Une même politique de santé: néolibérale
|
|
- Bérengère Larochelle
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Une même politique de santé: néolibérale PVD 1980 Europe Belgique? - Jean-Pierre Unger Département de santé publique Institut de médecine tropicale d Anvers Les vues présentées ici sont celles de leur auteur
2 Objectifs des politiques internationales Caractéristiques et résultats des réformes néolibérales en Afrique En Amérique Latine En Asie En Europe La Belgique, un village de gaulois? Que faire? Plan
3 1. Limiter les services publics au seul bien commun 2. Réduire le domaine des biens communs 3. Privatiser les services de santé 4. Commercialiser les soins de santé 5. Privatiser et commercialiser le financement des soins de santé 6. Limiter le contrôle et la régulation et si possible les faire disparâitre 7. Convaincre du bien-fondé de cette politique Objectifs des politiques
4 Une science aux ordres grâce à la privatisation cachée de l université publique Publicité et propagande Convaincre du bienfondé de cette
5 Il faut concentrer le financement public sur les pauvres par soucis d efficience et d équité ce qui laisse entièrement le marché des assurances privées aux riches, qui du coup ne veulent plus financer les soins des pauvres Le secteur public est source de gaspillage et d inefficience. Il est incapable de répondre à la demande Il faut donc concentrer les soins sur le contrôle de quelques maladies par soucis d utilisation efficiente des finances publiques Le discours ce qui lui évite de faire de la concurrence au secteur privé commercial scientifique La vérité est centrée sur le
6 1. Limiter les services publics au seul contrôle des maladies 2. Réduire le domaine des biens communs en excluant l accès aux soins, à l eau et la lutte contre la famine et la malnutrition 3. Privatiser les services de soins de santé: l autonomie de gestion des hôpitaux 4. Commercialiser les soins de santé: développement du marché des soins (les fondations charitables font mûrir le marché), des équipements médicaux et des médicaments La réforme néolibérale en Afrique
7 5. Privatiser et commercialiser le financement des soins de santé: pas encore 6. Privatiser l aide internationale: public private partnerships 7. Limiter ou étrangler le contrôle et la régulation: en Afrique du Sud par exemple. Pour rappel: 500 millions vivent dans des états faillis dans le monde. 8. Convaincre du bien-fondé de cette politique: le marketing de la charité et la science aux ordres La réforme néolibérale en Afrique
8 Aucun objectif d accès aux soins: les objectifs du millénaire Limitation des activités des services publics au seul contrôle des maladies = par définition de quelques maladies Réduction des dépenses publiques de santé (ajustement structurel) Gaspillage +++ par bureaucratisation de l aide internationale Abandon du développement des services de soins de santé Les fondations charitables font mûrir le marché des soins l autonomie de gestion des hôpitaux amène à réserver les soins de santé hospitaliers aux 20% qui composent la classe moyenne Résultats- Afrique Généralisation des pratiques cliniques commerciales destinées aux 20% qui accèdent aux soins modernes de bonne qualité
9 Disparition de l accès aux soins de santé Echec de la campagne des objectifs du millénaire et du contrôle des maladies % adultes HIV + stable depuis 2000: 33 million 2.7 millions de nouvelles infections chaque année (2007) Dans les PVD, 4 millions des 9.7 millions qui en ont besoin ont accès aux médicaments soit ± 40%, loins des 100% qu on visait pour 2010 prévalence TB en Afrique: : +47% Conséquences - Afrique Les dépenses catastrophiques de santé sont la première cause de chute dans la pauvreté (en Afrique comme dans le monde)
10 total annual resources needed for AIDS: a bottomless well European Parliament 17th March, 2011
11 1. Limiter les services publics au seul contrôle des maladies (dans les pays Andins et en Amérique centrale) 2. Privatiser et commercialiser des soins et du financement des soins de santé: des laboratoires chiliens et colombiens à la généralisation 3. La privatisation des services de santé progresse presque partout: au Brésil, au Vénézuela, en Bolivie 4. Quelques pays résistent, comme le Costa Rica, le Chili, l Equateur La réforme néolibérale 5. La régulation et le contrôle existent mais sont relativement peu efficaces même dans les pays qui ont un état fort, comme le Chili (superintendencias) en Amérique Latine
12 Indicateurs de santé et d équité Costa Rica vs United States (2002) GDP per capita (PPP USD) health expenditure per capita infant mortality rate life expectancy at birth Costa Rica 9, United States 34,320 4, Gini index
13 IMR 2007 MMR 2005 Total expenditure on health per capita (ppp usd) 2007 Colombia Costa Rica Chile USA
14 Réduction des dépenses publiques de santé (Vietnam: 35%) Disparition presque complète du service public: Inde Changement de statut des services publics menant à la commercialisation des soins: Chine, Vietnam La réforme néolibérale en Asie
15
16 " Quand ils ont arrêté les communistes, je n ai rien dit, je n étais pas communiste ; quand ils ont arrêté les socialistes, je n ai rien dit, je n étais pas socialiste ; quand ils ont arrêté les juifs, je n ai rien dit, je n étais pas juif ; quand ils sont venus m arrêter, il n y avait plus personne pour protester " Bertold Brecht
17 Privatisations des services de santé: en marche en Suède, au RU, en Italie, en Espagne, en Turquie, etc Développement de la finalité commerciale des hôpitaux à finalité théoriquement publique (en Europe de l Ouest continentale) Développement progressif, par pallier, de la privatisation des soins de santé et dé-mutualisation des risques La réforme néolibérale en Europe
18 Évolution historique d un financement bismarkien vers un système mixte (Bismark Beverage): un acquis Segmentation et fragmentation des soins médicaux et médicosociaux qui réduisent à l accès à des soins de qualité Augmentation de la part privée: 25 27% Garde fou: le maximum à facturer L Europe impose à la Belgique que les assurés achètent une assurance complémentaire à leur mutuelle La réforme néolibérale en Belgique en 2012
19 L Europe impose à la Belgique que les assurés achètent une assurance complémentaire à leur mutuelle Motif: concurrence illégale au privé? Futur: égalisation des conditions de concurrence jusqu à ce qu il n y ait plus de financement public pour les soins de santé si ce n est pour un paquet minimum de type medicare / medicaid (USA) Le futur de la réforme néolibérale en Belgique en
20 Tendance de fonds, temps de crise Vous ne direz pas que vous n étiez pas prévenus!
21 Pas de commerce dans les services sociaux Que faire?
22 Militer contre la privatisation du financement des soins de santé en Belgique, en Europe et dans le monde Participer au développement de services de santé à finalité sociale, non commerciale Débattre de l éthique professionnelle: Utilise ton savoir pour le bien de ton patient. Hippocrate Développer des systèmes locaux, intégrés de soins de santé Contribuer au développement du professionalisme dans les universités, gravement menacé par le scientisme Lutter pour une recherche et un enseignement en santé indépendants des intérêts privés Que faire? Développer des passerelles entre le monde académique et les organisations sociopolitiques préoccupés de la finalité sociale des soins
23 European Parliament
24 Merci pour votre attention
Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA)
Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Mixité des sources de financement, diversité des régimes de couverture maladie : l impératif de cohérence 2 ème Conférence nationale
Plus en détailIntroduction au private equity
BANQUE FINANCE SOCIAL GESTION DROIT MARKETING Introduction au private equity Les bases du capital-investissement Cyril Demaria 4 e édition SOMMAIRE Préface... 11 Introduction : Qu est-ce que le private
Plus en détailLES DÉFIS DE L EXPANSION
LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailRelumina. L alternative ECO-Performante aux lampes à vapeur de mercure
L alternative ECO-Performante aux lampes à vapeur de mercure Qu'est-ce que la législation ErP? Pourquoi choisir? La législation relative aux produits liés à l'énergie (ErP, Energy related Product) a été
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailPROGRAMME BRAFITEC BRAsil France Ingénieurs TEChnologie. 8ème Forum Brafitec Saint-Étienne - 6-9 Juin 2012
PROGRAMME BRAFITEC BRAsil France Ingénieurs TEChnologie 8ème Forum Brafitec Saint-Étienne - 6-9 Juin 2012 Parcours Coopération Internationale Partenariats Brésil-France BRAFITEC Coopération Internationale
Plus en détailRésultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailGroupe AFNOR au service de votre performance
Groupe AFNOR au service de votre performance GROUPE AFNOR Les clés de votre différenciation et de votre développement AFNOR est un groupe de services organisé autour de 4 grands domaines de compétences
Plus en détailLes stratégies gagnantes
Les stratégies gagnantes Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co A l occasion des crises, on mesure de façon évidente à quel point les entreprises font face à un cercle vicieux destructeur. Faible
Plus en détailDélégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?
Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda
Plus en détailChiffre d affaires du premier trimestre 2015
Chiffre d affaires du premier trimestre 2015 Chiffre d affaires : 286,6 millions d euros, croissance organique de +4,0% Flux de trésorerie disponible : 31,9 millions d euros, en progression de +10,4% Croissance
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailUN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ
RÉVISIONS DES ÉPREUVES DU BACCALAURÉAT Géographie UN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ Le café est l un des biens les plus échangés dans le monde. Certains affirment qu il arrive juste après le pétrole, mais
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailAccès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3
Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité
Plus en détailAtlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris
Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES
Plus en détailLes concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»
Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches
Plus en détailAccueil COMMISSION MARKETING/COMMUNICATION TOURISME D AFFAIRES AXES DE DÉVELOPPEMENT 2010
Accueil COMMISSION MARKETING/COMMUNICATION TOURISME D AFFAIRES AXES DE DÉVELOPPEMENT 2010 LE CONVENTION BUREAU : RAPPEL DES MISSIONS QUATRE PERSONNES DONT DEUX CHEFS DE MARCHÉS 1. Promouvoir La destination
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailPrésentation Altran. Octobre 2008
Présentation Altran Octobre 2008 Le Groupe Altran: identité Pionnier du conseil en innovation technologique Leader en Europe Créé en 1982, soit plus de 25 années d expertise dans le domaine du conseil
Plus en détailNouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma
Nouvelle Classification Europerformance Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma ANCIENNE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE NOUVELLE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE Famille Trésorerie Tresorerie
Plus en détailLe crowdfunding. P a g e 1 15 LE CROWDFUNDING : L ETAT DE L ART AHES CONSULTING 2014
Le crowdfunding Le crowdfunding est un terme anglais qui signifie littéralement «financement par la foule». Il est aussi appelé financement participatif, financement 2. ou encore sociofinancement au Québec.
Plus en détailLa situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE
La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE Colloque Protection sociale d entreprise Paris, 26 mars 2010 http://www.irdes.fr/espacerecherche/colloques/protectionsocialeentreprise
Plus en détailLes hommes, les femmes et les enfants travaillent entre 14 et 17 heures par jour.
Pol Indépendance de la Belgique 1830 La Belgique est gouvernée par les libéraux et les catholiques. Il ne s agit pas encore de partis politiques mais plutôt de regroupements philosophiques. Vote censitaire
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailÉléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011
1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il
Plus en détailSéminaire d analyse économique
Séminaire d analyse économique QUELLE RÉGULATION POUR LA SANTÉ? UN REGARD COMPARATIF. Bruno PALIER (chercheur CNRS au Cevipof - Sciences Po) COMMUNICATION AU SÉMINAIRE MESPI MARDI 16 NOVEMBRE 2004 Séminaire
Plus en détailUne révolution dans les domaines de l énergie et de l emploi
Une révolution dans les domaines de l énergie et de l emploi Kumi Naidoo Créer de nouveaux emplois décents, lutter contre la pauvreté et contenir le changement climatique catastrophique sont des défis
Plus en détailROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS
ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015 Pour mieux comprendre les attentes des candidats, Robert Walters référence mondiale du recrutement spécialisé a diffusé une enquête au début de l année 2015, auprès
Plus en détailCréer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011
Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 PRESENTATION Le groupe ALTIOS International Une société leader dans le conseil et le développement opérationnel
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailIncarner un aéroport différent, à taille humaine
Incarner un aéroport différent, à taille humaine Notre aéroport dispose d un des plus forts potentiels de développement en Europe. Notre ambition est d incarner un aéroport différent. A taille humaine.
Plus en détailLa Fondation Schneider Electric reçoit l Oscar ADMICAL du Mécénat d entreprise 2011
Dossier de presse 09 mai 2011 La Fondation Schneider Electric reçoit l Oscar ADMICAL du Mécénat d entreprise 2011 Communiqué de Presse La Fondation Schneider Electric reçoit l Oscar ADMICAL du Mécénat
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailÉtiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet
Étiquette des rencontres d affaires en pays étranger Guide des références sur Internet à l intention des entreprises des secteurs de l agroalimentaire et des fruits de mer de la C.-B. Sa Majesté la Reine
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailLe coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011
Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat
Plus en détaileni, mécène exceptionnel du musée du Louvre
eni, mécène exceptionnel du musée du Louvre Le soutien à la culture dans les pays où elle opère et le lien avec les traditions et les communautés locales sont un trait distinctif d eni : l importance du
Plus en détailMUTUELLES ET COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT EN AFRIQUE FRANCOPHONE : EXAMEN COMPARATIF DE DEUX MODÈLES : COOPEC ET CVECA PAR
MUTUELLES ET COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT EN AFRIQUE FRANCOPHONE : EXAMEN COMPARATIF DE DEUX MODÈLES : COOPEC ET CVECA PAR Mauro-F. Malservisi Max N. tereraho No 1097-090 La Chaire de coopération
Plus en détailComparaison internationale des systèmes de santé (1) Dr. Anne-Laurence Le Faou 11
Comparaison internationale des systèmes de santé (1) Dr. Anne-Laurence Le Faou M1 10-11 11 Organisation du système de santé Contraintes de financement Plan Introduction I Système de santé aux Etats-Unis
Plus en détailLe jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact
Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs
Plus en détailRéunion d actionnaires Investir. Paris, 02 juillet 2015
Réunion d actionnaires Investir Paris, 02 juillet 2015 CHIFFRES CLÉS DU GROUPE BIC 1 979,1 M de chiffre d affaires en 2014 Plus de 10 milliards d unités vendues en 2014 17 438 employés* Plus de 4 millions
Plus en détailPerformanSe. Clients, Applications et Défis À l international. Elaine DEMOLIS Head of International Elaine.demolis@performanse.com
PerformanSe Clients, Applications et Défis À l international Elaine DEMOLIS Head of International Elaine.demolis@performanse.com 1. Qui nous sommes 2. Qui sont nos clients utilisateurs? 3. Notre présence
Plus en détailFinancial Facility for Remittances
Financial Facility for Remittances Atelier sur l investissement des migrants en milieu rural au Sénégal Promoting innovative remittance markets and Paris empowering 5-6 décembre migrant workers 2014 and
Plus en détailAnalyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays
Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2
Plus en détailtouristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs
Sport, loisirs et développement touristique : quelle vision partager? Les perspectives de normalisation internationales Marie Solange BUREAU AFNOR Responsable Développement Sport, Loisirs 1 Normalisation
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailINTERVENTO PRESIDENTE NARDO FILIPPETTI CONFERENZA ANNUALE DEL CETO PANORAMICA SUL MERCATO E PROBLEMI DEI TOUR OPERATOR
INTERVENTO PRESIDENTE NARDO FILIPPETTI CONFERENZA ANNUALE DEL CETO PANORAMICA SUL MERCATO E PROBLEMI DEI TOUR OPERATOR Bonjour à tous, Je remercie le CETO de m avoir invité: C est avec grand plaisir que
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailQUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE
QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE Catarina Pascoal Equipe M Himali Patabendi 2013-2014 Sandrine Tan TABLE DES MATIERES I - Quimbaya Tours
Plus en détailQuelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation
1 Septembre 2014 Quelles ressources pour vivre seul, en 2014, dans une commune du Doubs? Essai d évaluation Grand-Charmont est une commune de 5200 habitants qui compte 57 % de logements sociaux. Les revenus
Plus en détailLes actions internationales pour l enseignement supérieur Un objectif de coopération internationale entre pays programmes et partenaires
Les actions internationales pour l enseignement supérieur Un objectif de coopération internationale entre pays programmes et partenaires Pays programmes Pays membres de l UE Autres pays programmes : Iceland,
Plus en détailAméliorer l accès à des. médicaments de qualité via une mise en réseau d ONG
Améliorer l accès à des médicaments de qualité via une mise en réseau d ONG Contexte Le marché pharmaceutique mondial est caractérisé par la coexistence de standards multiples de qualité: là où les patients
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailLa biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015
La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années
Plus en détailLa Performance Digitale en Business to Business
La Performance Digitale en Business to Business En quoi la performance digitale B2B et son optimisation, est-elle différente d une stratégie digitale B2C? Florent Bourc his - Marketing Stratégique - 2015
Plus en détail125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014
LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE Demande placée 125 700 m² +41% : confirme son retour en grâce sur le marché locatif, en dépit d un 3 ème trimestre 2014 beaucoup moins flamboyant que le précédent,
Plus en détailBienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell
Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Table des matières Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell...
Plus en détail2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée.
COMMUNIQUE DE PRESSE 6 décembre 2013 Résultats annuels 2013 2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée. Volume d activité Villages stable à taux
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailContent & Document Management IDC Conference 2007
Content & Document Management IDC Conference 2007 L enjeu de l information non structurée pour l entreprise Cas SCOR : L Intelligence Economique, levier de compétitivité Régis Delayat SCOR, DSI Groupe
Plus en détailLouvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS
Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Our mission : Educating Responsible Leaders For a Responsible World LSM the Business School of UCL
Plus en détailCAMPUS FRANCE. Janvier 2015
n 46 CAMPUS FRANCE Les notes Janvier 2015 Les États-Unis dans la mobilité étudiante internationale Synthèse Open Doors 2014 Avant-propos Offrant un tableau général de la mobilité internationale du point
Plus en détailACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944
ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailL externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France. Atelier Solution
L externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France Intervenants : Régis BIZIEN, EC et CAC Cabinet MBV, Paris Christophe BERNARD, Consultant NSG Phase 2 Brice BLAZY, Directeur
Plus en détailL INTÉGRATION PROFESSIONNELLE À L ISEG MARKETING & COMMUNICATION SCHOOL LES RAISONS D UNE RÉUSSITE
L INTÉGRATION PROFESSIONNELLE À L ISEG MARKETING & COMMUNICATION SCHOOL LES RAISONS D UNE RÉUSSITE PARIS / BORDEAUX / LILLE / LYON / NANTES / STRASBOURG / TOULOUSE Cette année encore près de 83% des étudiants
Plus en détailConseil exécutif Quatre-vingt-quinzième session Belgrade (Serbie), 27-29 mai 2013 Point 3 I) c) de l ordre du jour provisoire
Conseil exécutif Quatre-vingt-quinzième session Belgrade (Serbie), 27-29 mai 2013 Point 3 I) c) de l ordre du jour provisoire CE/95/3 I) c) Madrid, le 12 mars 2013 Original : anglais Rapport du Secrétaire
Plus en détailCOMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION
COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée
Plus en détailInformations pour les bénéficiaires de projets
L AGENCE AMÉRICAINE POUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT Informations pour les bénéficiaires de projets L Agence Américaine pour le Commerce et le Développement (U.S. Trade and Development Agency) 1000
Plus en détail«Après le vote de la Loi de financement de
À la veille du grand débat sur la protection sociale, annoncé par le premier ministre, beaucoup d interrogations demeurent. Dans une société de plus en plus individualiste, maintenir un système de protection
Plus en détailFocus: Les projets pour le renforcement des compétences
Focus: Les projets pour le renforcement des compétences Delphine Richard, Chargée de mission projets interna7onaux, Agrocampus Ouest Radhouane Gdoura, Coordinateur du projet Tempus Développement de partenariats
Plus en détailJEUX EN LIGNE RISQUES ET ENJEUX
JEUX EN LIGNE RISQUES ET ENJEUX 1 CHRISTIAN KALB 24 SEPTEMBRE 2013 PREAMBULE : AVEC INTERNET, LE CRIME EST DEVENU UNE GRANDE PUISSANCE 1989 : Chute du «Mur» Des États perdent leur souveraineté Le Crime
Plus en détailAgeas Sérénité Manager
Ageas Sérénité Manager Adaptez votre contrat de prévoyance au développement de votre entreprise Assurance Homme clé I Protection Associés I Couverture d emprunt I Prévoyance familiale Une solution simple,
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailDUXTON ASSET MANAGEMENT
DUXTON ASSET MANAGEMENT Afrique : Un élément clef dans un (ou environnement) agricole global et diversifié Point de vue des investisseurs sur les potentialités de l agriculture africaine et problèmes à
Plus en détailConférence ISR 2015. Mercredi 13 mai 2015 - Paris. intervenant
Mercredi 13 mai 2015 - Paris AIRBAKE I ALL-CLAD I ARNO I ASIAVINA I CALOR I CLOCK I IMUSA I KRUPS I LAGOSTINA I MAHARAJA. WHITELINE I MIRRO I MOULINEX I PANEX I intervenant ROCHEDO I ROWENTA I SAMURAI
Plus en détail«Planète cherche éco-construction. Ici et là, des solutions durables au quotidien»
CONFERENCE DE LA CITE DES SCIENCES Mercredi 24 janvier 2007 OKSANA MONT, professeur à l International Institute for industrial environmental economics, Université de Lund, Suède «Planète cherche éco-construction.
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailSystèmes d ouverture et de fermeture de cuves de réacteurs et composants primaires
Systèmes d ouverture et de fermeture de cuves de réacteurs et composants primaires Plus rapide et en toute sécurité sur le chemin critique avec Siempelkamp heures dans le monde entier >>> www.siempelkamp-tensioning.com
Plus en détailnotre vision CARTE DE VISITE
360 notre vision CARTE DE VISITE 2012 Malgré un durcissement de la conjoncture économique à partir du second semestre 2011, le Groupe SEB a maintenu son cap et consolidé ses positions sur la plupart des
Plus en détailPrésentation du Groupe IKEA
Présentation du Groupe IKEA IKEA dans le monde en quelques chiffres En 62 ans, le Groupe IKEA est devenu le leader mondial sur le marché du meuble. En tant que spécialiste de l ameublement et de la décoration
Plus en détailMaster transrégional en Sciences Pharmaceutiques
Préparation du consortium d appui aux formations francophones Université de Médecine de Hanoi 3 octobre 2012 Master transrégional en Sciences Pharmaceutiques Présentation du projet: Sébastien Clavel Fondation
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Chiffre d affaires du 3 ème trimestre et des 9 premiers mois 2013 16 octobre 2013 Croissance organique des 9 premiers mois : +5,5% Tendances solides dans l ensemble du Groupe Impact
Plus en détailÉtude de cas «Un produit mondialisé : le téléphone mobile»
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Étude de cas «Un produit mondialisé : le téléphone mobile» Table des matières 1 Un produit qui s inscrit dans la mondialisation 2 1.1 L histoire du téléphone mobile.....................
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailExemples de projets financés par l Union européenne et les Etats membres dans le cadre du Partenariat UE-Afrique sur le coton
Exemples de projets financés par l Union européenne et les Etats membres dans le cadre du Partenariat UE-Afrique sur le coton Michaela Dodini, Délégation UE Plan de la Présentation I. Brefs rappels sur
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER
BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailBOURBON Présentation Investisseurs mai 2014 BUILDING TOGETHER A SEA OF TRUST
BOURBON Présentation Investisseurs mai 2014 BUILDING TOGETHER A SEA OF TRUST DISCLAIMER Ce document peut contenir des informations autres qu historiques qui constituent des données financières estimées
Plus en détailPourquoi le taux de participation est-il plus élevé dans certains pays que d autres?
Pourquoi le taux de participation est-il plus élevé dans certains pays que d autres? André Blais Louis Massicotte Agnieszka Dobrzynska Université de Montréal Université de Montréal Université de Montréal
Plus en détailLES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF
LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)
Plus en détail