Femme 52 ans amenée à l urgence par son mari. RC: problème mnésique / baisse fonctionnement (AVQ/AVD) / agitation / agressivité / accès de «colère»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Femme 52 ans amenée à l urgence par son mari. RC: problème mnésique / baisse fonctionnement (AVQ/AVD) / agitation / agressivité / accès de «colère»"

Transcription

1 Démence et psychose Femme 52 ans amenée à l urgence par son mari RC: problème mnésique / baisse fonctionnement (AVQ/AVD) / agitation / agressivité / accès de «colère» Md.service consultation en psychiatrie: délire paranoïde / hallucinations auditives / amnésie antérograde / baisse orientation (temps-espace) aphasie (légère) À l urgence: discours incohérent / cris / dégradation FMS (delirium?) Évolution: gardée à l hôpital en soins prolongés Après 36 mois: incontinence, immobile, lit Après 48 mois: position fœtale, aphasie sévère Après 54 mois: décès (septicémie, pneumonie)

2 Alois Alzheimer Auguste D.

3 Ageism in first episode psychosis Étude P.A.C.E. (Population Adjusted Clinical Epidemiology, U.K) 537 patients * : 1 er épisode psychotique Diagnostic < 65 ans (411 pts) > 65 ans (126 pts) Schizophrénie 26% 8% Trouble délirant 7% 16% Trouble schizo-affectif 4% < 1% Manie 7% 3% Trouble Bipolaire 10% 1% Dépression 26% 28% Pbl. Organique 2% 36% Induit substance 20% < 1% Exclusion : Démence Int. J. Geriatric Psychiatry, 2010 : 25,

4 Psychose: 140 pts. Consécutifs, externes, clin.gérontopsy. Prévalence de psychose:27% 4 diagnostics expliquent 80% des cas 1: démence 35% 2: dépression 20% 3: délirium 15% 4: organicité 10% Holroy and Laurie(1999) intern.j.gériatric psy.

5 Démence et psychose Burns et all symptômes principaux: -Délire: idées/croyances fausses, irréductibles -Hallucinations: perception en l absence de stimulis -«Delusional misidentification» Personnages, images Télévision et miroirs

6 Démence et psychose Prévalence/incidence -prévalence cumulée: près de 80% des pts. Alzheimer (Ballard et all 1997) -prévalence moyenne:41%(12%à74%) Délire:32% Misidentification:30% Hallucination:21% (2/3 visuelle,1/3 audit.) (Jeste 2005) *pas d association avec :sexe/éducation/histoire psyc.familiale âge au début de la maladie

7

8 Démence et psychose: prévalence Cummings et all (99) Lyketsos (01) Derouesné (01) Age moyen 75 ans 84 ans 70 ans 50 pts (C.E.) 208 pts (C.) 150 pts (C.E.) MMSE N.P.I. Apathie 72% 28% 59% Agitation/agressivité 60% 24% 52% Anxiété 48% 17% 55% Irritabilité 42% 21% 42% Dépression 38% 24% 35% Tr. moteur 38% 15% 61% Désinhibition 36% 9% 27% Délire 22% 19% 15% Hallucination 10% 14% 27% Euphorie 8% 1% 31% TOTAL: 88% 61% 76%

9 Démence et psychose: prévalence Variabilité selon stades de la maladie 60 % psychose de Clinical dementia rating score 478 patients: Dx. Démence (U.S.A.) R.A.Sweet. Brain 2010 vol.133

10 Demence et psychose:prévalence Variabilité selon stades d évolution de la maladie ADAMS study: 840 sujets: 303 N., 238 M.C.I., 299 alz. Communauté/c.d accueil, U.S.A. entrvue avec un tiers + N.P.I. Am.journ.of ger.soc. Februrary 2010 vol. 58 no.2 p.335

11 Démence et psychose Prévalence: (notes) Les symptômes psychotiques sont difficiles à répertorier, car tendance générale des patients déments à ne pas les rapporter d où la nécessité d utiliser : des outils d évaluation stantardisés Échelle Behave A.D. (Rosberg 1987) Échelle N.P.I. (Cummings 1994) :Entrevue avec un tiers Hallucination: prévalence x 2 Délire : prévalence x6 ( Ostling Am.j Geriat.psy. Dec.2007 )

12 Démence et psychose Palmarès TOP pts. Age moyen:81 ans sexe féminin:60% # 1: misidentification of people 24% # 2: délire paranoide (vol) 21% # 3: morts toujours vivants 19% # 4: maison n est pas la nôtre 17% # 5: hallucinations visuelles 17% # 6: hallucinations auditives 13% # 7: gens dans la maison 13% # 8: misidentification of things 13% # 9: télévision est réelle 7% #10: abandon 7% Absence d éléments schneidériens Absence de désorganisation du discours R.A.Sweet et al. Brain 2010

13 Démence et psychose Taux de résolution annuelle: 45 à 65% (Sur période de 3 mois) Plus persistant que éléments affectifs mais Moins persistant que agitation/agressivité Ballard et al. 2006

14 Démence et psychose Impacts: -Souffrance patient/environnement (1/3 détresse sévère) -Souvent concommitant avec agitation, agressivité -Institutionnalisation/placement plus hâtifs -Facteurs d accélération de pertes cognitives (x2 à 3) -Associé à limitations fonctionnelles (A.V.Q./A.V.D.) -Détérioration plus marqué des fcts. Exécutives -Prévalences accrue de S.E.P.

15

16 Démence et psychose: traitement Utilisation des anti-psychotiques Schneider et al. Meta analyse: Efficacité et tolérabilité des anti--psychotiques «atypiques» chez les patients déments Base de données / Medline / Cochrame *(Tous sponsorisées) 15 études, double insu, contrôlée par placebo # total de patients: 5110 Âge moyen 81 ans Sexe féminin 70% American journal of Geriatric psychiatry mars 2006 pp

17 Psychose traitement Méta analyse (suite) 5016 patients Taux de mortalité Rx: Olanzapine / Risperidone / Quetiapine / Aripiprazole* Risque de mortalité augmenté par un facteur de 1.6 à 1.7: 65% 15 études sur 17 : Augmentation de mortalité Rx >placebo Causes Mortalité : Insuffisance cardiaque Mort subite Infection (pneumonie) U.S. Food and Drug Administration

18 Démence et psychose: traitement (suite) OLANZAPINE: - pas de différence statistiquement significative entre Rx et placebo sur Échelle B.P.R.S. / N.P.I. - 1 étude ss échelle psychose /agitation si réponse: 50%, Rx 54%, placebo 34%, P= %, Rx 62%, placebo 66%, P=0.49

19 Démence et psychose: traitement (suite) RISPERIDONE: Différence statistiquement significative entre Rx et placebo sur échelle Behave A.D. / C.M.A.I., φ échelle C.G.I., B.P.R.S., N.P.I. Behave A.D. si amélioration > 50%, Rx 46%, placebo 33%, p= seule étude sur 4 rapporte des résultats stat-significatifs sur sous échelle psychose, Behave A.D. résultats non statistiquement significatifs ss échelle psychose N.P.I.

20 Psychose: Démence à corps de Lewy Définition: baisse des F.M.S. symptomes principaux: Fluctuation des F.M.S. Parkinsonisme Hallucinations visuelles symptomes de support: Délire Hallucinations autres

21 Démence corps Lewy Prévalence: Hallucinations visuelles : ad 75% Vs 15% alz. dans M.A. proport. Sévérité/peu auto critique dans D.C.L. inversem. propor./+auto critique le plus souvent complexes, détaillés bien formés, récurrentes/persistante Délires/hallucinations (autres) ad. 50% (pareil à M.A.) moins d auto critique que hall. vis. plus souffrant mécanismes pathologiques différents déficit cholinergique hall. visuelle?

22 Démence corps Lewy: traitement: 1 seule étude prospective: Mckeith 2000 rivastigmine améliore score global au N.P.I. résultats peu concluants quant à l amélioration d items spécifiques Traitement: analyse post-hoc, sous groupes - olanzapine 5 mg. analyse ouverte petit n - quétiapine 25 à 75 mg. engendre Parkinsonisme ad 60 % réponse peu impressionnante

23 Délirium: Prévalence de psychose Délire: 18 à 68% thème paranoïde (environnement immédiat) Hallucinations/troubles percepetuels: 17 à 55% Désorganisations de la pensée: ad 95% meagher and tozepacz j.geriatric psy.1998 Étude de Sandberg and all 315 patients en délérium Hall. Visuelles: 80% Hall. Auditives: 35% j.am.geriatric soc.1999 Hyperactif Hypoactif Hall. délire total 28% 31% 59% 15% 13% 28%

24 Psychose et conditions médicales: Population > 40 ans risque accru psychose secondaire Cummings (1985) a répertorié ad. 70 conditions médicales susceptibles de générer des éléments psychotiques. Voir tableau. D où l importance de: - histoire médicale, exam. physique et neurologique. - laboratoires - imagerie cérébrale - test neuro-psychologique

25 Parkinson et psychose Prévalence d éléments psychotiques: - Hallucinations entre 16 et 44% des pts. tx. (très rare chez non-traités) - Délires ad 10% ( concommitant à hallucinations) Halroyd et all 2001: étude sur 102 pts. consécutifs 34pts/102pts ( 33%) éléments psychotiques 4 patients psychose délirieuse 29 patients hallucinations: 26 visuels, 2 auditives, 1 gustative 1 patient délire

26 Parkinson et psychose (suite) Hallucinations visuelles 2 types : impression d une présence, d un passage (mild visual perception change) : hallucinations bien formées de figures d animaux, d humains etc. Stéréotypées à chaque patient Autocritique préservée Peu souffrant en général Associées à: baisse d acuité visuel/baisse F.M.S./sévérité de la maladie Non associées: histoire psy. Antérieur. Durée et dose du traitement

27 Parkinson:rôle de la dopamine Selon Cummings: psychose est conséquente a la thérapie 16/45 pts.(35%) ont développé une psychose soit après l amorce du traitement lévodopa ou à une augmentation de la dose. Cannas:co-existence de parkinson et de maladie psychiatrique elle-même révélée par l introduction de lévodopa

28 Parkinson: traitement de la psychose Cesser Rx antiparkinsonien dans l ordre suivant: 1-agoniste Dopa 2-anticholinergique 3-amantadine 4-Lévodopa (si vraiment nécessaire) Utilisation des antipsychotiques Ne pas utiluser F.G.A. 3 études controlées Clozapine>placébo (30 mg.) 3 études controlées olanzapine=placébo (+de parkins.) 2 études controlées quétiapine=placébo ( mg.) 2 études ouvertes aripiprazole=placébo

29 Psychose: état post-acv (post-stroke) Aussi appelé: psychose secondaire, release hallucination, peduncular psychosis Étude de Rabin 5 états psychotiques/300 pts. Post-ACV consécutifs L auteur retient 3 facteurs expliquant l apparition de psychose (délire, hallucination) 1. Lésion hémisphérique droite (cortex temp. Pariétal) 5/5 2. Présence de convulsion 3/5 3. Atrophie sous cortical j. Neuropsy. Clin. Neurosci.1991

30 Syndrome Charles Bonnet (naturiste suisse) Condition dans laquelle un patient expérimente des hallucinations visuelles complexes en l absence de délire et d hallucinations en d autres modalités. Autocritique préservé. Prévalence 1 à 2% Étude de Singapore: 1077 pts.consé.clin.ophtalmo. 4/1077=0.4% dx.s ch.bonnet Hall. Variées, colorées, de plantes/personnes/animaux Durée: de secondes à 60 minutes sur une période allant de 2 à 18 mois. Souffrance: 3/4 patients, 1/4 mention au M.D. * 4 pts = cataracte et/ou glaucome traitement:cligner/fermer les yeux, changer de pièce, augmenter l éclairage Br.j.ophtal.2004

31 Dépression: psychose Prévalence: 6 études 24 à 53% (moyenne de 35%) Étude de Baldwin: 134 pts. Déprimés, âge moyen 75 ans 30 pts. Délirants (22%) persécution: 12 hypochondrie: 11 nihilisme: 4 culpabilité: 3 pauvreté: 3 autre: 1 Hall.0 Fcts. Associés à psychose: sexe féminin, célibat, sévérité de la dépression. Fcts. Non associés: âge, fonctions cognitives, santé physique Int.j.geriatric psy 1995

32 Manie: psychose Manie à début tardif: souvent associée à un trouble organique cérébral et/ou neurologique. Résumé de 6 études. Prévalence de psychose: 43 à 86% Délire: de grandeur persécution Hallucination: rarement Tchen am.j of psy.1994

33 Symptomatologie psychotique Psychose arbre décisionnel F.M.S. oui aigu oui non Delirium Démence non Symptômes affectifs non oui éléments maniaques éléments dépressifs Manie Dépression Substances non oui Trouble psychotique induit par substance Condition médicale oui Trouble psychotique secondaire non Bizarrerie des conduites/discours avec éléments schneideriens oui < 40 ans oui non Schizophrénie Late Onset Schizophrenia non Hallucinations prédominantes oui non Very late onset Schizophrenia like psychosis (VLOSLP) Trouble délirant

34 The international late-onset schizophrenia group consensus conference «Pure Schizophrenia» L.O.S V.L.O.S.L.P Age Schizophrénie Tr. Délirant

35 M. G. I.D. Homme 74 ans, veuf (2 e mariage) X 1 an, père 3 enfants, ex-metteur en scène/écrivain, vit seul Ant. Ψ pers.: Dépression il y a 30 ans, tx ext. anti-dépresseurs, ØsuiviΨ Ant. Ψ fam.: nil Ant. Méd.: HTA/dyslipidémie/polynévrite sec. ROH Habitudes: ROH cessé en 2000 Drogues: nil Rx: Ramipril/Atélénol/Célexa 10mg depuis 07/2010 H.M.A.: Amené urgence par fille le 17/9/10 pour inappétence/perte poids ad 50 lbs/tristesse/anhédonie/baisse de concentration/anergie/isolement

36 M. G. (suite) en cours d hospitalisation Délires: De culpabilité: on s occupe trop de lui, dérange trop le personnel, il occupe une chambre, les autres se rendent compte de l arnaque, resp. mort de son épouse, il paye pour son bonheur antérieur, devrait être condamné par les juges De somatisation hypocondriaque: peur de contaminer les autres par maladie de peau, se dit infectieux (microbes), se dit diabétique (sa main est morte), se dit en décomposition. De dévalorisation: je suis sale, affreux, méchant, moins que rien

37 Mme C. I.D. Dame 73 ans, non mariée, Ø enfant, secrétaire à la retraite, vit seule en appartement Ant. Ψ pers.: tr. adaptation avec symptômes dépressifs (1967) Ø suivi Ant. Méd.: Maladie Crohn: colectomie / fx poignet ROH: 1 martini/j. drogue: nil Rx: nil

38 Mme C. (suite) H.M.A. Amenée par amb. à urgence après ingestion volontaire de 50 co Tylenol Voulait ainsi mettre fin à ses souffrances: se dit poursuivie/surveillée par un groupe d hommes. Le tout remonte à 1 an, alors qu elle a abandonné son bénévolat et ses sorties afin de se soustraire à ses bourreaux qui la prenaient en photo. Elle a déménagé dans un autre secteur mais sa photo fut envoyée à la «gang d Outremont» Croit également que son amie est elle aussi poursuivie

39 Approche (intervention) Phases : initiale, centrale, terminale Phase initiale: Créer lien/alliance/confiance Ennemi -> Allié Comment: Adresser la souffrance Dilemme: Confrontation? («suis-je folle docteur?») Position: not agreeing /not disagreeing Écoute > parler Emphase : Souffrance/mystère/solitude Challenge : transformer souffrance du patient en un problème médical (Rx) : Augmenter l estime de soi

40 Approche (intervention) Phases : initiale, centrale, terminale Phase centrale: Point ultime : Compliance Rx, Rendez-vous Recherche facteurs prédisposants / perpétuants Éléments dépressifs émergents (possible) Correction isolement / troubles sensoriels Phase terminale : Parfois laisser 1-2 symptômes psychotiques «Open-discharge» - revoir P.R.N.

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3

Service d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3 Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,

Plus en détail

Agenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER

Agenda. Prevalence estimates in France PAQUID 23/11/14. Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014. Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER 23/11/14 Workshop Innovation Alzheimer 6 Novembre 2014 Atelier BANQUE NATIONALE ALZHEIMER Agenda La Banque Nationale Alzheimer Exemples d application Quelles potentialités pour la BNA? (à quelles conditions?)

Plus en détail

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow

CONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire

Plus en détail

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia. Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure

Plus en détail

La dépression qui ne répond pas au traitement

La dépression qui ne répond pas au traitement La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre

Plus en détail

La schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :

La schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 : Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. AVIS 1 er février 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er février 2012 Le projet d avis adopté par la Commission de la Transparence le 16 novembre 2011 a fait l objet d une audition le 1 février 2012 XEPLION 25 mg, suspension

Plus en détail

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Démence et fin de vie chez la personne âgée Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit

Plus en détail

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

Séminaire du Pôle Santé

Séminaire du Pôle Santé 1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de

Plus en détail

IMMED Monitoring vidéo porté

IMMED Monitoring vidéo porté IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées

Plus en détail

GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION

GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION Programme d éducation et de motivation à l hygiène pour les patients en psychiatrie Cécile GABRIEL-BORDENAVE C.H. St Egrève (38) Problèmes d hygiène corporelle

Plus en détail

Description des résidants dans les IHP et les MSP

Description des résidants dans les IHP et les MSP I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants

Plus en détail

HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE. ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014

HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE. ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014 HABITAT INDIGNE, SOUFFRANCE PSYCHIQUE ET DEFENSES DELIRANTES DANS LES EXCLUSIONS (internes et externes) Lyon, 2014 Les évolutions récentes Remplacer «incurie» par «abandon» Abandon de soi, de son soin

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne. SCOR inform - Septembre 2012

Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne. SCOR inform - Septembre 2012 Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne SCOR inform - Septembre 2012 Les troubles mentaux dans le contexte de l Assurance de Personne Auteur Dr Lannes Médecin-Conseil SCOR Global

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Nouveautés dans Asthme & MPOC

Nouveautés dans Asthme & MPOC Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier

Plus en détail

Onde P50 dans la schizophrénie

Onde P50 dans la schizophrénie 37-285-A-14 Onde P50 dans la schizophrénie E. Houy, F. Thibaut Certains troubles cognitifs présentés par les patients schizophrènes sont interprétables en termes de dysfonctionnement du traitement de l

Plus en détail

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE POUR DIFFUSION IMMÉDIATE UN NOUVEAU TRAITEMENT À ADMINISTRATION MENSUELLE CONTRE LA SCHIZOPHRÉNIE, ABILIFY MAINTENA MC (aripiprazole à libération prolongée pour suspension injectable), EST MAINTENANT OFFERT

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

mentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.

mentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux. Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée

GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée La clientèle ciblée par ce service est la clientèle dite orpheline. Il s agit des personnes de tous âges

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

iceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen

iceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen iceps 2015 Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Joel Swendsen, Ph.D. CNRS 5287 CNRS / Université de Bordeaux / EPHE Sorbonne Objectifs de la Présentation Tapez

Plus en détail

Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007

Les mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée

Plus en détail

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS)

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU

Plus en détail

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?» Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent

Plus en détail

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée

Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction

Plus en détail

Vertiges et étourdissements :

Vertiges et étourdissements : : comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n

Plus en détail

Les maladies vasculaires cérébrales

Les maladies vasculaires cérébrales Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

Sport et traumatisme crânien

Sport et traumatisme crânien Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme

Plus en détail

EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE

EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette

Plus en détail

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté

Plus en détail

Information destinée aux proches. Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques

Information destinée aux proches. Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques Information destinée aux proches Comment communiquer avec une personne atteinte de démence? Conseils pratiques Qu est-ce qu une démence? La démence est une affection qui entraîne une détérioration du fonctionnement

Plus en détail

Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : prise en charge des troubles du comportement perturbateurs

Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : prise en charge des troubles du comportement perturbateurs RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : prise en charge des troubles du comportement RECOMMANDATIONS Mai 2009 1 L argumentaire et la synthèse des recommandations

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Mieux connaître les publics en situation de handicap

Mieux connaître les publics en situation de handicap Mieux connaître les publics en situation de handicap Plus de 40 % des Français déclarent souffrir d une déficience 80 Comment définit-on le handicap? au moins une fois au cours de leur vie et 10 % indiquent

Plus en détail

Gestion des troubles du comportement en EHPAD

Gestion des troubles du comportement en EHPAD Gestion des troubles du comportement en EHPAD Olivier MICHEL et Pierre-Yves MALO Service de Médecine gériatrique Centre Mémoire de Ressources et de Recherche C.H.U. Hôtel-Dieu RENNES Journée Qualité en

Plus en détail

Échelle d'évaluation globale du fonctionnement et durée du traitement médicopsychiatrique

Échelle d'évaluation globale du fonctionnement et durée du traitement médicopsychiatrique Échelle d'évaluation globale du fonctionnement et durée du traitement médicopsychiatrique Introduction Le résumé psychiatrique minimum (RPM) révèle qu'entre l'admission médicale et la sortie, des patients

Plus en détail

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

Notes sur les technologies de la santé en émergence

Notes sur les technologies de la santé en émergence Notes sur les technologies de la santé en émergence Timbres transdermiques de rotigotine (Neupro ) dans le traitement de la maladie de Parkinson numéro 112 février 2008 Sommaire Les timbres transdermiques

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois

L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

Lignes directrices relatives à la planification et la prestation de services complets en santé mentale pour les aînés canadiens

Lignes directrices relatives à la planification et la prestation de services complets en santé mentale pour les aînés canadiens Lignes directrices relatives à la planification et la prestation de services complets en santé mentale pour les aînés canadiens PAR Penny MacCourt, Ph. D., M.S.S., Université de Victoria. Kimberley Wilson,

Plus en détail

Carnet de suivi Lithium

Carnet de suivi Lithium Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous

Plus en détail

Le modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000)

Le modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000) Le modèle conceptuel de gestion des connaissances (Ballay, 2000) 1. Utilité d un modèle conceptuel en courtage de connaissances 2. Cycle de gestion et courtage des connaissances 1. Capitaliser 2. Apprécier

Plus en détail

Dépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie

Dépression. du sujet âgé. Docteur Patrick Frémont. Professeur Joël Belmin. Psychiatrie 360 Psychiatrie Dépression du sujet âgé Docteur Patrick Frémont Service de Psychiatrie, Hôpital de Lagny-sur-Marne, Marne-la-Vallée Professeur Joël Belmin Service de Gériatrie, Hôpital Charles-Foix, Ivry-sur-Seine

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 31 janvier 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 31 janvier 2007 NEUPRO 2 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose, B/30 : 377 209-7 Sachet-dose, B/90 : 570 143-4 NEUPRO 4 mg/24 h dispositif transdermique Sachet-dose,

Plus en détail

L aptitude à la conduite des seniors : l approche belge

L aptitude à la conduite des seniors : l approche belge L aptitude à la conduite des seniors : l approche belge Thomas OTTE Institut Belge pour la Sécurité Routière Ergothérapeute, expert en aptitude à la conduite et en adaptation de véhicules 2 Le CARA et

Plus en détail

La conduite automobile et le vieillissement

La conduite automobile et le vieillissement La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,

Plus en détail

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que

Plus en détail

Adhésion partielle au traitement, schizophrénie, et les antipsychotiques de seconde génération

Adhésion partielle au traitement, schizophrénie, et les antipsychotiques de seconde génération Supplément à Neurone 2005;Vol 10(N 9) Adhésion partielle au traitement, schizophrénie, et les antipsychotiques de seconde génération M.Floris, A.Masson, B.Delatte, A.De Nayer, M-A.Domken, V.Dubois, B.Gillain,

Plus en détail

La contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre

La contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre Chapitre 112 La contention physique au service des urgences : indications et principes de mise en œuvre T. CHARPEAUD, P. EYMERE, E. GOUTAIN, M. GARNIER, C. TIXERONT, J. GENESTE, J. SCHMIDT, G. BROUSSE

Plus en détail

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui

Plus en détail

IMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES

IMAGES ET REALITES DE LA SANTE MENTALE EN POITOU-CHARENTES Association Régionale Poitou-Charentes pour l Information Médicale et l Epidémiologie en Psychiatrie (ARPCIMEP) Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes (ORSPEC) IMAGES ET REALITES DE LA SANTE

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?

Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,

Plus en détail

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI

LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

«Démence vasculaire» Troubles cognitifs

«Démence vasculaire» Troubles cognitifs «Démence vasculaire» J Ghika Troubles cognitifs Prof Joseph André Ghika 1 Perte de mémoire Confirmée par informateur Objectivé par un examen cognitif (neuropsychologique) Normal: viellissement normal 1

Plus en détail

Présentation: Aline Mendes

Présentation: Aline Mendes Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.

Plus en détail

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,

Plus en détail

Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)

Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Comité de planification... 2. Introduction...3. But de l atelier et objectifs...4. Lexique...5. Présentation PowerPoint...

TABLE DES MATIÈRES. Comité de planification... 2. Introduction...3. But de l atelier et objectifs...4. Lexique...5. Présentation PowerPoint... TBLE DES MTIÈRES Comité de planification... 2 Introduction...3 But de l atelier et objectifs...4 Lexique...5 Présentation PowerPoint...6 nnexe 1 bus d alcool/drogues Critères diagnostics...56 nnexe 2 Échelle

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol. Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

French Telephone Interview for Cognitive Status Modified: F-TICS-m. L. Lacoste a,, C. Trivalle b DOSSIER : VIEILLISSEMENT, MÉMOIRE ET ÉVALUATION

French Telephone Interview for Cognitive Status Modified: F-TICS-m. L. Lacoste a,, C. Trivalle b DOSSIER : VIEILLISSEMENT, MÉMOIRE ET ÉVALUATION NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie (2009) 9, 17 22 DOSSIER : VIEILLISSEMENT, MÉMOIRE ET ÉVALUATION Adaptation française d un outil d évaluation par téléphone des troubles mnésiques : le French Telephone

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Une étude randomisée contrôlée

Une étude randomisée contrôlée L application d une anesthésie locale topique au triage permet de réduire le temps de traitement d une lacération chez les enfants Une étude randomisée contrôlée L application d une anesthésie locale topique

Plus en détail

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE

PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies

Plus en détail

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de

Plus en détail