Table des matières UMANGA MO TE NATURA GESTION DURABLE ET PARTICIPATIVE DES RESSOURCES NATURELLES DE L ILE DE PAQUES ACTIVITES
|
|
- Jean-Marc Girard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Table des matières TABLE DES MATIERES...1 CONTEXTE ET HISTORIQUE DU PROJET...2 LE PROJET...4 OBJECTIF...4 PILOTAGE ET GOUVERNANCE...4 PLAN D ACTION LES ACTIONS MENEES...6 L'EDUCATION A L ENVIRONNEMENT...6 PROTECTION ET MISE EN VALEUR DE SITES PATRIMONIAUX...10 RECUPERATION DES SOLS DEGRADES...12 PRESERVATION DE LA BIODIVERSITE...18 GESTION DURABLE DE L ELEVAGE...26 COORDINATION DU PROJET...28 UMANGA MO TE NATURA LANCEMENT DE LA PHASE TABLE DE TRAVAIL...28 EVENEMENT DE CLOTURE...29 DIFFUSION ET COMMUNICATION...30 CONCLUSION...33 GESTION DURABLE ET PARTICIPATIVE DES RESSOURCES NATURELLES DE L ILE DE PAQUES ACTIVITES
2 Contexte et Historique du projet Le projet pilote s est déroulé entre 2006 et 2009 et permît l analyse détaillée des problématiques environnementales, des acteurs impliqués et des relations entres institutions publiques et population locale. Des actions pilotes de conservation des sols ont été mises en place face aux différents facteurs d érosion (élevage, tourisme, agriculture), plusieurs espèces polynésiennes ont fait l objet de plantations-test pour la restauration de la couverture végétale et des opérations d éducation environnementales ont été menées. Depuis 2003, comme suite à la visite de l Ambassadeur de France au Chili à l Ile de Pâques et à la sollicitation de la communauté Rapa Nui et des institutions chiliennes pour un appui technique, ONF intervient à l Ile de Pâques afin de proposer des alternatives concrètes de lutte contre l érosion et de gestion durable des ressources naturelles. Après plusieurs expertises et études préliminaires, l ONF International (ONFI, filiale de l Office National des Forêts), le bureau Forestier Chilien (CONAF) et la Commission de Développement de l Ile de Pâques (CODEIPA) ont formulé le projet pilote de Gestion Durable des Ressources Naturelles de l Ile de Pâques, lequel fut cofinancé par le Fonds Pacifique de l Agence Française de Développement Sur la base de l expérience acquise et des résultats obtenus, la table de travail, regroupant les différentes institutions locales actrices du projet, a fait part de son souhait et de l importance de donner suite au projet pilote par un processus global, efficient et à long terme de gestion durable des ressources naturelles de l Ile. Les bases d Umanga mo te Natura ont ainsi été formulées et les institutions de la table de travail, en particulier ONFI et CONAF, ont dès lors commencé un travail de recherche de partenariat pour le financement de ce projet L Office National des Forêts, avec l'appui du Ministère français de l écologie, signe une convention de mécénat environnemental avec l'entreprise Airbus, qui contribue au financement du projet sur la période Signature de la convention de collaboration ONFI/CONAF, en présence de l Ambassade Française au Chili Février Est signée la convention de collaboration entre ONFI et CONAF et la phase opérationnelle du projet est lancée Deux financements du Critical Ecosystem Partnership Fund viennent renforcer le projet pour la mise en place d un programme pilote de restauration écologique et la réalisation d un ouvrage sur la flore de Rapa Nui. 2 3
3 Le projet Plan d action Elaboré par la table de travail, le plan d action s est basé sur les axes de travail suivants : Objectif Umanga mo te Natura, expression Rapa Nui que l on pourrait traduire par «unis pour la nature» ou «travaillons ensemble pour l environnement», est un programme de long terme porté par ONF International et CONAF (Corporation Forestière Chilienne) pour la récupération du contexte environnemental de Rapa Nui par la gestion durable des ressources naturelles de l Ile et la participation des acteurs locaux. Récupérer la couverture végétale des zones érodées par reboisement et mise en place d ouvrages anti-érosion. Préserver les reliques de végétation naturelle, sauvegarder les espèces indigènes en voie de disparition et lutter contre les espèces envahissantes. Protéger les sites patrimoniaux et les mettre en valeur par des moyens d interprétation. Accompagner les acteurs locaux dans la définition de solutions durables pour l élevage. Sensibiliser la communauté et les touristes aux enjeux environnementaux de Rapa Nui. Pilotage et gouvernance Son pilotage est basé sur une coordination ONFI-CONAF et sa gouvernance est assurée par une table de travail qui discute et prend les décisions inhérentes aux activités du projet. Cette instance participative regroupe un représentant local de la Corporation Nationale de Développement Indigène, du Service Agricole et d Elevage, du Service National du Tourisme, du Programme Territorial Intégré Tarai Henua. 4 5
4 Les actions menées L'éducation à l environnement Les 13 randonnées nature conduites par les Gardes du Parc National à Poike ont permis de faire découvrir aux participants une partie de l Ile que beaucoup méconnaissent. Relatant l histoire du site et décryptant ses vestiges archéologiques, l accent a aussi été mis sur les défis environnementaux que présente cette zone face à l érosion et au surpâturage. La sensibilisation à l environnement est un axe prioritaire et transversal du programme Umanga mo te Natura. Faire découvrir la richesse du patrimoine naturel, expliquer l importance de protéger l environnement, faire participer la communauté dans les initiatives du projet sont autant d activités fondamentales pour assurer la compréhension de nos actions et la protection des ressources naturelles dans le futur. Les plantations communautaires, fer de lance des activités d éducation environnementale du projet, impliquèrent la population insulaire dans la préservation de ses ressources naturelles. En faisant participer plus de personnes (écoles, communauté, institutions, Marine Nationale, touristes ), ce sont plus de arbres qui ont été plantés sur les sols dégradés de la péninsule de Poike. Montée au Vai a Heva à Poike Discours environnemental des gardes Parc Rapa Nui Plantation «familiale» Novembre 2012 Un travail d équipe 6 7
5 Sorties pédagogiques avec les écoles : initiation à l identification des espèces indigènes, collecte de graines et sensibilisation à la préservation des plantes en danger d extinction. Le projet compte également la réalisation de supports de sensibilisation à l environnement : Réimpression du «Manuel du parfait pépiniériste» (édité lors du projet pilote) pour les Journées Nature du Jardin d Enfants Hakapupa. Réalisation et édition d un livret sur les plantes médicinales traditionnelles de l Ile de Pâques (1.000 unités) en collaboration avec la CONADI et l Association de médecine traditionnelle «Papa Ra au». Enseignement du patrimoine naturel Rapa Nui Soutien organisationnel, financier et technique aux initiatives locales: Participation des étudiants du cursus Tourisme au Séminaire Tourisme, Culture et Durabilité (2011). Présentation des activités du projet et contribution financière à l'événement de clôture du Mois du tourisme culturel et durable (Septembre 2011) Participation du projet à de nombreuses activités environnementales organisées par les partenaires du projet. «Plantes Médicinales de Rapa Nui Un capital à préserver» 8 9
6 Protection et mise en valeur de sites patrimoniaux Dans le cadre de la réhabilitation du cratère du volcan Rano Raraku ou «Carrière des Moai», un plan de conservation a été réalisé pour orienter la stratégie d intervention du projet sur ce site remarquable au niveau patrimonial comme naturel. Réunions de concertation et visites de terrain avec la table de travail et les archéologues. Définition concertée du tracé du sentier et de l emplacement de l observatoire, en fonction de : - La présence de vestiges archéologiques dans le sous-sol ; - Les objets archéologiques et paysagers à mettre en valeur ; - L érosion et l écoulement pluvial ; - Le passage du bétail. Actions réalisées : Panneaux informatifs et interprétatifs (flore, patrimoine, fragilité du site ) ; Balisage d un sentier alternatif (prévention érosion et risque lié au passage de bétail) ; Sentier «doux»(ni béton ni ancrage profond conformément aux normes en vigueur pour ce site archéologique) et usage de matériaux traditionnels (bois et pierre). Signalisation et barrières de protection pour le passage de bétail ; Délimitation d une zone d observation du cratère (bancs, ombrage, panneaux explicatifs). Réalisation des plans du nouveau tracé du sentier et de l observatoire du cratère Visite de Rano Raraku avec les archéologues Proposition d architecte retenue pour le sentier et observatoire du cratère 10 11
7 Récupération des sols dégradés Plus de 50% des sols de l Ile de Pâques sont classés comme très sensibles à l érosion. La relative fragilité des sols, la forte pression pastorale et la carence de végétation fixant les sols sont les principaux facteurs d érosion. Pour inverser cette tendance, plusieurs essais de revégétalisation des sols ont été menés par le projet Umanga mo te Natura depuis 2005 avec des résultats concluants. Ce processus de restauration est cependant un travail de long terme. Augmentation de la capacité de production de la pépinière du projet Afin d intensifier le rythme et les surfaces de plantation, le projet a financé l agrandissement et la technification de la pépinière CONAF. Agrandissement de la surface de la pépinière (passage de 1600 m 2 à 2400 m 2 ) Achat de matériel de germination, irrigation et repiquage Construction d une serre de post-germination de 60 m 2 (réduction du temps de croissance en pépinière des plants) Cofinancement de la rénovation et agrandissement de la salle de germination Technification du laboratoire (matériel de germination pour espèces sensibles) Entre 2010 et 2013, la capacité de production de la pépinière CONAF est ainsi passée de à plants par an. Nouvelle salle de germination Nouvelles plates-bandes de repiquage et semi-ombrage Récupération des sols érodés de Poike par reboisement 12 13
8 Plantations Les plantations se sont concentrées sur la récupération des sols de la péninsule de Poike, partie la plus érodée de l Ile et nécessitant une intervention urgente. Pour cela, une stratégie de plantation a été élaborée en se basant sur les expertises scientifiques et résultats du projet pilote (espèces, densité, zonage). Délimitation d une zone de plantation de 45 hectares et mise en place d une clôture Cartographie de la zone et division en sous parcelles et marquage sur le terrain 3 espèces polynésiennes privilégiées Parcelles pilotes d espèces natives Achat d un pool de matériel de plantation Amélioration du système de transport des plants Organisation des parcelles (franges coupe-feu, chemins d accès) Mise en place d un système d arrosage pour les espèces sensibles en cas de sécheresse Panneaux interprétatifs 2011 (Parcelle 3) (parcelle 4 et5) Organisation des parcelles par géoréférencement Système d arrosage Panneaux explicatifs à l entrée de chaque parcelle 14 15
9 Détail des plantations réalisées entre 2011 et 2013 : Lutte contre l érosion Plusieurs actions de conservation des sols en lutte directe ont été réalisées : Espèce Superficie (ha) Nombre de plants Casuarina equisetifolia 22, Albizia lebbeck 7, Thespesia populnea 1, Dodonaea viscosa 3, Autres espèces 0, seuils pilotes anti-ravinement (rétention des sédiments et comblement des ravines créées par l érosion) 1500 tranchées d infiltration (rétention des sédiments et infiltration des eaux de pluie) TOTAL 34, Thespesia populnea Espèce patrimoniale Dodonaea viscosa Espèce polynésienne Les seuils retiennent les sédiments et comblent progressivement les ravines qui atteignent jusqu à 3 m de profondeur sur le site de Poike. Casuarina equisetifolia Espèce polynésienne Albizia lebbeck Espèce pantropicale Vue aérienne du phénomène d érosion à Poike 16 17
10 Préservation de la Biodiversité Espèces indigènes (1) Espèces endémiques (2) Total flore native Espèces patrimoniales (3) La flore indigène de Rapa Nui compte actuellement 48 espèces, dont 11 sont endémiques, soit un taux d'endémisme de 23%. Cependant, la flore indigène originale comprenait de nombreuses autres espèces aujourd'hui disparues. Les plantes indigènes ayant survécu jusqu à aujourd hui sont soumises à de fortes pressions et de nombreuses espèces sont en danger d extinction. Les facteurs sont nombreux, mais nous pouvons citer la menace des plantes envahissantes, les incendies et le pâturage des herbivores. Flore actuelle Autres espèces citées (non observées depuis 2005) Total Espèces éteintes (4) 11? 10? 21? 2 (1) Espèces présentes de manière naturelle à Rapa Nui, sans intervention de l Homme, et existant également dans d'autres parties du monde de manière naturelle. (2) Espèces existant de manière naturelle uniquement sur l'ile de Pâques. Etude de la flore native Les études menées avec les scientifiques de Polynésie française ont permis de mettre à jour les connaissances sur les espèces natives de Rapa Nui. Grâce à un important travail bibliographique (étude des inventaires botaniques passés/récents, études paléobotanique, anthropologiques...) ainsi qu à des missions de prospection, il a été possible d obtenir des informations précises sur l état actuel de la flore native. (3) Les espèces d «introduction polynésienne" ont été introduites à Rapa Nui pendant les migrations polynésiennes et avant la redécouverte de l'île par les Européens. (4) Rend compte uniquement des extinctions connues. Certaines espèces ont pu disparaître sans laisser de trace (notamment les herbacées et fougères). Ce travail est le résultat de nombreuses années de recherche et de collaboration scientifique. Il a été rendu possible par les missions d'experts de très haut niveau scientifique financées et organisées depuis 2005 par Umanga mo Natura et grâce à la collaboration d experts internationaux, notamment de la Délégation à la Recherche et le Service de Développement Rural de Polynésie Française. Prospection botanique sur les flans du Rano Kau par le botaniste R. TAPUTUARAI Novembre
11 Etat de conservation de la flore native Les prospections botaniques ont été menées en premier lieu dans les reliques de végétation naturelle de l'île (zones humides, pente intérieure de Rano Kau, îlots, Ava Ranga Uka) mais aussi dans les zones perturbées comme les prairies du Terevaka, les cônes volcaniques secondaires et presque toutes les falaises de l'île. S il n'a pas été possible d'examiner tous les recoins de l île, les études de terrain ont permis d'analyser de manière assez exhaustive l'état de conservation des plantes indigènes et patrimoniales de Rapa Nui. Préoccupation mineure Vulnérable Etat de conservation En danger En danger critique d extinction Eteint à l état sauvage Eteint (1) Information manquante Espèces non observées (2) A partir des études botaniques passées (Skottsberg, ; Zizka, 1991) et des prospections menées dans le cadre d Umanga mo te Natura (Butaud, 2005 ; Meyer, Taputuarai, Nahoe, Dubois, ) une proposition de classification de l'état de conservation de la flore native de Rapa Nui à été élaborée. La classification a été proposée à titre informatif et requière de plus amples recherches pour répondre aux critères de l'union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Elle se compose de 6 catégories basées sur la désignation de l'uicn et du Règlement National de Classification des Espèces Sylvestres (Ministère de l'environnement chilien): Préoccupation mineure Vulnérable En Danger En danger critique d'extinction Éteint à l'état sauvage Eteint Espèces indigènes Espèces endémiques Total Flore Native Espèces patrimoniales Total (1) Rend compte uniquement des extinctions connues. Certaines espèces ont pu disparaître sans laisser de trace (notamment les herbacées et fougères). (2) Espèces citées par d'autres auteurs par le passé n'ayant pas été observées lors de nos missions de prospection. Il est possible que certaines espèces aient disparu de l'île ou que la détermination de l'espèce ait été erronée. Photos de la page antérieure : A : Ipomoea pes-caprae : Espèce indigène vulnérable B : Blechnum paschale : Fougère endémique en danger critique d extinction C : Triumfetta semitriloba : Petit arbre indigène en danger critique d extinction A B C 20 21
12 Conservation ex situ de la flore native Elle a pour objectif de conserver les espèces en voie de disparition au sein de la pépinière Mataveri Otai : Créer une banque de semences Cultiver et conserver les espèces en pépinière Multiplier les plants pour une future réintroduction en milieu naturel Ce travail a impliqué les tâches suivantes: Collecte des semences et plantules dans la nature Etiquetage et stockage des semences au laboratoire de la pépinière Germination des graines et repiquage des plantules Suivi et analyse des méthodes de germination Conservation in situ de la flore native Cette composante innovante du projet a été développée dans le cadre du «Projet pilote de restauration écologique» cofinancé par le Critical Ecosystem Partnership Fund (CEPF), lequel a impliqué la restauration écologique de 3 sites d'intérêt écologique et patrimonial correspondant à différents types de végétation naturelle encore présents sur l'île : Cratère du volcan Rano Kau: forêt de pente intérieure du cratère. Plage d Ovahe : végétation côtière. Volcan Rano Raraku: végétation de bordure de zone humide. Le principe d intervention est le même dans les trois sites sélectionnés et se divise en cinq phases successives : 1. Mise en place de parcelles d'étude permanentes et inventaire de la diversité et abondance des plantes indigènes et introduites. 2. Installation de panneaux informatifs sur le travail effectué. 3. Elimination des plantes introduites envahissantes dans les «parcelles traitées» par opposition aux parcelles non intervenues appelées «parcelles témoins». 4. Suivi de la régénération de la végétation (indigène et introduite) en comparant les parcelles traitées et témoins. 5. Réintroduction de plantes indigènes. Laboratoire Semis de Caesalpinia major après préparation des graines Les premiers résultats de ce projet ont été contrastés selon les différents sites. Le succès des actions pilotes devra être confirmé par le suivi à moyen terme et les protocoles seront adaptés et améliorés pour mettre en place des actions à plus grande échelle. Le protocole de restauration et les résultats du pilote sont détaillés dans les rapports d experts (JY Meyer, R. Taputuarai) disponibles sur le site web : Repiquage de boutures de Lycium sandwicense Jeunes plants de Tetragonia tetragonoides Mesures préalables aux actions de restauration sur le site de Rano Kau Dr JY Meyer Février
13 Lutte contre les plantes envahissantes Un programme de lutte contre les plantes envahissantes a été mis en place en 2011 à l intérieur du cratère Rano Raraku (13 hectares). Ce site présente d importantes colonies de crotalaire (Crotalaria grahamiana), mélinis (Melinis minutiflora), de goyave (Psidium guajava) et de chardon (Cirsium vulgare). Outre le risque de propagation et de colonisation, ces plantes, en particulier la goyave, présentent un risque de dégradation des sites archéologiques par leur développement racinaire. Ce processus initial de contrôle des plantes envahissantes implique un travail important, tant mécanique (débroussaillage, tronçonnage) que manuel (élimination des résidus, nettoyage autour des vestiges) et doit être réalisé avec beaucoup de précaution compte tenu de la présence de vestiges archéologiques. Depuis 2012, le contrôle secondaire (élimination des repousses et inflorescences) est assuré par un entretien régulier du site par les agents de la CONAF. Publication du livre «Plantes de Rapa Nui» Afin de consigner et diffuser au plus grand nombre les avancées de la recherche sur la flore pascuane, les importants résultats obtenus en termes de connaissance et de conservation de la flore native de l Ile de Pâques ont fait l objet d une publication Publié grâce à l appui du Critical Ecosystem Partnership Fund (CEPF) et cofinancé par la CONAF et la Délégation Régional de Coopération Francaise pour le Cône Sud, ce livre intitulé «Plantes de Rapa Nui Guide illustré de la flore d intérêt écologique et patrimonial» se compose de 3 chapitres : - Plantes natives - Plantes d introduction polynésienne - Plantes introduites envahissantes Le premier tirage s est élevé à livres qui ont été distribués de manière gratuite à la communauté, aux écoles, associations, réseaux scientifiques du Pacifique, Institutions publiques et autorités locales, l objectif principal de cet ouvrage étant d améliorer et de diffuser les connaissances sur la flore native et de sensibiliser aux besoins de conservation. La réalisation de cette publication a fait l objet d une étroite collaboration entre ONF International, CONAF et la Délégation à la Recherche de Polynésie Française. Avant : Invasion de goyavier/crotalaire L initiative fut largement saluée par les autorités chiliennes, les milieux scientifiques et la communauté Rapa Nui et considérée comme un ouvrage de référence sur la flore pascuane. Une version numérique est visualisable et téléchargeable sur le site internet du projet : Après élimination des espèces invasives 24 25
14 Gestion durable de l élevage Devant la conjoncture positive suite à la première réunion de montage du programme élevage en mai 2011, la table de travail a rapidement mobilisé un cofinancement Umanga mo te Natura, CONAF et CONADI (Corporation Nationale de Développement Indigène) afin de mettre en place les outils nécessaires au montage du programme d amélioration de la conduite de l élevage à l Ile de Pâques : Création du Comité élevage : groupe de travail réunissant 3 représentants des éleveurs, Sasipa (entreprise gérant plus de 900 têtes de bétail sur l Ile), CONADI, Municipalité, Service Agricole et d Elevage, CONAF et ONFI ; Rencontre d un éleveur durant la mission d expertise Réalisation d un diagnostic technico-social de l'élevage à Rapa Nui (recensement, situation productive, sanitaire, composante socioculturelle) finalisé en Novembre 2011 ; Réalisation d une enquête auprès de la population : perception de l activité d élevage par la communauté locale (Décembre 2011) ; Ateliers de diffusion des résultats de l étude avec les éleveurs ; Intervention d un expert élevage du Bureau Français de Coopération Technique Internationale (Janvier 2012) pour l appui à la valorisation des résultats du diagnostic et l élaboration de propositions techniques. Réunion du Comité Elevage Les résultats du diagnostic et de l enquête ainsi que les recommandations de l expert ont permis d alimenter les réflexions du groupe de travail pour aboutir à l élaboration d un programme de travail concerté, le «Programme d Elevage Durable» prévoyant la mise en place d actions pilotes pour la gestion durable de l élevage (technification et réduction du cheptel, diversification et reconversion, canalisation du bétail). Ces actions sont en cours d implémentation via le «Bureau de l élevage» récemment constitué et financées principalement par CONAF et la Municipalité. Dégâts sur les sols du site patrimonial de Rano Raraku dû aux chevaux non contrôlés 26 27
15 Coordination du projet Lancement de la phase La cérémonie de lancement officiel du projet a été organisée le 12 mai 2011 avec la venue des dirigeants de la CONAF Centrale et d un représentant de l Ambassade de France au Chili. Pour l occasion, une journée de plantation a été organisée avec la communauté. Evénement de clôture Un événement de clôture de la phase d activité a été organisé pour présenter les résultats et réfléchir aux futures orientations du projet avec les autorités, institutions et autres acteurs locaux. L activité de restitution s est achevée avec une sortie de terrain à Poike afin de montrer les résultats de la récupération des sols aux chefs de services. Cette journée a également été l occasion du lancement officiel du livre «Plantes de Rapa Nui Guide illustré de la flore d intérêt écologique et patrimonial» et sa remise aux autorités et acteurs locaux. Table de travail La table de travail du projet s est réunie à douze occasions : élaboration du programme, suivi des avancées ou thèmes de travail spécifiques. En plus des membres permanents, le Conseil des Monuments Nationaux et l Organisme de Gestion de la Destination Rapa Nui (OGD) ont été invités à participer aux tables de travail sur des thèmes spécifiques. Les réunions ont été organisées tour à tour chez chacune des institutions membres. Plusieurs sorties de terrains ont été effectuées. Séminaire de restitution Visite de terrain avec les autorités locales Signature de la convention à l Ile de Pâque Réunion de la Table de travail Remise du livre au Groupe de Médecine Traditionnelle et au représentant du Gouverneur 28 29
16 Diffusion et Communication Un site Internet a été mis en place comme outils de communication et de diffusion des activités du projet. Il comporte les rubriques suivantes : Le Projet : objectifs, esprit, fonctionnement Présentation des Partenaires du projet Activités : description des lignes de travail du projet et articles relatant les activités organisées Agenda et Actualités Ressources : publication des rapports, vidéos, articles sur le projet Contact Ce site dispose d une version française et espagnole : Umanga mot te natura dans la presse : 3 Articles de quotidiens nationaux chiliens et 2 de magazines internationaux (National Geographic, GEO) sur le projet et ses actions. Téléchargeables sur rubrique «Media». Article du National Geographic (Sept 2012) 11 Programmes à la radio locale Manukena : agenda des activités du projet, avancées des travaux, interview d experts Réalisation de 6 programmes TV sur les activités du projet : diffusion sur la chaine locale (Mata o te Rapa Nui) et nationale «Canal13». Vidéos visualisables sur rubrique «Media». Studio de la radio Manukena 30 31
17 Participation au Salon ExpoAmbiental à Santiago (octobre 2011) : présentation du projet, communication et recherche de financements. Conclusion Stand au Salon Expoambiental Sept ans après la mise en œuvre des premières actions pilotes et trois ans après le lancement de la phase «opérationnelle» d Umanga mo te Natura à l ile de Pâques, l important programme environnemental et participatif accompli a permis : Conception de matériel de communication : casquettes, polos, T-shirt, autocollants à l effigie du projet et distribués lors des activités d éducation à l environnement. D avoir aujourd hui un projet connu et reconnu par les acteurs locaux et nationaux, de par sa durabilité, ses activités emblématiques (éducation à l environnement, récupération des sols, conservation de la Biodiversité ) et sa marque «Umanga mo te Natura» ; D aboutir à un mode de fonctionnement de plus en plus autonome sur l Ile : formation, transfert de compétences vers les acteurs locaux, appropriation des activités par les partenaires (exemple : les plantations communautaires) ; La marque «UMANGA MO TE NATURA» En plus du succès de ses activités, le plan de communication et d appropriation du projet mis en place a permis d aboutir aujourd hui à la reconnaissance et à l identification du projet par les autorités et institutions locales, mais aussi par la communauté et les touristes de passage. La recherche de nouveaux axes d intervention pour le projet, témoignant d'une réelle volonté commune d'avancer ensemble vers un aménagement durable du territoire Rapa Nui. De devenir, en tant que projet, un moteur du développement durable et participatif pour l Ile de Pâques, grâce à ses activités innovantes et son mode de gouvernance basé sur les acteurs locaux. Au niveau national, grâce aux articles, programmes télé et les publications, Umanga mo te Natura est de plus en plus identifié et reconnu. Enfin, le site web ainsi que les articles de presse dans des magazines renommés ont donné au projet une visibilité internationale. Novembre 2013 Auteurs : A. Dubois, P. Lenne et M. Chesnes, ONF International Crédits photos : ONF International 32 33
18 Le projet «Umanga Mo Te Natura» (expression Rapa Nui que l on peut traduire par «travaillons ensemble pour la nature»), est mis en œuvre par ONF International et la CONAF. Parmi les partenaires du projet, la Corporation Nationale de Développement Indigène, le Service Agricole et d Elevage, le Service National du Tourisme, et le Programme Territorial Intégré Tarai Henua. Education environnementale Protection et mise en valeur de sites patrimoniaux Récupération des sols dégradés Préservation de la biodiversité Gestion durable de l élevage Retrouvez-nous sur ONF International Paris, France Anthony Dubois Tél : +33 (0) anthony.dubois@onfinternational.com ONF Conosur Santiago, Chili Pierre Lenne Tel: plenne@onfconosur.com 34
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailLIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON
Prix 2013 «Infrastructures pour la Mobilité et Biodiversité» LIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON Aménagement et renaturation d un site naturel remarquable Psammodrome d Edwards Une dégradation
Plus en détailL archéologie préventive
L archéologie préventive Le code du patrimoine (livre V) : définit le patrimoine archéologique et l archéologie préventive, répartit les compétences entre les différents acteurs, décrit la mise en œuvre
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailLA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS
LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS 1 Les objectifs opérationnels de la Trame Verte et Bleue Connaître Observer Evaluer Restaurer, préserver et gérer les cœurs de nature La Trame Verte et Bleue,
Plus en détailLaisser une empreinte Devenez acteur de la restauration des plantations du canal du Midi
Laisser une empreinte Devenez acteur de la restauration des plantations du canal du Midi Le canal du Midi, un patrimoine exceptionnel Une vitrine. L inscription par l Unesco en 1996 sur la liste du patrimoine
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005
AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détailMise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ
ENGREF. Mise en place d un réseau d Arboretums pour une valorisation coordonnée des ressources ligneuses ex situ Stéphanie BRACHET Chargée des missions scientifiques ENGREF - Arboretum national des Barres
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailCongrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal
Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable
Plus en détailLE PARC DE FIGUEROLLES
LE PARC DE FIGUEROLLES SUR LES RIVES DE L ETANG L DE BERRE A MARTIGUES LE PATRIMOINE RURAL DU SITE Vue aériennea du site de Figuerolles en limite Nord de la Commune de Martigues Le caractère re rural de
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailParc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme. Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon
Parc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon Sommaire 1. Retour sur le processus de création du programme 2. Présentation
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détail1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011
1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011 Jean Claude Stone Njomkap Département Recherche/ Développement des projets Secrétariat du RAFM jc.njomkap@africanmodelforests.org
Plus en détailPLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE
PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailAvis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet
Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailDernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives
Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les... 1 sur 2 2008-09-18 13:54 Sujet : Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives De : Guy Guilbert
Plus en détailTERMES DE REFERENCE Pour le recrutement d'un cabinet chargé de la. Collecte des informations pour alimenter une base de données sur les
TERMES DE REFERENCE Pour le recrutement d'un cabinet chargé de la collecte des informations pour alimenter une base de données sur les investissements fonciers à grande échelle (situation année 2013) Composante
Plus en détailI partie : diagnostic et proposition de solutions
Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu
Plus en détailFORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO
ANNEE UNIVERSITAIRE 2005-2006 FORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO Informations générales, conditions d admission, frais de participation et dossier de candidature.
Plus en détailN abandonnons pas notre héritage commun.
N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert
Plus en détailAVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006
AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailPPRT SFDM d Huison-Longueville
PPRT SFDM d Huison-Longueville Réunion des Personnes et Organismes Associés 5 février 2015 Contrôle général des armées - DDT 91 Sommaire 1/ Carte de zonage brut 2/ Principaux enjeux 3/ Stratégie 4/ Projet
Plus en détail«Suivi d un projet Livelihoods» Medan, Indonésie 7 au 11 octobre 2013
«Suivi d un projet Livelihoods» Medan, Indonésie 7 au 11 octobre 2013 Mangroves, Sénégal Hellio-Vaningen En octobre 2013, dans le cadre d un partenariat entre la Convention de Ramsar et le Groupe Danone,
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailLGV SEA : Un projet pas comme les autres. Par Aurélien NEAU LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013. Environnement Page 8.
LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013 LGV SEA : Un projet pas comme les autres Par Aurélien NEAU Environnement Page 8 Emploi Page 5 Travaux Page 10 SOMMAIRE Le magazine d information de la LGV
Plus en détailRESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS
a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques
Plus en détailRésumé du rapport final du Projet ECDD
Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailPays Rhin-Vignoble -Grand Ballon
Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour
Plus en détailCONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)
CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailFormulaire d'adhésion PEFC
Formulaire d'adhésion PEFC Acte d'engagement du propriétaire dans la démarche de certification par portage proposée par la Coopérative Provence Forêt I Présentation La certification PEFC doit permettre
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailMaster - Mention histoire et territoires - Dynamique et géographie des territoires (DYGITER)
Impression à partir du site https://offredeformation.picardie.fr le 04/09/2015. Fiche formation Master - Mention histoire et territoires - Spécialité dynamique et géographie des territoires (DYGITER) -
Plus en détailBilan des actions 2012-2013
Politique-cadre de développement touristique des Îles-de-la-Madeleine Bilan des actions 2012-2013 Si l industrie touristique est aujourd hui mature, bien établie et confirmée comme avenue de développement
Plus en détailLISTE VERTE : standards techniques
LISTE VERTE : standards techniques STANDARDS INTERNATIONAUX PARTIE 1 : VALEUR, OBJECTIFS FIXES ET ATTEINTS ENJEU 1-1 : Valeur et importance Définition : les valeurs du site ont clairement été identifiées
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailRépublique de Turquie Ministère Des Forêts et Des Affaires D eaux La Direction Générale de la Lutte Contre la Désertification et L érosion
République de Turquie Ministère Des Forêts et Des Affaires D eaux La Direction Générale de la Lutte Contre la Désertification et L érosion Projet de développement des capacités des Pays les moins avancés
Plus en détailElaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015
Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailL avenir de notre ville, parlons-en. publique. Projet de. hôtel de ville. Enquête
L avenir de notre ville, parlons-en Projet de > Enquête publique 5 MARS > 5 AVRIL 2012 hôtel de ville QU EST-CE QUE LE PLU? 2 3 AMÉNAGEMENT ET DÉVELOPPEMENT DURABLE LES OBJECTIFS DU PADD (Projet d aménagement
Plus en détailEVALUATION FINALE BKF/012
EVALUATION FINALE BKF/012 Projet d Appui à la Gestion participative des Ressources naturelles dans la Région des Hauts-Bassins FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre du projet Code LuxDev Burkina Faso Projet d Appui
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailMASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)
MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE
Plus en détailVI/23. Espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats ou des espèces
Page 265 VI/23. Espèces exotiques qui menacent des écosystèmes, des habitats ou des espèces La Conférence des Parties I. SITUATION ET TENDANCES 1. Prend note du rapport sur la situation, les impacts et
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailFiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS
Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Lavogne : abreuvoir pour les troupeaux établi sur une couche d'argile imperméable. Naturelles à l'origine, elles sont souvent empierrées
Plus en détailModification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme
Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI
Plus en détailMASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013
MASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013 Le Master 2 Paysage et Aménagement est une spécialité du Master Urbanisme et Aménagement. Celui-ci est
Plus en détailCOMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC
COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques
Plus en détailL essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme
L essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme Entrée en vigueur le 1 er octobre 2007 Toute demande d autorisation déposée le 1 er octobre sera soumise au nouveau dispositif. Tout dépôt de déclaration
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détailCompte rendu de la réunion du 15 décembre
Compte rendu de la réunion du 15 décembre Nombre de présents : 23 personnes, dont : Correspondants régionaux 6 Présidents de CDTE 6 Permanents 4 Présidents de CRTE 3 Autres 3 Objectifs de la réunion: -
Plus en détailwww.ecophytozna-pro.fr La plateforme technique d informations des professionnels des ZNA
www.ecophytozna-pro.fr La plateforme technique d informations des professionnels des ZNA Les objectifs du site Site de ressources sur les problématiques de réduction des produits phytosanitaires en ZNA
Plus en détailPermis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE. - Construction d un centre de données informatiques
AVIS Réf. : CWEDD/13/AV.343 Date : Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE 1. DONNEES DE BASE Demande : - Permis unique - Rubrique : 63.12.09.03.03 Projet : - Construction d un centre de données
Plus en détailDEGRE DE FAISABILITE : Très simple, relativement rapide et sans grosses contraintes.
PROTOCOLE «Terre-Nickel» «Opération simple de nettoyage à pieds des déchets sur le littoral terrestre» Rédigé par Michaël Rard Observatoire Marin de La Réunion (Mis à jour le 02/03/2013) OBJECTIFS : -
Plus en détailPerte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles
OBJET : Perte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles Numéro de la politique : FMB 017 2006 Numéro du dossier : 836 00 0003 Date d entrée en vigueur : 1 er septembre 2006 Date de révision
Plus en détailSOMMAIRE... 2 AXE 1 TOURNEFEUILLE, VILLE DE NATURE 4
Agenda 21 de Tournefeuille Actions détaillées OCTOBRE 2010 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 AXE 1 TOURNEFEUILLE, VILLE DE NATURE 4 Action 1.1 PROTEGER LA VILLE DES CRUES DU TOUCH... 5 Action 1.2 RENFORCER LES
Plus en détailÉvaluation, caractérisation et
Évaluation, caractérisation et élargissement de la gamme du matériel végétal de plantation de l'anacardier en cours de sélection au Bénin CRA-Centre/INRAB 2013-1014 Financement: GIZ/iCA 2/ Cashew Fund
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailPREFECTURE DE LA LOZERE
SOUS-PREFECTURE DE FLORAC POLE DE DEFENSE DES FORETS CONTRE L INCENDIE PREFECTURE DE LA LOZERE Arrêté préfectoral n 2015071-0002 - du 12 mars 2015 relatif à la prévention des incendies de forêts dans les
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailToitures et charpentes
Toitures et charpentes 1/7 Toiture-terrasse Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des toitures-terrasses, accessibles ou non. Les ouvrages considérés sont
Plus en détailMme Élise MOURA souhaite que soient remis dans la délibération les tarifs du marché comportant l abonnement annuel.
COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL L an deux mil douze, le treize novembre, le Conseil Municipal de la Commune du Porge, dûment convoqué s est réuni en séance ordinaire, à la Mairie, sous la présidence
Plus en détailPROJET DU GOUVERNEMENT DU SENEGAL FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROJET IGDT
PROJET DU GOUVERNEMENT DU SENEGAL PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT (PNUD) FONDS POUR L ENVIRONNEMENT MONDIAL (FEM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROJET IGDT I. INFORMATIONS DE BASE
Plus en détailÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT
STATISTIQUES ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT REPERTOIRE D EMPLOIS Sur les 78 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 66 ont répondu au questionnaire soit un
Plus en détailG"#$ &'()#*+ Tableau récapitula.f PROGRAMME COMMUNAL DE DÉVELOPPEMENT RURAL. Janvier 2012
G"#$ &'()#*+ PROGRAMME COMMUNAL DE DÉVELOPPEMENT RURAL Tableau récapitula.f Janvier 2012 PCDR Grez Doiceau Partie 5: Tableau récapitulatif des projets PCDR Grez Doiceau Partie 5: Tableau récapitulatif
Plus en détailDIAGNOSTIC DEVELOPPEMENT DURABLE URBAIN TOME 1 - LE QUESTIONNAIRE
A g e n c e R é g i o n a l e P o u r l E n v i r o n n e m e n t M i d i P y r é n é e s DIAGNOSTIC DEVELOPPEMENT DURABLE URBAIN TOME 1 - LE QUESTIONNAIRE Studio «Les Garçons» Méthode réalisée pour le
Plus en détailMESURES D ACCOMPAGNEMENT
LIVRET VI MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT ET SUIVI DE L ANALYSE DE LA SITUATION 127 Sommaire I DES MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT page 126 HABITAT EQUIPEMENTS
Plus en détailComité de pilotage 2014. Site natura 2000 des carrières de Cénac
Comité de pilotage 2014 Site natura 2000 des carrières de Cénac Ordre du jour Bilan de la première tranche d animation (2011 2014) Perspectives pour la future tranche (2015-2017) SE2 Acquisition, pose
Plus en détailConstitution d'un réseau écologique sur la commune de Muttersholtz
Identité du territoire Structure porteuse de l'action : Ligue pour la Protection des Oiseau Alsace Entrée Thématique Agriculture Espèces et habitats naturels Milieu aquatiques et humides Localisation :
Plus en détailLa diversification agricole en Camargue
La diversification agricole en Camargue Agritourisme, circuits-courts et démarche qualité Capucine SER, chargée de mission tourisme durable au Parc naturel régional de Camargue Contexte, définition et
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détail25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche
Le SIBV de la Seiche Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche 1 PROGRAMME D ACTIONS Collectivités Particuliers Gestion des eaux pluviales Actions Industriels,
Plus en détail