LE CANCER DU SEIN +++
|
|
- Henri Beaupré
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 R.T LE CANCER DU SEIN +++ Plan du cours : I. introduction II. rappel anatomique et physiologique III. épidémiologie IV. Anatomopathologie V. Dépistage VI. Diagnostic positif VII. Diagnostic différentiel VIII. Formes cliniques IX. Facteurs pronostics du Kc de sein X. Traitement XI. Conclusion II. rappel anatomique : -Canaux galactophores convergent le sinus galactophore l aréole - sein repose sur la cage thoracique. -physiologie : le développement de la glande mammaire est un signe de puberté. Se fait grâce a des hormones : oestrogenes + progestatifs. III. épidémiologie : A/ incidence et mortalité : Europe : nouveau cas / an déces / an France : nouveau cas /an décés /an Maroc : 1 er Kc (cancer) de la femme (avant Kc de l ovaire et de l endomètre), première cause de décès chez la femme
2 B/ facteur de risque : 1. AGE : ans, age moyen 55ans, le risque augmente avec l age, problème : le Kc se rajeunit. 2. Kc de sein et vie génitale : (Kc est hormono-dependant) a. puberté précoce (sécrétion hormonale précoce), ménopause tardive ; ces femme sont plus exposées. b. age a la première grossesse et parité : > 35ans le risque relatif RR=1.5 par rapport a la femme <20 ans, chez les multipares effet protecteur. (car au cours de la grossesse il ya différenciation de la glande mammaire+facteurs hormonaux). c. Contraception orale? Longue durée de prise avant la 1ere grossesse a terme (pillule oestro-progestatif) d. THS : augmentation >15ans ( ttt hormonal substitutif) e. ATCD de pathologies benigness de sein( mastopathies benignes),, hyperplasies atypiques ( lésions prekcereuses). 3. ATCDs familiaux de kc de sein : - si age jeune, Kc bilatéral. - 5 a 10 % des Kc héréditaire : mutation génique BRCA 1 (Chr 17) BRACaA 2 (Chr 13) gene P53 ( sd fraumen) 4. Radiations : Bombe atomique au japon, radioscopie, irradiationen «mantelet». 5. Alimentation : Graisse : RR<1.5, Alcool ; risque dose dépendant A retenir : 60% des femme ayant un Kc de sein n ont pas de FDR connu. IV/ Anatomopathologie : A. Kc in situ :. Carcinome canalaire In situ. Carcinome lobulaire In situ. B. Kc infiltrants :. Carcinome canalaire infiltrants +++ (90%). Carcinome lobulaire Infiltrants..Carcinome mucineux, papillaire, adénoïde kystique, tubuleux, secrétant juvénile, apocrine, métaplasique
3 C. Carcinome inflammatoire D. Mie de paget du mamelon E. Tm non épithéliales :.Sarcomes : mésenchymateux, phalloïdes, angiosarcomes. Lymphomes malins. F. métastases (génital en 1 er ) V/ Dépistage :+++. But : Dc précoce. Dépistage organisé (dépistage en masse) ou résiduel (dépistage ciblé pour les personnes exposés aux FDR). Repose sur : - Auto-palpation mensuelle et examen clinique annuel pour les femmes de moins de 50 ans, plus la mammographie toutes les 2 années une seule incidence oblique externe chez les femmes entre 50 et 69 ans (au delà de 70 ans, diminution de l incidence). Ce dépistage permet une survie a 10 ans d environ 95 %. VI/ Diagnostic +f : A. clinique : 1. CTC de découverte :.Nodule ou tuméfactions découvertes a l auto-palpation+++.examen systématique : découverte de nodule, ADP axillaire, écoulement mammelonnaire uni-pore++ et hémorragique, anomalie cutanée ou de mamelon.. Mammographie : image suspecte.. Forme habituelle : Nodulaire. 2. interrogatoire précise :. ATCD Familiaux de Kc de sein ou Kc hormono-dependant.. ATCD personnels de maladie du sein. Histoire de vie productive.. Symptômes : mastodynie, écoulement,. Date d apparition. Mode évolutif
4 3. examen clinique : Conditions d examen :.bon éclairage.tors nu.bras le long du corps (pur cadrant ext.) puis levés (cadrant int.).position assise puis couchée..examen comparatif des 2 seins (tjrs commencer par le sein sain) Inspection :. Volume des seins.symétrie, voussure.. Modifications cutanées : rougeur, Rx (fossette, ride) ulcération..anomalie de mamelon et de l aréole : pigmentation, rougeur, eczéma Palpation : 5elements = 4 quadrants + region retro-mamelonnaires. - mains bien a plat, quadrant/ quadrant+ aires ggaires - renseigne sur le nombre de tm, leur siége, consistance, adhérence au plan profond et superficiel. - Adhérence au plan profond : manœuvre de Tillaud (adduction contrariée) : la contraction du muscle pectoral immobilise la tm en cas de fixation. - Adhérence au plan supl : le pincement de la peau est impossible. - rapporter le tout par un schéma - Examiner les aires ganglionnaires axillaires. TM malignes = contours irréguliers, consistance dure saillante anguleuse peu mobile voire fixée au plan profond et/ou supl + ADP axillaire (un seul de ces éléments doit avertir et faire rechercher un Kc du sein)
5 B/ paraclinique : 1- mammographie : -examen fondamental au Dc -Tk : comparative, 1ere partie du cycle. Incidence face /profil et prolongement axillaire. - typiquement : opacité stellaire irrégulière se prolongeant par des spicules de disposition radiée microcalcifications+++, vermiculaires groupés en amas. - CI : si femme enceinte, jeune fille < 25 ans 2- échographie mammaire : indispensable et complémentaire. - en faveur de la malignité : Lacune hétérogènes irrégulières, contours flous à grand axe vertical avec renforcement post. Et halo épais hyperéchogène péritumoral. - Indication : femme jeune aux seins denses ou chez la femme enceinte. 3- IRM : -récidives locales. -coût élevé 4- galactographie : - écoulement uni pore ou unilatéral - guide le geste chirurgical (pyramidectomie) - lacune irrégulière ou amputation d un canal galactophorique. 5- cytologie : - partie intégrante du bilan. - Facile, rapide spécifique+++ - Faux positif+ : % - Faux négatif : 2-18 % 6- biopsie : - microbiopsie ou biopsie exérèse ( avec examen extemporané ) - Le triple Dc : clinique + Rx + Cytoponction > 99 a 100% du DC de Kc de sein. Mais en cas de discordance, c est l examen extemporané de la pièce opératoire qui permet de poser le Dc
6 VII/ diagnostic différentiel : A/ tm bénignes kystique ou solides : - adenofibrome, tm phalloïde, kyste. - Examen cytologique et/ou histologique - Ttt : chir. Conservatrice. B/ mastose scléro-kystique : -risque de Kc de sein : 3 a 5 % - ttt / progestatif (pour stopper l évolution) avec surveillance. VIII/ Formes cliniques : A/ formes de sièges particuliers : - Kc bilatéraux - Tm du prolongement axillaire - Tm du sillon sous mammaire - Kc sur sein surnuméraire B/ Kc infra clinique : - découverte fortuite - pas de signes cliniques - Pc meilleur C/ maladie de paget du mamelon : - aspect croûteux ou ulcération du mamelon - extériorisation au mamelon d un carcinome canalaire D/ formes selon terrain : - forme de la femme jeune. - Squirrhe atrophique de la femme âgée rétraction progressive et lente de la glande mammaire. - Forme de femme enceinte et post partum - Kc du sein chez l homme : Pc réservé
7 E/ Kc inflammatoire : - 10% des cas - Pev (poussée évolutive) 2 ou 3 ou Mastite carcinomateuse aigue (tt le sein) - CI a la chirurgie première. - Evolution fatale. F/ Kc métastatique : -os longs, rachis, poumons, plèvre, foie - rarement le cerveau. - diagnostic : bilan clinique et paraclinique (scintigraphie, Rx poumon, écho hépatique, biologie = marqueurs tumoral «CA15-3»qui a un intérêt aussi dans la surveillance). - médiane de survie : 18 mois. IX/ Facteurs pronostic de Kc de sein : +++ QE A. Facteurs cliniques : 1. age : - <35 ans : mauvais Pc (récidive locale x 5) (car : récepteur hormonaux négatif + évolution rapide) -<30 ans ou > 70ans : augmentation du décès hormono ttt) 2. état général : mal appréciée 3. Grossesse : Mauvais Pc ( entraîne un retard Dc et tttq) 4. ménopause : Bon Pc (récepteurs horm. + répondent à la chimio et 5. stade TNM+++ ( premet conduite tttq ) - T : taille de la tm Tx : taille de la tm non identifiée. T0 : pas de tm primitive. Tis carcinome canalaire ou lobulaire In situ ou maladie de paget de mamelon sans tm sous jacente. T1 : tm de moins de 2 cm T2 : tm entre 2 et 5 cm T3 : tm > 5 cm
8 T4 : tm de toute taille avec extension. T4a : extension a la paroi thoracique T4b : oedème ou ulcération de la peau ou nodules de perméation. T4c : à la peau et à la paroi thoracique T4 d : Kc inflammatoire. - N : ganglion Nx : pas possible de définir N0 : pas d ADP N1 : ADP axillaires homolat. Mobiles. N2 : ADP axillaires homolat fixées, entre elles ou a d autres structures N3 : ADP mammaire interne homolatérales. - M : métastases Mx : non definie M0 : pas de metastases M1 : metastases ou ADP sus claviculaires 6. Classification PEV : Kc en poussée évolutive PEVo : absence de signes inflammatoires PEV1 tm a doublé de taille en moins de 6 mois PEV2 signes inflammatoires localisés PEV3 : mastite B/ facteurs histologiques : les + importants envahissement GGre+++ a enlever au moins 10 ganglions ( pronostic est inversement proportionnel au nombre de gg envahis) >10 ggs envahis= mauvais pronostic b association de la taille de la tumeur et de l envahissement ggre affine le pronostic
9 2 Grade histo pronostic de Scarff Bloom et Richardson(SBR) Prends compte : -différenciation cellulaire -pléomorphisme nucléaire -activité mystique. Chaque paramètre est coté de 1 à 3 avec une somme allant de 3 à 9 : Grade I : 3, 4, 5 Grade II : 6 ou 7 (le plus fréquent) Grade III : 8 ou 9 3. types histologiques : a- bon pronostic : Kc tubuleux, mucineux, adénoïde kystique, papillaire, cribriforme, CCI, CL in situ b- Mauvais pronostic : Comedocarcinome(présence de composante canalaire extensive). 4 - Embols vasculaires peri-tumoraux. 5- composante intra-canalaire associée. C/ facteurs biologiques : 1- récepteurs hormonaux : ( des oestrogenes et progestatifs ) si reponse + bon pronostic (répond a la chimio et l hormono thérapie). 2- marqueurs de la prolifération tumorale (cytométrie de flux) 3- Marqueurs Pc des Kc métastatiques, chercher : -intervalle libre (temps entre début de symptomatologie et apparition de metastases). -nbre et siège de metastases -masse tumorale. -Taux de marqueurs sériques : CA
10 X/ traitement : A/ Objectifs : - contrôle loco-regional - prévention ou traitement des métastases. B/ moyens : 1/ Chirurgie:. Chirurgie conservatrice :. tumorectomie.quadrantectomie.pyramidectomie + curage GG axillaire. Chir. Radicale : Mastectomie+ curage gg = Patey. Restauratrice : Prothèses, lombeaux musculaire ( gd dorsal ).. Castration chirurgicale. 2/ Radiothérapie : i. Cobaltothérapie ( 45 a 50 gray) : sein, paroi thoracique, gg axill. +sous claviaire et chaîne mammaire interne ii. Curiethérapie interstitielle : iridium 92 3/ chimiothérapie : a. néoadjuvente : avant l acte chirurgicale pour réduire la taille de la tumeur. b. Adjuvante : après exérèse chirurgicale c. Palliative dans les formes métastatiques C est une chimiotherapie avec +ieurs protocoles ( FAC, FEC, CMF, AC,Taxanes). Durée du traitement : 4 a 6 cures de 3 a 4 semaines d intervalle
11 Tableau : protocoles les + utilisés ds le traitement de Kc de sein non métastatique Protocoles/doses Adryamycine cyclophosphamide 5FU Methotrexate AC 75 mg/m² 500 mg/m² FAC 50 mg/m² 500 mg/m² 500 mg/m² CMF(classique) 100 mg/m² de j1 600 mg/m² 40 mg/m² j1 a j1 J1 et j8 et j8 4/ Hormonothérapie : a. additives : - anti-oestrgenes : Tamoxiféne - Anti-aromatases : Letozole, anastrozole b. suppressives : -castration chirurgicale (ovariectomie bilaterale) ou radiotherapeute. C/ Indications thérapeutiques : 1/ Kc opérable d emblée : T1, T, N0, N1, M0 a. Tm< 3cm a distance du mamelon : TTT conservateur + RadioTTT b. Tm> 3 cm, tm centrale, multifocale ; N2 ; Cis : TTT radical + Radiothérapie si N+ Le ttt général est systématique dans tous les cas : Polychimiothérapie + Hormonothérapie : RH+. 2/ Kc localement avancés : T4 a-b-c et N2 : - Polychimiothérapie neoadjuvante + chirurgie radicale +chimiotherapie radicale +radiotherapie +/- hormonotherapie 3/ Kc Metastatique : chimiotherapie+++, hormonotherapie, ATG majeurs et Radiotherapie si localisation osseuse
12 XI/ Surveillance : A/ Clinique : consultation tous les 3 mois durant les 2 1 er mois - tous les 6 mois jusqu'à 5 ans - puis tous les ans B/ Paraclinique : - mammographie : tous les ans+++ - Ca Autres : Radio thorax, scintigraphie osseuse, echographie hepatiqe si seulement signe d appel. XII/ Pronostic : - taux de survie a 10 ans tous les stades confondus < 50 % - survie a 5 ans des formes localisés est de 60 a 90% - survie a 5 ans des formes étendues 25 a 40 % XIII/ Prévention du Kc de sein : prévention primaire n existe pas - prévention secondaire : Tamoxifene?? (anti oestrogene mais EI : hyperplasie de l endomètre) N existe pas!! X/ conclusion : - Kc de sein reste meurtrier, c est la hantise devant toute tumeur du sein ; DC trépied : clinico-radio-cytologique et en cas de discordance sur l examen extemporané. - TTT adjuvants médicaux + dépistage : principales avancée dans l amélioration du pronostic vital du Kc du sein + PEC pluridisciplinnaire avec soutien psychologique
Cancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailDépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé Dépistage et prévention du cancer du sein Février 2015 État des connaissances sur le cancer du sein Structure anatomique et aspect
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailTous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays.
LE CANCER DU SEIN Conduite à tenir diagnostique devant une image mammographique infraclinique anormale Conduite thérapeutique devant un cancer du sein infraclinique Suivi des patientes traitées pour un
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailLe cancer de la thyroïde GRAND PUBLIC
GRAND PUBLIC Edition actualisée Janvier 2010 SOMMAIRE > Ce livret a été préparé par le professeur Martin Schlumberger, chef du Service de Médecine Nucléaire à l Institut Gustave Roussy (IGR), à Villejuif
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailRéférentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013
Référentiel régional Prise en charge des cancers du rein Version 1 Mars 2013 Sommaire Contexte 5 Objectifs... 5 Champ d application... 5 Utilisateurs cibles... 5 Information du patient... 5 Avertissement...
Plus en détailDermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard
Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s
Plus en détailLe dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer
Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailÉtude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon
Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailGrossesse après cancer du sein
Pregnancy after breast cancer Mots clés : Grossesse, Cancer du sein, Femmes jeunes, Facteurs pronostiques, Survie Keywords : Pregnancy, Breast carcinoma, Young women, Prognostic factors, Survival F. Abel-Decollogne
Plus en détailLes tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.
Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailSinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Rapport protection juridique
2012 Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés Rapport protection juridique NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-10 NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-19
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailCroissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies
Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailLe cancer de l utérus
Le cancer de l utérus Carcinome de l endomètre, sarcome de l utérus Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailCancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009
Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détail