Chap IV La paroi 17/09/2008. La paroi bactérienne

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Chap IV La paroi 17/09/2008. La paroi bactérienne"

Transcription

1 Chap IV La paroi La paroi bactérienne Introduction Deux types de bactéries (G+ et G-) survivent dans l environnement malgré une forte pression osmotique interne ; elles sont généralement impliquées dans des pathologies différentes. Définitions Enveloppe externe rigide et résistante protégeant la MC (sauf chez les formes L) caractérisée par une macromolécule géante : le peptidoglycane. Mise en évidence de son individualité anatomique Microscopie optique (coloration de Gram, plasmolyse) et électronique (montre une ultrastructure très différente entre les bactéries G+ et G-). 1

2 Comparaison de la paroi des bactéries G- et G+ Principe et étapes de la coloration de Gram coloration au cristal violet mordant (iode) décoloration Et-OH contre coloration la safranine 2

3 Coques G+ et bacilles G- Plasmolyse: choc en milieu hypertonique 3

4 Ultrastructure de la Paroi des bactéries Gram-négatif Couche externe = membrane externe : lipopolysaccharide, phospholipides, protéines (porines) Couche intermédiaire : lipoprotéine de Braun, enzymes périplasmiques Couche dense : peptidoglycane(2-3 nm) Périplasme: Enzymes périplasmiques. 4

5 Architecture de la paroi des bactéries G- Analyse topographique par cryodécapage; Modèle de Nanninga 5

6 Ultrastructure de la Paroi des bactéries Gram-positif Moins complexe, plus épaisse : nm d épaisseur, qui peut varier en fonction de l environnement (elle augmente dans les conditions défavorables ou lors du vieillissement). Absence de frontière nette entre le PG et le périplasme, car le PG se renouvelle en permanence dans cette région ; en outre, la surface externe présente un aspect fibreux (perte de PG). 6

7 Architecture de la paroi d une bactéries G+ : S. aureus Comparaison G+ / G- 7

8 Composition chimique Le peptidoglycane (PG) appelé aussi muréine et muropeptide. Hétéropolymère de très grande taille correspondant à l association d un héteropolysaccharide et d un peptide. Méthode d étude et purification: Chez les G+: broyage, traitement enzymatique (amylase) et formamide à chaud (élimination des acides lipoteichoïques). Chez les G-: SDS bouillant, protéolyse, hydrolyse chimique ménagée Structure du PG L hydrolyse au lysozyme permet d obtenir le monomère de base : NAG-NAM 8

9 Le tétrapeptide latéral Se greffe au niveau du chaînon lactyl du NAM (liaison amide), hydrolysé par une amidase. On observe une alternance entre des aas L et D (rigidité?).. Pont interpeptidique Les ponts interpeptidiques Relient entre elles les chaînes hétéropolysaccharidiques substituées par les tétrapeptides. Dans le modèle Copenhague, c est une pentaglycine; il en résulte un pontage généralisé = macromolécule géante englobant toute la bactérie. 9

10 Variations autour du modèle de PG On les observe essentiellement au niveau du tétrapeptide latéral et des ponts interpeptidiques: - variations quantitatives=réticulation(qui se mesure par la quantité de dimères obtenue après action du lysozyme) - Variations qualitatives: notamment de l acide aminé en position 3 et du lien interpeptidique: le DAP (spécifique des procaryotes) en position 3 du tétrapeptide et un lien direct entre les tétrapeptides constituent des caractéristiques des G- Variations quantitatives = réticulation 10

11 Variations qualitatives 11

12 Réactions de transpeptidation : formation des ponts interchaînes 12

13 Biosynthèse du peptidoglycane cytoplasme 13

14 En conclusion, la structure du PG est beaucoup plus variable et plus complexe chez les G+ que chez les G- (distorsions), ce qui est en accord un statut plus évolué des G-. 14

15 Composants spécifiques des bactéries Gram-positif Les acides teichoïques (AT): polymères de polyols (chaîne de Glycero-P sur laquelle se fixent des monosaccharides et/ou des aa). Traversent le PG; Charges (-) en surface Acides lipoteichoïques: glycosides de diglycérides reliés aux AT. Parie AG est ancrée dans la mp. (AgD Streptocoques) Acides teïchuroniques : polysaccharides acides ou neutres liés au PG sans acide phosphorique; rencontré chez Bacillus, Micrococcus et Staphylococcus Par exemple, lorsque B. subtilis pousse dans un milieu pauvre en phosphate, ce dernier est remplacé par de l acide uronique 15

16 Composants spécifiques des bactéries Gram-négatif Le Lipopolysaccharide(LPS) : modèle Salmonella typhimurium 16

17 La membrane externe des bactéries G-est caractérisée par une distribution asymétrique des lipides dans la bicouche : -un feuillet interne classique (phospholipidique), -un feuillet externe formé presqu exclusivement de lipopolysaccharides (LPS) fortement chargé négativement (phosphates). Le LPS est composé de 3 parties associées par des liaisons covalentes Structure du lipopolysaccharide (LPS) Salmonella typhimurium La chaîne variable O (antigénique) n=4 à 30 Présente dans souches S (smooth), absentes ou incomplètes chez souches R (rough) Barrière pour les antibio hydrophobes Le polysaccharide central (core polysaccharidique) Hydrolyse Ac acétique 1% 1h 100 C Le lipidea (inséré dansle feuillet externe de la membrane) 17

18 Le Lipide A Fortement conservé chez les bactéries Gram-négatif Partie intégrante de la membrane externe; il permet d ancrer la région polysaccharidique dans la membrane externe, et il est responsable de la toxicité (endotoxine) C est un polymère glycophospholipidique formé d unités disaccharidiques de glucosamine (bêta1-6) reliées entre elles par des ponts pyrophosphates, et auxquelles sont rattachées de longues chaînes d acides gras (C12-C16) Le Polysaccharide central La région du CDO (ceto-2 desoxy-3 octonique=kdo) : le CDO est un acide-alcool en C8 (union de l acide pyruvique (C3) et de l arabinose (C5)) La région des diheptoses (sucre en C7 rencontré uniquement chez les bactéries Gram -) Et la zone externe du core polysaccharidique (5 sucres) 18

19 La Chaîne latérale O Elle est constituée d unités répétitives tétrasaccharidiques Elle est très variable (nature et arrangement des sucres) Elle est responsable de la grande diversité antigénique somatique (sérotypes) La perte partielle ou totale de la chaîne O se traduit par des colonies rugueuses (mutant R = rough = rugueux) ; tandis que les colonies sauvages sont lisses. S=smooth=lisse) Biosynthèse du LPS 19

20 Conclusion Le feuillet externe est fortement chargé négativement. Les ions Mg++ assurent la stabilité des chaînes de LPS. Des antibiotiques comme les polymyxines (polycations) agissent en perméabilisant la membrane externe. La Lipoprotéine de Braun Elle est d une part fixée par une liaison covalente au peptidoglycane (au niveau du DAP du tétrapeptide latéral), et elle s intègre d autre part dans le feuillet interne de la membrane externe. Elle joue notamment un rôle structural en contribuant à la stabilité de la membrane externe (en association avec la protéine OmpA Outer membrane ProteinA). 20

21 Les Porines (OmpF, OmpC, PhoE) Les protéines de la membrane externe représentent 50% de la masse de celle-ci ; 70% de ces protéines sont des porines. Les porines Les porines sont codées par les gènes OmpF, OmpCet PhoE. Elles traversent de nombreuses fois la membrane externe (feuillets bêta) et forment une structure trimérique dans laquelle chaque monomère présente un canal qui permet le passage (non spécifique) de petites molécules hydrophiles (sucres, amino-acides ). Une grande variété de protéines minoritaires (mineures) sont impliquées dans un transport spécifique à travers la membrane externe (LamB pour le transport du maltose, des sidérochromes pour celui du fer). La translocation s effectue au niveau des jonction de Bayer (permettant une interaction directe avec le LPS). En outre, le LPS présente in vitro une capacité d autoassemblage avec les porines et les lipoprotéines de Braun. 21

22 Les enzymes périplasmiques Ces enzymes agissent sur des substrats présents dans le périplasme (notamment après diffusion par les porines). Ce sont notamment des enzymes qui interviennent dans la dégradation ou qui préparent l entrée dans la cellule: DNases, RNases, nucléotidases, phosphatases, isomérases, épimérases (ces dernières permettent de réduire le nombre de perméases membranaires) Certaines enzymes sont associées à des composants structuraux qui maintiennent l enzyme dans une configuration correcte. D autres enzymes sont solubles dans le périplasme et peuvent être isolées par choc osmotique. Résumé: propriétés de la paroi des G+ et des G- 22

23 Propriétés et fonctions de la paroi Fonctions de protection. contre les gradients de force osmotique : la pression osmotique du cytoplasme est très élevée : le milieu extérieur est en général hypotonique. On peut mettre en évidence les propriétés de la paroi (notamment résistance et rigidité) en introduisant les bactéries dans un milieu de tonicité variable ou en éliminant leur paroi. -Plasmolyse, -sphéroplastes(expérience de Repaske), -protoplastes, -propriétés mécaniques de la paroi Production de Sphéroplastes (à partir de G-) 23

24 Production de Protoplastes (à partir de G+) culture en présence de pénicilline ou action du lysozyme Propriétés mécaniques de la paroi : résumé - La plasmolyse montre que la paroi est rigide. - La paroi est très faiblement élastique, car la variation de tonicité ne modifie pas la taille des bactéries. - La forme toujours sphérique des protoplastes ou des sphéroplastes situés dans un milieu isotonique par rapport à leur cytoplasme montre que la paroi détermine la forme des bactéries. - L éclatement des sphéroplastes ou des protoplastes montre que la paroi est très résistante. 24

25 Autres fonctions protectrices de la paroi - Contre la pression externe. -Contre les agents chimiques et enzymatiques. Le PG est sensible au lysozyme (larmes, salive ) ou à la pénicilline, surtout chez les bactéries G+. La surface de la paroi des bactéries G+ et G- assure pourtant une défense efficace: elle est hydrophile (AT pour les G+, LPS pour les G-) et elle est chargée négativement (groupements phosphates). Cela lui permet de bloquer l internalisation des molécules hydrophobes (protection contre les sels biliaires). La situation est plus délicate en ce qui concerne les molécules hydrophiles: elle doit laisser passer les petites molécules nutritives tout en bloquant l internalisation des grosses molécules hydrophiles (agents toxiques, protéases) : cette protection est plus efficace chez les bactéries G- que chez les G+ (feuillet phospholipidique + diffusion simple ou facilitée). Fonction de la paroi dans la division : le septum Rôle du PG et des protéines. Chez les bactéries G+, c est la totalité de la paroi (PG) qui s invagine (vrai septum). Chez les G-, on observe plutôt une constriction. De nombreuses protéines sont impliquées (Fts). Parmi elles, FtsZ est un homologue de la tubuline: elle forme un anneau de constriction lors de la division. 25

26 Division chez les G+ Division chez les G- 26

27 La paroi et la régulation de la perméabilité Rôle de la membrane externe chez les bactéries G- : diffusion simple (porines) et diffusion facilitée (par l intermédiaire de récepteurs spécifiques, comme LamB pour l internalisation du maltose). Tri par les mailles du PG chez les bactéries G+. Les porines et la diffusion simple Les porines (canaux non spécifiques) sont codées par les gènes OmpF, OmpC et PhoE Elles forment une structure trimérique dans laquelle chaque monomère présente un canal qui permet le passage (non spécifique) de petites molécules hydrophiles (sucres, amino-acides ) La membrane externe des bactérie G-contrôle l internalisation des petites molécules hydrophiles dont la taille est <=700daltons par l intermédiaire des porines ( /bactérie, trimères formés de 3 sous-unités identiques transmembranaires) qui fonctionnent par diffusion passive (simple) = canaux non spécifiques. Cette diffusion présente 3 caractéristiques : - la taille des pores: 1,2 nm = PM daltons. - la charge des molécules hydrophiles: les cations diffusent plus rapidement que les anions. - l hydrophobicité: la vitesse de diffusion est inversement proportionnelle à l hydrophobicité. 27

28 La paroi et les relations hôte / bactéries Les bactéries (qu elles soient saprophytes ou pathogènes) doivent adhérer à la surface des muqueuses et résister aux mécanismes de défense, que ceux-ci soient spécifiques ou non. Il existe 3 mécanismes pathogéniques qui peuvent provoquer des dommages chez l hôte : - la prolifération - l interférence avec les défenses de l hôte - composants provoquant des dommages chez l hôte 1- La prolifération Le fer est indispensable à la croissance bactérienne, et les sidérophores (sécrétés à l extérieur ou adsorbés à la surface de la paroi) permettent aux bactéries pathogènes de concentrer le fer qui est très peu soluble, et d entrer en compétition avec la transferrine et la lactoferrine de l hôte (bloquant normalement la croissance de nombreuses bactéries pathogènes). La souche bactérienne devient virulente (prolifération) si le sodérochrome bactérien l emporte. 2- l interférence avec les défenses de l hôte Résistance aux agents antibactériens (lysozyme), et surtout aux cellules phagocytaires (macrophages) - inhibition de la réaction inflammatoire : activité antiinflammatoire du PG (certains Staphylocoques) - l inhibition de la phagocytose (ingestion) qui est le principal mécanisme de virulence : certains PG de bactéries G+ et certains LPS de bactéries G- peuvent présenter une activité anticomplémentaire et/ou anti-fc. certains LPS de bactéries G- peuvent modifier leur AG O et ne plus être reconnus par les Ac préalablement synthétisés contre la même espèce bactérienne. -prévention de la digestion intracellulaire certaines bactéries survivent dans les phagosomes(coagulase du Staphylocoque), peuvent se multiplier, puis tuer la cellule et être libérées (Mycobacterium tuberculosis, Staphylocoques, Neisseria) 28

29 3- composants provoquant des dommages chez l hôte cas des bactéries G- avec l endotoxine = LPS. Le LPS est très résistant à de nombreux agents physiques ou chimiques, et pour détruire l activité endotoxinique, il faut un chauffage de 7h/126 C. De petites quantité de LPS = ng/kg : activation, fièvre, augmentation de la synthèse d AC, inflammation. Des quantités importantes de LPS= microg/kg augmentent l IL-1, le TNF, les facteurs de la coagulation : Les effets = choc septique, coagulation intravasculaire. Les bactéries G- non pathogène peuvent relarguer du LPS et devenir pathogènes. Autres rôles de la paroi: récepteur de phages, dans la mobilité flagellaire Conclusions Il existe des eubactéries sans paroi: - les formes L: bactéries sans paroi similaires aux protoplastes ou sphéroplastes (à la suite d un traitement à la pénicilline). - les mycoplasmes: bactéries sans paroi, dont la membrane est consolidée par des stérols (Mycoplasma mycoïdes) 29

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

Le trajet des aliments dans l appareil digestif.

Le trajet des aliments dans l appareil digestif. La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Insert System. BRANDplates. Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails

Insert System. BRANDplates. Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails Un design intelligent et innovant jusque dans les moindres détails BRANDplates Insert System H I G H - T E C H D I S P O S A B L E S Plaques de culture cellulaire et inserts innovants de BRAND pour la

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU

Plus en détail

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534

École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une

Plus en détail

PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE ET LEUR APPLICATION DANS L INDUSTRIE ALIMENTAIRE

PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE ET LEUR APPLICATION DANS L INDUSTRIE ALIMENTAIRE Siège social et station expérimentale 142, Rang Lainesse Saint-Norbert d Arthabaska Québec G0P 1B0 Téléphone : (819) 369-4000 Télécopieur : (819) 369-9589 REVUE DE LITTÉRATURE PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE

Plus en détail

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Série : Sciences et Technologies de Laboratoire Spécialité : Biotechnologies SESSION 2015 Sous-épreuve écrite de Biotechnologies Coefficient de la sous-épreuve : 4 Ce sujet est

Plus en détail

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE

INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.

Plus en détail

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT

TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification

Plus en détail

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine 2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière

Plus en détail

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE 4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes

Plus en détail

Formavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...

Formavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB... Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006 La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

(72) Inventeur: Baijot, Bruno Faculté des Se. Agronom. de l'etat Dép. de Technol. agro-alimentaire et forestière groupe Ceteder B5800 Gembloux(BE)

(72) Inventeur: Baijot, Bruno Faculté des Se. Agronom. de l'etat Dép. de Technol. agro-alimentaire et forestière groupe Ceteder B5800 Gembloux(BE) Patentamt à JEuropâisches European Patent Office Numéro de publication: 0 039 1 04 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 81200405.9 Int. Cl.3: C 12 N 11/00 Date de

Plus en détail

Respiration Mitochondriale

Respiration Mitochondriale Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à

Plus en détail

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

NOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION

NOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

biocer - système d implant dentaire

biocer - système d implant dentaire i n f o r m a t i o n s p r o d u i t s biocer - - implants dentaires combinés et concepts de butées en matériaux biologiquement fiables. Le dispositif exceptionnel des surfaces cerid - sont la conception

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS

Observer : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS 4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule

Plus en détail

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire : La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous

Plus en détail

COPENHAGUE, AVANT ET APRÈS ENJEUX ET PERSPECTIVES POUR LES ENTREPRISES. Novembre 2009

COPENHAGUE, AVANT ET APRÈS ENJEUX ET PERSPECTIVES POUR LES ENTREPRISES. Novembre 2009 COPENHAGUE, AVANT ET APRÈS ENJEUX ET PERSPECTIVES POUR LES ENTREPRISES Novembre 2009 Copenhague, avant et après enjeux et perspectives pour les entreprises 2 Copenhague, avant et après enjeux et perspectives

Plus en détail

1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.

1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection

Plus en détail

PROPRIETES DES SUCRES DANS LES ALIMENTS

PROPRIETES DES SUCRES DANS LES ALIMENTS PROPRIETES DES SUCRES DANS LES ALIMENTS Nouvelles tendances & Objectifs nutritionnels Mathieu Delample (Responsable Unité de Recherche), Martine Crépin (Responsable Pôle Produit), Emmanuel Corfias (Ingénieur

Plus en détail

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des

Plus en détail

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie. WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les

Plus en détail

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes

Plus en détail

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Livret de l agriculture. L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins

Livret de l agriculture. L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins Livret de l agriculture L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins Christine CUVELIER*, Jean-Luc HORNICK*, Yves BECKERS*, Eric FROIDMONT**, Emilie KNAPP*, Louis ISTASSE*, Isabelle DUFRASNE*

Plus en détail

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

Synthèse et propriétés des savons.

Synthèse et propriétés des savons. Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.

Plus en détail

VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE

VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie

Plus en détail

β-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)

β-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P) bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Portrait du Groupe Roquette

Portrait du Groupe Roquette Portrait du Groupe Roquette «Servir les femmes et les hommes en offrant le meilleur de la nature» Vision Devenir, sur des marchés identifiés, un acteur leader à l échelle mondiale en solutions et produits

Plus en détail

Enseignement secondaire

Enseignement secondaire Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie

Plus en détail

La Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -

La Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé

Plus en détail

Polymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective

Polymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective Polymer Nanoparticles in Life Science Compte-Rendu d un atelier européen de prospective Christian Pichot, Denis Labarre et Jean-Claude Daniel Un atelier européen de prospective sur le sujet «Polymer nanoparticles

Plus en détail

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013 Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao

Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao Modification du... Le Département fédéral de l intérieur arrête: I L ordonnance du DFI du 23 novembre

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

Sucre et «faux sucre» leur place dans l alimentation du diabétique

Sucre et «faux sucre» leur place dans l alimentation du diabétique Sucre et «faux sucre» leur place dans l alimentation du diabétique Jean-Louis Schlienger Professeur émérite Fac Médecine Strasbourg Fondateur et secrétaire général de l AFD Alsace (1980-1995) Insulib 16

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Sommaire de la séquence 7

Sommaire de la séquence 7 Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,

Plus en détail

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs

Plus en détail

VALORISATION DES CO-PRODUITS ISSUS DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE DE BIOCOMBUSTIBLES

VALORISATION DES CO-PRODUITS ISSUS DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE DE BIOCOMBUSTIBLES VALORISATION DES CO-PRODUITS ISSUS DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE DE BIOCOMBUSTIBLES Laboratoire de Génie des Procédés pour l Environnement, l Energie et la Santé (GP2ES EA 21) Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Les Confitures. Photo : M.Seelow / Cedus. Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè.

Les Confitures. Photo : M.Seelow / Cedus. Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè. Photo : M.Seelow / Cedus Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè. LES CONFITURES TABLE DES MATIERES DYNAMIQUE INTRODUCTION I. DEFINITION DES CONFITURES

Plus en détail

DES de Pathologie AFIAP

DES de Pathologie AFIAP DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

ELECTROPHYSIOLOGIE: PRINCIPES ET TECHNIQUES. Fabrice DUPRAT, Chargé de Recherche

ELECTROPHYSIOLOGIE: PRINCIPES ET TECHNIQUES. Fabrice DUPRAT, Chargé de Recherche ELECTROPHYSIOLOGIE: PRINCIPES ET TECHNIQUES Fabrice DUPRAT, Chargé de Recherche SOMMAIRE I-A-1 Compartiments liquidiens... 3 I-A-2 Protéines de transport... 3 I-A-3 Modèle électrique des membranes biologiques...

Plus en détail