22 ème journée bas normande de perfectionnement des infirmiers anesthésistes
|
|
- Maurice Dubé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Introduction XXII ème Journée Bas Normande de perfectionnement IADE choc hémorragique, quoi de neuf? Etat de choc avec hémorragie plutôt que «choc hémorragique». Des circonstances précises: Patient traumatisé grave. Hémorragie de la délivrance. Rupture d anévrysme de l aorte abdominal. C est-à-dire un saignement aigu et massif entrainant une hypovolémie vraie conduisant à un état de choc. Samedi 15 Octobre 2011 Dr. Buléon Clément Pôle Réanimations-Anesthésie-SAMU CHU de Caen Page 1 A différentier du saignement per-opératoire (même important) prévisible/prévu. Page 2 Jeune homme de 15 ans, sans antécédent ni traitement pris en charge au CH de l Aigle pour suspicion d appendicite aiguë. Bilan pré-opératoire la veille: Hb 17,3 g/dl ; plq /mm 3 ;TP 91%. Caen L Aigle 13h05: entrée en salle pour appendicectomie par cœlioscopie. 13h10: induction. 13h20: Insertion du trocart réalisant une plaie artérielle. Survenue rapide d un état de choc sur hémorragie massive avec pouls filant et TA imprenable. Conversion en laparotomie, introduction de noradrénaline, d adrénaline et commande de PSL de la réserve. 13h35 à 15h00: tentative d hémostase chirurgicale (échec) puis packing. de 18 CG et de 4 PFC. Hémodynamique instable. Caen-L Aigle: - 1h45 par la route - 27 min en hélico 14h00: Hb 4,0 g/dl plq /mm 3 TP < 10% TCA > Tmax fibrinogène indosable. La veille: Hb 17,3 g/dl plq /mm 3 TP 91%. Page 3 Page 4 14h40: demande de transfert au CHU. 15h00: Décision MAR bloc des urgences, régulations 14 & 61 d envoyer un MAR & un chirurgien vasculaire du CHU au CH L Aigle. 15h00 à 16h30: Patient instable, TA imprenable sous adrénaline et noradrénaline. Pantalon anti-choc gonflé. de 10 CG et 5 PFC, UI de CCP et 3g de fibrinogène. Reprise chirurgicale à 16h30: hémopéritoine massif. 16h30: Hb 12,0 g/dl plq 7 000/mm 3 TP 12% TCA > 180 fibrinogène < 0,10 g/l. 16h45: Arrivée de l équipe MAR-chir vasculaire du CHU. Saignement actif majeur. Patient instable sous fortes doses d amines. Page 5 16h45 à 17h30: Hémostase chirurgicale d une plaie de l iliaque primitive droite. Pose de KT de PA. des PSL (6 CG, 6 PFC et 2 CUP) et produits pro-coagulants (Fibrinogène 6 g, Exacyl 2 g, CCP UI et Novoseven 12 mg) amenés de Caen. 17h30: Hb 10,7 g/dl plq /mm 3 TP 42% ph 6,76 TCA > 180 fibrinogène 1,82 g/dl. 18h20: transfert héliporté vers la réanimation pédiatrique du CHU de Caen d un patient stabilisé sans saignement actif. de 4 CUP. 20h00: Hb 13,8 g/dl plq /mm 3 TP 100% ph 6,96 TCA 2,1 fibrinogène 2,1 g/l. Page 6 1
2 20h30: Total transfusion: 34 CG 15 PFC 6 CUP UI CCP + 9 g de fibrinogène + 4 g de Ca g d Exacyl + 12 mg de Novoseven J1: repris au bloc pour colectomie gauche sur souffrance mésentérique. Par la suite Evolution favorable. Etat neurologique identique au préopératoire. Extubation à J7. Sortie de réa à J9. en réa de 3 CG, 10 PFC et 2 CUP. Page 7 A retenir de ce cas clinique Contrôle rapide du saignement déterminant (chirurgie, packing, embolisation). «Limiter» le remplissage vasculaire. Gestion globale de la transfusion pro-active, précoce, sans attendre les bilans pour lutter contre l anémie & la coagulopathie. «Expérience» du choc hémorragique: évaluation, anticipation & analyse de la dynamique. Ratio CG/ PFC et CG+PFC/CUP. Traitements adjuvants de l hémostase: o Antifibrinolytique o Fibrinogène o +/- VII activé o CCP??? o Autres à venir? Page 8 A retenir de ce cas clinique Aspects organisationnels Référentiel récent «Trauma Center» de différent niveaux. Orientation rapide & adaptée des patients graves ou mise à disposition d équipe. Equipes spécialisées, identifiées et habituées à ces situations. Action combinée et simultanée du chirurgien & de l anesthésisteréanimateur. Accès rapide à des PSL. «The multidiscipinary Task Force for Advanced Bleeding Care in Trauma» Page 9 Page 10 Usage de garrots de membres. Normoventilation. Body-scanner «systématique». Monitorage des lactates & du déficit de bases. FAST echo précoce. Chirurgie en urgence pour hémopéritoine. Embolisation ou packing pré-péritonéal pour les fractures de bassins instables après fixation. Stratégie du «damage control». Page 11 Page 12 2
3 Hémostase chirurgicale initiale rapide (packing, clampage aortique). Objectifs de PA, systolique entre 80 & 100 mmhg. Hémoglobine cible entre 7 & 9 g/dl. Usage précoce de PFC. Remplissage par : cristaloïdes, SSH et colloïdes. Lutte contre l hypothermie. plaquettaire, cible de 50 à /mm 3. Usage de fibrinogène, cible > 1,5 g/l. PAS de desmopressine ni d antithrombine. Page 13 Page 14 Quelques évidences Minimiser le temps entre le trauma & la chirurgie d hémostase Et des nouveautés Monitorage de la coagulation et usage de la thromboélastométrie. Evaluation de l importance du saignement Nécessiter de contrôler le saignement Nécessiter d identifier l origine du saignement. PAS de monitorage du saignement sur le seul hématocrite Stabilisation des fractures de bassins Monitorage de la coagulation et du Ca 2+ i. Antagonisation des AVK par CCP Page 15 Usage d agents hémostatiques topiques au cours de la chirurgie. Usage d antifibrinolytiques (a. tranexamique). Recours au rfviia (Novoseven) envisageable dans certaines circonstances. Page 16 Remplissage vasculaire.. Prise en charge du choc hémorragique Remplissage vasculaire Dilemmes Rétablissement de la volémie - Hémodilution - Coagulopathie Produits favorisant la coagulation. Support aminergique. Page 17 Titration du remplissage vasculaire. N Eng J Med 1994; 331: J Trauma 2002; 52: Page 19 3
4 Produits Concentrés Globulaires: Dépendance directe de l oxygénation tissulaire du taux d Hb: CaO 2 = SaO 2 x 1, 34 x [Hb] + PaO 2 x 0,003 Rôle du taux d Hb dans l hémostase via la rhéologie plaquettaire. Arteriosclerosis 1988; 8: Thromb Haemost 1999; 81: Plasma Frais Congelés: Utilisation précoce recommandée dans les hémorragies massives. 2010; 50: J Trauma 2007; 662:11-9. Anesth Analg 2009; 108: Correction partielle des perturbations de l hémostase. Br J Anaesth 2010; 104: Concentrés d Unités Plaquettaires: élément indispensable de l hémostase. Page 20 Seuils/Objectifs Concentrés Globulaires: 7 à 9 g/dl (10 g/ dl si TC). Effet sur la rhéologie plaquettaire. Anémie profonde majore le saignement. J Trauma 2004; 57: Br J Anaesth 2005; 95: Plasma Frais Congelés: Immédiat & précoce lors d hémorragie massive ou de coagulopathie: TP < 50% ou TCA > 1,5 Témoin. Br J Anaesth 2005; 95: Br J Haematol 2004; 126: Anesthesiology 1996; 84: Concentrés d Unités Plaquettaires: plq < /mm 3 voir < /mm 3. Br J Haematol 1998; 101: JAMA 1994; 271: Page 21 Ratio Un phénomène dynamique PFC/CG: Stratégies militaires puis civiles de réduction du ratio PFC/CG de 1/4 à 1/3 à 1/2 à 2/3 voir 1/1; permettant une réduction de mortalité. J Trauma 2007; 63: J Trauma 2008; 64:S69-77, discussion S77-8. J Trauma 2008; 65: Ann Surg 2008; 248: Pas de ratio arrêté définitivement, mais une tendance vers un ratio à 1/1. Ne pas attendre les résultats labo pour avancer dans la transfusion. Importance de l expertise/expérience «hémorragie massive». T0 CG PFC CG PFC Plaquettes CG PFC CUP/CG: amélioration de la survie pour des ratios à 1/ 5 et plus. J Trauma 2008; 65: Arch Surg 1999; 134: Page 22 clinique labo clinique labo clinique labo Page 23 Hémovigilance Adjuvants pro-coagulants Quelque soit l urgence, importance du respect de l hémovigilance: Contrôle identité patient. Contrôle compatibilité des produits. Contrôle ultime auprès du patient. Traçabilité. Rôle primordiale de l IADE. En cas de transfusion massive, 1 IADE dédié(e) exclusivement à la transfusion & à l hémovigilance. Page 24 Antifibrinolytique: acide tranexamique/exacyl. Modalité: bolus de 1 g puis administration continue 1 g/8h. Lancet 2010; 376: Fibrinogène: Augmentation de survie chez les victimes militaires recevant plus de fibrinogène. Seuil/objectif = 1,5 à 2 g/l. Dose initiale de 3 à 4 g de fibrinogène ou 50 ml/kg de plasma cryoprécipité. Novoseven: En cas de persistance d une hémorragie en dépit d une prise en charge complète : exacyl, CG, PFC, plq, fg, Ca 2+ Après avoir corrigé en partie les paramètres biologiques et cliniques. Page 25 4
5 Mesures de réa associées Mesures de réa associées Monitorage «standard»: PA invasive, volémie ( PP), diurèse, bilan entrées/sorties, température Pression artérielle: Tolérer l hypota améliore la survie. J Trauma 1992;33: Apport de Ca 2+ : Hypocalcémie majorée par le citrate des PSL. Indispensable pour la coagulation et pour la contraction myocardique. J Trauma 2008; 65: Valeur cible: 1,1 à 1,3 mmol/l. Dose initiale: 2 g de CaCl 2. Objectifs tensionnels bas: TA Sys 80 à 100 mmhg, PAM 60 à 65 mmhg J Trauma 2008; 65: Lutte contre l hypothermie: Burris, 1999 Altération des fonctions enzymatiques de la coagulation (plq & facteurs). Capone, 1995a c < 35 c: facteur indépendant de saignement & de mortalité. Support aminergique: noradrénaline +++ Capone, précoce, 1995b adapté aux objectifs PA. J Trauma 1992; 35: Kowalenko, 1992 Limite le remplissage vasculaire donc de la coagulopathie. Marshall, 1997 Améliore de la survie. Stern, 1993 Stern, 1995 Crit Care Med 2003;31: Stern, 2000 Talmor, 1999 Lutte contre l acidose: fait partie de la triade délétère aggravant la Lutte contre l hypoxie tissulaire: coagulopathie. L hyperoxie réduit la mortalité au cours des anémies profondes. Total (95% CI) Hypotensive J Trauma 2008; Normotensive 65: Anesthesiology 2004; 100:70-6. J Trauma 2003;55:571-9 Page 30 Page 31 Monitorage Biologie «standard»: Quoi? Hb, plaquettes, Hématocrite, TP, TCA, INR, fibrinogène. GdS, lactates, excès de bases et Hemocue. Quand? Dès l arrivée et très régulièrement (toutes les 30 min à la phase aigüe). Thromboelastogramme (ROTEM/TEG): évaluation de la coagulation en temps réel suivi du CT (temps de formation du caillot) et du CMT (stabilité maximum du caillot). A Venir? Les pistes en 2011 Concentré de Complexes Prothrombinique?? Facteurs vitamino-k dépendants 1 PFC (250mL) = 0,5 à 1,0 UI/mL de facteurs 1 CCP (20 ml) = 500 UI Anesthesiology 2008; 109: Usage systématique pour l antagonisation des AVK. Faisceau d argument convergent vers un bénéfice chez le traumatisé. Etudes nécessaires +++ Crit Care 2010; 14:R55. Anesthesiology 2010; 113: Transporteurs d O 2 synthétiques ou semi-synthétiques? Echec récent (à<1%) d un test de non infériorité d un HBOC. J Am Coll Surg 2009; 208:1-13. Page 32 Facteur XIII activé? Monitorage/guidage en temps réel de l hémostase: ROTEM - TEG Page 33 Prise en charge de l état de choc hémorragique (du traumatisé grave) est multi-facettes: o Aspects organisationnels. o. Connaissances & pratiques sont en constante évolution. Référentiel récent donnant un certains nombres d indications précises. Maîtres mots = «analyse réaction rapide» Aspects organisationnels Patient en état de choc hémorragique doit être: Au «bon» endroit, il faut l y amener. Au «bon» moment, il faut minimiser les délais. Avec la «bonne» équipe médicale il faut une équipe identifiée, spécialisée. Avec la «bonne» prise en charge il faut des protocoles. «bon» endroit «bon» moment «bonne» équipe Amélioration de la survie Page 36 Page 37 5
6 Remplissage vasculaire titré équilibré avec noradrénaline, cibles PA Sys 80 à 100 mmhg ; PAM 65 mmhg. : CG, cible: Hb cible 7 à 9 g/dl. PFC, cible: TP > 50% ; TCA < 1,5 témoin. CUP, cible: plaquettes > à /mm 3. Ratios: o PFC/CG 1/1 à 2/3 o CUP/CG 1/5 Produits favorisant la coagulation: Exacyl: 1g/10 min puis 1g/8h. Fibrinogène, cible: > 1,5 à 2 g/l. +/- rfviia: 200 µg/kg puis 100 µg/kg H1 & H3. Autres à l avenir?? (CCP, XIIIa)? Monitorage de la coagulation régulier & répété, dosage: Hemocue, GdS, lactates, BE, NFS, TP, TCA, fibrinogène, ROTEM. Page 38 Page 39 Réanimation Traitement du choc hémorragique Traitement du saignement Traitement de la coagulopathie Adjuvants de la coagulation Page 40 Traitement du choc hémorragique Page 41 Ca va saigner?? Merci de votre attention Depuis 2000, 13 rencontres: France 10 victoires Pays de Galles 3 victoires Page 42 Page 43 6
7 Merci de votre attention Page 44 7
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détaildabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente
dabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente Gilles Pernod et Pierre Albaladejo, pour le Mise en garde Ce texte concerne la prise en charge des
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailAspects pratiques du traitement de la MTEV
JFA Aspects pratiques du traitement de la MTEV 1 er février 2013 Isabelle Mahé Hôpital Louis Mourier Médecine Interne APHP, Université Paris 7 Conflits d intérêt Conseil en développement Daiichi Sankyo,
Plus en détailAntifibrinolytiques et Fibrinogène. ne. Dr.Anne-Sophie. DUCLOY-BOUTHORS, Christine NOBECOURT, Pr. Brigitte JUDE pour l ensemble l des anesthésistes
Hémorragie obstétricale tricale : Antifibrinolytiques et Fibrinogène. ne. Dr.Anne-Sophie DUCLOY-BOUTHORS, Christine NOBECOURT, Pr. Brigitte JUDE pour l ensemble l des anesthésistes sistes obstétriciens
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailHémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants
Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailPrise en charge des hémorragies par les NACO et autres protocoles
Prise en charge des hémorragies par les NACO et autres protocoles de SU en évolution Objectifs Comprendre que les NACO sont largement utilisés en pratique clinique Discuter des protocoles nouveaux et en
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailQuelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique?
Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? À la recherche du test «idéal» pour diagnostiquer les troubles de l hémostase C. Lecut, P. Peters, A. Gothot
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques
Nouveaux anticoagulants oraux : gestion des accidents hémorragiques PY Cordier Service de Réanimation HIA Laveran - Marseille Février 2014 Introduction Anticoagulants oraux : historique Antivitamines K
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailApixaban. Rivaroxaban. Dabigatran (Pradaxa ) (Xarelto ) (Eliquis ) 6X (ClCr 10-30ml/min)
dapté et modifié de: J.Eikelboom et l. Circulation. 2010;121:1523-1532 Apixaban (Eliquis ) Rivaroxaban (Xarelto ) Dabigatran (Pradaxa ) Mécanisme d action Inhibiteurs directs du FXa Inhibiteur direct du
Plus en détailNOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES. ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon
NOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon Fondaparinux AT Traitement anjcoagulant NACO disponibles P. Albaladejo, SFAR 2012 NACO chirurgie
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailAVK AVEC ASSISTANCE! ADOS EN EXAMEN : Pharmacologie et Effets sur les tests d hémostase
ADOS EN EXAMEN : Pharmacologie et Effets sur les tests d hémostase Pr. I. Elalamy Service d Hématologie Biologique Hôpital Tenon ER2 UPMC Paris Clot progression driven by blood borne hypercoagulability
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailLes NOACs en situation de crise
Les NOACs en situation de crise Vanderhofstadt Quentin Stagiaire en médecine interne (CHHF) Février 2013 Supervision : Dr Guillen 1 Les NOACs en situation de crise Pourquoi un staff à ce sujet R/ de plus
Plus en détailPharmacologie, indications et implications des NAOs. Stéphanie Cloutier, hématologue Le 24 septembre 2014
Pharmacologie, indications et implications des NAOs Stéphanie Cloutier, hématologue Le 24 septembre 2014 AODs: Anticoagulants oraux directs TSOACs : target-specific oral anticoagulants Stéphanie Cloutier,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailMonitoring non invasif dans l état de choc
Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique
Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailSTAFF ALR. 21 février 2013
STAFF ALR 21 février 2013 «La Revue de presse» 1 2 3 4 1 2 3 Approche du nerf suprascapulaire Au niveau du bloc supraclaviculaire Yan Buntinx «La Revue de presse» SUITE CWI: Bolus :10ML Débit :10mL/h
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailvoie extrinsèque voie intrinsèque VIIa IXa XIa XIIa IX XI prothrombine Xa, V, Ca, PL thrombine IIa facteurs contact XII fibrinogène fibrine
Les nouveaux anticoagulants oraux Pierre Avinée EPU B Septembre 2012 Anticoagulants:pourquoi des nouveaux? Héparines Voie parentérale (1 à 3 fois par jour) Surveillance biologique (HNF) Risque: TIH, ostéoporose
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailCAPACITE DE GERONTOLOGIE MANIEMENT DES ANTICOAGULANTS
CAPACITE DE GERONTOLOGIE MANIEMENT DES ANTICOAGULANTS Professeur Patrick JEGO - Service de Médecine Interne Rennes, mercredi 8 janvier 2014 Monsieur L, 92 ans, passe en FA permanente. Que faites vous?
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux anti IIa, anti Xa
Les nouveaux anticoagulants oraux anti IIa, anti Xa Dr F Volot CRTH- Centre de Coagulopathie Département de maladie thromboembolique Dijon Conflits d intérêt Baxter Bayer CSL Behring LFB Novonordisk Pfizer
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailQU ENTEND-ON PAR DÉFICITS EN FACTEUR DE COAGULATION RARES?
QU ENTEND-ON PAR DÉFICITS EN FACTEUR DE COAGULATION RARES? Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2009 La FMH encourage la redistribution de ses publications
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailSources bibliographiques :
AP-HM LBM 00PREP01D004 Date d application: 2014-06-16 Version : 3 Rédaction : ALBANESE Brigitte, AILLAUD Marie Françoise, ARNOUX Dominique Validation : MORANGE Pierre, DIGNAT-GEORGE Françoise Approbation
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE:
ROBOT ET CHIRURGIE AORTIQUE: FAISABILITÉ ET PERSPECTIVES FUTURES Fabien THAVEAU, Nabil CHAKFE, Jean-Georges KRETZ Service de Chirurgie Vasculaire, Strasbourg INTRODUCTION CHIRURGIE MINI-INVASIVE: but:
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailNACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles
NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Savoir gérer la balance des risques? d un patient sous NACO et/ou AAP du chirurgien de
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailFormation en Implantologie
COURS EN IMPLANTOLOGIE Saint - Domingue (République Dominicaine) Pratique clinique sur patients dr.lebbar@lapostre.net +212(0) 5 37 68 32 03 COURS PRATIQUE EN IMPLANTOLOGIE À SAINT - DOMINGUE Pratiques
Plus en détailTests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE
Chapitre 5 UE4 : Biostatistiques Tests paramétriques de comparaison de 2 moyennes Exercices commentés José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailZone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires
5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailDabigatran, rivaroxaban et apixaban: le point sur les nouveaux anticoagulants oraux
, rivaroxaban et apixaban: le point sur les nouveaux anticoagulants oraux Damian Ratano a, Philippe Beuret a, Sébastien Dunner b, Alain Rossier b, Marc Uhlmann b, Gérard Vogel b, Nicolas Garin b Quintessence
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détail3.1 Connaissance et expertise en matière de tests de coagulation
3 DIAGNOSTIC EN LABORATOIRE 29 1. Il est essentiel de poser un diagnostic correct pour que le patient reçoive le traitement dont il a besoin. Dans différents troubles de coagulation, les symptômes peuvent
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailTraumatismes pelviens
Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu
Plus en détailGestion périopératoire des anticoagulants oraux directs
Le Congrès Médecins. Conférence d Actualisation 2014 SFAR. TOUS DROITS RESERVES. Gestion périopératoire des anticoagulants oraux directs Anne Godier 1,2, Isabelle Gouin-Thibault 2,3, Nadia Rosencher 4,
Plus en détailCORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :
CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailMesure non invasive du débit cardiaque
Mesure non invasive du débit cardiaque Pr. Jean-Luc Fellahi fellahi-jl@chu-caen.fr Pôle Réanimations Anesthésie SAMU/SMUR, CHU de Caen, France UFR de Médecine, EA 4650, UCBN, France Déclara'on de conflits
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailNouveaux AntiCoagulants par Voie Orale. Dr. François PAPON 27 juin 2013
Nouveaux AntiCoagulants par Voie Orale Dr. François PAPON 27 juin 2013 Limites des traitements anticoagulants standards «Nécessité» nouveaux anticoagulants Objectif; se rapprocher de l antithrombotiqueidéal
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailFMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu
FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détail