PARTIE 1: CROISSANCE, CRISE ET DEVELOPPEMENT DURABLE CHAPITRE 1: LES SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PARTIE 1: CROISSANCE, CRISE ET DEVELOPPEMENT DURABLE CHAPITRE 1: LES SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE"

Transcription

1 PARTIE 1: CROISSANCE, CRISE ET DEVELOPPEMENT DURABLE CHAPITRE 1: LES SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE

2 I COMMENT MESURER LA CROISSANCE ET LE NIVEAU DE VIE? A Comment mesurer la croissance? 1- Définition A faire : exercice PPt

3 L évolution du PIB mondial par habitant

4 I COMMENT MESURER LA CROISSANCE ET LE NIVEAU DE VIE? A Comment mesurer la croissance? 2 - Mesure Docs 1 et 2 p 28 Le PIB A faire: Exercice doc1 p28 TD1: «Les indicateurs de croissance» Méthodo stat : Valeur, volume

5 La Valeur A joutée (VA) PRODUCTION destinée à la vente, mesurée par le Chiffre d Affaire (CA) - Consommations Intermédiaires (CI) Achats de B&S entièrement utilisés pour produire (Ex: matières premières, énergie, produits semi-finis) = Valeur Ajouté (VA) L entreprise transforme, grâce aux facteurs travail et capital, les CI en production

6 PIB marchand, PIB non marchand PIB MARCHAND Ensemble des B&S vendus à un prix permettant au moins de couvrir leur coût de production. = ΣVA des unités de production marchande + TVA + DD Subventions sur les produits VA = Chiffre d Affaire (CA) des unités de production marchande Consommations Intermédiaires (CI) PIB NON MARCHAND Ensemble des B&S fournis à la collectivité par les administrations publiques ou privées gratuitement ou à un prix inférieur à leurs coûts = ΣVA des unités de production non marchande (cad les Administrations Publiques ou APU) VA des APU = Σ Coûts de Production des APU CI.

7 Les trois visages du PIB Production (offre): ΣVA marchande et non marchande + impôt sur les produits Subventions sur les produits PIB Dépense (demande): Cf + FBCF + S+ (X-M) Revenus: Rémunération des salariés + Impôts + EBE & revenus mixtes bruts - subventions

8 I COMMENT MESURER LA CROISSANCE ET LE NIVEAU DE VIE? A Comment mesurer la croissance? 2 - Mesure Docs 1 et 2 p 28 Le PIB La croissance économique A faire: TD1: «les indicateurs de croissance» Méthodo stat : TCAM

9 I COMMENT MESURER LA CROISSANCE ET LE NIVEAU DE VIE? A Comment mesurer la croissance? 2 - Mesure Docs 1 et 2 p 28 Le PIB La croissance économique Le RNB (ex PNB)

10 I COMMENT MESURER LA CROISSANCE ET LE NIVEAU DE VIE? A Comment mesurer la croissance? 3 Limites Les productions hors champ du PIB La comptabilisation de valeurs nuisibles au bien être La non prise en compte de l environnement (Voir Chapite3)

11 I COMMENT MESURER LA CROISSANCE ET LE NIVEAU DE VIE? B Evaluer le niveau de vie 1 - Le PIB/ha et sa limite Le PIB/ha Docs 1 p 30 A faire: doc 1 p 30 Méthodo stat : le TCAM Les limites du PIB/ha Doc 2 p30 (Voir chapitre 3)

12 I COMMENT MESURER LA CROISSANCE ET LE NIVEAU DE VIE? B Evaluer le niveau de vie 2 - L IDH Doc 3 p 31 A faire: doc 3 p 31

13 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? A - Quelle est la contribution des facteurs de production à la croissance? 1 - L impact limité d une hausse des quantités de facteur de production Les facteurs de production travail et capital Limites A faire doc1 p 32

14 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? A - Quelle est la contribution des facteurs de production à la croissance? 2 - L impact d une amélioration de la qualité de facteur de production Docs 3 et 4 p 33 La notion de productivité A faire: TD 2 La productivité du travail L origine des gains de productivité A faire : exercice PPt

15 La contribution des facteurs à la croissance

16 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? A - Quelle est la contribution des facteurs de production à la croissance? 2 - L impact d une amélioration de la qualité de facteur de production Docs 3 et 4 p 33 La notion de productivité A faire: TD 2 La productivité du travail L origine des gains de productivité A faire : exercice PPt La répartition des gains de productivité

17 La répartition des gains de productivité du travail agit sur la croissance Hausse du pouvoir d achat et de la consommation Hausse de la compétitivité prix

18 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? B Le rôle du PT et de l innovation 1 Retour sur le Progrès Technique et l innovation Le progrès technique Invention, innovation, R&D

19 De l invention à l Innovation INVENTION INNOVATION Recherche Recherche Développement Commercialisation Fondamentale Appliquée

20 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? B Le rôle du PT et de l innovation 1 Retour sur le Progrès Technique et l innovation Le progrès technique: Invention, innovation, R&D 5 catégories d innovation selon Schumpeter

21 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? B Le rôle du PT et de l innovation 2 PT et innovation agissent sur la croissance Les vertus du PT Docs 1 et 2 p 34

22 Progrès technique Le Progrès Technique agit sur la croissance Croissance économique Innovations de procédés ou organisationnelles Gains de productivité Voir graphique La répartition des gains de productivité du travail agit sur la croissance Innovations produits Hausse de la compétitivité hors-prix Hausse de la demande

23 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? B Le rôle du PT et de l innovation 2 PT et innovation agissent sur la croissance Les vertus du PT Docs 1 et 2 p 34 Le processus d innovation s accélère Doc3 p 35

24 Le cercle vertueux de l innovation (microécomique)

25 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? C - Le rôle de l investissement 1 retour sur l investissement L'investissement Une typologie des investissements A faire doc1 p36 Doc 1 et 2 p36

26 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? C - Le rôle de l investissement 2 L investissement agit sur la croissance L investissement agit sur l offre et la demande

27 Croissance L investissement agit sur la croissance Effet de demande Vente de capital physique (Biens d investissement) Multiplicateur d investissement Achat de capital physique Investissement de capacité Economie d échelle Effet d offre Investissement de rationalisation Gain de productivité du travail Achat de capital Immatériel (Capital technologique & Capital humain) * Investissement en R&D *Investissement en Formation Gain de PGF (voir croissance endogène)

28 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? C - Le rôle de l investissement 2 L investissement agit sur la croissance L investissement agit sur l offre et la demande L investissement permet une croissance endogène Docs 3 et 4 p 37

29 Le cercle vertueux de la croissance et de l innovation Croissance économique PGF Rendement Croissant *«Learning by doing» *Accumulation de l épargne *Hausse des recettes fiscales Progrès Technique Externalité Positive

30 Les 4 sources de la croissance endogène liées à l accumulation de capital

31 L accumulation du capital à l origine du cercle vertueux de la croissance Croissance *«Learning by doing» *Accumulation de l épargne *Hausse des recettes fiscales PGF Progrès Technique Rendement Croissant Externalité Positive par accumulation de: *Capital physique & humain *Capital technologique (R&D) *Capital public via l investissement public et privé

32 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? D Le Rôle des institutions 1 Dans la théorie de la croissance endogène Docs 1 à 3 p38 TD PPt: «La corrélation R&D publique /croissance économique»

33 TD: La corrélation R&D publique/croissance économique

34 II COMMENT EXPLIQUER LA CROISSANCE ECONOMIQUE? D Le Rôle des institutions Doc 4 p D autres explications TD: «Valeur/volume, médiane/quantiles» Exercice p 424 et 428

35 C EST FINI!!!

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE

Plus en détail

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques 3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires

Plus en détail

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus

Observation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire

Plus en détail

2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée

2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du

Plus en détail

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT

RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente

Plus en détail

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des

Plus en détail

Les opérations et autres flux

Les opérations et autres flux Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE

POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.

Plus en détail

Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?

Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité

Plus en détail

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,

Plus en détail

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique

Plus en détail

Revenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)

Revenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%) Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

et Financier International

et Financier International MACROECONOMIE 2 Dynamiques Economiques Internationales PARTIE 2 : Le Système Monétaire et Financier International UCP LEI L2-S4: PARCOURS COMMERCE INTERNATIONAL PLAN DU COURS I - LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL

Plus en détail

Première partie : Mobilisation des connaissances

Première partie : Mobilisation des connaissances Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez

Plus en détail

Du produit intérieur brut (PIB) au revenu national (2010)

Du produit intérieur brut (PIB) au revenu national (2010) Du produit intérieur brut (PIB) au revenu national (2010) En 2010, le revenu moyen avant impôt des Français était de 33 000 par adulte et par an (2 800 par mois) Produit intérieur brut (PIB) (2010): 1

Plus en détail

Maintenabilité d un parc applicatif

Maintenabilité d un parc applicatif 1 Maintenabilité d un parc applicatif Une méthode pour évaluer les charges de maintenance 13/06/01 Jean-François Bailliot 2 Maintenabilité d un parc applicatif Maintenance / Développement importance relative

Plus en détail

DEVOIR N 1 économie générale

DEVOIR N 1 économie générale PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le

Plus en détail

TC12 : Protection sociale et solidarités collectives

TC12 : Protection sociale et solidarités collectives TC12 : Protection sociale et solidarités collectives 1 Etat providence et protection sociale 11 L apparition de l Etat providence DOC 1 Q1 Qu est-ce que la société libérale? C est une société dans laquelle

Plus en détail

Note commune N 3 / 2014

Note commune N 3 / 2014 REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54

Plus en détail

POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe)

POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe) Université du Québec à Montréal Département de science politique Session Automne 2008 POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au

Plus en détail

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le

Plus en détail

CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE»

CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» I ) SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE : La croissance économique est d abord une réalité quantitative. Généralement, on mesure cette croissance avec

Plus en détail

Le principe de prudence : Les amortissements

Le principe de prudence : Les amortissements Le principe de prudence : Les s Chapitre 13 Introduction La mise en situation comprend 5 parties I Le principe de prudence II L III Plan d IV Enregistrement V Les cessions d immobilisations Il faut garder

Plus en détail

«Diplomatie»: le portail interministériel de la correspondance diplomatique

«Diplomatie»: le portail interministériel de la correspondance diplomatique «Diplomatie»: le portail interministériel de la correspondance diplomatique Présentation au Congrès Qualita, Compiègne, 20 mars 2013 24/04/2013 1 1. Diplomatie numérique (digital diplomacy) 2. Trois impératifs

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Faculté de sciences économiques et de gestion Nabeul. 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE. Enseignant Dr Jalel BERREBEH

Faculté de sciences économiques et de gestion Nabeul. 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE. Enseignant Dr Jalel BERREBEH Faculté de sciences économiques et de gestion Nabeul 1ère année Sciences économiques et Gestion COURS DE MACROECONOMIE Enseignant Dr Jalel BERREBEH Année Universitaire 2010/2011 Thème I. Eléments de la

Plus en détail

pays tributaires des exportations de minéraux

pays tributaires des exportations de minéraux La viabilité de la politique budgétaire dans les pays tributaires des exportations de minéraux Kirk Hamilton Groupe de recherche sur l économie du développement Banque mondiale Séminaire de haut niveau

Plus en détail

Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013

Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double

Plus en détail

La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements

La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements La comptabilité nationale en économie ouverte (rappels) et la balance des paiements Identité fondamentale: Y= C + I + G + EX - IM Y: PIB (Produit Intérieur Brut) C: Consommation I: Investissement G: Dépenses

Plus en détail

ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1

ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

Plus en détail

Comité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011

Comité Directeur Confédéral Intervention économique. 16 mars 2011 Comité Directeur Confédéral Intervention économique 16 mars 2011 En 2010, le déficit budgétaire s est élevé à 148,8 milliards d euros Déficit public en 2010 s est élevé à 7,7 % du PIB Dette publique en

Plus en détail

Séquence 1. Croissance, fluctuations et crises. Sommaire. Introduction. 1. Quelles sont les sources de la croissance économique?

Séquence 1. Croissance, fluctuations et crises. Sommaire. Introduction. 1. Quelles sont les sources de la croissance économique? Séquence 1 Croissance, fluctuations et crises Sommaire Introduction 1. Quelles sont les sources de la croissance économique? 2. Comment expliquer l instabilité de la croissance? Auto-évaluation de la séquence

Plus en détail

MACRO-ECONOMIE. CHAKENDARI Ridha. Université Virtuelle de Tunis

MACRO-ECONOMIE. CHAKENDARI Ridha. Université Virtuelle de Tunis MACRO-ECONOMIE CHAKENDARI Ridha Université Virtuelle de Tunis 2006 Introduction Bienvenue à votre cours de Macro-économie en ligne. Ce guide présente une vue d'ensemble du cours, décrit la manière dont

Plus en détail

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur

Plus en détail

ECONOMIE GENERALE. La représentation de l économie : la comptabilité nationale

ECONOMIE GENERALE. La représentation de l économie : la comptabilité nationale IUFM AUVERGNE ECONOMIE - GESTION Cours de Mr DIEMER ECONOMIE GENERALE Mots clés : PARTIE I CHAPITRE 3 La représentation de l économie : la comptabilité nationale Administration publique Circuit économique

Plus en détail

Projet de loi n o 94. Présentation. Présenté par Madame Kathleen Weil Ministre de la Justice

Projet de loi n o 94. Présentation. Présenté par Madame Kathleen Weil Ministre de la Justice PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 94 Loi établissant les balises encadrant les demandes d accommodement dans l Administration gouvernementale et dans certains établissements

Plus en détail

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC

FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience

Plus en détail

CONSOMMATION FINALE. Matérialité de l usage. Productivité de l usage. Effet de l usage. Satisfaction. Usage d un bien SANS effet productif ultérieur

CONSOMMATION FINALE. Matérialité de l usage. Productivité de l usage. Effet de l usage. Satisfaction. Usage d un bien SANS effet productif ultérieur CONSOMMATION FINALE Matérialité de l usage Productivité de l usage Effet de l usage Usure d un bien Usage d un bien SANS effet productif ultérieur Satisfaction Gaspillage Champagne School of Management

Plus en détail

L investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM

L investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM L investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM Etat des lieux de l investissement participatif en France Du simple placement individuel au portage de projet Les

Plus en détail

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance

Plus en détail

Séquence 5. Régulations et déséquilibres macroéconomiques

Séquence 5. Régulations et déséquilibres macroéconomiques Séquence 5 Régulations et déséquilibres macroéconomiques Sommaire 1. Pourquoi la puissance publique intervient-elle dans la régulation des économies contemporaines? 2. Comment le budget de l État permet-il

Plus en détail

Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014

Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Objectifs et Enjeux Objectifs Décrire et analyser les fondements, la pratique

Plus en détail

1 À noter... 3. 2 Demande de prêt REER... 3. 3 But du produit... 4. 4 Le produit en bref... 5. 5 Les principaux avantages... 6

1 À noter... 3. 2 Demande de prêt REER... 3. 3 But du produit... 4. 4 Le produit en bref... 5. 5 Les principaux avantages... 6 Table des matières 1 À noter... 3 2 Demande de prêt REER... 3 3 But du produit... 4 4 Le produit en bref... 5 5 Les principaux avantages... 6 6 Utilisation du prêt REER... 6 6.1 Taux d intérêt... 6 7 Modalités

Plus en détail

INTRODUCTION Événements importants survenus au cours de l année

INTRODUCTION Événements importants survenus au cours de l année RÉGIME DE RETRAITE À L INTENTION DU GROUPE MANOEUVRES, HOMMES DE MÉTIER ET DE SERVICES DES DISTRICTS SCOLAIRES DU NOUVEAU-BRUNSWICK Rapport de l administrateur pour l année 2006 Décembre 2007 TABLE DES

Plus en détail

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010

ENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010 Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

CHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES

CHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES CHAPITRE IV - LES AUTRES POSTES COMPTABLES 1. Les subventions d exploitation... 107 2. Les autres impôts sur la production... 109 3. La rémunération des salariés... 112 4. Les intérêts... 114 5. Les charges

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

IBM Software Group. Priorités Stratégiques Channel. Pierre BERTIN

IBM Software Group. Priorités Stratégiques Channel. Pierre BERTIN IBM Software Group Priorités Stratégiques Channel Pierre BERTIN 1 IBM Software Group 2015 Revenue Accélérer la Croissance + $13.7B + $6.3B $36.2B $22.5B $16.1B 2010 2004 2015 44% Margin Operating Profit

Plus en détail

Mode de calcul des critères GTE-TB

Mode de calcul des critères GTE-TB Septembre 2009 Mode de calcul des critères GTE-TB Version 1.1 Principales modifications version 1.1 / 1.0 Modification du calcul du montant des charges diverses Saisie distincte des charges Porc / FAF

Plus en détail

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan

Plus en détail

Epargne et investissement

Epargne et investissement Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus

Plus en détail

La retraite. n est pas un privilège! Avant-propos. Qu est-ce que le RREGOP? En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus

La retraite. n est pas un privilège! Avant-propos. Qu est-ce que le RREGOP? En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus En savoir plus sur le RREGOP pour mettre fin aux malentendus La retraite n est pas un privilège! Fascicule 1 Avantpropos Depuis plusieurs mois déjà, de grands médias tirent à boulets rouges sur les régimes

Plus en détail

La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux

La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP

Plus en détail

Document. de travail n 32. Audit de la situation des entreprises françaises

Document. de travail n 32. Audit de la situation des entreprises françaises Document de travail n 32 Audit de la situation des entreprises françaises juillet 2012 Ce document de travail a été réalisé sous la direction de Michel DiDieR, Président et Denis FeRRAND, Directeur Général

Plus en détail

Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions

Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Circulaire d offre Compagnie Pétrolière Impériale Ltée Aucune commission de valeurs mobilières ni organisme similaire ne s est prononcé de

Plus en détail

RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE

RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE RÉGIME DE RÉINVESTISSEMENT DE DIVIDENDES ET D ACHAT D ACTIONS NOTICE D OFFRE Le 18 décembre 2013 Les actionnaires devraient lire attentivement la notice d offre en entier avant de prendre une décision

Plus en détail

OPTIMISATION À UNE VARIABLE

OPTIMISATION À UNE VARIABLE OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum

Plus en détail

LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg

LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre

Plus en détail

Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20)

Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20) Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20) I. Définition des entreprises totalement exportatrices (art 10) : L article 10 du code d incitation aux investissements a défini les entreprises

Plus en détail

REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE

REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE DES PERSONNES AGEES ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS PAR L'EXPERTE INDEPENDANTE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L'HOMME ET L'EXTREME PAUVRETE (i)

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

1999 COOPERATIVE CREDIT ASSOCIATIONS - ASSOCIATIONS COOPÉRATIVES DE CRÉDIT (IN THOUSANDS OF DOLLARS) (EN MILLIERS DE DOLLARS) TABLE I - ASSETS

1999 COOPERATIVE CREDIT ASSOCIATIONS - ASSOCIATIONS COOPÉRATIVES DE CRÉDIT (IN THOUSANDS OF DOLLARS) (EN MILLIERS DE DOLLARS) TABLE I - ASSETS 1999 COOPERATIVE CREDIT S - S COOPÉRATIVES DE CRÉDIT (IN THOUSANDS OF (EN MILLIERS DE TABLE I - ASSETS LOANS TO MEMBERS (LESS S FOR LOANS IN DEFAULT) CASH TREASURY BILLS AND SHORT TERM DEPOSITS BONDS SHARES

Plus en détail

Année Universitaire 2013-2014. 1 ère année de Master Droit Mention Droit Privé 1 er semestre. 1 er SEMESTRE 8 matières CM TD COEFF ECTS.

Année Universitaire 2013-2014. 1 ère année de Master Droit Mention Droit Privé 1 er semestre. 1 er SEMESTRE 8 matières CM TD COEFF ECTS. Année Universitaire 201-2014 1 ère année de Master Droit Mention Droit Privé 1 er semestre 1 er SEMESTRE 8 matières CM TD COEFF ECTS Unité 1 1 TD obligatoire Droit civil (les Sûretés) Unité 2-1 TD au choix

Plus en détail

Résultats annuels 2014 23 janvier 2015

Résultats annuels 2014 23 janvier 2015 Sommaire Points clés Résultats financiers 2014 Marché et perspectives 2 Points clés Résultats 2014 en ligne avec les objectifs annoncés «chiffre d affaires sensiblement comparable à celui de 2013 et marge

Plus en détail

Conditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014

Conditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014 Conditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014 Généralités Les crédits à l exportation assurés par la SERV doivent être conformes aux règles de l'arrangement

Plus en détail

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - - Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)

Plus en détail

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et

Plus en détail

La réforme de l administration fiscale au Cameroun

La réforme de l administration fiscale au Cameroun Conférence sur la mobilisation des recettes fiscales dans les pays en développement Washington, 17-19 avril 2011 La réforme de l administration fiscale au Cameroun Alfred Bagueka ASSOBO Introduction (02)

Plus en détail

IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS

IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS Loi relative à l impôt sur le revenu (amendement) de 2005 Loi relative à la contribution spéciale à la défense (amendement)

Plus en détail

Comparaisons internationales de la dette

Comparaisons internationales de la dette Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement

Plus en détail

Épreuve préparée : Économie Monétaire & Droit Bancaire & Financier (ECOB) E.3.2. D.S.T. Questions à traiter par réponses directes

Épreuve préparée : Économie Monétaire & Droit Bancaire & Financier (ECOB) E.3.2. D.S.T. Questions à traiter par réponses directes Épreuve préparée : Économie Monétaire & Droit Bancaire & Financier (ECOB) E.3.2 FORMATION : BTS BANQ NIVEAU : 2 GROUPE: JV A ANNEE : 2008-2010 VOLUME D HEURES ANNUEL : FORMATEUR : THIERRY FELTZ SEMAINE

Plus en détail

Faut-il encourager les ménages à épargner?

Faut-il encourager les ménages à épargner? Faut-il encourager les ménages à épargner? Analyse du sujet : Nature du sujet : Sujet de type «discussion». Problématique explicite. Mots-clés : Ménages ; épargner épargne des ménages Encourager Epargne

Plus en détail

I) L ouverture des économies à l international

I) L ouverture des économies à l international L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace

Plus en détail

1997 COOPERATIVE CREDIT ASSOCIATIONS - ASSOCIATIONS COOPÉRATIVES DE CRÉDIT (IN THOUSANDS OF DOLLARS) (EN MILLIERS DE DOLLARS) TABLE I - ASSETS

1997 COOPERATIVE CREDIT ASSOCIATIONS - ASSOCIATIONS COOPÉRATIVES DE CRÉDIT (IN THOUSANDS OF DOLLARS) (EN MILLIERS DE DOLLARS) TABLE I - ASSETS 1997 COOPERATIVE CREDIT S - S COOPÉRATIVES DE CRÉDIT (IN TABLE I - ASSETS LOANS TO MEMBERS (LESS PROVISIONS FOR LOANS IN DEFAULT) CASH TREASURY BILLS AND SHORT TERM DEPOSITS BONDS SHARES MORTGAGES REAL

Plus en détail

Les projets VALOREM pour proposer l investissement participatif dans les EnR:

Les projets VALOREM pour proposer l investissement participatif dans les EnR: 4èmes rencontres TEPOS Mimizan 2014 Les projets VALOREM pour proposer l investissement participatif dans les EnR: partenariat bancaire pour la mise en place d un dédié à l éolien; modèle de co-investissement

Plus en détail

Base de données opérationnelle pour les phénomènes PAN Commission SIGMA 2 - AAAF

Base de données opérationnelle pour les phénomènes PAN Commission SIGMA 2 - AAAF Le groupe 3AF (SIGMA 2) : - approfondir les cas intéressants exploitable (en aval du GEIPAN) - rechercher de nouveaux cas (bases de données, publications référencées) - constituer un réseau scientifique

Plus en détail

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative

Plus en détail

9.1 COMPTES CONSOLIDÉS 2014

9.1 COMPTES CONSOLIDÉS 2014 9. États financiers 9.1 COMPTES CONSOLIDÉS 2014 ET ANNEXE BILAN CONSOLIDÉ ACTIF Référence annexe 31/12/2014 * 01/01/2013 * Actifs non courants Immobilisations incorporelles 4.3 13 115 18 888 24 990 Écarts

Plus en détail

Tendances de l insolvabilité au Canada

Tendances de l insolvabilité au Canada Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de

Plus en détail

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux») Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...

Plus en détail

PAGE : 1 POLITIQUE GÉNÉRALE DE DONS CHAPITRE : II SECTION : 2.7

PAGE : 1 POLITIQUE GÉNÉRALE DE DONS CHAPITRE : II SECTION : 2.7 CHAPITRE II : L UQAC SECTION 2.7 : FONDS DE DÉVELOPPEMENT PAGE : 1 POLITIQUE GÉNÉRALE DE DONS Adoptée : CAD-9192 (13 10 09) Modifiée : 1- ÉNONCÉ La présente politique a pour but d établir le cadre général

Plus en détail

6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION. Réunion d informati on 6 mars 2013

6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION. Réunion d informati on 6 mars 2013 6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION 1 Réunion d informati on 6 mars 2013 CONTEXTE 2012 PIB 0,0 % CROISSANCE IT +0,7 % SAAS +30 % SOURCE INSEE 2012 +2,7% 0,0% 2012 2012 2010 2011 2012 +3,8% +1,6% +7,0% +2,0%

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Notes méthodologiques

Notes méthodologiques Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies

Plus en détail

Les divergences sociales en Europe après la crise

Les divergences sociales en Europe après la crise LA NOTE D ANALYSE Les divergences sociales en Europe après la crise Marine Boisson-Cohen, Céline Mareuge, David Marguerit* et Bruno Palier** Les évolutions récentes en matière sociale et d emploi en Europe

Plus en détail

4. Consommation, épargne et investissement

4. Consommation, épargne et investissement 4. Consommation, épargne et investissement Il existe deux manières d utiliser les ressources dont nous disposons : la consommation et l investissement. Ménages et État consomment, Entreprises et État investissent.

Plus en détail

Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014

Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014 Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 11 Diffusé à 8 h 3, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 14 Le taux d'épargne s'entend du rapport entre l'épargne brute et le

Plus en détail