ans, de 2015 à Manière possible de mesurer la réduction/l élimination des inégalités et d en assurer le reporting Les données seront ventilées entre les quatre catégories de population (riches et pauvres, population urbaine et rurale, bidonvilles et habitat urbain proprement dit, groupes défavorisés et population générale). Sur la base de ces données ventilées, on peut mesurer la réduction des inégalités grâce à la méthode suivante : 1. Déterminer le taux de progression requis pour que les groupes les plus défavorisés et les plus favorisés atteignent chacune des cibles (ce qui dépendra de la cible et de l année fixée) : voir Figure 1 ci-dessous. 2. Comparer le pourcentage de la population la plus défavorisée qui utilise le service correspondant à chacune des cibles avec le pourcentage de la population la plus favorisée afin d établir la disparité d utilisation 3. Si les progrès réalisés par le groupe des plus défavorisés et par celui des plus favorisés correspond ou dépasse le taux de progression prévu, et si la disparité entre les deux groupes se réduit en conséquence, on considérera que le pays a atteint son objectif. En mesurant le taux de progression des plus défavorisés et des plus favorisés et en les comparant, on peut évaluer différents éléments : 1) progrès requis pour atteindre la cible, 2) réduction des inégalités et 3) taux de progression requis pour atteindre la cible. Cela permettra en outre de mettre en lumière d éventuelles régressions. Selon la définition ci-dessus, ces trois conditions doivent être remplies pour atteindre une «réduction progressive des inégalités». Figura 1: Détermination du taux de progression requis pour réduire les inégalités Couverture (%) Favorisés Ces trois niveaux d évaluation sont indispensables : Progrès dans la réalisation de la cible Taux de progression par rapport à la cible pour chaque groupe de population Réduction des inégalités 4. Un «système de signalisation» suivant la logique du feu rouge sera en outre appliqué pour l évaluation globale de la réduction progressive des inégalités pour chaque cible, combinant les quatre groupes de population (quintile le plus pauvre par rapport au quintile le plus riche, population urbaine par rapport à population rurale, bidonvilles par rapport à habitat urbain proprement dit, groupes défavorisés par rapport à population générale). Le feu vert veut dire «cible atteinte», le feu orange indique des progrès, qui restent toutefois insuffisants, et le feu rouge signifie «cible non atteinte». Si trois ou quatre des quatre groupes ventilés atteignent la cible, cela correspond à un feu vert, pour deux groupes, on a un feu orange et pour un groupe ou moins, un feu rouge. Défavorisés Année Par opposition à une longue liste de cibles et d indicateurs séparés et divers parmi lesquels choisir, puisqu une telle approche ne permettrait pas d assurer la cohérence de l ensemble. Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts 5

6 Définitions et termes généraux utilisés dans ce document Assainissement : Par assainissement, on entend la mise à disposition d installations et de services permettant d éliminer sans risque l urine et les matières fécales (définition de l OMS). Centres de santé : Ce terme comprend tous les lieux que l OMS définit comme centres de santé : les hôpitaux, les centres de santé, les dispensaires, les postes de santé, les cabinets dentaires et les cabinets de médecins généralistes, et les soins à domicile (Normes essentielles en matière de santé environnementale dans les structures de soins, document de l OMS de 2008). Défécation a l air libre : Défécation où les excréments d adultes ou d enfants sont déposés (directement ou après avoir été recouverts d une couche de terre) dans la brousse, dans un champ, sur une plage ou dans un autre endroit en plein air, se retrouvent dans une conduite d évacuation, une rivière, la mer ou un autre milieu aquatique, ou sont enveloppés temporairement et jetés. Définition d une installation d assainissement améliorée du programme JMP d avant 2015 : Une installation d assainissement améliorée empêche d une manière hygiénique le contact humain avec les excréments humains, et comporte notamment les types d installations suivants : toilettes à chasse ou à chasse manuelle menant à un réseau d égouts, fosse septique, latrine améliorée à fosse ventilée, latrine à fosse avec dalle, latrines à compostage. Définition d une source d eau potable améliorée du programme JMP d avant 2015 : Une source d eau potable améliorée est définie comme une source ou un point de distribution qui par la nature de sa construction ou par une intervention active est protégé de la contamination extérieure, en particulier de la contamination par les matières fécales, notamment l approvisionnement en eau potable par un conduite sur place ; robinets/colonnes d alimentation publics ; puits/forage ; puits creusé protégé ; source protégée ; eau de pluie. Eau potable de base à domicile : On considère que les ménages disposent d un service d eau potable de base s il utilisent de l eau provenant d une source «améliorée» (dans les zones rurales, définitions du programme JMP d avant 2015 ; dans les zones urbaines, conduite d eau dans l établissement scolaire, le préau ou le terrain, ou colonne d alimentation/robinet public ou puits/forage), le temps requis pour aller chercher l eau se montant à 30 minutes au maximum pour l aller et retour, y compris l attente. Eau potable : L expression «eau potable» désigne toute eau qui est utilisée ou qui est destinée à être utilisée par les humains pour la consommation, pour la cuisson et la préparation de la nourriture, pour l hygiène corporelle ou à des fins similaires (Protocole européen sur l eau et la santé). Eau potable de niveau intermédiaire à domicile : On considère que les ménages disposent d un service intermédiaire d eau potable lorsqu ils utilisent de l eau provenant d une source «améliorée» (dans les zones rurales, définitions du programme JMP d avant 2015 ; dans les zones urbaines, conduite d eau dans l établissement scolaire, le préau ou le terrain, ou colonne d alimentation / robinet public ou puits / forage) située chez eux, qui fournit une quantité acceptable d eau avec des niveaux de discontinuité modérés (non-fonctionnement pendant la dernière quinzaine), que la qualité de l eau à la source correspond à un seuil de moins de 10 UFC E. coli / 100ml toute l année ; et que le point d eau est accessible à tous les membres du ménage quand ils en ont besoin. Établissements scolaires : établissements scolaires du primaire et du secondaire implantés en milieu rural ou urbain, qu il s agisse d établissements privés ou publics, d internats ou d externats (Normes relatives à l eau, l assainissement et l hygiène en milieu scolaire dans les environnements pauvres en ressources, document de l OMS de 2009), ainsi que les garderies, les crèches et les jardins d enfants. Excréments : Excréments et urine humains. Gestion sûre des excréments domestiques : Définie en tant que confinement, extraction et transport des excréments vers un site désigné d élimination ou de traitement, ou comme le recyclage sûr des excréments au niveau domestique ou communautaire, en fonction des besoins du contexte local. La proportion de ménages avec des excréments gérés d une manière sûre est définie comme la fraction des ménages dont les excréments subissent l un des traitements suivants : Ils sont emmenés par un système d égouts vers un endroit désigné (par ex. une usine de traitement). Ils sont collectés d une manière hygiénique dans les fosses septiques ou fosses de latrines par un camion de vidange (ou dispositif similaire qui limite le contact humain) et transportés vers un endroit désigné (par ex. usine de traitement ou site de collecte des déchets solides). Ils sont entreposés sur place (par ex. dans une fosse de latrine hermétique) jusqu à ce qu ils puissent être manipulés ou recyclés en toute sécurité (par ex. en tant qu intrants agricoles). Groupes défavorisés : Ces groupes seront identifiés grâce à un processus participatif national qui prend en compte les motifs illégaux de discrimination collective, notamment l ethnicité, la race, la couleur, la religion, la caste, l origine nationale ou sociale. Ce processus doit être inclusif et faire appel à la participation active, libre et effective de tous les groupes de population concernés, en particulier les plus défavorisés. Doivent y prendre part les institutions nationales de droits civils, les organisations de la société civile et les organismes à base communautaire, les organisations de défense des droits humains et les milieux universitaires. Installation de base pour se laver les mains à domicile : Présence d installations de lavage des mains, avec de l eau et du savon, près des installations d assainissement et là où l on prépare ou l on consomme de la nourriture. Installation pour se laver les mains : Une installation pour se laver les mains est un dispositif servant à contenir, à transporter ou à réguler le flux de l eau pour faciliter le lavage des mains. Ce dispositif peut être fixe ou mobile. Installations adéquates d assainissement à domicile : Les installations adéquates d assainissement à domicile sont celles qui empêchent le contact humain avec les excréments et permettent d empêcher que les excréments se retrouvent dans l environnement immédiat. 6 Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts

7 Chacun des types suivants d installation d assainissement est considéré comme adéquat pour contrôler les progrès dans la réalisation des cibles d assainissement domestique, à condition que les installations soient partagées par un maximum de 30 personnes ou cinq familles (si ces familles comptent un total de moins de 30 personnes), et à condition que ces personnes se connaissent bien : Une latrine à fosse avec une superstructure et une plateforme ou dalle en matériau durable où s accroupir (plusieurs types de latrines entrent dans cette catégorie, y compris les latrines à compostage, les latrines à chasse manuelle et les latrines améliorées à fosse ventilée). Un WC relié à une fosse septique. Un WC relié à un égout (conventionnel ou à petit diamètre sous pression). Installations adéquates d assainissement dans les établissements scolaires et les centres de santé : Les installations adéquates d assainissement dans les établissements scolaires et les centres de santé sont celles qui empêchent le contact humain avec les excréments et permettent de faire en sorte que les excréments ne se retrouvent pas dans l environnement immédiat. Une installation adéquate d assainissement pour un établissement scolaire ou un centre de santé doit correspondre aux conditions suivantes : Elle doit se situer à proximité immédiate de l établissement scolaire ou du centre de santé. Elle doit est accessible par tous, y compris adultes et enfants, personnes âgées et personnes handicapées. Elle doit contenir des toilettes séparées pour hommes et femmes (garçons et filles dans les établissements scolaires) et pour adultes et enfants. Elle doit être équipée de stations de lavage des mains avec de l eau et du savon, situées soit dans l installation d assainissement soit à proximité immédiate. Elle doit comporter des équipements adéquats de gestion de l hygiène périodique à l intérieur des installations d assainissement utilisées par les femmes ou les jeunes filles en âge d avoir leurs règles. Elle doit, dans les établissements scolaires, comporter au moins une toilette pour 25 filles et au moins une toilette pour le personnel féminin de l établissement scolaire, et au moins une toilette plus un urinoir (ou 50 centimètres de mur urinoir) pour 50 garçons et au moins une toilette pour le personnel masculin de l établissement scolaire. Elle doit, dans les centres de santé où les patients sont hospitalisés, comporter au moins une toilette pour 20 personnes. Elle doit, dans les centres de santé ambulatoires, comporter au moins quatre toilettes, soit une pour le personnel, une pour les patientes, une pour les patients et une pour les enfants malades. Installations adéquates de gestion de l hygiène menstruelle dans les établissements scolaires et les centres de santé : Installations qui assurent la discrétion pour changer de de protection hygiénique et se laver les mains et les parties intimes et laver les vêtements à l eau et au savon ; comprend l accès à de l eau et du savon dans un endroit qui permet assez de discrétion pour laver les vêtements souillés et faire sécher les garnitures réutilisables ; comprend les équipements pour se débarrasser des protections hygiéniques usées (de la collecte à la destruction). Photo : UNICEF. Femmes dans la collecte d eau avec une pompe d eau ( ses images sont reflétées dans un étang) dans la ville de Jamman, dans le district de Maban, état de Upper Nile. Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts 7

8 Photo : Katherine Anderson / WSSCC. Installations adéquates pour se laver les mains dans les établissements scolaires et les centres de santé : Installations pour se laver les mains, avec de l eau et du savon, disponibles à l intérieur des installations d assainissement, ou juste à l extérieur, dans les endroits où l on prépare ou consomme de la nourriture et dans les zones de traitement des patients. Installations de gestion de l hygiène menstruelle : Installations qui proposent de l eau et de la place pour se nettoyer et se laver pendant les règles, et qui permettant une gestion hygiénique des matières servant à absorber le sang des règles et le traitement des protections hygiéniques usées. Réduction et élimination progressives des inégalités : La réduction et l élimination systématiques des inégalités entre différents groupes de population lors de leur progression vers la cible en question. Lorsque la cible vise un accès par tous, la formulation doit être l «élimination» progressive des inégalités, tandis que la «réduction» progressive des inégalités vaut pour d autres cibles. Pour compter au nombre des réductions «progressives», il faut satisfaire, cumulativement, aux conditions suivantes : (1) il doit y avoir une réduction de la différence entre les taux de couverture des groupes concernés ; (2) le taux de progression de chaque groupe doit correspondre au taux de progression requis pour que ce groupe atteigne la cible à la date prévue, ou le dépasser ; et (3) la réduction de l inégalité ne doit pas résulter d un taux moindre de couverture pour l un des groupes. Les progrès doivent être signalés en termes de quintile le plus pauvre par rapport au plus riche, population urbaine par rapport à population rurale, bidonvilles par rapport à habitat urbain proprement dit, groupes défavorisés par rapport à population générale. Voir la Note explicative pour plus de précisions. Service basique d eau potable dans les centres de santé : Présence sur place d eau provenant d une source «améliorée» (dans les zones rurales, définitions du programme JMP d avant 2015 ; dans les zones urbaines, conduite d eau dans l établissement scolaire, le préau ou terrain, ou colonne d alimentation / robinet public ou puits / forage) capable de fournir la quantité minimum d eau requise pour différentes circonstances dans un contexte de soins médicaux selon la définition de l OMS 5. Les points d eau potable sont accessibles en permanence pour tous, y compris les personnes handicapées. Service d eau potable de base dans les établissements scolaires : Présence sur place d eau provenant d une source «améliorée» (dans les zones rurales, définitions du programme JMP d avant 2015 ; dans les zones urbaines, conduite d eau dans l établissement scolaire, le préau ou terrain, ou colonne d alimentation / robinet public ou puits / forage) capable de fournir en permanence assez d eau à boire, pour l hygiène personnelle et, le cas échéant, pour la préparation de la nourriture, les nettoyages et la lessive. Cinq litres d eau par personne et par jour sont disponibles pour les écoliers en externat et le personnel des externats ; et 20 litres d eau par personne et par jour sont disponibles pour tous les écoliers en internatet le personnel des internats. Des quantités supplémentaires d eau peuvent être requises pour les installations d assainissement (par ex. toilettes à chasse ou à chasse manuelle). Les points d eau potable sont accessibles pour tous, y compris les personnes handicapées, pendant toute la journée scolaire. Services d eau durables : Un service d eau potable, d assainissement ou d hygiène est considéré comme durable s il continue à fournir sur le long terme le même niveau de service (du point de vue de son prix abordable, de sa disponibilité, de sa qualité et de son accessibilité). 5 L OMS, dans ses Normes essentielles en matière de santé environnementale dans les structures de soins, recommande les quantités minimales suivantes d eau (en litres) par personne dans différentes structures de soins : patients ambulatoires : 5 l / consultation ; patients hospitalisés : l / patient /jour ; salle d opération ou service de maternité : 100 l / intervention ; centre de supplémentation alimentaire en produits secs : 0,5-5 l / consultation (selon l attente) ; centre de supplémentation alimentaire en produits frais : 15 l / consultation ; centre d alimentation thérapeutique pour des patients hospitalisés : 30 l / patient/jour ; centre de traitement du choléra : 60 l / patient / jour ; centre d isolement pour les patients atteints d infections respiratoires aiguës : 100 l / patient / jour ; centre d isolement pour les patients atteints de fièvre hémorragique virale : l / patient / jour. Cibles et Indicateurs WASH pour l après-2015 : résultats d une consultation d experts JMP 8

Eau, Assainissement et Hygiène (WASH) dans les écoles

Eau, Assainissement et Hygiène (WASH) dans les écoles Eau, Assainissement et Hygiène (WASH) dans les écoles ÉCOLES AMIES DES ENFANTS Un complément au Manuel des écoles amies des enfants Table des matières Remerciements... 1 Préface... 2 1. Objectif, portée

Plus en détail

Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique

Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes

Plus en détail

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité

Plus en détail

Aide au rétablissement et à la reconstruction

Aide au rétablissement et à la reconstruction PROGRAMME D AIDE AUX SINISTRÉS À LA SUITE DES INONDATIONS D AVRIL 2011 AU QUÉBEC Aide au rétablissement et à la reconstruction Ce programme d aide s adresse aux propriétaires occupants dont la résidence

Plus en détail

West Africa Water Supply, Sanitation and Hygiene (USAID WA-WASH) Program

West Africa Water Supply, Sanitation and Hygiene (USAID WA-WASH) Program Présentation sur les Services Durables a l Echelle (Triple-S): une initiative d apprentissage pour l approvisionnement des services d eau potables permanent www.waterservicesthatlast.org July 2012, IRC

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3

Plus en détail

Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance

Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

PROJET CANTINE ET PROMOTION DE L HYGIENE EN MILIEU SCOLAIRE A TANGASSOGO ET GAH RAPPORT DE MISE EN OEUVRE

PROJET CANTINE ET PROMOTION DE L HYGIENE EN MILIEU SCOLAIRE A TANGASSOGO ET GAH RAPPORT DE MISE EN OEUVRE PROJET CANTINE ET PROMOTION DE L HYGIENE EN MILIEU SCOLAIRE A TANGASSOGO ET GAH RAPPORT DE MISE EN OEUVRE Mai 2013 INTRODUCTION Le projet cantine et promotion de l hygiène en milieu scolaire est la suite

Plus en détail

La République centrafricaine perd 13,2 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement

La République centrafricaine perd 13,2 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement LA RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE IMPACTS ÉCONOMIQUES D UN MAUVAIS ASSAINISSEMENT EN AFRIQUE La République centrafricaine perd 13,2 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement mars 2012 La

Plus en détail

MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN. Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010

MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN. Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010 MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010 James Léon-Dufour, Physical Site Planner ERT/UNCHR Abraham Asondou, Field Program

Plus en détail

La République du Congo perd 72,5 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement

La République du Congo perd 72,5 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement RÉPUBLIQUE DU CONGO IMPACTS ÉCONOMIQUES D UN MAUVAIS ASSAINISSEMENT EN AFRIQUE La République du Congo perd 72,5 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement mars 2012 La République du

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Canada. Bulletin d information. Réfugiés pris en charge par le gouvernement. Réinstallation des réfugiés au

Canada. Bulletin d information. Réfugiés pris en charge par le gouvernement. Réinstallation des réfugiés au Réfugiés pris en charge par le gouvernement Canada Réinstallation des réfugiés au Bulletin d information Vous souhaitez vous réinstaller au Canada et votre demande a fait l objet d un examen initial par

Plus en détail

Définitions. Définitions sur le logement

Définitions. Définitions sur le logement Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons

Plus en détail

La Réserve de Remplacement

La Réserve de Remplacement La Réserve de Remplacement Guide d utilisation mai 2006 Services familiaux et communautaires Habitation et soutien du revenu Province du Nouveau Brunswick La réserve de remplacement GUIDE D UTILISATION

Plus en détail

OBJECTIFS DU MILLÉNAIRE POUR LE DÉVELOPPEMENT

OBJECTIFS DU MILLÉNAIRE POUR LE DÉVELOPPEMENT ÉVALUER LE COÛT D ATTEINTE DE LA CIBLE 10 SUR L EAU ET L ASSAINISSEMENT Les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et la Cible 10 sur l eau et l assainissement A l occasion du Sommet du Millénaire

Plus en détail

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs

Plus en détail

Le marketing de l assainissement en pratique! Paris 16/06/2015

Le marketing de l assainissement en pratique! Paris 16/06/2015 Le marketing de l assainissement en pratique! Paris 16/06/2015 Le marketing de l assainissement 2 1. Le Gret et les projets d eau et d assainissement 2. Le marketing, c est quoi? 3. Le marketing de l assainissement

Plus en détail

LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur

LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS Présentation des enjeux du secteur Avec des taux d accès proches de 100 %, les enjeux de l eau et l assainissement en Jordanie ne sont pas l accès

Plus en détail

Présentation du programme ANO et de la démarche de capitalisation

Présentation du programme ANO et de la démarche de capitalisation Présentation du programme ANO et de la démarche de capitalisation Le programme ANO (Assainissement Nord Ouest) a été mis en œuvre par un consortium de trois associations : o Action contre la Faim (ACF),

Plus en détail

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

Environnement. préservé CONTACT 03 88 40 05 96 LE SERVICE DE L ASSAINISSEMENT ET VOUS

Environnement. préservé CONTACT 03 88 40 05 96 LE SERVICE DE L ASSAINISSEMENT ET VOUS Environnement préservé CONTACT 03 88 40 05 96 LE SERVICE DE L ASSAINISSEMENT ET VOUS 1 Le service de l assainissement de la CUS : Chaque jour, les agents du service public assurent la maîtrise d ouvrage

Plus en détail

démarche qualité Hygiène

démarche qualité Hygiène démarche qualité Hygiène SALLES DE CLASSE, BUREAUX Chaise, table, bureau, sols, armoire, tableau, portes, interrupteurs, poubelle 1 z LAVETTE z SEAU z BALAI z SYSTEME DE LAVAGE DE SOL 1 z Eliminer tous

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

«Sanitation is Dignity Les toilettes, une question de dignité»

«Sanitation is Dignity Les toilettes, une question de dignité» Sanitation is Dignity Les toilettes, une question de dignité «Sanitation is Dignity Les toilettes, une question de dignité» est une exposition itinérante qui met en pleine lumière un enjeu indispensable

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Créateur d opportunités

Créateur d opportunités Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

Page 02 Page 05 Page 08 Page 11 Page 13 Page 15 Page 17 Page 20 Page 28 Page 32 Page 34 Page 36 Page 37

Page 02 Page 05 Page 08 Page 11 Page 13 Page 15 Page 17 Page 20 Page 28 Page 32 Page 34 Page 36 Page 37 Livret pour l Assainissement en Milieu Rural ²²² Communes de Ngogom et de Gainte Kaye Plan du livret Page 02 Présentation du projet Page 05 La mise en œuvre du service public d assainissement Page 08 L

Plus en détail

Économisons. l eau. Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne. www.eau-adour-garonne.fr

Économisons. l eau. Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne. www.eau-adour-garonne.fr Économisons l eau Une exposition de l agence de l eau Adour-Garonne Des économies faciles à réaliser Á confort égal, économiser 30% d eau avec des petits équipements adaptables, rentabilisés en moins d

Plus en détail

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

PROJET DE DEVELOPPEMENT DES MODELS D EPARGNE D EAU POUR LA GESTION VIABLE D EAU ET D EAUX USEES

PROJET DE DEVELOPPEMENT DES MODELS D EPARGNE D EAU POUR LA GESTION VIABLE D EAU ET D EAUX USEES PROJET DE DEVELOPPEMENT DES MODELS D EPARGNE D EAU POUR LA GESTION VIABLE D EAU ET D EAUX USEES Le présent document est établi afin d être présenté lors de 4ème conférence des Pays moins développés des

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE COMMERCE ELECTRONIQUE ET IMPOTS @ OCDE CLARIFICATION POUR L APPLICATION DE LA DÉFINITION D ÉTABLISSEMENT STABLE DANS LE CADRE DU COMMERCE ÉLECTRONIQUE : MODIFICATIONS DES COMMENTAIRES SUR L ARTICLE 5 22

Plus en détail

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions

Plus en détail

Guide du budget 2014 à l intention des offices d habitation (OH)

Guide du budget 2014 à l intention des offices d habitation (OH) 1. INTRODUCTION Guide du budget 2014 à l intention des offices d habitation (OH) Le budget qui vous est envoyé a déjà été approuvé par la Société d habitation du Québec (SHQ). Si votre budget de Remplacement,

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

ATTENDU QU un montant de 43 543 $ est à pourvoir pour l année 2015, par l ensemble des contribuables de la Municipalité pour la solidarité sociale;

ATTENDU QU un montant de 43 543 $ est à pourvoir pour l année 2015, par l ensemble des contribuables de la Municipalité pour la solidarité sociale; PROVINCE DE QUÉBEC MRC DE MEMPHRÉMAGOG MUNICIPALITÉ D EASTMAN RÈGLEMENT 2015-01 FIXANT, POUR L ANNÉE 2015, LES TAUX DE TAXES, DE TARIFICATION POUR LES SERVICES, LES MODALITÉS DE PAIEMENT DES TAXES ET DES

Plus en détail

Construire un plan de nettoyage et de désinfection

Construire un plan de nettoyage et de désinfection Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux

Plus en détail

AMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE

AMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE AMBASSADE DE FRANCE EN BELGIQUE REPRÉSENTATION PERMANENTE DE LA FRANCE AUPRÈS DE L UNION EUROPÉENNE APPEL D OFFRE POUR UN MARCHE DE NETTOYAGE Pouvoir adjudicateur Monsieur Bernard VALERO, ambassadeur de

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015 Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée

Plus en détail

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous

Plus en détail

ASSAINISSEMENT TOTAL PILOTÉ PAR LA COMMUNAUTÉ (ATPC)

ASSAINISSEMENT TOTAL PILOTÉ PAR LA COMMUNAUTÉ (ATPC) Boîte à Outils : ASSAINISSEMENT TOTAL PILOTÉ PAR LA COMMUNAUTÉ (ATPC) Photo: Erin Stearns Bénin Mars 2014 Table des Matières 1. Introduction... 1 2. Assainissement Total Piloté par La Communauté... 3 3.

Plus en détail

Réforme sectorielle de l eau en milieu rural au Ghana : un changement majeur de politique et de structure

Réforme sectorielle de l eau en milieu rural au Ghana : un changement majeur de politique et de structure Fiche 2 Programme pour l eau et l assainissement Un partenarait international pour aider les populations défavorisées a avoir un accès durable à des services d eau et d assainissement améliorés Réforme

Plus en détail

Installations de plomberie

Installations de plomberie Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant

Plus en détail

RÉGION OUEST. Assainissement - Hygiène Gestion des déchets Services à l industrie

RÉGION OUEST. Assainissement - Hygiène Gestion des déchets Services à l industrie RÉGION OUEST Assainissement - Hygiène Gestion des déchets Services à l industrie Des solutions industrielles et environnementales performantes, des experts métier au cœur de vos projets. Ortec Environnement,

Plus en détail

ont besoin d eau potable

ont besoin d eau potable 8 MARS 2007 Toutes les femmes ont besoin d eau potable Contribution des opérateurs privés Sur notre planète, près de la moitié des femmes ne disposent pas d eau potable à domicile. A cela s ajoutent des

Plus en détail

ECOLES DE LA TERRE Le Book 2014

ECOLES DE LA TERRE Le Book 2014 ECOLES DE LA TERRE Le Book 2014 DEUX ASSOCIATIONS POUR LUTTER CONTRE LA MISERE ECOLES DE LA TERRE ASSOCIATION [SUISSE] o Nom : ASSOCIATION ECOLES DE LA TERRE o Adresse : Rue de la Fontenette 11 1227 CAROUGE

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

ACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire.

ACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire. Chargé de Logistique RDC Closing date: 04 Sep 2015 I. ACTED ACTED ACTED est une association de solidarité internationale française qui a pour vocation de soutenir les populations vulnérables de par le

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

Astuces. L eau. moins. dépenser. pour

Astuces. L eau. moins. dépenser. pour Astuces pour! dépenser moins 2 >>> ÉDITO eau est une ressource précieuse, indispensable dans nos logements, que ce soit pour l alimentation, la préparation des L repas, l hygiène ou tout simplement notre

Plus en détail

Marketing Mix: Distribution

Marketing Mix: Distribution Marketing Mix: Distribution 1 Les objectifs d apprentissage de ce module visent à: comprendre les étapes pour développer une stratégie de marketing définir le Marketing mix déterminer les principes directeurs

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

Droits de l Homme à l Eau et à l Assainissement au Burkina Faso

Droits de l Homme à l Eau et à l Assainissement au Burkina Faso Droits de l Homme à l Eau et à l Assainissement au Burkina Faso Evaluation des droits humains et utilisation d approches basées sur les droits humains dans la théorie et la pratique Rapport Final 2015-03-16

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion

Plus en détail

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c.

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. (Règles 26 à 30) FORMULAIRE lll CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. Partie: ÉTAT DES REVENUS, DÉPENSES ET BILAN Je, soussigné(e), domicilié(e)

Plus en détail

EAU ET ASSAINISSEMENT POUR TOUS. Guide méthodologique. n 5. Gérer les toilettes et les douches publiques

EAU ET ASSAINISSEMENT POUR TOUS. Guide méthodologique. n 5. Gérer les toilettes et les douches publiques EAU ET ASSAINISSEMENT POUR TOUS Guide méthodologique n 5 Gérer les toilettes et les douches publiques 2 sommaire 3 Introduction 6. Deux conditions préalables à une bonne gestion : une conception adéquate

Plus en détail

FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN

FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN Publié en novembre 2014 Afin de bien former des interventions, évaluer les progrès, et selon le cas, raffiner leurs stratégies, les décideurs ont

Plus en détail

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31 Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :

Plus en détail

Présentation du Programme

Présentation du Programme Ministère de l Hydraulique et de l Assainissement République du Sénégal ATELIER DE LANCEMENT SECTORIEL EAU-ASSAINISSEMENT Jeudi 25 septembre 2014, King Fahd Palace Hôtel - Dakar Présentation du Programme

Plus en détail

RÈGLEMENT CO-2008-536 SUR L UTILISATION DE L EAU POTABLE CHAPITRE I DÉFINITIONS

RÈGLEMENT CO-2008-536 SUR L UTILISATION DE L EAU POTABLE CHAPITRE I DÉFINITIONS RÈGLEMENT CO-2008-536 SUR L UTILISATION DE L EAU POTABLE LE CONSEIL DÉCRÈTE CE QUI SUIT : CHAPITRE I DÉFINITIONS 1. Aux fins d application de ce règlement, les mots et expressions suivants signifient :

Plus en détail

Un Départ Sain : le WASH et la santé du nouveau-né

Un Départ Sain : le WASH et la santé du nouveau-né Un Départ Sain : le WASH et la santé du nouveau-né La priorité de plaidoyer mondial de 4 ans de WaterAid (2015-2019), Un Départ Sain, entend faire en sorte que le secteur de l eau et l assainissement travaille

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

Les besoins en eau potable dans le monde sont sous-estimés : des milliards de personnes sont concernées 1

Les besoins en eau potable dans le monde sont sous-estimés : des milliards de personnes sont concernées 1 9 novembre 2011 Les besoins en eau potable dans le monde sont sous-estimés : des milliards de personnes sont concernées 1 Gérard Payen Conseiller pour l Eau du Secrétaire général des Nations Unies, Président

Plus en détail

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C

NOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre

Plus en détail

Votre installation septique l essentiel à savoir!

Votre installation septique l essentiel à savoir! Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

De meilleurs soins :

De meilleurs soins : De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

N o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible

N o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population

Plus en détail

WASH Key Result Indicators (final version revised by DH & DB - 30/09/13)

WASH Key Result Indicators (final version revised by DH & DB - 30/09/13) WASH Key Result Indicators (final version revised by DH & DB - 30/09/13) Eau, Hygiene Assainissement (EHA) Description Indicators Trend & conditions Is a 'global aggregation' of Provide adequate water

Plus en détail

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif

Les piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en

Plus en détail

INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10

INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10 Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...

Plus en détail

Exigences de collecte de données financières sur l assurance automobile. Pièce jointe au Bulletin GISA 2012-06

Exigences de collecte de données financières sur l assurance automobile. Pièce jointe au Bulletin GISA 2012-06 Exigences de collecte de données financières sur l assurance automobile Pièce jointe au Bulletin GISA 2012-06 Le 26 octobre 2012 1. Introduction... 1 2. Sociétés déclarantes... 1 3. Données de référence...

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation

Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation 1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus

Plus en détail

pour filles indigènes et rurales au Guatemala Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés. Résultat social du projet

pour filles indigènes et rurales au Guatemala Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés. Résultat social du projet Système communautaire pour filles indigènes et rurales au Guatemala "Les femmes portent la moitié du ciel" "Une éducation pour la transformation sociale" Résumé exécutif 2013 TALE. Tous les droits réservés.

Plus en détail

PISCINES INFORMATIONS PRATIQUES

PISCINES INFORMATIONS PRATIQUES PISCINES INFORMATIONS PRATIQUES BIENVENUE Jules-Verne, le Petit-Port, Léo-Lagrange, la Petite-Amazonie, la Durantière, les Dervallières : les six piscines nantaises vous accueillent tout au long de l année.

Plus en détail

La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience

La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience Bernard de Gouvello CEREVE-ENPC/CSTB Séminaire Fac Eco Bruxelles 1 er Octobre 2009 1 Structuration de la présentation

Plus en détail

www.vac-location.com Location de Véhicules Autonomes de Cantonnement Solutions Base Vie Clés en Main pour Chantiers

www.vac-location.com Location de Véhicules Autonomes de Cantonnement Solutions Base Vie Clés en Main pour Chantiers www.vac-location.com Location de Véhicules Autonomes de Cantonnement Solutions Base Vie Clés en Main pour Chantiers CONTEXTE Application plus stricte des dispositions réglementaires relatives à l accueil

Plus en détail

REPUBLIQUE DU SENEGAL

REPUBLIQUE DU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un but Une Foi MINISTÈRE DE LA PRÉVENTION, DE L HYGIÈNE PUBLIQUE, DE L ASSAINISSEMENT ET DE L HYDRAULIQUE URBAINE DIRECTION DE L ASSAINISSEMENT ET DE L HYDRAULIQUE URBAINE

Plus en détail