La collaboration en contexte
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- Nicole Lemieux
- il y a 7 ans
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1 Lavoie, J., Universitéde Sherbrooke, Beaumont, C., Université Laval, Couture, C., Universitédu Québec àtrois-rivières. Bref survol des connaissances actuelles concernant les pratiques collaboratives en milieu scolaire pour aider les élèves en difficulté d adaptation (perceptions, bénéfices, obstacles). Pratiques collaboratives en contexte québécois: des équipes-école ayant vécu leurs pratiques collaboratives de façon satisfaisante (résultats partiels de Beaumont, Couture et Lavoie, en cours). Questionnement sur la formation initiale des futurs professionnels de l éducation pour les initier aux approches collaboratives en milieu scolaire et pistes de solutions.
2 La collaboration en contexte «La collaboration entre tous les intervenants de l éducation est la fondation même de l école inclusive [ ]» (Rousseau et Bélanger, 2004, p. 349) Mesures préventives Interventions communes, cohérentes et concertées EHDAA L éducation, la santéet le bien-être des enfants relève d une responsabilité collective Analyse systémique Résolution de problème Prescriptions ministérielles du Québec Travail collectif à la base de l instauration de plusieurs réformes Ministères MELS (MSSS) Programmes, prescriptions et politiques École Intervenants réseaux MSSS (CLSC, Centre jeunesse) (organisation) Enseignants Collaboration Élève à risque Inclusion Direction d école Commission scolaire Professionnels scolaires (services complémentaires) parents Ontosystème Microsystème Mésosystème Exosystème Macrosystème
3 Qu est-ce que l on entend par collaboration interprofessionnelle? Développement de la dynamique collaborative Structure relationnelle Dynamique collaborative Structure organisationnelle Structure identitaire Corriveau, Boyer et Striganuk, 2006.
4 Les modes de collaboration Mode individualiste: Isolé, porte close Faible niveau de participation Pratique parallèle Balkanisation: Équipes divisées et rivales Formées par affinités But: faire face aux autres La grande famille: Forte solidarité Orientée vers la sociabilité Évitement des conflits Climat amical Collégialité contrainte: Injonction à collaborer par le haut Coopération professionnelle: Travail en interdépendance Innovation Préférences pour partager sur des questions pratiques, dans un cadre plus informel. Bénéfices des pratiques collaboratives Pour les intervenants Partage d expertise et des responsabilités; Interventions adaptées, cohérentes, innovantes; Développement professionnel; Sentiment d efficacité accrue; Amélioration des stratégies d enseignement; Attitude plus positive face à l inclusion des EHDAA; Brise l isolement, support moral, entraide professionnelle; Diminution du stress; Persévérance, enthousiasme, confiance; Facilite l insertion professionnelle, l appartenance. Pour l élève Analyse globale des besoins et optimale; Relation plus positive enfantenseignant-parents; Diminution des suspensions, expulsions; Stabilisation de la fréquentation scolaire; Accroissement des performances scolaires; Diminution du redoublement; Qualification accrue; Motivation, attitude plus positive face à l école; Estime de soi plus élevé.
5 Temps Respect Expertise Humilité Stabilité Partage du pouvoir Support Matériel (TIC) Souplesse Ouverture Écoute Volontariat Proximité Gestion des conflits Communication Taille de l école Autosuffisance Partage d information / confidentialité Jugement Méconnaissance Individualisme Formation déficiente Temps Cloisonnement disciplinaire Climat compétitif
6 Or. Les guerres d expertise, les jeux de pouvoir, le cloisonnement par silos professionnels vécus dans certaines pratiques collaboratives favoriseraient parfois l exclusion scolaire de l EHDAA, notamment l élève atteint de TDAH (Walting, 2004). Prises de décisions basées sur des jugements de valeur (genre, statut socio-économique, origine ethnique). Stratégies qui manqueraient parfois de créativité(perception négative, force des plaintes, disponibilité des ressources). Dynamique parfois difficile entre la relation d expert et la relation de partenaire (batailles de discours et de territoires, relationde contrôle et de conflits). En 1991, (CSE) les formes les plus courantes de collaboration relevées se faisaient entre le personnel de même discipline.
7 Constat Il existe un écart entre les prescriptions ministérielles de collaboration initiées par le MELS et les pratiques collaboratives réellement observées en milieu scolaire. Bien que dans certains milieux les pratiques collaboratives sont perçues comme étant contraignantes, ajoutant de la lourdeur à la tâche, certains milieux persistent à concevoir ces pratiques comme étant facilitantes. C est pour mieux comprendre ce qui pousse certaines équipes-école à maintenir et à développer leurs pratiques collaboratives, malgré les obstacles rencontrés dans leurs milieux, que la prochaine recherche a été menée Perceptions d intervenants scolaires qui vivent leurs pratiques collaboratives de façon satisfaisante qu ont-ils à nous apprendre?
8 Favorise le développement intégral de l élève et son insertion dans la société Instaure des programmes selon le nouveau régime pédagogique Décentralisation de certains pouvoirs vers les écoles Services intégrés à partir des besoins spécifiques de chaque élève
9 Les participants 8 groupes collaboratifs provenant de 6 commissions scolaires Préscolaire: 1 Primaire: 5 Secondaire: 2 Au total: 41 participants 4 hommes et 37 femmes Âge moyen: 40 ans 3 mois ( de 27 à 58 ans) Nbre moyen d années d expérience: 16 ans 6 mois ( de 6 mois à 34 ans)
10 Qui se réunit autour des services éducatifs complémentaires? Fonctions Primaire Secondaire Psychologue 1 - Enseignant 9 - Conseiller pédagogique 3 - Direction ou son représentant 2 2 Orthopédagogue 3 - Orthophoniste 2 - Éducateur Psychoéducateur 4 3 Enseignant spécialiste 5 - Travailleur social - +1 Conseiller/orientation - 2 Infirmière scolaire - 1 Total: signifiant que la ressource vient de l extérieur de l école Collaborer dans quels buts? Aider l élève en difficultéàs adapter et àvivre des réussites. Arrimer les services, coordonner les interventions des divers intervenants. Maximiser et prioriser les ressources. Développer une vision systémique globale de l enfant. Accompagner et soutenir le cheminement des élèves.
11 Objet de collaboration (Quoi?) Identification de mesures de soutien àl élève et à l enseignant. Partage d information. Décisions prioritaires et études de cas. Recherche de ressources et d interventions efficaces. Formation. Conditions de collaboration (Comment?) Facteurs favorables Communication, volontariat, implication, engagement, gestion des conflits. Partage d un but commun. Processus de résolution de problème, analyse systémique des problématiques. Leadership soutenant de la direction, stabilitéde l équipe, agenda structuréet rencontres planifiées, proximitédes lieux, disponibilité des ressources. Attitude d ouverture, esprit d initiative, flexibilité, respect de l expertise de chacun, interconnaissance professionnelle, empathie, écoute.
12 Facteurs défavorables (Obstacles rencontrés) Le manque de temps, gestion des agendas de chacun, absences, manque de locaux, présences dans plusieurs écoles. Clivage entre domaines d expertises, attitude défensive, fermeture, préjugés, prise de contrôle, ingérence dans les dossiers, compétition, secret professionnel vs partage d informations. Stagnation du projet commun, manque de nouveaux défis stimulants. Résistance et critiques des intervenants ou milieux extérieurs. Pression d arriver à des solutions rapides. Motivation àcollaborer (Qu est-ce qui pousse les gens à continuer ) Bénéfices professionnels Source de formation, échange d expertise, innovation, dépassement des limites, développement pratique réflexive. Appartenance accrue, visibilitédes contributions, valorisation, reconnaissance et interconnaissance des rôles de chacun. Brise l isolement, favorise le soutien, l entraide, responsabilités partagées. Cible et valide les interventions les plus efficaces, rentabilité à longs termes, retombées positives chez l élève. Facilite l insertion professionnelle.
13 Bénéfices personnels (Qu est-ce qui pousse les gens à continuer ) Sentiment d efficacité, de pouvoir influencer le cheminement de l élève. Permet une prise de recul, d objectiver, de reconnaitre ses limites. Permet d apprendre àdemander et àaccepter de l aide. Procure du soutien, permet de «ventiler», de partager les problèmes, de se rassurer, de se redonner de l espoir. Création d amitiés, de liens plus personnels. Avoir du plaisir. La formation initiale reçue à l université prépare-t-elle aux pratiques collaboratives?
14 Pourquoi développer d une approche collaborative en formation initiale des maîtres? «L enseignant idéalest perçu aujourd hui par les différents acteurs éducatifs comme devant être un «praticien réflexif», qui mène une pédagogie de type «constructiviste et différenciée»«qui travaille en équipe»et s investit dans la gestion collective de la vie de son établissement.» (Maroy, 2006) En résumé, si le travail collaboratif en milieu scolaire: Brise l isolement des intervenants Favorise le développement professionnel Développe les compétences par un réseau de pairs Contribue au développement d une réflexivité individuelle et collective Facilite la résolution de problèmes particulièrement pour les EHDAA Motive les actions professionnelles Crée de liens interpersonnels Développe le sentiment d autoefficacité des intervenants Soutient professionnellement et personnellement les intervenants Agit à titre de perfectionnement continu Développe l esprit critique Augmente la possibilité de solutions. (Karsenti, 2005 ; Gather Thurler et Perrenoud, 2005).
15 Comment initier les futurs intervenants scolaires aux pratiques de collaboration en formation initiale? Développement des compétences professionnelles en éducation (MEQ, 2001) Agir en tant que professionnel critique. Communiquer correctement (oral et écrit). Créer des situations d enseignement-apprentissage en fonction /élèves/compétences. Piloter des situations d enseignement-apprentissage en fonction/élèves/compétences. Évaluer la progression des apprentissages. Organiser la gestion de classe pour favoriser l apprentissage et la socialisation des élèves. Adapter ses interventions aux besoins des élèves en difficultés EHDAA. Utiliser les T.I.C. Coopérer avec: équipe, parents, partenaires sociaux et élèves/atteinte des objectifs. Travailler avec l équipe pédagogique pour la réussite scolaire des élèves. S engager dans une démarche personnelle et collective dans son développement professionnel. Agir de façon éthique et responsable.
16 Des pistes sur le plan des facteurs favorables identifiés: Communication, volontariat, implication, engagement, gestion des conflits. Partage d un but commun. Processus de résolution de problème, analyse systémique des problématiques. Leadership soutenant de la direction, stabilitéde l équipe, agenda structuréet rencontres planifiées, proximitédes lieux, disponibilité des ressources. Attitude d ouverture, esprit d initiative, flexibilité, respect de l expertise de chacun, interconnaissance professionnelle, empathie, écoute. Des pistes sur le plan des bénéfices personnels: Qu est-ce qui pousse les gens àcontinuer Sentiment d efficacité, de pouvoir influencer le cheminement de l élève. Permet une prise de recul, d objectiver, de reconnaitre ses limites. Permet d apprendre àdemander et àaccepter de l aide. Procure du soutien, permet de «ventiler», de partager les problèmes, de se rassurer, de se redonner de l espoir. Création d amitiés, de liens plus personnels. Avoir du plaisir.
17 Merci! Pour nous rejoindre
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