Le syndrome d apnée du sommeil
|
|
- Claudine Brisson
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le syndrome d apnée du sommeil Description et risques associés F. GORMAND Laboratoire du sommeil CHLS
2 Les pathologies du sommeil Les troubles du sommeil sont très fréquents mais peu connus à la fois des médecins et du grand public. Parmi les plus fréquents on retrouve: Les insomnies Les troubles respiratoires du sommeil (dont l apnée du sommeil) Le syndrome des jambes sans repos Les hypersomnies (dont la narcolepsie) La première conséquence du manque de sommeil est la somnolence diurne => 15 à 20% de la population souffre de somnolence
3 Les Troubles Respiratoires du Sommeil Syndrome d'apnées Obstructives du Sommeil (SAOS) Syndrome d'apnées Centrales du Sommeil (SACS) Respiration de Cheyne Stokes Syndromes d Hypoventilation/hypoxémie nocturne Syndrome d overlap : association d un SAOS et d une Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO) Ils produisent des perturbations du sommeil : non récupérateur, déstructuré avec des éveils et des micro-éveils du système Cardiovasculaire : hypertension, rythmes brady/tachycardie, stimulation du systéme nerveux sympathique
4 Syndrome d Apnées du Sommeil (SAS) Définitions IAH = Index d Apnées Hypopnées Apnée = Arrêt du flux pendant au moins 10 sec. Hypopnée = Réduction du flux pendant au moins 10 sec, soit de 50%, soit de 30% associé à une désaturation ou à une réaction d éveil. Apnée/Hypopnée Obstructive : Collapsus des voies aériennes supérieures avec persistance de mouvements respiratoires = Syndrome d'apnée Hypopnée Obstructive du Sommeil (SAOS) Apnée/Hypopnée Centrale : Défaut de la commande centrale respiratoire avec baisse ou disparition des efforts respiratoires = Syndrome d'apnée Centrale du Sommeil (SACS) Définition de la sévèrité de l apnée en fonction de l IAH Pas de SAS SAS léger ResMed SAS modéré Corp SAS sévère IAH
5 Respiration normale Débit d air nasal Régulière Thorax Uniforme Abdomen SpO2 (90-100%) Stable 96% Ronflement Aucun ronflement
6 Événements respiratoires - Apnée Obstructive (SAOS) Interruption du flux aérien naso-buccal pendant au moins 10 secondes, avec persistance des efforts respiratoires en opposition de phase
7 Physiopathologie des VAS Volume des VAS Collapsibilité pharyngée Activité des muscles desvas Instabilité du contrôle ventilatoire Altération de la chémosensibilité? Perte du réflexe protecteur du pharynx
8
9 QUELLES CONSEQUENCES? Apnée Éveil nocturne = fragmentation + Baisse d oxygénation
10 Signes cliniques nocturnes Ronflements, Apnées nocturnes, Éveils en sursaut avec sensation d'étouffement Insomnie Sommeil agité, Sueurs nocturnes Nycturie, Énurésie, Angor, HTA nocturne, arythmie
11 Signes cliniques diurnes Somnolence, Asthénie matinale Céphalées matinales Troubles de la mémoire, Difficultés de concentration, Irritabilité, Syndrome dépressif Troubles de la libido Impuissance Accidents de la circulation, accidents professionnels
12 L apnée du sommeil Prévalence 5 à 7% de la population adulte (1) 15% chez les plus de 70 ans (1) Par comparaison, 6% de la population adulte française est atteinte d asthme (2) et 3,3% du diabète (3). Pathologie sous diagnostiquée: 80% des patients ne sont ni diagnostiqués ni traités (1) Young T, et al : N Engl J Med 1993;328 : ; Bixler EO, et al : Am J Respir Crit Care Med 2001;163 : ; Duran J : Am J Respir Cirt Care Med 2001;163 : (2) Asthme, prévalence et impact sur la vie quotidienne, Analyse des données de l enquête décennale santé 2003 de l INSEE, par l institut de veille sanitaire; Février 2008 (3) Recommandations de bonne pratique : traitement médicamenteux du diabète de type 2, AFSSAPS et HAS Novembre 2006
13 Risques liés aux apnées du sommeil Cardiovasculaires Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébrale Hypertension Insuffisance cardiaque Trouble du rythme Comportementaux Troubles cognitifs, de la mémoire Difficultés de concentration Irritabilité Dépression Troubles de la sexualité Métaboliques Diabète de type 2 Syndrome métabolique Surpoids / obésité Accidentels Accidents de la route Accidents du travail
14 Somnolence et accidentologie Accidents circulation liés aux endormissements : 16 % des accidents sur route nationale et 20% de ceux sur autoroute (UK : Horne et col; BMJ,1995,310,565) La fatigue représente 10% causes d accidents sur accidents «véhicules seuls. (F : Philip et col, BMJ, 2001,322,829) Être somnolent x 8,2 le risque d avoir un accident. Dormir moins de 5 h x 2,7 le risque d accident Conduire entre 2 et 5h du matin x 5,6 le risque d accident (USA : Connor et col, 2002, BMJ,324,1125)
15 Le risque accidentel Somnolence et accidents de la route La somnolence excessive affecte de manière significative la vigilance et les performances (1). 1 accident sur 3 sur autoroute (1ère cause d accidents) (2) 1 accident sur 5 de la circulation en général (3)(4) Un risque aussi important que l alcool au volant (5) (1) Chouri-Pontarollo N, Chest 131 (10) (2007) / (2) ASFA Analyse des accidents mortels 2007 / (3) Connor J et al. Sleep 2001; 24(6): / (4) Connor J et al, BMJ 2002; 324:1125 / (5) Dawson D, Nature 1997 ; 388:235
16 Le risque accidentel: SAS et accidents de la route Un patient apnéique non traité court 6 à 7 fois plus de risques d avoir un accident de la route (1)(2) Des études récentes montrent que le risque est particulièrement élevé parmi les conducteurs professionnels => Etude de cohorte sur 1391 chauffeurs routiers, 2002 (3) - 28% d entre eux présentent un syndrome d apnées du sommeil - 4,7% un syndrome sévère Le traitement par PPC réduit le risque d accidents de la route au niveau de celui d un sujet sain (4) (5) (1) Young T, Sleep Aug;20(8): / (2) Terran Santos, NEJM 1999; 340: / (3) Pack, Allen I,A Study of Prevalence of Sleep Apnea Among Commercial Truck Drivers, FMCSA, Publication No. DOT-RT , Washington, DC, / (4) Mazza S; European respiratory journal Nov 2006, 28 (5) p / (5) George CF, Thorax 2001Jul; 56(7):
17 Le risque accidentel: Somnolence et accidents du travail Le risque routier est la 1ere cause d accident mortel au travail (CNAMTS 2007) -50% des accidents mortels du travail sont des accidents de la route. En 2007, une étude sur 498 patients candidats à une polysomnographie pour suspicion de troubles du sommeil a démontré qu il existe une forte association entre le degré de somnolence excessive et les difficultés professionnelles. Cette évaluation a été réalisée au moyen du Work Limitation Questionnaire (WLQ) et de l échelle d Epworth (1) Epworth 5 Epworth 18 Difficultés à gérer son temps 19.7% 38.6% p < Difficultés dans les relations interpersonnelles 15.5% 36.0% p < Perte d efficacité 16.8% 36.0% p < / (1) Mulgrew AT, (2007) The impact of obstructive sleep apnea and daytime sleepiness on work limitation. Sleep Med
18 Le risque accidentel: SAS et accidents du travail L apnée du sommeil non traitée engendre un risque 40 x plus important de somnolence excessive au travail (1) 2 x plus d accidents du travail (2) (3) Presque 2 x plus de risque d être en congés maladie de longue durée (4) Une étude française publiée dans la revue «Médecine du travail», s est intéressé aux antécédents accidentels au travail de 170 patients apnéiques non traités (5) 68% rapportent avoir été somnolents au travail 15 % estiment avoir été proches d un accident grave suite à un endormissement au travail (1) Ulfberg J, Chest, 1996; 110(3); (2) Ulfberg J, Scand J Work Environ Health Jun;26(3): / (3) Lindberg E, Am J Respir Crit Care Med, 2001; 164 (11); (4) Sivertsen B et al. The effect of OSAS on sick leave and work disability Eur Respir J. 2008, 32 (6) : (5) LEGER D et coll. Syndrome d apnées du sommeil, somnolence au travail et risque accidentel. Revue de médecine du Travail, 1994, XXI :
19 SAS et accidents du travail Cette même étude a permis d établir que les symptômes cliniques de l apnée du sommeil se traduisent par des conséquences majeures sur le plan professionnel (1) Fausses manœuvres et erreurs SAS Fatigue chronique Somnolence imprévisible Troubles de la concentration Troubles de la mémoire Perte d efficacité Difficultés d attention et de tâches soutenues Endormissements en réunion Oublis d appels importants Perte de documents Pertes de contact lors de conversations professionnelles Rupture de carrière professionnelle Mise à l écart, désinsertion professionnelle (1) LEGER D et coll. Syndrome d apnées du sommeil, somnolence au travail et risque accidentel. Revue de Médecine du Travail, 1994, XXI :
20 Bénéfices du traitement du SAS sur les performances au travail Le traitement par PPC a démontré son efficacité sur les performances au travail, selon plusieurs études évaluant les patients avant et après 6 mois de traitement. Avant le traitement Après 6 mois de PPC Etude sur 152 patients apnéiques (IAH >20) (1) Difficultés à faire son travail à cause de la somnolence ou de la fatigue 66% 24% P < Etude sur 33 patients apnéiques (IAH >20) (2) Difficultés à gérer son temps 25.5% 8.7% p < Difficultés dans les relations interpersonnelles 15.8% 11.0% p < Perte d efficacité 17.7% 10.1% p < (1) Ulfberg J, (1999). Psychiatry Clin Neurosci 53(6): (2) Mulgrew AT, (2007) Sleep Med
21 Le rôle des professionnels de santé est crucial dans le dépistage et l information Prévalence élevée du SAOS 80% non diagnostiqués Pathologie récente (1976) Manque d information du corps médical et du grand public Peu d acteurs agissant sur la communication, prévention, éducation
22 Comment arriver au diagnostic de SAS? Clinique Questionnaires de Berlin, Epworth Oxymétrie nocturne Polygraphie/polysomnographie : +++
23 Signes cliniques nocturnes Ronflements, Apnées nocturnes, Éveils en sursaut avec sensation d'étouffement Insomnie Sommeil agité, Sueurs nocturnes Nycturie, Énurésie, Angor, HTA nocturne, arythmie
24 Signes cliniques diurnes Céphalées matinales, Somnolence, Asthénie matinale Troubles de la mémoire, Difficultés de concentration, Irritabilité, Syndrome dépressif Troubles de la libido Impuissance, Accidents de la circulation, accidents professionnels
25 Échelle de somnolence d Epworth lors de la lecture en regardant la télé assis inactif dans un lieu public (réunion...) comme passager lors d'un trajet en voiture de plus d'une heure sans pause allongé dans l'après-midi assis, en discutant assis calmement après un repas sans alcool dans une voiture immobilisée dans un embouteillage Score de 0 à 3 (mini 0 maxi 24)
26
27 Diagnostic du SAOS Clinique Questionnaire de Berlin Oxymétrie nocturne Polygraphie/polysomnographie : +++
28 Oxymétrie nocturne -Aspect évocateur si désaturations répétées -N élimine pas le SAS si est normale -Ne suffit pas pour la mise en route d une ventilation nocturne
29 Le plus fréquent: Polygraphie ventilatoire à domicile enregistrement nocturne des paramètres de la respiration Le moins fréquent: Polysomnographie à l hôpital Enregistrement nocturne des paramètres respiratoires et neurologiques (sommeil)
30 Enregistrement polysomnographique
31
32 QUI DEPISTER? SOMNOLENCE DIURNE : -Asthénie au réveil/réveil difficile -Impression de ne pas avoir dormi -Somnolence fin matinée, en réunion PATHOLOGIES CV : -Infarctus, AVC des sujets <60 ans -HTA mal contrôlée ou nocturne -Chez tous les patients CV : chercher un SAOS clinique RONFLEURS Avec symptômes de SAOS Endocrinopathies (OBESE, diabète) dépressifs
33 Risques et législation Risques accidentels : augmentation des accidents du travail et de la circulation Législation : Arrêté ministériel du 7 mai 1997 et du 21 décembre 2005 : -identification des maladies concernées -Obligation de se traiter pour conduire -Obligation de vérifier l absence de somnolence pour le groupe de conducteurs : poids lourd, ambulance, taxi, transport en commun
34 Médecins concernés Médecin traitant Médecin du travail Médecins des commissions de permis de conduire Spécialiste
35 Comment diagnostiquer une somnolence? Interrogatoire Mesures subjectives : échelles analogiques, échelles subjectives d Epworth, de Stanford Agenda du sommeil, actimétrie Mesures objectives : tests de performance (temps de réaction, détection de signaux, tests d attention) Test itératif de latence d endormissement Test de maintien de l éveil Test d Osler Test de simulation de conduite DASS
36 Échelle d Epworth lors de la lecture en regardant la télé assis inactif dans un lieu public (réunion...) comme passager lors d'un trajet en voiture de plus d'une heure sans pause allongé dans l'après-midi assis, en discutant assis calmement après un repas sans alcool dans une voiture immobilisée dans un embouteillage Score de 0 à 3 (mini 0 maxi 24)
37 Agenda de sommeil
38 Grille vierge d agenda de sommeil
39 Femme, 30 ans Période normale TST = 8 h Période de surmenage Coucher plus tardif TST = 6 h
40 Agenda d un sujet petit dormeur
41 Femmes de 22 ans Travail de nuit Travail de nuit et de jour
42 actimétrie
43
44 Actimétrie d un bon dormeur
45 Petit dormeur Femme de 49 ans
46 Long dormeur Femme de 24 ans
47 Somnolence objective : TILE couplé à la PSG (Multiple Sleep Latency Test) Test Itératif de Latences d Endormissement Latence moyenne < 8 mn : hypersomnolence pathologique Evaluation de la «pression de sommeil» diurne
48 Somnolence objective : TME ± PSG (Maintenance of Wakefulness Test) Test de Maintien de l Eveil avant 20 mn Mr Etienne = 40 mn (max.) PSG - 9H - 11h - 13h30-15H Evaluation de la «Résistance au sommeil» Référence médico-légale pour la loi française
49 Test d Osler (Oxford SLEep Resistance test)
50 Test d OSLER 9 h STOP! 7 erreurs x 3 sec. = 21 secondes d inattention
51 OSLER Test d OSLER STOP! 7 erreurs x 3 sec. = 21 secondes d inattention Latence d endormissement : 26 mn
52 Somnolence objective : Simulateurs de conduite Poste simplifié Poste sophistiqué
53 Test de simulation de conduite DASS Durée de 30 minutes Plusieurs vitesses de conduite sur la route Note les sorties de route légères et fatales Pas encore validé
54 Le rôle des professionnels de santé est crucial dans le dépistage et l information Prévalence élevée du SAOS 80% non diagnostiqués Pathologie jeune (1976) Manque d information du corps médical et du grand public Peu d acteurs agissant sur la communication, prévention, éducation
55 TRAITEMENT DES APNEES DU SOMMEIL FACTEURS HYGIENIQUES TRAITEMENT POSITIONNEL Traitement de l obstruction nasale VENTILATION NOCTURNE ORTHESE BUCCALE CHIRURGIE
56 REGLES HYGIENO-DIETETIQUES MAIGRIR. Eviction de l alcool. Eviction des somnifères.
57 VENTILATION NOCTURNE EN PRESSION POSITIVE (PPC) +++ QU EST CE QUE C EST? Une pression positive de l air, adaptée au sujet = une attelle pneumatique, qui maintient les voies aériennes ouvertes. Masque adapté au sujet Utilisation minimale 4 heures par nuit Traitement de référence (99 % d efficacité)
58 Effets de la PPC
59 Quel est le traitement de référence de l apnée du sommeil? = La PPC La Pression Positive Continue (PPC) Efficace, il apporte un réel bénéfice au patient, en améliorant sa qualité de vie et en réduisant les risques auquel il est exposé.
60 Orthèses buccales Quels résultats et quelles indications?
61 Orthèse d avancée mandibulaire
62 Innovations Liées à l Orthèse type O.R.M. Optimisation de la Retenue Mandibulaire 1 Avancée en retenue et non en poussée 2 Longueur des biellettes ajustée Matériau bi-composant semi-rigide 5 3 Articulation biellette + triangle Orthèse type Herbst Brevet N A1 4 Découpe des gouttières sans appui sur incisives
63 Principe des orthèses buccales Moulage par orthodontiste ou par patient pour certaine Prix variable : 100 à 600 euros, remboursée pour l ORM Durée limitée (2 à 3 ans) Contre-indications : bruxisme, pathologie des ATM, avancée mandibulaire insuffisante Effets secondaires : douleur matinale intermittente des ATM, hypersaliorhée, douleur gingivale, parfois aggravation du SAOS Consultation maxillo, imagerie, et soins dentaires au préalable
64 Indications des orthèses buccales SAOS sévères, refusant ou en échec de la PPC, non conducteurs SAOS légers à modérés - ronfleurs asymptomatiques - symptomatiques et refusant la PPC, non conducteurs
65 CHIRURGIE ORL UVPP UVULOPALATOPHARYNGOPLASTIE NASALE : désobstruction nasale, en général associée avec autre traitement AMYGDALECTOMIE GLOSSECTOMIE
66
67 UVPP 30 % succès
68 CHIRURGIE MAXILLO-FACIALE (osseuse) SUSPENSION DE L OS HYOIDE TRANSPOSITION GENIENNE AVANCEE MAXILLO-MANDIBULAIRE
69 OSTEOTOMIE BI-MAXILLAIRE D AVANCEMENT 70 % succès
70 INDICATIONS SAOS sévères (IAH>30) SAOS modérés (IAH<30) Si hypertrophie amygdalienne ++ : UVPP Si dysmorphie faciale ++ et < 60 ans : chir MF PPC = référence +++ Si échec ou refus : Orthèse, chir. MF Orthèse UVPP si maigre et indications ORL PPC si somnolence et échec/contreindication des autres
71 Arrêté du 7 mai 1997 = conséquences Médecin Patient Dépister la dangerosité Informer le patient Apporter la preuve de l information Si accident en conduite : -> Assurances déliées de ses obligations de réparations de dommages matériels
72 Rôle de chacun Le patient Le médecin traitant Engage sa responsabilité civile et pénale Doit informer le patient de l arrêté du 7 mai et de déc 05 (preuve écrite)
73 Rôle de chacun Le médecin du travail Prend la décision de laisser conduire ou non (véhicule professionnel) Le médecin de la Commission du permis de conduire Peut interdire de conduire
74 Rôle de chacun Le spécialiste Fournit des résultats précis d examen - diagnostique - de vigilance - d observance thérapeutique N est pas celui qui interdit Le juge?
Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble
Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,
Plus en détailSOMMEIL ET TRAVAIL 6
6 SOMMEIL ET TRAVAIL AVANT-PROPOS En médecine du travail, 20 à 40% des salariés se plaignent de leur sommeil avec pour principale conséquence la somnolence et son corolaire la baisse de vigilance. Les
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailOrthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS
rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue
Plus en détailMarseille 21 > 23. Novembre
Marseille P a R C C H A N O T 21 > 23 Novembre 2013 PROGRAMME PROVISOIRE APPEL À COMMUNICATION INSCRIPTION Conférences plénières Le sommeil des animaux I. Tobler Syndrome d apnée : potentiel des biomarqueurs
Plus en détailPlace et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil
TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des
Plus en détailSéminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18
Séminaire 1 «Sommeil Normal» Coordination J Adrien / MF Vecchierini Lieu : Faculté de Bichat Amphithéâtre A1, Niveau 1, 16 Rue Henry Huchard Paris 18 Lundi 18 Octobre 2010 (Responsable MF Vecchierini )
Plus en détailSyndrome d'apnées du Sommeil
Collaboration Labo : ASTRAZENECA Page 1 sur 7 Article de synthèse réalisé le 28 Avril 2001_Patrick Lévy, Jean Louis Pépin, Bruno Lepaulle Secteur Sommeil et Respiration. CHU Grenoble 38043 France Syndrome
Plus en détailDiagnostic et Monitoring de la pathologie respiratoire du sommeil en 2010. Peut-on faire plus simple?
Diagnostic et Monitoring de la pathologie respiratoire du sommeil en 2010 Peut-on faire plus simple? Dr Dan Adler, Février 2011 Plan Diagnostic du SAHOS Vers moins de technologie Vers de nouvelles technologies
Plus en détailLISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
LISTE DES PRODUITS ET DES PRESTATIONS REMBOURSABLES (LPPR) POUR LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE RESPIRATOIRE Code Désignation OXYGENOTHERAPIE A LONG TERME EN POSTE FIXE Date JO Entente préalable Surveillance
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailGuide SPLF à l usage des patients et de leur entourage. Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil
Guide SPLF à l usage des patients et de leur entourage Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Tout ce que vous voulez savoir sur le syndrome d apnées du sommeil Préface L annonce
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailQuelle évaluation préthérapeutique d un patient avec SAHOS nouvellement diagnostiqué?
ISSN 0761-8425 Organe Officiel de la Société de Pneumologie de Langue Française www.splf.org Numéro réalisé avec le soutien institutionnel de l Antadir Société Française de Cardiologie Maladies Revue des
Plus en détailTroubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009)
Troubles du sommeil, de l enfant et de l adulte (43) Marc Rey Juillet 2005 (mise à jour 2008/2009) 1. Introduction Le sommeil est un comportement qui occupe 1/3 de notre temps et qui s inscrit dans un
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailJournée mondiale du sommeil 2012 Rhône-Alpes
Journée mondiale du sommeil 2012 Rhône-Alpes Date : 16 mars 2012 Action de sensibilisation grand public sur le sommeil en région Rhône-Alpes. Sommaire Introduction... 3 Actions en Rhône-Alpes... 4 Conférences
Plus en détailSYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS
SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) UN VRAI DANGER POUR LES CONDUCTEURS de plusieurs nuits consécutives passées au domicile. Chez les sujets qui dorment six heures ou moins par nuit, la prévalence
Plus en détailLes Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008
Les Français et leur sommeil Dossier de presse Mars 2008 1 Sommaire Enquête sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France...3 Les durées
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailUrgent- information de sécurité
Urgent- information de sécurité Risque augmenté de décès cardiovasculaire chez les patients insuffisants cardiaques chroniques symptomatiques avec une fraction d'éjection du ventricule gauche (FEVG) altérée,
Plus en détailRecommandations pour la Pratique Clinique. Syndrome d apnées hypopnées obstructives du sommeil de l adulte
Revue des Maladies Respiratoires (2010) 27, 806 833 Recommandations pour la Pratique Clinique Syndrome d apnées hypopnées obstructives du sommeil de l adulte Texte court Société de Pneumologie de Langue
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailGina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal!
Gina Sanders Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Tous concernés! De quoi s agit-il? encontrer ponctuellement des dif cultés pour s endormir, se réveiller en pleine nuit ou se retrouver debout
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailPROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE
1 PROJET DE MEDECINE A. HISTOIRE ET PROJET DE L ETABLISSEMENT ET DU SERVICE Le Centre Hospitalier de SOMAIN a achevé sa restructuration en 1999 avec la fermeture de plusieurs services actifs (maternité,
Plus en détailQuand doit-on passer d une PPC à une VNI???
Quand doit-on passer d une PPC à une VNI??? 2émes Journées Pratiques Respiration Sommeil 24 et 25 Septembre 2010, Montpellier Dr L. LEROUSSEAU Service de pneumologie, CHG d Antibes Juan les Pins Dr D.
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailPathologies respiratoires du sommeil
Pneumologie fondée sur les preuves : actualisations SPLF Séminaire n 5 Pathologies respiratoires du sommeil Sommaire Pathologies respiratoires du sommeil Les apnées centrales P. Escourrou (Expert), J.C.
Plus en détailTable des matières. Relation entre le syndrome d'apnées du sommeil et les maladies. But de l'étude, hypothèses de recherche et objectifs 46
Table des matières SOMMAIRE LISTE DES TABLEAUX LISTE DES ABRÉVIATIONS REMERCIEMENTS ii vii ix xi INTRODUCTION 1 CONTEXTE THÉORIQUE 5 Le système vasculaire cérébral 6 L'ischémie cérébrale transitoire 9
Plus en détailMadame, Monsieur, André GILLES, Député permanent chargé de l Enseignement et de la Formation.
Madame, Monsieur, La santé est un bien précieux que chacun doit absolument apprendre à gérer au mieux de ses intérêts. Elle doit être prise sous tous ses aspects, c est-à-dire, non seulement comme l absence
Plus en détaildmt Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 En résumé notes de congrès
dmt TD notes de congrès 168 Sommeil et rythme de travail Tours, 29 janvier 2010 L Institut national de médecine agricole (INMA), situé à Tours, a organisé un colloque sur le thème «Sommeil et rythme de
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détail1. Mandat des autorités. 2. Principes pour la certification de "Centre de Médecine du Sommeil"
Directives pour la certification de "Centres de Médecine du Sommeil" et pour l obtention du certificat pour l enregistrement de polygraphies respiratoires 1. Mandat des autorités Selon l'"ordonnance sur
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailPrévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP
Prévenir et Indemniser la Pénibilité au Travail : le Rôle des IRP Les facteurs de pénibilité applicables au 1 er janvier 2015 T R A V A I L D E N U I T T R A V A I L E N É Q U I P E S S U C C E S S I V
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailDossier de presse 10 ème Journée du Sommeil Vendredi 19 mars 2010
Sous le patronage de Madame Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de la Santé et des Sports www.institut-sommeil-vigilance.org Sous le haut patronage de Monsieur Xavier Darcos, Ministre du Travail, des Relations
Plus en détailLes effets nocifs du bruit sur l'homme
La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons
Plus en détailS adapter au traitement par pression positive
S adapter au traitement par pression positive Sommaire Vous aider 3 Qu est-ce que l apnée du sommeil? En quoi diffère-t-elle du ronflement? 4 Quels sont les facteurs provoquant le ronflement ou le SAOS?
Plus en détailVentilation mécanique à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détaill ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue
l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue Surveiller et punir/ le panoptisme Michel Foucault Un assujettissement réel nait mécaniquement
Plus en détailLes troubles du sommeil : fatalité ou maladie que l on peut soigner?
Les troubles du sommeil : fatalité ou maladie que l on peut soigner? SOMMAIRE Introduction.. p. 2 Les apnées du sommeil : ces troubles qui perturbent nos nuits et notre santé.... p. 3 Insomnies : quand
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailDépistage du Syndrome d Apnées Obstructives du. et évaluation du risque cardiovasculaire à l officine : implication du pharmacien et perspectives
Dépistage du Syndrome d Apnées Obstructives du Sommeil et évaluation du risque cardiovasculaire à l officine : implication du pharmacien et perspectives d application Dorine Lloret, Benjamin Laperche To
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailLa conduite automobile et le vieillissement
La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,
Plus en détailUVPP or not UVPP B.NAVAILLES CH VALENCE
UVPP or not UVPP B.NAVAILLES CH VALENCE Historique Fujita et al.(surgical correction of anatomic abnormalities in obstructive sleep apnea syndrome: uvulopalatopharyngoplasty. Otolaryngol Head Neck Surg
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailÉVALUATION DE LA PRISE EN CHARGE POSTOPÉRATOIRE DANS LES UNITÉS DE SOINS INTENSIFS DES PATIENTS AYANT UNE COMORBIDITÉ D APNÉE DU SOMMEIL
Et al. ÉVALUATION DE LA PRISE EN CHARGE POSTOPÉRATOIRE DANS LES UNITÉS DE SOINS INTENSIFS DES PATIENTS AYANT UNE COMORBIDITÉ D APNÉE DU SOMMEIL Rapport d évaluation 07-13 Unité d évaluation des technologies
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailInterface MédiaPrime
Page 1/5 Interface MédiaPrime Le principe de fonctionnement de l interface avec Médiaprime consiste en la création de fichiers textes, à l extension «.txt», dans un dossier d interfaçage paramétrable,
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailSyndrome d apnées du sommeil : implications péri-opératoires
Syndrome d apnées du sommeil : implications péri-opératoires Samir Jaber (1), Moez El Kamel (1), Mustapha Sebbane (1), Jean- François Payen (2) (1) Service d Anesthésie-Réanimation B (SAR B), Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailDEFISCALISER SON ISF EN FAVEUR DE LA RECHERCHE MEDICALE, C EST POSSIBLE!
DEFISCALISER SON ISF EN FAVEUR DE LA RECHERCHE MEDICALE, C EST POSSIBLE! Journée de la Fondation Cœur et Artères 23 septembre 2009 Palais du Luxembourg Paris DEFISCALISER SON ISF EN FAVEUR DE LA RECHERCHE
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailparis descartes le sommeil le 16 mars!
de l université paris descartes LE SOMMEIL Qu est-ce que le sommeil? Sommeil et culture Les 10 règles du sommeil Bien dormir pour bien réussir La sieste au travail La journée du sommeil : le 16 mars! ÉDITO
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailRèglement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités
Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailPrise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale
Recommandations pour la pratique clinique Prise en charge du patient adulte se plaignant d insomnie en médecine générale Recommandations Décembre 2006 Avec le partenariat méthodologique et le concours
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailSURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI
SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI Elise CHIRON 1, Yves ROQUELAURE 1, Catherine HA 2, Annie TOURANCHET 3, Annette LECLERC 4, Marcel
Plus en détailMéthadone et Syndrome d Apnées du Sommeil
Récherche Originale Méthadone et Syndrome d Apnées du Sommeil Philippe Durst, MD 1, Jérôme Palazzolo, MD, PhD 2, Jean-Pierre Peyrelong, MD 3, Michel Berger, MD 4, Michel Chalabreysse, MD 5, Michel Billiard,
Plus en détailÉDITORIAL 3 SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL (SAOS) ET MORBI-MORTALITÉ CARDIOVASCULAIRE 4
sommeil bulletin de la société française de e t VIGILANCE recherche sur le sommeil N 13 - OCTOBRE 2004 NUMÉRO THÉMATIQUE : SYNDROME D APNÉES DU SOMMEIL ÉDITORIAL 3 SYNDROME D APNÉES OBSTRUCTIVES DU SOMMEIL
Plus en détail