PRISE EN CHARGE D UNE PLEURESIE METASTATIQUE J.CHAPRON - FOUCHE
|
|
- Augustin Gascon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PRISE EN CHARGE D UNE PLEURESIE METASTATIQUE J.CHAPRON - FOUCHE
2 Généralités La Pleurésie métastatique est une forme fréquente de maladie néoplasique disséminée ou avancée. (6 mois d espérance de vie), sauf pour les localisations lymphomateuses et mammaires. 65% des pleurésies malignes sont représentées par les métastases de cancer du poumon (40-45% ) et sein (20%) Autres étiologies: lymphomes hodgkiniens et non hodgkiniens (10%), cancer de l ovaire et cancers digestifs L existence d une pleurésie métastatique d un cancer pulmonaire le classe en stade IIIB La prendre en charge améliore la dyspnée et la qualité de vie Diagnostic and therapeutical management of malignant pleural effusion, Tassi, Ann Oncol 2006 Mar, 17
3 Mécanismes Envahissement de la plèvre viscérale par voie hématogène ou par contiguïté, bloquant les voies de résorption du liquide pleural, avec blocage du système lymphatique NB Diagostic différentiel: autres pleurésies «paratumorales»: pas de pleurésie métastatique, mais pleurésie réactionnelle à une compression bronchique, une atélectasie pulmonaire, une pression oncotique basse liée à la cachexie, ou secondaires aux traitements spécifiques de la maladie (radiothérapie, méthotrexate, cyclophosphamide, bléomycine.) Manifestations cliniques: peu spécifiques Dyspnée 96% Toux 44% Douleur thoracique 56% 25% des patients sont asymptomatiques Radiologie (RP, TDM, IRM) Peut aider à discerner si l épanchement pleural est la cause de la symptomatologie: quantité estimée, cloisonnement, recherche de signes indirects de poumon bloqué, lymphangite carcinomateuse, obstruction bronchique
4 Management of malignant pleural effusions Bennett, curr opin pulm med 2005 jul; 11(4) Ponction pleurale à l aiguille Pleurésie exsudative : > 30 g/l de protides pleuraux, ratio LDH pleuraux/ldh sériques >0,6, ratio protides pleuraux/protidémie>0,5; 50% des pleurésies exsudatives sont des pleurésies malignes Cytologie du liquide pleural : apporte le diagnostic dans 60% des cas de pleurésies malignes, et 30% des cas de mésothéliome, malgré les progrès de l immunohistochimie Bilan étiologique: examen clinique, biologie, radiologie, et endoscopie à la recherche d un primitif immunohistochimie sur le liquide pleural (récepteurs oestrogène, progestérone, récepteur HER-2/neu, c-erbb2, TTF1) CA 549 sensibilité de 49% et spécificité 99% pour le diagnostic de pleurésie maligne, ACE dans bronchiques non à petites cellules, et CA 15-3 dans le cancer du sein. La combinaison de CA 549, ACE et CA 15-3 positifs montre une forte probabilité pour le mésothéliome et faible pour le cancer du sein Analyse facteurs de croissance (VEGF) et analyse chromosomique polysomie 7 et 9 dans le mésothéliome, perte d allèle dans le cancer du sein, atteintes spécifiques du lymphome ou de la LA
5 Biopsie pleurale Biopsie à l aveugle à l aiguille d Abrams ou Biopsie scano-guidée sensibilité 47 % VS 87% Seulement 7 à 12% des patients à cytologie négative auront un diagnostic par biopsie pleurale à l aveugle. Contre-indications d hémostase et si infection cutanée en regard. Complications pneumothorax, hémothorax, douleur. Thoracoscopie reste le gold standard pour l exploration des pleurésies cytologienégatives: sous AG avec ventilation à 1 poumon sensibilité >95% pour les pleurésies malignes, permet d être thérapeutique en même temps (pleurodèse) 10% des pleurésies malignes resteront sans primitif retrouvé
6 Prise en charge d une pleurésie métastatique L indication de la prise en charge spécifique d une pleurésie métastatique repose sur les symptômes du patient, la taille de l épanchement, l espérance de vie du patient et son performans status = TRAITEMENT DE CONFORT La pleurésie se reproduit à 90% dans les 30 jours Ponction pleurale évacuatrice répétée : si patient symptomatique, avec faible espérance de vie et faible PS : 80% de récurrence dans les 30 jours Par ponctions itératives ou par le biais d un mini cathéter intrapleural tunnélisé. Aucune contre-indication à la ponction itérative Pleurodèse chimique ou mécanique, au lit du patient ou chirurgicale. Chirurgie: pleurectomie Shunts pleuropéritonéaux
7 Pleurodèse La pleurodèse utilise un agent intrapleural pour fermer l espace intrapleural, prévenir l accumulation de liquide et améliorer la dyspnée. Facteurs prédictifs de moins d efficacité de la pleurodèse: glycopleurie <60 mg/dl, ph pleural<7,20, LDH pleural>600u/l Par thoracoscopie ou au lit du patient Différents agents: talc +++, bléomycine, corynébacterium parvum, et d autres irritants pro inflammatoires. Modes d actions: créer l inflammation pour induire l adhésion, et produits chimiothérapiques Efficacité max 95% (talc) Le succès suppose une bonne réexpansion du poumon
8 Alternative widely available, inexpensive agents for pleurodesis Dikensoy, Curr. Opin. Pulm. Med.2005 Jul;11(4) Quels sont les agents utilisés pour la pleurodèse? Talc le moins cher, peu d effets secondaires (détresse respiratoire dans 4% des cas, dose-dépendante), médical ou commercial, 96% efficacité Bléomycine: chère et pas plus efficace (72 à 84%), 45% d absorption systémique, mais pas d effet antinéoplasique dans cette indication. Tétracycline injectable: moins efficace, pas disponible dans tous les pays Formes orales de doxycycline: même efficacité que formes injectables, pas plus d effets secondaires Nitrate d argent : peu cher, mais induit une réaction cytokinique avec pleurésie exsudative importante, douleur, Quinacrine: technique des scandinaves; efficacité 66% (< talc), peu cher, peu d effets secondaires ( qqfois, fievre et douleur) Bétadine: 90% succès pas d effets secondaires Autres: interféron, interleukine, chimiothérapies (cisplatine, aracytine, mitoxantrone),mais nécessitent plusieurs instillations, fibrinolyse quand pleurésie trop cloisonnée, Superantigène de staphylocoque doré (puissant stimulant de cellules-t)
9 The evidence of effectiveness of management for malignant pleural effusion: a systematic review C. Tan, Eur J Cardiothorac Surg, 2006 May; 29(5): Revue des essais randomisés contrôlés de 1980 à 2003 (Medline, Embase, web of science, Cochrane database) sur les techniques de pleurodèse En comparant le talc à la bléomycine: pas de réduction significative de la récurrence de la pleurésie avec bléomycine ( RR=0,34), de même pas de réduction significative avec tétracycline vs talc, pas de différence significative entre bléomycine et tétracycline Si on compare chimio intrapleurale + immunothérapie intrapleurale vs chimio seule: bénéfice à l association Pas de différence entre mitoxantrone et mépacrine Réduction de récurrence tout juste significative entre talcage par vidéothoracoscopie et au lit, mais études avec peu de patients, et résultats non significatifs pour la tétracycline (vidéothoracoscopie vs lit) Faut-il faire bouger les patients après pleurodèse au lit? 2 études une avec talc, l autre avec tétracycline :aucune différence en terme de récurrence de la pleurésie, et la scintigraphie au talc marqué ( 99m Tc-sestamibilabelled) montre la même dispersion du talc, que le patient ait été tourné ou non.
10 Pas de différence selon les protocoles de drainage ( jusqu à tarissement, ou retrait du drain 24h après le talcage) Pas d indication à un drain de gros calibre ( pas de différence significative de récurrence selon le calibre du drain, et les plus gros drains sont plus inconfortables) études comprenant peu de patients, mais le talc reste une bonne option, Petit avantage à la vidéothoracosopie en terme d efficacité, mais mince, et confort ++ du talcage au lit L avantage de la vidéothoracoscopie est de permettre des biopsies pleurales ciblées Et La pneumopathie au talc? Le petites particules de talc passeraient dans la circulation et provoqueraient une réponse inflammatoire systémique cytokinique, mais reste très rare.
11 Chemical pleurodesis for malignant pleural effusions Walker-Renard, Ann intern Med, 1994;120
12 Video- assisted management of malignant pleural effusion in breast carcinoma Gasparri, Cancer 2006 Jan 15; 106(2) 71 pleurodèses au talc par vidéothoracoscopie Taux de succès ( pas de récurrence ou fine lame d épanchement à 1 mois) 89% 100 % de diagnostic par biopsies pleurales dirigées Le taux d expression des récepteurs hormonaux permet de prédire une bonne réponse à l hormonothérapie Survie médiane de 17 mois Le seul facteur pronostic modifiant la survie est le nombre de sites métastatiques Recours plus facile à la vidéothoracoscopie
13 Malignant pleural effusion treatment outcomes: pleurodesis via video-assisted thoracic surgery versus tube thoracostomy Luh, Thorac Cardiovasc Surg 2006 Aug Étude rétrospective sur 148 patients: 82 VATS sous AG, avec collapsus du poumon, avec pleurodèse selon différentes techniques, retrait du drain quand <100 ml/j 66 drainages avec anesthésie locale et pleurodèse par talc ou minocycline Résultats: Durée de drainage significativement plus longue avec le drain thoracique (9,1j vs 6,2j) Même médiane de survie Survie sans récurrence significativement plus longue pour VATS (4,30 mois vs 2,60 mois) VATS est donc une bonne option si le patient peut supporter la chirurgie, et a l avantage d être diagnostique
14 Management of recurrent malignant pleural effusion with chemical pleurodesis Kilic,, Surg Today, 2005;35(8) Étude rétrospective sur 108 patients ayant bénéficié d une pleurodèse chimique pour pleurésie néoplasique. Comparaison des techniques: drainage, VATS, minicathéter, minithoracotomie, et des agents de pleurodèse: talc, tétracycline, bléomycine. Résultats: Talc est plus efficace sur le taux de récurrence que la bléomycine et la tétracycline Indication drainage simple + pleurodèse quand diagnostic déjà posé VATS quand pas de diagnostic
15 Management of malignant pleural effusion by multimodality treatment including the use of paclitaxel administered by 24-hour intrathoracic infusion for patients with carcinomatous pleuritis Ohta, J Exp Clin Cancer Res 2006 Mar; 25(1) Étude sur 13 patients porteurs de cancer pulmonaire ou mammaire, de taxol intrapleural (haut poids moléculaire, forte concentration intrapleurale et faible diffusion systémique): 120 mg/m2, introduit par un drain pleural, clampé 24 h, et retiré quand le drainage pleural est < 200 cc/j Traitement chirurgical primitif associé ou chimiothérapique Part de la chimiothérapie intrapleurale dans l amélioration? Pas de réelle toxicité et fable récurrence de pleurésie
16 Malignant pleural effusion, current and evolving approaches for its diagnosis and management Neragi-Miandoab, Lung Cancer 2006, oct ; 54(1) Pleurodèse mécanique: Par thoracoscopie Même efficacité que la pleurodèse au talc (92% VS 91% dans une population de 87 cancers du sein) Semble être plus efficace si le ph du liquide pleural est bas (7,06) Complications saignement, pas de réexpansion pulmonaire, emphysème sous-cutané.
17 Single-center experience with 250 tunnelled pleural catheter insertions for malignant pleural effusion Tremblay, Chest 2006 feb; 129(2) Analyse rétrospective sur 250 patients ayant bénéficié de la pose d un cathéter pleural tunnelisé Pose en ambulatoire, échoguidée, d un cathéter intrapleural. À domicile, branchement trois fois par semaine par une infirmière pour évacuation de la pleurésie (quantité évacuée selon tolérance et symptômes) Suivi en consultation externe toutes les 6 à 8 semaines Retrait du cathéter quand quantité évacuée <50 ml à trois évacuations successives, et après contrôles radiologique de la non-reproduction de la pleurésie Durée moyenne de drainage 56 jours Pas de nécessité d autre technique (recours à la fibrinolyse, à la pleurodèse, et au drainage standard ) dans 91% des cas, succès qq soient les techniques antérieures utilisées, ambulatoire et bien toléré Complications : échec de pose 4% Cloisonnement de la pleurésie 13% empyème 3% PNO, fistule bronchopleurale, emphysème SC 2,5%
18 Outpatient management of malignant pleural effusions with small-bore, tunneled pleural catheters Musani, Respiration nov-dec;71 (6) Utilisation de mini-cathéters tunnelisés intra-thoraciques, pour éviter une prise en charge chirurgicale et une longue durée d hospitalisation Étude rétrospective sur 24 patients ayant bénéficié d une pose de cathéter tunnélisé Indications: espérance de vie estimée< 3 mois, maladie primitive avancée, persistance de symptômes ou dyspnée après pleurodèse, radio évoquant une pleurésie facilement drainable, d allure non cloisonnée. Pose sous sédation légère consciente, par hypnovel/fentanyl, sur guide. Drainage à domicile par le patient ou une IDE à domicile, tous les jours Retrait du cathéter quand < 50 ml sur trois jours consécutifs
19 Résultats Durée moyenne de drainage 39 jours Amélioration chez tous les patients des symptômes Symphyse pleurale complète dans 58% des cas. Disparition des symptômes 100% des cas Même si la pleurodèse n est pas totale, le patient est tout de même soulagé de ses symptômes Peu d effets indésirables (1 cellulite au point de ponction,3 ensemencements du liquide pleural) Pas d apparition d hypo protidémie Approche peu coûteuse, très peu invasive
20 Chemical pleurodesis to improve patients quality of life in the management of malignant pleural effusions Brega-Massone, Surg. Laparosc. Endosc.parcutan.tech., 2004 apr; 14(2) Étude rétrospective de janvier 87 à mars 2002, sur 565 patients ayant bénéficié de pleurodèse chimique sous AG pour pleurésie néoplasique récidivante 63% par VATS, 37% par mini-thoractomie Origine de la pleurésie inconnue dans 66% des cas avant la chirurgie : suggérée par la cytologie du liquide pleural dans 40% des cas, et totalement inconnue dans 26% des cas. VATS et mini-thoracotomie permettent biopsies pleurales, pleurectomies ou résections apicales, biopsies d adénopathies médiastinales Agent sclérosant: talc, alcool. Résultats: 39% de cancers du sein, 27% de cancers bronchiques non à petites cellules,19% mésothémiomes malins, 7% de sarcomes métastatiques, 6% de tumeurs gynécologiques métastatiques. Pas de récurrence de la pleurésie dans 75% des cas à 5 mois Efficacité talc 83%, alcool 55%
21 Mini-thoracotomie est associée à une morbidité et une mortalité plus importante, un temps chirurgical plus long, une durée d hospitalisation plus longue, à des douleurs plus importantes et plus difficilement contrôlées que pour la VATS Ces techniques sont palliatives, réalisées dans un but de qualité de vie,, et dans cette optique, la VATS est un bon compromis.
22 Techniques chirurgicales Pleurectomie et décortication Peu recommandées pour la plupart des patients en raison de leur lourdeur, de la durée d hospitalisation qu elles engendrent Ce sont des procédures dangereuses 12,5% de mortalité périopératoire et 10-20% d oxygénodépendance postopératoire, Complications hémorragiques, infectieuses, défaillance cardiaque. à réserver à des cas particuliers : poumon non réexpansible, debulking, récurrence de pleurésie métastatique après talcage.
23 Shunts pleuro-péritonéaux: indication quand poumon non réexpansible et patient symptomatique, avec reproduction de la pleurésie et ne pouvant supporter une chirurgie efficacité entre 73 et 100%, mais 25% d occlusion de shunt à 2,5 mois, et complications infectieuses, et d ensemencement tumoral, assez fréquentes.
24
25 Traitements non spécifiques Pour certains patients trop fragiles, l observation est une bonne option, traitement antalgique adapté, quelquefois cathéter épidural Chimiothérapie adaptée au primitif
26 conclusion Le but de la prise en charge d une pleurésie métastatique est palliatif: Soulager les symptômes, principalement la dyspnée et la douleur, et prévenir la reproduction de la pleurésie, La pleurodèse au talc (par VATS ou au lit) et mécanique par VATS sont les techniques les plus utilisées actuellement; Les moyens de la prise en charge sont adaptés à l état du patient et à son espérance de vie.
27 Management of malignant pleural effusions, Grossi, Drugs 1998;55
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailRÉSUMÉ ABSTRACT. chirurgie thoracique
Évolution de la prise en charge chirurgicale des cancers pulmonaires en France : lobectomie mini-invasive versus lobectomie par thoracotomie d après la base de données nationale Epithor Sophie Guinard,
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailCancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009
Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailiuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN
iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN jj) Numéro de dépôt: 90403174.7 Int. Cl.5: A61 K 37/66 g) Date
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailLobectomie pulmonaire vidéo-assistée : technique, indications et résultats
J Fran Viet Pneu 2012; 03(08): 1-65 2012 JFVP. All rights reserved. www.afvp.info JOURNAL FRANCO-VIETNAMIEN DE PNEUMOLOGIE Journal of French-Vietnamese Association of Pulmonology ARTICLE ORIGINAL Lobectomie
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailRETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORAX
Marcelcave, le 10 février 2009 RETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORA Drs Marie-Claude LELEU et Pierre DUPONT 1 PRE TEST Vrai Faux Les complications chirurgicales après chirurgie thoracique sont fréquentes.
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détail«Actualités et aspects pratiques de l antisepsie»
Symposium Pharma «Actualités et aspects pratiques de l antisepsie» Modérateur : Joseph Hajjar Quelle antisepsie pour quel acte? Dr Olivia KEITA-PERSE Centre Hospitalier Princesse Grace Monaco Antisepsie
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détailA. Sardet *, O. Marteletti, I. Maboudou. Service de pédiatrie, centre hospitalier Docteur-Schaffner, 99, route de la Bassée, 62307 Lens cedex, France
Revue française d allergologie et d immunologie clinique 45 (2005) 525 529 http://france.elsevier.com/direct/revcli/ Pneumocoque et infections respiratoires basses prise en charge de l épanchement chez
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détail24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE?
24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? I. Kriegel, C. Thinlot, M. Arsicault, A. Mauduit, M. Varenne, A.-B. Knoche,
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailComprendre la chimiothérapie
Comprendre la chimiothérapie Réédition actualisée 2008 c o l l e c t i o n Guides d information Le déroulement d une chimiothérapie Son action Ses aspects pratiques Ses effets secondaires La surveillance
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailLe traitement chirurgical du cancer bronchique non à petites cellules
Série «considérations chirurgicales pour le pneumologue» Coordonnée par V. Ninane et G. Decker Le traitement chirurgical du cancer bronchique non à petites cellules P. de Leyn 1, G. Decker 1, 2 1 Hôpital
Plus en détailLes tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.
Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines
Plus en détailGUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération
GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détail