Table des matières UMANGA MO TE NATURA GESTION DURABLE ET PARTICIPATIVE DES RESSOURCES NATURELLES DE L ILE DE PAQUES ACTIVITES

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1 Table des matières TABLE DES MATIERES...1 CONTEXTE ET HISTORIQUE DU PROJET...2 LE PROJET...4 OBJECTIF...4 PILOTAGE ET GOUVERNANCE...4 PLAN D ACTION LES ACTIONS MENEES...6 L'EDUCATION A L ENVIRONNEMENT...6 PROTECTION ET MISE EN VALEUR DE SITES PATRIMONIAUX...10 RECUPERATION DES SOLS DEGRADES...12 PRESERVATION DE LA BIODIVERSITE...18 GESTION DURABLE DE L ELEVAGE...26 COORDINATION DU PROJET...28 UMANGA MO TE NATURA LANCEMENT DE LA PHASE TABLE DE TRAVAIL...28 EVENEMENT DE CLOTURE...29 DIFFUSION ET COMMUNICATION...30 CONCLUSION...33 GESTION DURABLE ET PARTICIPATIVE DES RESSOURCES NATURELLES DE L ILE DE PAQUES ACTIVITES

2 Contexte et Historique du projet Le projet pilote s est déroulé entre 2006 et 2009 et permît l analyse détaillée des problématiques environnementales, des acteurs impliqués et des relations entres institutions publiques et population locale. Des actions pilotes de conservation des sols ont été mises en place face aux différents facteurs d érosion (élevage, tourisme, agriculture), plusieurs espèces polynésiennes ont fait l objet de plantations-test pour la restauration de la couverture végétale et des opérations d éducation environnementales ont été menées. Depuis 2003, comme suite à la visite de l Ambassadeur de France au Chili à l Ile de Pâques et à la sollicitation de la communauté Rapa Nui et des institutions chiliennes pour un appui technique, ONF intervient à l Ile de Pâques afin de proposer des alternatives concrètes de lutte contre l érosion et de gestion durable des ressources naturelles. Après plusieurs expertises et études préliminaires, l ONF International (ONFI, filiale de l Office National des Forêts), le bureau Forestier Chilien (CONAF) et la Commission de Développement de l Ile de Pâques (CODEIPA) ont formulé le projet pilote de Gestion Durable des Ressources Naturelles de l Ile de Pâques, lequel fut cofinancé par le Fonds Pacifique de l Agence Française de Développement Sur la base de l expérience acquise et des résultats obtenus, la table de travail, regroupant les différentes institutions locales actrices du projet, a fait part de son souhait et de l importance de donner suite au projet pilote par un processus global, efficient et à long terme de gestion durable des ressources naturelles de l Ile. Les bases d Umanga mo te Natura ont ainsi été formulées et les institutions de la table de travail, en particulier ONFI et CONAF, ont dès lors commencé un travail de recherche de partenariat pour le financement de ce projet L Office National des Forêts, avec l'appui du Ministère français de l écologie, signe une convention de mécénat environnemental avec l'entreprise Airbus, qui contribue au financement du projet sur la période Signature de la convention de collaboration ONFI/CONAF, en présence de l Ambassade Française au Chili Février Est signée la convention de collaboration entre ONFI et CONAF et la phase opérationnelle du projet est lancée Deux financements du Critical Ecosystem Partnership Fund viennent renforcer le projet pour la mise en place d un programme pilote de restauration écologique et la réalisation d un ouvrage sur la flore de Rapa Nui. 2 3

3 Le projet Plan d action Elaboré par la table de travail, le plan d action s est basé sur les axes de travail suivants : Objectif Umanga mo te Natura, expression Rapa Nui que l on pourrait traduire par «unis pour la nature» ou «travaillons ensemble pour l environnement», est un programme de long terme porté par ONF International et CONAF (Corporation Forestière Chilienne) pour la récupération du contexte environnemental de Rapa Nui par la gestion durable des ressources naturelles de l Ile et la participation des acteurs locaux. Récupérer la couverture végétale des zones érodées par reboisement et mise en place d ouvrages anti-érosion. Préserver les reliques de végétation naturelle, sauvegarder les espèces indigènes en voie de disparition et lutter contre les espèces envahissantes. Protéger les sites patrimoniaux et les mettre en valeur par des moyens d interprétation. Accompagner les acteurs locaux dans la définition de solutions durables pour l élevage. Sensibiliser la communauté et les touristes aux enjeux environnementaux de Rapa Nui. Pilotage et gouvernance Son pilotage est basé sur une coordination ONFI-CONAF et sa gouvernance est assurée par une table de travail qui discute et prend les décisions inhérentes aux activités du projet. Cette instance participative regroupe un représentant local de la Corporation Nationale de Développement Indigène, du Service Agricole et d Elevage, du Service National du Tourisme, du Programme Territorial Intégré Tarai Henua. 4 5

4 Les actions menées L'éducation à l environnement Les 13 randonnées nature conduites par les Gardes du Parc National à Poike ont permis de faire découvrir aux participants une partie de l Ile que beaucoup méconnaissent. Relatant l histoire du site et décryptant ses vestiges archéologiques, l accent a aussi été mis sur les défis environnementaux que présente cette zone face à l érosion et au surpâturage. La sensibilisation à l environnement est un axe prioritaire et transversal du programme Umanga mo te Natura. Faire découvrir la richesse du patrimoine naturel, expliquer l importance de protéger l environnement, faire participer la communauté dans les initiatives du projet sont autant d activités fondamentales pour assurer la compréhension de nos actions et la protection des ressources naturelles dans le futur. Les plantations communautaires, fer de lance des activités d éducation environnementale du projet, impliquèrent la population insulaire dans la préservation de ses ressources naturelles. En faisant participer plus de personnes (écoles, communauté, institutions, Marine Nationale, touristes ), ce sont plus de arbres qui ont été plantés sur les sols dégradés de la péninsule de Poike. Montée au Vai a Heva à Poike Discours environnemental des gardes Parc Rapa Nui Plantation «familiale» Novembre 2012 Un travail d équipe 6 7

5 Sorties pédagogiques avec les écoles : initiation à l identification des espèces indigènes, collecte de graines et sensibilisation à la préservation des plantes en danger d extinction. Le projet compte également la réalisation de supports de sensibilisation à l environnement : Réimpression du «Manuel du parfait pépiniériste» (édité lors du projet pilote) pour les Journées Nature du Jardin d Enfants Hakapupa. Réalisation et édition d un livret sur les plantes médicinales traditionnelles de l Ile de Pâques (1.000 unités) en collaboration avec la CONADI et l Association de médecine traditionnelle «Papa Ra au». Enseignement du patrimoine naturel Rapa Nui Soutien organisationnel, financier et technique aux initiatives locales: Participation des étudiants du cursus Tourisme au Séminaire Tourisme, Culture et Durabilité (2011). Présentation des activités du projet et contribution financière à l'événement de clôture du Mois du tourisme culturel et durable (Septembre 2011) Participation du projet à de nombreuses activités environnementales organisées par les partenaires du projet. «Plantes Médicinales de Rapa Nui Un capital à préserver» 8 9

6 Protection et mise en valeur de sites patrimoniaux Dans le cadre de la réhabilitation du cratère du volcan Rano Raraku ou «Carrière des Moai», un plan de conservation a été réalisé pour orienter la stratégie d intervention du projet sur ce site remarquable au niveau patrimonial comme naturel. Réunions de concertation et visites de terrain avec la table de travail et les archéologues. Définition concertée du tracé du sentier et de l emplacement de l observatoire, en fonction de : - La présence de vestiges archéologiques dans le sous-sol ; - Les objets archéologiques et paysagers à mettre en valeur ; - L érosion et l écoulement pluvial ; - Le passage du bétail. Actions réalisées : Panneaux informatifs et interprétatifs (flore, patrimoine, fragilité du site ) ; Balisage d un sentier alternatif (prévention érosion et risque lié au passage de bétail) ; Sentier «doux»(ni béton ni ancrage profond conformément aux normes en vigueur pour ce site archéologique) et usage de matériaux traditionnels (bois et pierre). Signalisation et barrières de protection pour le passage de bétail ; Délimitation d une zone d observation du cratère (bancs, ombrage, panneaux explicatifs). Réalisation des plans du nouveau tracé du sentier et de l observatoire du cratère Visite de Rano Raraku avec les archéologues Proposition d architecte retenue pour le sentier et observatoire du cratère 10 11

7 Récupération des sols dégradés Plus de 50% des sols de l Ile de Pâques sont classés comme très sensibles à l érosion. La relative fragilité des sols, la forte pression pastorale et la carence de végétation fixant les sols sont les principaux facteurs d érosion. Pour inverser cette tendance, plusieurs essais de revégétalisation des sols ont été menés par le projet Umanga mo te Natura depuis 2005 avec des résultats concluants. Ce processus de restauration est cependant un travail de long terme. Augmentation de la capacité de production de la pépinière du projet Afin d intensifier le rythme et les surfaces de plantation, le projet a financé l agrandissement et la technification de la pépinière CONAF. Agrandissement de la surface de la pépinière (passage de 1600 m 2 à 2400 m 2 ) Achat de matériel de germination, irrigation et repiquage Construction d une serre de post-germination de 60 m 2 (réduction du temps de croissance en pépinière des plants) Cofinancement de la rénovation et agrandissement de la salle de germination Technification du laboratoire (matériel de germination pour espèces sensibles) Entre 2010 et 2013, la capacité de production de la pépinière CONAF est ainsi passée de à plants par an. Nouvelle salle de germination Nouvelles plates-bandes de repiquage et semi-ombrage Récupération des sols érodés de Poike par reboisement 12 13

8 Plantations Les plantations se sont concentrées sur la récupération des sols de la péninsule de Poike, partie la plus érodée de l Ile et nécessitant une intervention urgente. Pour cela, une stratégie de plantation a été élaborée en se basant sur les expertises scientifiques et résultats du projet pilote (espèces, densité, zonage). Délimitation d une zone de plantation de 45 hectares et mise en place d une clôture Cartographie de la zone et division en sous parcelles et marquage sur le terrain 3 espèces polynésiennes privilégiées Parcelles pilotes d espèces natives Achat d un pool de matériel de plantation Amélioration du système de transport des plants Organisation des parcelles (franges coupe-feu, chemins d accès) Mise en place d un système d arrosage pour les espèces sensibles en cas de sécheresse Panneaux interprétatifs 2011 (Parcelle 3) (parcelle 4 et5) Organisation des parcelles par géoréférencement Système d arrosage Panneaux explicatifs à l entrée de chaque parcelle 14 15

9 Détail des plantations réalisées entre 2011 et 2013 : Lutte contre l érosion Plusieurs actions de conservation des sols en lutte directe ont été réalisées : Espèce Superficie (ha) Nombre de plants Casuarina equisetifolia 22, Albizia lebbeck 7, Thespesia populnea 1, Dodonaea viscosa 3, Autres espèces 0, seuils pilotes anti-ravinement (rétention des sédiments et comblement des ravines créées par l érosion) 1500 tranchées d infiltration (rétention des sédiments et infiltration des eaux de pluie) TOTAL 34, Thespesia populnea Espèce patrimoniale Dodonaea viscosa Espèce polynésienne Les seuils retiennent les sédiments et comblent progressivement les ravines qui atteignent jusqu à 3 m de profondeur sur le site de Poike. Casuarina equisetifolia Espèce polynésienne Albizia lebbeck Espèce pantropicale Vue aérienne du phénomène d érosion à Poike 16 17

10 Préservation de la Biodiversité Espèces indigènes (1) Espèces endémiques (2) Total flore native Espèces patrimoniales (3) La flore indigène de Rapa Nui compte actuellement 48 espèces, dont 11 sont endémiques, soit un taux d'endémisme de 23%. Cependant, la flore indigène originale comprenait de nombreuses autres espèces aujourd'hui disparues. Les plantes indigènes ayant survécu jusqu à aujourd hui sont soumises à de fortes pressions et de nombreuses espèces sont en danger d extinction. Les facteurs sont nombreux, mais nous pouvons citer la menace des plantes envahissantes, les incendies et le pâturage des herbivores. Flore actuelle Autres espèces citées (non observées depuis 2005) Total Espèces éteintes (4) 11? 10? 21? 2 (1) Espèces présentes de manière naturelle à Rapa Nui, sans intervention de l Homme, et existant également dans d'autres parties du monde de manière naturelle. (2) Espèces existant de manière naturelle uniquement sur l'ile de Pâques. Etude de la flore native Les études menées avec les scientifiques de Polynésie française ont permis de mettre à jour les connaissances sur les espèces natives de Rapa Nui. Grâce à un important travail bibliographique (étude des inventaires botaniques passés/récents, études paléobotanique, anthropologiques...) ainsi qu à des missions de prospection, il a été possible d obtenir des informations précises sur l état actuel de la flore native. (3) Les espèces d «introduction polynésienne" ont été introduites à Rapa Nui pendant les migrations polynésiennes et avant la redécouverte de l'île par les Européens. (4) Rend compte uniquement des extinctions connues. Certaines espèces ont pu disparaître sans laisser de trace (notamment les herbacées et fougères). Ce travail est le résultat de nombreuses années de recherche et de collaboration scientifique. Il a été rendu possible par les missions d'experts de très haut niveau scientifique financées et organisées depuis 2005 par Umanga mo Natura et grâce à la collaboration d experts internationaux, notamment de la Délégation à la Recherche et le Service de Développement Rural de Polynésie Française. Prospection botanique sur les flans du Rano Kau par le botaniste R. TAPUTUARAI Novembre

11 Etat de conservation de la flore native Les prospections botaniques ont été menées en premier lieu dans les reliques de végétation naturelle de l'île (zones humides, pente intérieure de Rano Kau, îlots, Ava Ranga Uka) mais aussi dans les zones perturbées comme les prairies du Terevaka, les cônes volcaniques secondaires et presque toutes les falaises de l'île. S il n'a pas été possible d'examiner tous les recoins de l île, les études de terrain ont permis d'analyser de manière assez exhaustive l'état de conservation des plantes indigènes et patrimoniales de Rapa Nui. Préoccupation mineure Vulnérable Etat de conservation En danger En danger critique d extinction Eteint à l état sauvage Eteint (1) Information manquante Espèces non observées (2) A partir des études botaniques passées (Skottsberg, ; Zizka, 1991) et des prospections menées dans le cadre d Umanga mo te Natura (Butaud, 2005 ; Meyer, Taputuarai, Nahoe, Dubois, ) une proposition de classification de l'état de conservation de la flore native de Rapa Nui à été élaborée. La classification a été proposée à titre informatif et requière de plus amples recherches pour répondre aux critères de l'union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Elle se compose de 6 catégories basées sur la désignation de l'uicn et du Règlement National de Classification des Espèces Sylvestres (Ministère de l'environnement chilien): Préoccupation mineure Vulnérable En Danger En danger critique d'extinction Éteint à l'état sauvage Eteint Espèces indigènes Espèces endémiques Total Flore Native Espèces patrimoniales Total (1) Rend compte uniquement des extinctions connues. Certaines espèces ont pu disparaître sans laisser de trace (notamment les herbacées et fougères). (2) Espèces citées par d'autres auteurs par le passé n'ayant pas été observées lors de nos missions de prospection. Il est possible que certaines espèces aient disparu de l'île ou que la détermination de l'espèce ait été erronée. Photos de la page antérieure : A : Ipomoea pes-caprae : Espèce indigène vulnérable B : Blechnum paschale : Fougère endémique en danger critique d extinction C : Triumfetta semitriloba : Petit arbre indigène en danger critique d extinction A B C 20 21

12 Conservation ex situ de la flore native Elle a pour objectif de conserver les espèces en voie de disparition au sein de la pépinière Mataveri Otai : Créer une banque de semences Cultiver et conserver les espèces en pépinière Multiplier les plants pour une future réintroduction en milieu naturel Ce travail a impliqué les tâches suivantes: Collecte des semences et plantules dans la nature Etiquetage et stockage des semences au laboratoire de la pépinière Germination des graines et repiquage des plantules Suivi et analyse des méthodes de germination Conservation in situ de la flore native Cette composante innovante du projet a été développée dans le cadre du «Projet pilote de restauration écologique» cofinancé par le Critical Ecosystem Partnership Fund (CEPF), lequel a impliqué la restauration écologique de 3 sites d'intérêt écologique et patrimonial correspondant à différents types de végétation naturelle encore présents sur l'île : Cratère du volcan Rano Kau: forêt de pente intérieure du cratère. Plage d Ovahe : végétation côtière. Volcan Rano Raraku: végétation de bordure de zone humide. Le principe d intervention est le même dans les trois sites sélectionnés et se divise en cinq phases successives : 1. Mise en place de parcelles d'étude permanentes et inventaire de la diversité et abondance des plantes indigènes et introduites. 2. Installation de panneaux informatifs sur le travail effectué. 3. Elimination des plantes introduites envahissantes dans les «parcelles traitées» par opposition aux parcelles non intervenues appelées «parcelles témoins». 4. Suivi de la régénération de la végétation (indigène et introduite) en comparant les parcelles traitées et témoins. 5. Réintroduction de plantes indigènes. Laboratoire Semis de Caesalpinia major après préparation des graines Les premiers résultats de ce projet ont été contrastés selon les différents sites. Le succès des actions pilotes devra être confirmé par le suivi à moyen terme et les protocoles seront adaptés et améliorés pour mettre en place des actions à plus grande échelle. Le protocole de restauration et les résultats du pilote sont détaillés dans les rapports d experts (JY Meyer, R. Taputuarai) disponibles sur le site web : Repiquage de boutures de Lycium sandwicense Jeunes plants de Tetragonia tetragonoides Mesures préalables aux actions de restauration sur le site de Rano Kau Dr JY Meyer Février

13 Lutte contre les plantes envahissantes Un programme de lutte contre les plantes envahissantes a été mis en place en 2011 à l intérieur du cratère Rano Raraku (13 hectares). Ce site présente d importantes colonies de crotalaire (Crotalaria grahamiana), mélinis (Melinis minutiflora), de goyave (Psidium guajava) et de chardon (Cirsium vulgare). Outre le risque de propagation et de colonisation, ces plantes, en particulier la goyave, présentent un risque de dégradation des sites archéologiques par leur développement racinaire. Ce processus initial de contrôle des plantes envahissantes implique un travail important, tant mécanique (débroussaillage, tronçonnage) que manuel (élimination des résidus, nettoyage autour des vestiges) et doit être réalisé avec beaucoup de précaution compte tenu de la présence de vestiges archéologiques. Depuis 2012, le contrôle secondaire (élimination des repousses et inflorescences) est assuré par un entretien régulier du site par les agents de la CONAF. Publication du livre «Plantes de Rapa Nui» Afin de consigner et diffuser au plus grand nombre les avancées de la recherche sur la flore pascuane, les importants résultats obtenus en termes de connaissance et de conservation de la flore native de l Ile de Pâques ont fait l objet d une publication Publié grâce à l appui du Critical Ecosystem Partnership Fund (CEPF) et cofinancé par la CONAF et la Délégation Régional de Coopération Francaise pour le Cône Sud, ce livre intitulé «Plantes de Rapa Nui Guide illustré de la flore d intérêt écologique et patrimonial» se compose de 3 chapitres : - Plantes natives - Plantes d introduction polynésienne - Plantes introduites envahissantes Le premier tirage s est élevé à livres qui ont été distribués de manière gratuite à la communauté, aux écoles, associations, réseaux scientifiques du Pacifique, Institutions publiques et autorités locales, l objectif principal de cet ouvrage étant d améliorer et de diffuser les connaissances sur la flore native et de sensibiliser aux besoins de conservation. La réalisation de cette publication a fait l objet d une étroite collaboration entre ONF International, CONAF et la Délégation à la Recherche de Polynésie Française. Avant : Invasion de goyavier/crotalaire L initiative fut largement saluée par les autorités chiliennes, les milieux scientifiques et la communauté Rapa Nui et considérée comme un ouvrage de référence sur la flore pascuane. Une version numérique est visualisable et téléchargeable sur le site internet du projet : Après élimination des espèces invasives 24 25

14 Gestion durable de l élevage Devant la conjoncture positive suite à la première réunion de montage du programme élevage en mai 2011, la table de travail a rapidement mobilisé un cofinancement Umanga mo te Natura, CONAF et CONADI (Corporation Nationale de Développement Indigène) afin de mettre en place les outils nécessaires au montage du programme d amélioration de la conduite de l élevage à l Ile de Pâques : Création du Comité élevage : groupe de travail réunissant 3 représentants des éleveurs, Sasipa (entreprise gérant plus de 900 têtes de bétail sur l Ile), CONADI, Municipalité, Service Agricole et d Elevage, CONAF et ONFI ; Rencontre d un éleveur durant la mission d expertise Réalisation d un diagnostic technico-social de l'élevage à Rapa Nui (recensement, situation productive, sanitaire, composante socioculturelle) finalisé en Novembre 2011 ; Réalisation d une enquête auprès de la population : perception de l activité d élevage par la communauté locale (Décembre 2011) ; Ateliers de diffusion des résultats de l étude avec les éleveurs ; Intervention d un expert élevage du Bureau Français de Coopération Technique Internationale (Janvier 2012) pour l appui à la valorisation des résultats du diagnostic et l élaboration de propositions techniques. Réunion du Comité Elevage Les résultats du diagnostic et de l enquête ainsi que les recommandations de l expert ont permis d alimenter les réflexions du groupe de travail pour aboutir à l élaboration d un programme de travail concerté, le «Programme d Elevage Durable» prévoyant la mise en place d actions pilotes pour la gestion durable de l élevage (technification et réduction du cheptel, diversification et reconversion, canalisation du bétail). Ces actions sont en cours d implémentation via le «Bureau de l élevage» récemment constitué et financées principalement par CONAF et la Municipalité. Dégâts sur les sols du site patrimonial de Rano Raraku dû aux chevaux non contrôlés 26 27

15 Coordination du projet Lancement de la phase La cérémonie de lancement officiel du projet a été organisée le 12 mai 2011 avec la venue des dirigeants de la CONAF Centrale et d un représentant de l Ambassade de France au Chili. Pour l occasion, une journée de plantation a été organisée avec la communauté. Evénement de clôture Un événement de clôture de la phase d activité a été organisé pour présenter les résultats et réfléchir aux futures orientations du projet avec les autorités, institutions et autres acteurs locaux. L activité de restitution s est achevée avec une sortie de terrain à Poike afin de montrer les résultats de la récupération des sols aux chefs de services. Cette journée a également été l occasion du lancement officiel du livre «Plantes de Rapa Nui Guide illustré de la flore d intérêt écologique et patrimonial» et sa remise aux autorités et acteurs locaux. Table de travail La table de travail du projet s est réunie à douze occasions : élaboration du programme, suivi des avancées ou thèmes de travail spécifiques. En plus des membres permanents, le Conseil des Monuments Nationaux et l Organisme de Gestion de la Destination Rapa Nui (OGD) ont été invités à participer aux tables de travail sur des thèmes spécifiques. Les réunions ont été organisées tour à tour chez chacune des institutions membres. Plusieurs sorties de terrains ont été effectuées. Séminaire de restitution Visite de terrain avec les autorités locales Signature de la convention à l Ile de Pâque Réunion de la Table de travail Remise du livre au Groupe de Médecine Traditionnelle et au représentant du Gouverneur 28 29

16 Diffusion et Communication Un site Internet a été mis en place comme outils de communication et de diffusion des activités du projet. Il comporte les rubriques suivantes : Le Projet : objectifs, esprit, fonctionnement Présentation des Partenaires du projet Activités : description des lignes de travail du projet et articles relatant les activités organisées Agenda et Actualités Ressources : publication des rapports, vidéos, articles sur le projet Contact Ce site dispose d une version française et espagnole : Umanga mot te natura dans la presse : 3 Articles de quotidiens nationaux chiliens et 2 de magazines internationaux (National Geographic, GEO) sur le projet et ses actions. Téléchargeables sur rubrique «Media». Article du National Geographic (Sept 2012) 11 Programmes à la radio locale Manukena : agenda des activités du projet, avancées des travaux, interview d experts Réalisation de 6 programmes TV sur les activités du projet : diffusion sur la chaine locale (Mata o te Rapa Nui) et nationale «Canal13». Vidéos visualisables sur rubrique «Media». Studio de la radio Manukena 30 31

17 Participation au Salon ExpoAmbiental à Santiago (octobre 2011) : présentation du projet, communication et recherche de financements. Conclusion Stand au Salon Expoambiental Sept ans après la mise en œuvre des premières actions pilotes et trois ans après le lancement de la phase «opérationnelle» d Umanga mo te Natura à l ile de Pâques, l important programme environnemental et participatif accompli a permis : Conception de matériel de communication : casquettes, polos, T-shirt, autocollants à l effigie du projet et distribués lors des activités d éducation à l environnement. D avoir aujourd hui un projet connu et reconnu par les acteurs locaux et nationaux, de par sa durabilité, ses activités emblématiques (éducation à l environnement, récupération des sols, conservation de la Biodiversité ) et sa marque «Umanga mo te Natura» ; D aboutir à un mode de fonctionnement de plus en plus autonome sur l Ile : formation, transfert de compétences vers les acteurs locaux, appropriation des activités par les partenaires (exemple : les plantations communautaires) ; La marque «UMANGA MO TE NATURA» En plus du succès de ses activités, le plan de communication et d appropriation du projet mis en place a permis d aboutir aujourd hui à la reconnaissance et à l identification du projet par les autorités et institutions locales, mais aussi par la communauté et les touristes de passage. La recherche de nouveaux axes d intervention pour le projet, témoignant d'une réelle volonté commune d'avancer ensemble vers un aménagement durable du territoire Rapa Nui. De devenir, en tant que projet, un moteur du développement durable et participatif pour l Ile de Pâques, grâce à ses activités innovantes et son mode de gouvernance basé sur les acteurs locaux. Au niveau national, grâce aux articles, programmes télé et les publications, Umanga mo te Natura est de plus en plus identifié et reconnu. Enfin, le site web ainsi que les articles de presse dans des magazines renommés ont donné au projet une visibilité internationale. Novembre 2013 Auteurs : A. Dubois, P. Lenne et M. Chesnes, ONF International Crédits photos : ONF International 32 33

18 Le projet «Umanga Mo Te Natura» (expression Rapa Nui que l on peut traduire par «travaillons ensemble pour la nature»), est mis en œuvre par ONF International et la CONAF. Parmi les partenaires du projet, la Corporation Nationale de Développement Indigène, le Service Agricole et d Elevage, le Service National du Tourisme, et le Programme Territorial Intégré Tarai Henua. Education environnementale Protection et mise en valeur de sites patrimoniaux Récupération des sols dégradés Préservation de la biodiversité Gestion durable de l élevage Retrouvez-nous sur ONF International Paris, France Anthony Dubois Tél : +33 (0) anthony.dubois@onfinternational.com ONF Conosur Santiago, Chili Pierre Lenne Tel: plenne@onfconosur.com 34

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