Chap. 5: Les outils de la nanotechnologie AFM : concepts de base. Historique et remarques générales :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Chap. 5: Les outils de la nanotechnologie AFM : concepts de base. Historique et remarques générales :"

Transcription

1 Historique et remarques générales : Chap. 5: Les outils de la nanotechnologie Le microscope à forces atomiques, AFM ou encore SFM (scanning force microscopy) est introduite par Binnig, Quate et Gerber en 1986 (PRL 59,930,(1986)). L AFM mesure les forces atomiques entre une pointe sonde et la surface d un échantillon. Ces forces sont détectées et analysées par l intermédiaire de la déflexion d un bras de levier (cantilever) avec une résolution de nm. OdG des forces mesurées : à 10-4 N avec une résolution atomique. (Remarque : les forces mesurées jusqu à ce moment sont de l ordre de 10-4 N ou supérieures). Contrairement au STM qui nécessite un échantillon conducteur, l AFM peut être utilisé aussi pour des isolants. Les domaines d application sont donc très vastes : des semiconducteurs à la biologie. Les forces mesurées sont : forces de van der Waals, forces capillaires, forces magnétiques, forces électrostatiques et forces de friction. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (1)

2 Principe de base de l appareillage : Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (2)

3 Principales techniques de mesure de la déflexion du cantilever : Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (3)

4 Schémas des différents appareillages : AFM à l air Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (4)

5 Schémas des différents appareillages : AFM en milieu liquide Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (5)

6 Approche simple des forces atomiques A grande distance, en l'absence de réaction chimique, l'interaction entre deux atomes est décrite par le potentiel suivant : W(d) = 4 ε [ (σ/d) 12 - (σ/d) 6 ] Où σ est la distance d équilibre interatomique et ε l énergie potentielle à la distance d équilibre. W(d) est constituée d un terme attractif - (σ/d) 6 (courbe avec le signe -) et d un terme répulsif (σ/d) 12 (courbe +). Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (6)

7 Approche simple des forces atomiques La partie répulsive est une conséquence du principe de Pauli (les électrons étant des fermions, les nuages électroniques des deux atomes ne peuvent pas s'interpénétrer). Les relations analytiques sont difficiles voire impossibles à obtenir ; on s'en tient donc souvent à une paramétrisation empirique. L'exposant n = 12 est généralement choisi pour d écrire la répulsion entre deux atomes Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (7)

8 Approche simple des forces atomiques La partie attractive est le potentiel dit de Van der Waals, qui a pour origine trois interactions dipolaires différentes : * dipôle permanent - dipôle permanent (force d'orientation de Keesom), * dipôle permanent - dipôle induit (force d'induction de Debye), * dipôle induit - dipôle induit (force de dispersion de London). Le potentiel décrit est connu sous le nom de potentiel de Lennard Jones. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (8)

9 Approche simple des forces atomiques La force interatomique associée est donnée par la dérivée première du potentiel en fonction de d. F = δw /δd Exemple : déterminer la force interatomique entre 2 atomes de Xe distants de 0.4 nm? (ε = 0.02 ev et σ = 0.4 nm) Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (9)

10 Approche simple des forces atomiques Passer du potentiel décrivant l'attraction de deux atomes à celui décrivant l'attraction de deux groupes d'atomes (la pointe et l échantillon dans le cas de l AFM) peut se faire par la méthode de Hamaker ou par celle de Lifshitz. La méthode de Hamaker consiste à sommer les potentiels attractifs atomes-atomes, sur toutes les paires d'atomes des deux ensembles. Dans le cas simple d'une sphère de rayon R (la pointe) située à une distance r d'un plan semi-infini (la surface), le potentiel est : W (r) (sphère_plan) = - H R / 6r H est la constante de Hamaker et vaut H = π 2 B ρ 1 ρ 2, où ρ 1 et ρ 2 sont le nombre d'atomes par unité de volume de chacun des deux matériaux. Remarque: Le calcul de Hamaker est basé sur l'additivité des force de Van der Waals. Ce n'est en général pas le cas : les forces entre deux atomes sont affectées par la présence des atomes environnants. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (10)

11 Approche simple des forces atomiques Une courbe de force est la représentation de la force d'interaction entre la pointe et la surface en fonction de la distance les séparant. La force d'interaction est le produit de la déflexion du cantilever (mesurée) et de la constante de raideur de la pointe. Cette force est appelée force normale, dans le cas où la pointe est en contact avec la surface Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (11)

12 Approche simple des forces atomiques La mesure commence avec le cantilever loin de la surface (situation (a)), c'est à dire sur la partie horizontale de la courbe. L'interaction pointesurface n'est pas suffisante pour défléchir le cantilever. C'est la ligne de base, qui définit la force nulle. A une certaine distance, le gradient de force d'interaction pointe-surface devient supérieur à la constante de raideur du cantilever : la pointe saute au contact de la surface (situation (b)). Le cantilever est défléchi vers le bas (i.e. vers la surface) : la force est alors négative. En continuant à diminuer la distance Z, on passe par la situation pour laquelle le cantilever est non défléchi (force nulle), la pointe étant en contact avec la surface (situation (c)). A partir de là, la diminution de la distance Z entraîne une déflexion positive du cantilever (vers le haut, à l'opposé de la surface), due à la répulsion de coeur dur (la force est positive, situation (d)). Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (12)

13 Approche simple des forces atomiques Commence alors le retrait de la pointe (Z augmente : on se déplace de la gauche vers la droite sur la courbe de force). Après la partie de répulsion de coeur dur, il apparaît un cycle d'hystéresis entre l'approche et le retrait, dû à l'adhérence de la pointe sur la surface (situation (e)). Enfin, lorsque la force élastique due à la déflexion du cantilever devient plus grande que la force d'adhérence pointe-surface, la pointe se décroche de la surface. C'est le saut hors contact, nous nous retrouvons sur la ligne de base (situation (a)). Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (13)

14 Modes opératoires: détection directe des forces d interaction Les forces d interaction entre la pointe et l échantillon sont mesurées par l intermédiaire de la déflexion statique du cantilever en utilisant les relations de déformations élastiques du levier (loi de Hooke). z = F n / C où F n est la composante normale au levier des forces d interaction et C la constante de rappel (ressort) du cantilever. (OdG : C = 1 N/m, si z = 0.01 nm la force mesurable est de F n = N) Techniques expérimentales : Mesure à hauteur constante, dans ce cas on mesure alors z. Mesure à flexion constante, dans ce cas on varie la hauteur de la pointe pour maintenir z = 0. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (14) Le choix entre ces 2 techniques dépend des données sur le cantilever et en particulier sur C en fonction de la flexion.

15 Modes opératoires: détection du gradient de force Pour une meilleure résolution dans la détection des forces à longues distances on mesure de préférence les variations de la fréquence de résonance du cantilever. Principe de la mesure : * La constante de rappel effective C eff du levier est fonction de la constante de rappel intrinsèque C (à l équilibre) et de la dérivée de la composante normale des forces d interaction F (F = df n / dn) : C eff = C F Pour un levier rectangulaire (module de Young E, épaisseur d, longueur l, masse m et masse volumique m v ), sa fréquence de résonance propre est f = 0.64 (d/l 2 ) (E/12m v ) 1/2 f est donc proportionnelle à (C eff / m) 1/2 soit f = [(C-F )/m] 1/2 = f 0 (1 F /2C) pour F petit par rapport à C. f 0 est la fréquence de résonance en l absence de F. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (15)

16 Modes opératoires: détection du gradient de force Technique de la mesure On fait vibrer le cantilever à une fréquence f d en l absence de F et on mesure la variation de sa fréquence en présence de F. L amplitude de vibration du cantilever soumis à une fréquence f d est donnée par : A= {A 0 (f / f d )} / { 1 + Q 2 [ (f d / f) (f / f d ) ] 2 } 1/2 La fréquence f d est choisie de manière à obtenir une sensibilité optimale, soit f d = f ( 1 ± 8-1/2 Q -1 ), avec cette fréquence de vibration la variation d amplitude A = [ (2A 0 Q) / (3 3 C) ] F est directement proportionnelle à F. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (16)

17 Modes opératoires: détection du gradient de force Technique de la mesure Une méthode de mesure similaire utilise la détection par modulation de fréquence pour observer directement le déplacement de la fréquence de résonance en fonction de F. On peut estimer la sensibilité d une telle technique, sachant que la limite de détection est donnée essentiellement par l excitation thermique du cantilever : A T = (k B T / C) 1/2 où k B est la constante de Boltzmann et T la température. Pour une détection par modulation de fréquence à une valeur de B, le gradient minimum détectable est : F min = 1/A [ (4Ck B T B) / (f 0 Q) ] 1/2 où A est amplitude rms de l oscillation. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (17)

18 Modes opératoires: détection du gradient de force OdG : C = 1 N/m, f 0 = 10 5 Hz, Q = 100, A = 10 nm, B = 10 3 Hz, soit une valeur de F min = N/m. Sachant que la force est proportionnelle à 1/z 2, F = -2F/z, pour une valeur de z = 10 nm et pour F de 10-4 on a une force F de N. Cette valeur correspond à une déflexion statique de nm pour une même valeur de C. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (18)

19 Modes opératoires: les modes d imagerie Il existe essentiellement 3 modes d imagerie : (1) contact, (2) non contact et (3) contact intermittent (tapping mode) (1) le mode contact mesure directement les forces d interaction. Le contact entre la pointe et l échantillon entraîne une déformation élasto-plastique de la surface et sa détérioration irréversible pour des surfaces molles, ce qui diminue la qualité de l imagerie. (2) le mode non-contact consiste à faire vibrer le cantilever tout en restant dans le domaine attractif (sans saut de contact). La mesure des forces se fait par l intermédiaire de la mesure du gradient de ces forces. (3) Le tapping mode consiste à faire vibrer le cantilever avec une grande amplitude de manière à ce qu au cours d une vibration la pointe vienne frapper la surface. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (19)

20 Modes opératoires: les modes d imagerie (1) le mode contact mesure directement les forces d interaction. Le contact entre la pointe et l échantillon entraîne une déformation élasto-plastique de la surface et sa détérioration irréversible pour des surfaces molles, ce qui diminue la qualité de l imagerie. (2) le mode non-contact consiste à faire vibrer le cantilever tout en restant dans le domaine attractif. La mesure des forces se fait par l intermédiaire de la mesure du gradient de ces forces. (3) Le tapping mode consiste à faire vibrer le cantilever avec une grande amplitude de manière à ce qu au cours d une vibration la pointe vienne frapper la surface. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (20)

21 Modes opératoires: les modes d imagerie (1) le mode contact mesure directement les forces d interaction. Le point de fonctionnement, qui définit la force normale, est choisi sur la partie de la courbe de force correspondant au retrait de la pointe, et à la situation ou le cantilever est non défléchi (force nulle), la pointe étant en contact avec la surface. Si la direction de balayage est suivant l'axe du cantilever (i.e. confondu avec l'axe X), l'enregistrement de la variation d'altitude Z du cantilever, nécessaire pour maintenir la déflexion constante, en fonction de X et de Y, permet de reconstruire une image 3D de la surface. C'est le contraste de hauteur (ou de topographie). Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (21)

22 Modes opératoires: les modes d imagerie (1) le mode contact mesure directement les forces d interaction. Le point de fonctionnement, qui définit la force normale, est choisi sur la partie de la courbe de force correspondant au retrait de la pointe, et à la situation ou le cantilever est non défléchi (force nulle), la pointe étant en contact avec la surface. Si la direction de balayage est perpendiculaire à l'axe du cantilever (i.e. confondu avec l'axe Y), on peut alors enregistrer, en plus du signal topographique, la torsion du cantilever. C'est le mode de force latérale, pour lequel le contraste est dû (entre autre) au frottement entre la pointe et la surface. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (22)

23 Modes opératoires: les modes d imagerie (2) le mode non-contact consiste à faire vibrer le cantilever tout en restant dans le domaine attractif (sans saut de contact). En plus du balayage X, Y et de l'asservissement suivant Z, la pointe (plus précisément le cantilever) est excité à la fréquence ν. Dans la plupart des cas, l'asservissement est fait sur l'amplitude de vibration : l'altitude Z de la pointe est ajustée pour maintenir l'amplitude de vibration du cantilever constante. Le cantilever est excité par une onde sinusoïdale qui a la forme : F(t) excitation = A 0 cos(2πν t) La position Z(t) du cantilever suivant l'axe Z vérifie l équation d'un oscillateur harmonique entretenu et amorti : d 2 Z/dt 2 + 2β dz/dt + ω 2 Z = (A 0 /m) cos(2πν t) où m est la masse de l'oscillateur, β, le facteur d'amortissement, et ω, la pulsation propre de l'oscillateur non amorti. La solution est du type : Z(t) = A(ν) cos(2πν t + Φ(ν) ) A(ν) est l'amplitude réduite par l'amortissement (l'amplitude de vibration que l'on maintient constante) et Φ(ν), le déphasage introduit par l'interaction avec le milieu. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (23)

24 Modes opératoires: les modes d imagerie (2) le mode non-contact consiste à faire vibrer le cantilever tout en restant dans le domaine attractif (sans saut de contact). Z(t) = A(ν) cos(2πν t + Φ(ν) ) La largeur à mi-hauteur de la courbe A(ν) définit le facteur de qualité Q = ν/ ν du cantilever. Plus ce facteur est grand (plus la courbe est étroite) meilleure est la résonance. A l'air, Q vaut typiquement 10. Sous ultra vide, il peut être supérieur à La sensibilité du système est d'autant plus grande que Q est grand. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (24)

25 Exemples : Photos d une surface de Si (110) : mode contact montrant l altération de la surface lors du balayage Même surface par une imagerie de type tapping mode Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (25)

26 Exemples : Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (26)

27 : les forces Environnement? Nombre d atomes entrant en jeu dans l interaction pointe-échantillon : force à longues distances forces à courtes distances. Interactions duales (two-body forces) ou multi-particules (multi-body forces). Environnement physique entre la pointe et l échantillon milieu gazeux milieu liquide ou vide nécessaire pour la détermination des constantes diélectriques. Modifications dynamiques de l environnement : forces de friction structures cristallines de la pointe et de l échantillon modifications des structures cristallines de la pointe et de l échantillon par formation de liaisons. L interprétation des images AFM ne peut pas être effectuée sans une connaissance exacte de son environnement lors de l observation. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (27)

28 : les forces Les principales forces en jeu : forces à longues distances Forces de van der Waals 1 nm < z < 10 nm forces à longues distances : 10-9 N < F < 10-7 N définition de la pointe effective : sphère de rayon de quelques 10 nm résolution : quelques nm hypothèses d analyse : * principe d additivité des interactions élémentaires de van der Waal : planplan sphère-plan sphère-sphère, * Loi de puissance simple (telle que la loi de Lennard-Jones) utilisant les constantes de Hamaker * Possibilités de traiter les interactions multiples par la modification de la constante de Hamaker pour tenir compte de l environnement. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (28)

29 : les forces.les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces magnétiques. Résultat d une interaction entre une pointe ferromagnétique et un échantillon magnétique. Les forces magnétiques mesurées sont purement magnéto-statiques et découlent de l interaction entre les dipôles magnétiques de la pointe et de la surface de l échantillon F = (m 1, H) Où m 1 est le moment magnétique de la pointe et H le champ magnétique généré par un domaine magnétique à a surface de l échantillon. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (29)

30 : les forces.les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces magnétiques. H = [3 r (r. m 2 ) m 2 ] / r 3 (2) Soit : F(r) = {[3(m 3 1. r) (m2. r ) m1. m2 ] / r } (3) Et si r est confondu avec z dans ce cas F z = - 6 m 1 m 2 / z 4 (4) df z / dz = 24 m 1 m 2 / z 5 (5) OdG : m 1 = m 2 = 10-5 emu ; z = 10 nm ; alors F z = N et df z / dz = N/m Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (30)

31 : les forces Les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces magnétiques. Le MFM ne donne pas une mesure directe de la magnétisation de l échantillon, car le H est le plus important à la frontière des domaines : La résolution latérales du MFM est de l ordre de 10 nm. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (31)

32 : les forces Les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces magnétiques. Exemples d images en MFM : Pistes magnétiques : images obtenues avec une pointe de Si recouverte de CoPtCr et une pointe de Ni massif Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (32)

33 : les forces Les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces magnétiques. Exemples d images en MFM : Exemple d un échantillon de NiFe avec les différents domaines magnétiques dans une région de 20 µm x 20 µm Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (33)

34 : les forces Les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces électrostatiques Pour mesurer les forces électrostatiques, un potentiel alternatif est appliqué entre la pointe et l échantillon et l AFM mesure les forces induites qui sont proportionnelles au produit V 2 x dc/dz. dc/dz est la variation de la capacité pointe échantillon.. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (34)

35 : les forces Les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces capillaires Les forces capillaires proviennent de la présence d un liquide entre la pointe et la surface de l échantillon due à une condensation quand la courbure de la zone du microcontact est inférieure au rayon de Kelvin r K = r 1 r 2 /(r 1 +r 2 ). La force capillaire est donnée par : F(d) = -2πRγ [1 + R/(R-r K ) (t-d)/r K ] Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (35)

36 : les forces Les principales forces en jeu : forces à longues distances Les forces capillaires La force capillaire est donnée par : F(d) = -2πRγ [1 + R/(R-r K ) (t-d)/r K ] Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (36)

37 : les forces Les principales forces en jeu : forces à courtes distances A courtes distances les dimensions de la pointe effective sont plus petites et peuvent descendre à des dimensions atomiques. L AFM suivra le contour des densités totales de charge, les images AFM peuvent donc être interprétées comme directement liées à la topographie de la surface de l échantillon, en tenant compte des modifications dynamiques dues aux interactions pointe-échantillon. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (37)

38 : les forces Les principales forces en jeu : forces à courtes distances.les effets qui contribuent au contraste de l image AFM sont : a. La répulsion de Pauli et la répulsion ionique. Cet effet donne lieu à la possibilité d une résolution atomique en AFM. b. Physisorption et Chimisorption, qui créent des liaisons entre la pointe et l échantillon. c. L adhésion métallique d. La friction, qui définie une composante parallèle à la surface. e. Les déformations élastiques. f. Les déformations plastiques qui définissent la nature de pointes à utiliser selon la nature de l échantillon. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (38)

39 : les forces Les principales forces en jeu : forces à courtes distances.l interprétation de l image AFM dans ces conditions doit tenir compte de tous ces effets pour pouvoir donner une approche quantitative à l analyse. Une analyse complète nécessite dès lors la mesure de la déflexion et de la torsion du cantilever. Le capteur utilisé est une diode à quatre quadrants. La flexion comme la torsion sont calculées à partir des 4 intensités mesurées. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (39)

40 : les sondes Les pointes, le cantilever et l AFM Pour l AFM la pointe sonde est inséparable du cantilever nécessaire à la détection des forces de flexion et de torsion. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (40)

41 : les sondes Les pointes, le cantilever et l AFM Les raideurs des différents cantilevers peuvent être estimées avec une erreur mieux que 25% par les relations suivantes Leviers rectangulaires : Raideur normale : K F = E l e 3 / 4 l 3 Raideur en torsion : K T = (E L 3 e 3 / 2 l ) (3(1+ν) H 2 L l 2 e 2 ) -1 Leviers triangulaires : K F = (E e 3 L / 2l 3 ) (1 + (B 2 /4l 2 ) ) -2 K T = E L e 3 / (3(1+ν) H 2 l ) Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (41)

42 : les sondes Les pointes, le cantilever et l AFM Process de fabrication d un cantilever en nitrure de Si. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (42)

43 : les sondes Les pointes, le cantilever et l AFM Process de fabrication d un cantilever en nitrure de Si. Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (43)

44 : les avancées actuelles La résolution atomique devient courant en AFM non-contact Si (111) 7x7 AFM non-contact Si (111) 7x7 STM avec pointe à +1,5 V Si (111) 7x7 STM avec pointe à -1,3 V Ref.: Omicron NanoTechnology GmbH (2006) Polytech-Lyon / Matériaux 5è année ( ) (44)

Les outils de la nanotechnologie:

Les outils de la nanotechnologie: Polytech-Lyon 5 ème année Chap. 3 : les outils des nanos Les outils de la nanotechnologie: Polytech-Lyon / Matériaux 5ème année (2013-2014) (1) Polytech-Lyon 5 ème année Chap. 3 : les outils des nanos

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,

Plus en détail

Analyse statique d une pièce

Analyse statique d une pièce Analyse statique d une pièce Contrainte de Von Mises sur une chape taillée dans la masse 1 Comportement d un dynamomètre On considère le dynamomètre de forme globalement circulaire, excepté les bossages

Plus en détail

Mesurer les altitudes avec une carte

Mesurer les altitudes avec une carte www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte Mesurer les altitudes avec une carte Les cartes topographiques ne sont pas uniquement une représentation plane de la surface

Plus en détail

SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite

SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite Titre : SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculé[...] Date : 03/08/2011 Page : 1/6 SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite Résumé : Ce cas test a pour objectif de

Plus en détail

Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies.

Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. LUDIVINE TASSERY 1ere S 5 Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. Lors de la seconde visite, Monsieur PAREIGE, nous a parlé des nanotechnologies et

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes

Plus en détail

La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!

La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique

Plus en détail

Exemples de dynamique sur base modale

Exemples de dynamique sur base modale Dynamique sur base modale 1 Exemples de dynamique sur base modale L. CHAMPANEY et Ph. TROMPETTE Objectifs : Dynamique sur base modale réduite, Comparaison avec solution de référence, Influence des modes

Plus en détail

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques

CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

OBJECTIFS. I. A quoi sert un oscilloscope?

OBJECTIFS. I. A quoi sert un oscilloscope? OBJECTIFS Oscilloscope et générateur basse fréquence (G.B.F.) Siuler le fonctionneent et les réglages d'un oscilloscope Utiliser l oscilloscope pour esurer des tensions continues et alternatives Utiliser

Plus en détail

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

Sophie Guézo Alexandra Junay

Sophie Guézo Alexandra Junay Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale

Principe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants

Plus en détail

Cours de résistance des matériaux

Cours de résistance des matériaux ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

La Fibre Optique J BLANC

La Fibre Optique J BLANC La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX

FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

www.dentaladvisor.com Editors Choice + + + + +

www.dentaladvisor.com Editors Choice + + + + + Grandio SO Heavy www.dentaladvisor.com Editors Choice + + + + + Grandio SO Heavy Agréé sans restrictions pour cavités soumises aux contraintes MÉcaniques Déjà présent sur le marché avec un composite d

Plus en détail

D022751/01 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT.

D022751/01 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT. D022751/01 ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 3 octobre 2012 Enregistré à la Présidence du Sénat le 3 octobre

Plus en détail

Molécules et Liaison chimique

Molécules et Liaison chimique Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Mesure de la dépense énergétique

Mesure de la dépense énergétique Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie

Plus en détail

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d

Plus en détail

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique

Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On

Plus en détail

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3

Plus en détail

Problèmes sur le chapitre 5

Problèmes sur le chapitre 5 Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

27/31 Rue d Arras 92000 NANTERRE Tél. 33.(0)1.47.86.11.15 Fax. 33.(0)1.47.84.83.67

27/31 Rue d Arras 92000 NANTERRE Tél. 33.(0)1.47.86.11.15 Fax. 33.(0)1.47.84.83.67 Caractéristiques standards MODELE Puissance secours @ 50Hz Puissance prime @ 50Hz Moteur (MTU, 16V4000G61E ) Démarrage électrique, alternateur de charge 24 V, régulation Elec Alternateur (LEROY SOMER,

Plus en détail

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes

Plus en détail

Manuel d'utilisation de la maquette

Manuel d'utilisation de la maquette Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie

Plus en détail

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006 La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :

Plus en détail

PRODUCTION, CONVERSION OU DISTRIBUTION DE L ÉNERGIE ÉLECTRIQUE

PRODUCTION, CONVERSION OU DISTRIBUTION DE L ÉNERGIE ÉLECTRIQUE XXXX H02 PRODUCTION, CONVERSION OU DISTRIBUTION DE L ÉNERGIE ÉLECTRIQUE XXXX APPAREILS POUR LA TRANSFORMATION DE COURANT ALTERNATIF EN COURANT ALTERNATIF, DE COURANT ALTERNATIF EN COURANT CONTINU OU VICE

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques GDR Verres GDR 3338 Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations.

MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations. MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations. Le MultiSense est un tout nouveau concept dans le contrôle de niveau,

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique.

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Mike El Kousseifi K. Hoummada, F. Panciera, D. Mangelinck IM2NP, Aix Marseille Université-CNRS, Faculté

Plus en détail

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier : SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1

Plus en détail

Chapitre I La fonction transmission

Chapitre I La fonction transmission Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés

Plus en détail

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD Rec. UIT-R P.84- RECOMMANDATION UIT-R P.84- AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD (Question UIT-R /3) Rec. UIT-R P.84- (99-994-997) L'Assemblée des radiocommunications de l'uit, considérant a)

Plus en détail

Les rayons X. Olivier Ernst

Les rayons X. Olivier Ernst Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse

Plus en détail

Version MOVITRANS 04/2004. Description 1121 3027 / FR

Version MOVITRANS 04/2004. Description 1121 3027 / FR MOVITRANS Version 04/2004 Description 1121 3027 / FR SEW-USOCOME 1 Introduction... 4 1.1 Qu est-ce-que le MOVITRANS?... 4 1.2 Domaines d utilisation du MOVITRANS... 4 1.3 Principe de fonctionnement...

Plus en détail

Interférences et applications

Interférences et applications Interférences et applications Exoplanète : 1ère image Image de la naine brune 2M1207, au centre, et de l'objet faible et froid, à gauche, qui pourrait être une planète extrasolaire Interférences Corpuscule

Plus en détail

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy

Plus en détail

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE

TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)

Plus en détail

Trucs et astuces N o 2.1 COMMENT AJUSTER VOTRE TABLETTE PORTE-CLAVIER

Trucs et astuces N o 2.1 COMMENT AJUSTER VOTRE TABLETTE PORTE-CLAVIER Trucs et astuces N o 2.1 COMMENT AJUSTER VOTRE TABLETTE PORTE-CLAVIER Vous reconnaissez-vous? Vous avez une tablette porte-clavier et vous savez qu elle est ajustable mais ne savez pas comment faire. Peut-être

Plus en détail

VANNE PAPILLON 1100 avec servomoteur type UVC-15

VANNE PAPILLON 1100 avec servomoteur type UVC-15 VANNE PAPILLON 1100 avec servomoteur type UVC-15 CARACTERISTIQUES DE LA VANNE La vanne papillon 1100 à montage entre brides est une vanne papillon en PVC. Elle possède une étanchéité en ligne et au presse-étoupe

Plus en détail

Microscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire

Microscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

CH IV) Courant alternatif Oscilloscope.

CH IV) Courant alternatif Oscilloscope. CH IV) Courant alternatif Oscilloscope. Il existe deux types de courant, le courant continu et le courant alternatif. I) Courant alternatif : Observons une coupe transversale d une «dynamo» de vélo. Galet

Plus en détail

Cours de Résistance des Matériaux (RDM)

Cours de Résistance des Matériaux (RDM) Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION

Plus en détail

Les cellules. Il existe différentes familles de cellules : à aimant mobile, à bobine mobile, à aimant induit, à réluctance variable

Les cellules. Il existe différentes familles de cellules : à aimant mobile, à bobine mobile, à aimant induit, à réluctance variable Les cellules Il existe différentes familles de cellules : à aimant mobile, à bobine mobile, à aimant induit, à réluctance variable 1. Aimant mobile, MOVING MAGNET (MM) C est en 1948 que NORMAN C. PICKERING

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

NOTIONS ÉLEMENTAIRES SUR LES PNEUS

NOTIONS ÉLEMENTAIRES SUR LES PNEUS CE QU IL Y A DANS UN PNEU CEINTURES BANDE DE ROULEMENT ISOLANT DE NAPPES CARCASSE À ARCEAUX DROITS GARNITURE INTÉRIEURE CARCASSE TRINGLE FLANC La GARNITURE INTÉRIEURE du pneu maintient l air dans le pneu.

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques

Plus en détail

UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure

UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure APPEL D OFFRES OUVERT SUR OFFRES DE PRIX 08/ENS/24 BORDEREAU DES PRIX-DETAIL ESTIMATIF Lot n 2 : Achat et installation de matériel pour l enseignement

Plus en détail

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?

Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université

Plus en détail